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Les commentaires de kataroff



  • kataroff kataroff 9 novembre 2012 12:40

    +1 



  • kataroff kataroff 11 octobre 2011 03:41

    Et il a bien raison le Benjamin. La police n’est pas secrete, et n’a pas tous les droits. Si elle peut nous ficher et nous filmer, alors nous aussi.

    Ca vous embete la liberté d’expression, hein ? Vite, vite la censure !

    No pasarán !



  • kataroff kataroff 27 août 2011 00:05

    Surtout que l’endettement est un impôt différé et illégitime, qui permet à l’état de se passer de l’accord de ses citoyens.



  • kataroff kataroff 23 mai 2011 18:05

    Le faux monnayage est du faux monnayage que ce soient des banques privés ou que ce soit la banque de France, de la BCE ou de l’ordre de la Banane Magique.

    Et l’inflation est un impot déguisé, tout le monde se fait « enfler ».



  • kataroff kataroff 21 mai 2011 22:50

    Vous oubliez de dire que la capacité du secteur privé à créer de l’argent est limitée, et contrôlée par les Banques Centrales, qui enflent joyeusement. Et ça change tout.



  • kataroff kataroff 20 mai 2011 21:13

    Mon cher Ulysse, avez-vous même lu Keynes ?

    Les idées de Keynes



  • kataroff kataroff 19 mai 2011 20:50

    Vous appelez ça des libéraux ? Faudrait voir à se mettre d’accord sur les termes, sinon on aura du mal à se comprendre.

    Le système actuel est très loin de la doctrine libérale classique, que je vous invite à découvrir.



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 17:11

    D’ailleurs ce roi est un grand magicien : il exerce son empire sur l’esprit même de ses sujets ; il les fait penser comme il veut. S’il n’a qu’un million d’écus dans son trésor, et qu’il en ait besoin de deux, il n’a qu’à leur persuader qu’un écu en vaut deux, et ils le croient.
    Si il a une guerre difficile à soutenir, et qu’il n’ait point d’argent, il n’a qu’à leur mettre dans la tête qu’un morceau de papier est de l’argent, et ils en sont aussitôt convaincus.
    Il va même jusqu’à leur faire croire qu’il les guérit de toutes sortes de maux en les touchant, tant est grande la force et la puissance qu’il a sur les esprits.

     Montesquieu, 1721



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 16:52

    Oh ! pardonnez-moi, écrivains sublimes, que rien n’arrête, pas même les contradictions. J’ai tort, sans doute, et je me rétracte de grand coeur. Je ne demande pas mieux, soyez-en sûrs, que vous ayez vraiment découvert, en dehors de nous, un être bienfaisant et inépuisable, s’appelant l’État, qui ait du pain pour toutes les bouches, du travail pour tous les bras, des capitaux pour toutes les entreprises, du crédit pour tous les projets, de l’huile pour toutes les plaies, du baume pour toutes les souffrances, des conseils pour toutes les perplexités, des solutions pour tous les doutes, des vérités pour toutes les intelligences, des distractions pour tous les ennuis, du lait pour l’enfance, du vin pour la vieillesse, qui pourvoie à tous nos besoins, prévienne tous nos désirs, satisfasse toutes nos curiosités, redresse toutes nos erreurs, toutes nos fautes, et nous dispense tous désormais, de prévoyance, de prudence, de jugement, de sagacité, d’expérience, d’ordre, d’économie, de tempérance et d’activité.

    Frédéric Bastiat, 1848



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 16:49

    "Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde : je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d’eux, retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres : ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine ; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d’eux, mais il ne les voit pas ; il les touche et ne les sent point ; il n’existe qu’en lui-même et pour lui seul, et s’il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu’il n’a plus de patrie.

    Au-dessus de ceux-la s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages ; que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ?

    C’est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu a peu chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. L’égalité a préparé les hommes à toutes ces choses : elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait.

    Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation a n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.

    J’ai toujours cru que cette sorte de servitude, réglée, douce et paisible, dont je viens de faire le tableau, pourrait se combiner mieux qu’on ne l’imagine avec quelques unes des formes extérieures de la liberté, et qu’il ne lui serait pas impossible de s’établir a l’ombre même de la souveraineté du peuple."

    Alexis de Tocqueville, 1840



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 16:04

    "Lorsque je songe aux petites passions des hommes de nos jours, à la mollesse de leurs moeurs, à l’étendue de leurs lumières, à la pureté de leur religion, à la douceur de leur morale, à leurs habitudes laborieuses et rangées, à la retenue qu’ils conservent presque tous dans le vice comme dans la vertu, je ne crains pas qu’ils rencontrent dans leurs chefs des tyrans, mais plutôt des tuteurs. Je pense donc que l’espèce d’oppression dont les peuples démocratiques sont menacés ne ressemblera à rien de ce qui l’a précédée dans le monde ; nos contemporains ne sauraient en trouver l’image dans leurs souvenirs. Je cherche en vain moi-même une expression qui reproduise exactement l’idée que je m’en forme et la renferme ; les anciens mots de despotisme et de tyrannie ne conviennent point. La chose est nouvelle, il faut donc tacher de la définir, puisque je ne peux la nommer."
     
