Vers une autre crise économique signée Goldman Sachs
"La première chose que vous devez savoir de Goldman Sachs, c’est qu’elle est partout. La banque d’investissements la plus puissante au monde est une gigantesque pieuvre vampire qui enfonce sans cesse son syphon sanguinaire dans tout ce qui a l’odeur de l’argent."
On l’a vu avec Dubai et maintenant avec la Grèce, la dette publique est le prochain prétexte pour faire accepter des politiques draconiennes d’intégration verticale de l’économie au niveau planétaire.
Revenons en novembre 2009, quand la Société générale de France publiait un rapport contenant un scénario alarmiste d’effondrement économique mondiale causé par l’endettement des pays développés. On pouvait lire dans le Figaro sur le sujet que "les récents plans de sauvetage mis en place par les gouvernements mondiaux ont simplement transféré des passifs du secteur privé au secteur public, créant une nouvelle série de problèmes." Le premier problème est la dette publique qui a "pratiquement atteint un point de non-retour", selon le rapport.
L’éditorialiste André Pratte de la Presse semble être d’accord avec cette interprétation quand il écrit :
"La semaine dernière, Athènes a dû se prêter à l’exercice humiliant d’ouvrir ses livres aux experts de l’Union européenne qui lui ont fortement suggéré des pistes de solution. La Grèce venait de perdre le contrôle de ses finances publiques, de perdre une partie de sa souveraineté."
Sauf qu’avant de mettre le fardeau de la dette sur les épaules des populations, il faut être juste et pointer les véritables responsables de ces dettes surgonflés. Bien sûr, vous avez devinez qui sont les coupables : les cerveaux de Goldman Sachs et autres big banques.
Le 22 février dernier dans un article du Devoir intitulé "La Grèce n’est pas la seule à « maquiller » sa dette", on y apprend de belles choses que nous savions déjà :
"Sous le feu des critiques pour leur responsabilité dans la crise financière, les banques de Wall Street, Goldman Sachs en particulier, sont au coeur d’un nouveau scandale. Cette fois, il ne s’agit plus de subprimes, ces crédits hypothécaires explosifs vendus à des ménages modestes, mais de produits financiers sophistiqués proposés à des États endettés pour enjoliver leurs comptes."
L’influence des Goldman Sachs et compagnie n’est plus de l’influence : c’est de la complète domination économique. Obama compte dans son équipe beaucoup de représentants de Goldman Sachs à des postes-clés. Il en était de même pour W. Bush.
Toutefois, nous savons pourquoi cette crise de la dette a été planifiée et exécutée, nous connaissons le calendrier de la gouvernance mondiale que tente d’implanter l’élite oligarchique. Nous savons que l’objectif est de créer une banque mondiale, la bureaucratie ultime d’un éventuel gouvernement mondial.
Il n’y a qu’à lire ce texte paru sur le Monde.fr au titre évocateur : "Dominique Strauss Kahn plaide pour que le Fonds Monétaire devienne la Banque Centrale du monde". Tout y est.
Le FMI est reconnue comme une banque cruelle qui imposent des conditions excessives. Il s’agit d’un prêteur usurier qui bénéficie toutefois de l’absolution complète. Il s’agit d’une institution anti-démocratique qui ne peut pas légitimement faire autorité sur toutes les peuples. Il y a aussi trop de secret qui entoure ce genre d’institutions.
On pouvait d’ailleurs lire dans le Herald Sun qu’une rencontre secrète entre dirigeants des banques centrales du monde avait eu lieu au début février pour discuter des mesures monétaires mondiales à prendre. La réunion était protégée par une sécurité de haut niveau et la presse n’y était pas admise. Allez savoir ce qu’ils ont pris comme décision, de toutes façons il semble que ce ne soit pas de nos affaires.
Pour terminer, selon le Wall Street Journal, Goldman Sachs a dû adopter une nouvelle politique sur le risque financier et pas n’importe laquelle : elle a déterminer que la publicité négative à l’égard de la compagnie est un "facteur de risque" sur les performances de l’entreprise et qu’elle devait la combattre. Ça veut dire tout simplement ceci : on ne peut pas parler en mal de Goldman Sachs, le mieux en fait c’est de ne pas en parler du tout.
Cependant, l’enjeu est trop important, et nous ne devons pas laisser ces pieuvres vampires nous sucer le sang jusqu’à la dernière goutte. La prochaine crise va arriver tôt ou tard, probablement plus tôt que tard, et ce pourrait bien être celle qui sonne le glas pour toutes les nations du monde.
La véritable souveraineté, c’est face à ces big banques que nous la perdons.
161 réactions à cet article
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Que les états nationalisent et saisissent les actifs des banques, y compris des plus grosses (TBTF) ; c’est la seule solution pour faire cesser la dictature financière, économique, politique, et sociale mondiale que la mafia financière impose au monde entier.
Que leurs responsables soient jugés pour leurs méfaits depuis presque 1 siècle, et condamnés à des peines incompressibles de travail d’intérêt général, pour réparer l’ensemble des dégâts commis.
HALTE A LA DICTATURE MONDIALE DES MAFIAS !
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Que les états nationalisent et saisissent les actifs des banques, y compris des plus grosses (TBTF) ; c’est la seule solution pour faire cesser la dictature financière, économique, politique, et sociale mondiale que la mafia financière impose au monde entier.
@Sisyphe
Oui c’est une piste, mais le problème est de quel états parlons-nous ?
Ceux dirigés par les complices de ces mafias financières ?
C’est à nous, soit par le vote démocratique, soit par l’union et la force, de reprendre la main.
Nous sommes devant un défi tel que l’humanité n’a jamais connu à cette échelle et si nous ne réagissons pas maintenant , avant que ce système ne soit entièrement verrouillé, il ne nous restera qu’à trouver une autre planète pour y vivre encore un libres. -
Erratum : Pour y vivre encore libres.
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Je plusse tout le monde sur ce coup la.
Une seule question sisyphe : pourquoi envisager la nationalisation, la saisie pure et simple que tu propose est bien plus efficace et justifiée.
Ils ont mis en danger l’economie , nos vies, notre liberté : qu’ils paient. -
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@ 666 :
Quand on veut nous faire croire à un terrorisme mondial qui soit autre chose que la manipulation de quelques imbéciles par le capitalisme pour justifier la répression, on néglige ce trou béant dans la crédibilité du scénario qui si Al-Qaeda existait vraiment, ce groupe prendrait d’autres initiatives que de faire sauter de pauvres Afghan au milieu d’autres pauvres Afghans. Tout ça n’en est que plus immonde.Pierre JC Allard -
@JC Allard,
Vous écrivez « Goldman Sachs au bûcher ? Probablement… mais il a encore des inconnues. Car, quoi qu’ait fait Goldman Sachs, il faut voir en arrière plan la totale connivence de l’État et du capital. »
Exactement, et cela m’énerve toujours quand on absoud d’office (come le fait cet article) les députés alors qu’ils portent au moins 50% sinon plus de la responsabilité. En ce qui me concerne je leur donne 100% puisque ce sont eux et eux seuls qui fixent les règles du jeu.
Chacun y compris les banquiers ont le droit de demander la lune à l’état. En dernier ressort c’est quand-même bien lui qui décide de ce qui est permis et interdit.
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@JCA
Tu prèche un convaincu .
Depuis le Planing Defense Guidance de 1992 , il est evident que « l’hyperpuissance » auto-proclamée refuse d’envisager d’etre désormais a nouveau en concurrence avec une autre entité.
Mais comme pour etre necessaire aux autres, il lui faut une menace, un arc boutant opposée pour justifier sa « resistance » , l’ennemi invisible , le fantomas islamique est le seule solution que ces lecteurs de romans a 4 sous ont envisagé.
Ceci dit, il joue leur partition avec talent, conviction et sont entourés de tous leurs suivants « journalistes » , « philosophes » ou « romanqueteurs »....
Tant qu’ils controlent l’information en usant et abusant des minorités « invisibles » , contre quelques privilèges lachés, tout va bien.
Internet leur complique reelement la tache. -
@ Internaute :
Le titre ne dit pas tout. Il faut lire l’article en lien. Envoyer Goldman Sachs au bucher n’est que l’UNE de trois (3) alternatives. Quant à la coninivence entre l’État et les spéculateurs, c’est bien ma thèse, mais je ne crois pas que les pauvres députés y soient pour quoi que ce soit au dela de toucher peut etre quelques piecettes de temps et temps. Le législatif n’en mene pas large dans la 5e Republique....Pierre JC Allard -
@ 666
C’est pourquoi je m’inquiete beaucoup de la santé d’internet...PJCA -
Et pourquoi est ce que l’on ne repartirai pas « de zéro » : l’ensemble des pays, des entreprises, des privés se déclarent en cessation de paiement, ce qui fait fermer toutes les banquyes, et l’on créé soit des banques nationales, soit des banques privées « pensées anti-spéculation » ?
J’y connais rien, que se passerait il en fait ?
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En fait l’explication du problème est simple, on ne peut pas imaginer par exemple qu’un couple n’ait que des postes a dépenses sans avoir de rentrée sur son compte ?
La privatisation crée une situation parallèle , les nations ( en particulier celle qui ont la monnaie unique) on privatisé tour a tour toutes les rentrées : Les banques, les assurances, les sociétés de crédit les transports , les autoroutes, le courrier . Il leur est facile de nous dire maintenant que les postes « a dépense » santé, les restes des transports, les restes de la poste doivent eux aussi être vendus ( au potes du FOUQUETS de préférence) ! Tout cela en réduisant les impots des plus gros contribuables ? Cette situation est bien sur intenable a termes ?
On voit donc ce qui reste a faire aux citoyens ? préparer des cordes de chanvre bien solides en assez grand nombre !
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Merci à l’auteur pour publier ce thème.
Et Sisyphe : vous semblez d’accord avec l’auteur pour incriminer le lobby financier, mais vous êtes malgré tout en faveur d’un parti politique ici en France (comme le montre vos réactions aux régionales ici) ?
Pour moi c’est un non sens. En effet, tout parti politique confondu, ce sont ces mêmes personnes qui depuis des décennies ont rendu l’oeuvre de Goldman S & co possible :)
ou bien je me trompe ? ...
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Il faut tout simplement les dénoncer publiquement. Goldman et Sachs n’est pas invisible, elle a des bureaux, des sièges, des employés cadres, des adresses e mail et face book et autyres réseaux Internet,des nr de téléphone, de fax.
