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Les commentaires de RougeNoir



  • RougeNoir 9 avril 2010 18:20

    Sans doute serait-il bon de maîtriser un sujet avant de l’aborder... smiley

    http://largument.over-blog.com



  • RougeNoir 3 mars 2010 01:02

    Qu’on laisse enfin les gens vivre, bon sang ! Qu’on leur foute la paix !



  • RougeNoir 3 mars 2010 01:02

     

    VIVE LA MALBOUFFE !!! Tellement plus savoureuse que toute ce forcing totalitaire nous obligeant tous à manger une feuille de laitue et un yaourt (0%). Perso, j’adore les hamburgers, même si je le reconnais, ceux de Quick ne sont pas les meilleurs, mais ils sont tout de même infiniment plus savoureux que le repas « équilibré » qu’on tente de nous imposer et les restrictions sur tous les produits de grande surface et dans pas mal de boulangerie (moins de sel, moins de calories, pas de sucre, pas de beurre. Cette dictature de la bonne bouffe, du « un esprit sain dans un corps sain », qui tente de faire marcher le monde entier au pas en en dérobant toute saveur et toute couleur, ici haro sur les graisses, là haro sur les fumeurs, on est en temps de guerre ou sous une dictature ??



    Marre de ces gens qui nous disent de rester minces, un esprit sain dans un corps sain, qui nous disent ce qui est admissible sexuellement, dans notre mode alimentaire, dans notre vie, à tout niveaux : ce qu’on doit ou non manger et pourquoi pas ce qu’on doit ou non faire, penser, dire... Ah non ? D’autres s’en chargent déjà ? Ah oui, c’est vrai ! Quel vent de liberté souffle sur le monde en ce moment !

    Marre de l’emmerdeur public qui nous crache son dégoût et son aigreur contre les hédonistes, contre ceux qui aiment vivre, et qui aiment se régaler par exemple devant un bon hamburger, des frites, du Coca (et pas seulement !)


    VIVE LES HAMBURGERS, VIVE LES FRITES, VIVE LES SODAS, VIVE LES TWIX, VIVE LES NUTS, VIVE LES SNICKERS, VIVE LES CLOPES, VIVE LES HOMOS, VIVE LES ARABES, VIVE LES NOIRS, VIVE LES JUIFS, VIVE LE SEXE, VIVE LE P2P, VIVE LA NEUTRALITE DU NET, ET MERDE AUX PETITS DICTATEURS QUI VEULENT NOUS EMPECHER DE VIVRE !



  • RougeNoir 17 février 2010 21:42

    Sauf que Hitler n’agissait pas contre la religion juive mais contre le peuple Juif. Il exterminait Juifs religieux comme Juifs non-religieux. Prétendre qu’il agissait par « laïcité antijuive » implique le déni de reconnaissance de l’existence du peuple Juif et criminalise dans le même temps la laïcité en la présentant comme le précieux outil d’Hitler. Alors que Hitler ne s’attaquait ni à la religion catholique, ni protestante ni bouddhiste, ni juive, etc... Mais aux personnes même athées du peuple Juif. Nuance de taille.

    Enfin, mettre en parallèle (et pêle-mêle trotskystes, léninistes, staliniens, castristes, guévaristes, maoïstes, etc... l’auteur ne s’embarrasse pas des différences majeures entre ces tendances) communistes (et usurpateurs) et nazis est très révélateur de l’intention de l’auteur, du message qu’il tente de délivrer derrière cette tribune d’apparence libérale (dans le sens réel du terme, pas dans le sens détourné par le système capitaliste). Présenter les deux idéologies comme criminelles. Alors que l’idéal communiste n’a rien de criminel mais par ses revendication progressistes, il a été l’outil d’usurpateurs voulant accéder au pouvoir (car la concentration des richesses du peuple dans les poches de l’Etat -comme en URSS- ou des multinationales -comme en Chine-, ce n’est pas du communisme mais du capitalisme d’Etat, l’idéologie communisme impliquant la répartition égales des richesses et la protection sociale du peuple (éducation, soins, toit).

