« Mais ce qui est affligeant, c’est la nullité de cet article mis à la une »
Vous avez du le répéter au moins 30 fois dans cette page...
Bref, allez vous plaindre à la direction d’Agoravox et c’est samedi, il fait beau, allez vous faire une bonne balade à la campagne.
Pas de souci... je peux même vous aider à monter un dossier contre moi vous permettant de déposer plainte pour diffamation...
Ah au fait, n’oubliez pas d’y inclure Daniel Schneiderman, il arrive aux mêmes conclusions que moi sur son blog :
http://www.bigbangblog.net/article.php3?id_article=680
C’est même 10 fois plus argumenté, car il parle des JT en général et met en ligne des séquences vidéo.
Il faut laisser tomber avec Scarlett...
Je sais qui se cache derrière ce pseudo et le mieux est de ne pas insister !
Encore deux contresens qui confinent à l’incompétence notoire :
1) Le Conseil Constitutionnel a diffusé l’information sous forme de communiqué un peu avant 16 heures le 16 août, et pas aussi tardivement que vous le pensez ;
2) C’est ne rien connaître au fonctionnement d’une rédaction de penser que la journaliste de France 2 n’avait pas le temps entre 16 heures et 20 heures, soit pendant 4 heures, de réfléchir à une question à poser à Mme le Ministre.
Ah au passage vous avez encore réussi à refiler le lien avec votre site préféré ! Bravo !
Très entre nous, on peut détester Sarkozy (le personnage), on peut détester Sarkozy (la politique), mais ce genre de comparaison me semble déplacée et stupide.
Et puis si possède un minimum de sens historique il y a des rapprochements que l’on évite, ne serait-ce que par décence.
A la fin, êtes vous stupide ?
C’est en tout cas la dernière fois que je vous réponds, car le « dialogue » n’a aucun sens.
Pour la 2e fois, car je l’ai déjà exprimé plus haut, cet article n’avait pas pour sujet la décision du Conseil Constitutionnel du 16 août ! Pourquoi faut-il que vous jugiez de la profondeur d’un article sur un sujet que de toute manière il ne traite pas ? J’aimerais comprendre la démarche intellectuelle...
Sinon, j’ai écrit un autre article UNIQUEMENT consacré à la décision du Conseil Constitutionnel. Vous auriez la réponse à votre question.
Sinon pour en terminer avec vous, on ne mesure pas l’importance d’une décision du Conseil Constitutionnel au volume de mots censurés ! Je tiens à votre disposition des décisions qui ont fait jurisprudence, d’une portée très importante, et qui se sont contentées de changer UN MOT ! Comme quoi...
Maintenant, sur un autre plan, votre article a peut être tout simplement été refusé par manque de clarté ! Les paragraphes que vous placez entre guillemets sont incompréhensibles.
Et puis censure non ! Vous vous amusez depuis hier à faire des copier-coller géant de vos articles en guise de commentaire. C’est sans doute j’imagine l’un des objectifs de vos commentaires répétés. Ont-ils été censurés ? NON.
Entièrement d’accord avec vous.
Je suis d’accord que le point que je soulève reste anecdotique. Le problème est plus profond.
On peut d’ailleurs le relier aussi à l’évolution des contenus de la presse magazine.
Si vous en avez l’occasion, amusez-vous à feuilleter un vieux numéro de l’Express (j’en ai quelques uns chez moi qui datent du début des années 80) et comparez avec l’Express d’aujourd’hui.
Vous retrouverez les même phénomènes que ceux mis en lumière pour les journaux télévisés, en particulier, la réduction drastique du volume des articles.
Motif invoqué : aujourd’hui le lecteur n’aurait plus le temps de lire et il zapperait les articles trop longs...
A voir !
Et M. Nicolier vous répond...