Des centaines de millions d’hommes peuevnt étre informés ou alertés par Internet, sur ces gens-là qui craignent par dessus tout la publicité sur leurs méfaits et rapines. Il ne s’agit pas de se limliter à les dénboncer dans AV, mais d’aller plis loin et amp^lifier la dénopnciation poartout, dans tous lesd réseaux, dans les rues, les marchés, les bureaux de vote, dans les lines hoistiles.
Ses cadres sont des hommes et femmes qui ont des adresses, qui fréquentent des clubs, ou ont des résidences secondaires dont il n’est pas difficile de trouver les adresses, c’est là ou les opprobres populaires doivent le plus se faire sentir à l’égard de ces gens là. Jusqu’à les faire craquer, pacifiquement.Et surtout les dénoncer nominativement, dénoncer également tous ceux qui se compromettent avec eux, les Etats et hommes politiques
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« Il faut tout simplement les dénoncer publiquement. Goldman et Sachs n’est pas invisible »
Vous avez raison Mokhtar, en tout cas ils suivent les préceptes du Talmud à la lettre. -
Dommage, mais le seul espoir du monde, ce sont les 400 000 000 d’armes à feu que la constitution américaine a laissé entre les mains de citoyens américains qui commencent à en avoir marre.
Voyez ce superbe article bien documenté de François Marginean, mon collègue des « 7 du Québec »... et laissez vos préjugés au vestiairePierre JC Allard -
@ Pierre JC Allard
Il semblerait que des rumeurs de destitution de l’escroquerie OBAMA fassent son chemin de manière insistante ! Alors un Nixon black ? -
Eh oui , aux armes citoyens !
Article 35 de la constitution de 1793, dans laquelle nos ancêtres avaient DÉJÀ pensé aux problèmes de corruption !
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L’économiste Jean-Pierre Chevallier explique pourquoi la situation de la Société Générale est catastrophique.
- Total des dettes réelles : 1 000 milliards d’euros.
- Capitaux propres réels : 23,3 milliards d’euros.
- Ratio d’endettement µ : 42,9. Le total des dettes représente 42,9 fois le montant des capitaux propres.
- Pourcentage des capitaux propres par rapport aux dettes : 2,3 %.
http://www.jpchevallier.com/article-les-meccanos-de-la-generale-ont-encore-sevit-45178466.html
L’économiste Jean-Pierre Chevallier explique pourquoi la situation de BNP Paribas est catastrophique.
- Total des dettes réelles : 1 987,6 milliards d’euros.
- Capitaux propres réels : 70,1 milliards d’euros.
- Ratio d’endettement µ : 28,4. Le total des dettes représente 28,4 fois le montant des capitaux propres.
- Pourcentage des capitaux propres par rapport aux dettes : 3,5 %.
http://www.jpchevallier.com/article-bnpas-de-panique-on-coule-45137851.html
Les banques Société Générale et BNP Paribas sont deux gigantesques bombes à retardement.
Quand la Société générale et BNP Paribas s’effondreront, les dégâts seront énormes pour l’économie française.
(Concernant les soi-disant « actifs » des banques européennes, le directeur du FMI a révélé le pot-aux-roses le 24 novembre 2009 : la moitié des soi-disant « actifs » des banques européennes sont en réalité des actifs pourris.
Les banques communiquent sur leurs soi-disant « actifs », les banques roulent des mécaniques en montrant qu’elles possèdent des milliards d’euros d’« actifs » ... mais la moitié de ces soi-disant « actifs » ont une valeur réelle égale à zéro.
« Le Figaro : Quel est aujourd’hui le niveau des pertes non reconnues des banques ?
Dominique Strauss-Kahn : Il reste d’importantes pertes non dévoilées : 50 % sont peut-être encore cachées dans les bilans. La proportion est plus forte en Europe qu’aux États-Unis. Je le redis : l’histoire des crises bancaires, notamment au Japon, démontre qu’il n’y aura pas de croissance vive et saine sans un nettoyage complet du bilan des banques. »
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Tu oublie la LCL qui est dans une situation pire encore que la B.N.P ^^
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Terrifiant... Ca veut dire que ces banques peuvent aussi bien s’écrouler demain, que dans quelques années....
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Cela permettra de répondre à ceux qui récuse le contrôle de l’émission monétaire par les institutions républicaines au titre des risques abus de planches à billet, qu’avoir 5 ou 6 grandes banques privées qui abusent de la planche à billet (et de tels ratios d’endettement le montre en effet) n’est guère une situation plus enviable.
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Je pensais comme toi que la Banque Postale était la moins pire. Hélas, trois fois hélas... c’était sans compter sur les 60 millions qu’ils ont perdus avec Lehman Brothers en 2008 et leur publicité "avez-vous pensé à investir sur les marchés financiers ?" reçue la semaine dernière. Bref ! Aucune des banques traditionnelles actuelles n’est clean. Ceci dit j’ai entendu parler du Crédit Coopératif et de la NEF qui sont des organismes financiers solidaires. Comme je l’ai déjà indiqué ici, je suis en train de me renseigner et je refile le tuyau pour ceux qui veulent se renseigner à leur tour...
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Les états sont responsables du maintien de l’ordre public.
Ils doivent prendre acte des dérives des banques qui détournent des produits financiers dérivés prévus à l’origine pour compenser des risques réels, vers une spéculation illégitime.
Des lois strictes d’encadrement de ses produits financiers doivent être votées et appliquées. Les coupables d’exactions doivent être sanctionnés en fonction de la gravité et des conséquences de leurs actes.
Tous les « trop gros pour faire faillite » doivent être démantelés car leur capacité de nuisance est tout simplement insupportable pour la collectivité.
Reste à élire les hommes politiques pour réaliser ces mesures indispensables. Pour l’instant nous n’en avons pas.
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Reste à élire les hommes politiques pour réaliser ces mesures indispensables. Pour l’instant nous n’en avons pas.
@Daniel
Très juste ! Et le pire c’est que l’on ne voit personne se pointer à l’horizon...A nous de les découvrir et à leur donner une visibilité. -
Peut-être que ces hommes qui auront le courage sont vous, moi, votre voisin, mon frère... pourquoi toujours attendre que ça vienne des autres, enfin je veux dire, de ces hommes politiques dont nous ne connaissons QUE l’image.
Leur éthique, leur vision, leurs projets, nous les découvrons petit à petit et c’est à gerber.
Alors ? c’est peut être bien de la société civile que les casseurs de banksters viendront.
Arrêtons d’attendre non ? -
Oui, arretons d’attendre, mais il faut trouver le magicien d’oz qui arrivera a faire entendre raison aux Lepenistes comme aux trostskistes, aux gaullistes comme aux chretiens democrates
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roux
Reste à élire les hommes politiques pour réaliser ces mesures indispensables. Pour
l’instant nous n’en avons pas.
Même si un honnête ’élu) il ne pourrait rien faire pour causse
simplement quand il rentre dans la cage des requins si il bouge dans le sens inverse
des autres ils le dévorent tout cru
non c’est de changer les lois fondamentales immuables
et celui qui ne les respecte pas !!! hop en prison sas discution ’ Bourville)
PS ; j’aprécie souvent vos commentaires !!! merci -
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@ gimo
Merci de votre encouragement.
Il est vrai que le pouvoir n’hésite pas à utiliser la police et la justice pour déstabiliser et même neutraliser un adversaire. Souvenons nous par exemple de Michel Noir ou de Bernard Tapis, par exemple, a qui la justice ne s’est réellement intéressée que lorsqu’ils se sont montrés encombrants.
N’oublions pas Denis Robert , Julien Coupat et ses amis, plus récemment, victimes de l’acharnement du pouvoir et de persécution hors tout contrôle démocratique.
Certains magistrats ne doivent d’ailleurs leur surprenante carrière éclair qu’à leur dévouement au pouvoir.
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Daniel roux dit : « Certains magistrats ne doivent d’ailleurs leur surprenante carrière éclair qu’à leur dévouement au pouvoir. »
Ach, j’enrage de devoir rendre hommage, deux fois sur le meme fil , à un gauchiste... !
Mais comme on disait en 1940 , nouveau combat, nouveaux alliés.
J’espere que daniel Roux n’est pas en train de montrer du doigt les magistrats qui ont rendu des non-lieux dans les affaires de « ballets bleux et de »ballets roses" , il y a 30 ans....
Ou tout ceux qui ont fait suffisament d’erreurs de procedure pour que l’affaire soit cassée classée et qui ont ensuite été bien remercié (pardon on devrait peut etre dire qu’ils ont eu quand meme la chance de poursuivre leur carriere de courtisan ?).
J’espere qu’il ne montre pas du doigt le magistrat qui a bien voulu marier Sarkozy et qui a été remercié d’une breloque ?
J’espere qu’il ne montre pas du doigt les magistrats complaisants qui ont instruit et poursuivi l’affaire Clearstream dans le sens voulu par Sarkozy.
Ce serait indigne, scandaleux, espece de gauchiste de merde !
Qui oserait faire ça ?
Il n’y a vraiment que les gauchistes pour montrer les courtisans du doigt . -
roux
oui je suis en accord avec vous
je pense que le temps des politesses est revolue—(tion) mon doigit a riper
que nous assistons et sommes en quelque sorte dans l’éxtase et l’agonie
que seul un sursaut sera salutaire et porteur d’avenir
SINON NOUS SERONS le mouton d’ Abraham
merci pour vos futures commentaires justes et nobles au sens (relevé )des choses
cordialement -
@ non666
Votre soutien n’en a que plus de poids.
Vous n’êtes pas mal non plus dans votre genre. Vos arguments ne manquent pas de poids et la rudesse de vos écrits n’enlève rien à leur justesse (le plus souvent).
En réalité, je ne suis pas gauchiste mais républicain (liberté-égalité-fraternité), sous tendance anarchiste (ni dieu, ni maître), sous sous tendance communiste (services publics pour tout ce qui est besoins primaires, eau, énergies et réseaux stratégiques), sous sous sous tendance anti populiste (tirage au sort des représentants du peuple) sous sous......
Bon, j’arrête de vous bassiner car je dois aller voter et participer à la grande claque style « Casse toi pov’con » a qui vous savez.
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Bien daniel.
Nos trajectoires sont differentes, et effectivement, nous nous lisons tous desormais.
