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Les commentaires de Valéry Schollaert



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 7 décembre 2012 15:36

    certains commentaires émanant de pseudo végétariens prêtent à confusion...


    J’aimerais bien savoir en quoi les végé(ta*ien) de ce site sont-ils « pseudos » ?


    - les insectes ingérés avec les fruits et légumes ne sont pas considérés comme des animaux...

    Bien sur que si qu’ils sont des animaux. En général, toutefois, le retire les insectes de ma salade avant de l’ingurgiter  smiley . C’est une question qui frôle le trollage non ? Mais c’est évident que je ne tue pas un insecte plus qu’un chien. Je suis aussi antispeciste. 

    - ces mêmes insectes ne souffrent pas quand on les ingère... comment pouvez-vous affirmer cela ????

    Je n’ai jamais affirmé ça. Il est évident que l’insecte souffre s’il est blessé.

    - le lait, les oeufs, le fromage ne sont pas des produits issus de la production animale ??? ces pauvres vaches et poules exploitées pour leur lait et oeufs respectivement... ne parlons pas des produits utilisés pour une production intensive....

    Tout à fait d’accord. C’est pour ça qu’il y a des végétaliens, et que la plupart des végétariens (malheureusement pas tous) ne mangent que bio et local, connaissant souvent le producteur et dans quelles conditions vivent les animaux. C’est sur qu’entre un oeuf de batterie et un oeuf d’une poule libre dans un village africain, on a pas le même produit.


    - les végétaliens stricts ne prennent-ils pas des compléments alimentaires ??? ceux-ci généralement produits à grande dose de génie-génétique dans.... des LEVURES mais bon les levures ne sont pas des animaux non plus....

    Non, et ceux qui le font éventuellement que je connaissances choisissent des supplément alimentaire fait de produits végétaux, bio, garanti sans OGM.

    - les légumes et les fruits n’ont-ils pas non plus été créé par l’homme ??? vous connaissez la culture sélective ??? et les croisements forcés entre les plantes ??? la plupart des fruits et légumes actuellement consommés par les « hommes civilisés » ont été créés de toute pièce... essayez donc de manger une carotte sauvage si vous pouvez en trouver une...


    Bien sur qu’on a sélectionné des variétés. Et alors ? A-t-on dit que c’était gênant ? Rejeter la viande dans un monde surpeuplé, et encourager le bio et les productions locales de saison ne sont en rien en contradiction avec le choix de variétés sélectionnées par l’homme.

    Essayer SVP de comprendre les propos de vos interlocuteurs avant de les critiques, si nécessaires.



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 7 décembre 2012 08:43
    Bien sûr que nous ne pourrions pas tous chasser. Les sous-bois seraient vides en 1 semaine. Et alors ? Si on jouait tous au golf, la planète ne suffirait pas pour tout les parcours. Vous voulez aussi réduire la population humaine ou interdire le golf ? 

    Les deux pardi !

    Et le truc du « un animal tue uniquement pour se nourrir » est un des lieux communs faux les plus répandus qui nous vient de toutes ces idées idiotes du « bon sauvage ». Il suffit d’avoir un chat, ou de regarder 3 documentaires animaliers pour s’en rendre compte. 

    Le chat est un animal domestique dont le comportement a été modifié par l’être humain. Pas besoin de documentaire : en 25 ans d’observation de la nature (c’est mon boulot) : je le répète : pas de gaspillage des animaux sauvages, si pas individuellement, ensemble. Le lion laisse une partie de sa proie, mais hyènes, vautours et gypaètes finissent le boulot.

    Et oui, je maintient que les Africains font les cons avec plusieurs espèces animales. Tirez dans un nuage d’étourneaux et ne pas les ramasser n’est peut-être pas très malin ( ceci dit c’est pas perdu pour tout le monde, et dans la nature, une proie ne reste jamais longtemps à personne. Pensez à la famille du renard pour qui votre chasseur pas très respectueux est le messie ), mais ça n’a pas tellement de conséquences. Alors que de s’acharner à tuer les derniers rhinocéros et gorilles, ça ça en a d’autant plus que les touristes sont très friands de ce genre de bestioles VIVANTES.

    Sauf que ce soit les chinois qui tuent les Rhinos, appuyés de quelques africains, bien sur, qui sont payés des fortunes (vu que la corne de Rhino s’achète €10.000 le kilo en Chine). L’énorme majorité des africains sont évidemment contre se braconnage, et un individu accusé de braconnage passera des années en prison. Il y a aussi une CHASSE AU RHINO organisée en Afrique du Sud, mais organisateurs et clients sont des blancs,comme par hasard...

