certains commentaires émanant de pseudo végétariens prêtent à confusion...
J’aimerais bien savoir en quoi les végé(ta*ien) de ce site sont-ils « pseudos » ?
- les insectes ingérés avec les fruits et légumes ne sont pas considérés comme des animaux...
Bien sur que si qu’ils sont des animaux. En général, toutefois, le retire les insectes de ma salade avant de l’ingurgiter . C’est une question qui frôle le trollage non ? Mais c’est évident que je ne tue pas un insecte plus qu’un chien. Je suis aussi antispeciste.
- ces mêmes insectes ne souffrent pas quand on les ingère... comment pouvez-vous affirmer cela ????
Je n’ai jamais affirmé ça. Il est évident que l’insecte souffre s’il est blessé.
- le lait, les oeufs, le fromage ne sont pas des produits issus de la production animale ??? ces pauvres vaches et poules exploitées pour leur lait et oeufs respectivement... ne parlons pas des produits utilisés pour une production intensive....
Tout à fait d’accord. C’est pour ça qu’il y a des végétaliens, et que la plupart des végétariens (malheureusement pas tous) ne mangent que bio et local, connaissant souvent le producteur et dans quelles conditions vivent les animaux. C’est sur qu’entre un oeuf de batterie et un oeuf d’une poule libre dans un village africain, on a pas le même produit.
- les végétaliens stricts ne prennent-ils pas des compléments alimentaires ??? ceux-ci généralement produits à grande dose de génie-génétique dans.... des LEVURES mais bon les levures ne sont pas des animaux non plus....
Non, et ceux qui le font éventuellement que je connaissances choisissent des supplément alimentaire fait de produits végétaux, bio, garanti sans OGM.
- les légumes et les fruits n’ont-ils pas non plus été créé par l’homme ??? vous connaissez la culture sélective ??? et les croisements forcés entre les plantes ??? la plupart des fruits et légumes actuellement consommés par les « hommes civilisés » ont été créés de toute pièce... essayez donc de manger une carotte sauvage si vous pouvez en trouver une...
Bien sur qu’on a sélectionné des variétés. Et alors ? A-t-on dit que c’était gênant ? Rejeter la viande dans un monde surpeuplé, et encourager le bio et les productions locales de saison ne sont en rien en contradiction avec le choix de variétés sélectionnées par l’homme.
Essayer SVP de comprendre les propos de vos interlocuteurs avant de les critiques, si nécessaires.
Bien sûr que nous ne pourrions pas tous chasser. Les sous-bois seraient vides en 1 semaine. Et alors ? Si on jouait tous au golf, la planète ne suffirait pas pour tout les parcours. Vous voulez aussi réduire la population humaine ou interdire le golf ?
Les deux pardi !
Et le truc du « un animal tue uniquement pour se nourrir » est un des lieux communs faux les plus répandus qui nous vient de toutes ces idées idiotes du « bon sauvage ». Il suffit d’avoir un chat, ou de regarder 3 documentaires animaliers pour s’en rendre compte.
Le chat est un animal domestique dont le comportement a été modifié par l’être humain. Pas besoin de documentaire : en 25 ans d’observation de la nature (c’est mon boulot) : je le répète : pas de gaspillage des animaux sauvages, si pas individuellement, ensemble. Le lion laisse une partie de sa proie, mais hyènes, vautours et gypaètes finissent le boulot.
Et oui, je maintient que les Africains font les cons avec plusieurs espèces animales. Tirez dans un nuage d’étourneaux et ne pas les ramasser n’est peut-être pas très malin ( ceci dit c’est pas perdu pour tout le monde, et dans la nature, une proie ne reste jamais longtemps à personne. Pensez à la famille du renard pour qui votre chasseur pas très respectueux est le messie ), mais ça n’a pas tellement de conséquences. Alors que de s’acharner à tuer les derniers rhinocéros et gorilles, ça ça en a d’autant plus que les touristes sont très friands de ce genre de bestioles VIVANTES.
Sauf que ce soit les chinois qui tuent les Rhinos, appuyés de quelques africains, bien sur, qui sont payés des fortunes (vu que la corne de Rhino s’achète €10.000 le kilo en Chine). L’énorme majorité des africains sont évidemment contre se braconnage, et un individu accusé de braconnage passera des années en prison. Il y a aussi une CHASSE AU RHINO organisée en Afrique du Sud, mais organisateurs et clients sont des blancs,comme par hasard...
Donc c’est bien, apprenez leur à manger des radis.
Qui se plaint des lieu commun ? La nourriture végé est une des plus attractive et variée de la planète... lisez Valérie Cupillard par exemple...
Un philosophe végétalien contre l’élevage industriel : Thomas Lepeltier
Avec Thomas Lepeltier, la philosophie s’intéresse de nouveau au végétarisme et à la condition animale, des sujets qu’elle avait eu tendance à délaisser.
Historien et philosophe des sciences, Thomas Lepeltier est l’auteur d’un article remarqué, « Faut-il encore manger de la viande ? », paru ce mois-ci dans Sciences Humaines. Impressionné par son passage dans l’émission La Tête au Carré, sur France Inter, je lui ai demandé de philosopher avec nous.
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Thomas Lepeltier : Je suis un chercheur indépendant en histoire et en philosophie des sciences. J’ai été amené au végétarisme puis au végétalisme assez récemment suite à différentes lectures, notamment Un Eternel Treblinka, de Charles Patterson, paru chez Calmann-Lévy en 2008. Poursuivant mes lectures sur l’éthique animale, je me suis rendu compte que le végétalisme était la seule position cohérente en ce qui concerne notre relation avec les animaux.
Quels rapports le végétarisme entretient-il avec la philosophie ?
T.L : Notre rapport aux animaux a été très peu ou très mal pensé par les philosophes. À quelques exceptions près, il faut attendre la seconde moitié du vingtième siècle pour voir des philosophes essayer de définir une position cohérente vis-à-vis des animaux. Tristement, cette réflexion, qui relève de l’éthique animale, est absente en France.
Et Descartes ? A-t-il vraiment une responsabilité dans l’image que nous nous faisons des animaux ?
T.L : Descartes a bien sûr joué un rôle important dans le déni de la sensibilité des animaux, mais il ne faudrait pas l’accuser de tous les maux. La cruauté envers les animaux est constitutive de notre civilisation. Si Descartes n’avait pas existé, je pense, hélas, que leur condition serait similaire.
Vous dénoncez la schizophrénie consistant à choyer, voire à protéger légalement certains animaux, et l’extrême cruauté des abattoirs. Jusqu’où ira cette contradiction ?
T.L : Elle ne pourra pas s’éterniser. Depuis de le dix-neuvième siècle, le malaise face à la souffrance des animaux va croissant. Il y a de plus en plus de lois protectrices des animaux et, à différents niveaux de la société, le bien-être des animaux est mieux pris en compte. En même temps, jamais la condition des animaux de rente n’a été aussi abominable. Ce paradoxe n’est possible que parce qu’on ne voit pas dans quelles conditions effroyables ils sont élevés et abattus. Je dirais même que l’on fait tout pour ne pas le voir. Mais je ne pense pas que cela puisse continuer longtemps. Viendra un jour où nous devrons nous mettre en accord avec nous-mêmes.
Etes-vous optimiste quant à l’essor du végétarisme ?
T. L : Oui. Les carnivores ne veulent pas savoir ce qui se passe dans les élevages et les abattoirs, une véritable hypocrisie de leur part. « Ne me parlez pas de vos histoires d’abattoirs, répètent-ils, vous allez gâcher mon repas ! ». La première chose à faire est donc d’informer. Il faut forcer la société à regarder ce qui se fait en son nom dans les élevages et les abattoirs. Ensuite, il faut agir au niveau législatif, faire pression sur les hommes et les femmes politiques pour qu’ils adoptent un système législatif cohérent. Enfin, il faut montrer que l’on peut très bien manger et très bien vivre en étant végétalien. Le végétalisme souffre en effet d’une mauvaise image, propagée par des carnivores de mauvaise foi. Votre blog joue ce rôle, très important.
Que vous inspire la notion de végétarisme éthique et cette éthique ne se heurte-t-elle pas, en dernière analyse, à la loi du marché ?
T.L : Un végétarien éthique est une personne qui refuse que l’on fasse souffrir des animaux sans nécessité, juste pour son plaisir. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Quant au marché, il peut certes poser des problèmes éthiques, je le reconnais. Mais je ne considère pas que le marché soit la cause première de l’exploitation des animaux. L’esclavage n’a plus sa place dans notre société moderne depuis qu’il a été aboli, sans que les principes de l’économie aient dû être modifiés pour autant. Pourquoi la consommation de produits d’origine animale ne pourrait-elle pas, elle aussi, être abolie dans le cadre d’une économie de marché ?
Quediriez-vous à un carnivore pour le convaincre d’adopter une diète végétarienne ?
T. L : Je poserais une question toute simple : acceptez-vous que l’on fasse souffrir des animaux juste pour votre plaisir ? Si la personne répond « oui » et continue à manger de la viande, je lui dirais que, pour être cohérente, il faudrait qu’elle soit favorable à la suppression des lois anti-cruauté. J’avoue que je n’ai encore rencontré de personne qui se revendique de cette cruelle cohérence. Si la personne répond sincèrement « non », je lui dirais alors qu’il faut qu’elle devienne végétalienne, ou du moins quasi-végétalienne, afin d’être cohérente avec elle-même puisque la nourriture d’origine animale repose, presque toujours, sur une cruauté non nécessaire et souvent effroyable. Considérez-vous votre article dans Sciences Humaines comme militant ? T.L : Non, un militant de la cause animale est une personne qui entreprend des actions en faveur de cette cause. Un article militant inviterait donc les lecteurs à agir, ce qui est une très bonne chose mais n’était pas mon propos. Je n’ai fait que décrire une situation et développer une argumentation logique. Si mon article donne l’impression à de nombreux lecteurs qu’il est militant, c’est probablement qu’ils ressentent que la situation décrite et les arguments présentés appellent d’eux-mêmes un changement d’attitude en faveur du végétarisme. Mais ce n’est pas l’article qui le demande explicitement. Cette conclusion doit s’imposer d’elle-même au lecteur. Développer une argumentation rationnelle n’est pas faire du militantisme.
Musebox, voici qui prouve que vous dites n’importe quoi.
« Les accidents de la route c’est 70 000 ! »
VOICI LA REALITE "En France, malgré les efforts de la sécurité routière et la politique du
gouvernement (radars notamment), les accidents de la route font
annuellement plus de 4000 morts"
http://www.controleradar.org/tag/code-de-la-route Autre sujet. Trouvez UNE SEULE ETUDE SCIENTIFIQUE qui prouve qu’un vaccin a soigné une maladie, on en reparlera. Il n’y en a aucune. Que des suppositions. On a introduit des vaccins. La maladie a disparue. Mais les maladies sans vaccins disparaissent aussi. Alors, comment aurait réagis la maladie sans vaccins ? Nul ne sait. Mieux ? Pire ? Idem ?
J’ai fais une malaria sous lariam en 1997, une sous malarone en 2002. Depuis, je boycotte tout médoc allopathique : plus d’aspirine, plus de malarone, aucun vaccin. Résultat ? Plus de malaria. Plus de grippe. Lorsqu’on arrête de s’empoisonner avec la malbouffe et les médicaments, on est en meilleure santé. Logique, non ?
Mais on s’égare du sujet. Une idée pour un prochain article ? Michel, un petit résumé sur les vaccins et la médecine allopathique serait la bienvenue...
Idée de lecture :
Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent !
« Alors si un jour un mec trouve un remède au SIDA, en ayant pour celà buter des centaines de singes et de souris, ça sera un enfoiré ou un héros ? »
Votre problème est de ne pas (vouloir) comprendre la globalité des problèmes ni à la globalité de la vie ; même pas celle de l’espèce humaine.
Le sida est un invention d’un laboratoire humain, issue d’immondes tests sur les animaux (savez vous qu’on crée constamment de nouvelles maladies pour la recherche, notamment militaire ?), et maintenant on fait des tests, encore sur des pauvres animaux, pour essayer de soigner.... l’espèce humaine est une ordure et les chercheurs qui utilisent, avec ou sans succès, des animaux pour les tests sont des horribles ordures et des enfoirés en effet.
Le cancer, qui n’est pas une création humaine comme le SIDA n’est pas un problème à détacher des autres problèmes. Notre société est cancérigène avec sa viande, ses ondes électromagnétique, ses pesticides, ses OGM et j’en passe. En France, le monde médical estime qu’un français a actuellement une chance sur deux de contracter un cancer dans sa vie...
L’espérance de vie augmente oui, car nous sommes des assistés. S’il y a 50 ans, avec une espérance de vie disons de 60, on nous avait demandé : souhaitez-vous vivre 150, mais toute votre vie vous devrez prendre des médicaments, fréquenter les hôpitaux pour y recevoir soin et nourriture par intraveineuse, et vous protéger constamment des bactéries avec du matériel stérile, en évitant de toucher des gens, portant des maques... qui aurait accepté ?
Pourtant, c’est bien ça qu’on se dirige. Une vie longue possible pour des riches qui ont les moyens de payer les soins, et une population pauvre, de toute façon trop nombreuses, qui périra faute de soin et de nourriture. C’est déjà ce qui se passe, chaque année, un peu plus.
Ainsi, les riches, avec leur mauvaise santé, sont une source de revenu assurée pour les labos pharmaceutiques, ceux-là même qui nous empoisonne avec des pesticides et nous déconseille le végétarisme... forcément. Un homme en bonne santé, donc qui ne prend AUCUN médicament, ça ne rapporte rien...