Obama menace les banksters
Les menaces de régulation de Barack Obama font paniquer Wall Street. Les traders tremblent pour leurs bonus, les boursicoteurs pour leurs juteux dividendes, la marmotte n’emballe plus le chocolat.
Avouons-le, Barack Obama n’y est pas allé de mainmorte en annonçant gravement que "plus jamais le contribuable ne sera pris en otage par une banque". Dans les faits le président US envisage la restriction sévère, voire l’interdiction, des opérations dites "pour compte propre". Cette pratique de casino hasardeuse - et moralement douteuse - consistant pour les banquiers à jouer leur argent en bourse plutôt que de s’occuper de leur clientèle et de l’économie réelle (activités jugées bien moins rentables qu’une bonne vieille spéculation sur les produits alimentaires).
NOS AMIS LES BANKSTERS SONT INQUIETS
Pire pour nos amis banksters, ce "rouge" d’Obama prévoit sérieusement qu’ils ne pourront plus investir dans les fonds d’investissements (les "Hedge funds") qui connurent leur heure de gloire en 2008 avec une certaine crise des subprimes quelque peu coûteuse pour l’économie mondiale.
Conséquence prévisible des déclarations de cet empêcheur de spéculer en rond, la panique s’est emparée de Wall Street et fait reculer l’indice Dow Jones de 2%. Ce matin les valeurs bancaires reculaient sur toutes les places mondiales. Les traders tremblent pour leurs bonus, les boursicoteurs pour leurs juteux dividendes, la marmotte n’emballe plus le chocolat.
"Les investisseurs craignent que l’initiative de Barack Obama ne donnent des idées à d’autres pays", nous informe, dépité, le site boursier.com. Cité par LePoint.fr, Tim Roberts, gérant du fond britannique Cavendish Asset Management, est au bord de l’apoplexie car "restreindre les activités de trading et les perspectives de croissance des banques aura pour effet de porter préjudice aux perspectives à long terme". Aux perspectives de ses primes, certainement.
LAME DE FOND
Très éloigné de ces humeurs maussades Joseph Stilglitz, prix Nobel d’Economie et pourfendeur du néolibéralisme cinglé, s’est lui félicité de ce "grand pas en avant" tout en estimant qu’Obama n’allait pas assez loin dans la régulation. Une opinion partagée par le président vénézuelien Hugo Chavez qui vient juste d’annoncer la nationalisation d’une partie du secteur bancaire de son pays.
Si ce n’est pas un mouvement de fond, ça y ressemble furieusement.
46 réactions à cet article
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balthasar1er 23 janvier 2010 03:51La rhétorique peut elle encore tromper ! il devait fermer Guantanamo et mettre progressivement fin aux guerres impériales, il n’a tenu aucune de ses promesse et n’a fait que renforcer la violence et les occupations meurtrières.La marionnette des milieux d’affaires n’en fera rien ,l’indépendance et l’action conduisent vers une seule destination, le cimetière national d’Arlington.
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Bonjour l’auteur,
A mon sens, il faut relier votre analyse et la situation d’Obama au revers électoral sévère qu’il vient de prendre dans le Massachusetts. Son élection avait suscité un immense espoir, douché petit à petit par la volonté de gouverner au centre mou, un machin socio-démocrate bedonnant tel que notre gauche française essaie d’appliquer, et qui la maintient de manière durable dans l’opposition.Pour en revenir à Obama, cette politique de tenter de faire plaisir à tout le monde a montré ses limites, tant on s’aperçoit que les républicains bien que minoritaires dans les 2 chambres arrivent à pratiquement bloquer l’ensemble des réformes Obama, y compris la fameuse couverture santé publique déjà réduite à peau de chagrin avant même d’avoir pu trouver une majorité pour voter cette loi pourtant incontestablement indispensable.
Car il en va ainsi de la politique aux états-unis comme d’ailleurs dans beaucoup de pays dit avancés : Les loi qui introduisent un mieux disant social ont toujours plus de mal à passer, même et surtout dans des chambres qui ne sont rien d’autre qu’une cours des lobbies.
Peut-être que cette claque électorale a rafraichis la mémoire d’Obama et lui a rappelé que Jadis il fut militant de gauche. En tout cas, c’est à souhaiter !
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Terran 23 janvier 2010 14:05Obama est un produit de wall-street., et la population Américaine a compris que son système de crédit productif a été dévoyé.
L’histoire se répète. -
@ Wesson.
C’est exact. L’élément déclencheur de cette poussée de fièvre anti-banksters a été la perte du siège du Massachusetts au Sénat. Pour autant, et à en croire le Washington Post du 23 décembre, tout semblait déjà dans les tuyaux dès l’hiver dernier.
L’occasion fait le larron. -
Terran 23 janvier 2010 17:00Les mesures de BO sont des mesures de wall street et ressemblent plus a celles pré 39-45 en Allemagne nazie...
