@yungmi : Une chose est certaine à vous lire, c’est que vous n’avez jamais étudié le problème des vaccins, ni des années, ni des mois ni des semaines pour affirmer pareille chose...
Il n’est pas question de croire ici mais de savoir. De un. De deux, le fait de « supporter » en apparence une vaccination précédente n’est aucunement une preuve qu’une même vaccination ultérieure ne puisse pas constituer, à la manière d’une « goutte d’eau qui fait déborder le vase » le facteur décisif d’une maladie chez un individu donné, sans toujours tout essayer de remettre sur des spécificités génétiques. Quand on voit les chiffres effarants des effets secondaires graves de vaccins (3% !dans les essais cliniques du vaccin Prevenar soit bien + que les complications naturelles possibles de la maladie au plan statistique ; 3 MILLIARDS de dollars versés aux victimes de vaccins aux USA depuis 1986 alors que 2/3 des plaintes sont rejetées d’emblée et que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont officiellement comptabilisés selon des revues médicales officielles), on ne peut que se rendre compte de l’aberration qu’il y aurait à vouloir blanchir les vaccins en mettant à chaque fois tous les cas graves sur le dos de « particularités génétiques » qui seraient alors si nombreuses qu’elles en deviendraient tout bonnement insignifiantes ! C’est un peu comme la volonté qui s’est avérée vaine de mettre le développement de l’autisme sur le compte d’un gène et on a fini par en trouver tellement que la notion de « gène de l’autisme » s’est effondrée d’elle-même. La vérité est que les composants toxiques des vaccins ne font du bien à aucune cellule d’aucun organisme humain. Aller demander aux corps des gens de s’adapter à des vaccins est une bêtise absolue, cela revient à niveler par le bas la santé publique au nom du profit et les prétendus efforts futurs en vue de faire des « vaccins plus personnalisés » constituent une autre illusion de taille étant donné que toute vaccination opère un véritable court-circuitage des mécanismes immunitaires qui ont été prévus et arrêtés comme les plus sûrs et les plus efficaces par des millions d’années d’évolution biologique (voie cutanée ou muqueuse pour la pénétration des microbes dans l’organisme et pas une injection qui court-circuite toutes les étapes prévues)
Troisièmement, quand vous écrivez « est ce que il à reçu ses vaccins en totalité ? tels que le tetravac BB ! si oui comment avait t’il réagi ? fièvre ou pas ! ce qui permet de connaitre la résistance de l’enfant face aux vaccin . », vous montrez vraiment que vous n’avez pas étudié ce sujet très attentivement sinon, vous sauriez qu’un enfant peut parfois réagir violemment (avec ou sans fièvre !) à un vaccin et devenir handicapé à vie après une troisième dose par exemple là où certains enfants qui n’avaient jusque là jamais mal réagi peuvent par exemple mourir après une première ou une deuxième dose. Les vaccins ne sont pas comparables, un vaccin tetravac n’est pas un ROR. Les seuls points communs, c’est que ce sont -comme tous les autres- tous les deux des vaccins expérimentaux car leur évaluation est scientifiquement biaisée (faux placebos, pas de tests sur le potentiel cancérogène, mutagène, pas d’analyse pharmacocinétique, temps d’évaluation trop bref) et qu’ils sont tous les deux toxiques et suffisants pour pouvoir estropier et handicaper des enfants jusque là parfaitement sains. La vaccination est un véritable terrorisme sanitaire : ses ravages sont certains mais ce qui ne l’est pas c’est la détermination de ceux à qui elle brisera la vie pour toujours,... les effets secondaires graves des vaccins sont nettement plus fréquents qu’on le dit, ils sont certainement plus élevés que les complications graves des maladies naturelles or toute personne vaccinée n’aurait pas forcément fait la maladie et si elle l’avait fait, n’aurait pas forcément subi une complication grave !
@radmo : vous ne croyez pas si bien dire. les pédiatres injectent même en routine Prevenar 13+ Infanrix hexa dans une même consultation « car officiellement recommandés d’en haut » MAIS selon des documents confidentiels de Pfizer publiés sur notre site internet, tant le fabricant que les autorités sont bien au courant qu’administrer ces deux vaccins en même temps multiplie pourtant par 3 le risque d’effets secondaires neurologiques. Ils le savent mais continuent de recommander cette combinaison. Etrange pour des gens qui disent vouloir « améliorer la santé publique » n’est-ce pas ?! quand on sait que la France compte 640 000 autistes dont 180 000 chez les jeunes de 0 à 19 ans, et encore on ne parle ici même pas de tous les autres effets neurologiques : encéphalites, épilepsie, convulsions, scléroses en plaques etc etc...
Pour répondre à Marvinbear : la vaccination était très loin d’être généralisée ou fréquente avant 1983 contre la rougeole.
Le graphe concerne en effet la mortalité et le nombre d’infections, tout à fait, nous sommes d’accord là-dessus. Mais ce que vous oubliez de souligner est que c’est la mortalité le paramètre le plus important, quand la mortalité baisse, statistiquement parlant, la gravité de la maladie baisse généralement en proportion aussi. Donner l’illusion qu’en vaccinant tous azimuts on réduira « les complications » à zéro est une vue de l’esprit puisque, ce cas et bien d’autres le montrent, on ne peut pas éthiquement mettre les complications du vaccin sous le tapis. Pour les enfants touchés, ceux qui font par exemple une encéphalite, cela leur est complètement égal que l’encéphalite ait été causée par la rougeole ou le vaccin, c’est le résultat qu’eux et leurs parents vivent dans la douleur. En vaccinant, on a réduit la fréquence de circulation du virus, mais la question (que vous éludez évidemment totalement) c’est surtout A QUEL PRIX ? Et la forcément, pour que vous puissiez maintenir que le vaccin est ce qu’il y a de mieux, il est incontournable que vous niiez ou minimisiez l’ampleur des risques. Réduire la fréquence de l’infection juste « pour ne pas être malade » est une attitude simpliste et immature compte tenu que le vaccin peut lui-même rendre malade ! Ce qui compte, c’est de rappeler que la vaste majorité des infections rougeoleuses des enfants des pays industrialisés sont bénignes (un rappel qui déplaît à l’establishment car il fait alors ressentir aux gens le vaccin comme moins incontournable). Traverser la rue est un risque, tout est un risque. Eliminer toutes les maladies est une utopie dangereuse qui ne peut qu’amener d’autres maladies encore plus graves et « le retour de bâton » épidémiologique, comme on le voit notamment avec la rougeole, les oreillons, la coqueluche, etc, c’est à dire le déplacement de l’âge de survenue de la maladie naturelle vers des âges où les complications sont proportionnellement plus graves encore !