    Donc c’est bien, apprenez leur à manger des radis.

    Qui se plaint des lieu commun ? La nourriture végé est une des plus attractive et variée de la planète... lisez Valérie Cupillard par exemple...



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 7 décembre 2012 08:18

    http://www.vegeshopper.com/2012/12/thomas-lepeltier-un-philosophe.html#more


    Un philosophe végétalien contre l’élevage industriel : Thomas Lepeltier
    Avec Thomas Lepeltier, la philosophie s’intéresse de nouveau au végétarisme et à la condition animale, des sujets qu’elle avait eu tendance à délaisser.
    Historien et philosophe des sciences, Thomas Lepeltier est l’auteur d’un article remarqué, « Faut-il encore manger de la viande ? », paru ce mois-ci dans Sciences Humaines.
    Impressionné par son passage dans l’émission La Tête au Carré, sur France Inter, je lui ai demandé de philosopher avec nous.
    Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
    Thomas Lepeltier : Je suis un chercheur indépendant en histoire et en philosophie des sciences. J’ai été amené au végétarisme puis au végétalisme assez récemment suite à différentes lectures, notamment Un Eternel Treblinka, de Charles Patterson, paru chez Calmann-Lévy en 2008. Poursuivant mes lectures sur l’éthique animale, je me suis rendu compte que le végétalisme était la seule position cohérente en ce qui concerne notre relation avec les animaux.

    Quels rapports le végétarisme entretient-il avec la philosophie ?

    T.L : Notre rapport aux animaux a été très peu ou très mal pensé par les philosophes. À quelques exceptions près, il faut attendre la seconde moitié du vingtième siècle pour voir des philosophes essayer de définir une position cohérente vis-à-vis des animaux. Tristement, cette réflexion, qui relève de l’éthique animale, est absente en France.

    Et Descartes ? A-t-il vraiment une responsabilité dans l’image que nous nous faisons des animaux ?
    T.L : Descartes a bien sûr joué un rôle important dans le déni de la sensibilité des animaux, mais il ne faudrait pas l’accuser de tous les maux. La cruauté envers les animaux est constitutive de notre civilisation. Si Descartes n’avait pas existé, je pense, hélas, que leur condition serait similaire.
    Vous dénoncez la schizophrénie consistant à choyer, voire à protéger légalement certains animaux, et l’extrême cruauté des abattoirs. Jusqu’où ira cette contradiction ?
    T.L : Elle ne pourra pas s’éterniser. Depuis de le dix-neuvième siècle, le malaise face à la souffrance des animaux va croissant. Il y a de plus en plus de lois protectrices des animaux et, à différents niveaux de la société, le bien-être des animaux est mieux pris en compte. En même temps, jamais la condition des animaux de rente n’a été aussi abominable. Ce paradoxe n’est possible que parce qu’on ne voit pas dans quelles conditions effroyables ils sont élevés et abattus. Je dirais même que l’on fait tout pour ne pas le voir. Mais je ne pense pas que cela puisse continuer longtemps. Viendra un jour où nous devrons nous mettre en accord avec nous-mêmes.
    Etes-vous optimiste quant à l’essor du végétarisme ?
    T. L : Oui. Les carnivores ne veulent pas savoir ce qui se passe dans les élevages et les abattoirs, une véritable hypocrisie de leur part. « Ne me parlez pas de vos histoires d’abattoirs, répètent-ils, vous allez gâcher mon repas ! ». La première chose à faire est donc d’informer. Il faut forcer la société à regarder ce qui se fait en son nom dans les élevages et les abattoirs. Ensuite, il faut agir au niveau législatif, faire pression sur les hommes et les femmes politiques pour qu’ils adoptent un système législatif cohérent. Enfin, il faut montrer que l’on peut très bien manger et très bien vivre en étant végétalien. Le végétalisme souffre en effet d’une mauvaise image, propagée par des carnivores de mauvaise foi. Votre blog joue ce rôle, très important.
    Que vous inspire la notion de végétarisme éthique et cette éthique ne se heurte-t-elle pas, en dernière analyse, à la loi du marché ?
    T.L : Un végétarien éthique est une personne qui refuse que l’on fasse souffrir des animaux sans nécessité, juste pour son plaisir. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Quant au marché, il peut certes poser des problèmes éthiques, je le reconnais. Mais je ne considère pas que le marché soit la cause première de l’exploitation des animaux. L’esclavage n’a plus sa place dans notre société moderne depuis qu’il a été aboli, sans que les principes de l’économie aient dû être modifiés pour autant. Pourquoi la consommation de produits d’origine animale ne pourrait-elle pas, elle aussi, être abolie dans le cadre d’une économie de marché ?
    Que diriez-vous à un carnivore pour le convaincre d’adopter une diète végétarienne ?
    T. L : Je poserais une question toute simple : acceptez-vous que l’on fasse souffrir des animaux juste pour votre plaisir ? Si la personne répond « oui » et continue à manger de la viande, je lui dirais que, pour être cohérente, il faudrait qu’elle soit favorable à la suppression des lois anti-cruauté. J’avoue que je n’ai encore rencontré de personne qui se revendique de cette cruelle cohérence. Si la personne répond sincèrement « non », je lui dirais alors qu’il faut qu’elle devienne végétalienne, ou du moins quasi-végétalienne, afin d’être cohérente avec elle-même puisque la nourriture d’origine animale repose, presque toujours, sur une cruauté non nécessaire et souvent effroyable.

