@antiireac
En quoi sont-ce des clichés ?
Tout ce qu’il dit est vrai.
La natalité allemande est très faible. Sa population active diminue. Elle est obligée de faire venir des adultes déjà formés. Tout cela est avéré.
Pour la France également. Nous avons une démographie plus dynamique. Notre population active ne cesse d’augmenter.
Ce ne sont en rien des clichés, mais des faits avérés et précisément chiffrés.
@Yaurrick
Les 100 milliards dont vous parlez, à quoi servent-ils ? Les 40 milliards offerts, eux, sont volés aux travailleurs puisqu’ils sont en fait des baisses de notre salaire socialisé. (les fameuses cotisations sociales). Cela signifie donc, en réalité, une diminution des rentrées de notre système de santé, de nos retraites, de nos allocations familiales, etc.
Quant aux rentiers capitalistes, je ne partage pas votre analyse. S’il est vrai qu’au tout début, un capital est nécessaire, cela fait très longtemps que ce n’est plus le capital qui finance la production, mais bien l’inverse. Les entreprises financent plus les actionnaires que ceux-ci ne les financent.
Je vous invite à étudier notamment https://www.monde-diplomatique.fr/2010/02/LORDON/18789
Enfin, dans le système capitaliste actuel, il est une situation totalement inacceptable : ceux qui détiennent le capital, les riches donc, sont les seuls en réalité à pouvoir décider ce qui est produit, où, comment, et avec qui. Ils ont pouvoir absolu sur les autres, ceux qui n’ont pas de capital : les salariés, qui ne sont que de simples outils pour eux.
Bref, c’est tout simplement un système qui permet à certains, ceux qui ont le capital, de dominer et d’exploiter le travail de tous les autres pour leur principal profit, laissant juste le minimum de miettes nécessaires pour que ce système d’exploitation de l’homme par l’homme perdure.
Ce système est, en plus d’être inique du simple fait qu’un homme ne devrait jamais considérer un autre homme comme une marchandise, totalement anti-démocratique. Car il implique nécessairement que seuls ceux qui ont du capital, peuvent décider de ce qui se produit, où, quand, comment, dans quelles conditions, etc. Et plus ils ont de capital, plus ils ont ce pouvoir. C’est en fait une autre forme de suffrage censitaire, où plus vous êtes riches, plus vous avez de pouvoir.
Cela apparaît de plus en plus clairement quand on voit que les états ne cessent de laisser les coudées franches à ce capital, lui octroyant de plus en plus les moyens de nous dominer à sa convenance. Dans le language moderne, on parle de « libérer », de « déréguler », de « supprimer des carcans », etc.
Bref, je ne partage pas votre avis : le capitalisme est un gros mot, puisqu’il permet l’exploitation de l’homme par l’homme et la domination des puissants sur tous les autres. Dans ce cadre, l’entrepreneur est bien entendu un exploiteur.
Bien sûr, il y en a toujours qui ont un bon fond, qui respectent ceux avec qui ils travaillent, qui partagent correctement la valeur générée par le travail. Mais c’est loin d’être la majorité. Et, surtout, le problème majeur n’est pas qu’il y ait des entrepreneurs. C’est que le capitalisme lui-même est vicié, de par sa structure et son fonctionnement même, et nous mène à notre perte.
Il suffit pour cela de constater à quel point la destruction de notre environnement est massive et continue.
Cependant, rien n’empêcherait pourtant de penser autrement. C’est même un impératif de survie.
Comme quoi, filer plus de 40 milliards d’euros de cadeaux supplémentaires aux entreprises déjà surgavées de subventions en tous genres, dégommer les droits des travailleurs n’a strictement servi à rien d’autre qu’enrichir les rentiers capitalistes qui vivent sur le dos de ceux qui travaillent.
Et après, on s’étonne que la part du revenu national reversée aux travailleurs (les seuls qui, par leur travail, génèrent ce revenu pourtant), qui a perdu plus de 3 points depuis 1990. Et je vous épargne le nombre de points perdus depuis 1970.