Dans l’introduction du livre du si décrié Wakefield, le Dr Fletcher, ancien officiel britannique de l’agence des médicaments reconnaît lui-même que si ça avait tenu à lui, il n’aurait pas octroyé une AMM au vaccin ROR sur base des études cliniques soumises par les fabricants parce que celles-ci portaient sur un nombre beaucoup trop faible de sujets et qu’ils étaient suivi sur un laps de temps beaucoup trop court. Voilà qui devrait faire réfléchir les plus obstinés. Et pour les autres, tant pis à la fin !
Du neuf concernant ce dossier, le 25 juin dernier, le Dr Jean-Jacques Avrane de l’Ordre des Médecins de Paris (en charge des plaintes) nous a répondu par mail qu’il était nécessaire de faire parvenir la plainte par voie postale, ce que nous avons fait via un recommandé avec R par sécurité, et aussi d’indiquer les manquements déontologiques que nous reprochons. Voir ici ce courrier complémentaire avec les manquements déontologiques du gynécologue Dr Joseph Monsonego.
Voir ici l’interpellation par le député Ecolo Patrick Dupriez de la Ministre belge Laanan qui se dit déçue du faible taux de vaccination HPV dans le cadre scolaire (le gouvernement auquel elle appartient a acheté des vaccins Cervarix à GSK pour une durée de 4 ans)
Bonjour Lulupistrelle, merci pour votre témoignage, ce genre de témoignage ne nous étonne guère hélas....
nous préparons justement une lettre commune contre la désinformation des médias sur les vaccins HPV. Aussi, si vous souhaitez vous joindre à la liste des signataires, n’hésitez pas à nous écrire au mail de contact qui se trouve sur notre site : http://www.initiativecitoyenne.be
Chose intéressante également et qui vient aussi d’être publiée sur les sites anglophones, c’est cette autre proposition de loi d’une députée américaine de l’état du Maine qui prévoir l’obligation pour les professionnels de santé de révéler aux parents la liste complète des composants des vaccins ainsi que l’obligation de leur révéler leur droit de refuser quel que vaccin que ce soit pour des raisons religieuses ou philosophiques, plus d’infos à ce sujet ici :
http://www.initiativecitoyenne.be/article-perspective-d-une-nouvelle-transparence-une-proposition-de-loi-americaine-pour-informer-les-parent-117677535.html
Vous avez parfaitement raison, mais ce n’était pas du tout notre but d’essayer de montrer que le vaccin n’a aucun impact sur la maladie ! Vous avez mal lu notre article si vous pensez ca. Le vaccin diminue la circulation du virus, cette vaccination-là en tout cas, nous ne le nions pas. En revanche, ce graphe montre un élément fondamental : que la mortalité était tout à fait faible AVANT l’arrivée du vaccins dans NOS pays et ce, précisément grâce à de bonnes conditions de vie, contrairement aux pays plus pauvres. N’est-ce pas là un superbe indice qu’il est nettement plus sûr, plus utile et plus d’urgent, d’inonder ces populations d’aliments sains et d’eau potable plutôt que de vaccins ? On vous laisse réfléchir à ce sujet mais dans un contexte où il n’y a soi-disant pas d’argent pour tout, il s’agit d’une inversion tout à fait criminelle des priorités logiques et de simple bon sens !!
Quand on voit que des maladies comme la lèpre, la peste, etc ont disparu de nos régions sans vaccin, ça devrait faire réfléchir. Maintenant, pour répondre au deuxième volet de votre question : il est clair que la rougeole n’est pas toujours mortelle, loin s’en faut. Mais quid alors du risque grave d’effets secondaires associé au vaccin pour éviter (sans garantie de robustesse de la protection dans le temps) une maladie statistiquement bénigne ? Tour ça pour éviter aux parents de devoir prendre quelques jours de congé pour garder les enfants malades ? C’est cher payé comme type de « troc » aux yeux de certains...
NB : la mortalité est un incide beaucoup plus fiable que la morbidité pour évaluer les prétendus bénéfices des vaccins. Selon l’INED, l’impact des vaccins est tout à fait modeste dans la réduction de la mortalité des maladies infectieuses dans les pays développés.
NB : en copiant-collant les liens de documents hébergés sur notre site juste ci-dessus il y a un double tiret qui s’est mis d’office, cela vous renverra donc à une page « erreur 404 »,
merci alors de cliquer sur ces quatres liens et de nous dire si ça s’ouvre ou pas :
document 1
document 2
document 3
document 4
Merci Lionel !
Petite question à vous et aux autres, pouvez-vous simplement tester et voir si ces documents suivants s’ouvrent :
http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/dec-2011/Livre-ancien-sur-la-vaccination—Coderre.pdf (celui du livre, déjà mentionné dans cet article supra) ;
http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/Pharmacovigilance-des-vaccins—Afssaps.pdf ;
http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/GSK_contrat_22_07_2009.pdf ;
http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera—Revue-du-Praticie.pdf
merci de vos réponses car pour évaluer s’il s’agit de censure ou pas, il faut d’abord mener l’enquête...
Après une petite recherche, et comme pour son confrère Goubeau, il semble bien que le Pr Reynaert présente d’évidents conflits d’intérêts puisque selon son CV disponible en ligne, elle a fait une présentation à un Congrès d’Eli Lilly et rédigé une plaquette d’information au profit des fabricants Pfizer et GSK, respectivement au sujet des TOC et des troubles dépressifs (à traiter, entre autres, de façon médicamenteuse bien entendu !). Or pour rappel, GSK est un fabricant de paroxétine, utilisé comme anti-dépresseur. Il convient donc de réécrire ici l’évidence déjà diffusée dans la revue belge d’Evidence Based Medicine Minerva, à savoir que tout conflit d’intérêt, quel qu’il soit, « interfère avec le jugement clinique et nuit à l’intérêt des patients. »
Et voici ICI le lien que nous avions oublié dans notre post/commentaire précédent sur le lien possible entre AVC et vaccination...
Un peu faux ? Au simple motif de ce que vous dites ? Un peu léger comme « argumentation »... la page Wikipedia classant la somnolence parmi les effets secondaires « fréquents et gênants » ! Les gens qui connaissent un peu le monde du médicament savent très bien que les notices sont déjà loin, très loin d’être exhaustives et que ce qui y est écrit est toujours écrit parce que les fabricants y sont effectivement contraints et forcés avec un risque juridique. Ces effets notés ne le sont donc jamais vraiment avec « gaieté de coeur » des fabricants bien sûr qui ne cessent de présenter tous leurs produits comme autant de « progrès » médicaux à chaque fois...
Rationnellement parlant, les éléments discutés ci-dessus ne sont pas du tout à exclure. Si la notice indique que dans certains cas, un seul oubli d’une prise ou que le sevrage du médicament peuvent donner lieu à des symptômes parfois gênants, incluant troubles de la vision et confusion notamment, pourquoi exclure à priori cette possibilité, certes gênante pour les industriels concernés ??!
En outre, le fait que des grands pontes aillent affirmer de façon péremptoire au public que telle ou telle molécule n’induit pas la somnolence alors que cela la provoque chez des milliers de consommateurs selon la notice, cela ne vous choque pas ? C’est sans doute votre conception bien à vous alors de ce qu’est « la bonne expertise ».... Mais il est vrai que d’autres experts nous avaient déjà habitué à des dénis du même genre comme par exemple le Pr Goubeau, virologue de l’UCL, qui avait explicitement affirmé à la télé (RTBF) que le vaccin H1N1 (Pandemrix) ne pouvait pas donner lieu ni à des troubles cardiaques ni à des paralysies, alors que la notice indiquait pourtant expressément le risque de Paralysie de Guillain-Barré. Et pareil pour le lien entre sclérose en plaques et vaccin hépatite B. Lorsqu’on retrouve épidémiologiquement parlant un « boom » de 60 000 scléroses en plaques en plus à notre époque qu’avant le début des campagnes massives de vaccination anti-hépatite B en France et qu’on ne retrouve aucune autre cause possible, il faut pouvoir être logique et reconnaître comme facteur prépondérant une pratique et un produit qui induisent précisément des bouleversements immunitaires souvent incontrôlables, sans parler du processus de mimétisme moléculaire scientifiquement déjà abondamment discuté !
Enfin, rajoutons aussi une précision concernant ce drame de Sierre pour tenter d’être le plus complet possible : alors que certains médias ont déclaré que c’était la piste du « malaise » qui était privilégiée (comme l’a par exemple fait la RTBF dans le lien que nous avons mentionné), d’autres, comme le journal suisse Le Matin, ont plutôt prétendu le contraire, en déclarant l’hypothèse du malaise peu vraisemblable.
Dans ces conditions où il n’est absolument pas certain que le chauffeur ait fait un « malaise » au sens cardio-vasculaire du terme, il nous apparaît donc plus qu’important de savoir prendre en compte la piste médicamenteuse très intéressante, tout simplement parce qu’il ne reste plus tellement d’autres possibilités alors, au vu des résultats d’autopsie.
Nous vivons dans une société qui médicalise de plus en plus les gens, ce qui leur fait hélas perdre leur autonomie mais aussi à force, leur bon sens. Abrutis par toutes sortes de pollutions chimiques inhalées, ingérées (additifs, pesticides, mercure dentaire etc), les gens qui sont polymédicamentés et polyvaccinés ajoutent en fait une dose de pollution chimique au lourd bagage toxique que la plupart d’entre nous doivent déjà porter. Comment s’étonner alors que pour toute une série de gens, ce qui peut en totaliser bien sûr des dizaines de millions à l’échelle du monde, cela puisse se solder par des maladies, des décès, des tragédies et des drames ?? Si tout est fait pour entretenir les gens dans la dépendance et dans la croyance que les médicaments allopathiques (très utiles et nécessaires dans certains cas) sont toujours et en tous temps indispensables à chacun à la moindre occasion, c’est avant tout parce que nos propres autorités sanitaires nous ont trahies et s’estiment être « les partenaires naturels » (dixit propos hallucinants lus sur le site du Sénat français) des grosses multinationales pharmaceutiques ! De ce fait-là, le discours des officiels qui devrait, s’il n’y avait aucune collusion, être un discours neutre et objectif à la fois sur les prétendues vertus et sur les risques supposés, est en fait désormais un discours de type promotionnel. Cette confusion des genres est évidente et consiste en fait à favoriser de façon artificielle un monopole allopathique. Ceci étant dit, les frasques des pharmas étant telles (avec le Paxil/paroxétine notamment d’ailleurs !) que ces dernières ont finalement un gros intérêt à prendre faussement distance et à laisser désormais les officiels se charger à nos frais de s’occuper de leur publicité. Avec les vaccins, c’est ce qui se passe, de peur de la méfiance légitime du public pour des produits insuffisamment évalués, les officiels interdisent la pub des fabricants, pensant naïvement qu’en s’en chargeant eux-mêmes, les gens auront alors plus confiance. Si c’est certainement vrai pour les personnes les plus crédules d’entre nous, il n’en demeure pas moins que pas mal de masques sont déjà tombés et qu’en Belgique par exemple, les autorités officielles ont été sévèrement désapprouvées pour PUBLICITE TROMPEUSE sur les vaccins, le Jury d’Ethique publicitaire ayant estimé que cette réclame en faveur des vaccins tout au long de la vie était « de nature à induire le consommateur en erreur » ainsi que contraire aux exigences de loyauté et de véracité auxquelles des firmes commerciales sont normalement censées être soumises en vertu du Code de la Chambre de Commerce Internationale.