L’objet de l’article repris dans Agoravox n’a jamais été l’explication de texte de la décision du Conseil Constitutionnel, c’est un tout autre sujet, que j’ai d’ailleurs évoqué ailleurs :
http://www.nicolier.fr/files/e22226f4b7a91b5e1a399b1af2973bd5-103.php
J’évoque le journal de 20 heures de France 2, la hiérarchisation de l’information et le non-questionnement d’une journaliste sur un sujet précis. Rien d’autre !
Pour le reste votre verbiage est bien confus... J’ai relu deux fois votre texte et ma foi je n’ai pas compris grand chose à certains passages.
Ils me font penser aux paroles de ces fous qui autrefois péroraient à l’entrée des villages... Ils voyaient des démons et des sorcières, ils imaginaient le Malin caché sous les lits et les chats danser la nuit au clair de lune...
Finalement rien n’a changé...
Le journaliste « péteux » est atterré ! Mais vous l’amusez beaucoup...
Non, cela n’a rien à voir avec la rétroactivité. Cela n’a jamais été le fondement de la décision du Conseil Constitutionnel, du moins s’agissant de cet article.
Donc pour être précis, voici l’extrait de la décision du conseil :
"Considérant que le I de l’article 5 de la loi déférée insère dans le code général des impôts un article 200 quaterdecies ; que ce nouvel article institue un crédit d’impôt sur le revenu à raison des intérêts payés au titre des cinq premières annuités de remboursement des prêts contractés pour l’acquisition ou la construction d’un logement affecté à l’habitation principale du contribuable ; qu’il réserve cet avantage aux prêts contractés auprès d’un établissement financier ; qu’il exige que le logement soit conforme à des normes minimales de surface et d’habitabilité ; qu’il fixe le montant du crédit d’impôt à 20 % des intérêts dans la limite d’un plafond de 3 750 € pour une personne célibataire, veuve ou divorcée et de 7 500 € pour un couple soumis à imposition commune ; que ces plafonds sont majorés de 500 € par personne à charge ;
Considérant qu’il ressort des travaux parlementaires que le crédit d’impôt résultant de la construction ou de l’acquisition d’une habitation principale postérieurement à l’entrée en vigueur de la loi tend à favoriser l’accession à la propriété et répond ainsi à un but d’intérêt général ; que son objet, sa nature, sa durée ainsi que les conditions mises à son octroi constituent des critères objectifs et rationnels au regard du but poursuivi par le législateur ; que son montant ne représente pas un avantage fiscal manifestement disproportionné par rapport à cet objectif ;
Considérant qu’il ressort des travaux parlementaires que le crédit d’impôt résultant de la construction ou de l’acquisition d’une habitation principale antérieurement à l’entrée en vigueur de la loi tend à soutenir la consommation et le pouvoir d’achat ; que, toutefois, en décidant d’accroître le pouvoir d’achat des seuls contribuables ayant acquis ou construit leur habitation principale depuis moins de cinq ans, le législateur a instauré, entre les contribuables, une différence de traitement injustifiée au regard de l’objectif qu’il s’est assigné ; que cet avantage fiscal fait supporter à l’État des charges manifestement hors de proportion avec l’effet incitatif attendu ; qu’il en résulte une rupture caractérisée de l’égalité des contribuables devant les charges publiques"
Pour résumer, je vous extrais l’essentiel. Voici la raison pour laquelle le Conseil Constitutionnel censure :
« cet avantage fiscal fait supporter à l’État des charges manifestement hors de proportion avec l’effet incitatif attendu ; qu’il en résulte une rupture caractérisée de l’égalité des contribuables devant les charges publiques ».
RUPTURE CARACTERISEE DE L’EGALITE DES CONTRIBUABLES !!!!!
C’est clair ainsi ?
A aucun moment on ne parle de rétroactivité...
Le journaliste « péteux » vous souhaite une bonne soirée...
Les lapins que j’observe parfois dans le pré qui jouxte ma maison viennent, précisément à 15h12, de s’enfuir brusquement par le nord. Au même moment, j’ai reçu un coup de téléphone de ma compagnie d’assurance qui souhaite me vendre un contrat d’assurance-vie. La femme au téléphone avait, il me semble, la voix de la femme du maire, qui lui-même se rend parfois au fond du pré, donc je parlais plus haut, pour y promener son chien.
Je soupçonne un immense complot regroupant ma compagnie d’assurance, la compagnie du téléphone, le maire, la femme du maire, et les lapins du pré, pour me soutirer de l’argent, ceci avec la complicité évidente des forces judéo-capitalistes qui nous exploitent.
Chiche ! Je réponds à votre argumentation lorsque vous aurez répondu à la mienne !
Bien à vous !
J’espere que vous accepterez que l’on dise que cet « article » n’est pas de l’information mais un assemblage de raccourcis insensés, voire délirants. Je suis allé sur ce fameux blog qui les publie.
C’est bon, mais le coup du complot planétaire, de « la gauche qui aide Sarko », et autres âneries, j’ai plutôt tendance à penser que cela plombe tout débat en le tirant vers le bas.
Allez un peu de sérieux non ?
« c’est l’effet retro-actif qui est non conforme à notre constitution »
Sauf que c’est sur le non-respect du principe d’égalité que le conseil constitutionnel à censuré l’article 5... Donc en effet vous n’avez aucune compétence sur le sujet.
De plus, si vous étiez un peu attentif à ce que j’ai écrit vous auriez sans doute noté que ce n’est pas l’importance ou non de ce sujet qui pose problème - en effet il y en a de plus graves - mais bien l’absence de questions de F. Laborde au ministre concerné lorsqu’elle l’a sous la main... Ce qui illustre l’idée d’une hiérarchisation contestable de l’info dans les journaux de France 2.
C’est ça le sujet et rien d’autre.
"L’article n’est pas censuré, mais retoqué, en gros le conseil constitutionnel a réduit le champ d’action de cet article. On remarque que cet article n’avait pas causé la saisie du conseil constitutionnel par le parti socialiste."
Avant d’accuser de mensonge, apprenez à maîtriser le langage, cela vous évitera ce genre de contresens. L’article a bien été censuré par le Conseil Constitutionnel... « retoqué », c’est en effet très juridique !
« On comprend que Monsieur Nicolier a dû acheter un logement depuis moins de 5 ans et il est déçu »
Laissez donc ma déception supposée tranquille ! Je n’ai ni acheté un logement depuis 5 ans ni voté Sarkozy. Donc problème clos.
Pour le reste, le plafonnement de la mesure fait qu’elle était bien destinée à profiter en priorité aux revenus modestes, le choix même du crédit d’impôt également plutôt que la réduction d’impôt allait dans ce sens. Sur ce dernier point en préférant la solution du crédit d’impôt on touche tous les foyers fiscaux, y compris ceux qui ne sont pas imposables.
C’était d’ailleurs la seule mesure du « paquet fiscal » qui permettait au gouvernement de dire « vous voyez bien que nous ne ciblons pas notre politique d’allégements fiscaux uniquement en direction des classes les plus riches ».
Je vous suis assez dans votre analyse, mais comprenenez aussi que l’on doit avoir une exigence intellectuelle à demander des preuves lorsqu’on accuse.
Ici les accusations sans preuve me dérangent, elles portant un coup à la crédibilité des accusateurs, même si vous l’avez compris, dans cette affaire, mes sympathies sont évidentes.
Cet article ayant été soumis à Agoravox hier, depuis des développements sont intervenus. Je complète l’article par des mises à jour intervenues sur mon blog :
[MAJ 26/04/07 19h30 : Canal+ renonce à organiser ce débat afin de respecter les règles d’égalité entre candidats]
[MAJ 27/04/07 11h30 : François Bayrou et Ségolène Royal ont déclaré successivement depuis hier que des pressions avaient été relevées aussi bien auprès du SPQR que de Canal+ pour empêcher la tenue de ce débat.
Sur ce point précis, on ne peut que noter une attitude détestable depuis le démarrage de cette campagne électorale : l’accusation sans apporter de preuves. Ici c’est le cas.
Autant l’attitude du SPQR et de Canal+ peut légitimement poser questions. Autant on ne peut pas admettre que des accusations de pressions soient mises en avant sans en apporter la preuve. N’en déplaise sur ce point à François Bayrou, ses « certitudes » (déclaration sur RTL de ce matin) ne sont pas suffisantes pour conclure que des pressions ont été exercées sur les médias sus-cités]
1) Je trouve ridicule votre commentaire selon lequel je serais intervenu auprès d’Agoravox pour faire enlever un commentaire... Je ne prendrai même pas la peine de démentir. Allez faire un tour sur mon blog vous constaterez que je laisse certains commentaires qui ne me sont pas du tout favorables, voir très critiques.
2) Les questions que vous posez n’ont aucun rapport avec le sujet de cette interview
3) N’ayant pas interrogé en direct les personnes que vous citez, je ne suis pas en mesure de les considérer comme assez fiables ou sérieuses pour m’autoriser la moindre conclusion définitive comme celle que vous vous permettez. Sur ce point précis que vous soulevez, en toute franchise, je n’en sais rien.
4) Je ne fuis aucun débat, mais je choisis mes interlocuteurs. J’ai des correspondances suivies avec certains membres du site ReOpen911 avec qui d’ailleurs les échanges sont constructifs et très enrichissants car basés sur un principe de RESPECT MUTUEL. A ce titre je ne vous considère pas comme un interlocteur intéressant, permettez moi cette franchise. Il n’y a pas un seul commentaire où vous n’attaquez pas l’auteur ou l’article en le considérant comme « affligeant », « nul », « pseudo-journaliste » et j’en passe... Les contradicteurs irrespectueux ne m’intéressent pas du tout.
Cher Charmord,
Pensez-vous que je sois en mesure de censurer quelque chose ici ???? et dans quel but ?
Soyons sérieux, vous devenez totalement parano...
Bonne journée ! Il fait beau, allez prendre un peu le soleil !
ok mais attention à ne pas généraliser non plus dans l’autre sens. On peut aussi ne pas avoir de carte de presse et écrire des conneries !
Et puis, un rappel utile : la carte de presse n’est pas délivrée pour « récompenser » la qualité rédactionnelle des papiers d’un journaliste ou sa compétence. C’est un critère avant tout fiscal qui est appliqué : prouver que l’on tire majoritairement ses revenus du journalisme.
Je suis sur la même longueur d’onde... J’ai relu deux fois cet article et j’avoue ne pas comprendre le raisonnement de l’auteur. Les rapprochements entre la théorie économique et les résultats des élections n’ont intellectuellement aucun sens.
Et puis je trouve le raisonnement insidueux, presque pervers.
En quoi le vote vers les extrêmes serait un signe de vitalité démocratique ?
En quoi il serait plus dangereux pour la démocratie que les électeurs se tournent massivement vers 3 ou 4 candidats en s’écartant ainsi des autres ?
A contrario de l’analyse ici exprimée, la vitalité démocratique se serait au 1er tour 12 candidats avec chacun un score situé entre 7 et 10% des suffrages exprimés ?
C’est un peu la tarte à la crème du moment de penser qu’il existerait une sorte de pensée unique, dominante et manipulatrice, qui aurait tort, et à côté des forces invisibles et étouffées, qui auraient raison contre le monde entier.
Cela en devient même agaçant de simplisme et de bêtise.
Un article qui démontre, une fois de plus, que ce fameux « 5e pouvoir », ici Agoravox, a encore du chemin à faire avant de devenir crédible : toute pensée ne mérite pas d’être exprimée, toute réflexion ne mérite pas d’être publiée.
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