Je vous laisse faire le calcul, en milliards, sur ce qui est spolié aux travailleurs pour alimenter les vampires capitalistes.
Mais cela ne semble toujours pas assez pour les libéraux tels TDK qui réclament toujours plus de précarité, toujours moins de salaires, toujours moins de droits pour les travailleurs, déjà bien faibles dans leur pouvoir de négociation.
En outre, ajoutons tout de même que ce n’est pas en cassant du salarié que le chômage va baisser. Cela fait longtemps que cela a été démontré.
Un excellent exemple est le Japon : meilleurs salaires, travail quasiment à vie dans les entreprises, et pourtant, seulement 2% de chômage.
@Et hop !
Croire que MLP va faire du social est un non-sens. Il suffit, pour s’en assurer d’examiner à la loupe tout ce que les députés FN ont voté que ce soit au parlement Français ou au parlement Européens. C’est simple : vous prenez les idées économiques de carnage social de Fillon, ils ont voté la même chose.
Certes, dans les paroles, ce n’est pas ce qu’elle dit, mais dans les actes concrets que l’on peut déjà observer, c’est tout l’inverse. Dit autrement, elle nous prend vraiment pour des jambons.
J’ai beaucoup de difficultés à comprendre où veut en venir l’auteur.
Que serait, selon l’auteur, un non-renoncement à la politique ? Qu’aurais-du faire Mélenchon, selon lui ?
Étrange conception de l’histoire. Si on reste sur votre analogie historique, le FN n’a strictement rien à voir avec la résistance et le CNR.
Le FN, c’était surtout Vichy et les collabos. Le pire de notre histoire. Notre honte absolue de français.
La parti soit-disant sociale du FN n’est qu’un habillage. Fondamentalement, ce parti reste fasciste. Il n’y a qu’à voir la galaxie de dangereux personnages qui tournent autour de Marine Le Pen (Chatillon, etc.) ou leur gestion municipale totalement antidémocratique.
Êtes-vous sérieux ?
Pourquoi une personne de gauche appellerait à voter Macron ? La gauche, c’est la défense contre l’exploitation salariale. Macron, c’est l’esclavagiste qui justement, veut commencer son mandat en défonçant le code du travail et, donc, en précarisant toujours plus, diminuant toujours plus les salaires, etc. Le travailler plus pour gagner mois.
Mais que l’on se rassure, la richesse supplémentaire ne sera pas perdue pour tout le monde. Les riches et les actionnaires, eux, vont engranger un max de fric grâce au sacrifice des salariés et des faibles.
Et vous voudriez qu’un homme de gauche vote pour ça ? Il y a des limites au masochisme…
Cher auteur,
je serais curieux de comprendre qu’est-ce qui peut vous pousser à voter Macron, alors que selon moi, son élection nous amènera à coup sûr à Le Pen en 2022.
Pourquoi ?
Simplement car Macron est le candidat parfait du système. Son programme ne vise qu’à précariser et écraser toujours plus les travailleurs, et à enrichir toujours plus les exploiteurs (entreprises, banques, rentiers). Bref, la même chose que tout ce qu’on a déjà bouffé depuis 30 ans et qui n’a fonctionné nulle part.
Enfin, si, ça a fonctionné : les inégalités ont explosées, les riches le sont de plus en plus, et les pauvres le sont également de plus en plus. Les travailleurs, eux, travaillent toujours plus et gagnent toujours moins, le partage de la valeur ajoutée a continué inexorablement de se modifier en faveur des actionnaires et possesseurs de capitaux, les services publics ont été abîmés partout, ce qui était rentable d’un point de vue purement financier a été privatisé, le reste laissé à la collectivité, la démocratie a été totalement confisquée et seuls les lobbys font aujourd’hui les lois.
