@njama Bonjour, Le mouton n’est pas une espèce menacée non plus : il y en a plein en Irlande, au Royaume-uni, en Espagne... Autant de pays qui, eux, savent produire de la viande ovine.
Pourtant, faire financer son clientélisme et son carriérisme essentiellement par le contribuable extérieur au territoire électoral, pour se proclamer défenseur des traditions et du terroir, c’était une belle invention. Qui a fait date en 4 lettres (b, h, p et i).
Appliquée à la France entière, sûr que l’Allemagne aurait adoré.
"On peut donc en conclure que pour un article parlant de pastoralisme,
peu
de gens intéressés (normal), mais que pour le même article avec le mot
LOUP dans
le titre et paru quelques jours après, les forcenés du tout domestique
prodiguent des leçons d’écologie. Ils font, comme les plus dérangés
d’entre eux, l’amalgame entre les éleveurs et les bergers (dont les
éleveurs se foutent éperdument) pour justifier
leur rente et la pression mise sur le loup et la nature.
L’amour
de leur métier subventionné de vitrificateur de nature est certes mis à
mal par les écologistes sans scrupules, qui filment ce qui se passe dans
les abattoirs avec la complicité et l’indifférence des éleveurs qui
préfèrent crier au loup que d’œuvrer au bien être des animaux, qu’ils
prétendent pourtant aimer comme leurs enfants, mais plus encore par la
pression des consommateurs contribuables ."
On y voit par exemple un probable et « sympathique » Ouragan’s fanboy prendre particulièrement « soin » d’un mouton. Car on les aime, nos bêtes, et on souffre de voir ce genre de vidéo... Mais que voulez-vous : nous n’avons pas encore à notre niveau les moyens d’empêcher les gens de L214 de filmer. Sinon, vous pensez bien que dans l’ouragano-démocratie que nous souhaitons, ce genre d’individus seraient mis hors d’état de nuire et de filmer depuis longtemps... Car comment voulez-vous propagandiser la cruauté du loup auprès de ceux qui ignorent ce qu’est vraiment un abattoir après qu’ils aient vu de telles images ?
Mais surtout
pourquoi protéger en Europe un animal qui n’est absolument pas en danger
de quoique ce soit, le mouton (1 milliard de têtes dans le monde), au détriment de toutes les autres espèces bien plus emblématiques ?
Il y a des gens compétents pour élever des brebis ailleurs dans le monde (mais pas en France, manifestement...).
« Que sait-on de la présence des chiens errants » : simplement que avant l’arrivée des loups, nous n’avions pas les moyens de financer des mesures de protection. Mais on s’en foutait : au final avec la valeur de ce qu’on produisait, ça revenait moins cher de laisser divaguer les bêtes que de payer un berger, des chiens et tout le tintouin... Les subventions faisaient le reste. Mais maintenant que grâce au loup, on peut avoir du fric en plus, on va pas s’géner... L’idéal, ce serait quand même de pouvoir récupérer du pognon, sans contrepartie d’achat de mesures de protection (j’ai pas dit de mise en place, hein ?, juste d’achat...). Mieux : sans loups. C’est pas gagné, mais on y travaille ! En tous cas, Ouraganounet, il s’y emploie. Et aussi à faire rigoler, mais là c’est involontaire...
Il s’est trouvé un copain qui, comme lui, ne connait rien aux problèmes du pastoralisme. Mais lui au moins, il a l’honnêteté de l’admettre plutôt que d’étaler sa pseudo-science...
On jurerait lire les contre-indications liées à un excès de prise d’ouraganosterol, ersatz de médicament frelaté traditionnellement consommé par les hommes inféconds pour lutter contre la consanguinité, mais dont la consommation est fort heureusement circonscrite au Haut-Diois...