@ l’Auteur :
Même si cela n’a rien à voir avec le fond de votre article, vous ne vous embarrassez pas de clichés, ni d’approximations :
« Quoi qu’il en soit, notre aventurier suisse (il réside là-bas pour la vue sur le lac et la qualité des chocolats) ... »
1° Mike Horn a aussi la nationalité suisse.
2° Il réside à proximité de Château-d’Oex, une région qui s’appelle « Le Pays-d’en-Haut », où résidait également feu le peintre Balthus. Ceux qui connaissent la région pourront témoigner, on ne peut pas vraiment dire qu’on y ait une vue sur le lac. On se demande lequel d’ailleurs ?
Toutes ces informations sont sur Wikipedia !
Bonjour l’auteur,
Une remarque :
« Pour l’Islam le problème est identique, mais encore plus complexe, il n’y a pas d’interlocuteur, comme le pape pour le christianisme. »
L’autorité du pape se limite aux seuls catholiques romains. Elle n’est pas reconnue par l’ensemble des chrétiens.
Par ailleurs, si le problème est plus complexe pour l’islam, ce n’est pas en raison de l’absence d’interlocuteur (chef spirituel), mais plutôt intimement lié à la nature même de cette religion dont la référence, le coran, ne peut être soumise à une exégèse, contrairement à la bible des chrétiens.
@titi
Ah voilà un fin connaisseur de ma région d’origine ...
Tout me laisse à penser que vous y travaillez dans l’une ou l’autre des enseignes « bling-bling » que vous citez ? Il faut bien pouvoir se payer son bout de Comté hebdomadaire à « La Fruitière » de la Grande-Rue à Morteau, pas vrai ?
Alors oui, la Suisse fabrique aussi du « bling-bling » mais ses habitants ne l’affichent pas avec ostentation.
" Comtois rends-toi, nenni ma foi
«
PS : Lors de votre prochain passage, soyez plus attentif à l’orthographe des localités : La Chaux-de-Fonds pas »la Chaux de Fond" !
@Séraphin Lampion
Ces propos sont de Jacques Séguéla, support de votre ancien Président Nicolas Sarkozy que je sache ?
Mais le bling-bling ne se limite pas au port ostentatoire d’une Rolex !...
@Fergus
Bonjour Fergus, Oui je connais un peu vos goûts gastronomiques pour avoir déjà échangé avec vous par le passé , entre « vieux de la vieille » sur ce site, si je puis m’exprimer ainsi. Bien cordialement !
@Séraphin Lampion
Deviendriez-vous raisonnable ? Merci pour ce moment de lucidité !
Pour les fromages, on s’en fout, nous en avons suffisamment. Quant au bling-bling, gardez-le, ce n’est pas dans l’ADN des Suisses !
Article de propagande, un de plus, sans aucun intérêt !
@Aita Pea Pea
Mais pas son matou ?
@Clocel
Question à la veille des élections européennes : comment construire l’Europe avec des gens qui tiennent de tels propos haineux à l’égard de l’Allemagne ?
C’est une honte !
@Giordano Bruno
" ... on pourra masculiniser des mots
...« Oui, exactement, par exemple :
Pour le masculin de sage-femme on dira un sage-homme, mais en tant qu’homme, chacun sait que la nature nous a rendus sages ...
Une proposition pour la féminisation du substantif »Assassin« , je propose »As à seins", ce qui rend l’individu(e) beaucoup plus humaine, abordable, tout en rondeurs, voire attrayante, presque sympathique. On progresse, on vit une époque formidable ...
@Fergus
Pour moi, la Basse Engadine est restée plus typique que la Haute Engadine, devenue trop touristique, qui plus est, un tourisme huppé, particulièrement à Saint-Moritz.
@Fergus
Bonjour Fergus et merci de votre commentaire !
Inscrit depuis de nombreuses années à AVox, je n’interviens qu’épisodiquement, lorsqu’on évoque la Suisse par exemple.
Bien à vous !
@amiaplacidus
Bonsoir !
Les textes législatifs sont effectivement tous traduits dans les trois principales langues nationales (allemand, français et italien). Pour le romanche, c’est un peu plus restrictif. Il est utilisé dans les relations entre le gouvernement fédéral (Conseil fédéral) et la population rhéto-romanche.
Les débats parlementaires sont traduits simultanément dans les trois principales langues nationales, mais dans une seule des deux chambres du Parlement, au « Conseil national » (l’équivalent de l’Assemblée nationale en France) qui comprend 200 membres représentant le Peuple.
Tel n’est pas le cas pour l’autre chambre, le « Conseil des États » qui représente les cantons, à raison de 2 représentants par canton. L’effectif de cette chambre est de 46. Il n’y a pas de traduction simultanée au « Conseil des États », chacun étant censé comprendre la langue de l’autre.
Concernant le bénéfice de 3 milliards de CHF dont vous parlez, c’est exact :
" En 2018, la Confédération a enregistré un excédent se chiffrant à
2,9 milliards de francs, alors qu’un montant de 295 millions avait été
inscrit au budget.
« Voir ici.
Et ici pour l’ensemble des finances publiques (Confédération, cantons et communes).