    Considérez-vous votre article dans Sciences Humaines comme militant ?

    T.L : Non, un militant de la cause animale est une personne qui entreprend des actions en faveur de cette cause. Un article militant inviterait donc les lecteurs à agir, ce qui est une très bonne chose mais n’était pas mon propos. Je n’ai fait que décrire une situation et développer une argumentation logique. Si mon article donne l’impression à de nombreux lecteurs qu’il est militant, c’est probablement qu’ils ressentent que la situation décrite et les arguments présentés appellent d’eux-mêmes un changement d’attitude en faveur du végétarisme. Mais ce n’est pas l’article qui le demande explicitement. Cette conclusion doit s’imposer d’elle-même au lecteur. Développer une argumentation rationnelle n’est pas faire du militantisme.


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 6 décembre 2012 23:49

    Musebox, voici qui prouve que vous dites n’importe quoi.

    « Les accidents de la route c’est 70 000 ! »

    VOICI LA REALITE
    "En France, malgré les efforts de la sécurité routière et la politique du gouvernement (radars notamment), les accidents de la route font annuellement plus de 4000 morts"

    http://www.controleradar.org/tag/code-de-la-route
    Autre sujet. Trouvez UNE SEULE ETUDE SCIENTIFIQUE qui prouve qu’un vaccin a soigné une maladie, on en reparlera. Il n’y en a aucune. Que des suppositions. On a introduit des vaccins. La maladie a disparue. Mais les maladies sans vaccins disparaissent aussi. Alors, comment aurait réagis la maladie sans vaccins ? Nul ne sait. Mieux ? Pire ? Idem ?

    En Afrique, j’explique aux enfants de ne pas aller se faire empoisonner par les vaccins. Qu’il garde leur système immunitaire efficace, au lieu de le détruire...
    http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-33795290.html

    J’ai fais une malaria sous lariam en 1997, une sous malarone en 2002. Depuis, je boycotte tout médoc allopathique : plus d’aspirine, plus de malarone, aucun vaccin. Résultat ? Plus de malaria. Plus de grippe. Lorsqu’on arrête de s’empoisonner avec la malbouffe et les médicaments, on est en meilleure santé. Logique, non ?

    Mais on s’égare du sujet. Une idée pour un prochain article ? Michel, un petit résumé sur les vaccins et la médecine allopathique serait la bienvenue...

    Idée de lecture :

    Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent !
    Jean-Jacques Crèvecœur et Ananou Thiran
    Jouvence Editions


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 20:21

    « Alors si un jour un mec trouve un remède au SIDA, en ayant pour celà buter des centaines de singes et de souris, ça sera un enfoiré ou un héros ? »


    Votre problème est de ne pas (vouloir) comprendre la globalité des problèmes ni à la globalité de la vie ; même pas celle de l’espèce humaine.

    Le sida est un invention d’un laboratoire humain, issue d’immondes tests sur les animaux (savez vous qu’on crée constamment de nouvelles maladies pour la recherche, notamment militaire ?), et maintenant on fait des tests, encore sur des pauvres animaux, pour essayer de soigner.... l’espèce humaine est une ordure et les chercheurs qui utilisent, avec ou sans succès, des animaux pour les tests sont des horribles ordures et des enfoirés en effet.

    Le cancer, qui n’est pas une création humaine comme le SIDA n’est pas un problème à détacher des autres problèmes. Notre société est cancérigène avec sa viande, ses ondes électromagnétique, ses pesticides, ses OGM et j’en passe. En France, le monde médical estime qu’un français a actuellement une chance sur deux de contracter un cancer dans sa vie...

    L’espérance de vie augmente oui, car nous sommes des assistés. S’il y a 50 ans, avec une espérance de vie disons de 60, on nous avait demandé : souhaitez-vous vivre 150, mais toute votre vie vous devrez prendre des médicaments, fréquenter les hôpitaux pour y recevoir soin et nourriture par intraveineuse, et vous protéger constamment des bactéries avec du matériel stérile, en évitant de toucher des gens, portant des maques... qui aurait accepté ?

    Pourtant, c’est bien ça qu’on se dirige. Une vie longue possible pour des riches qui ont les moyens de payer les soins, et une population pauvre, de toute façon trop nombreuses, qui périra faute de soin et de nourriture. C’est déjà ce qui se passe, chaque année, un peu plus.

    Ainsi, les riches, avec leur mauvaise santé, sont une source de revenu assurée pour les labos pharmaceutiques, ceux-là même qui nous empoisonne avec des pesticides et nous déconseille le végétarisme... forcément. Un homme en bonne santé, donc qui ne prend AUCUN médicament, ça ne rapporte rien...

    Faut vous réveiller les enfants !


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 17:44

    « Offrir le plaisir de tuer c’est quasi un signe de débilité mentale, d’arrièrisme barbare »


    Exact.

    et un vegetarien raciste ?
    genre BB

    Avant d’utiliser un mot, foufouille, tu devras essayer de comprendre sa signification. Ne pas aimer les tueurs, les chasseurs, les violeurs n’est en rien raciste. Raciste c’est avoir des préjugés sur des races. Un chasseur ou un violeur n’est pas une race. C’est un être humain qui se comporte très mal ; rejeter son comportement est la responsabilité de tous les autres.

    Ne pas confondre non plus racisme et refus de la colonisation. Je suis contre la colonisation de l’Afrique par les blancs ou les chinois, comme je suis contre la colonisation de l’Europe par les arabo-musulmans. Rien avoir avec du racisme. Je n’ai juste pas envie que la Charia soit appliquée en Europe, comme le souhaite, par exemple, le nouveau parti « Islam » en Belgique. C’est une opinion politique raisonnable qui n’est en rien du racisme... j’ai l’impression de parler à un jeune ado...


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 17:38

    Les désatres liés à la consommation alimentaire sont incomparablement plus graves que les conséquences de la chasse.


    On a jamais dis le contraire. Mais quel est le rapport ?


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 16:29

    J’ai beaucoup de mal à comprendre qu’un vrai écologiste n’aime pas la chasse. C’est l’activité la plus vieille du monde. Tout les animaux chassent, et l’être humain est un animal non ? Alors pourquoi ne pourrions nous pas chasser ? 

    Parce que nous sommes 7 milliards. Réduisons la population humaine à 10 millions, alors on pourra chasser. Ceci dit, si l’homme aspire à être autre chose qu’un petit prédateur minable et opportuniste, il faut aussi changer de comportement...


    S’offusquer d’une chasse à cour, et vouloir réintroduire des loups qui tuent exactement de la même façon, en chassant à l’épuisement, c’est pas de la connerie peut-être ? 

    Non, car il n’y a pas 7 milliards de loups sur la planète.

    Aimer la nature et ne pas savoir qu’elle n’a pas besoin de l’être humain pour être sanglante, est-ce l’aimer vraiment ? 

    La nature est sanglante ? Un animal tue pour se nourrir. Un homme tue pour s’amuser, pour un trophée, pour le spectacle. C’est totalement différent. Un animal fait partie d’un équilibre, l"homme déséquilibre tout. C’est totalement différent. Nous sommes trop nombreux, gaspillons trop, détruisons de trop... la moindre personne consciente de cela devrait respecter chaque être, animaux, plante... ne pas arracher le moindre brin d’herbe sans une bonne raison.

    Qu’on empêche l’être humain de détruire des espèces, c’est le moindre bon sens et c’est ce qu’on fait en France, contrairement à certains pays d’Afrique qui continue d’exterminer des espèces entières, puis se plaint de mourir de faim.

    Hé ! Justement j’habite l’Afrique. Il ne faut pas parler sans savoir. Les exterminateurs sont les étrangers, appuyés par quelques locaux corrompus, mais la population est bien plus respectueuse de la nature que le chasseur français. Je viens de passer quelques semaines en Gironde, je suis dégoûté de la chasse à vie. En 50 pays visités dont 22 en Afrique, je n’AI JAMAIS VU UN MASSACRE PAREIL. Remplir des sacs poubelles entiers de grive, c’est ça votre respect de la nature ? Tirer sur un groupe d’étourneaux et en faire tomber plusieurs sans même les ramasser, c’est ça votre bonne gestion des ressources ?


    Qu’on l’empêche de chasser parce qu’on a peur du sang, c’est un truc de bobo citadin qui n’aime pas les arêtes dans son poisson pané.

    Sauf que... j’habite la campagne sauvage en Afrique, suis végétarien, et des DIZAINES d’africains sont désormais en meilleure santé car ils ont banni la viande de leur régime suite à mon enseignement. Eux comprennent le ridicule de la chasse. Les pays civilisés ne sont pas toujours ceux qu’on croit. Le Costa Rica et le Botswana ont banni la chasse. A quand la France ? 



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 15:17

    Franchement si vous voulez vous attaquez au pollueur et etc, mais attaquez les grosses entreprises ! 


    Je le fais AUSSI - et même plus. 


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 15:04

    Il faut abolir la chasse ET la production de viande, évidemment.



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 14:59

    LA CHASSE DOIT DISPARAÎTRE et va disparaître.


    Ces débats sur la chasse ont la vie dure, et même si l’expérience montre maintenant que la chasse est une plaie significative pour l’environnement et la biodiversité, certains « naturalistes » continuent de défendre cette pratique d’un autre âge. Je vais donc faire deux brefs rappels.

    Le premier est que ce que font le chasseurs comme action éventuelle de protection de la nature (certains le font, c’est indéniable) ne justifie en rien leur pratique. Ici, il ne s’agit pas de discuter d’un compromis éventuel avec une fédération de chasseurs, mais de discuter de l’action même de chasse. Selon certains, par exemple, le fait que les chasseurs aient créé des réserves, rend la chasse utile... Ben voyons. L’ensemble de parcs nationaux du Gabon, qui protègent 11% du territoire d’habitats naturels (cette fois on peut dire naturels) n’existe que grâce à l’intervention financière de Shell. Selon la théorie cette théorie, le forage pétrolier est donc une activité utile à la nature ! Soyons sérieux : il ne faut pas tout mélanger. Certains chasseurs font des projets utiles, cela ne change rien à l’action de chasse elle-même ! Toutes les entreprises malfaisantes de la planète se donnent une image verte en faisant de la protection de la nature. La chasse en fait partie, comme les pétroliers, etc.

    Le second concerne les éternels « dégâts » que fait la faune sauvage à nos cultures et autres activités économiques. C’est quand même assez extraordinaire, fondamentalement, que nous occupons, avec nos activités, virtuellement 100% du territoire européen, mais qu’on accepte même pas que quelques animaux profitent de notre production. Que les déséquilibres provoqués par l’homme entraînent l’augmentation de quelques espèces opportunistes n’est pas un scoop. Toutefois, la chasse n’est pas la solution pour deux raisons assez évidentes qui ont déjà été exprimées de nombreuses fois.

    D’une part, les chasseurs ne souhaitent pas réguler effectivement cette population, car la surpopulation de leur gibier est la justification de leur activité. S’il n’y a pas assez de gibier, on le nourrit, on en relâche, pour s’assurer des cibles vivantes en quantité suffisante. Donc même si c’était souhaitable de gérer violemment des populations opportunistes (hmmm... dans ce cas c’estHomo sapiens qui devrait en être la première victime...), ce n’est certainement pas aux chasseurs qu’il faudrait confier la tâche !

    D’autre part, la surpopulation ponctuelle d’une espèce est le reflet d’une problème concret. Ainsi, les populations de goélands augmentent surtout à cause de nos techniques de pêche qui provoquent un énorme gaspillage (et les goélands sont les nettoyeurs naturels de la mer). Tuer les goélands, ça revient à mettre plein de saletés dans notre rue et tirer sur les gens qui viennent balayer sous prétexte qu’ils sont trop nombreux. Non, la solution est évidemment d’arrêter de sur-pêcher et rejeter 3/4 de la pêche à la mer, mort, pour une rentabilité maximale (vu les quotas, on ne garde que les prises à la valeur de vente élevée). Idem avec les Corbeaux familiers sur la côte de Tanzanie, que l’on empoisonne en masse (environ 500.000 empoisonnés en deux ans à Dar-es-Salaam), alors que le seul problème est qu’on leur fournit des tonnes de bouffe dans des décharges à ciel ouvert de déchets non triés.

    Il faut comprendre les populations élevées de quelques espèces comme la fièvre d’un malade. Le fièvre n’est pas le problème, c’est un symptôme qui est là pour tenter de régler un problème, et par la même occasion nous signaler le problème. Faire tomber la fièvre ne soigne pas la maladie, au contraire. Gérer les espèces abondantes ne règle en rien le problème. Au mieux, ça donne l’impression provisoire qu’il est un peu moins grave... et donc nous permet de continuer notre mauvaises utilisation des ressources naturelles sans trop y penser.

    Il y n’y a plus que deux raisons qui justifient la chasse : le plaisir qu’à le chasseur à tirer et tuer un animal, et les retombées économiques. Sur le plan environnemental, il faudrait arrêter ça immédiatement, à l’instar du Costa Rica ou du Botswana, qui ont annoncé la fin de cette activité barbare. Finalement, sur le plan « nature », les pays « développés » ne sont peut-être pas ceux qu’on croit !

    TOUS les naturalistes, devraient, ensemble, s’unir contre la chasse pour une abolition définitive. Au lieu de ça, on passe notre temps à discuter, et les chasseurs se frottent les mains, continuent à massacrer des millions d’animaux chaque année, déverser du plastique et autre déchets dans la nature, piétiner le sol des habitats semi-naturels, faire fuir les promeneurs, sans parler de l’empreinte écologique de leur activité en terme d’énergie (4x4, poudre, fabrication des munitions et des armes, etc). Je prie la personne qui souhaite contre-argumenter de LIRE attentivement ce message avec de répondre, pour éviter de répéter encore et encore la même chose. Merci.




  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 14:51

    LE CHAT, les sanglier augmente parce qu’on les nourrit (volontairement et involontairement). Sans nourrissage le problème disparaîtra de lui-même...



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 14:35

    L’auteur de ce billet est un génie, car grâce à lui, on peut enfin parler de la surpopulation humaine, sujet encore tabou voilà 10 - 15 ans. Maintenant, on peut féliciter les non parents sans se faire rejeter comme auparavant.


    Sa technique fonctionne : un de ses titres phare, « faire des enfants tue », est un des piliers de cette prise conscience en France.

    Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Evidemment, d’ici 10 - 15 ans, lorsque le végétarisme sera accepté par tous comme une voie logique (sans pour autant être appliquée, ça c’est une autre histoire) - comme la dénétalité est en passe de le devenir - on aura sans doute oublié le travail du grand Michel !

    On tue le messager, mais le message est lu quand même... c’est bien une réaction humaine ça. Alors, BRAVO MiCHEL. Tu dis tout haut, avec force et sans détour, la réalité crue telle qu’elle est... les réactions ne font que prouver que tu as visé juste... une fois de plus ! Encore, vivement le prochain article !


  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 12:33

    Foufouille, est-ce qu’il y a une règle contre les trolls sur Agoravox ? Je suis nouveau ici, mais toi tu en es un exemple type de troll (je m’en servierai pour illustrer ce qu’est un troll à l’avenir). Je ne me souviens pas avoir lu autant « d’informations » débiles, pour peu qu’elles soient compréhensibles...



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 12:31

    Lorsque l’esclavagisme était de rigueur en occident, avec les anti qui faisaient du militantisme pour les droits de l’homme, on observait à peu près la même chose. Quelle bande de sectaires !



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 12:29

    MEME MESSAGE AVEC LA MISE EN PAGE... désolé, me couleurs ont disparues. Je ré-essaye.


    C’est rare une aussi mauvaise argumentation. Pour les crédules éventuels, voici où se trouvent les mensonges et fausses informations

    Les animaux sont suffisamment intelligents pour qu’on ne les tue pas mais pas assez pour qu’on leur apprenne à ne pas consommer de viande... Pourquoi ? Allons jusqu’au bout et donnons des croquettes végétales à nos chats, chiens, etc... Au risque de faire exploser notre écosystème avec les cultures intensives !


    Il est accepté comme fait par tous les scientifiques et agronomes, même ceux qui sont pour la consommation de viande, que plus de 70% des cultures dans le monde servent à nourrir le bétail. Donc en mangeant des végétaux, on DIMINUE le besoin en végétaux. Pour faire simple : il faut donner le repas de 20 personnes à une vache pour obtenir le le repas d’une personne en viande bovin...

    C’est le respect de la nature et du vivant... Non, tout au plus du reigne animal, et encore... La plupart des plantes que nous consommons est issue de la création de l’homme (sélection, etc...) Sans parler des OGM, qui sont encore plus la création exclusive de l’homme... La culture intensive des plantes nécessaires à l’alimentation de plusieurs milliards d’êtres humains végans ou pas mène déjà l’humanité sur une pente douteuse faite de déforestations massives et d’industrialisation de l’agriculture (avec son corolaire de pesticides, fongicides et herbicides) dangereuse pour notre écosystème... Faut-il vraiment en rajouter en rendant tous les humains et leurs animaux de compagnie végétaliens ?