     Alexis de Tocqueville, 1840



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 15:59

    ¡No pasarán ! 



  • kataroff kataroff 18 mai 2011 01:00

    Vous confondez argent et ressources. L’argent n’est qu’un moyen d’échange pour obtenir des ressources bien réelles, comme de la nourriture, un logement, des services...
    C’est bien pour ça que tout le monde en veut. Si personne n’en voulait, on ne pourrait pas l’échanger. Si il n’y en avait pas, les gens désireraient toujours des ressources.



  • kataroff kataroff 17 mai 2011 06:19

    Pour une fois je suis tout à fait d’accord avec vous Mr Santi. Le monde irait drôlement mieux sans les fallacies de Keynes et avec un marché vraiment libre.
    Les banques centrales sont faites pour financer ces déficits permanents en volant l’argent des citoyens, et ne peuvent qu’être abusées.
    Elles finiront par tomber, comme les précédentes.



  • kataroff kataroff 7 mai 2011 20:46

    Il ne faut PAS l’augmenter, cela s’appelle du faux-monnayage.



  • kataroff kataroff 7 mai 2011 20:07

    Si on double la quantité d’argent dans chaque porte-monnaie, personne n’est plus riche au bout du compte. Vous confondez monnaie et richesse. La création monétaire est un mécanisme de redistribution de richesse (inique je suis d’accord), qui est evidemment incapable d’en créer.



  • kataroff kataroff 7 mai 2011 20:03

    A l’auteur

    Votre citation de Frédéric Bastiat est biaisée car il s’agit d’une démonstration par l’absurde. Souhaitez-vous vraiment baser une partie de votre argumentation sur un SOPHISME économique ?

    Un peu plus bas dans le texte original on peut lire :

    "L’homme produit pour consommer. Il est à la fois producteur et consommateur. Le raisonnement que je viens d’établir ne le considère que sous le premier de ces points de vue. Sous le second, il aurait conduit à une conclusion opposée. Ne pourrait-on pas dire, en effet :

    Le consommateur est d’autant plus riche qu’il achète toutes choses à meilleur marché ; il achète les choses à meilleur marché, en proportion de ce qu’elles abondent, donc l’abondance l’enrichit ; et ce raisonnement, étendu à tous les consommateurs, conduirait à la théorie de l’abondance !

    C’est la notion imparfaitement comprise de l’échange qui produit ces illusions. Si nous consultons notre intérêt personnel, nous reconnaissons distinctement qu’il est double. Comme vendeurs, nous avons intérêt à la cherté, et par conséquent à la rareté ; comme acheteurs, au bon marché, ou, ce qui revient au même, à l’abondance des choses." F. Bastiat



  • kataroff kataroff 7 mai 2011 19:26

    « Personne n’a l’obligation de payer cette dette, parce que cette dette a été accumulée à travers un fonctionnement vicieux du marché. »

    Et ce fonctionnement vicieux a été causé par l’irresponsabilité, la corruption, et l’interventionnisme de l’état grec :

    "On a fait des dépenses somptueuses, tout à fait exagérées, payées par la population grecque, parce que pour rembourser les dettes contractés pour réaliser ses jeux olympiques, on utilise une grande partie des impôts payés par les citoyens grecs."

    George Voulgarakis, ministre des finances (Interviewé avant les jeux Olympiques d’Athènes) : « Nous avons dépensé des sommes considérables, le double de ce qui a été dépensé à Sydney. Le cout final ne sera connu qu’a la fin des jeux Olympiques. »

    « Avec les transactions de swaps effectuées en 2001, le gouvernement a hypothéqué l’avenir afin de maquiller le présent  avec un bien meilleur bilan factice. »

    "Dans la situation grecque, effectivement, comme le parti de la Nouvelle Démocratie (droite) ou le Pasok (socialiste) ont bénéficiés eux-mêmes d’avantages en endettant le pays depuis une quinzaine d’années, il est certain que ces partis voient très mal de faire un audit car leur responsabilité va être démontrée aux yeux du public."

    On retrouve donc des dépenses somptuaires à crédit, probablement mêlées de copinages et de financements occultes, de la fraude, et des abus de biens sociaux. Ce serait trop facile de blâmer uniquement le système financier, et à travers lui le secteur privé, car une grande partie de ces dettes a été monétisée par la BCE dont les plus gros actionnaires sont la Bundesbank allemande (19%) et la Banque de France (14.2%), suivis par la Banca d’Italia (12.5%). La Grèce possède moins de 2% du capital.

