Olivier,
Encore une fois, l’histoire est hélas (quasi) prévisible. Le mot « quasi » provenant de l’inexistence de l’écologie dans le monde...
Maintenant, tout ça est encore et toujours de la faute aux lobbies.
J’aimerais juste pour le Fun mettre en lien ce document sur l’OSA d’arté, soit la secte de scientologie qui a faite une percée remarquable avec des méthode lobbyistes de pointe. Les gouvernements Français ont étés noyautés avec une facilité qui déconcerte. Comme sous Mitterrand et même à l’Ère Sako. Ce que je veux dire c’est que ce reportage montre en fait aussi comment un lobby perce sans problème avec de l’Argent. Le Nucléaire, Le pétrole, c’est pareil, mais pour protéger dans le domaine de l’énergie.
Les lobbies se cachent tout en agissant, comme des termites. Quand on les voient c’est trop tard...
Alors oui, les Français en particulier ont des œillères méticuleusement posées pour l’écologie et le nucléaire. Ce qui se passe à Fukushima n’arrive qu’en petites rumeurs ici. Il y a une insonorisation radiophonique remarquable... Hélas, les médias sont « supressés » (pour parler en utilisant les termes du reportages), et même contrôlés, ce qui est pire...
Bon, vous faites bien de donner régulièrement une piqûre de rappel. Fukushima est « suppressé » en définitive dans l’esprit des gens. Jusqu’au jour où... bien entendu...
Pourra-t-on éviter ce jour ? Pas sans une prise de conscience hélas en carence chronique, comme pour la vitamine D dans le sang des Français...
Que dire... sinon Excellentissime, un accessit décerné !
Négliger l’environnement et l’écologie ne porte pas que sur nature... ou sur un peu de co2 qui réchauffe toute la planète... Non... Le pire est bien plus près, sur notre santé, elle est en danger. On devrait tous se mobiliser sur l’écologie rien que pour cela.
Le cancer là dedans ? mais la conséquence Numéro 1 de la pollution dont sur la nourriture, pauvre en nutriments qui maintiennent le corps en bon état, et riche en polluants qu’ils soit intentionnels (additifs) ou en dégâts collatéraux (phytosanitaires).
Le corps sait éliminer (presque) tous les cancers s’il dispose des bons nutriments, s’il est correctement nourri (pas de mauvaises habitudes alimentaires), et ... s’il n’est pas exposé à trop de polluants. Vérité cachée et niée... par la médecine.
Le cancer n’est pas une fatalité mais le résultats des inconséquences sur notre environnement immédiat.
Les pollutions de toutes sortes augmentent... les cancers aussi. On ment sur toute cette réalité. On veut faire croire à la fatalité du cancer, mais non c’est la faute à l’industrialisation de notre environnement laquelle est une question de rentabilité et de .... capitalisme finalement.
Dans toutes les médecines anciennes et non occidentales, on sait que l’équilibre général du corps est nécessaire pour soigner toute maladie. La phytothérapie (non européenne surtout) utilise ce principe, quand le corps trop malade doit être soigné, parce qu’il tombe dans une spirale négative dont il ne peut sortir seul, car la maladie n’est qu’un auto-entretien en spirale d’un état ou le corps n’est plus en équilibre.
Concrètement, un foie, un pancréas, un rein malade, ne secrète plus des protéines nécessaires à l’estomac, intestin. Cela entraine une déficience de la capacité à assimiler les aliments, totalement ou partiellement, entretenue par des virus et bactéries opportunistes.
Or, cela provoque (à son tour et en conséquence !) la dégradation des capacités des organes précités, entretenant un cycle de la maladie. Mais alors, d’autres déficiences secondaires arrivent avec le temps... et installent la chronicité. Le système immunitaire est touché par le manque d’éléments vitaux, et tout cela se reporte sur la totalité des organes dont la peau. L’allergie est un des nombreux symptômes... et devrait sonner l’alerte.
Le Cancer couronne ces déficiences et est l’ultime stade quand la machinerie Adn (et arn en fait) déraille... à son tour.
Notre société nous rend malade, exigeons qu’elle veuille bien guérir les maladies qu’elle nous inflige, cela serait la moindre des choses. Sinon qu’elle ne cause pas de maladies : donc aller vers l’écologie... pour le respect d’un environnement sans poisons !.
D’accord le lobbying est toujours plus fort (Eva Joly en sait en rayon là dessus). Et oui, je suis d’accord avec votre article, mais je continue à penser que le citoyen porte aussi sa responsabilité si l’écologie ne sait comment percer.
Le citoyen porte la responsabilité des choses même si il a été berné par les lobbies. A force de vouloir le confort, l’énergie au presse bouton, et surtout accepter une société qui gaspille pour prôner le règne de l’abondance incontrôlable. Mais cette abondance est née du capitalisme.
Le Capitalisme ou la croissance sans limite mais qui a pour conséquence les poubelles pleines et le règne du gaspillage via la consommation. Au passage, la pauvreté sont les poubelles du monde du travail et de l’emploi. Il y a du déchet même pour parler des humains.
Ce capitalisme tout le monde y tient car l’être humain a toujours eu peur du changement. Or changer d’énergie, sortir du nucléaire aussi, fait partie des défis que l’homme redoute plus que tout. C’est trop de changements pour qu’il l’accepte alors que l’urgence est présente.
Le problème du nucléaire réside dans la sous-traitance qui génère un risque. cette sous-traitance est un problème de maltraitance au travail, de déqualifiquation de l’emploi, de tâches qui sont bâclées et qui entrainent à leur tour des failles de sécurité.
Donc on déqualifie les problèmes, on masque comme pour le nucléaire. Le vrai problème est notre attachement au capitalisme. Quand il prône croissance, consommation et destruction de l’environnement pour des profits immédiats.
Nous le savons tous, mais nous votons encore pour le capitalisme. même de gauche.
@bert
Fessenheim n’est qu’un alibi pour la gauche, qui ne fera pas une véritable politique de l’écologie, bien entendu. Le nucléaire est l’arbre qui cache l’Écologie dans une France a qui on a menti sur toute la ligne.
« La culpabilisation des gens non informés voire manipulés, et qui en plus ne détiennent pas de pouvoir réel entre les mains »
Le peuple détient le pouvoir de changer les choses entre ses mains. Du moins même dans un semblant de démocratie. Les élections sont l’aveu d’un peuple qui ne prend pas ses responsabilités au sérieux. désolé.
Même si la manipulation existe et elle est très forte, rien n’empêche le peuple de s’informer. Beaucoup décident volontairement d’abdiquer du pouvoir de faire...
« Ils », c’est aussi les Français, il ne faudrait pas l’oublier, même si ’« ils » se font manipuler par l’information : une élections hélas sans surprise...
Les seuls (ou plutôt la) qui en aurait bien parlé n’est pas de cette élection. Les Français n’ont point de cette sagesse-là. Ils attendent et ne comprennent pas grand’ chose même de cette élection.
Bah c’est écrit, la bêtise reste au commande et les moutons suivent... comme toujours.
Fukushima c’est parler du Nucléaire et d’un accident, et dans le nucléaire le mot accident ne doit jamais rencontrer en France ce mot « nucléaire ». donc...
Oui mais cela semble confirmé comme cela et la remarque sur la sous-traitance reste active dans tous les cas.
Oui olivier je viens de recevoir aussi cela... Qui voudra douter* encore du mauvais entretien des centrales par la sous-traitance ? sur fessenheim la plus ancienne en plus ? ça ne sera pas le dernier du même type, comme on a dit...
*... Bah !, les mêmes qui doutent je suppose, et qui font un feu de paille sur votre coquille nucléaire pour Yamaguchi (au fait ils ont raison il semblerait pour cette fois, mais c’est injuste d’en faire une généralité pour faire du discrédit cela dit : c’est pas jojo comme travail...).
Olivier,
Pour ce qui est des promesses de la Tepco (ou d’ailleurs, ou même électorales) qui pourrait être dupe, même dans le rang des antis ?. L’espoir fait vivre mais les statistiques ne sont pas bonnes et vous n’êtes donc pas le seul à penser plutôt pessimiste.
D’où mon texte, car ce proverbe existe aussi : « un homme averti en vaut deux ». Pour vous je crée celui-là : « un homme averti (mais borné) n’en vaut qu’un demi... ». Si l’homme décidait de prendre en compte les risques, je suis sûr qu’on aurait un espoir, même sans certitude et loin s’en faudrait vu les difficultés. Mais le pire c’est les lobbys je crois.
Car pour ne pas démentir tout ce qui précède (dans les certitudes du nucléaire), on est prêt à mettre en jeu ce qui suit. A mon avis, c’est le véritable problème. Au niveau des exécutants c’est la sous-traitance, et au niveau des décideurs, c’est les politiques. Et là on est « In der Scheiße » comme pourrait penser la chancelière allemande... Elle au moins a tirée certaines leçons, elle...
Quand à votre titre, il est plus dans le « bon sens » (au sens des actions/réactions qu’on devrait avoir !) que dans le « mauvais » (sens des réalités que je décline) qui se dessine, il se voudrait presque plus « optimisme » que le mien si on peut dire, et plus en nuances.
Hélas, on ne va pas en départager (ou débattre) car le pire n’est pas souhaitable. J’ai juste peur qu’il soit écrit plus par la stupidité que l’on constate un peu partout que par les seuls faits de l’objectivité. Hélas, c’est ici l’affaire de toute la subjectivité humaine.
Car si personne n’a de boule de cristal pour l’avenir (sauf les millénaristes ?), en revanche, les certitudes sur la nature humaine sont acquises, et là on a bien aussi les boules (mais pas les mêmes) ...
Olivier, pardon pour cette remarque, mais elle me taraude :
Le titre, je l’aurais plutôt écrit avec « An Pire » Vu la date... et vu que le pire est malheureusement devant, et pas si loin que ça contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire ici et là...
Alors l’AN PIRE, sera ou pas celui qui vient... faites vos mortels jeux, mais si c’est oui je ne sais pas si les gagnants profiteront longtemps de leurs gains...
Et pour finir un (ou plutôt deux) proverbes maisons de circonstance :
1) Le pire n’existe que parce qu’on l’ignore...
2) Le pire ne réside en définitive qu’en la bêtise humaine... soit en l’ignorance volontaire des hommes.
Olivier, ps humour (noir bien entendu de circonstance) :
Il manquerait plus que les Millénaristes viennent jeter leurs grains de ... poivre ou leurs racines d’astragale ... tout en brandissant le calendrier maya ou d’autres « sources ». Car vu la probabilité des séismes, le poivre en question se nomme plutôt Fukushima. . Avant on se contentait de celui venu d’Arvor... et on appelait cela encore de l’Info !.. Maintenant, l’intox devient de la réalité avec dans le même sac toute la Fukushima-fiction (en faisant l’avocat du diable Élyséen). .
Alors au diable (nucléaire et atomique) les antis, car ils feront comme les autres le moment venu, 21/12/2012 ... ou pas... ! et quel que soit le résultat des élections (qui ne vont rien -mais alors rien- changer à l’affaire pour le coup) !
olivier,
L’info des combustibles neufs n’a pas été confirmée ni même retenue pour moi : si vous avez un lien plutôt FIABLE qui en fait état... mais ceci dit, c’est le flou complet. En fait, ce qui était (relativement) sûr, c’est que le combustible du réacteur 4 était fraîchement déchargé, ce qui a bel et bien engendré une réaction de criticité niée par les agences nucléaires des divers pays (dont le nôtre). Je m’étonne que suite au tsunami (+ radiolyse qui suivi et la panne du refroidissement) il puisse encore rester un tel combustible, surtout vu qu’il y a déjà eu une réaction de criticité. Les autres barres (s’ils elles existent) auraient dû entrer un réaction instantanée (à cause des neutrons libérés des gaines zirconium/zircaloy de la première pile).
Et de fait, il n’y en a pas qu’on en aie rajouté depuis, et pour cause...
Donc, là j’attends plus de sources concernant du combustible (encore) capable d’entrer en criticité... Ceci dit, je ne doute pas qu’il y en aie capable de fondre très facilement (type bombe sale), surtout qu’on parle (comme en France évidemment) de MOX...
Mais si une telle information était vérifiable (invalidant au passage l’hypothèse de la première criticité ce qui n’est pas totalement impossible au demeurant), le danger serait extraordinairement plus élevé, car le panache radioactif (énorme) serait de nature à faire le tour de la terre... menaçant pas que la « faune » locale... (je dis ça pour faire écho au mépris que l’on sait pour la population).
En effet, sans combustible en criticité, la contamination, quoique extraordinairement élevée (rien à voir avec tout ce qu’on connait) resterait locale, au détail près d’une mer proche très hautement radioactive que les courants marins .... (vous me suivrez que trop bien !). Mais en cas de panache de la sorte... tous aux abris antiatomiques... si vous le pouvez !!!.
Olivier,
Pour être juste et exact la criticité ne peut arriver parce qu’elle s’est déjà produite avec le combustible du réacteur 4 fraîchement entreposé... Néanmoins, le manque d’eau produirait un feu radioactif des centaines de fois plus radioactif que celui de Tchernobyl... ce qui est en soi largement suffisant pour faire cauchemarder !
En effet, l’étanchéité de la piscine 4 avait été évoquée l’an dernier, puis bien vite « oubliée » par la suite. On sait depuis que la piscine justement parce qu’elle est sur-élevée est fragile sur un défaut d’étanchéité... qui hélas s’est produite. Elle est rafistolée, et elle n’est pas « safe » bien évidemment... En fait il aurait mieux valu à la construction soit de la laisser au sol, soit la sur-élever bien plus. Mais en fait c’est le site tout entier qui n’est pas là ou il le faudrait, bien entendu. Maintenant il a été construit pour un accès à l’eau de mer, eau qui n’aura même pas été utilisée dans l’urgence...
Et vous avez raison, on ne voit pas comment ils vont rétablir le matériel de maintenance autour de cette piscine, or il est essentiel pour le déchargement du combustible. Bien des questions qui attendent... le prochain séisme dévastateur. Les multiples séismes n’annoncent en effet rien de bon.
J’en connais 1 à l’ Élysée qui préfère que rien n’arrive pendant les élections...
Au fait, à propos des séismes, on théorise sur l’augmentation des températures en relation avec leur fréquence. Sans que l’on ne puisse en être certain, c’est loin d’être sot. Et dans ce cas, le Japon est première ligne.
En tout cas les mensonges continuent à Fukushima, comme en France d’ailleurs, c’est le même parallèle. Donc on se demande jusqu’où il faudra aller pour avoir la vérité. J’ai bien peur de la réponse quel que soit les éternels bipolaires. La France n’a jamais su assumer ses contradictions., hélas.
Et pour finir, tout est question de temps : Tic Tac vers une nouvelle catastrophe nucléaire. Le pire c’est que la construction des centrales s’accélère or cela crée un problème pour les déchets dans les piscines, dans le « retraitement » et le stockage. Bref rien n’est réglé quand dans le même temps la sous-traitance gagne des parts dans les filières nucléaires. Cela revient à accélérer le compte à rebours. Voilà qui ne rassurera pas les plus informés. Et pour les autres, le réveil sera très dur.
Bref, Edf est passé d’une solution commode à un problème gênant. Il faut donc cacher par tous les moyens et nier même pris la main dans le sac. Minimiser à tout pris, cacher... jusqu’à l’absurde. Car les sous-traitants parlent... quand usés ils n’ont plus rien à perdre. jusqu’à quand ? Hélas on va le savoir, à Fukushima ou ailleurs...
Re bonjour oliver.
Merci de parler aussi de ces fameuses piscines. Il faudrait quand même mettre les pendules à l’heure du nucléaire (et peu importe les sources erronées décriées, il me semble que c’est un débat important).
Le combustible de moins d’un an qui y séjourne (et c’est presque toujours le cas car il provient du dernier déchargement généralement récent) peut encore entrer en fission de criticité (et c’est ce qui c’est passé à Fukushima et qui s’est répandu autour de la planète).
Pour le reste, il peut prendre feu puis couver pendant des décennies comme le corium de Tchernobyl. Vu le tonnage des piscines de déchargements de chaque centrale dans le monde qui stockent en moyenne la majorité de leurs déchets de fonctionnement (il s’en retraite moins qu’il s’en produit) il y a de quoi empoisonner la planète au moindre pépin du refroidissement.
Et s’il y avait que le problème de l’alimentation et de l’entretien des pompes... Mais il y a celui de l’eau (de refroidissement) qui pourrait manquer (ou devenir trop sale ou chaude pour être utile) avec les problèmes climatiques...
Bref, les piscines et leurs combustibles de la Hague ou des réacteurs, sont des menaces réelles et sérieuses qui dépendent de la maintenance des sous-traitants comme des intempéries... Quand on voit que la Hague privatise la sécurité du refroidissement... donc la passe à la sous-traitance, voilà qui fait froid dans le dos...
C’est ce gouvernement (et pas un autre) qui aura mi la pression sur EDF pour la rentabilité et accéléré les descentes de coûts dans la sous-traitance, accélérant les risques, la sécurité trinquant pour la rentabilité...
Errare Humanum Est... oui mais c’est pire si le politique ou le financier s’en mêle avec la crise... Et là, il n’y a pas d’erreur qui tienne quand c’est de la bêtise pure...
Bonjour olivier (non je ne suis pas encore mort... mais juste très malade et occupé)
Oui c’est vrai pour les doses quand ici il se prennent 20 msv max pour nos travailleurs c’est inconcevable ce qui se passe pour ces liquidateurs de Fukushima. A 20 il sont déjà bien malade alors au delà...
Mais C’est comme Penly, ou les problèmes de viennent évidemment des sous-traitants de l’atome. des cas comme ça .... des Penlys, il va y en avoir de plus en plus.
A force de classer 1 (incidents) des accidents à la fin il va y en avoir un de trop évidemment. Mais ça fait tâche pendant les élections.
Donc la suite est écrite, ça nous Penly au nez si je puis dire... Les politiques n’ont pas un Atome de bon sens. le nucléaire n’a plus de raison d’être, sauf celle de tuer inutilement, ne serait-ce ceux qui travaillent dans le cambouis radioactif des centrales
On nous raconte par exemple la fable qu’on ne sait pas stocker l’énergie verte. Maintenant qu’on commence à comprendre qu’on peut la produire correctement c’est la nouvelle objection. Or il se trouve qu’on sait de mieux en mieux et facilement la transformer en hydrogène voire en méthane (avec le carbone de l’air qui nous embête). ce qui permet de stocker ou de transporter l’énergie. Et sinon il y a d’autres solutions...
Le véritable problème n’est pas là, il est politique. Mais à l’heure des élections, on préfère digresser de l’atome sur des sujets moins énergiques et plus préoccupants à court terme, car économiques. Pourtant l’économie est dépendante de l’énergie... Cherchez l’erreur.
Bref, toujours la même course d’autruches... ou elles perdent une énergie folle à cacher les mêmes problèmes...
Bonjour, ce c’est pas sans doutes sans rapport avec ma propre expérience et mon article :
http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/l-aluminium-ce-poison-legal-qui-110374
Malheureusement, comme toutes les MFM (et autres), vous-êtes probablement confrontée au syndrome de l’adjurant aluminium.
L’hypocrisie est totale dans son domaine puisque l’alu est présent partout, et en bonne place dans les vaccins.
Vous faites peut-être allusion à mon propos ? donc je réagis... je sous-entends en effet de changer de modèle, mais alors je précise ceci : il ne faut pas confondre l’outil et la main. C’est pas l’outil qui fait l’œuvre , mais bien la main qui le guide.
Donc il ne s’agit pas que de juste déposer le capital bien entendu, puis qu’il faut définir le remplaçant. Abolir le capital n’est que la conséquence de la prise de conscience, une étape. le véritable défi reste la prise de conscience du citoyen qui dois s’approprier le débat.
En ce qui me concerne, je ne pense pas que la réponse vienne spontanément du système (existant), soit du politique actuel. Rein ne se fera sans que le citoyen ne l’exige. mais pour cela il faut qu’il soit informé des choses. Or s’il y a bien un problème, c’est l’information qui reste sous le contrôle de l’État, mine de rien...
Je suis d’accord avec ça aussi : s’il y avait eu une réponse ni oui ni non, ou une note genre 50% je l’aurais prise. Même si j’ai fait un oui de défaut pour ma part.
Sûrement parce que je préfère peu au rien du tout pour avancer.
Et oui pour le « Change toi et le monde changera » : réflexion en fait très intéressante. SI personne ne bouge le monde ne changera pas, c’est le concept du « Change toi ». Mais l’inverse n’est pas vraie pour autant : se changer (de mentalité) signifie en rien que les autres vont suivre. Donc ce sera la goutte inutile.
Ce qu’il faut c’est plutôt de l’action : « Changer les autres (comme soi) ». Il ne sert à rien de changer son monde sans concrètement influencer les autres. C’est clair qu’il y a du débat, et comme je l’ai indiqué plus haut dans un autre commentaire, c’est qu’il faut mettre en place la réflexion citoyenne, le groupe citoyen, l’action solidaire.
Pour l’instant ce débat n’a, en effet, rien de commun avec l’action institutionnelle. La première question n’est pas de faire de l’écologie paradoxalement, mais de commencer la réflexion... du comment faire (de l’écologie) en commençant par s’entre-aider.
C’est là qu’on est en plein dans la démarche d’appropriation collective., de la prise de conscience, car c’est en effet votre propos : ouvrir les yeux sur la réalité (naturelle) qui existe déjà et oublier l’écran de fumée de la société du capital...
@amipb (et pas seulement)
En effet, c’est pas mal : une bonne idée. Je crois que le citoyen doit se réapproprier le débat, car les politiques et et les institutions sont en dehors de la plaque comme on dit.
C’est par la bataille du peuple pour et par le peuple qu’on y arrivera. Bien entendu, sur le fond j’approuve l’article et tout ce qui fait avancer, même l’action militante (même si pour moi c’est parfois plus du pétard chinois pour attirer l’attention, et qu’il en faut aussi...).
En revanche, les groupes citoyens, les initiatives qui notamment utilisent le net en sortant des voies politisées, pour s’approprier une vrai réflexion indépendante, ça j’agrée pleinement car on avance vers le concret.
Donc, oui, ce genre de mouvement m’intéresse tout particulièrement... merci.
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