La plupart des citoyens étant totalement ignorés, méprisés, déclassés, ils sont de plus en plus énervés et son prêt à voter Le Pen, quel qu’en soit le coût, seulement pour dégager toute cette clique de pourris qui nous enfume volontairement depuis des décennies.
Macron, lui, veut continuer sur cette lancée. Sa classe, les oligarques, écrase tout, et il entend bien perpétuer cela. Le fascisme est à nos portes. Lui et sa politique en portent la responsabilité.
Car entendons-nous bien : le problème n’est pas franco-français : il est généralisé à tous les pays occidentaux, tous ces pays qui ont pratiqué, à des degrés divers, la même politique que celle prônée par le banquier Macron.
Vous utilisez des mots étonnants.
Alternance ? Quelle alternance ? Son programme est le même que d’hab pour la droite, et le même, à quelques chouilles prêt, que celui que les traîtres faussement de gauche Hollande et Valls ont mis en œuvre.
Redresser ? Vous pensez sérieusement qu’en donnant toujours plus de pouvoir aux riches et aux rentiers, et en appauvrissant tous les autres, notre pays ira mieux ? Tout dépend ce que vous appelez redresser en fait…
Le programme de Fillon, on connaît déjà ses effets : suffit de regarder au Royaume-Uni ou aux États-Unis : des travailleurs pauvres en masse, des inégalités délirantes, des soins inaccessibles, une éducation de qualité réservée aux seuls riches, etc. Le rêve en effet…
Sérieusement… J’ai du mal à comprendre en quoi Macron, qui n’est rien que la continuité du système Valls/Hollande, de l’idéologie libérale qui nous a mené à l’ornière actuelle, puisse être un choix raisonnable.
Il est toujours aussi étonnant de constater que ceux qui ont amené notre monde au bord du gouffre, fait ressurgir la peste brune, en sont encore à se poser comme le dernier rempart. Si notre démocratie est en fin de course, c’est justement de leur faute. Ce sont eux qui l’ont détruite, en offrant le pouvoir aux oligarques et aux forces de l’argent.
Ce monde se meurt, c’est un fait. Le nouveau peine à naître. C’est indéniable. Que ceux qui ont tué ce monde soient encore vu comme la solution, en revanche, ça me dépasse.
De l’enfumage pur, cet article. Les derniers pics de pollution à Paris ont eu lieu alors qu’aucun déplacement de masse d’air conséquent n’a eu lieu depuis l’Allemagne.
En outre, je serais curieux que notre auteur si éclairé nous explique comment cet horrible air pollué par les allemands a eu l’outrecuidance de s’arrêter uniquement au dessus de Paris, et pas ailleurs. Quelle drôle de coïncidence…
Bref, c’est juste du n’importe quoi pour ne surtout pas regarder la réalité en face. Alors que cela fait déjà quelques siècles que notre civilisation prétend être rationnelle, il existe encore des individus dénués de tout lien à la réalité. Quelle tristesse et quelle honte.
@titi
Ces chiffres, seuls, n’expliquent strictement rien et ne disent strictement rien.
Un tout petit exemple : le budget de la justice est de 7 milliards d’€ par an. L’argent offert sans contrepartie aux entreprises, et donc aux actionnaires, 40 milliards d’€.
Ainsi, déjà, sur votre chiffre, vous serez donc heureux d’apprendre qu’une bonne partie sert à rémunérer les rentiers et les inactifs que sont les actionnaires. On est plus proche du socialisme à l’envers, que l’on pourrait également appeler plus correctement capitalisme.
Considérer la France libérale de 2017 comme une France socialiste décridibilise d’entrée de jeu votre article.
Et son contenu est effectivement à la hauteur de cette première erreur d’analyse : sans intérêt, tant le dogmatisme et l’idéologie suintent.
@Jeff84
Vos exemples sont probablement tout à fait vrais, mais n’ont aucune valeur autre que d’indiquer qu’il peut exister quelques cas où cela fonctionne. Ce ne sont que des exceptions, mais en aucun cas la règle.
