Les problèmes des monopoles, ce sont les tarifs... Que ce soient la sncf, les taxis, ceux ci sont devenus prohibitifs pour de nombreux français..même occasionnellement.
Il y a donc un marché à prendre.
La clientèle qui utilise par exemple les « autocars macron » ( de 5 (prix d’appel) à 15 -20 euros pour traverser la france, n’aurait pas pu prendre le train et serait restée chez elle.. (exemple ma fille boursière qui se tape 13 heures de car pour rentrer lors des vacances) / le train « ouigo » qui vous mène à marne la vallée ou il faut prendre le rer pour rentrer sur paris puis changer de ligne pour arriver chez soi intra muros...(même avec la carte navigo, cela reste très avantageux soit le tiers d’un cout sncf)
avantageux mais éprouvant avec des bagages même à roulettes dans les escaliers des stations...ce que ne rechigne pas trop à supporter une clientèle jeune et peu argentée).
Bref si chacun vise une clientèle particulière avec des prestations distinctes et cloisonnées (exemple les voitures de standing pour une clientèle très aisée, des taxis pour une clientèle des classes moyennes/ aisées et l’uber pop pour ceux qui sans cela bien que chargés comme des mulets et les pieds en compote auraient utilisé le métro, on ne peut pas parler réellement de concurrence déloyale...
Il y aura toujours une clientèle espérant tomber à une station ou à la sortie d’un hotel sur le chauffeur parigot typique, avec la gouaille et l’accent voire la casquette, râleur dans les embouteillages (« eh alors, m’a p’tite dame, on va aux fraises ?! » :) .
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Au moins les nostalgiques comme moi.. :) les touristes en quête de l’authentique vieux paris, aussi...
Pourquoi ne pas tabler sur le « vintage » que recherchent ceux ci justement ? (les taxis parisiens avaient le toit rouge, dans d’autres pays ils sont tout jaunes avec un damier en frise). Se distinguer des transporteurs lambdas ?
Aaaah le bruit des G7, comme un ronronnement dans la nuit de la ville qui ne dort jamais ! :)