Il est à la fois grave et dommage de désinformer les gens sur les risques et bien sûr, en parallèle ou en même temps, de les désinformer sur l’existence d’alternatives plus sures possible. Cette atteinte continuelle au pluralisme thérapeutique découle finalement très logiquement des aveux de ces officiels qui ne se cachent plus d’être les « partenaires naturels » de ce tout chimique et pharmaceutique (c’est d’ailleurs aussi ce qu’on constate entre les autorités européennes et des géants toxiques comme Monsanto, tant et si bien que dans un questionnaire OFFICIEL, l’Union européenne se prend « étrangement » à aller sonder les gens sur l’image négative ou positive que véhiculerait pour eux Monsanto alors que ce genre de questions n’a rien à faire dans un questionnaire sur le type de politique à mener... à l’heure où de plus en plus de gens mangent bio, les officiels veulent en fait tout simplement sonder les gens pour pouvoir stratégiquement mieux aider « leurs partenaires naturels » style Monsanto ou autres à gagner plus du temps et à mieux désinformer les consommateurs à leur profit, grâce à une meilleure compréhension de ce qui rebutent les gens).
La vaccination antigrippale (ainsi que d’autres) pourraient bien être source d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) selon des données américaines. Chacun s’accordera a dire qu’un AVC est une atteinte très grave avec souvent hélas à la clé de lourdes séquelles, des incapacités ou arrêt d’activité professionnelle et aussi des décès. Combien de gens auraient pu éviter un AVC en ne se faisant tout simplement pas vacciner mais en prenant par exemple à la place un peu de vitamine C ou l’une ou l’autre plante aux vertus phytothérapeutiques immunostimulantes comme le sureau, l’astragale ou l’échinacée par exemple ? Ce genre de question qui pourra sembler surréaliste à certains en raison d’un conditionnement ou d’une idéologie paraîtra tellement incontournable à d’autres. De même, des plantes comme le millepertuis aux vertus antidépressives connues (et qui se vendent aussi en pharmacies d’ailleurs) n’auraient-elles pas pu constituer une alternative plus sure et au moins aussi efficace chez un patient comme l’était le chauffeur, si seulement son médecin avait été au courant ? Voilà des questions certes impertinentes mais légitimes que des citoyens pourraient et gagneraient, selon nous, à se poser. Au nom de la mémoire des enfants et des autres victimes.
@ ronny (suite) : par ailleurs, il nous semble aussi trop facile d’invoquer le « sens de l’intérêt collectif » ou « la solidarité » pour inciter les gens à se faire vacciner ou les culpabiliser s’ils ne le font pas, tout simplement parce que cette solidarité n’existe AUCUNEMENT envers les victimes des vaccins qui sont sans cesse niées. Une fois encore, on est donc dans le deux poids, deux mesures car il ne faut surtout pas écorner le mythe et l’IMAGE des vaccins. En outre, culpabiliser les gens ne sert à rien, tout simplement parce que personne n’a envie ni n’a intérêt à tomber malades. Les gens peuvent renforcer leur système immunitaire autrement, de façon générale et non spécifique. Mais tout cela est occulté par les mantra à répéter aveuglément (et bêtement) « les vaccins sont la seule protection possible ». C’est faux, comme l’ont déjà démontré des tas d’études sur d’autres substances immunostimulantes, sur les succès des nosodes homéopathiques dans la prévention d’épidémies (leptospirose à Cuba, méningites à méningocoques au Brésil etc). Il y a en fait un monopole artificiel qui a été créé autour des vaccins de façon à occulter la moindre possibilité de prévention alternative. Cela sert-il vraiment la vraie santé publique ? Permettez-nous d’en douter !
@mrdawson : nous ne truandons aucune source, ce n’est pas de notre faute si l’OMS est un peu bcp schizophrène. Si Anne-Marie Moulin (du CNRS) attribue l’éradication de la variole à la seule vaccination, eh bien c’est faux, tout simplement. Si on lit bien le rapport, on comprend bien que c’est le changement de stratégie (autre que purement vaccinale) qui a été le plus décisive. Bien sûr, les gens attachés à l’image d’Epinal des Vaccins feront la grimace car ça écorne un peu (bcp) le mythe !
Pour rester sur ce sujet de la variole, il semble hélas que la critique de « anti-vaccins primaire » serve surtout à fermer le débat et à ne surtout pas l’élargir à l’ENSEMBLE des sources. Or que doit-on aussi prendre en compte à ce sujet ? Les chiffres officiels de variole (innombrables) dans les pays et zones où la vaccination était obligatoire et/ou fréquente VS ceux et celles où ça n’était pas le cas or, déjà en 1875, un médecin canadien comme le Dr Coderre (mais bcp d’autres confrères de renom aussi) expliquait dans un document d’époque, chiffres à l’appui, comment la vaccination non seulement freinait la lutte contre cette maladie mais aussi comme elle favorisait des flambées épidémiques (rappelons à ce sujet que plusieurs spécialistes ont aussi accusé le vaccin BCG de freiner la lutte contre la tuberculose) :
Le Dr Gherard Buchwald, un médecin allemand qui a étudié les vaccins pendant plus de 40 années explique, chiffres à l’appui, dans son ouvrage « Vaccinations, le marché de l’angoisse » l’échec de la vaccination anti-variolique des contacts (selon le principe d’une vaccination plus ciblée donc) avec un nombre accru de malades et de morts comparativement à des sujets exposés non vaccinés. Ces chiffres dans la rhénanie et nord westphalie d’après guerre sont donc assez indicatifs que la vaccination de masse, pas plus que la vaccination ciblée, n’a pu être l’élément LE PLUS DECISIF de la moindre éradication.