Concernant le »RIC« en France, mon propos n’est pas de prendre position dans un débat franco-français, mais de rappeler simplement que la pratique de la démocratie semi-directe s’exerce en Suisse sans interruption depuis 1848, sans problème particulier.
Il faut tout de même rappeler que les modèles institutionnels de la France et de la Suisse sont diamétralement opposés. Cette différence s’explique essentiellement par l’histoire des deux pays, plus que par leurs tailles respectives.
En France nous avons un système très centralisé où les départements et régions ne sont que des circonscriptions administratives dotées de peu de compétences décisionnelles et de ressources budgétaires limitées.
En Suisse, un système fédéral où les cantons sont de véritables petits états qui ont délégué un partie de leurs pouvoirs à la Confédération (l’État fédéral), selon le principe de la »subsidiarité« . Chaque canton est doté de sa propre Constitution, de son propre gouvernent et de son propre Parlement (monocaméral). Le pouvoir des cantons est très étendu (système scolaire, police, fiscalité, santé, etc.).
Pour conclure avec le »RIC« , je dirais que la Suisse n’a pas vocation à servir de modèle à la France. Toutefois et sous réserve d’aménagements constitutionnels, je ne vois pas pourquoi le »RIC" serait inapplicable en France, alors qu’il se pratique sans problème en Suisse depuis bientôt 200 ans. Les Français seraient-ils moins éclairés que les Suisses ? Pour ma part, je ne le pense pas ...
Cette forme de démocratie responsabilise beaucoup les citoyens en les associant aux décisions. Les nombreuses consultations électorales, à raison de quatre par année, provoquent des débats dans les médias, débats au cours desquels les idées et opinions de chacun sont confrontées, pour le plus grand bien de l’émulation civique.
Bonjour,
"Ce n’est pas le cas en Suisse. Car en Suisse, si deux pouvoirs sont en présence, ça ne sert peut-être à rien de les confronter : ils ne parlent peut-être pas la même langue.
«
Parler ici de deux pouvoirs n’a aucun sens. Les mettre en relation avec les langues nationales suisses, pas davantage !
La Suisse vit et connait ce qu’il est convenu d’appeler la »démocratie semi-directe« depuis 1848. Ce régime institutionnel n’oppose pas deux pouvoirs, il n’y en a qu’un seul. Ce que vous appelez le »RIC« en France se conjugue en Suisse en »droit d’initiative populaire« d’une part, en »droit de référendum« d’autre part. Ces droits cohabitent harmonieusement avec le système parlementaire bicaméral que nous avons en Suisse au même titre que celui que vous avez en France. Ils ne substituent pas au Parlement, ils le complètent.
Faire l’amalgame de ces »instruments institutionnels« avec les quatre langues nationales n’a aucun sens.
Par pouvoirs (au pluriel), il faut plutôt se référer à la définition de »l’Etat de droit« , notion commune à toutes les démocraties européennes, à la base duquel on trouve précisément la »séparation des pouvoirs" entre : Pouvoir exécutif, Pouvoir législatif et Pouvoir judiciaire.
Helvétiquement vôtre !
Excellent article, très fidèle à la réalité et très bien écrit !
@Bernard Grua
Vous avez parfaitement raison, la question linguistique n’est pas un facteur de crispation en Suisse où chacun respecte la langue de l’autre et s’adapte.
Le français est très peu pratiqué dans le vaste canton des Grisons où l’allemand, l’italien et le romanche sont les trois langues officielles. La répartition linguistique de ce canton se décline selon les vallées.
Vu de France, cela peut surprendre, mais il ne faut perdre de vue que la Suisse est un état fédéral qui compte quatre langues nationales (allemand, français, italien et romanche). Les cantons sont souverains pour les appliquer. L’instruction publique est de la compétence des cantons.
@ Bernard Grua
Connaissant bien le trajet ferroviaire que vous décrivez pour me rendre à Zernez, en Basse Engadine, au pied du Parc National, afin d’y pratiquer le ski de fond. Je vous félicite pour votre reportage très fidèle à la réalité.
J’attends avec impatience le deuxième épisode de votre voyage, de Tirano à Viège en empruntant le Glacier Express par la Col de l’Oberalp, Andermatt et le tunnel de la Furka.
Helvétiquement vôtre !
@McGurk
" [...] mais on ne s’offusque même pas de la connerie du « RIC » et de sa dangerosité extrême.
"
Pourriez-vous peut-être nous en expliquer les raisons et développer un peu vos propos péremptoires ?... Merci !
« Le RIC est totalement inadapté à une population divisée et individualisée où ethnicisée. »
Pourquoi le RIC serait-il inadapté ? Votre affirmation mériterait quelques explications et un développement.
L’auteur écrit :
" Il n’y a pas de MATRICE, pas de plan (sinon une vision « tarte à la crème »)
«
Certes, mais cette matrice dont vous parlez, ce ne peut être que la Constitution elle-même. Il apparaît toutefois clairement que la Constitution actuelle de la Vème République est totalement inadaptée à cette notion de R.I.C.
Pour changer les choses je ne vois que l’élection d’une assemblée constituante chargée de rédiger une nouvelle Constitution. Or cette prérogative appartient au Président de la République. Reste à définir le mode d’élection de ce cette assemblée constituante ...
Pas de »tarte à la crème", mais beaucoup de pain sur la planche ...
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