Une fois admis ce que chacun cherche dans l’autre,
soit :
pour l’une : ce qui est dans l’autre, et pour l’autre : ce qui n’y est pas,
il y a moyen, effectivement, que les deux vivent librement.
Je m’arrête au titre, au fait que celui qui parle est un homme,
et qu’il pose la question de ce qui peut faire d’un homme un homme libre,
et qu’il fait dépendre cela de quelque chose qui concerne les femmes.
J’ignore ce qui a poussé l’auteur-femme de l’article à choisir cet extrait du discours de Ferry,
mais je note que « homme » est mis à l’honneur ; ça à l’air de rien, mais à une époque où,
peopolisation aidant, on est abreuvés de discours où les hommes
ne sont plus appelés que « les garçons »,
ça fait une différence.
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