La grande leçon de la guerre contre le NWO , c’est que finalement, a force d’en abuser, ils ont finit par detruire le grand argumentaire de la diabolisation qui leur permettaient de nous diviser en expliquant , à chacun d’entre nous, que le diable, c’etait l’autre.
Nous avons tous au moins appris a nous respecter, a nous ecouter en refusant le tabou qu’ils nous imposaient.
Et ça, ce n’est pas rien.
Nous sommes desormais a peu pret tous d’accord pour un retour a une democratie véritable, au sens strict, sans delegation de nos pouvoirs souverains a des institutions mercenaires apatrides.
Et ben, on ne peut pas dire que le progres soit mince, finalement.
Bon vote Camarade (de la tranchée d’a coté...) puisqu’on tire dans la meme direction. -
@ Roux
Vous avez parfaitement raison . Mais En parlant des trop gros qui doivent être démantelés, je garde en mémoire le cas de EDF GDF qui a été démantelé « sur ordre de Bruxelles » parce que trop gros . Dix a quinze ans plus tard, les presque même ont trouvé qu’ils étaient trop petit face a la concurrence et on les a marié a Electrabel pour l’un , a Suez pour l’autre .. Y comprenez vos quelque chose ?
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apres des mois de consultation des blogs et forums, :
Des milliers d’avis désolés, catastrophés, scandalisés, consternés...etc..
Aucune action politique d’envergure.
Aucune action citoyenne d’envergure.
Quelques actions ponctuelles de citoyens isolés : enquêtes d’un journaliste sur Clearstream, recupération de quelques fichiers d’évasion fiscale par un garçon interessé.. par l’argent , tout cela sur 64 millions d’habitants.
Les déviances de nos sociétés sont inquiétantes, injustes, cyniques, nihilistes, destructrices mais les réactions des citoyens sont inexistantes pour changer cela.
Nous sommes à un point de l’histoire des Nations ou seule un boulversement venant de la rue fera effectivement changer les choses pour reprendre en main notre destin.
En France on est des malins, on choisi un gouvernement de droite et des regions de gauche et l’équilibre est fait... et rien ne se passe, la machine destructrice continue.
Meme pas un groupe de saboteurs qui s’attaquerait aux centres informatiques des banques d’affaires... nada.
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Oui, OJ,
On croit encore que la surproduction et la surconsommation sont des situations normales. On attend aussi la « sortie de crise ».
La mesure aussi évidente et urgente qui est l’établissement d’un cordon sanitaire pour nous isoler de la finance n’est apparemment pas envisagée.
Le statut de salarié est toujours considéré comme normal.
La réduction de la production et de la consommation au niveau du possible (sans fausse monnaie notamment) n’est pas prévue.
Et on continue à élire des politiques qui sont précisément chargés de faire fonctionner le système existant. -
http://bretagne.solidariteetprogres.org/?page_id=459
Voilà pour ceux qui combattent la dictature de la finance dans l’Histoire et qui présente une liste en Bretagne.
Quand au délire sur-consommations/sous-consommation, ce sont des concept pour nous diviser. Un écolo formaté actuellement ne réussira pas à faire plier la City puisqu’il en adopte l’idéologie anglosaxonne mondialiste (malthusianisme, anti-nucléaire, anti-progrès,...) qui le rend inoffensif.
La pollution avérée ne se combat pas après que l’industrie vecteur de progrès technologique est détruite.
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@ oj
Meme pas un groupe de saboteurs qui s’attaquerait aux centres informatiques des banques d’affaires... nada.
Entièrement d’accord avec ça !
On a bien trouvé un hacker pour dévoiler les courriels du GIEC, mais pour ce qui est s’attaquer aux banques, personne....
Pétard, ça ne doit pas être impossible de les attaquer, pour leur pourrir la situation, non ?
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Gueudin 14 mars 2010 08:36Bonjour,
pour entrer dans le délire du sabotage des centres informatiques, à mon avis c’est très difficile et ça n’aurait que peu d’effet : Ce genre de centres sont de vrais bunker conçus pour résister à des catastrophes naturelles, et il ne faut pas rêver, les données sont dupliquées dans différents centres séparés.
Ho je n’ai aucune source, mais cela me semble le bon sens même, on parle quand même de lingots virtuels. -
On parle aussi beaucoup de lingots farcis au tungstène.
http://www.jovanovic.com/blog.htm
Certains propagent même d’épouvantable ragots selon lesquels les réserves d’or américaines ne sont plus constituées que de ça.
On se demande comment ils le sauraient puisqu’aucun audit des ces réserves n’a été réalisé depuis des lustres. D’un autre côté, on pourrait aussi se demander pourquoi on ne réalise plus d’audit ?
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@Sisyphe
Il y a plus simple pour s’attaquer aux banques : faire comme moi tous ensemble . Imaginez le probleme que cela leur poserai, ils seraient obligés de faire refaire des lois par leurs amis politiques !
Il y a un maillon biens plus facile a « neutraliser » : les télécommunications" qui permettent tout ces tripatouillages en temps réel -
@Geudin
Les circuits de communication sont vitaux a l’informatique actuelle, voyez cz que je veux dire, sans telecom (qui passent essentiellement par de la fibre optique, du câble classique et un peu d’herzien l’informatique est paralysée ?
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quand on sait que le 11 septembre 2001, 2 secondes avant que les avions ne percutent les tours jumelles, la porte de la chambre forte de la banque goldman sach, s’est faite explosée et qu’une heure plus tard les 176 milliards de dollars en or quelle contenait on disparus dans la nature,
nous comprenons que les liens entre pouvoir politique, pouvoir financiers et manipulation mondiale sont évident, et cela fait 30 ans que cela dure.
le seul but de cette manipulation est le controle de la puissance de travail de l’humanité
la solution passera sans doute par une crise majeure, qui dévérouille les leviers de pouvoirs, avec le risque que cela établisse une dictature mondiale
orwells dans 1984 a bien établi l’équation politique qui se joue par le jeu des alliances temporaires, vers un pouvoir mondial.
seul l’individu dans un tel cas de figure, me parait inalienable.-
quand je dis qu’ils ont disparus dans la nature,
je sous entend bien sur que la banque goldman sach les a récupérés ailleurs
il s’agit d’un auto cambriolage au même titre que le 11 septembre est un autoattentat -
Goldman Sachs ,comme JP Morgan sont parmi les instruments utilisés par le CFR et Bilderberg
pour arriver au contrôle de chaque pays individuellement . Quand les gouvernants d’un pays sont mis en place c’est eux qui en tiennent les cordes . La démocratie comme nous la connaissons est un faux-semblant . Croyez - vous vraiment qu’un type comme Sarkozy s’est fait tout seul . Il est
le fruit d’une stratégie de longue date . C’est un acteur comme beaucoup de ses compères . -
On peut etre sensibilisé aux derives du systeme, on reste quand même des gens serieux.
Votre affirmation, parfaitement gratuite, sur la porte du coffre et de je-ne-sais-combien-de-dollars-or disparus, me font bassement rigoler.
Les banques de l’envergure de GS n’ont pas besoin de ce genre de manoeuvre pour mettre a gauche des montants de cette ampleur, somme toutes faibles.
Dommage que votre intervention soit si peu credible, justement a cause de ce genre de declaration non fondée et hautement fantasmagorique.
Si vous voulez persister, je vous conseille d’ecrire un livre, qui sera peut etre acheté par une major du cinema pour en faire un bon scenario, vous gagnerez ainsi un bon paquet de fric, et vous verrez las choses autrement. -
Caton avait raison :
« Delenda est Goldman Sachs ! »
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Le principal effet de la crise est l’achèvement de la destruction des systèmes de protection sociale du continent européen. Regardez la Grèce où les gouvernant, pris à la gorge, sont contraint d’appliquer les thèses néolibérales qui mettent à bas ce qui reste de l’état providence. Plutôt que de chercher à dégager des recettes (via l’économie réelle) on réduit les coûts, et le coût, c’est le peuple.
Cette crise est une bénédiction pour les idéologues d’ultra-droite qui profitent de l’effet d’aubaine. En Grèce il n’y a même plus besoin d’un Sarkozy. Ce sont les banques qui font le travail.
En attendant notre tour.
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Il y a un peuple du résiste, ce sont les islandais.
Devenons tous des terroristes d’islandais )) -
à tous
cela me rappelle 1983
après 2 ans d’état de grace socialiste et de largesses distribuées,les caisses étant vides comme en grèce , le franc subit une attaque des financiers ci-dessus ,n’étant pas encore dans l’euro le francs pouvait dévaluer ce qui revenait à donner une prime aux spéculateurs (équipe georges soros à l’époque qui s’était fait quelques milliard en 15 jours contre la livre auparavant )
les socialistes ayant déja dévalué 2 fois en deux ans ,les financiers leur montrant qu’il pourraient recommencer dans 6 mois ,furent contraint à trouver une autre solution , la seule possible était comme pour la grece de passer sous les fourches caudines du fmi .celui ci accordant un prêt (4 milliard de dollards ) permettant de résister à l’attaque et se montrant déterminé à en accorder d’autres en cas d’attaques futures. le prix à payer ? l’arret des socialismeries,l’arret des nationalisations , l’ouverture des marchés ,l’ entrée dans le libéro- mondialisme .tel était le dileme posé au gouvernement ! rendre le pouvoir à la droite qui par vocation aurait cédé au fmi , soit céder soit même , rester au pouvoir ,s’en mettre plein les poches ,faire croire au peuple que l’ont est toujours socialiste en baptisant un virage à 180° « politique de rigueur » . c’est sous ce mensonge que nous vivons encore actuellement .
les capitalistes ont aimé la gauche au pouvoir cela à permi d’introduire le libéralisme en catimini ,d’étouffer toutes les revendiquations qu’ils auraient faites s’ils avaient été dans l’oppositions !,d’éliminer le parti communiste
.une preuve : la bourse reste neutre au moment des élections ,c’est qu’économiquement il n’y a pas de différence !!.-
l’euro a changer la donne , il ne peu plus y avoir de spéculation contre les monnaies nationales
les 35 heures payés 40 ,c’est 13% d’augmentation des charges salariales sous le franc cela aurait entrainé une dévaluation de 15% pour rester au même prix dans le commerce international,
avec l’euro pas de dévaluation les prix ont augmentés de 13% ,diminuant nos vente et entrainant du chaumage . -
Certes mais la réalité c’est qu’à présent les spéculateurs se sont mis à jouer avec les bons du trésor des états européens... Actuellement les fonds de pension Pimco & co veulent forcer la France à monter ses taux en boycottant les bdt français et en reportant leurs achats sur ceux des italiens, hollandais et allemands... Un bras de fer s’est engagé et c’est le peuple qui va trinquer.