Par ailleurs, les risques du vaccin anti-variolique semblent peu vous intéresser, comme si selon vous ça fonctionne, tant pis pour les risques ! C’est là une drôle d’approche en termes de santé publique ! A ce propos, les vaccins anti-varioliques ont provoqué des cancers de la peau au lieu d’injection, des flambées leucémiques mais aussi favoriser la syphillis et la tuberculose. Il y aura toujours des gens pour nier ces constatations épidémiologiques effectuées par nombre de médecins de terrain mais lorsqu’on comprend que la variole pénètre l’organisme par la peau et les muqueuses et que le vaccin consiste à court-circuiter les voies immunologiquement prévues de pénétration dans l’organisme, on a moins de difficultés à concevoir que cette façon de faire est propice à toutes sortes d’effets graves incontrôlables ayant trait au système immunitaire !
@ Ronny : la question de l’« immunité de groupe » est très contestable étant donné que de nombreuses épidémies se sont déjà déclarées dans des populations très très vaccinées (plus de 95 et parfois même 98 et 99%). C’est donc surtout aussi un argument qui arrange bien les pharmas en ce sens que cette façon de procéder qui favorise aussi les obligations est un frein à une évaluation comparative INDISPENSABLE (et qui aurait d’ailleurs dû être effectuée AVANT toute utilisation de masse !) entre vaccinés et pas vaccinés du tout, seul moyen fiable d’évaluer réellement si tel ou tel vaccin est « un succès ». Parce qu’encore une fois, votre vision ressemble fort à celle du commentaire précédent : vous voyez un succès apparent sans voir tout ce qui peut l’obscurcir au point de rendre cette méthode de prévention très discutable (en vous disant sans doute, si on a rien d’autre -que disent les pharmas- alors il faut choisir le vaccin mais le plus n’est pas toujours le mieux !). Si vous prenez le cas de la polio, quid de tous les gens qui ont fait une polio suite au vaccin et sans aucune indemnité ? Quid aussi des plus de 50 000 enfants indiens qui ont fait en 2011 une paralysie flasque aigue à cause du vaccin polio oral, atteinte deux fois plus meurtrière que la polio naturelle et qui les paralyse aussi à vie ?
Quid encore des MILLIONS DE GENS (en réalité des centaines de millions) qui ont été contaminés par le virus simien cancérigène SV40 via les vaccins polio tant oraux qu’injectables dans les années 50-60 et dont des milliers ont développé des cancers osseux, du cerveau ou des mésothéliomes à cause de ça sans parler du fait que ce virus se transmet horizontalement et verticalement, donc aussi à des enfants non vaccinés qui voyaient ainsi leur risque de cancer multiplié par plus de 10 pour divers types de cancers ?? Quid du déplacement de l’âge de survenue de la maladie à cause de vaccinations IRRATIONNELLES contre la rougeole dans l’enfance (il aurait été bcp plus judicieux de ne se servir du vaccin que comme d’un outil à utiliser que si l’enfant n’a pas eu la chance de faire une rougeole à l’âge où elle cause le moins de risque tout en octroyant une immunité bcp plus solide et robuste, car ces maladies ne sont pas juste là pour nous ennuyer, elles ont aussi un rôle bénéfique sur la maturation du système immunitaire, contre les allergies etc. Donc votre vision est trop étroite, c’est comme si vous aviez des oeillères à ce niveau, informez-vous et vous verrez que toutes les facettes du problème ne vont globalement pas du tout en faveur de vaccinations massives hélas !
Pour ce qui est de l’Afrique, nous sommes en contact avec plusieurs médecins qui ont beaucoup été en Afrique et comptent encore y retourner mais qui sont nettement moins enthousiastes que vous au sujet des vaccins ! Dabord, ces gens ont assisté à plusieurs accidents graves (comment s’en étonner vu qu’on vaccine aveuglément et sans précaution des enfants dénutris et donc forcément immunodéprimés ce qui est par exemple contraire aux notices des vaccins viraux atténués !), ensuite, comme on l’a détaillé sur notre blog, chaque accident est couvert par les autorités qui font systématiquement semblant d’enquêter mais qui blanchissent toujours de facto les vaccins. Enfin, ces gens ont été écoeurés que les frigos à vaccins soient toujours pleins alors que les ventres sont vides. Ces enfants affamés et souvent privés d’eau et du minimum nécessaire mourant dans les suites de vaccins ou devenant malades à vie ne sont jamais repris dans les morts de rougeole ou les paralysés de polio mais le résultat n’est guère meilleur. Une fausse victoire en somme et de beaux chiffres trompeurs présentés souvent en fanfares par des associations comme Unicef alliés à des fondations bien connues.
Les voyageurs sont souvent vaccinés de façon excessive dans ces travel clinics mais ne savent en général pas d’avance que les réactions secondaires aux vaccins sont un des motifs reconnus comme valables par les assurances annulation des voyages... c’est ce qu’on appelle des pigeons voyageurs !
@Croa & à Christian Labrune : Vos messages sont interpellants et intéressants.
Faites-vous à vous si peu confiance à vous-mêmes ? C’est un stratagème assez classique du système de vouloir toujours tout complexifier par des termes opaques de façon à ce que le public se pense à chaque fois trop incapable pour s’en mêler, quelle aubaine pour les industriels vous pensez bien !
Nos sources sont clairement indiquées, il suffit de cliquer sur les liens. On pourrait discourir longtemps sur le thème de « Qui dit quoi » parce que des tas de « grands experts bardés de diplômes » nous servent du grand n’importe quoi sur les véritables risques des vaccins depuis des décennies. Et la controverse vaccinale tire en grande partie son origine de là : de la non évaluation rigoureuse et objective du véritable rapport bénéfices/risques de ces produits, le tout avec la bénédiction d’experts aux « grandes compétences » SUR PAPIER. Voilà un fait historique difficilement contestable. Prenez l’exemple de l’amiante, interdite en 1997 alors que sa toxicité était déjà dénoncée 90 ans plus tôt par des lanceurs d’alerte qui n’ont sans doute pas été écoutés car jugés en apparence « moins crédibles ». L’année qui a précédé l’interdiction en 1997, l’Académie de Médecine votait encore à l’unanimité svp (!) un blanc-seing à l’amiante, exactement comme ils couvrent et minimisent les risques des OGM ou des dioxines (sans parler de l’aluminium vaccinal !)
