Bof Bof Bof...
D’une part, les communistes ont disparu bien avant les fachistes américains. Et tant mieux ! (rappelez-nous le score du PC aux élections ?) D’autre part, tout ce que vous dites, c’est sous-estimer la capacité de la liberte incarnée par le peuple américain à s’adapter aux changements. Désolé pour vous, vous ne verrez de votre vivant le déclin des USA, et encore moins la fin ...
Tous les problèmes actuels ne sont basés que sur une inégalité monétaire (avec l’asie) qui traine depuis 10 ans. Le tout, c’est d’y mettre fin pour de bon !
Alors arrêtez de prendre votre ton bobo-intello, les cocos ont perdu la bataille idéologique sur le monde. Encore une fois, tant mieux et bon débarras !
« Ce qu’il y a de marrant avec tous ces articles sur »le déclin de l’Empire Américain« c’est qu’ils sont pondus inlassablement par les mêmes auteurs, (ce Philippe Vassé est un grand spécialiste, qui doit en être à son dix ou douzième article sur ce sujet !). » Ah c’est donc ça ! ... me fait penser à Leap2020, où la prophétie du scénario pessimiste comme revanche sur la vitalité éclatante (nargante) de ces ricains.
« propriétaires de dettes bancaires » ce sont eux qui ont des dettes : les pays en question leur ont prété de l’argent, c’est d’une évidence...
C’est malheuresement tellement vrai...
D’un point de vue économique, pas tant que ça.
Avez-vous déjà comparé les courbes de progression de la dette des USA (intérieure et extérieure) avec les exports des asiatiques (Japon, Hong Kong, Corée, Taïwan, la Chine) ?
Ce sont les Etats-Unis qui ont sauvé le monde d’une crise économique majeure à la fin des années 90 et ils en payent aujourd’hui le prix fort.
De toutes façons, qu’est qu’il va se passer ?
Les occidentaux sont propriétaires de dettes bancaires vis-à-vis des quelques pays asiatiques et de producteurs de pétrole.
Un jour, on dira, « et bien mes amis, vous les asiatiques vous me vendez des produits à un prix tellement bas que nous ne pouvons pas refuser. Evidemment, nous savons que vous truquez les taux de change pour qu’on ne voit pas de l’extérieur que la croissance de votre économie est à deux chiffres. Vous les habitants du moyen orient (pour rester courtois), vous me vendez un pétrole à un prix élevé, et ce depuis longtemps. L’argent que je vous ai donné vous a servi à racheter mes propres entreprises, mais bon, c’est la mondialisation. Aujourd’hui, je crois que je ne vais pas être capable de rembourser. Alors et bien puisque vous êtes en partie responsable de cette situation, on n’a qu’à faire comme les russes, annuler la dette... tellement désolé »
Philippe,
Je ne contredis pas Stiglitz. Stiglitz n’a jamais dit que la crise financière asiatiques était due aux USA.
La crise asiatique des années 90 s’est déroulée en plusieurs étapes. Dans le processus de décomposition de l’économie de cette région, le FMI et la Banque Mondiale (e.g., les occidentaux) ont joué (comme d’habitude) un rôle de pyromanes vis-à-vis d’économies pas prêtes à la libéralisation de leurs économies.
Mais cette action est arrivée bien après les « folies » économiques asiatiques, les bulles spéculaties industrielles et immobilières, dont les acteurs économiques locaux sont seuls responsables !!!
Ce ne sont pas les USA qui sont à l’origine de la crise asiatique, ils n’ont joué que le mauvais rôle de catalyseur.
Vous dites (et c’est en partie vrai) que leur tableau de bord économique est terrible (la liste des indicateurs virant au rouge sont nombreux). Mais cette situation deséquilibrée date de cette époque, d’il y a 10 à 15 ans. Ce laps de temps correspond à l’inertie de l’application des décisions économiques.