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Pas beaucoup de gens le savent, mais 1983 est le résultat des soins prodigués par le FMI, car la France ne pouvait plus dévaluer une troisième fois
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Comme dirait Max Keiser, Goldman Sachs c’est de la vermine...
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Un article d’une théorie du complôt débile
http://www.tvargentine.com-
Et quel rapport avec votre site pourri ?
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Il y a des gens qui ont voté non à l’article, hallucinant !
C’est leur droit, mais dans quel intérêt ??-
oui on l’a trouvé il est juste au dessus ^^
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Il a l’ air bien diminué le pauvre vieux. Ca me fait de la peine pour l’ Argentine.
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Si vous en avez marre, agissez ! 1 milliards de bonus annoncés hier pour les traders de la B.N.P. Ça fait râler mais combien de clients vont clôturer leurs comptes et aller ailleurs ? En plus cet argent ils nous le pompent à nous sous forme de frais et pénalités diverses (regardez bien votre relevé de compte). Moi j’ai franchi le pas. Je sors mon argent des griffes des vampires. Tous mes comptes placés (retraites et autres) sont clôturés et je suis en train de me renseigner pour migrer vers le crédit coopératif et la NEF qui sont des banques éthiques...
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Vous avez entièrement raison, j’invite tt le monde à se renseigner sur la NEF et le Crédit Coopératif.
Rien ne vous oblige à confier votre argent à des gens qui jouent en bourse avec.
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J’étais à la B.N.P et ce que j’en ai appris (notamment grâce au blog et à l’émission radio de Jovanovic) m’a totalement écœuré et convaincu de mettre mon argent ailleurs, dans une banque qui finance à 100% l’économie au lieu de jouer au casino avec... Mais combien vont se donner la peine d’aller voir les sites des organismes sus-cités ??! Hélas pas beaucoup je craint.
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Un bon ami a déjà migré tous ses comptes vers le Crédit Coopératif après avoir questionné l’employé de banque pendant plus d’une heure. En substance, il faut retenir qu’il s’agit d’une banque qui ne spécule pas en bourse (100% des fonds servent à subventionner l’économie) et qui ne fait pas de prêts genre subsprimes, elle limite aussi le capital de ses actionnaires. Pour le reste j’invite ceux et celles que ça intéresse à prendre rdv et à décider par eux-même...
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a part aller leurs faire sauter la gueule sur place , je ne vois pas autre solution.
les enlever chez eux les uns apres les autres ensuite, torture comme au moyen age. quand il aurons consience qu’ils ne sont plus en securité nul part, la ca changeras !!-
mais il faut un federateur, un ELU que tout le monde suivras, un peut comme cohn bendit en 68.
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on l’a l’elu... et c’est un vrai elu, c’est même un mec qui fait des referendums pour son peuple... ;
Attention que le mot referendum ne vous fasse pas entrevoir un autre personnage qui ne les respecte pas, lui, les referendums
Je veux parler de Chavez, qui malgré sa mauvaise réputation a la même maniere de parler que notre mini leader maximo, et ne renierai pas du tout le « cass’toi pov’con » de notre dictateur a nous.
Pour ceux qui connaissent l’amerique latine, je sais qu’il ne me contredirons pas. On peut ne pas aimer le Chavez, il n’en reste pas moins un vrai leader politique alternatif et ses actions antidemocratiques sont loin d’etre aussi totalitaire que les notres.
Son defaut est a priori son marxisme, mais son non-alignement est de bon aloi. -
Le combat politique pour l’indépendance face à un empire existe depuis toujours.
En l’occurrence l’indépendance des USA fût gagné à l’époque contre l’empire britannique devenue empire de la finance à force de bolchévisme non parlementaire, de fascisme, de guerre et de crise.
Rien de bien neuf.
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« La première chose que vous devez savoir de Goldman Sachs, c’est qu’elle est partout. La banque d’investissements la plus puissante au monde est une gigantesque pieuvre vampire qui enfonce sans cesse son syphon sanguinaire dans tout ce qui a l’odeur de l’argent. » Et la deuxième chose que vous devez comprendre c’est que la pieuvre ne s’appelle pas Golinval Sachot.
« Dominique Strauss Kahn plaide pour que le Fonds Monétaire devienne la Banque Centrale du monde. » Il ne manquait plus que ça. FMI alias Fond Medusien Israélite.Un anthropologue célèbre a dit un jour que si l’on laissait la destiné du monde à ces gens-là, le chaos arriverait très vite tant le système établit serait corrompu. On vient juste d’en avoir un aperçu.-
En outre je suis complètement en accord avec l’article. Denninger (je crois bien que c’est lui) annonce le « grand crash » pour juin tandis que le site Zerohedge table sur le milieu de 2011. Les banques sont à court de liquidités et ont commencé à imposer des conditions de retrait restrictives aux citoyens lamba. La City Bank s’est arrogée le droit de prendre 7j pour rendre l’argent à ses client. La Banque Postale et d’autres demandent qu’on les préviennent 48h à l’avance pour des retraits supérieurs à 1500€... si la crise éclate demain est-ce que vous allez attendre 48h pour demander votre argent ?!
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Je ne partage pas du tout le point de vue de l’auteur sur sa grande théorie du complot.
Je trouve que les gens qui croient en ça n’ont rien compris à la nature humaine. A voir comment tourne le monde j’ai l’impression que nous sommes incapables de nous projeter à plus d’un mois dans le futur. Alors de là à parler de calendrier planétaire.... Et rajoutez à ça notre amour du profit. Et vous comprendrez mieux pourquoi cette banque agit comme ça...
Et les banques ont besoin des états, autant que les états ont besoin des banques. Le jour où le système s’écroulera. Les banques s’écrouleront aussi. Par contre je partage la vision de l’auteur quand il dit que nous avons franchi un point de non retour. Effectivement la dette exponentiel des états amènent notre système à sa fin de vie. Toute réforme, tout changement ne servira qu’à reculer pour mieux sauter à ce stade. Il suffit donc d’attendre, de pleurer, et de réinventer un système plus juste.
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Bon article.
Parce que l’article de Matt Taibbi est un peu difficile à lire en anglais, j’en avais fait une traduction ici.
Cet article a eu un retentissement mondial, avec des effets... inattendus : après sa parution, la direction de Goldman a conseillé à ses cadres de s’armer !
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« Cet article a eu un retentissement mondial, avec des effets... inattendus : après sa parution, la direction de Goldman a conseillé à ses cadres de s’armer ! »
Idem pour AIG, d’ailleurs plusieurs « cadres » ont depuis refusé leur « bonus » ... -
Comme c’est commode de tout mettre sur le dos de Goldman Sachs. On condamne les exécutants et on pardonne aux instigateurs. Car autant que je sache, ce sont les politiques grecs qui ont loué les services de Goldman Sachs pour maquiller la dette de leur pays. Mais évidemment, quand on aspire comme vous à une économie dirigée, on a du mal à admettre que la malhonnêteté qui suscite les crises puisse également venir des politiques. Alors du coup, on condamne l’armurier et on laisse en liberté l’assassin. C’est du joli ! ...
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On croit rêver... Donc si j’ ai bien compris pour vous GS n’ est mouillé que dans l’ affaire grecque ? Ecartez un peu vos oeillères et regardez ce qui se passe aux US. Là-bas l’ assassin c’ est Goldman Sachs et l’ exécutant la Maison Blanche.
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Et on pourrait pas tout simplement dire a tous d’aller se faire voir ?
Au non de quoi un état doit baisser son froc devant des banques privées ?
Pourquoi on devrait encore courber l’échine devant cette nouvelle crise à venir ?-
Alors finalement Crise ou Coup d’État ?
Voici quelques éléments de réponses nourries :
http://www.dailymotion.com/relevanc...
Il y a 4 vidéos, le son est un peu médiocre mais le fond est saisissant.
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Désolé je vous remets le lien : Crise ou coup d’Etat ?
Si après ça on nous traite encore de complotiste, c’est sans espoir ...
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Les états annule leurs dettes, refusent d payer des intérêts pour une chose qui n’existe plus, ne rembourse pas le capital.
Et on repart de 0
Révolutionnaire ?
Utopique ?
suffit de le vouloir !
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Pourquoi refuser d’abord et avant tout une solution applicable :
Celle d’arrêter les intérêts sur les dettes publiques !
Il faudrait simplement décourager les crédits qui provoquent l’inflation (ceux qui couvrent les frais de fonctionnements) mieux que maintenant pour être plus logique que le système anglo-saxon....
....le système actuel hausse les taux d’intérêts des années après les déséquilibres budgétaires. Il est donc lent et contre-productif. Il décourage l’emprunt sans disctinction entre dépense de frais de fonctionnement (provoque l’inflation et appauvri) et dépenses d’investissements (pas d’inflation et donc enrichi).
Donc il faut recréer des banques national (pour les avances du trésor qui devront se substituer aux dettes publiques graduellement ou d’un coup) mais AVEC des accords internationaux pour la stabilité des monnaies (une sorte d’entre 2, francs/€).
C’est autrement plus concret que des grands bordels inapplicables à plusieurs !
C’est dans la droite ligne de Solidarité et Progrès qui présente une liste en Bretagne pour un crédit publique productif à l’investissement sans intérêts immédiat et des banques national avec accord internationaux dans la foulée !
http://bretagne.solidariteetprogres.org/?page_id=459
(le fameux graphe sur les 900 milliards volés à la France en comptant 30% de créditeurs français)
http://www.solidariteetprogres.org/article6314.html
(sur le crédit productif applicable tout de suite) -
Il (le système anglo-saxon) décourage EN PLUS l’emprunt sans distinction entre dépense de frais de fonctionnement (provoque l’inflation et appauvri) et dépenses d’investissements (pas d’inflation et donc enrichi).
Majoration supllémentaire
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Ha ! ha ! et que vive la révolution.....et que de guerres pour que revienne enfin l’apparente stabilité fragile qui est la notre
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Merci, l’auteur
Et merci pour les liens
Beaucoup de choses deviennent très claires après la lecture de cet article et l’excellente traduction du magazine Rolling Stone.
Un Dillinger pour nettoyer tout çà ? Plutôt limité pour faire le grand nettoyage nécessaire. Avec Internet, des dizaines de millions savent à quoi s’en tenir. Il leur faut s’organiser. Simplement. On est des centaines de millions. La révolution ? Même pas la peine. Mais probablement, une dénonciation mondiale, permanente, qui les obligerait à se cacher et obligerait les hommes politiques à s’en démarquer. C’est possible. Un genre de Tribunal Bertrand Russell, où viendraient témoigner tous les journalistes et économistes informés ainsi que les représentants de ceux qui ont été ruinés. Avec Internet, facile de les retrouver.
Pour ceux qui l’ignorent ou l’ont oublié, le Tribunal Bertrand Russell a accusé les Etats Unis pour leur sale guerre au Vietnam, et a suscité un très vaste et efficace courant d’opinion mondiale et américaine contre cette guerre.
Depuis près d’un siècle, Goldman Sach et ses acolytes ont probablement sucé plus de sang que tout ce qui a coulé au cours de cette guerre.-
Encore une théorie du complot pour tout mettre sur le dos des banques et se laver les mains de la mouise dans laquelle nos « démocraties sociale » sont en train de s’enfoncer.
Certes, les banques profitent au maximum de toutes les occasions de faire du blé, y compris dans un rôle peu reluisant de « charognards ». Mais :
(1) Les banques ne font pas les lois sous lesquelles elles exercent leurs activités. Une banque qui agit dans l’illégalité doit être poursuivie. Une banque qui, dans la légalité la plus parfaite, se conduit comme un rapace, n’est pas à blâmer. Si les pouvoirs politiques sont incapables de les réguler, c’est aux pouvoirs politiques qu’il faut s’en prendre, pas aux banques.
(2) Ce n’est quand même pas la faute de Goldman Sachs si les Etats européens sont incapables de maîtriser leurs budgets et de financer leurs systèmes de protection sociale. Si les hommes politiques qui se succèdent comme bonnet blanc et blanc bonnet avaient une vrai vision à long terme, un vrai soucis du bien-être public, et pas seulement la frénésie du pouvoir et de la réélection, on n’en serait pas là. Encore une fois, les banques, c’est indéniables, profitent au-delà de l’acceptable moralement de la faiblesse des pouvoirs politiques. Mais, en premier lieu, il y a des pouvoirs politiques faibles, démagogiques et arrivistes qui par leur incompétence et leur absence de tout soucis du bien public, nous mettent, nous, les citoyens, entre les mains desdites banques. C’est trop facile d’appeler les banques à la morale, mais les premiers et seuls coupables, ce sont nos représentants politiques (et donc ceux qui votent pour eux, c’est à dire... nous).
Si la Grèce est sous tutelle européenne, c’est (1) parce qu’elle a souhaité rentrer dans la zone euro et partager notre monnaie commune, ce qui octroie un certain nombre de droits (subventions massives...) mais aussi de devoirs (comme de respecter des objectifs de stabilité macroéconomiques pour ne pas faire couler avec soi ses petits copains), (2) a laissé filer ses finances publiques au-delà du tenable, (3) a accepté (et personne ne les a jamais obligé à accepter l’offre de GS) une misérable combine pour essayer de cacher sa merde sous le tapi, comme un petit gamin qui sait qu’il a fait une connerie. Voilà les 3 raisons qui font que, aujourd’hui, la Grèce est montré du doigt comme le vilain petit canard européen (en attendant les prochains). Et en quoi est-ce la faute de Goldman Sachs ?? C’est comme d’accuser le fabriquant du pistolet de la responsabilité d’un suicide !
Alors, à tous les petits Tyler Durden de salon qui rêvent de faire "péter le système"... C’est tellement facile d’accuser Goldman Sachs et consort, plutôt que de devoir se poser les questions qui fâchent sur la soutenabilité de notre modèle socio-économique...
Je vais me faire accuser d’être au service du lobby bancaire dont, c’est bien connu, le projet secret est de casser les systèmes de protection sociale pour mieux nous exploiter...
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La Grèce est un mauvais exemple à plusieurs égards parce qu’elle permet de rejeter une fraude sur les états alors que c’est le système qui ne leur laisse pas le choix et que des grosses fraudes sur une 2% de l’économie européenne ne devrait pas nous détourner des petites obligatoire sur 80% de l’Europe.
En bref, Il y a des monstres de la finance « too big to faill » qui bouffe tout le marché avec la complicité et de Washington (l’obamania réel) et la FED avec des politiques libre-échangiste qui soi-disant depuis 30 ans offriront la prospérité.
D’abord c’est intenable, le but réel est de fragiliser les états. Ensuite, c’est antidémocratique.
Qui prend ses décisions ? Ce n’est jamais le sujet d’une campagne comme par hasard.
Et alors la fameuse indépendance des banques centrales... elles prêtent moins cher au privé qu’au publique !!!!!!!
le comble de la honte intellectuelle, bien plus à grande échelle ce qui relativise la fraude grecque en tout bon sens de la mesure.
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NICOPOL
VOUS VOYEZ !!! quand vous voulez vous etes pas si mauvais
cela dit je suis en accord avec vous sur ce point ok
mais de grace pas de humain trop humain Nietzsche
ça c’est une évidence
merci cordialement -
@ Gino,
Merci pour l’amabilité
Vous avez quand même l’air bien imbu de vous-même pour décider ce qui est à prendre et à laisser dans mes modestes contributions. Grand bien vous en fasse.
Cordialement,
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NICOPOL
reprise de votre post
l’air bien imbu de vous-même pour décider ce qui est à prendre et à laisser dans mes modestes contributions. Grand bien vous en fasse.
JE NE LE PENSE pas !!!!ce n’est point ma nature
mais je pense avoir ce droit personnel de choisir comme vous méme sans plus !!
cela dit ceci nengage que ma seule personne
PS ; bien que j’aime Friedrich mon préféré en philo mais j’ai horreur
quand on s’enlisse avec des broutilles. Définitions : Chose insignifiantes, vétilles...
qui n’apporte rien que un simple étalage intellectuelle sans plus !! n’est ce pas
merci cordialement -
@ Gino
Je ne comprends rien à ce que vous dites. Quel est le rapport avec ce que j’ai écrit ?
Enfin bon, @+ !
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tourn en ron 17 mars 2010 18:24http://www.alterinfo.net/Les-Rothschild-et-les-crises-mondiales_a32261.html ci ça ces pas un complot toi tes pas humains mais tu est un spam alors !!!!!lis bien cette article tu vera
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Pendant ce temps là....
Les super-riches sont de retourLe Mexicain Carlos Slim est devenu l’homme le plus riche du monde, battant Bill Gates, et le Français Bernard Arnault domine l’Europe, selon le classement 2010 des milliardaires de la planète établi par le magazine Forbes et rendu public, mercredi 10 mars, à New York. "L’économie mondiale se remet, les marchés financiers sont de retour, particulièrement les marchés émergents", a annoncé le journal.
Après le choc de l’an dernier consécutif à la crise financière de l’automne 2008, les milliardaires sont revenus : 154 de ceux qui avaient été éliminés, notamment les Russes, remontent en selle, et 97 nouveaux font leur apparition, dont 62 viennent d’Asie. Mark Zuckerberg, 25 ans, cofondateur du réseau social Facebook, exclu de la liste en 2009, refait surface, et est classé 212e avec 4 milliards de dollars. Au total, le monde compte aujourd’hui 1 011 milliardaires originaires de 55 pays. Le club des super-riches n’atteint pas encore le record de 2008 (1 125), mais est en nette récupération après s’être réduit à 793 membres l’an dernier.
Avec une fortune estimée à 53,5 milliards de dollars, le septuagénaire Carlos Slim, magnat mexicain des télécommunications qui fait partie du peloton de tête depuis quelques années, bat de 500 millions Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, qui doit se contenter du second rang. Les Américains se taillent toujours la part du lion avec 403 milliardaires. Mais ils passent de 45 % à 40 % du total, ont perdu la première place pour la première fois depuis 1994 et ne sont que deux parmi les cinq premiers, les Indiens Mukesh Ambani et Lakshmi Mittal arrivant aux 4e et 5e rangs.
L’Europe dénombre 248 milliardaires. Le Français Bernard Arnault, 61 ans, propriétaire du groupe de luxe LVMH (Louis Vuitton, Moët & Chandon notamment), détrône l’Allemand Karl Albrecht, prend la septième place et devient l’homme le plus riche d’Europe avec une fortune estimée à 27,5 milliards de dollars, en hausse de 11 milliards en un an.
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@ frédéric lyon
Casser de l’ouvrier, de l’employé, du consommateur, c’est légal, et ça vous tombe sur la tête avec des agents de force de l’ordre et des médias qui pratiquent l’endoctrinement par le divertissement,
casser des abris bus ou attaquer une banque c’est illégal ; et plus on porte atteinte aux representantx du capital et plus l’acte est sévèrement punit,
c’est quoi la différence entre les faussaires et ces financiers, les uns agissent contre la loi et les autres ont la loi pour eux -
frida
je vous donne +++++++++++
asta luego
merci -
Je suis persuadé que les immensément plus riches sont : Les Rothchilds & les Rockfellers.
C’est eux qui detiennent le droit de battre monnaie en sus et place des Etats Occidentaux et du CommonWealths.
La devise de toutes personnes qui n’a rien à prouver mais à cacher est : Vivons cachés pour être heureux ...
Les autres publiés par Forbes, sont à l’image des politiciens, ils font de la figuration, c’est une scène de théâtre pour amuser les masses, la plèbe, les gueux, les serfs, les esclaves des temps modernes ... que sont la planète moins eux ! -
Merci à l’auteur pour cet excellent article.
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Gueudin 14 mars 2010 09:20Et après on nous fait des sondages sur les idéologies et religions dangereuses... Ces banquiers sont des nihilistes ne vénérant que le Dieu $.
Ho il se trouvera bien quelques autres idéologues pour me rétorquer que leurs activités relèvent du capitalisme, du libéralisme, du nouvel ordre mondial voire du sionisme, mais je n’y crois pas une seule seconde.
Certes, ils militent pour le minimum de réglementation, mais ce n’est qu’abattre les obstacles qui sont sur le chemin de leur Dieu.