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Houlala ... qu’est ce qu’elles doivent avoir peur, les banques.... ! Houlala, houlala
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Terran 23 janvier 2010 14:12Oui, cela ne leur fait absolument pas peur.
Par contre si chaque citoyen de ce pays fait glisser ses fonds vers la Poste, dernière banque nationale en France.
Là elles commenceront à trembler sérieusement.Je me suis fait viré de LCL parce que je n’ai jamais été à découvert et je n’ai jamais eu d’argent.
En effet je créer de l’activité, j’investis mon salaire entier dans un stock de pièces me permettant de créer de l’activité ici-même.Je n’ai jamais d’argent, je n’ai jamais de découvert, je ne suis donc pas un client intéressant pour une banque privée.
J’ai repris mon droit à donner de la valeur à mon argent, à mon travail.
Ainsi je peux faire fructifier et je voit enfin un avenir.
Il m’est impossible de voir en une banque un partenaire économique.
Il est tout à fait possible de créer de l’activité sans emprunter, et sans passer par une banque.
Voilà la meilleure façons que j’ai trouvé de rentrer en résistance. -
terran
idem pour moi je construis seule avec mon argent pas de banque sur 3 ans
et en plus sa m’occupe et c’est un obi pour moi -
Personnellement je n’y crois absolument pas a tout ce baratin.
Déjà car aucun banksters n’est en prison.
Donc en fait, l’auteur de l’article s’extasie devant la suppretion des bonus.
Donc en gros,les traders gagne des milliards,et faut s’extasier que leurs bonus en plus soit sucré ?
Alors que déjà ils devraient passer par la case Prison,et baisser leurs revenus RADICALEMENT.Ou peut être même interdire tout simplement cette mascarade.
ça n’a absolument aucun sens la Bourse,si ce n’est des crises perpétuels.
Il suffit de regarder l’histoire des bourses et des usa,pour se rendre que jamais rien ne changera.Juste le temps que les gens reprennent leurs cachés pour oublier,et c’est repartis mon kiki.Tant que le peuple n’arrachera pas le pouvoir du peuple à savoir la démocratie direct,seul remède a tout les malheurs de l’humanité,inutile de blablater.C’est du temps de perdue.
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Terran 23 janvier 2010 14:14Intéresser-vous aux vraies mesure de Glass Steagle.
Ces barrières séparaient la monnaie en deux catégories qui ne peuvent pas se mélanger.
De cette façons, les oligarques ne peuvent pas nous atteindre. -
Vous prêchez un converti. Si ça ne tenait qu’à moi les banksters seraient nationalisés et expropriés depuis bien longtemps. Et ils tiendraient compagnie à Bernard Madoff dans la prison fédérale de Sing-sing.
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Ya beaucoup de monde qui devrait tenir compagnie au Maddof , à commencer par l’intégralité du gvt précédent et tous les responsables de la plupart des banques mondiales , vous devriez écoutez et lire Eric Laurent là-dessus , une escroquerie monumentale sous couvert de crash et de crise......
Les démocrates sont les rois de wall-street , tandis que les républicains sont les rois de la guerre.....OB n’étant qu’une marionnette de plus au service de l’empire...
Comment cela va t-il finir ? il suffit de regarder comment le troisième reich a fini.....dans les flammes de l’enfer ! -
Terran 23 janvier 2010 19:51En effet, il y a beaucoup de monde, et les réchauffistes en font partie de ce monde là.
C’est Al Gore qui a le plus investi dans le business vert, il lui fallait un alibi pour lancer celui-ci.
Le réchauffement climatique inventé par tatcher pour imposer la construction de centrale nucléaire en grande bretagne est du même acabit.
Il fallait le soutient du peuple pour ôter le pouvoir aux mineurs et faire cesser les gr^ves qui paralysaient l’économie monétariste du pays.Les mineurs entravaient les profits des banques et de la city.
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Avec son seul salaire fixe un trader peut vivre , sans « menacer » ses fins de mois.... !!!
Les traders ne craignent pas de casser leur « Baraque »....ils sont
O mniprésents ,
B lindés ,
A rgentés ,
M illiardaires (et sans )
A me-
ça fait peur !
Qui y croit encore ?
Pour faire le ménage en profondeur, O. devrait déjà virer la moitié de son staff-
comment croire que ce président dirige véritablement son pays, franchement ? ! ! !
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à l’auteurQuelle naïveté !!! Ou bien quel porteur de valises vous faites.
Ce pôve type d’Obama , îcone d’une présidence sans pouvoir direct , croyez-vous qu’il a le pouvoir de combattre wall-stress ???
Sachant que tout ce qui compte sur ce territoire ,désolé, il m’est impossible d’y voir un pays... je n’arrive pas à les voir comme une nation, ces minorités mises en coupe réglée & en concurrence entre-elles-mêmes...