Les vrais fautifs de cette histoire restent les asiatiques, qui comme seul modèle économique de développement ne jurent que par l’export. C’est le productivisme totalitaire avec des capacités de production excédant largement les besoins intérieurs. Ca marche un temps, lorsque quelqu’un est prêt à acheter. Puis ça ne marche plus du tout...
Le terme « Empire » provient pour l’essentiel de l’analyse de Bonner « L’empire des dettes ». On l’oublie souvent, ce monsieur Bonner...
En bref, je ne suis pas d’accord avec votre constat.
D’abord, nous ne voyez que les points négatifs qui font aujourd’hui les choux gras de la presse économique, et de ceux (Leap2020 pour ne pas les citer) qui n’attendent que la chute de l’empire US (« On vous l’avait bien dit ! »).
Il y a des points positifs dans l’économie US (une économie productive et dynamique, des investissements en recherche pour l’avenir, ...).
De plus, la chute de l’empire US ne sera pas sans conséquences pour l’Europe ; c’est l’Occident tout entier qui est menacé par l’asie.
Enfin, votre -soi-disant- connaissance historique est vraiment limitée ; en matière économique, quelque chose arrive parcequ’il existe autrepart dans le monde, une contrepartie.
Si les USA sont dans une situation économique difficile c’est en grande partie parcequ’ils ont sauvé le monde entier d’une crise économique et financière dans les années 90 : pour que l’asie puisse sortir de son implosion économique, les USA ont accepté d’acheter en masse leurs produits, d’ou les deséquilibre que nous connaissons maintenant.
Aujourd’hui, ces ingrats d’asiatiques se moquent des économies occidentales alors que c’est bien l’Occident qui les a sortis de la misère
Décidemment, je vais finir par croire que ce site est miné de gauchots-mauvais-perdants-à-la-dent-dure.
Pourquoi serait-il catastrophique qu’une entreprise augmente ses marges ? Si c’est un grand groupe côté en bourse, alors c’est vrai que les actionnaires vont passer à la caisse. Mais si c’est une PME ? ce n’est pas pareil !
L’augmentation des marges des PME, d’une manière ou d’une autre, est nécessaires pour que ces dernières puissent investir pour étoffer leurs offres de produits ou de services, en particulier à l’export. Dans le contexte actuel, il n’y a pas d’autre alternative que de baisser les charges sur le travail.
« les importations ne représentaient pas la grande majorité des produits de consommation en France »
- > Hein ???
Il faut revenir à un des fondamentaux de base qui est le fameux « manier moyen de la ménagère ». Qu’est-ce que nous consommons le plus ? des produits alimentaires et une prestation de logement !
Contrairement aux USA, où Wal Mart s’approvisionnent à 70% en Chine, nos importations de produits alimentaires sont très faibles. Les importations ne représentent donc pas la grande majorité des produits consommés.
En revanche, et si vous faisiez par là référence aux déficits commerciaux, nos EXPORTATIONS sont inférieures à nos importations.
Enfin, je ne suis pas contre devoir payer plus cher mon lecteur MP3, dans la mesure où sa durabilité est aujourd’hui beaucoup trop faible.
La sur-taxe des produits électroniques permettra au moins d’obliger les fabricants à améliorer la qualité de leurs produits.
Nous revenons là au développement durable, qui n’est finalement qu’une forme de protectionnisme supplémentaire contre les pays asiatiques économiquement « déloyaux ».
PIB par habitant, tout le monde aura compris...
Quel défaitisme !
C’est vraiment ignorer les situations et les histoires économiques de nos voisins européens.
Il y a 20 ans, qui aurait pu croire que le PIB du Nord de l’Italie deviendrai plus élevé que le PIB moyen français ? et pourtout c’est ce qui est arrivé. Les italiens du nord ont appliqué des réformes drastiques et sont parvenus à re-développer un tissu économique de PME.
Il y a 20 ans, qui aurait pu croire que le PIB de l’Irlande serait supérieur au PIB français ?
Il y a 20 ans, qui aurait pu croire que l’économie française, alors très compétitive en europe, avec des exportations honorables, se retrouverait lanterne rouge.