Il nous semblait avoir indiqué des infos sur notre fiche à savoir que nous sommes un groupe de citoyens qui investiguons et creusons le sujet depuis des années. Nous sommes par ailleurs rejoints par plusieurs dizaines de médecins de Belgique, France et Suisse et autres pays sur nos analyses. Notre force est que nous sommes indépendants et que nous pouvons donc analyser sans la moindre pression les sources et les documents dont nous prenons connaissance. Loin de nous satisfaire de réponses simplistes, trop générales et faussement rassurantes des officiels, nous cherchons de véritables réponses aux travers des données de la littérature médico-scientifique GLOBALE (et pas simplement celle qu’on donne en miettes au peuple en fonction des intérêts financiers la plupart du temps !).
Nous sommes conscients que beaucoup de gens ont peur du changement ou des remises en causes du système, parce que ça touche finalement à leur sécurité (ils partent en effet du principe que si on ne peut plus faire confiance aux experts, leur sécurité s’écroule et donc préfèrent quelque part en déduire que non, ce n’est pas possible, il faut absolument que l’alerte soit donnée par un autre contre expert de même diplôme sinon elle ne vaut rien !)
Une histoire issue de la mythologie est intéressante pour la morale instructive qu’elle dégage : Prométhée avait préparé deux paquets de viande à destination des dieux (en Grèce antique, la viande était donnée en offrande aux dieux, seuls les restent pouvant profiter aux humains). Le premier comportait les plus beaux morceaux et avait comme « emballage » les abats qui avaient été disposés par dessus. Le deuxième paquet ne comportait que les os mais recouverts de la belle graisse blanche qu’on trouve sur les plus beaux morceaux. Le dieu Zeus qui avait alors à choisir un des deux paquets choisit le plus beau paquet extérieurement (ahhh cette apparence formelle !!) et fut alors très en colère de comprendre le subterfuge de Prométhée, il avait été leurré...
L’autre paquet, qui certes ne payait certainement pas de mine au niveau de son apparence extérieure était pourtant « le bon » avec les morceaux nobles, celui qu’il fallait choisir. Donc même un « dieu » censé être doué et intelligent peut se faire prendre au piège de donner priorité à la forme sur le fond !
A méditer....
Un gros rappel : Unicef & OMS ont une énorme proximité avec les fabricants... de ces mêmes vaccins.
Par ailleurs, pas la peine de se perdre en insultes et attaques de type « sociopathes » puisque nous n’avons jamais voulu priver quiconque de vaccins s’il en souhaite (mais de là à légitimer des vaccinations forcées au nom de prétendues « protections collectives » souvent prises en défaut, il y a une marge que vous semblez franchir allègrement ?!)
Enfin, ce que vous dites est FAUX car vous écrivez notamment « Il ne faut pas oublier que si le but premier du vaccin n’est pas de vous empêcher de contracter, son efficacité réside surtout dans le fait que vous ne devenez plus un vecteur infectieux. ».
En effet, plusieurs études ont par exemple montré que le vaccin contre la coqueluche n’empêchait nullement aux vaccinés de devenir un vecteur infectieux mais simplement de rendre la maladie quasiment inapparente ou non apparente de sorte que la situation est encore plus insidieuse avec des vaccinés qui se croient non infectieux mais qui peuvent ainsi transmettre sans crier gare une coqueluche à de très jeunes enfants ou des gens fragilisés chez qui la maladie peut-être beaucoup plus grave. Le fait que les personnes vaccinées peuvent donc être un réservoir asymptomatique de l’infection dément donc ou fragilise à tout le moins fortement vos assertions !
Cfr ICI pour plusieurs références.
C’était bien sûr « contes de fées » et non « comptes de fées » que nous voulions écrire dans notre précédent post, laissant ces derniers aux pharmas avec leurs marchés vaccinaux pantagruéliques, qui ne seraient assurément pas possibles sans la caution des officiels
Des références sérieuses sur les échecs et risques graves des vaccinations ? Bien sûr, suffit de demander et ce sont des références qu’on peut d’ailleurs retrouver via NCBI bien entendu. Cfr un petit aperçu non exhaustif de 1000 références de publications à ce sujet : ICI.
Sur les risques du vaccin contre le méningocoque, voici la page du groupe médical suisse de réflexion sur le sujet, si vous voulez lire.
« par quel miracle avez vous le chiffre de 300 000 effets secondaires graves des vaccins, ayant neccessité hospitalisation, sachant que la france n’est vraiment pas douée pour l’épidémiologie et n’est pas capable de donner à l’ECDC le poids et l’age gestationnel de ses nouveaux nés ? »
Vous lisez mal, nulle part nous n’avons affirmé que c’était 300 000 hospitalisations dues aux vaccins. Nous avons relayé les chiffres avancés par Dr Delépine qui sont des chiffres relatifs à l’ensemble des traitements médicamenteux (dans les années 90, Kouchner lui-même citait déjà le chiffre inquiétant de 180 000 mais depuis lors, il faut dire que la pharmacopée a fait de grands « progrès » en terme de surmédicalisation aussi avec abaissements des seuils de cholestérol, tension, glycémie etc, avec la complicité de l’OMS soulignons-le). Et le fait est que les hospitalisations et décès imputables aux médicaments sont plus fréquents dans nos pays que les cas dus aux maladies infectieuses naturelles.
Par ailleurs, il faut tenir compte d’une sous-notification ENORME des effets secondaires (même graves) des vaccins, le lien déjà précité que nous avons mentionné renvoyant justement à un document de l’Afssaps de 2007 sur la pharmacovigilance des vaccins représentant de façon hélas fataliste ce qu’ils appellent « la sous-notification inévitable des effets secondaires »... à la façon d’un ICEBERG. (cfr page 5 du document)
JAMA, une des revues médicales les plus lues au monde, citait en 1993 le chiffre de 1% soit que seul 1% des effets secondaires des médicaments sont effectivement rapportés et donc comptabilisés dans la prétendue évaluation du rapport bénéfices/risques par les autorités sanitaires. (référence exacte : ICI) Des revues indépendantes comme Prescrire évoquent, au mieux des chiffres de 10% (soit seulement 10% des effets secondaires des médicaments rapportés et susceptibles d’être comptabilisés dans l’évaluation du rapport bénéfices/risques).
Le National Vaccine Information Center des USA (NVIC) avait mené une enquête auprès de 159 médecins issus de 7 états américains. Les résultats ont démontré que seuls 28 d’entre eux (soit seuls 18%) rapportaient les effets secondaires de vaccins alors qu’ils y sont pourtant obligés dans ce pays... Donc voilà les données sont extrêmement solides et convergentes hélas que pour parler d’une sous-notification problématique et grave en termes d’évaluation objective du rapport bénéfices/risques réel des vaccins. Plusieurs raisons peuvent être évoquées, les praticiens citent souvent la bureaucratie, le manque de temps ou même l’incapacité de reconnaître les effets secondaires (puisqu’hélas on leur apprend à piquer mais pas à avoir un esprit critique ni objectif sur les vaccins). Une publication de 2011 a encore démontré que 61% de ceux qui administrent un vaccin comme celui contre la grippe sont tout bonnement incapables de reconnaître un effet secondaire ! Mais il y a aussi assurément la question de la responsabilité civile des médecins puisque rapporter un effet secondaire d’un produit qu’ils ont administré et au sujet duquel ils n’avaient prévenu les patients que de fièvre, courbatures etc, « ça le met mal » comme on dit !
Vous ne répondez en outre pas du tout aux énormes pavés que nous avons « jeté dans la marre » en matière de sécurité vaccinale, cfr notre précédent post (nous le notons au passage)
Par ailleurs, cela n’est pas parce que l’OMS et les instances officielles vous affirment que les vaccins ont prétendument « sauvé X nombre de vies » que cela est fiable ou exact puisque rien ne dit que non vaccinés, ces gens auraient tous contractés la maladie ni fait des complications, sans compter qu’il faudrait surtout retrancher de ces chiffres enthousiastes, les décès et la morbidité due aux effets secondaires systématiquement classés comme « coïncidences »ou déclarés abusivement sans lien.
Mais voilà, vous pouvez refuser de vous informer de façon plus pointue de crainte de ce que vous pourriez trouver et vous pouvez aimer les comptes de féé, cela n’est heureusement pas interdit
Bonne continuation.
@topolou : Vous répétez la seule chose qu’on vout ait jamais enseignée et c’est votre droit le plus strict d’accepter les limites d’un tel conditionnement. C’est exactement comme le BCG qui est su et connu comme étant inefficace mais qui continue d’être administré au motif qu’ « on a rien d’autre » comme si le plus était toujours le mieux, sans jamais même concevoir tout le champ des effets iatrogènes !
Nous n’avons, nous le rappelons, jamais réclamé le retrait pur et simple des vaccins du marché mais nous ne pouvons que désapprouver la tromperie manifeste que subit actuellement la population qui se fait vacciner, sans jamais la moindre information sur les risques graves de ces vaccins, continuellement présentés comme « un progrès » ou « une avancée ».
Or que vous le vouliez ou non, que vous ayez connaissance ou non des des effets secondaires graves possibles des vaccins au regard de la littérature médico-scientifique internationale, il se trouve que :
- les vaccins contre les hépatites peuvent donner lieu à des lésions irréversibles du foie et à des atteintes notamment auto-immunes gravissimes (cfr quelques réf. ici sur le site du Revahb)
- le risque de complications graves (et notamment neurologiques avec séquelles irréversibles possibles) dues au vaccin contre la méningite C est plus élevé que le risque épidémiologique moyen d’en contracter une. Ainsi, comme rappelé dans le petit livre « Qui aime bien vaccine peu », rédigé par les médecins du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, selon les données du fabricant du Meningitec, il y aurait eu 4 complications graves sur 100 000 vaccinations, ce qui déjà, est + élevé que le risque épidémiologique de se chopper pareille infection (qui n’est pas tjrs mortelle et dont on peut aussi réchapper sans séquelles nous le précisons) mais selon une étude indépendante sur le même vaccin, le risque d’effets graves sur 100 000 vaccinations serait en fait plus de 100 fois plus élevé à savoir de 459 pour 100 000 vaccinations ! Le risque d’amputation que vous évoquez est donc et de loin, infiniment inférieur à celui d’un effet grave du vaccin.
Il apparaît en outre, même si c’est quelque chose que vous préférez visiblement ignorer parce que cela entrerait en contradiction avec vos croyances, qu’il y a (comme encore récemment rappelé par la pédiatre oncologue française Dr Delépine) pas moins de 300 000 hospitalisations annuelles en France dues aux effets secondaires des traitements, en ce compris ceux des vaccins bien sûr. On n’échaperra donc pas au débat impératif sur la question du rapport bénéfices/risques des vaccins qui, contrairement à ce qu’affirment frauduleusement les officiels ne peut tout simplement pas être déclaré « si favorable » que cela au regard des faiblesses abyssales de l’évaluation réelle de la sécurité de ces produits (qui est une des données de ce ratio) qui n’impose ni recourt à de véritables placebos, ni analyse pharmacocinétique, ni test de cancérogénèse, tératogénèse et mutagénèse (contrairement aux autres médicaments) et qui ne tient hélas nullement compte de la gravissime et notoire sous-notification de ces effets secondaires, même graves, telle qu’admise aussi par l’Afssaps.