Le complexe militaro- industrio-bancaire ! Les syndicats , oups , les lobbies c’est plus vrai( groupes de pression qui utilise la corruption)
Les plans Paulson , Geisthner, Shlomo Bernake (même s’il est indépendant , mdr : c’est pour le fun )
Croyez-vous que ces vendus, se disant des « elus » vont lâcher le fromage qu’ils ont pillé à l’humanité ??? Réveillez-vous !!! Cessez de vous endormir, leurrer avec ce verbiage digne des torchons tels que libé, figaro et toutes les merdes du même acabit , du quotidien à l’hedo sans oublier les mensuel s !!! De la merde issue de la propagande !!!Ce qui compte in fine à Washington, se décide , en concertation entre les trilatberger téléguidés depuis tel -aviv & de la diaspora bancaire qui finance les gens de l’ombre armés jusqu’au dent.
Aller mon brave Monsieur, j’espère que c’est de la naïveté , auquel cas on passe l’éponge.Si c’était en porteur de valises que vous étalez ces lignes de propagande , alors il restera une bonne chose cependant ;c’est d’avoir lu que vous êtes redac-chef de webzine, je saurais d’avance qu’il est plus que facultatif d’y aller jeter un oeil , voire fortement déconseillé.
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Terran 23 janvier 2010 17:07Vous devriez sérieusement relire l’article et vous intéresser de près à la création de l’argent.
D’un coté BO est la marionnette de la city, de l’autre les vrais républicains et le peuple, contre les mesure de BO.
BO est face a une cohabitation. Les town hall meeting ont été relayé par les mass medias, il s’en est trop dit aux USA.
Le peuple des états unis est précisément en train de se battre contre la city.Face à ça, la Chine, la Russie, l’Inde et une partie des USA portent un très grand intérêt à adopter un système de crédit productif.
L’alliance des ces 4 puissances, entrave le monétarisme et l’oligarchie financière.Cela se passe en ce moment, suivez les propos de Lyndon Larouche.
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Samedi 23 janvier 2010 :
On ne manque pas depuis hier d’établir un lien entre le réveil inopiné d’Obama – accompagné de la montée au front de Paul Volcker, le prédécesseur d’Alan Greenspan à la tête de la Federal Reserve, et le désaveu cinglant du bilan de sa première année à la direction des affaires que constitue l’élection du candidat républicain Scott Brown aux sénatoriales partielles dans le Massachusetts.
1- Mais il y a peut-être à ce sursaut, une autre raison : l’audition qui doit avoir lieu mercredi 27 devant une commission du Congrès américain, et devant laquelle Timothy Geithner, le Secrétaire au Trésor, doit témoigner. Il s’agit d’établir avec cette enquête pourquoi les avocats de la Federal Reserve de New York – l’une des composantes régionales de la confédération que constitue la Banque Centrale américaine – sont intervenus à l’automne 2008 pour contraindre au silence AIG la plus importante compagnie d’assurance américaine, sauvée de justesse de l’effondrement par une pseudo-nationalisation au coût faramineux (182 milliards de dollars aux dernières nouvelles).
La consigne de silence visait tout particulièrement l’identité des bénéficiaires du versement de la totalité des sommes dues dans le cadre des Credit Default Swaps dont la chute de Lehman Brothers déclenchait le paiement. La banque française Société Générale et Goldman Sachs seraient les principaux bénéficiaires de cette manne.
Timothy Geithner témoignera mercredi, au côté des avocats de la Fed de New York à l’origine des pressions, et dont il a affirmé jusqu’ici qu’il ignorait les agissements, selon la formule classique que le bruit de ce genre de ronron administratif ne s’entend pas dans le cercle des instances supérieures. Témoignera aussi, Henry Paulson, le prédécesseur de Geithner à la tête du ministère américain des finances. On pouvait penser jusqu’à ces jours derniers que l’omerta règnerait entre gens du même monde mais la nouvelle atmosphère électrisée pourrait changer la donne.
Que symbolisent en réalité les pressions sur AIG datant de l’automne 2008 ? L’ère du semblant dans laquelle on entrait alors d’intention délibérée alors que la chute de Lehman Brothers provoquait un effondrement généralisé du marché monétaire américain. Le silence devait se faire désormais sur l’état réel de la finance et dans son sillage – par le truchement du crédit –, de l’économie. Les moyens utilisés, on les connaît : manipuler les règles comptables dans un sens favorable aux chiffres financiers, repousser les échéances de paiement des dettes selon des critères mal définis, coups de pouce discrets aux marchés boursiers et obligataires.
Quelle que soit l’issue des auditions, il y sera dit des choses que les artisans de la politique du semblant n’aimeront pas entendre dire, et Geithner en sortira de toute manière affaibli.