Rien n’est gravé dans le marbre.
« Nous ne sommes plus dans une logique de soulèvement prolétaire à la bolchévique ou dans le cadre propisse à une revanche nationaliste d’un peuple humilié par la défaite »
RIEN A VOIR.
Rappelons-nous que nous sommes aujourd’hui à l’ère de la mondialisation financière !!!
Le repli provoque un retrait et une contraction des échanges internationaux de capitaux. Pour un pays ouvert au monde comme le notre, ou comme les USA, ou comme la Grande-Bretagne, cela représenterait une catastrophe économique majeure (en fait tous les pays ayant besoin des IDE pour vivre).
L’allemagne comme le Japon dans les années 1930, ont été exposé à ce problème de repli des capitaux.
Les cocos ou le nationalisme n’ont été que des causes maladroites de déclenchement du repli, générant alors une crise financière bien plus grave que la crise initiale.
L’Union Européenne, c’est exactement la démarche contre la mondialisation. Ce n’est pas du protectionnisme, c’est du régionalisme au sens des discussions à l’OMC : se développer dans un espace de référence donné. Toutes les régions du monde sont en train de se régionaliser : UE, ALENA, ASEAN, bientôt dans le golf persique, peut-être un jour en Afrique, ...
Si nous ne parvenons pas à être compétitif, même au sein de notre espace de référence, faudra-t-il fermer les frontières ? je ne suis pas assez fort donc je ne joue plus ? Ce n’est pas fair play.
Le protectionnisme et le repli sur soi, c’est ce qui a provoqué les guerres du passé. C’est l’ouverture, l’avenir.
Maintenant, nos PME sont elles trop fragiles faces aux allemandes ?
Jusqu’à encore récemment, les PME allemandes tiraient la langue et ce, malgré une capitalisation de type familiale ou bancaire. Dans les années 97, 98, c’était vraiment critique.
Ce n’est qu’avec leur réforme visant à améliorer leur compétitivité qu’elles reviennent sur le devant de la scène.
Je le répète, il n’y a pas de miracle.
La pensée qui consiste à dire qu’il ne faut pas améliorer la compétitivité (offre de formation pour les chomeurs, baisse du coût du travail par la réduction des charges, ...) parceque sinon les autres pays vont en faire de même et que ça n’en finira pas, c’est un peu limite limite...
C’est quoi la définition de la compétition selon vous ?
Certes, on pourra toujours dire que les cause principales de guerre du XX° siècle on été les dévaluations compétitives qui ont conduit le monde à la ruine économique.
Mais on ne peut pas vivre coupé du monde. Même dans l’UE, nous sommes dans un environnement de compétition économique. Il faut donc une politique de la compétitivité !
Ce qui démoralise les gens aujourd’hui n’est pas la perte de pouvoir d’achat, mais l’absence de perspective positive parceque nous vivons dans une société immature qui refuse la compétition et dont ses « acquis » s’érodent de jours en jours.
Même du temps des socialistes, nous étions plus compétitifs, c’est pour dire ! (avant les 35 heures et tout le toutim)
Enfin, puisque vous critiquez la politique du capital, on ne pourra que critiquer en retour les semblants de politique keynesienne.
Toutes ont été un échec en temps de paix : personne n’a jamais réussi à relancer une économie sur des bases solides en privilégiant la demande, et ce pour une raison très simple : stimuler la demande aujourd’hui, c’est privilégier les importations et donc creuser un plus notre tombe.
Bref, je ne crois pas que notre problème économique se réglera en allant voir les allemands pour leur demander d’augmenter les charges sociales sur le travail.
Bon, je ne suis pas convaincu par les arguments qui vous annoncez. Je crois même que votre raisonnement n’est pas bon.
La croissance n’est pas l’élément fondamental de mesure. La croissance ne mesure pas les efforts de recherche publique pour trouver les débouchés de demain, elle ne mesure pas non plus les réorganisation pour chercher à moyen terme des gains de productivité. La croissance n’est qu’une mesure ponctuelle.
