Ce n’est pas un « traumatisme », mais une « rougeur ».
D’après le rapport du proc’ :
"Pendant la période qui a suivi l’inculpation, nous avons sélectionné et
consulté un deuxième expert médical, hautement expérimenté sur les
questions liées aux agressions sexuelles. Cet expert a examiné le
dossier médical de la plaignante postérieur au 14 mai 2011 et a abouti
aux mêmes conclusions de l’experte certifiée Safe, à avoir que la
coloration rouge était un élément non-spécifique, qui pouvait être
attribué à de nombreuses causes autres qu’un traumatisme : friction,
irritation, ou inflammation de la zone.
Cet expert a confirmé qu’on ne pouvait exclure que la rougeur
ait été causée par la façon dont la plaignante affirme avoir été saisie,
mais c’est selon lui peu probable.
"
Et quand bien même, DSK n’étant pas connu pour être spécialement délicat avec les femmes, même consentantes, des hématomes ne pourraient être tenus comme preuve de viol.