@Gilles Mérivac
merci de votre commentaire
arguments faibles parce que paradoxes apparents.
La menace de la démocratie par un groupe « déterminé comme vous dites, suppose donc qu’on le connaisse. N’y aurait-il pas là contradiction ? De plus, les lis existantes permettent la lutte contre ce genre d’agression, et comme vous le dites elles n’ont aucun besoin d’un état d’urgence qui n’amène rien de plus mais permet les dérives que j’ai citées.
Quant aux licenciements, ce »paradoxe" met pas mal de gens dans la rue, pour preuve l’augmentation annuelle continue des demandeurs d’emplois n’amène aucun courant d’embauches nouvelles, il suffit de consulter les études DARES très claires à ce sujet.i La peur des employeurs est un argument de confort..