    Gare aux usurpateurs, et plutôt que de condamner sans distinction de manière grossière « le communisme », documentez-vous sur celui-ci, comme on doit se documenter sur tout ce sur quoi on veut s’exprimer.



  • RougeNoir 12 décembre 2009 15:21

    Je crois que Damien Perrotin se trompe : les nationalistes ne se fourvoyent pas dans l’idée que la France est éternelle, au contraire. Ils la présentent comme menacée : valeurs qui se perdent, immigrés prêts à nous envahir et nous détruire par l’apport de leur culture et le métissage. C’est là-dessus où ils se fourvoyent. Ils perçoivent complètement la France comme proche de la fin de son existence et misent d’ailleurs sur cette crainte irrationnelle pour asseoir leur combat d’arrière garde. En fait, leur vision des choses n’est pas très éloignée de celle que développe Damien Perrotin dans son article tout en se présentant comme opposé aux nationalistes. Il les conforte dans l’idée qu’une personne internationaliste sait bien que la France risque de disparaître bien vite à cause de l’immigration ou à cause de l’islam (deux thèmes cauchemar pour l’extrême droite... ou la droite... Aujourd’hui la nuance a été pulvérisée et ces deux sensibilités politiques cousines germaines n’en font plus qu’une. C’est ce que l’on nomme « la droite décomplexée »). Les internationalistes situés à gauche ou hors scène politique au contraire n’agitent pas ce propos apocalyptiques de ce genre. Un pays ne disparait pas par l’arrivée d’immigrés. Nous ne sommes plus à l’époque des conquêtes ou des croisades sauf dans l’esprit de ceux dont l’idéologie est liée à la notion de conquête et d’impérialisme, de nation et de drapeau, CAD la droite (que je viens d’ailleurs d’évoquer plus haut). Et le danger ne vient alors pas de l’extérieur du pays (qui bien souvent a plusieurs métros d’avance en ce qui concerne les notions absurdes de nation, de frontières, d’autarcie, et prône le plus souvent l’international plutôt que le national. L’ouverture des frontière et la libre circulation des personnes (les personnes, ce que semble avoir malheureusement oublié l’UE dans son projet de "libre circulation des biens et des personnes").

    En gros, ce ne sont pas les déplacements migratoires qui constitue une menace mais bien ceux qui les perçoivent comme une menace. Et ceux-là sont à l’intérieur de nos pays.

    Damien Perrotin semble beaucoup tenir aux religions et cela n’est guère surprenant si l’on prend son article de mon point de vue. Cela concorde parfaitement ett cela semble même assez bien confirmer la compréhension que j’ai de celui-ci.

    Les religions dans la sphère publique reste un combat d’arrière garde de plus mené par la droite. La droite veut en bannir certaine mais en favoriser une, qui elle pourrait, au détriment des autres, s’afficher publiquement. Sarkozy s’est déjà rendu en cérémonie religieuse et fait le signe de croix, il a écrit le livre « Les Religions : L’Espérance », il entretient des liens étroits avec Benoît XVI et parle de la France comme « la fille ainée de l’Eglise ».

    Le combat mené par les laïcs de gauche est que toutes les religions aient une loi identique qui protège des guerres de religions en reléguant celles-ci (toutes, y compris le catholicisme) à la sphère privée.

    Ce n’est pas pour rien que les choses ont été établies ainsi.

    Là où le sujet sème la confusion, c’est que la droite s’en sert pour favoriser le catholicisme au détriment d’autres religions, et particulièrement de l’islam, traitées alors comme des religions de 2ndes zones... parce que pas françaises ? Mais le catholicisme est-il français, lui ? Et même s’il l’était, cela justifierait-il qu’on lui laisse une place qu’on refuse à d’autres ?