2- Autre consul du triumvirat, Larry Summers, l’homme à qui l’on doit l’abrogation du Glass-Steagall Act en 1999, le feu vert donné aux banques pour utiliser l’argent provenant des dépôts de leurs clients dans des opérations spéculatives, Summers qui vient d’être désavoué publiquement puisque la « Volcker Rule », la « règle Volcker », comme l’appelle Obama, n’est rien d’autre qu’une réinstauration ne voulant pas dire son nom de ce même Glass-Steagall Act.
3- Aux côtés de Geithner et de Summers, Ben Bernanke, le chef de la Fed, est lui le troisième consul de ce triumvirat de l’ère du semblant, et l’on comprend soudain pourquoi l’un des événements de la journée d’hier a été le vent de défections dans les rangs de ceux qui, au Sénat, avaient promis de voter sa confirmation pour un second mandat avant le 31 de ce mois, date à laquelle son premier mandat s’achève.
Deux autres événements de la journée d’hier viennent compléter ce tableau d’une détérioration brutale de la santé de l’ère du semblant : le renchérissement soudain des Credit Default Swaps portant sur la dette des compagnies américaines – on comprend en effet qu’un retour à la transparence dans leur comptabilité provoquerait des dégâts sérieux dans l’image qu’on se fait de leur solvabilité et, plus significative encore, la chute des bourses américaines dans la journée de vendredi, chute au profil inquiétant (voir figure ci-dessous – merci à Dow Jones & Cy.) et dont l’accélération en cours de séance ne présage rien de bon pour la journée de lundi.
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Peach,
Je vous sens républicain à plein nez à peut-être à vous en étouffer.
Le « to big, to fail » s’est construit dans les années Bush.
Ce fut un désastre. Les crises en cascades, je ne dois pas vous en parler.
Les fusions, j’ai connu et cela n’a jamais bien fonctionné.
Vous n’en parlez pas encore peut-être dans un autre article.
Le core business qu’on se le consolide, d’accord. Mais pas en achetant n’importe quoi pour la grenouille se fasse plus grosse que le boeuf. Des Procter & Gamble, des Nestlé qui font bouillir la marmite doivent toujours éclater un jour. Je vous rappelle la dernière dans les médias. Et puis, si je vous laisse chercher.
Vous n’êtes pas sans savoir ce qui s’est passé avec la Fortis qui s’est fait racheté pour des peanuts par BNP.
A cause quoi, parce que le « paquet contenu » dépassait les capacités du contenant.
ABN Amro était la goutte qui a fait débordé le vase.
Je ne suis pas socialisant, je ne suis pas capitalisant, mais je suis réaliste et pragmatique.
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Une lame de fond ?
Absolument. Et c’est loin d’être fini. -
Houlala, nos « amis » banksters en tremblent déja, il ont même fait pipi dans leur dessous en soie à 100 euros la piece.
Soyez serieux, ils n’ont pas favorisé l’élection d’un gugus pour qu’il vienne ensuite leur chercher des noises.-
Arafel, il ne faut pas être aussi pessimiste. A la fin on les aura.
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Pour l’instant, on les a dans le c..
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Obama laissait faire ses copains les banquiers tant que les électeurs ne mouftaient pas.
Aujourd’hui, tout a changé.
Aujourd’hui, les électeurs foutent des branlées aux candidats Démocrates. Obama a donc dû choisir entre deux possibilités :
1- Continuer à soutenir ses copains les banquiers, et prendre encore d’autres branlées électorales.
2- Ou alors trahir ses anciens copains banquiers, et leur déclarer la guerre : il espère que les électeurs lui en seront reconnaissants.
Jeudi 21 janvier 2010, Obama a choisi.
Jeudi 21 janvier 2010, Obama a choisi de trahir ses anciens bienfaiteurs.
A mon avis, il mourra jeune.-
Effet d’annonce pour le majorité dormante !
Ce sont les banksters qui ont payés la campagne d’Obama,vous croyez vraiment qu’il va aller contre ses maitres,mdr ... !!!-
Les banques ne font des benefices que parce qu’elles ont lentement, progressivement, imposées aux Etats qui les abritent des règles de gestion , d’imposition et de speculation hors de portée des autres acteurs economiques .
1) Techniquement, les comptes des clients sont des dettes (pour la banque) mais les banquiers peuvent tout dissimuler en hors bilan : ils sont donc toujours solvables !
2) Les Banques et les comptes des VIP des filiales « banques privées » beneficient de règles d’engagement en bourse à credit permamnent. Ils n’ont besoin que d’une couverture de 8% de leur engagement s’ils achetent du AAA (d’ou l’interet de reserver l’emprunt d’Etat Sarkozy aux banques.
En clair : quand les banques possedent 1 , elles peuvent miser 12 sur le grand casino de la bourse !
Si elles gagnent , elles gagnent .
Si elles perdent ; elles jouent la carte : risque systémique.
Ouin, ouin, je vais perdre des sous, monsieur l’Etat, en je vais donc devoir fermer la porte avec tous mes engagements...... (comptes clients, prets aux PME....)
C’est l’effet levier « legal ».
A cela il faut rajouter les effets leviers sur les futures, les swap, les options....
A cela il faut rajouter les effets leviers « illicites » surnommés « pas vu, pas pris, mais pris pan-pan... » quand les traders , officilement de leur propre initiative (mais en fait sur objectif fixés par la banque...) depassent leur quota (comme Kerviel)
3) Les banques ont fait pression, en France, pour faire suprimer la charge d’agent de change en montrant du doigt la faillite d’une des 40 officines qui en avaient le monopole : avec nous cela n’arrivera jamais juraient elles toute, la main sur le coeur...
(Je ne vous trahirais pas, je ne vous decevrais pas juraient les banques : mais ou ais je deja entendu cela ?).
Toutes les règles qu’elles ont pretendues mettre en place , ont été violées par ces memes banques.
4) Les banques , depuis l’integration europeennes, peuvent tout consolider dans l’etat de leur choix : au hasard celui qui impose le moins les benefices.....
On se debrouille donc pour « charger la mule » dans les « Etats usines » pour tranferer les benefices dans les Etats holding.
Le Luxembourg etait par exemple dans le meme etat que la Lorraine dans les années 70.
Aujourd’hui, c’est le premier PNB par habitant au monde.....
C’est tout l’argent des français, des allemands, des Belges qui a fuit l’impot pour se regouper a l’abri....
Je pourrais continuer pendant pendant des jours.
Et encore, Nous nous avons une banque centrale vaguement public (ou plutot encore publique...)
Aux etats unis, la Fed appartient de fait aux plus grande banques du pays.....
JP Morgan, Rockfeller, les Rottschild et tutti quanti sont de fait les plus grand gagnant de l’emission de monnaie US !
Que dire ?
Qu’on les egorge tous ?-
Terran 23 janvier 2010 17:11Que dire !!!
Barrons nous tous à la Poste, et adoptons avec les 4 grandes puissances un système de crédit productif.
Indexons la valeur de notre travail sur des projets à très long terme (constructions) ou il n’y a pas besoin de confiance.
Nos états conservent le droit à frapper la monnaie, les conversions de devises n’entravent pas les échanges.
Nous pouvons faire fluctuer nos monnaies et orienter les richesses là ou il y en a besoin. -
Ouai ouai... !!!
L’annonce d’Obama, sujet de cet article, ne vise qu’à interdire au Banque de spéculer sur leur fonds propre... prenant ainsi le risque de se trouver en faillite..... ce qui répond à votre paragraphe 2 au sujet du ouin ouin.... Mr l’etat.....
Elles restent libre de le faire sur l’argent déposé par leur clients.... mais c’est déja un pas... et un grand... pour limiter les dérives de spéculation des Banksters...
En tout cas c’est un belle mesure pour leur dire... plus jamais... vous ne nous mettrez dans la situation que nous avons vécu ... l’état ne sera plus le sauveur ....si vous prenez le risque de jouer à vous mettre en faillite...
A part lui qui l’a fait.... ????
Alors certes on peut trouver des tonnes de dérives justifiées de ce système bancaire.... objet des autres paragraphes....
Mais il me semble juste de reconnaitre que c’est le seul chef d’état à prendre une mesure dans le sens d’un.... plus jamais ça.... ! -
Les Etats Unis sont virtuellement en défaut de paiement, le dollar est de plus en plus contesté comme monnaie de reserve.
Si l’édifice s’écroule, il ne restera plus aux occidentaux qu’a travailler comme des chinois, aux salaires des chinois, avec les prestations sociales des chinois, dans un état policier...à la chinoise.
Regardez bien, certains de ces points ont déjà commencé.-
Romain Desbois 23 janvier 2010 17:42Nous gardons toujours cette propension à dénigrer le politique, le chef, le père puis nous avons avons la même propension à vouloir que ces derniers fassent tout à notre place.
Grandissons un peu ! Obama comme les autres ne changera pas le monde tout seul.
Cette manie de chercher un messie pour nous dire ce que nous devons faire, ou nous devons faire !
Ces bankters existent encore parceque nous avons tous décider de les sauver ! Personne n’est obligé d’avoir un compte dans ces banques, nous avons le choix de préférer une banque éthique.
J’ai souvent fait référence à La NEF, Trente ans que des utopistes ont pensé que l’on pouvait avoir un contrôle sur son banquier plutôt que de chercher les meilleurs tarifs.Si il y aplus d’un an, les titulaires de comptes de ces banques qui sont à l’origine de la crise s’étaient barrés l’Etat n’aurait même pas eu à prêter et donner pour les sauver. pourquoi voulez vous que l’état prête à une banque qui n’a pas de clients ?
En fait on montre du doigt le monstre bankster alors que le docteur frankeinstein, c’est nous !
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Terran 23 janvier 2010 17:53J’abonde en ce sens, très très bon commentaire. C’est la cupidité de l’homme qui a inventé le système monétariste.
Nous avons le pouvoir de le faire disparaître, il suffit simplement, de ne plus l’utiliser.
Lorsque les états s’apercevront que seuls les deniers publics ont de la valeur, alors les oligarques n’auront plus de raisons d’êtres.L’état décidera que sa monnaie vaut ce qu’il a construit collectivement car ce sera sa seule ressource.
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Non...
Lisez bien le projet de loi...
Ce qu’il dit est simple..... arretez de spéculer sur vos fonds propre prenant ainsi le risque de vous mettre en faillite.... nous n’accepterons pas d’être pris en otage une deuxième fois en tant qu’état... que vous le fassiez sur les fonds de vos clients..... reste possible mais vous devez pouvoir couvrir... c’est tout...
Et ça passera... vous verrez.. il ne sera pas vaincu !
Si la bourse chute aujourd’hui c’est bien parce qu’un baisse des profits des banques est envisageable...... et alors... c’est bien la loi du marché.... !!!
Il n’y a pas de bonnes âmes.. des lobbyes ... oui... mais là il n’y pourront rien... c’est une position indéfendable pour eux. -
Jeudi 21 janvier 2010, Obama a trahi ses anciens bienfaiteurs. Jeudi 21 janvier 2010, Obama a trahi ceux qui l’avaient fait roi.
" Barack Obama a proposé jeudi une série de mesures pour encadrer davantage les activités à risque des établissements financiers, ce qui a eu pour conséquence de faire dégringoler les valeurs bancaires à Wall Street.Le président américain, soucieux de rassembler son propre camp politique, veut interdire aux banques, ou aux institutions financières contrôlant des banques, de posséder, d’investir ou de soutenir un fonds spéculatif ou un fonds de capital-investissement.
Barack Obama souhaite également restreindre sévèrement la pratique des opérations pour compte propre, qui consistent pour les banques à jouer en Bourse leur propre argent plutôt que d’exécuter les ordres de leurs clients.
Les actions des principaux établissements bancaires du pays ont dégringolé après ces annonces, entraînant dans leur sillage l’indice Dow Jones.
Obama savait qu’en s’engageant CONTRE les banquiers, il allait provoquer un séisme boursier concernant les valeurs bancaires : ça n’a pas raté.
La trahison d’Obama a provoqué une chute des valeurs bancaires, qui ont entraîné une chute de tout le Dow Jones.
Jeudi 21 janvier 2010 :Dow Jones : chute de - 2,01 %.
Les valeurs bancaires :
Goldman Sachs : chute de - 4,12 %.
Morgan Stanley : chute de - 4,21 %.
Citigroup : chute de - 5,49 %.
Bank of America : chute de - 6,19 %.
JP Morgan Chase : chute de - 6,59 %.Vendredi 22 janvier 2010 :
Dow Jones : chute de - 2,09 %.
Les valeurs bancaires :
Citigroup : chute de - 0,92 %.
JP Morgan Chase : chute de - 3,38 %.
Bank of America : chute de - 3,75 %.
Goldman Sachs : chute de - 4,16 %.
Morgan Stanley : chute de - 5,25 %.Les Bourses mondiales ont terminé vendredi en nette baisse, affaiblies par le repli des valeurs bancaires à la suite des projets du président américain Barack Obama de limiter la taille et les activités des banques.
Si les banques et leurs groupes d’influence « veulent se battre, je suis prêt », a dit M. Obama, qui compte interdire à toute banque collectant de l’épargne et des dépôts de spéculer sur les marchés pour son propre compte, et de limiter la taille des établissements en imposant une limite à leur passif.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hErVWZ5e3Ozfgm3L6Fu3Qfqx Melw
Les banquiers étatsuniens vont-ils se laisser castrer par leur ancienne marionnette ?
Ou alors les banquiers étatsuniens vont-ils lui faire la peau ?
L’année 2010 sera très intéressante.-
Pourquoi utiliser une stratégie aussi étrange ?
Se vanter d’une action future, qui peut très bien ne pas passer et ruiner son image ?
La stratégie la moins risquée c’est de discrètement tenter de faire passer son plan, et si cela fonctionne, on sort les caméras, on fait peter les confettis et on vante la puissance d’action de ce super président qui pourfend les vil banquiers et si le plan ne passe pas, personne ne sera jamais au courant de cette histoire, l’image est préservée…
Pourquoi prendre ce risque ?
Parce qu’il s’agit d’un coup de bluff…
Ce coup est le plus répandu en médiacratie…
Le coup consiste à étaler partout dans les médias en rouge vif, « qu’obama le sauveur, va monter un plan d’attaque contre les banques… ».
Bref, on arrose l’inconscient collectif au maximum et ensuite…silence total.
on ferme les vannes sur le sujet, on en parle plus. Finitos.
Ce plan ne sera jamais mis en place et si d’aventure certains se renseigne à ce sujet…aucun médias suffisamment conséquents ne braquera les projecteurs sur eux…
Néanmoins, la majorité des cons sera persuadée qu’obama à effectivement passé son plan.
et quand tu tenteras d’expliquer au con que c’est faux, ils te diront « oui oui tu as raison », sans oser brusquer le pauvre fou « conspirationiste » que tu es, ce même genre de fou qui prétend que dans les journaux « c’est rien que des mensonges »
Le réel plan du poulin de goldman sachs, c’est de préparer le cerveau mou à l’acceptation d’un nouveau plan de relance économique.
Leçon de médiacratie n°1 :
Si tu te vantes à tue tête avant d’agir plutôt que d’agir discretement pour t’en vanter ensuite : c’est du bluff !
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Si par malheur pour lui, Obama se croyait libre, je crois qu’il lui arriverait de petites bricoles.
Je ne crois pas que ses maitres soient du genre à tolerer les trahison ou le refus d’obéissance.Comme disaient certains à une époque : la valise ou le cercueil...
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Total désaccord avec Picpic.
Obama ne veut pas perdre la majorité dans les deux Chambres, et Obama veut être ré-élu.
Or, Obama vient de voir deux grands changements chez le peuple américain :
1- il vient de voir les sondages ;
2- il vient de voir les défaites électorales des candidats Démocrates.
Si Obama continue de laisser faire ses copains banquiers, Obama perdra les deux chambres et ensuite, il perdra la prochaine élection présidentielle.
Jeudi 21 janvier 2010, Obama a donc choisi : jeudi 21 janvier 2010, il a trahi ses anciens amis, il les a poignardés dans le dos, pour sauver sa propre ré-élection.
En coupant les couilles des banquiers, Obama sait qu’il va plonger les Etats-Unis dans la deuxième vague de la crise boursière et financière, mais il sait aussi que le peuple américain ne l’en accusera pas. Le peuple américain accusera les banquiers d’être responsables de cette deuxième vague.
La chute du Dow Jones, et la chute des valeurs bancaires, a immédiatement suivi la déclaration de guerre d’Obama. Jeudi 21, puis vendredi 22 janvier, la Bourse et les valeurs bancaires se sont effondrées. Lundi 25 janvier et les jours suivants, cet effondrement va continuer.
Entre ses copains banquiers et sa propre ré-élection, Obama a choisi.
Obama a choisi de trahir ses anciens amis.-
Ba, je ne peux vous laisser écrire cela :
Obama aurait pu travailler comme avocat au service des riches, il a préféré travailler dans les quartiers pauvres.
Obama a, en 2005, averti l’administration Bush à propos de la crise qui s’annonçait et a notamment réclamé 35 ans de prison pour ceux qui ont vicié la titrisation des subprimes.
Pour sa campagne éléctorale, il s’est financé par des souscriptions ouvertes sur Internet et c’est essentiellement le peuple qui l’a financé. Que Wall street y ait ajouté sa mâne, c’est normal pour tenter d’obtenir les bonnes grâces d’un futur président. Avec Gaithner, Summers et Paulson dans les arcanes du pouvoir, Wall Street a déjà été payé.
Obama ne pouvait pas laisser tomber Wall street sans flanquer tout le système par terre alors que rien n’avait été pensé pour le remplacer mais il ne lui a pas fallu 12 mois pour prévenir qu’il n’était plus question de fonctionner comme avant. Il l’a dit tout de suite et répété au fil des mois. Vous allez peut-être aussi nous dire que sa réforme des soins de santé fait l’affaire de Wall Street ?
Quand il s’est fâché contre les banques, les a traitées d’irresponsables, et a annoncé qu’il récupérerait chaque cent payé par le contribuable américain, il n’avait pas encore perdu l’élection du Massachussets.
Et aujourd’ui, quand il annonce vouloir réduire la taille et l’activité des banques et leur interdire de spéculer pour leur propre compte, il ne trahit pas ses « amis de Wall Street », il est simplement fidèle à sa ligne de conduite.
Je trouve navrant que les actes et les intentions d’un homme aussi intègre que Barack Obama soient dénaturés par des llilliputiens qui auraient du mal à escalader son gros orteil mais dès l’instant où il déclarrait la guerre aux banques, je me doutais bien qu’il serait sali de toutes parts par des gens téléguidés par la Société générale, AIG et autres responsables de la crise pour qui la vie des citoyens n’a aucune importance en regard de leurs plantureux bénéfices.
Et je lance aux lecteurs conscients d’Agoravox l’avertissement suivant : tout ce que vous entendrez dorénavant contre Barack Obama doit être considéré comme émanant d’un magnat de la haute finance.
Dans le combat qui s’engage entre celle-ci et Obama, il n’est pas possible d’être neutre.
L’intérêt des gens ordinaire passe par Obama. Lui faire des procès d’intention, c’est clairement soutenir le grand capital responsable du réchauffement climatique et surtout de l’extrême pauvreté qui règne dans un monde où, toutes les 5 secondes, un enfant meurt de faim. -
Oui Ba, merci, ce que tu dis semble tout à fait pertinent.
Tu me fais douter de mon point de vue sans doute forgé à force de trop observer la politique Française.
J’espère que c’est toi qui a raison.
Mais bon, moi et l’espoir...-
Terran 24 janvier 2010 00:13Ben Bernanke ne sera pas reconduit fin janvier, il semblerait que le peuple des USA, le MainStreet aie repris son pouvoir face à wall-street.
La version de BA ci-dessus est de ce fait plus cohérente de celle de Pic-Pic.
Nous allons, je le pense dans la bonne direction.
Par contre, la loi glass steagle n’est pas rétablie.
C’est maintenant aux peuples de jouer, ils peuvent décider de laisser tomber les banques privées.Moi c’est fait !
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Benevole je suis d’accord je pense pas qu’Obama soit mauvais, son projet pour la santé était d’ailleurs un grand pas, le problème viens des chambres de votation (je ne suis pas sûr que ce soit le terme exacte connaissant bien mal le système amerloc) qui ont réduit le dit projet en miette, pour finalement laisser passer une version largement adoucie. J’ai bien peur qu’il arrive le même scénario, ce qui est bien par contre c’est que j’ai l’impression d’une prise de conscience générale, c’est bien qu’il en parle, c’est bien que les gens se sentent concerné, ça me donne un peu d’espoir pour que les choses changent d’une manière ou d’une autre.
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Terran 24 janvier 2010 03:39Non !!!!!
Son projet pour la santé est mauvais, c’est pas son projet c’est celui de wall-street !!!
Vous pensez comme les médias de masse envoient l’information.La réalité est toute autre, les américains sont contre le système de santé proposé et pour une extension du système actuel medicare.
Les réformes de santé prévoient par exemple une sélection des gens qui seront ou pas soignées selon ce qu’elle vont pouvoir rapporter ou pas à la société.
Les américains sont contre, car ce sont des réformes nazies. Et c’est pour cela que l’ex-bastion démocrate de Ted Kennedy a brusquement basculé.
Les républicains des états aux alentours font campagne pour convaincre et c’est un de leurs principaux arguments. Et ça marche !
Nos médias ont la fâcheuse tendance à complètement déformer les réalités afin que nous les percevions sous un autre angle. -
A Terran
Atterrant ! C’est de la pure désinformation !
Quelel est actuellement la couverture santé aux Etats-Unis ?
17% des Américains n’en ont aucune. Les autres la paient très cher auprès d’assurances privées qui font évidemment barrage au projet de Barack Obama et désinforment à tout va !
Ce sont clairement les Républicains, plus proches du nazisme que ne l’est le FN de Le Pen, et quelques démocrates proches de Wall Street qui font barrage.
Que veut Obama ? La couverture des soins de santé pour tous à un prix moindre. Si le projet a été édulcoré c’est précisément à cause des nazis républicains et des démocrates vendus à la Finance. Oser en accuser Obama est de la malhonnêté intellectuelle pure et simple.
Evidemment, avec votre pseudo, vous ne risquez pas d’être attaqué en diffamation et c’est bien dommage. -
Terran 24 janvier 2010 19:00C’est vous qui continuez à pensez que les mass médias vous informent correctement, ce n’est pas moi qui désinforme.
Si les réformes Obama de santé étaient populaires alors il aurait conservé le bastion démocrate de Ted Kennedy.Alors quoi ?
Pas la peine de me tirer dessus, c’est pas ma faute si vous n’êtes pas au fait de la politique des USA. Moi je suis ça attentivement depuis plus d’un an.
Et c’est clair dans mon esprit et en réalite, il vous suffit de regardez les town halls meeting pour vous en convaincre ; le mainstreet est opposé aux réformes de santé d’Obama c’est un fait !!! -
Terran 24 janvier 2010 19:07D’ailleurs, j’ajoute que le congrès parle déjà de faire sauter ces réformes.
J’ajoute encore que la clique wall street veut imposer une loi dont l’objectif est d’inscrire cette politique de santé une fois pour toute et ne plus jamais y toucher.Ils prévoient de créer une commission qui décidera de qui aura droits aux soins et qui n’aura pas droits. En fonction de son taux de rentabilité pour la société.
Les conseillers de BO sont de wall street !!
C’est comme ça !
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