    En fait, le besoin en agriculture végétale intensive est due à l’industrie de la viande. Les manipulations organisées par l’industrie en faveur de la viande sont là pour ça : il faut justifier le besoin des OGM par exemple. Car sans les productions céréalières nécessaire à la production de viande, il y aurait largement assez à manger pour tous, et donc exit de la nécessité d’augmenter la production avec les OGM...


    Le végétalisme est le refus de tout produit animal ou issu des animaux. Bien. Le miel par exemple n’est pas consommé. Bien, donc tout ce que font les abeilles ne doit pas être consommé ? Qui donc pollinise les plantes ? Et n’est-ce pas un animal, l’homme qui les fait pousser ? On aurai l’air fins si quelques milliards d’humains devenaient cueilleurs exclusifs... Surtout au cœur des villes !


    Les abeilles existaient bien avant l’homme et, sans nos insecticides, elles continueront à faire leur travail, d’autant mieux si on ne détruit pas leur ruche pour voler leur miel. La population sauvage, naturelle, est largement suffisante. Mais évidemment, si on les empoisonne avec des insecticides... 

    Il n’y a pas de carence dans le régime végétaliste... A part la vitamine B12, l’iode et plein d’autres détails qui forcent les adeptes à compléter leur régime par des compléments pharmaceutiques qui sont extraits... D’animaux ? Manger sain, ok, mais manger sain en me gavant de pilules qui viennent de je ne sais où et qui contiennent je ne sais quoi... Non merci !

    Je n’ai jamais avalé un supplément alimentaire, hormis vitamine C naturelle quand je viens en Europe, car en Afrique, où je vis, je suis habitué à un régime frugivore. J’espère juste bientôt ne plus devoir venir en Europe : trop pollué, trop urbanisé, pas assez de nourriture de qualité dans la nature... et des gens de mauvaise fois en grande quantité.

    Les célèbres végétalistes de l’histoire... Bien, y’en a qui ont survécu jusqu’à des âges plus que respectables. Par contre je doute fort que si l’homme avait été végétarien ou herbivore, il serait devenu ce qu’il est aujourd’hui... L’opportunisme a été le moteur du développement de l’espèce. Nous sommes faits où plutôt nous nous sommes faits pour manger de la viande, entre autres. Si des millions d’années d’évolution ont fait ça, il en faudra surement autant pour le défaire, non ?

    La médecine existe grâce aux premiers chercheurs qui ont charcuter des pauvres patients cobayes (humains). Les résultats obtenus ne doivent pas être rejeter, mais il ne faut plus, pour autant, faire de telles expériences... nous sommes ce que nous sommes, une espèce à l’intellect développé mais surnuméraire et voué à la disparition sans changement radical (pour rappel : http://www.nature.com/nature/journal/v486/n7401/full/nature11018.html?a_aid=3598aabf) . Nous ne changerons pas l’histoire. Un changement radical est nécessaire si nous souhaitons que l’aventure humaine continue (je ne suis pas certains que ce soit souhaitable, mais je le souhaite encore pour l’instant) ; notamment un changement de régime par respect des habitats naturel, de l’espace, des autres, des animaux...

    Bref, ça fait un tas de contradictions dans cette « éthique ». Des tas de soucis qu’il va falloir régler et mettre au clair avant d’essayer une autre méthode pour convaincre les affreux assassins mangeurs de petits enfants...

    Comme démontré tout au long de cette intervention, c’est vous qui êtes incohérents, soit très mal informé, soit de mauvaise fois... je dirais très mal informé, sauf si vous persistez. Car les preuves de tout ce que j’ai écris ici, je les ai... et elles sont faciles à trouver.



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 12:27
    C’est rare une aussi mauvaise argumentation. Pour les crédules éventuel, voici où se trouve les mensonges et fausses informations

    Les animaux sont suffisamment intelligents pour qu’on ne les tue pas mais pas assez pour qu’on leur apprenne à ne pas consommer de viande... Pourquoi ? Allons jusqu’au bout et donnons des croquettes végétales à nos chats, chiens, etc... Au risque de faire exploser notre écosystème avec les cultures intensives !


    Il est accepté comme fait par tous les scientifiques et agronomes, même ceux qui sont pour la consommation de viande, que plus de 70% des cultures dans le monde servent à nourrir le bétail. Donc en mangeant des végétaux, on DIMINUE le besoin en végétaux. Pour faire simple : il faut donner le repas de 20 personnes à une vache pour obtenir le le repas d’une personne en viande bovin...