Une politique de l’offre serait-elle catastrophique pour la France ? sommes-nous condamné à rester des consommateurs sans quoi nous risquerions de faire baisser notre croissance ? Cet argument est tout simplement stupide et court-termiste.
Regardez ce à quoi en sont rendus les USA avec leurs société de consommateurs : des déficits dans tous les coins, des gens fragiles jetés à la rue par centaines de milliers. C’est ça que vous voulez pour nous ?
Vous ne voyez pas à mon avis le véritable problème de l’Allemagne. Quelle est la signature de ses exportations ? tire-t-elle vraiment partie de la mondialisation ? L’Allemagne, comme la France, réalise environ 60% de ses exportations dans l’Union Européenne. Et c’est dans l’UE qu’elle a le plus gagné de parts de marchés. Il n’y a donc pas de réel miracle allemand !!!
C’est parcequ’elle est parvenue à redevenir compétitive dans l’UE, dans les mêmes conditions sociales et monétaires que nous, qu’elle s’en sort bien aujourd’hui. Ce n’est donc en rien un miracle !!!
Il n’y a donc pas d’autre solution pour nous, que d’appliquer des réformes (libérales ou pas) visant à améliorer la compétitivité dans l’europe.
Cas d’étude très intéressant.
Il est surtout intéressant de voir, au travers ce cas, comment une révolution (ici un gap technologique) peut émerger d’une poignée d’hommes.
Lorsque le bon sens commande à la raison, les résultats sont dévastateurs...
Maintenant aujourd’hui, le Japon peut-il encore garder son rôle de 2ème puissance économique mondiale ? Comment peut-on appliquer les théories statistiques dans la production de services et non de biens ?
Mon propos est malheuresement plus terre-à-terre. J’ai moi-même eu l’occasion de me pencher sur un problème de recherche dans le domaine informatique. Je pense avoir tiré le problème suffisamment loin dans sa conceptualisation abstratite pour dire : 1) que si peu de personnes sont capables de comprendre et d’en discuter, cela ne sert pas à grand chose, sauf à se faire plaisir et à croire qu’on a quelque chose de plus que les autres (le savoir c’est le pouvoir) ; 2) que les seules choses qui « marchent » et qui sont applicables, en science comme dans le social, ce sont les choses simples !
D’accord pour discuter de choix de modèle de société, mais sur des faits et des conclusions simples !
Enfin, je persiste à dire que les bases de travail de cet article (le réchauffement climatique avec comme raison principale le CO2) sont potentiellement erronées.
Le vrai problème, et qui déjà connu mais peut-être pas assez discuté, c’est le partage des ressources à l’avenir : le carburant fossile mais également l’eau, les terres arables, ... ça, c’est le vrai problème, qui fait référence au défaut actuel de la supra-nationalité (abandon de l’ONU, échec à l’OMC, impuissance du FMI face aux taux de change, ...)
Ah, j’oubliais, à tous les fanatiques de l’effet de serre :
Merci, merci pour tous ces commentaires.
Non pas que j’ai une dent particulière envers quelqu’un, mais si on ne faisait pas preuve d’un peu de provocation, qu’est-ce que ce serait chiant !
Alors voilà, deux choses à dire.
(1) D’abord, @Christophe, je suis scientifique d’âme et de formation, économiste à mes temps perdus. L’économie pour moi se résume à l’économie des filières (la meso-économie sectorielle comme par exemple le BTP ou l’agroalimentaire, ...) et ensuite la macro économie, mais à des niveaux assez généraux (taux d’intérêts, système monétaire).
Je déteste par dessus tout les économistes tels Michel Aglietta, incompréhensible, ou tous ces qui tentent de démontrer par des formules mathématiques l’évolution humaine, même à une échelle globale. ILS NE PROUVENT RIEN !!! ce n’est pas de la physique.