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Cette crise a été conçu pour créer un nouvel ordre mondial de la finance contre les peuples.
Les banquiers Français vont finir leurs destructions des industries et du commerces. Ils ont accéléré ce moi ci la destruction de l’économie Française en refusant le financement des investissements et en durcissant les conditions de crédit. Après les particuliers, les états, les PME aujourd’hui l’industrie va morflé. Quel politicien aura le courage d’arrêter ses criminels !La seule solution pour sauver la France du chaos, c’est de nationaliser les banques et de revenir à une monnaie nationale pour les prêts d’état, d’entreprise, particulier en gardant l’Euro pour les échanges internationaux.-
DESPERADO 14 mars 2010 10:00Goldman sachs,lehman brhers,etc....
C’est juste des Madoffs mieux organisés.
On va encore nous traiter d’antisémites.-
Excellent article.
Et dire que le FDIC recense 702 banques prêtes à couler aux US. On pourrait presque croire que la concentration à venir va bien tenir le peuple ricain...
Pas étonnant que city group impose des taux d’agios à 29%.Bon, sinon, nous ne sommes qu’au début de la guerre monétaire. Là aussi, il va y avoir des morts.
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OUAÏE ! Encore des mauvaises nouvelles. C’est pas très cool pour notre avenir.Les cumulo-nimbus sont des présages de mauvais temps de même que les nouvelles de tout les commentateurs.
Merci à @pyralène pour la BNP puisque ma mère y a toutes ses économies. Mais à notre époque à qui se fier ? Envers qui pouvons nous avoir confiance et se mettre à l’abris de cette gigantesque liquidation ? L’argent liquide est très certainement le dernier ver dans la pomme. Je pense que les banques chercheront dans l’avenir à se débarasser de ce cash. Mais cela c’est seulement mon avis d’économiste du dimanche matin. Ca sent le roussi quand même pour rester poli.
Bonne nouvelle dans tout ce catastrophysme puisqu’il va faire beau. Le calme avant la tempête ? L’été 2010 sera très certainement un des plus beaux avant de sombrer dans une grande détresse. Il n’y a absolument pas de travail en france et même les artisans se battent becs et ongles pour remplir leurs carnets de commandes. La concurrence est féroce et les prix sont à la « ramasse ».
En Deux-sèvres malgré l’aisance finançière des ménages essentielement basées sur le tertiaire (grâce aux nombreuses mutuelles comme la Maaf, la Macif, la Maif) les clients sont prudents et les constructions de pavillons neufs ont chuté de plus de 30 %. C’est la crise « ad lib ». Les marges des artisants baissent parfois jusqu’à 1.3 pour obtenir le chantier de placoplâtre et d’isolation. Autant dire travailler dur pour « quetchi ».
Ceux qui s’en sorte à peu près sont les artisans seuls comme moi qui cible le particulier dans la rénovation des ouvertures.. 90 % c’est du PVC balnc. Oui je sais c’est pas écologique pour un rond. Faut bien recycler les déchèts du pétrole avec une pointe de sel. Les plombiers sont les grands gagnants avec toutes les nouvelles chaudières.
La saignée planétaire continuera jusqu’à l’extrème maigreur de la bète (comme les innombrables dirigeants de la Camif l’ont fait à Niort avant de la faire couler).-
Effectivement les banques et les gouvernements souhaitent à terme faire disparaître l’argent liquide (car il échappe à tout contrôle), que toutes les transactions soient soient électroniques, la traçabilité totale sur qui fait quoi de son argent, enfin ça c’est valable pour le peuple, les paradis fiscaux seront toujours là.
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Tant que le monde politique n’est pas responsabilsé, il n’ y aura rien de concret. Aucun média quelque soit son support n’explique aujourd’hui la cause de la crise mondiale ni n’encourage au vrai changement.
Tant que la vraie démocratie, celle qui donne le pouvoir aux lois et non aux hommes, n’est pas appliquée les richesses continueront à s’acumuler mais ce sera au profit des corrompus et non au profit des peuples.
Si l’appel aux bidons des urnes continue à drainer les crédules et continue à faire saliver les peuples, alors il est certain que dans un proche avenir la dictature sera définitivement cansacrée de manière irreversible.
Je pense que les médias sont entièrement responsables de toutes les faillites parce qu’ils jouent le jeu des fossoyeurs en refusant de nommer les choses par leur nom : Le monde politique est irresponsable, il faut le responsabiliser pour l’extraire du monde obscur des milliardaires !
Mohammed MADJOUR.-
ça devrait vous intéresser (il y a 4 videos)
Le thème est la manipulation des opinions ... -
Un peu tard sur ce fil mais une petite remarque concernant Goldman Sachs : JK Gailbraith (économiste américain ayant été conseiller pour plusieurs présidents), a écrit un livre en 1953, analysant la crise de 1929 :
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Crise_%C3%A9conomique_de_1929En le feuilletant par hasard dans un grand magasin vendeur de culture, j’ai vu qu’un chapitre (plutôt critique je crois) s’appelait : « Faisons confiance à Goldman Sachs ».
Ecrit en 1953 pour analyser la crise de 1929, répétons une fois encore le titre de ce chapitre : faisons confiance à Goldman Sachs, faisons confiance à Goldman Sachs, faisons confiance...
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Il faudra trouver moyen de faire table rase en demandant l’abolition des dettes sans contreparties.
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si on veut juger Goldman Sachs et consorts,rien de plus légitime mais quid de tous les politcards corrompus pour qui vous allez voter aujourd’hui aux régionales (entre autres) ou ceux d’un futur fond monétaire européen (qui ne sera qu’un clône du FMI) et qui sont complices vu que leur but est de profiter du gateau,et au pire des miettes...ils semblent être plus doués dans l’art du noyer de poisson que dans celui du méa-culpa sincère suivi de faits concrets supposé mener à un changement radical...les peuples vont devoir reprendre la main en se passant de ses « élites » sans quoi ça sera un recommencement perpétuel des mêmes pratiques....
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Entièrement d’accord avec vous Takuan.
Un article sur le sujet est d’ailleurs en attente de modération sur AgoraVox
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tourn en ron 15 mars 2010 18:28lisez le debut vous trouverais le reste sur le net Beaucoup d’énigmes entourent le centre secret du négoce bancaire international : la maison ROTHSCHILD.
En 1750, MAYER AMSCHEL BAUER acheta la banque de son père à Francfort et troqua son nom pour celui de ROTHSCHILD. Mayer se maria. Il eut cinq garçons et cinq filles.
Les prénoms de ses fils étaient Amschel, Salomon, Nathan, Kalmann (Karl) et Jacobs (James). Son ascension s’accéléra lorsqu’il obtint les faveurs du PRINCE GUILLAUME IX de HESSE-HANAU. Il prit part, en sa présence, à des rencontres de francs-maçons en Allemagne.
Ce prince Guillaume, ami de la DYNASTIE DE HANOVRE, avait des revenus financiers considérables en louant ses mercenaires de Hesse au roi anglais (de Hanovre). Ce furent les mêmes troupes qui combattirent, plus tard, contre l’armée de George Washington dans la « Valley Forge ». Rothschild devint le banquier personnel de Guillaume. Lorsque le prince Guillaume dut s’enfuir au Danemark à cause des troubles politiques, il déposa à la banque Rothschild le salaire des mercenaires, soit 600.000 livres.
NATHAN ROTHSCHILD (le fils aîné de Mayer Amschel) emporta avec lui cet argent à Londres grâce auquel il put ouvrir aussi une banque. L’or qui servit de garantie était issu de la « East India Company ». Nathan obtint une plus-value de 400% en prêtant de l’argent au DUKE OF WELLINGTON qui finançait ainsi ses opérations militaires et en vendant aussi, plus tard, de façon illégale l’or qui devait servir de garantie. Ces transactions furent à l’origine de la fortune gigantesque de la famille Rothschild .
C’est alors que débuta le commerce bancaire international : chaque fils ouvrit une banque dans un pays différent, Amschel à Berlin, Salomon à Vienne, Jacobs à Paris et Kalmann à Naples. Salomon Rothschild était membre des francs-maçons.
MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de la famille devait être gérée à l’avenir. La fortune serait administrée par les hommes et ce serait l’aîné qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord. Toutes les tenues de compte devaient rester absolument secrètes, particulièrement pour le gouvernement.
EN 1773, MAYER AMSCHEL ROTHSHILD aurait rencontré en secret dans la maison des Rothschild, à Francfort, douze bailleurs de fonds aisés et influents (en fait les Sages de Sion) pour mettre à l’étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Aux dires de Herbert G.Dorsey, ces bailleurs de fonds auraient souligné, entre autres, le fait que la fondation de la « BANQUE D’ANGLETERRE » avait permis d’exercer une influence considérable sur la fortune anglaise. Ils déclarèrent aussi qu’il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu’ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit.
Selon les documents de Dorsey et William Guy Carr « Pawns in the Game », ce plan aurait finalement été connu sous le nom de « PROTOCOLES DES SAGES DE SION ».
LA BATAILLE DE WATERLOO
Ce fut le meilleur coup réussi par la famille Rothschild qui avait élaboré, déjà à cette époque, un parfait système d’espionnage et de courrier dans toute l’Europe.
Le 20 juin 1815, un de leurs agents arrivant directement du champ de bataille informa NATHAN ROTHSCHILD de la défaite des français. Nathan se dépêcha en toute hâte à la Bourse de Londres, il fit croire en vendant toutes ses actions « English Consul » que l’Angleterre avait perdu la guerre. La rumeur s’ébruita si vite que la plupart des actionnaires, pris de panique en pensant tout perdre, vendirent à leur tour leurs actions « English Consul ». Au bout de quelques heures, la valeur des actions était tombée à 5 cents, c’est alors que Nathan les racheta pour une bouchée de pain. Peu de temps après, la nouvelle officielle sur l’issue de la bataille se répandit à Londres. En l’espace de quelques secondes, le cour des « English Consul » dépassa la valeur première et ne cessa de monter.
Napoléon avait eu son Waterloo et Nathan avait obtenu le contrôle de l’économie anglaise. En une nuit, la fortune déjà gigantesque des Rothschild s’était multipliée par vingt.
Les Français avaient visiblement des difficultés à se remettre de leur défaite. En 1817, ils conclurent un accord pour obtenir un crédit d’un montant considérable de la Banque française OUVRARD et des BARING BROTHERS de Londres mais ils ne s’adressèrent pas aux Rothschild. L’année suivante, la France eut de nouveau besoin d’un crédit, ils écartèrent encore une fois les Rothschild : Cela ne plut pas du tout à ces derniers, et ils essayèrent par tous les moyens possibles de convaincre le gouvernement de leur laisser l’affaire, mais ce fut en vain.
Le 5 novembre 1818 survint un événement inattendu. Le cours des obligations du gouvernement français qui n’avait cessé de monter pendant un an commença soudain à chuter sans arrêt. L’atmosphère était tendue à la cour du roi Louis XVIII. Les seuls à ne pas en être affligés, et même à en rire, furent les frères Rothschild, Kalmann et Jacob. Ceux-ci avaient acheté, en octobre 1818, une énorme quantité d’obligations du gouvernement français grâce à l’aide de leurs agents et à leurs réserves illimitées, obligations émises par leurs rivaux Ouvrard et Baring Brothers. Le cours des obligations était donc monté. Mais le 5 novembre 1818, il se mirent à inonder d’innombrables obligations le marché libre des principales places commerciales d’Europe, ce qui provoqua une « panique » sur le marché.
La situation changea d’un seul coup, les Rothschild devinrent le « numéro un »en France. Ils bénéficièrent de toute l’attention de la cour française, au-delà même du domaine de la finance. A Paris, la maison Rothschild s’était emparée du contrôle de la France après la défaite des Français, et à Londres, Nathan Rothschild, en contrôlant la « Banque d’Angleterre », exerçait une influence directe sur le Parlement britannique.
Pendant ce temps, qu’en était-il des finances aux Etats-Unis ?
Les présidents américains BENJAMIN FRANKLIN et THOMAS JEFFERSON étaient farouchement opposés à l’idée d’une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine.
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tourn en ron 15 mars 2010 18:33moi je vous le dit ce sera l’insurrection ou l’esclavage mes ami ,il nous monte les un contre les autre et pendant que l’on ce tappe dessus ils nous font les poche et préparé leur coup suivant insurrection je vous le dit ces notre salut
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tourn en ron 15 mars 2010 18:46Après la mort de B. Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent ALEXANDER HAMILTON au poste de ministre des finances. Celui-ci créa la « FIRST NATIONAL BANK OF THE UNITED STATES », la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la « Banque d’Angleterre » et contrôlée par les Rothschild.
En 1811 prit fin le contrat de la banque avec les Etats-Unis. L’économie américaine était déjà tellement déstabilisée que le contrat de cinq ans ne fut pas renouvelé. Par la suite, les Rothschild usèrent de leur influence auprès du parlement britannique pour que l’Angleterre exige qu’on lui rende ses colonies en Amérique. Cela entraîna la guerre de 1812-1814.
Cette guerre endetta si fortement les Etats-Unis qu’il ne leur restait rien d’autre à faire que de quémander de nouveau des crédits auprès des banquiers (auprès de la banque centrale). En 1836, sous le président Andrew Jackson, elle fut de nouveau remerciée mais reprit sa concession en 1863 et devint en 1913 la « Federal Reserve Bank », aujourd’hui la banque centrale américaine.
Pendant la guerre de Sécession (1861-1865), les Etats du Nord (opposés à l’esclavage) combattaient ceux du Sud (favorables au maintien de l’esclavage). Avant la guerre, La famille ROTHSCHILD envoya des agents pour renforcer une prise de position « pour l’Union » chez les Etats du Nord, et en même temps d’autres agents Rothschild suscitaient une attitude « contre l’Union » chez les Etats du Sud. Lorsque la guerre éclata, la banque Rothschild de Londres finança les Etats du Nord et celle de Paris ceux du Sud. Les seuls à avoir gagné cette guerre furent les ROTHSCHILD.
Cependant, le président LINCOLN, premier Président catholique, avait percé le jeu occulte des Rothschild refusa, en 1862 et 1863, de leur payer les intérêts qui s’élevaient à des sommes colossales. Il chargea, peu après, le Congrès de faire imprimer les dollars « Green Back » pour payer les troupes de l’Union.
Bien entendu, cela ne s’accordait pas au plan des Rothschild : la conséquence fut qu’un de leurs agents, JOHN WILKES BOOTH, assassina sur leur ordre Lincoln le 14 avril 1865.
Celui-là fut, plus tard, libéré de prison par les « chevaliers du cercle d’or » et passa le restant de sa vie très agréablement en Angleterre avec une somme rondelette offerte par les Rothschild. Après la mort de Lincoln, les dollars « Green Back » furent à nouveau retirés de la circulation et rachetés à un prix ridiculement bas par les banquiers centraux Morgan, Belmont et Rothschild.
LE SYNDIC DE SAISIE ROTHSCHILD
A toutes les époques de l’histoire, il y a eu des rois et des dictateurs qui avaient la réputation de dépenser plus d’argent qu’ils ne pouvaient en soustraire à leur peuple en lui faisant payer des impôts. Les nations et les gouvernements empruntaient alors l’argent nécessaire aux banques. Mais comment les banques récupéraient-elles cet argent si le gouvernement ne pouvait ou ne voulait pas payer ? La seule solution était la guerre !
La manière dont les banques financent les gouvernements fait penser à une institution de crédit qui prête de l’argent à un client pour qu’il puisse s’acheter une voiture. Si le client ne peut plus payer ses traites, la voiture est saisie. Le même système est appliqué pour le financement des gouvernements : il ne faut pas prêter de l’argent à un seul pays. Il faut agir de même avec le pays adverse. Le prêteur doit s’assurer que les deux pays sont d’égale puissance pour qu’en cas de conflit, le financement soit le facteur déterminant. Si un pays ne paie pas, le prêteur menacera ce pays de guerre par l’intermédiaire d’un autre pays. Si le premier pays refuse toujours de payer, le prêteur mettra la mainmise sur lui en se servant de l’autre pays qui fera du premier pays son butin de guerre.
La maison Rothschild travaille depuis environ 160 ans d’après ce concept.
Nathan et ses frères commencèrent à jouer ce jeu au siècle dernier en Europe, après leur succès remporté lors des guerres napoléoniennes. A cette époque là se développa en Europe« l’équilibre des forces ». Pour renforcer sa position de « dominateur invisible » en Europe, la maison Rothschild dut édifier deux puissances de force presque égale pour assurer « l’équilibre des forces ». Les Rothschild devaient s’assurer que tous les rois du camp A pouvaient être menacés par tous les rois du camp B. Ils finançaient, bien sûr, les deux camps. Mais il fallait alors une troisième puissance qui pourrait servir de police d’assurance au cas où l’un des pays quitterait les rangs. Ce pays était l’Angleterre de Nathan qui avait, désormais, la suprématie en Europe.
C’était facile de prévoir la fin d’une guerre : il suffisait d’observer vers quel côté penchait l’Angleterre, car elle se trouvait, en fin de compte, toujours aux côtés du gagnant. L’Angleterre, ou disons plus justement la Couronne, fournissait un « syndic de saisie royale » si efficace que la maison Rothschild finit par contrôler, en ce début de siècle, la moitié des biens de ce monde.
LA PREMIERE GUERRE MONDIALE VUE PAR LES ILLUMINATI
Vu de l’extérieur, le monde se trouvait en paix au début du 20ème siècle. Mais ce n’était qu’en apparence, car depuis longtemps, on préparait, en coulisse, un bain de sang que le monde n’allait pas oublier de sitôt. Les Illuminati avaient compris que pour mener à bien leur plan visant à un « Nouvel Ordre Mondial », ravages et cruautés s’avéreraient nécessaires et n’épargneraient aucune nation.
La plupart des historiens sont d’accord sur le fait que la cause de la guerre n’a été qu’un simple différend entre l’Autriche et la Serbie. L’assassinat de l’archiduc Franz Ferdinand qui devait succéder au trône d’Autriche et de sa femme Sophie, exécuté par des Serbes de la société secrète occulte la « MAIN NOIRE » à Sarajevo, déclencha la première guerre mondiale.
Les puissances invisibles utilisèrent cet attentat pour réaliser la guerre mondiale qu’Albert Pike avait annoncée plus de 40 ans plus tôt
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Regardez Zeitgeist, America from freedom to fascism, Endgame (tous visibles sur dailymotion)
Il faudrait saisir et/ou démanteler goldman sachs, faire des procès..., mais vu le niveau de complicité dont ces gens disposent ça va être compliqué, donc je crois que quelques citoyens américains vont employer des méthodes plus radicales.
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Oh oui... faudra bientôt avoir des couilles pour bosser chez Goldman Sachs
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tourn en ron 15 mars 2010 18:35faut leur couper les coronese
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tourn en ron 15 mars 2010 18:50LA REVOLUTION BOLCHEVIQUE ET SES DESSOUS
Beaucoup de Juifs qui ne possédaient pas de terres se virent contraints de voyager dans tous les pays à cause des nombreuses lois antisémites en Europe. Quel que fût le pays où ils séjournaient, ils se heurtèrent, la plupart du temps, à un rejet unanime. A la fin du 19ème siècle, le seul obstacle réel qui empêchait les Illuminati de contrôler le monde fut la Russie tsariste.
En 1881,Theodor Herzl fonda le « MOUVEMENT SIONISTE » à Odessa, en Russie, dans le but de créer une patrie pour les Juifs en Palestine. En 1916, Jacob Schiff, président de la « Khun Loeb & Co.Bank », fut choisi lors d’un rassemblement du « B’NAI B’RITH » à New York comme président du « Mouvement Sioniste » (révolutionnaire) en Russie. Le 13 janvier 1917, le juif LEON TROTSKI (alias Bronstein) arriva aux Etats-Unis et reçut un passeport américain. On le vit occasionnellement pénétrer dans la résidence très luxueuse de JACOB SCHIFF. *Schiff et Trotski échangèrent alors sur les troubles sionistes en Russie ainsi que sur les leçons qu’on avait tirées de l’échec du renversement du tsar. Jacob Schiff finança l’entraînement des « rebelles trotskistes » composés principalement de Juifs des quartiers de New York. Leur entraînement eut lieu dans la propriété de la « STANDARD OIL COMPANY » de ROCKEFELLER au New Jersey. Lorsqu’ils furent assez entraînés pour mener des guérillas, les rebelles trotskistes quittèrent les Etats-Unis munis d’une somme de 20 millions de $ en or que Jacob Schiff leur avait remis. Le bateau à vapeur « S.S. Kristianiafjord » les emmenait en Russie pour préparer l’avènement de la « révolution bolchevique ».
