Vaccination humaine VS animale : une comparaison surprenante
Comme nous, nos animaux de compagnie subissent une inflation vaccinale, moins par la variété des nouveaux vaccins qui arrivent progressivement sur le marché que par la fréquence des rappels qu’ils subissent.
Il est intéressant, en ces temps de frénésie vaccinatoire, d’analyser les différences qui existent dans les types de recommandations et les mesures de « prudence » respectives.
Les effets secondaires sont-ils aussi tabous qu’en médecine humaine ?
Vaccination humaine |
Vaccination animale (chiens, chats) |
+ grande variété de vaccins |
+ grande fréquence des rappels (chaque année) |
Pas de cours de vaccinologie pour les médecins |
Meilleure connaissance des effets secondaires possibles des vaccins et cours de vaccinologie |
Non évaluation du potentiel cancérogène des vaccins, comme en attestent les notices (cfr point 13.1) |
Etablissement factuel de cet effet secondaire grave possible |
Déni de l’utilité, dans certains cas, des antidotes homéopathiques |
Recours plus habituel et moins « mal vu » des antidotes homéopathiques en médecine vétérinaire |
Conseil de vacciner dès l’âge de 2 mois, même si l’enfant est encore allaité ou parfois même, dès la naissance (comme aux USA). |
Ne jamais vacciner un chaton ou un chiot non sevré car jugé peu ou pas efficace (en raison des anticorps passifs résiduels transmis par le lait maternel, cfr p. 3/63) ! |
Contre-indication formelle dans les notices de vacciner les femelles gestantes OU allaitantes ( aussi chez les chiennes) ! |
|
Conseil de vacciner les gens malades et déjà affaiblis (auto-immunité, immunodéprimés, cancéreux etc) |
Mention claire dans les notices de ne vacciner QUE des animaux SAINS ! |
Adjuvants majoritairement aluminiques ; maintien du mercure notam. dans les vaccins antigrippaux |
Beaucoup plus d’adjuvants huileux, encore plus réactogènes** ; (dans un rapport de 1 part par 10 000 soit 100X plus que la concentration toxique pour les cellules) |
Administration des vaccins par voie intra-musculaire (depuis les recommandations des labos, au début des années 90', p. 25) |
Administration sous-cutanée des vaccins, telle que recommandée dans la notice |
Prétexte qu’il faut une couverture vaccinale de « 95% » |
|
Pas de sérologie (dosage des anticorps) systématique avant de décider de revacciner ou pas |
Evaluation des anticorps comme critère de revaccination (p. 25/63) |
Instances officielles encouragent la survaccination (des sujets âgés notamment, contre la grippe !) |
Instances officielles mettent en garde contre la survaccination (des animaux seniors notamment !) |
** Chacun se souviendra de la polémique sur l’adjuvant "huile dans l’eau" squalène dans les vaccins H1N1. Voyons maintenant ce qu’il en est de ce genre d’adjuvants dans les vaccins animaux : "Ce produit contient de l’huile minérale. Même une faible quantité de ce produit (auto-)injecté accidentellement peut provoquer un œdème intense susceptible d’entraîner, par exemple, une nécrose ischémique voire la perte d’un doigt. Il est impératif de recourir immédiatement à des soins chirurgicaux dispensés par un spécialiste. Une incision et une irrigation rapides de la zone injectée peuvent s’avérer nécessaires, notamment si les tissus mous ou le tendon d’un doigt sont touchés." (Monographie du vaccin félin Fevaxyn Pentofel de l’Agence européenne du Médicament, cfr p. 3/18)
Tant en matière animale qu'humaine toutefois, on se rend compte que ce sont le même genre de maladies qu’on retrouve en post-vaccination, c'est-à-dire des maladies touchant le système nerveux, le système cutané, le comportement, la sphère des allergies, des maladies auto-immunes et des cancers, comme le confirme le vétérinaire expérimenté Dr Charles Loops. Celui-ci explique notamment :
« Les vaccinations représentent un assaut majeur du système immunitaire de l’organisme. Les microbes atténués ou les virus et bactéries chimiquement tués sont injectés directement dans la circulation sanguine via une injection sous-cutanée ou intramusculaire ce qui constitue une voie tout à fait artificielle d’infection. Cette façon de faire, particulièrement nocive, court-circuite les premières lignes de défenses de l’organisme, dévoyant le système avec des millions d’organismes ou de particules virales générant des irrégularités et des anormalités du système immunitaire qui se manifestent alors par des maladies chroniques chez les animaux.
En réalité, cet effet général prétendument censé protéger l’individu d’une maladie aigue spécifique, affaiblit et crée un déséquilibre du système immunitaire de sorte que des prédispositions non apparentes finissent par émerger. En d’autres mots, les vaccinations représentent un stress majeur. Après les vaccinations, nous voyons souvent des problèmes chroniques commencer comme de l’épilepsie, des allergies cutanées, des infections respiratoires supérieures persistantes, des syndromes de l’intestin irritable, des maladies auto-immunes et le cancer pour ne citer que quelques maladies.