    C’est le respect de la nature et du vivant... Non, tout au plus du reigne animal, et encore... La plupart des plantes que nous consommons est issue de la création de l’homme (sélection, etc...) Sans parler des OGM, qui sont encore plus la création exclusive de l’homme... La culture intensive des plantes nécessaires à l’alimentation de plusieurs milliards d’êtres humains végans ou pas mène déjà l’humanité sur une pente douteuse faite de déforestations massives et d’industrialisation de l’agriculture (avec son corolaire de pesticides, fongicides et herbicides) dangereuse pour notre écosystème... Faut-il vraiment en rajouter en rendant tous les humains et leurs animaux de compagnie végétaliens ?

    En fait, le besoin en agriculture végétale intensive est due à l’industrie de la viande. Les manipulations organisées par l’industrie en faveur de la viande sont là pour ça : il faut justifier le besoin des OGM par exemple. Car sans les productions céréalières nécessaire à la production de viande, il y aurait largement assez à manger pour tous, et donc exit de la nécessité d’augmenter la production avec les OGM...


    Le végétalisme est le refus de tout produit animal ou issu des animaux. Bien. Le miel par exemple n’est pas consommé. Bien, donc tout ce que font les abeilles ne doit pas être consommé ? Qui donc pollinise les plantes ? Et n’est-ce pas un animal, l’homme qui les fait pousser ? On aurai l’air fins si quelques milliards d’humains devenaient cueilleurs exclusifs... Surtout au cœur des villes !


    Les abeilles existaient bien avant l’homme et, sans nos insecticides, elles continueront à faire leur travail, d’autant mieux si on ne détruit pas leur ruche pour voler leur miel. La population sauvage, naturelle, est largement suffisante. Mais évidemment, si on les empoisonne avec des insecticides... 

    Il n’y a pas de carence dans le régime végétaliste... A part la vitamine B12, l’iode et plein d’autres détails qui forcent les adeptes à compléter leur régime par des compléments pharmaceutiques qui sont extraits... D’animaux ? Manger sain, ok, mais manger sain en me gavant de pilules qui viennent de je ne sais où et qui contiennent je ne sais quoi... Non merci !

    Je n’ai jamais avalé un supplément alimentaire, hormis vitamine C naturelle quand je viens en Europe, car en Afrique, où je vis, je suis habitué à un régime frugivore. J’espère juste bientôt ne plus devoir venir en Europe : trop pollué, trop urbanisé, pas assez de nourriture de qualité dans la nature... et des gens de mauvaise fois en grande quantité.

    Les célèbres végétalistes de l’histoire... Bien, y’en a qui ont survécu jusqu’à des âges plus que respectables. Par contre je doute fort que si l’homme avait été végétarien ou herbivore, il serait devenu ce qu’il est aujourd’hui... L’opportunisme a été le moteur du développement de l’espèce. Nous sommes faits où plutôt nous nous sommes faits pour manger de la viande, entre autres. Si des millions d’années d’évolution ont fait ça, il en faudra surement autant pour le défaire, non ?

    La médecine existe grâce aux premiers chercheurs qui ont charcuter des pauvres patients cobayes (humains). Les résultats obtenus ne doivent pas être rejeter, mais il ne faut plus, pour autant, faire de telles expériences... nous sommes ce que nous sommes, une espèce à l’intellect développé mais surnuméraire et voué à la disparition sans changement radical (pour rappel : http://www.nature.com/nature/journal/v486/n7401/full/nature11018.html?a_aid=3598aabf) . Nous ne changerons pas l’histoire. Un changement radical est nécessaire si nous souhaitons que l’aventure humaine continue (je ne suis pas certains que ce soit souhaitable, mais je le souhaite encore pour l’instant) ; notamment un changement de régime par respect des habitats naturel, de l’espace, des autres, des animaux...

    Bref, ça fait un tas de contradictions dans cette « éthique ». Des tas de soucis qu’il va falloir régler et mettre au clair avant d’essayer une autre méthode pour convaincre les affreux assassins mangeurs de petits enfants...

    Comme démontré tout au long de cette intervention, c’est vous qui êtes incohérents, soit très mal informé, soit de mauvaise fois... je dirais très mal informé, sauf si vous persistez. Car les preuves de tout ce que j’ai écris ici, je les ai... et elles sont faciles à trouver.




  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 11:49

    Mathusalem était végé... 



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 11:48

    L’humanité deviendra végétarienne par choix, par obligation... ou disparaîtra avant, mais alors très vite. Cette dernière solution est probablement la plus intéressante pour tous les autres êtres vivants de la planète...



  • Valéry Schollaert Valéry Schollaert 5 décembre 2012 11:46

    Je pense plutôt que les humains naissent intelligents, mais que l’éducation les formate à la stupidité, histoire de rendre le peuple docile et rentable pour les riches...