    J’ignorais que la tombe du père de Jésus était en Allemagne. Pour moi, Jésus est un mythe. Son père l’est donc aussi, tout autant que sa mère. Un mythe qui ne convainc que les religieux (facile étant donné qu’il leur est continuellement demandé de ne pas voir pour croire). Mais d’un point de vue religieux, j’avais toujours entendu dire que Jésus était Hébreu. Peu importe, en tous cas, il n’était pas Français.



  • RougeNoir 2 décembre 2009 16:33

    Chez les juifs religieux, une fausse viande existe déjà depuis belle lurette. Elle est à base de soja et d’arôme artificiel. J’en ai déjà goûté, pas terrible. Mais c’était certainement mieux que la merde en boîte qu’ils veulent nous sortir à base de bouillie de je ne sais trop comment qualifier ce... truc. En tous cas, alors que certains s’intoxiquerons avec ce poison industriel, moi, je continuerai de me rendre à la boucherie pour acheter de la viande, la vraie.



  • RougeNoir 30 novembre 2009 12:11

    Je sais que des personnes ne sont pas parties, je ne suis pas parti. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui manquait !

    Mais je comprends le coup de gueule de Marie NDiaye et je le respecte. C’est un bel exemple d’insoumission.



  • RougeNoir 30 novembre 2009 11:26

    Marie NDiaye a parfaitement raison, et je suis fier qu’enfin quelqu’un critique la politique cauchemardesque que la France mène depuis, au moins, l’arrivée de Sarkozy. Je suis outré que tant de coqs, les deux pattes dans la merde, prennent partie pour l’UMP et condamnent les propos de NDiaye comme le gouvernement le souhaitait. Partir, beaucoup l’ont envisagé lorsque Sarkozy a été euh... « élu » ? L’a-t-il vraiment été, d’ailleurs ? Critiquer, beaucoup l’ont fait après son élection. Mais rares sont les personnes qui sont parties, dégoûtées, écoeurées par un climat de merde en France et qui ont profité d’une couverture médfiatique pour faire connaître sa colère. Alors je dis BRAVO A MARIE NDIAYE ! Pourvu que plus de gens osent égratigner la France, celle-ci le mérite amplement et devrait se remettre en question au lieu de lyncher la première personne poussant sa gueulante contre le régime merdique qui détruit et aliène sa population chaque jour davantage !



  • RougeNoir 30 novembre 2009 11:14

    Ce qui est très amusant est qu’effectivement, on parle beaucoup d’engouement des foules pour se faire vacciner, mais on ne peut se fier qu’aux « bonnes » paroles des médias, d’habitude si prompts à utiliser essentiellement et majoritairement l’image. Là, aucune photos de ce phénomène de masse (comme illustration sur Yahoo, je n’ai vu qu’un petit vieux de dos, qui n’avait pas l’air très bousculé ou très bousculeur, il était seul sur la photo, et on ne sait même pas s’il se trouvait devant un centre de vaccination. Question : où sont passés les centaines de milliers de clichés, les heures de films, si chers aux médias, qui plus est dans des circonstances aussi exceptionnelles ? A moins que tout cela ne soit fabriqué... Les médias n’ont pas pu rapporter d’images car il n’y en a aucune.



  • RougeNoir 31 octobre 2009 05:13

    Moi, j’aurais bien une idée  : une société non pas basée sur la valeur marchande mais sur l’échange de service et la solidarité.

    Si j’ai des objets ou des connaissances qui peuvent aider quelqu’un je les lui donne et je sais qu’à mon tour, si j’ai besoin d’un objet ou d’une connaissance qu’il a, je lui demanderai. S’il ne peut pas me donner cet objet ou me transmettre cette connaissance, ce n’est pas grave : je m’adresserai à une autre personne qui pourra à son tour me demander quelque chose. Et ainsi de suite.