Quand je parle de stabilité, c’est celle CONSTATEE, des politiques économiques de tous les pays occidentaux, et pas celle analysée de son modèle (que personne ne connaît d’ailleurs, et même pas vous !).
D’accord, il y a régulièrement des accidents ici ou là, mais il faut quand même admettre qu’on a pas fait mieux pour le développement social et technologique de l’humanité que durant ces dernières années (en particulier, sortir de la misère tant de gens des pays d’asie).
Maintenant, je ne remets pas en cause la surpondération de certains des composants et leurs risques pour l’équilibre : l’hyper-liquidité, les dangers des biens non durables, etc. (la liste est longue).
Quant à vos -soi-disant- modèles mathématiques capables d’expliquer la viabilité d’une théorie économique, pardon mais si il y a bien quelque chose auquel je ne crois pas sur terre, même avant l’existence de Dieu, c’est bien ça ! Les vrais fanatiques aujourd’hui, ce sont les théoriciens de l’économie : plus ça va, moins on y comprend quelque chose.
(2) Ensuite, pour revenir au problème de fond : suis-je bien fondé à dire que les gaz à effets de serre n’en sont pas ? Et bien malheuresement oui, je le crois... et d’ailleurs je ne suis pas le seul (en fait, je n’ai rien inventé, bouhouhouhou). Connaissez-vous Claude Allègre ? (http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=6159)
Il ne faut pas croire les modèles et les théories du GIEC qui sont des climatologues (au mieux) et non thermodynamiciens, pire, des mathématiciens qui ne comprennent rien à la physique.
Certaines personnes (Al Gore pour ne pas le citer), ont naivement tirés partie de la corrélation qui existe entre les dérèglements climatiques et l’accroissement du taux de CO2 dans l’atmosphère, alors que la relation de cause à effet n’EST PAS ENCORE DEMONTREE.
Je ne suis pas un lobbyiste de la bagnole (je n’en n’ai même plus d’ailleurs, trop pénible à Paris), mais le problème du réchauffement climatique risque de nous détourner de la véritable raison. De plus, il nous contraint à agir collectivement, se substituant à d’autres concepts fédérateurs comme le nationalisme, la reconstruction, la peur, ... c’est de la manipulation de masse !
Le dérèglement climatique (qui est bien réel lui), n’a peut-être rien à voir avec le CO2 !
Nous ne sommes pas des boeufs.
Rédaction toujours aussi pompeuse, la moitié des paragraphes aurait été suffisante pour dire la même chose.
« ... donner du temps au temps et aux chercheurs en sciences sociales pour définir de nouveaux paradigmes... » Comme si ce n’était pas déjà assez compliqué comme ça ! Quel intérêt ?
Ahhh.... les fameux gaz à effet de serre... Qu’est-ce que l’effet de serre ? (celui qui fait référence à l’immondisme scientifique que représente le film d’Al Gore, sort !)
Juste une petite hypothèse : et si le CO2 n’était pas le responsable de nos problèmes climatiques ?
( une piste avec un raisonnement très compliqué : 1- on ne peut pas réchauffer un corps plus chaud sans compensation (2ème principe de la thermodynamique) 2- en altitude, il fait plus froid
Comment l’effet de serre peut-il donc fonctionner à l’échelle de notre planète ? Enigme ! )
Enfin, vu la quantité de carburants fossiles déjà consommés et surtout ce qu’il reste, ...
Bref, en l’absence de tout raisonnement scientifique valable, merci aux « chercheurs en science sociale » d’éviter de tirer des plans sur la comète, et d’essayer d’apporter des solutions de société à côté de la plaque. Il ne faudrait pas que le remède ne soit pire que le mal.
Le modèle économique dans lequel nous vivons est stable et fonctionne ! c’est juste que certaines composantes sont aujourd’hui disproportionnées (la libéralisation des échanges, l’hyper-liquidité, le manque de durabilité des biens, les injustices monétaires, ...) et feront de toutes façons, l’objet de corrections (si elles n’ont pas déjà commencées).
..................
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération