@Mowgli Si tu prenais la peine de regarder le film avant de parler.. Le but des végétaliens n’est pas de faire chier non, et au passage les végétaliens sont d’anciens carnistes, auxquels on a expliqué les raisons écologiques et/ou éthiques de devenir végétalien, donc pas la peine de les stigmatiser comme s’ils étaient des aliens.
Ce documentaire traite avant tout des dégâts causés par l’industrie animale : pollution des eaux, gaspillage massif d’eau et de nourriture etc. Si tu préfères faire l’agacé, c’est ton droit, mais c’est très mal venu. On parle quand même de la plus grande source de pollution de la planète (51% des émissions de gaz à effet de serre), alors je ne vois pas trop l’intérêt de ton commentaire.
@foufouille
Trop drôle ce foufouille, toujours à mener sa lutte contre le méchant végétalisme. Ce lobby propagandiste qui lave le cerveau des gens tous les jours avec la pub ou des recommandations nutritionnelles faussées. Ah non c’est vrai, ça c’est le lobby de l’agroalimentaire, et d’ailleurs il n’y a aucune pub de produits végétalien qui passe à la télé, et le régime végétalien est jugé dangereux (cette info infondée étant laaargement diffusée) par des nutritionnistes sponsorisés par Danone, Nestlé ou le secteur de la viande. Ces mêmes nutritionnistes sont chargés d’établir les fameux « apports journaliers recommandés », et vu les groupes auxquels ils sont rattachés, il n’y a rien d’étonnant à se voir conseiller 3 produits laitiers et de la viande chaque jour.
Le régime végétalien est sans risque, voila une liste de sportifs végétariens ou végétaliens qui se portent très bien : http://www.vegactu.com/actualite/ces-sportifs-champions-du-monde-vegetariens-ou-vegetaliens-7714/ et http://www.vegactu.com/sport/frank-medrano-vegetalien-et-star-du-street-workout-18604/.
Et voila une interview du Dr Jérôme Bernard Pellet qui explique que le régime végétalien est sans risque tant que l’apport en B12 est respecté : http://www.jardinvegan.com/blog/articles-medicaux-sur-le-vegetalisme/ et un article qui résume des études faites par des médecins non sponsorisés par le lobby de l’agroalimentaire : http://liberationanimale.com/vegetalisme-et-sante-humaine/ (lis bien la partie « Lobbies et Désinformation »).
Arrête un peu de parler de propagande, c’est ridicule, la propagande va évidemment dans le sens inverse. Et pour ta gouverne, voici une définition de propagande : "ensemble d’actions psychologiques exercées sur les pensées et les actes
d’une population, afin de l’influencer, l’endoctriner ou l’embrigader". Alors à ton avis, quel est l’intérêt pour des citoyens d’informer les gens sans rémunération à propos d’une catastrophe écologique majeure causée par nos habitudes alimentaires ? Aucun intérêt financier, simplement du partage d’informations pour lutter contre la plus grande source de pollution qui soit (les élevages rejettent 51% des émissions de gaz à effet de serre, je le précise parce que bien que ce soit dit dans le film, j’imagine que tu n’as même pas pris la peine de le regarder avant de faire ton troll).
Mais quel est l’intérêt pour un Etat de ne pas avertir sa population sur une catastrophe écologique causée par un secteur qui lui rapporte des milliards chaque année ? Financier peut-être non ? Alors maintenant, arrives-tu à voir où se situe réellement la propagande ?
J’avais compris Xenoizoid, je répondais à TREKKOTAZ, pardon pour le quiproquo
On ne parle pas du fait de manger de la viande mais de la manière dont on s’organise pour le faire. Se donner l’excuse du prix ou d’un conditionnement de la société pour justifier les souffrances de milliards d’animaux n’est pas valable, et on le sait tous très bien. C’est un caprice, ou au mieux une excuse confortable.
Si chacun diminuait sa consommation à deux ou trois fois par semaine (ce qui est de plus en plus conseillé par des médecins vu le nombre de cancers du colon et de maladies cardiovasculaires qui y sont liées) et se procurait sa viande chez des petits producteurs, cela reviendrait au même prix que de s’acheter de la viande premier prix pour chaque repas de la semaine. Et ce serait bien meilleur au goût, ainsi que pour la santé, avec des antibiotiques, des hormones et des OGM en moins.
On n’est jamais obligés à rien. On a toujours le choix de faire l’effort de moins consommer de produits merdiques (et cruels en l’occurrence). Les légumineuses et les céréales, ça donne un apport protéinique identique à celui de la viande, et ça coûte moins cher.
Et ton deuxième lien provient d’un forum. Je vais donc faire comme toi qui ne prends pas en compte mes liens « végétariens » et te dire que c’est de la propagande « anti-végétariens ».
Si tu avais pris le temps de lire :
"Je souhaiterais remercier M. Campbell pour sa réponse cordiale à ma critique, aussi bien pour le temps qu’il a pris pour expliquer sa philosophie de la nutrition et son approche concernant la recherche. Bien que je ne sois pas d’accord avec une partie de ses conclusions, je rends hommage à sa contribution pour le champ de la santé et de la nutrition, et admire profondément son courage pour promouvoir un message impopulaire au sein d’un secteur de recherche dominé par les intérêts particulier et les opinions opposées.
J’affirme que les hypothèses campbelliennes ne sont pas toutes fausses, mais plus exactement incomplètes. Bien qu’il ait habilement identifié l’importance des aliments complets et non transformés pour retrouver et maintenir sa santé, l’accent mis pour marier les produits animaux avec les maladies s’est fait au détriment de l’exploration – ou même reconnaissance – de la présence d’autres genres de maladies liées à l’alimentation qui peuvent être plus importantes, plus pertinentes, et en fin de compte plus urgentes pour la santé publique et la recherche nutritionnelle."
Donc elle ne dit pas que c’est faux mais incomplet, et qu’il aurait pu étudier du côté d’autres aliments (non animaux) les maladies possibles sur le court ou long terme.
Tiens, un adepte de la théorie du genre qui apprend à nos enfants à se masturber dés la maternelle..
"On voit bien que si l’auteur considère les animaux d’abattoir quasiment
comme des humains, il considèrent au contraire les agriculteurs et les
travailleurs des abattoirs quasiment comme des bêtes. Au minimum des
aliénés abrutis comme des boeufs«
Pour ma part, je ne l’ai pas du tout compris comme ça, justement, j’ai trouvé que ça montrait que les personnes qui géraient ce secteur en prenaient un coup psychologiquement tellement ce travail est déshumanisant (abattoirs notamment). Et en me mettant à leur place je me suis dit que je serais aussi aliénée. Pas vous ?
»aucune pensée pour nos frères animaux sauvages en but à la cruauté des
prédateurs dans des conditions qui font encore plus frémir« .
Seriez-vous en train de comparer les milliards d’animaux élevés et tués à la chaîne par les hommes aux quelques animaux sauvages (dont le nombre diminue de jour en jour) qui se feraient dévorer par d’autres ? Si oui, les chiffres sont incomparables, et surtout, je ne vois pas le rapport. On parle là de notre façon de gérer ce secteur, qui pourrait être bien plus respectueuse des animaux.
»Avant hier, le fil de 5 ans d’un ami d’ami est rentré de l’école en
demandant à son père, "et toi papa, à quel âge tu as décidé de devenir
un garçon…).«
Je n’y crois pas une seconde, c’est typique des militants LMPT. J’ai du lire cette même phrase une quinzaine de fois.