    Or monétiser la dette signifie un achat direct par la BCE d’obligations grecques souveraines, payé avec un chèque sur elle-même, et qui rapporte des intérêts. Ces intérêts passent en fin d’année dans la colonne ’bénéfices’ de la BCE et sont partagés entre les actionnaires.

    A travers les taux directeurs, les ratios de réserve et les ratios prudentiels de Bâle, la BCE contrôle l’expansion et l’effet de levier du secteur financier, qui collabore volontiers à ce vol organisé car ces privilèges monétaires et autres bailouts permettent d’immenses profits couplés à un risque limité.

    La monétisation de ces montagnes de dettes est accompagnée de sa corollaire, l’inflation (alors que le mandat de la BCE est soi-disant de lutter contre), et d’ailleurs il suffit d’aller faire les courses pour s’en apercevoir.
    D’ailleurs récemment la BCE a demandé une augmentation de ses fonds propres (actuellement de 5.2 milliards d’euro à mettre en relation avec les 1900 milliards d’euros de sa balance sheet et toutes les opérations ’hors-bilan’ dont fond de soutien Européen), car un effet de levier important accroît les risques de faillite technique.

    Alors on peut blâmer les spéculateurs, l’augmentation de la demande mondiale, les mauvaises récoltes, la conjoncture ou les sorcières pendant que les vrais coupables restent dans l’ombre et tirent les ficelles.

    Dénoncer les dettes illégitimes serait une bonne chose, si le peuple ne souhaite plus être le dindon de la farce. il faut aussi garder à l’esprit que l’inflation et la dette sont des moyens de s’approprier des ressources sans l’accord du peuple, contrairement à l’impôt, ce qui contribue à l’indépendance financière de la classe politique vis-à-vis de ses électeurs, ce qui est mauvais pour la démocratie.

    Le dormeur doit se réveiller !



  • kataroff kataroff 26 avril 2011 16:06

    Les loups et les vampires sont nos hommes politiques.

    Non, tous les systemes ne sont pas equivalents, cela depend de vos valeurs.

    Pour moi la liberte est une valeur primordiale, absolue. Mais la liberte n’est pas illimitee, elle s’arrete ou commence celle des autres.

    Le monde ou nous vivons n’est pas liberal, encore moins ultra.

    Le vrai liberalisme est plus respectueux de la personne humaine que n’importe quel socialisme autoritaire, aussi bien intentionne soit-il, car pour faire le ’bien’ des gens malgre eux il faut adherer au dangereux principe ’ la fin justifie les moyens’, et faire passer les valeurs en arriere-plan.

    Or un principe est applique ou non, pas partiellement. On a la liberte d’expression ou on ne l’a pas. L’avoir en partie, dans certains domaines n’est pas du tout la meme chose.

    Si meme les clauses du contrat qui nous lie tous (la Constitution) deviennent transgressables allegrement en fonction des circonstances et des (toujours nobles) buts a atteindre, en realite le contrat n’existe plus.

    La route de l’enfer est litteralement pavee de bonnes intentions.



  • kataroff kataroff 18 avril 2011 15:31

    "Chaque industrie, chaque secteur d’activité devra disposer d’un organisme de contrôle et de régulation des prix, le plus neutralisé possible, le législateur estimera quels seront les produits et les secteurs industriels concernés par cette régulation équilibrante, en concertation avec les corporations."

    Et le legislateur distribuera ses quotas et taxes douanieres avec impartialite et justice, pour le bien de tous, et tous les problemes s’en iront...

    Plus serieusement, ca se rapproche de la definition de wikipedia du fascisme :

    Au sens strict, le terme désigne le mouvement politique fondé par Benito Mussolini, ainsi que le régime qui était en vigueur sous la monarchie italienne quand Mussolini était au pouvoir, de 1922 à 1945. Adversaire de la démocratie, du parlementarisme, de l’individualisme, de la société libérale héritée du XIXe siècle, du capitalisme et de la liberté économique2,3, du socialisme4 et du marxisme[réf. souhaitée], le fascisme mussolinien est autoritaire, nationaliste, a recours à la violence et ne croit pas à l’égalité des êtres humains[réf. nécessaire]. Ce sens strict est notamment utilisé par les historiens de l’Italie.

    Au sens large, le terme fascisme a pris un sens générique. Il s’est étendu à tout mouvement politique s’appuyant sur un pouvoir fort, les métiers organisés en corporations, l’exaltation du sentiment nationaliste, le rejet des institutions démocratiques et libérales, la répression de l’opposition et un contrôle politique extensif de la société civile. Le nazisme s’est en partie inspiré du fascisme.

    PS : je parle uniquement des idees bien entendu