Votre allusion à la sélection naturelle est assez affligeante car elle fait fi de toutes les nombreuses connaissances qui ont démontré la relativité du microbe par rapport à l’état INDIVIDUEL du terrain (duquel dépend bien sûr le degré de réceptivité des gens à tel ou tel agent). Cette allusion fait d’ailleurs penser aux propos surréalistes de l’experte pédiatre suisse Siegrist, détentrice de la chaire Mérieux de vaccinologie de l’Université de Genève et depuis quelques temps aussi experte conseillant les autorités britanniques en matière de vaccination, qui avait affirmé là aussi totalement gratuitement que sans vaccins, les enfants de nos pays auraient une espérance de vie de seulement 35 ans (sic !). De telles affirmations se passent de tout commentaire et démontrent la compétence de ceux censés jouer le rôle d’experts, qui ignorent surement la publication de Miller et al. qui démontre une mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus (à état sanitaire comparable car là aussi le terrain individuel détérioré par des conditions de pauvreté extrême comme c’est le cas dans le Tiers-Monde constitue un biais).
Mais bien entendu, il y aura toujours des gens pour qui tout nouveau vaccin sera assimilé à « un progrès » sans jamais aucun lien avec la dégradation immunologique sans précédent des générations d’enfants actuelles (de + en + vaccinés avec des vaccins prétendument indispensables sans lesquels tant leurs parents que les médecins qui les ont aveuglément vaccinés ont très bien vécu !) avec explosion des maladies allergiques, auto-immunes, neurologiques sans parler des cancers. Mais allons-y, vaccinons donc encore un peu plus avec des vaccins par définition expérimentaux sans aucun contrôle sur les mécanismes immunologiques irréversibles qu’ils peuvent déclencher une fois administrés dans l’organisme et ce, même si c’est en violation de toutes les voies immunologiques physiologiquement prévues à cet effet (peau, muqueuses) car dormons en paix, cela ne pourra bien sûr donner lieu à aucun « bug » immunitaire. Bien sûr, comme c’est crédible et que cela sonne sérieux et « scientifique » tout ça.
@ Magnon : la peur est l’allié n°1 des pharmas et des officiels quand il s’agit d’écouler des vaccins (ça avait très bien fonctionné pour l’hépatite B or ce vaccin est pourtant responsable de l’une des plus grandes séries d’effets secondaires de toute l’histoire de la pharmacovigilance française, selon le rapport Dartigues).
Quant à votre expérience personnelle, la tentation est grande d’attribuer vos infections précédentes à la grippe et donc ce que vous pensez être une protection au vaccin mais il faut savoir que le nombre de virus pouvant donner lieu à des symptômes tout à fait identiques à la grippe (mais sur lesquels le vaccin ne peut avoir aucun effet préventif) est grand et que rien ne peut donc permettre d’affirmer que vacciné, vous n’auriez pas développé les mêmes symptômes. L’instance belge officielle CBIP (Centre belge d’information pharmacothérapeutique) a officiellement reconnu dans un Foliae envoyé aux médecins belges, l’absence totale de preuve scientifique valable d’efficacité de cette vaccination antigrippale que ce soit chez le sujet âgé ou le sujet dit « à risque » bien que, pour autant, cherchez l’erreur, ils disent que ce n’est pas une raison pour ne pas vacciner [ça rejoint tel qu’évoqué plus haut, la logique commerciale mais non sanitaire de vacciner avec un produit inefficace au prétexte « qu’on a rien d’autre » ce qui, en plus, est faux si on intègre bien d’autres moyens de prévention naturels plus sûrs et plus efficaces que vous n’avez peut-être jamais même testés]. Même de grands CHU belges n’organisent même plus cette vaccination pour leur personnel qui n’en veut plus.
En plus, il faut savoir qu’il y a aussi ce que les immunologistes appellent un « péché originel » c’est à dire que plus vous vous vaccinez contre la grippe, plus les anticorps formés perdent de leur efficacité car ils restent calqués sur le « moule » originel du premier antigène grippal (ou vaccinal) avec lequel vous avez été en contact, un peu donc comme si les clés de serrure formées après vaccination entraîent de moins en moins bien dans la serrure au fil du temps.
Certes, en matière de risques, tous les vaccinés contre la grippe ne développeront pas des effets secondaires graves mais les risques de vaccinations ne sont pas négligeables pour autant, vous trouverez ici un aperçu de quelques uns d’entre eux tels que confirmés dans la littérature médico-scientifique.
Il faut savoir que le vaccin contre la grippe augmenterait de façon conséquente le risque de maladie d’Alhzeimer (là aussi on peut dire que le décès et la fin de vie se déroulent dans des conditions peu envisables vous ne trouvez pas...). Selon le Pr Fudenbergh, un immunologiste américain, 5 vaccinations antigrippales consécutives multiplierait déjà par 10 le risque de développer une maladie d’Alzheimer (alors si vous ajoutez à cela d’autres facteurs de risques certains comme les amalgames dentaires au mercure càd les plombages gris ou noirs, cfr livre scientifiquement très documenté de Françoise Cambayrac « Vérités sur les Maladies émergentes »), ça peut faire « une belle jambe » d’avoir même évité quelques grippes avec cette vaccination au regard de pareils risques autrement moins gérables sans guérison possible une fois atteint !
Pour ce qui est du vaccin pandémique, les contrats l’ont révélé, c’était une vaccination expérimentale avec aucune garantie ni d’efficacité ni de sécurité. Si vous seriez prêt à acheter une voiture ou toute autre chose dans ces conditions ou d’accepter ça pour un bien encore plus précieux comme votre santé, c’est votre droit. Il faut juste espérer que vous ne développerez pas de problèmes parfois lointains et qui font le plus souvent que les gens ne font jamais le lien (par exemple : développement d’une maladie auto-immune tardive, à la thyroïde ou aux articulations etc etc) car le squalène est un composant de notre corps or si son ingestion ne pose pas de problèmes, il n’en est pas de même d’une injection, ce qui est de nature à pouvoir créer des anticorps contre nos propres composants (auto-immunités), nous rassemblons d’ailleurs plusieurs études et mises en garde de scientifiques sur cette substance lorsqu’elle est injectée. De là bien sûr que des cas comme celui-ci ne sont hélas guère étonnants.
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