    Pas besoin d’argent, pas besoin de valeur marchande (type troc, ou autre). Juste de comprendre que tout le monde a à y gagner.



  • RougeNoir 29 octobre 2009 17:07

    Au lieu de la revoir, nous ferions bien de la relire, michelg !



  • RougeNoir 29 octobre 2009 15:14

    Jusqu’à quand infantilisera-t-on le peuple comme s’il était incapable de s’organiser et de se prendre en main ?



  • RougeNoir 29 octobre 2009 15:12

    Il est marrant, Jps, mais pour que le peuple ait du pouvoir, il faudrait déjà qu’il puisse agir et pour cela, il lui faut le pouvoir. Donc, dans les systèmes totalitaires où le pouvoir n’est pas entre les mains du peuple parce qu’il lui a été confisqué, bien souvent par des gens qui, au début, se prétendaient ses représentants, il est fondamental qu’il se le réapproprie par tous les moyens qui sont à sa dispositions, voire même par des nouveaux moyens et qu’il s’assure de ne pas le perdre à nouveau. Cela veut dire le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, et pour cela, tant qu’il ne l’a pas, il ne retrouvera pas sa souveraineté. Le peuple doit donc avoir le pouvoir sinon d’autres l’auront, des « représentants », qui s’en serviront contre lui et à leur profit, comme on le voit aujourd’hui dans beaucoup de pays dont certains se targuent de défendre des valeurs progressistes (si vous voyez ceux à qui je fais allusion). Donc oui, oui, oui, 1000 fois oui : le pouvoir au peuple ! T’as tout faux, Jps. Mais ton exercice de novlang, c’était bien essayé.



  • RougeNoir 15 août 2009 17:24

    Les moujaidin du peuple, en la personne du commandant Massoud, avaient demandé de l’aide à la France. Que les choses soient bien claires, je suis contre les interventions prétendûment libératrices faites dans des pays qui n’ont rien demandé. En Afghanistan, ce n’était pas le cas : le commandant Massoud avait demandé de l’aide à plusieurs pays, avant de repartir bredouille et d’être assassiné dans son avion. De plus, les attentats du World Trade Center étaient surtout prétextes à l’invasion, à la guerre et à la destruction de l’Irak dont personne dans la population n’avait été demander de l’aide à l’étranger.

    Donc quand l’auteur dit qu’il s’agît d’un conflit qui n’est pas le nôtre, ce n’est pas tout à fait vrai. Quand quelqu’un appelle à l’aide au nom de son peuple, il est inconcevable de ne pas intervenir. Là où l’on peut effectivement débattre c’est sur le mode d’intervention. La guerre est-elle la meilleure solution ? J’en doute. N’y avait-il réellement aucune autre possibilité ? J’en doute aussi. Mais intervenir pour aider un peuple qui appelle à l’aide, c’est parfaitement légitime et même indispensable.

    Maintenant, comprenons-nous bien : il ne s’agît pas de pourchasser Ben Laden qui n’est d’ailleurs certainement pas en Afghanistan, mais d’aider les Afghans à retrouver leur liberté confisquée par les Talibans.

    Si l’objectif est de traquer Ben Laden alors c’est cousu de fil blanc, et le but n’est pas d’aider les Afghans mais de s’implanter en Afghanistan, de coloniser le pays, car ce n’est pas pour lutter contre Ben Laden que Massoud est venu demander de l’aide et que Ben Laden, si les Etats occidentaux voulaient vraiment mettre la main dessus, cela aurait été fait depuis longtemps et sans aucune difficulté, et dans une discrétion efficace.



  • RougeNoir 15 août 2009 16:58

    Ca fait belle lurette que les micropuces existent. Il faudrait mettre à jour vos informations, Olivier Cabanel.... S’il ne s’agissait que de micropuces, on en aurait vite fait notre affaire. Non, il s’agît de nanopuces. Nous sommes à l’ère des nanotechnologies. La microtechnologie, c’était la technologie précédeant celle-ci et elle était bien moins dangereuse. Enfin, ce n’est pas elle qui est dangereuse, c’est ceux qui la détiennent.



  • RougeNoir 14 août 2009 19:36

    Ce qui est « amusant » avec Agoravox (en fait ce qui est réellement décevant), c’est qu’au début on nous demandait de voter sur un article pour savoir si on le trouve intéressant ou non, pas pour savoir si l’on est pour ou contre ce qu’il dit. Mais tout le monde (y compris moi) vote pour dire si on est pour ou contre les propos qu’il développe. Je viens de réaliser que cela peut s’apparenter à une forme de censure opérée par les internautes eux-mêmes. Il ne manquerait plus pour que cela soit bel et bien le cas que la présence de l’article sur le site soit conditionnée à l’évaluation de celui-ci.

    Pour moi, réagir sur l’aspect intéressant ou non d’un article revet d’autres appréciations bien plus objectives qu’être ou non en accord avec ce qu’il défend. Cela implique la qualité de présentation, de l’usage lexical, la qualité orthographique, de la pertinence d’une réflexion, de la qualité d’analyse, et de la qualité de résonnance du sujet traité (est-ce un sujet auquel on repense ensuite).

    Des changements, il y en a eu également pour l’évaluation des commentaires. Au début, on pouvait voter Oui ou Non, maintenant on ne peut voter que +1. Si on trouve le commentaire mal développé, ou ayant quelque défaut que ce soit, on ne doit rien faire, juste se taire au niveau du vote. Et si on l’apprécie, on peut voter +1.

    N’est-ce pas un peu déséquilibré ?

    Imaginez un peu : J’ai fait partie du LAP (le Lycée Autogéré de Paris), on votait chaque semaine (le mardi, si ma mémoire est bonne) les changements à apporter au lycée. On pouvait voter « Pour », « Contre », « Abstention » ou « Refus de vote ». (« abstention » signifiant « sans opinion » et « refus de vote » que le sujet était peu clair ou alors qu’on était en partie d’accord avec le projet, mais pas sur toute la ligne)

    Imaginez la réduction de l’expression démocratique si le seule vote possible aurait été « pour » un projet. « Que ceux qui sont pour lève la main » et basta.

    Imaginez un referendum type celui du 29 mai 2005 ou le seul billet que l’on pouvait glisser dans l’urne était un « Oui »...

    Etrange...



  • RougeNoir 14 août 2009 19:02

    Bien de ton avis, John McLane ;)) Excellent !



  • RougeNoir 14 août 2009 19:00

    70 % de femmes voilées dans ta commune ??? Es-tu sûr de ne pas avoir bu avant de les avoir comptées ?



  • RougeNoir 14 août 2009 18:58

    L’esprit de mai 68 ? Heureusement que certains l’aient encore. C’est ce qui nous protège de l’ordre puritain et chiant d’une classe conservatrice, puritaine et chiante, c’est cet esprit qui permet aux diversités en tous genre d’être, c’est ça le progrès, mon coco.



  • RougeNoir 14 août 2009 18:54

    Bravo, Benji27, pour votre article. Même si je ne souhaite pas que tout le monde soit infidèle avec tout le monde. Je suis plutôt pour que tout le monde reconnaissent et respectent la diversité des autres et la manière dont votre article a été saqué veut bien dire qu’une révolution sexuelle est à nouveau indispensable.

    Je sais qu’il existe des échangistes, des clubs échangistes, des partouzes et autres types de comportements classés « infidèles », mais le sujet reste néanmoins gênant pour beaucoup et les lieux sont discrets, voire cachés, ce qui veut bien dire ce que cela veut dire : l’infidélité n’est pas encore acceptée comme une forme normale mais différente de relation. Alors j’ai voté pour ton article.