Ceci étant, je vous invite plutôt à étudier les statistiques de près, ce qui est le seul moyen de connaître la réalité des faits. Le reste relève du mythe.
Je pourrais vous citer des exemples qui « prouvent » tout et leur contraire avec des cas particuliers.
Enfin, pour terminer sur votre considération du salarié, elle est là encore faussée. Vous généralisez quelques cas particuliers. Si ce que vous dites est vrai dans certains secteurs bien particuliers où il reste difficile de recruter et où les employeurs ne peuvent pas facilement se permettre de traiter leurs employés comme de la merde, c’est loin d’être le cas général. Sur ce sujet également, je vous invite plutôt à lire les très nombreuses études sociologiques parues sur le sujet.
Je comprends que vous ne voyez le monde que par le tout petit bout de votre lorgnette, mais vous ne pourrez pas le comprendre si vous en restez là. Vous ferez parti de ces béats qui n’ont pas compris pas comment les peuples peuvent voter le Brexit, haïr l’Union Européenne, ou élire Donald Trump.
Le libéralisme a fait énormément de mal au monde, et continue. Croire que le chacun pour sa gueule et le tout pour le fric comme seules valeur peut permettre de déboucher sur des sociétés où il fait bon vivre et où nous sommes heureux est pour le mieux naïf.
Les effets du libéralisme et de ses avatars nous ramène vers les abîmes du fascisme. Les extrêmes droites explosent partout en Europe. Aux U-S, elle a déjà gagné avec Trump, au R.U aussi avec le Brexit, et cela semble bien parti pour empirer. Ce système est gravement malade et nous tous en payons le prix.
@Jeff84
Par le simple truchement de la liberté d’entreprendre et du fait que l’on laisse quasiment tout à ces initiatives.
Ne peuvent entreprendre que ceux qui en ont les moyens, essentiellement financiers, mais également intellectuels.
Ne peuvent donc entreprendre que ceux qui sont déjà riches. Les autres devront au mieux se contenter de quelques miettes de micro-crédit.
Également, ne peuvent entreprendre que ceux qui ont le niveau intellectuel nécessaire, ou plutôt, devrais-je dire, ceux qui ont la formation nécessaire. Là encore, seuls ceux qui ont eu les moyens auparavant de se donner ces connaissances pourront le faire.
Les autres sont condamnés à rester les exclus et parias de la société, et d’en rester au statut de larbins de ces entrepreneurs déifiés.
Enfin, puisque seuls ceux qui ont déjà les moyens d’entreprendre peuvent décider de ce qui se fait dans notre société, cela renvient à confisquer la démocratie à leurs seules initiatives.
@Jeff84
Le libéralisme n’est pas la liberté. C’est le totalitarisme des riches sur les autres. Bref, pas de grande différence avec ce qu’il y a maintenant. La seule différence serait peut-être qu’actuellement, les esclavagistes qui dominent se servent de l’état pour s’enrichir et dominer encore plus, tandis qu’avec le libéralisme, ils ne pourraient guère s’en servir.
Mais, fondamentalement, ça reste la même chose : les riches dominent impitoyablement les autres pour le seul profit. Le bien commun est un mot vide de sens pour tous ces pourris qui n’ont d’humain que le nom.
@Jeff84
C’est là où les libéraux nous prennent pour de sacrés débiles.
La privatisation n’a jamais RIEN apporté de bon. Qui dit privatisation dit actionnaire parasite à rémunérer, donc, forcément, augmentation du coût. Sans même parler du fait que cela permet à des inutiles de gagner de l’argent alors que seul le travail de ceux qui produisent devrait le permettre.
Qui dit privatisation d’un service dit également forte réduction de celui-ci aux seuls aspects rentables. Le reste des services n’existera plus.
Qui dit privatisation d’un service dit vision à court terme seulement. La catastrophe de la privatisation des réseaux ferroviaires en grande-bretagne, des réseaux électriques aux États-Unis, sont quelques exemples de cette incapacité du privé à être utile à la société et à penser le long terme.