Ce à quoi nous sommes maintenant confrontés, ce sont des générations d’animaux survaccinés et ces générations actuelles subissent les conséquences fâcheuses de cet abus médical. Là où les vaccinations ont aidé à éradiquer ou réduire l’incidence de processus pathologiques graves et aigus, le résultat a été de nous accabler avec plus de maladies chroniques, insidieuses qui sont difficiles à soigner, souvent incurables et qui diminuent la qualité de vie de beaucoup d’individus et d’animaux.
Après plus de trente années de pratique de médecine vétérinaire, j’observe des maladies chroniques qui débutent à des âges plus précoces qu’avant. Le cancer avant cinq ans d’âge chez les chiens et les chats était une exception mais à présent, ce n’est pas inhabituel de voir des cancers mortels chez des animaux de deux ou trois ans. Et l’incidence de nombreux cas est en hausse croissante. Tandis que des mauvaises pratiques alimentaires, des aliments industriels appauvris et d’autres facteurs environnementaux jouent leur rôle, je crois que c’est la pratique répétée de la vaccination d’un animal, avec de multiples vaccinations reçues tout au cours de sa vie, qui constitue le facteur le plus péjoratif. Nous avons affaibli génétiquement nos compagnons avec cette pratique.
Un chien ou un chat normal vivant jusqu’à 12 ans recevra au moins une vingtaine et parfois une trentaine de vaccinations durant sa vie. Une quinzaine de ces injections comporteront quatre à sept fractions microbiennes (antigènes), présentes à chaque vaccination.
Dans tout ceci, l’équilibre naturel a été perdu au profit de la philosophie du complexe médico-industriel, imposée en grande partie par des facteurs économiques et qui consiste à nous faire croire que les vaccinations sont bénéfiques. »
Tant en médecine humaine qu’animale, les médecins et les vétérinaires choisissent cependant en général de vacciner un maximum (c’est lucratif pour eux). Et, dans les deux cas aussi, ils tablent sur une concordance suffisante entre universités, praticiens ET INDUSTRIES, dans l’espoir d’éviter une méfiance du public (cfr p. 25/63). Hélas toutefois pour eux, le nombre de citoyens vigilants s’accroît et la probabilité que des contradictions à faire dresser les cheveux sur la tête soient décelées s’accroît aussi, en proportion.
De la même façon que les officiels proclament la prochaine pandémie inéluctable en précisant que c’est juste « une question de temps » (et donc de savoir QUAND elle surviendra), l’explosion de la bulle vaccinale est, elle aussi, tout à fait certaine et inéluctable, la seule question étant de savoir le moment exact où cela se produira.
Quand on demande au Dr Anne-Marie Moulin du CNRS ce que l’avenir réserve en matière d’éradication des maladies infectieuses, celle-ci répond « Deux choses au moins. La première est l'inventivité de l'industrie vaccinale. De nouveaux types de vaccins se préparent, « bricolés » par les biologistes : associés à diverses molécules, intégrés à des germes non pathogènes « recombinés », ou encore fabriqués à partir d'ADN. […] La seconde est que, dans un monde globalisé où les épidémies font aisément le tour de la planète, les vaccins doivent être considérés comme des « biens publics globaux » à mettre en commun. »
La même Anne-Marie Moulin avait osé affirmer dans le documentaire « Vaccins, le Virus du doute » que « la variole est une maladie qui est éradiquée par la seule vaccination », une ineptie totale au regard du rapport final d’éradication de la variole de l’OMS (cfr section 8.2.4) dont on peut se demander si elle l’a lu car il précise pourtant clairement au sujet de la lutte contre cette maladie que « Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas » ou encore, entre autres aveux de l’OMS, « Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite de « Surveillance-Endiguement » revêtit une importance capitale. Avec ce type d’approche, on parvenait à faire échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. »
C’est encore le Dr Anne-Marie Moulin qui a cependant avoué à la fin du documentaire de France Télévisions (Vaccins, le virus du doute) au sujet des nouveaux vaccins qu’il « ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut, qui est le saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin qui, par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. » (cfr les quelques dernières minutes de conclusion du documentaire) !
Entre aveux et mensonges, il est certain que les officiels auront fort à faire pour que cette « inventivité des industriels » trouve encore à s’appliquer sur autant de cobayes volontaires.
Pour pouvoir circuler dans l'Union européenne, tous les chiens qui n'ont pas été tatoués avant le 3/7/11 doivent impérativement être pucés et certains poussent à ce qu'il en soit aussi ainsi pour les chats. Qu'adviendra-t-il des humains à qui certains recommandent déjà l'implantation d'une micropuce pour des raisons de "sécurité médicale" et que d'autres, au niveau européen, comme Mme Testori, aimeraient voir vaccinés comme du bétail, sur base de décisions arbitraires et autoritaristes de la Commission européenne ??
27 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON