Ah, cool !
Nous sommes d’accord alors, ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème sous-jacent (double-négation, désolé) ; juste que « la presse aux ordres » utilise des arguments ayant une « apparence scientifique » comme épouvantail.
Vous savez JC, quand je tombe sur des extraits d’émissions de télé-réalité, je me dis que bon.
Les gens n’ont pas conscience de l’influence que ça peut avoir, et ne voient même pas à quel point leur comportement en est modifié. Et le pire, c’est que beaucoup apprécient ça, et en redemandent.
Y’a beaucoup (trop) de choses alarmantes de nos jours, trop de vrais problèmes. Et les causes se situent pas vraiment à l’échelle individuelle, donc les solutions les plus « efficaces » non plus.
« Wait & See. » comme disent les anglo-saxons ; ouvrir les yeux bien grand, ça peut sauver, et c’est une action valide à notre échelle.
Hé. Comme disait un de mes profs d’allemands de lycée : « mais sans le mal, le bien n’existe pas ! ». C’est un peu la même idée ; y’a toujours un équilibre qui se maintient.
Oh, c’est une vielle astuce de dirigeant : y’a un problème qu’on sait pas/peut pas résoudre, mais on fait croire qu’on a des solutions pour que les dirigés se sentent rassurés.
Regardez, ça marche
Vous savez, ça serait pas la première fois que ça arriverait aux êtres humains de telles situations. Tout du moins, d’après les plus anciens écrits que vous pouvez trouver ci et là (notamment les bouquins religieux), et je pense que des données scientifiques pourraient corroborer (flemme de chercher).
Plus naturel que l’atome ? Hum, je propose la conscience :p
L’atome ne reste qu’un modèle après tout. Alors que notre conscience, ça c’est du tangible !
Joe,
Toutes les sciences reposent sur le langage.
Une mauvaise utilisation du langage réduit à néant pas mal de « travaux scientifiques »
Les erreurs de logiques sont monnaies courrante. Les confusions entre modèle et réalité aussi. Et même chez les « scientifiques ».
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Dans la société actuelle, les institutions scientifiques peuvent très bien être instrumentalisées à des fins politiques. C’est naïf, et particulièrement innocent de croire le contraire.
De même que de croire que les scientifiques sont des êtres de raison pure...(cf. les querelles par papiers interposées, vos réactions à tous les deux)
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« Ce qui se conçoit bien s’énnonce clairement, et les mots pour le dire viennent aisément. »
Osez-vous prétendre (cette question s’addresse à Joe comme à JC) avoir lu (même en diagonale) toutes les références ?
Si c’est le cas, vous disposez de techniques de lecture intéressantes, et il est fort probable que ces techniques vous permettent de synthétiser tout ça en quelques lignes. J’attends avec impatience.
Vous connaissez ce bouquin d’Einstein sur la relativité (les relativités) qui tient en une centaine de pages ? Mathématiques requises incluses.
À quoi sert votre science si vous ne pouvez la communiquer efficacement avec tous ?
Décidement, vous qui vous prétendez scientifique, n’arrivez-vous pas à mettre vous émotions de côté quand vous raisonnez ?
Si ma fille est malade, j’agis en fonction de la maladie.
D’où pouvez-vous tirer cette relation de cause-à-effet de mon précèdent message ? De même pour cette histoire d’argent.
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Je vous propose l’évolution de mon expérience quotidienne, agrémentée d’un peu de bon sens comme « prophétie expérimentale » :
ça pue dehors et ça pique le nez (plus qu’avant), y’a des nuages de pollutions qui stagnent au dessus des grosses villes (c’était moins fréquent avant), particulièrement quand il fait chaud, je découvre des nouveaux insectes, je vois des rejets dégeu dans la flotte quand je me balade (rivière, mer), le bords de certaines rivières sent mauvais (c’était pas le cas avant), etc.
La même chose quand à l’évolution des cerveaux.
Feriez-vous partie de ces gens qui sont tellement imprégné du quotidien qu’ils ne voient plus les choses évoluer autour d’eux ? Réveillez-vous...
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Je comprends votre doute vis-à-vis de ces gens, et je vous soutiens.
Personnellement, je ne m’aventurerais pas à « prédire » quelque chose d’aussi précis que « dans trois à quatre mois, le niveau de l’eau aura suffisamment monté pour que ça ait un impact sur notre vie quotidienne ». Surtout sur quelque chose d’aussi chaotique que le climat.
En revanche, attention à cette faute de raisonnement :
S’il y a un arbre devant, ce n’est pas parce que quelqu’un dit qu’il y a un pommier qu’il n’y a pas d’arbre.
Et vu qu’aujourd’hui tout est pretexte pour gagner en influence (politique, financière), ça n’est pas surprenant qu’on nous prédise des pommiers, des poiriers ou même des figuiers.
Le joueur de pipeau est dans le cas présent intéressé par le maintient de sa position dominante.
Sinon, il y a belle lurette, qu’en Lion majestueux, il se serait mis aux services de ses gens. Mais s’il avait fait, les autres joueurs de pipeau l’aurait dépecé.
Ce sont des Loups.
Au passage, n’oublions pas de constater que la situation, au niveau environemental comme social de dégrade à vitesse grand V depuis ces dernières décenies.
« Une pseudo-science se diagnostique à son isolation : ce qu’elle prédit est contraire à ce que prédisent les autres connaissances. »
Pas été plus loin : trop long, trop varié ; vous devriez vous renseignez sur le bruit en théorie de l’information. Et ne pas oubliez que l’individu moyen raisonne émotionellement (oui, je sais, c’est pas gagné )
Sur ce point là, une vidéo de 4 minutes qui joue sur les émotions vs. un article écrit loong, et avec tellement de références...
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Pour en revenir à cette citation, la caractéristique que vous citez (être contraire à ce que prédise les autres connaissances) me paraît un peu rapide pour parler de pseudo-science.
Comment la science peut avancer si les connaissances actuellement déployées ne sont jamais remise en question ? La relativité en son temps a prédit un univers bien différent que celui avancé par la mécanique de Newton.
« L’espace et le temps, reliés par la lumière ? On fait de la physique pas de la théologie ! Quoi !? Les maths collent ? Ah. Euh. »
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Pour parler du sujet (quand même !), c’est peut-être exagéré de dire que « 70% des arbres sont menacés blabla ». Par contre, c’est un fait, nous allons bientôt devoir faire face à des changements environnementaux/sociaux importants ; c’est déjà le cas, ça vient progressivement ; les élites le savent depuis quelques décénies. (eg. rapport Meadow).
Il y a juste trop de facteurs en jeux pour que ça se stabilise. Regardez le nombre de molécules différentes qui attérissent dans les égoûts via l’activité humaine (produits ménager, hormones, etc.).
L’eau, l’air, la terre et les cerveaux sont pollués.
Bonjour Hermes,
Lâcher cette violence, arrêter de s’accrocher à droite à gauche, etc. c’est vraiment difficile.
Surtout dans le monde d’aujourd’hui où être accroché fait partie partie du mode de vie ! Il faut être attaché à sa femme, à son boulot, à son appartement, à construire une carrière, à sa sécurité, à sa santé, à gagner de l’argent, à maintenir sa réputation, à bien orienter les enfants, etc.
Mais quel soulagement à chaque petit dans cette direction. Et au fond, quel environnement plein de challenges ! La progression serait moins gratifiante dans un environnement paisible
À Aristoto :
Flippant. Vous avez vu le regard de l’interviewé ? Et la fascination aveugle de l’interviewer ?
Et cette même fuite de la remise en question du « trans-humanisme » : ceux qui n’en veulent pas refusent le « progrès ».
Ouaip, mais pour savoir comment ça marche, les physiciens établissent des modèles : eg. là y’a des atomes avec des électrons qui tourne autour. Et puis les atomes sont composés de ceci-celà, etc.
Donc par effet de bords, ils apportent des embryons de réponses à « qu’est-ce que la matière » en cherchant à en expliciter le fonctionnement.
Quant-au matérialisme tel que vos articles le définissent : c’est un point de vue tout à fait louable pour analyser la situation et agir.
Cependant, il ne faut pas oublier que les observations qu’on en tire dépendent de ce point de vue, et qu’en prenant un autre point de vue tout aussi raisonnable, d’autres observations, possiblement contradictoire avec les premières peuvent être faites.
Les vérités obtenues sont relatives au point de vue choisi ; c’est important de ne pas l’oublier. Les agissements et les solutions que vous proposez sont vraissemblalement sensés dans votre cadre de raisonnement, mais il y a beaucoup d’autres cadres de raisonnement envisageables
Un « meilleur » cadre de pensée est celui qui les prends tous en compte. À défaut, celui qui en prends le plus possible...
Non je ne suis pas un adepte :p
C’est peut-être la vivacité alors, parce que je ne vois toujours pas...
Vous n’avez pas compris. Vous êtes enfermé dans une logique aristotélicienne. La conclusion est : on ne sait pas.
Dis autrement, quand vous avez le choix entre plusieurs options, vous avez aussi le choix (souvent implicite) de ne pas choisir.
Il n’est pas question de mysticisme ou autre. C’est de la bête logique. Là encore, vous essayez de me faire rentrer dans l’une de vos cases.
(Bien évidemment c’est une question piège. Même les physiciens ne savent pas/n’ont pas établis de consensus)
Si vous êtes matérialistes, soyez-le jusqu’au bout, et répondez à cette question :
« qu’est-ce que la matière ? »
(« quelque chose qu’on peut exploiter » est une réponse interdite !)
Si au moins j’arrive à vous faire rire :-°
Je cite votre article (avec emphase maison) :
« En mathématiques, une suite aléatoire, ou suite infinie aléatoire, est une suite de symboles d’un alphabet ne possédant aucune structure, régularité, ou règle de prédiction identifiable »
Ce n’est pas parce que la structure n’est pas connue qu’il n’y a pas de structure. Ne pas savoir si il y a ou non une structure sous-jacente, c’est être dans l’ignorance.
Le raccourcis : « ça n’est pas vu, donc ça n’existe pas » (eg. je ferme les yeux, donc il l’ordinateur devant moi n’existe pas) est exactement ce à quoi je me réferais plus haut quand je parlais des gens limités dans leur compréhension du processus scientifiques. Élargissez vos cases
Je ne suis pas sûr de comment interpréter la seconde partie de votre message. Peut-être trouvez-vous ces interprétations « foireuses ». Loin de moi l’idée de m’avancer sur leur véracité, je tiens juste à vous rappeller que des mythes similaires existent de part et d’autres de la Terre.
« Ou qu’c’est qu’on signe ? »
Isga, votre avenir est flippant. Vous vous êtes éloignés de votre nature « originelle ». Revenez-y.
L’être humain comprends tellement peu. Savez-vous ce qu’est « l’aléatoire » en mathématiques ? Une mesure de l’ignorance.
Ce n’est pas parce que les causes de ces maladies vous sont inconnues que le système immutaire est défaillant. Ce qui semble être un déséquilibre à petite échelle est peut-être un ré-équilibrage à une autre échelle.
C’est tout du moins ce que la définition scientifique d’aléatoire sous-entends.
Pourquoi fuir la maladie ? Si la souffrance était inutile, il y fort à parier que la nature ne l’aurait pas permise (principe de moindre action).
C’est pas agréable de souffrir, mais ça calme. Ça aide à revenir vers cette nature « originelle ».
Rah, ça serait tellement agréable une telle ville.
Si en plus y’a moyen d’y éteindre tous ces lampadaires et de pouvoir regarder le Ciel tous les soirs…
Effectivement, l’information ça se déplace vite et à bas coût, autant en profiter !
Merci...
J’ajouterai que les deux points que vous soulignez ne touchent pas seulement les français.
L’individualisme est un phénomène très largement amplifié/entretenu par le mode vie occidental.
Quant aux gens en voiture qui se sente supérieur, ça m’évoque les animaux qui se font grand pour faire peur à leurs ennemis ; c’est pas très flatteur...
Oui...
La souffrance, si tant est qu’elle est acceptée, a un effet libérateur impressionnant ; les attachements se défont, l’esprit se calme, la bonté germe, etc.
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