Qui dit privatisation de services dit qu’en fait, seuls sont qui ont de l’argent peuvent décider des services dont peut bénéficier une société. C’est donc une habile façon de contourner la démocratie et de s’assurer que seuls les riches et les dominants décident de ce à quoi ont droit les sans-dents.
En fait, il serait plus intéressant de poser la question inverse : qu’apporte à la société la privatisation d’un service ? Les services sont plus chers, réduits uniquement à ce qui est rentable, n’ont aucune vision à long terme, et ne se soumettent en rien à la délibération de la société. Tout, au contraire, est soumis aux seules puissances de l’argent et à ses critères.
La privatisation n’a pour seul objectif réel de permettre à une caste de privilégiés, riches et dominants, de conserver et d’affermir leur domination sur le reste de la société. Bref, le bon vieux renard libre, libre de dévorer qui il veut, dans le poulailler avec des poules libres, libres de se faire dévorer par qui elles peuvent.
@HELIOS
Votre « réalité » n’en est pas une. Toutes les études sur le sujet l’ont déjà démontré. Ce n’est qu’une croyance du même niveau que celle de toute religion.
Si le sujet vous intéresse réellement, documentez-vous. Lisez le travail des urbanistes et architectes, des études, et vous verrez que c’est bien plus compliqué que cela, et en même temps bien plus simple.
@Bruce Baron
Vous avez parfaitement raison et je partage votre commentaire.
Il est étonnant de voir que les rageux défendant la bagnole se déclarent défenseurs des pauvres, alors que la bagnole est hors de prix et coûte un bras et n’est même pas accessible aux vrais pauvres.
Il est indispensable de réduire la place de la voiture. La voiture est le cancer de nos villes. Elle prend bien trop de place ; elle est responsable de très nombreux morts, que ce soit par pollution (presque 50k par an), ou par accidentologie directe (5k par an), sans même parler de tous les estropiés à vie qui nous coûtent un bras ; elle rend la marche à pied, la pratique du vélo et tout autre mode de déplacement dangereux et désagréable. Bref, elle tue tout autour d’elle, que ce soit réellement ou symboliquement.
Ne parlons même pas de notre dépendance au pétrole générée par ce mode de déplacement, ni même de l’extrême pollution et le coût démentiel générés par la fabrication et l’entretien des voitures elle-même, mais aussi et surtout de toutes les infrastructures qu’elle nécessite (parking, parking souterrain, stationnement en surface, routes goudronnées, etc.).
Chaque parking est un parc en moins, une immeuble en moins, un lieu de rencontre et de vie pour les habitants en moins. Bref, un lieu mort.
En revanche, il est également tout aussi indispensable de repenser notre rapport à l’espace, et donc nos aménagements : c’est à dire faire en sorte que les lieux de travail, de vie, et de consommation ne soient pas très éloignés et ainsi que tout soit accessible à pied ou en vélo.
L’un des problèmes d’aujourd’hui est que, du fait justement de l’usage de la voiture, tout s’est très éloigné et spécialisé. De très nombreuses terres arables et fertiles ont été détruites pour la périurbanisation. C’est d’ailleurs « amusant » de constater que, de nombreuses personnes voulant fuir la ville, et essentiellement les insupportables nuisances de la voiture, vont donc à la campagne, et ainsi, augmentent en fait l’usage et la place prise par la voiture. Les autres font de même. Et ainsi, leur petit lopin de tranquillité devient lui aussi grignoté par la gangrène des nuisances automobiles.
C’est cette erreur majeure qui doit être corrigée en parallèle de la forte réduction de la place de la voiture.
Comment les propositions « Macron président » et « faire gagner la gauche » peuvent-elles être associées.
Macron n’est PAS de gauche. Une éventuelle victoire de ce riche banquier au service de l’argent serait une victoire de la finance, oui, mais pas de la gauche.
Le postulat de base de l’article étant déjà faux, ce texte ne présente hélas guère d’intérêt.
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