»Si une vache doit être traité comme un être humain, alors tôt ou tard,
l’être humain devrait pouvoir être traité comme une vache.«
On ne parle pas de traiter les vaches comme des êtres humains, mais de les traiter mieux qu’on ne le fait dans les élevages intensifs. Je ne vois pas pourquoi vous vous offusquez.
Et veuillez m’excuser, mais venant de quelqu’un qui a sûrement manifesté contre la loi Taubira qui permettait à des enfants déjà nés d’être reconnus à l’Etat Civil, et qui scande à tout va »le bien-être de l’enfant est primordial", ça me fait doucement rire parce qu’en l’occurrence, c’est un peu traiter les personnes comme des vaches.
Bref, pas étonnant venant de quelqu’un qui a si peu de considération pour l’humain (et l’égalité des droits pour tous) que cet article ne l’ait pas touché plus que ça, et même révolté apparemment. Pourtant on parle juste d’améliorer la condition animale, pas de quoi en faire un plat.
Ne t’en déplaise, T. Colin Campbell a bien plus de mérite que Serge Hercberg ou Gérard Pascal (sponsorisés par Danone ou Nestlé) qui ont contribué à élaborer le régime incluant de la viande et des produits laitiers à chaque repas.
Voila son rapport : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Rapport_Campbell, c’est une vraie étude. On ne peut pas dire, en revanche, qu’il y en a eu beaucoup afin de définir si la viande et les produits laitiers étaient bons pur la santé avant de les préconiser à chaque repas.
Au lieu de répéter en boucle que c’est de la propagande végétarienne, demande toi si ce que tu défends ne découle pas d’une propagande marketing. Parce qu’à ce niveau-là, ne pas se rendre compte qu’on a été totalement lobotomisé par la pub, c’est grave.
Rien à voir, quand on voit une image sur un paquet de clopes on se dit que ça ne tient qu’à nous, que ça nous regarde, et qu’on sera la seule victime de nos choix. Mais si on collait une photo d’un animal « avant/pendant/après », là on se rendrait compte que ça ne tient pas qu’à nous, que c’est bien un être vivant qu’on va consommer et pas du tabac. Que ce n’est pas que nous que ça tue mais des milliards d’animaux pour qu’on ait un steak à chaque repas.
Tu fais de drôles de rapprochements Foufouille. Tu manques vraiment de philosophie et de psychologie, ou bien tu dois être monté à l’envers.
En soi, le lait n’est pas mauvais, s’il est consommé avec modération, donc pas tous les jours. Mais le problème, c’est que des nutritionnistes ayant des accords avec Danone ou autres lobbies laitiers, comme Serge Hercberg ou Gérard Pascal, élaborent les recommandations nutritionnelles du pays. C’est pourquoi il est conseillé de manger un produit laitier à chaque repas, en dépit du fait que la plupart des gens ne digèrent pas le lait de vache à l’âge adulte. Mais ça, on s’en fout, il faut bien vendre les millions de litres qu’on fabrique avec nos usines à lait.
Sur le sujet, il y a le livre de Thierry Souccar « Lait, Mensonges et Propagande » (ou encore « Santé, Mensonges et Propagande » qui parle aussi des lobbies de la viande) : http://www.passeportsante.net/fr/P/Bibliotheque/Fiche.aspx?doc=Biblio_10084
Voici un extrait :
"Les os des Suédoises
C’est en Suède, en Norvège, aux États-Unis, en Allemagne, en Irlande, au Royaume-Uni, en Finlande, en Australie et en Nouvelle-Zélande que l’on consomme le plus de lait par personne et par an. C’est aussi dans ces pays que le nombre annuel de fractures du col du fémur (pour un âge donné) est le plus élevé. Les Suédois détiennent deux records mondiaux : celui de la consommation de laitages et celui des fractures du col du fémur.
Les Australiens, les Néo-Zélandais, les Américains avalent trois fois plus de lait que les Japonais. L’incidence de fracture du col du fémur est, dans ces pays, deux fois et demie à trois fois plus élevée qu’au Japon. Aux États-Unis, l’ostéoporose ne touche pas toute la population de manière uniforme. Les Mexicains-Américains et les Afro-Américains, qui consomment moins de laitages que les Blancs, ont deux fois moins de fractures du col du fémur.
En Chine continentale où, malgré l’offensive de l’agrobusiness laitier, on consomme encore très peu de lait (autour de 10 kg par personne et par an), la fréquence des fractures du col du fémur est l’une des plus faibles au monde, 5 à 6 fois plus basse qu’aux États-Unis où chaque Américain avale plus de 250 kg de lait par an. Au Togo, l’ostéoporose est extrêmement rare : on y consomme annuellement moins de 10 kg de lait par personne.[...] Pour résumer, ces études de populations nous transmettent un message clair et simple : moins on consomme de lait et de protéines animales, plus on a des os en bonne santé."
"Bon c’est pas le tout comme cet article m’a mis en appétit je vous
quittes pour m’occuper de ma cote de Bœuf qui marine gentiment depuis
hier soir".
J’imagine que ça aussi c’est une boutade, et pas du tout de la provoc’ mal placée, au temps pour moi.
Et s’il y a bien quelque chose à la portée d’un gamin de CM1, c’est le dégoût et la tristesse devant les élevages industriels qu’on nous cache bien. Apparemment, vous avez loupé le coche, puisque même en le sachant, vous continuez d’en consommer, et même d’en rire, plutôt que de trouver ça injuste et d’avoir envie que ça change pour les êtres vivants qui finissent dans votre assiette.
Ayez au moins le cran d’assumer vos idées plutôt que de vous cacher derrière l’excuse d’un humour douteux.
Donc, comme Foufouille, vous voyez là de la manipulation ? Alors qu’il y a des vidéos et des enquêtes à l’appui ? Et dans la publicité pour la viande et les produits laitiers vous ne voyez pas de la manipulation marketing ? Non, bien sûr, c’est le lobby végétarien qui veut dominer le monde, on n’entend plus que ça à la télé et à la radio, on nous oblige à devenir végétariens !
Je n’arrive pas à comprendre si vous êtes conscients de votre mauvaise foi et donc un troll, ou si vous arrivez à vous convaincre de ces énormités.
En plus, je ne vois pas pourquoi vous n’êtes pas d’accord avec le fait que les traitements sur les animaux sont inhumains dans les élevages industriels, ce n’est pas une nouvelle que les poules pondeuses en batterie, les cochons et les vaches laitières en stalles dans des hangars, sont élevés dans des conditions déplorables pour des êtres sensibles.
Pourquoi faire le mariole plutôt que d’admettre qu’un effort de notre part consistant à acheter de la viande provenant de petits élevages serait déjà mieux d’un point de vue éthique et écologique ? Juste pour le plaisir d’agir bêtement ?
Quant au cri de la tomate, vous apprendrez que les végétaux ne disposent pas d’un système nerveux comme les mammifères, et vous réfléchirez aussi au fait qu’ils meurent dés qu’ils sont cueillis, ils ne souffriront donc pas à l’étape du coulis.
Et si vous pensez que les végés ne pensent pas aux végétaux, détrompez-vous parce qu’ils ne contribuent pas aux 30% de végétaux créés pour nourrir les animaux d’élevage.
En revanche, un animal ne se cueille pas, il a un organisme semblable à celui de l’humain. Je vous invite à rester immobile entre 4 murs étroits pendant quelques semaines, à vous faire gaver de grains OGM, d’antibiotiques et d’hormones de croissance, à vous blesser et vous infecter à force de rester constamment dans la même position et à vous faire gaver encore plus d’antibiotiques pour éviter la surinfection parce que ça ne vaut pas le coup de faire venir un vétérinaire pour vous soigner puisque vous finirez bientôt en barquette.
Je n’ai aucun mal avec ceux qui mangent de la viande mais qui restent dans le respect (au moins dans la pensée, sans dénigrer le fait qu’il faudrait faire mieux pour ces animaux) de la bête qui meurt pour leur plaisir gustatif. Mais les gens comme vous et Foufouille, qui se moquent de ce qu’impliquent leurs habitudes alimentaires, qui ne font preuve d’aucune empathie, qui trouvent ça normal de traiter les animaux comme des objets insensibles, ne m’évoquent aucun respect, et même plutôt de la pitié. J’ai pitié de ceux qui se cachent derrière ce genre de comportement de guignol qui rient de la cruauté et la trouvent normale.
Voici un ancien commentaire de Qaspard Delanuit que j’ai trouvé sur un autre article :
Histoire que vous ayez la panoplie des réponses bateau que l’on peut donner pour mieux ne pas y réfléchir.
Oui enfin, à une époque on a établi que les autochtones d’Amérique n’avaient pas d’âme, selon le fait que Dieu ne reconnaissait que les Blancs (ça arrangeait bien les concernés qui ont eux-mêmes inventé cette idée), et on s’est donc permis de les massacrer (Controverse de Valladolid : https://www.youtube.com/watch?v=OWzOPRLJmwc) On se sent bien bêtes pour ça, encore aujourd’hui. Dieu a toujours été un moyen de justifier la bêtise ou la cruauté humaine. Sous prétexte que l’homme estime que l’animal n’a pas d’âme, il a le droit de les réduire en esclavage (ce qu’est l’élevage industriel) et de les manger (sans les considérer comme des animaux mais comme des produits de consommation).
Vous dites : "Il faut respecter la nature mais pas au point de s’inférioriser par
rapport à elle, mais au point de s’inférioriser par rapport à Dieu.«
Donc en gros, la nature est inférieure à l’homme qui est inférieur à Dieu. Et selon qui ? Selon quoi ? L’homme et la religion bien sûr. Cette vision est anthropocentrée et tend, heureusement, à disparaître avec le temps.
L’auteur de ce livre a écrit quelque chose à propos de ce sentiment de supériorité que l’homme a sur la nature, et sur le mythe du consentement animal :
Le mythe du consentement (p.131) :
»C’est la version postdarwinienne du vieux mythe du consentement animal. C’est lui qu’invoquent les propriétaires de ranch pour justifier la violence inhérente à leur profession. A l’appui de ce point de vue, on trouve l’idée selon laquelle les intérêts de l’espèce et ceux de l’individu sont souvent conflictuels, mais que, s’il n’y avait pas d’espèces, il n’y aurait pas d’individus. Si l’espèce humaine devenait végétarienne, poursuit cette logique, il n’y aurait plus d’animaux d’élevage (ce qui n’est pas tout à fait exact puisqu’il existe des poulets ou des cochons élevés pour être des animaux de compagnie).
Les animaux, soutient-on, veulent que nous les élevions. Ils préfèrent qu’il en soit ainsi. Des employés de ranch m’ont raconté qu’à plusieurs reprises, ils avaient oublié de fermer les enclos et qu’aucun de leurs bêtes ne s’était échappée.
Dans la Grèce Antique, le mythe du consentement animal était incarné lors des consultations de l’oracle de Delphes. On aspergeait la tête des animaux que l’on s’apprêtait à sacrifier. Quand un animal secouait la tête pour se débarrasser de l’eau, l’oracle l’interprétait comme un consentement de l’animal au sacrifice et déclarait : « En vertu de cet acquiescement, je déclare que vous pouvez procéder au sacrifice ». Une formule traditionnelle chez les chasseurs yakoutes de Russie : « Tu es venu à moi, Seigneur Ours, tu souhaites que je te tue ». Dans l’ancienne tradition israélite, la génisse rousse doit se diriger de son plein gré vers l’autel, faute de quoi le rituel n’est pas validé.
Le mythe du consentement se présente sous de nombreuses versions, mais toutes impliquent un « marché équitable » et, au moins sur le plan métaphorique, la complicité de l’animal dans sa propre domestication et sa mise à mort.
Mais les espèces n’opèrent pas de choix, ce sont les individus qui les font. Et même si d’aventure, les espèces le pouvaient, impliquer qu’elles préfèreraient opter en faveur de leur propre perpétuation plutôt que pour le bien-être individuel de leurs membres est difficile à appliquer de façon générale. EN vertu de cette logique, réduire en esclavage un groupe d’êtres humains serait acceptable si la seule alternative était leur non-existence. Au lieu de Vivre libre ou mourir, la devise que nous appliquons à nos animaux de boucherie est Mourir esclave mais vivre. Plus évident encore, la plupart des animaux, même au niveau individuel, sont bien incapables de prendre la mesure d’un tel arrangement. Les poulets sont aptes à bon nombre de choses, mais pas à conclure des marchés sophistiqués avec les hommes.
Cela dit, les objections pourraient bien passer à côté du problème. En vérité, la p^lupart des gens ont parfaitement conscience de ce qu’est un traitement juste ou injuste à l’égard, par exemple, du chat ou du chien de famille. Et nous pouvons imaginer des méthodes d’élevage auxquelles les animaux pourraient, en toute hypothèse, « consentir ». Il est parfaitement possible de concevoir qu’un chien auquel on accorderait plusieurs années de nourriture savoureuse, de longs séjours en plein air avec d’autres chiens et tout l’espace qu’il souhaite consente en échange à être un jour mangé.
Nous sommes capables d’imaginer de telles choses, nous le faisons et l’avons toujours fait.
La persistance de l’histoire du consentement animal à l’époque contemporaine dénote une conscience humaine des enjeux et un désir de faire ce qu’il convient.
Il n’est pas surprenant que, d’un point de vue historique, la majorité des gens semblent avoir accepté le fait de manger des animaux comme un acte banal de l’existence. La viande rassasie, dégage un fumet appétissant et a bon goût pour la plupart d’entre nous. Il n’est pas non plus surprenant que, durant quasiment toute l’histoire humaine, certains hommes aient réduit d’autres hommes en esclavage. Mais aussi loin que remontent les documents historiques, les hommes ont toujours exprimé de l’ambivalence à l’égard de la violence et de la mise à mort inséparablement liées au fait de manger les animaux. C’est pour cela que nous avons inventé des histoires."
Je suis pour la religion, tant qu’elle est vécue personnellement et qu’elle ne vient pas s’ériger en maîtresse des idées. En regardant l’histoire, on se rend compte que la religion a été bien plus une source de maux que de bienfaits pour l’humanité. Ce que dit la religion n’est pas une vérité mais une construction humaine visant à justifier des actes confortables.
Pour ce qui est de l’âme humaine ou animale, l’homme ne sait rien, il ne fait que spéculer, et ce n’est pas parce qu’il a appris quelques lignes d’un livre religieux écrit par d’autres hommes sur le sujet qu’il est avancé sur la question.
Là on parle du traitement des animaux d’élevages industriels qui pourrait être bien plus respectueux qu’il ne l’est. La question de l’âme n’est pas le sujet. Nous, humains, sommes censés en avoir une selon vos dires, alors pourquoi ne pas montrer qu’on en a bien une en arrêtant de financer ce genre d’élevages qui sont de véritables camps de concentration ?
Hahaha n’importe quoi.. Tu sais, selon la théorie du NWO, arrêter de financer les lobbies de l’agroalimentaire est justement un moyen de ne pas y participer. Donc essaye au moins de trouver des arguments un minimum plausibles. Parce que même si tu as réussi à te convaincre que les végés voulaient dominer le monde et tuer tous les mangeurs de viande, tu apprendras que pour une majorité d’entre eux, c’est le droit à la vie pour tous qui est au coeur de leur pensée, le droit des humains, des animaux et aussi le respect de l’environnement donc très souvent anti-OGM, anti-déforestation, anti-lobbying destructeur de l’environnement et des droits humains et animaux.
Alors arrête ton char, sinon on ne va plus penser que tu essayes de te déculpabiliser mais que tu es un fou paranoïaque.
Et j’ai lu dans un autre commentaire que tu avais tes poules, je ne vois donc vraiment pas pourquoi tu es pour l’élevage intensif. Tu gèrerais ton poulailler de cette manière toi ? https://www.youtube.com/watch?v=KCurWEK5vyk
Bon bricolage idéologique
Pour une femme ce serait insoutenable physiquement et émotionnellement, alors pourquoi ce serait différent pour un autre mammifère ? Mais là beaucoup répondront que ce n’est pas comparable..
Je suis entièrement d’accord, mais je ne voulais pas susciter trop de passions, déjà que Foufouille n’a cessé de contredire le fait qu’il était plus éthique de se procurer sa viande chez des petits éleveurs, et a défendu bec et ongles les élevages intensifs exemplaires de notre beau pays..
Il était plutôt fléxitarien, il mangeait de la viande très peu souvent pour remédier à ses problèmes d’estomac et de transpiration, et non pas par empathie envers les animaux. Il tabassait son chien et insultaient les hommes qu’il détestait avec des noms d’animaux.
Bref, j’en ai fini avec toi, au début tu étais à peu près drôle avec tes mais là c’est un dialogue de sourds, tu fais semblant de ne rien comprendre ou alors tu es particulièrement bête, ou bien payé par Charal, qui sait, mais c’est bon j’ai eu mon compte en tous cas.
Heureusement que je n’ai pas publié un plaidoyer sur le végétarisme, tu aurais sûrement avancé la douleur des végétaux.
Merci pour la soupe de clichés et de désinformation que tu m’as servie, tu as su appuyer mon discours malgré toi, et je ne peux t’en être que reconnaissante.
Bonne continuation Foufouille, et pense un peu à fouiller sur internet ou dans des bouquins les informations en lien avec le sujet sur lequel tu veux débattre, ça te permettra d’être un peu plus crédible.
Bonjour Philouie, je ne sais pas si c’est vain, tout le monde ne réagit pas de la même façon.
Et moi aussi, par exemple, je ne voulais ni entendre ni voir pendant des années de ma vie. On ne naît pas conscient de ces horreurs, on les apprend et on les reconnaît le moment venu.
Aujourd’hui, le débat est de plus en plus présent. Les personnes qui mangent de la viande industrielle (pour certains) se disent qu’ils aimeraient qu’il en soit autrement pour ces animaux. C’est déjà un premier pas.
Mais bon, j’essaye de rester optimiste au maximum, peut-être n’est-ce pas réaliste, mais de plus en plus de personnes y réfléchissent et j’aime à croire que lentement mais sûrement, les choses évolueront.
De ton point de vue peut-être mais dans la réalité pas du tout. Ils luttent pour les droits des animaux et cherchent à sensibiliser les gens, mais certainement pas en les forçant à quoi que ce soit vu qu’ils n’en ont pas le pouvoir.
« le but est que tu soit comme eux par tous les moyens », je crois que tu as un gros problème avec ceux qui luttent pour le droit des animaux, qu’est-ce qu’ils t’ont fait ou empêché de faire, je ne comprends pas ton intolérance envers eux, c’est complètement absurde. Tu sais, ils s’en foutent de ne pas te convaincre, ils cherchent à sensibiliser ceux qui seront un minimum ouverts à leurs idées, leur but n’est pas de créer une armée de végétariens mais de susciter la réflexion par rapport à la condition animale. Tu sais, il y a des adhérents à L214 qui ne sont pas végétariens.
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