Trotski et Lénine étaient tous deux de mèche, par l’intermédiaire de Bruce Lockheart, avec le « Comité des 300 ».
La Russie, bien qu’elle possédât la plus grande armée du monde, avait un équipement de misère pour faire face à un grand conflit. Avant que n’éclate la guerre de 1914, la Couronne Britannique avait laissé croire à la Russie qu’elle pouvait compter sur son aide totale et de son soutien militaire en cas de guerre. Au début de la guerre, cette assistance se trouva réduite à 10% des aides données avant-guerre.
Il est évident que les détenteurs des monopoles d’argent, en parfait accord avec le plan décrit par Pike, voulaient plonger la Russie dans une situation très dangereuse. Dans le même temps, alors que des millions de Russes étaient déjà tombés dans les batailles, les agents des Rothschild avaient accompli un bon travail en accentuant la situation déjà désastreuse des Russes. La philosophie des Illuminati se repaît de misère et d’insécurité et leurs efforts se virent gratifiés : la scène était libre pour une révolution qui devait survenir à la suite de la défaite subie par les Allemands.
La révolution éclata en février 1917, le tsar fut renversé et le prince Georgi Luwow se chargea des affaires de l’Etat dans un gouvernement provisoire qui ne réussit, cependant, pas à empêcher le pays de sombrer dans la décadence. Le bateau affrété par Jacob Schiff , le « S.S. Kristianiafjord » fut arrêté le 3 avril 1917 par les autorités canadiennes à Halifax, en Nouvelle-Écosse. On aurait pu croire que le plan des illuminati était condamné à l’échec. Mais Jacob Schiff usa de son influence et de celle de ses amis parmi les Illuminati dans le gouvernement américain et en Angleterre si bien que le voyage put reprendre.
Arrivé en Europe, Trotski alla directement en Suisse pour y rencontrer Lénine, Staline, Kagonowitsch et Litwinow afin de mettre au point les détails de leur stratégie.
Il est intéressant de remarquer ici que les représentants éminents et les agents de toutes les nations participant à la guerre pouvaient se rencontrer ouvertement en pays neutre, la Suisse ; La Suisse existe, dans sa formule actuelle, depuis 1815, année du congrès de Vienne où on l’avait assurée d’une neutralité permanente. Un hasard ? Ou alors un lieu si sûr et si petit au centre de l’Europe ne se prête-il pas parfaitement aux plans de ceux qui vivent de la guerre ?
Les conspirateurs se virent alors obligés de résoudre le problème suivant : comment se rendre de Suisse en Russie avec les rebelles et leur armement ? La solution fut donnée par l’agent des Rothschild, dirigeant de la police secrète allemande : MAX WARBURG. Il les entassa tous dans un wagon de chemin de fer scellé et prit en charge leur traversée jusqu’à la frontière Russe.
Lorsque le train s’arrêta pour la première fois en Allemagne, deux officiers allemands y montèrent pour l’escorter. Ils en avaient reçu l’ordre du général ERICH LUDENDORFF. Max Warburg était le frère de Paul Warburg, premier président de la « Federal Reserve Bank ». En juillet 1917, le complot soutenu par les banquiers internationaux subit un début de revers de fortune, Lénine dut s’enfuir avec quelques autres en Finlande.
Par contre, en novembre 1917, leurs efforts furent définitivement couronnés de succès. Si nous prenons en considération le soutien financier qui s’ajoutait à la formation reçue à New York, il n’y a plus de quoi s’étonner.
Lors de la sanglante guerre civile qui succéda à la révolution bolchevique, Lénine était le chef incontesté des activités politiques et Trotski fut chargé de la partie militaire de l’organisation qui était en fait « l’Armée Rouge ». L’Armée Rouge bolchevique sous la direction de Trotski était l’instrument mortel des banquiers internationaux, eux-même sous la domination des Rothschild.
Entre-temps, et c’est devenu un fait historique, la plupart des rebelles sous la conduite de Lénine étaient des Juifs. Le Times écrit ainsi le 29 mars 1919 « qu’une des caractéristique les plus intéressantes du mouvement bolchevique est le haut pourcentage d’éléments non russes dans l’équipe dirigeante. sur environ trente commissaires ou dirigeants qui forment l’appareil central bolchevique 75% pour le moins sont des Juifs. »
D’après les écrits du général A. Nechvolodov, les services secrets français ont constaté que Jacob Sciff avait donné directement 12.000.000 de $ aux révolutionnaires russes. Ce général cite comme autres financiers de la révolution bolchevique : Felix Warburg, Otto Khan, Mortimer Schiff, Jerome H. Hanauer, Max Breitung aux Etats-Unis et Max Warburg, Olaf Aschburg et Jivtovsky en Europe.
L’ambassadeur de l’Empire Russe aux Etats-Unis, Bakhmetiev explique qu’après la victoire bolchevique, 600 millions de roubles en or furent transférés de Russie à la « Khun Loeb Bank » à New York entre 1918 et 1922. Le livre « Der plombierte Zug » (le train plombé) de Michael Pearson prouve que les Allemands avaient mis à disposition (d’après les données du ministère des Affaires étrangères), jusqu’au 5 février 1918, 40.580.997 de Marks allemands pour la propagande en Russie et pour des « buts particuliers ». Dans le même document, il est dit que le Trésor allemand avait libéré environ 15.000.000 de marks pour la Russie le jour suivant la prise de pouvoir de Lénine. Le massacre sanglant subi par des millions de Russes et l’esclavage de millions d’autres hommes n’a que peu intéressé les banquiers internationaux...
L’OCHRANA (ex-service secret russe)
La révolution bolchevique ne fut cependant, pas seulement soutenue par les Etats-Unis et l’Allemagne. L’Ochrana, les services secrets fondés par le dernier tsar, comportaient plusieurs organisations qui assumaient toutes les fonctions usuelles avec leurs agents secrets, leurs agents doubles, leur police secrète, leurs mouchards. L’Ochrana était pourtant une association subversive et criminelle, ce qui simplifiait le travail des Illuminati. D’énormes sommes d’argent passaient entre les mains des banquiers internationaux, notamment dans celle d’ ALFRED MILNER qui fut responsable, plus tard du groupe de la « Round Table », pour aller dans le service de l’Ochrana dont beaucoup de membres s’étaient introduits dans le mouvement bolchevique. Des agents de l’Ochrana s’infiltrèrent dans les cercles les plus intimes du parti bolchevique et dirigèrent beaucoup de leurs activités. L’infiltration fut si importante qu’en 1908, quatre membres sur cinq du comité du parti bolchevique de St-Petersbourg appartenaient à l’Ochrana.
Ceux-ci faisaient passer l’argent qu’ils recevaient des banquiers internationaux aux bolcheviques qui pouvaient alors facilement opprimer les plus forts de leurs adversaires, ainsi que le parti socialiste. Deux agents de l’Ochrana qui travaillaient pour la Pravda, l’un comme éditeur et l’autre comme directeur financier, les soutinrent à leurs débuts. Comme on le dit, JOSEF STALINE fut membre de l’Ochrana, il fut, en effet, un agent de liaison important entre la police tsariste et les bolcheviques.
Après la chute du tsar en 1917, l’Ochrana fut officiellement dissoute mais elle fut remaniée, jusqu’en 1921, sous le nom de TSCHEKA, en un service secret qui comportait dix fois plus de membres que l’Ochrana auparavant. On lui donna le nouveau nom de GPU, puis OGPU et, en 1934, celui de NKWD (Commission du peuple pour les affaires intérieures).
Le NKWD avait sous son contrôle le système russe des camps de concentration, érigé sous Lénine et qui eut son apogée sous Staline. Les camps étaient une partie de l’économie soviétique et presque la moitié de l’exploitation de l’or et du chrome était basée sur le travail obligatoire des occupants des camps. Jusqu’en 1950, les camps de concentration coûtèrent la vie à environ 4.000.000 d’hommes.
Non ? Vous ne saviez pas que les camps de concentration soviétiques, comme ceux du cher Adolf Hitler étaient une nécessité imposée par les banques Illuminati ? Ah ! Et pourtant, c’est compréhensible : de telles choses ne peuvent s’originer que de l’Enfer et de ceux qui ont donné leur vie à Mammon, Béelzébuth, et Lucifer …
La seule première guerre mondiale a donc pu pour leur joie entraîner la mort de 10.000.000 de soldats russes, sans parler des millions de civils. On a enregistré, jusqu’en 1950, environ 40 millions de morts dus au système communiste. cela représente au total autant de morts que la ex-RFA comptait de vivants. Et ce sont seulement les chiffres officiellement déclarés.
LE PETROLE RUSSE
La « Standard Oil » (de Rockefeller) acheta aux Russes, après la révolution bolchevique, 50% des immenses champs pétrolifères caucasiens, bien qu’ils fussent officiellement nationalisés. En 1927, La Standard Oil construisit la première raffinerie en Russie, passa ensuite un accord avec les Russes pour écouler leur pétrole sur les marchés européens et fit passer 75 millions de $ aux bolcheviques.
LA DECLARATION BALFOUR
L’instauration du régime de marionnettes sous LLOYD GEORGE à Londres provoqua un revirement dans la politique officielle envers le sionisme. Cela rapporta gros lorsque le nouveau ministre des Affaires étrangères, ARTHUR BALFOUR, écrivit la lettre suivante, le 2 novembre 1917, à LIONEL ROTHSCHILD :
Cher Baron Rothschild
J’ai le plaisir de vous transmettre au nom du gouvernement de Sa Majesté sa marque de sympathie pour les aspirations juives sionistes présentées à l’assentiment du cabinet qui les a approuvées. Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif étant entendu que rien ne sera fait qui pourrait porter préjudice aux droits civils et religieux des communautés non juives en Palestine, ainsi qu’aux droits et au statut politique dont les juifs pourraient jouir dans tout autre pays. Je vous serais reconnaissant de porter cette déclaration à la connaissance de l’Organisation sioniste.
Avec mes sincères salutations
Arthur James Balfour
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« La première chose que vous devez savoir de Goldman Sachs, c’est qu’elle est partout. La »banque d’investissements la plus puissante au monde est une gigantesque pieuvre vampire qui enfonce sans cesse son syphon sanguinaire dans tout ce qui a l’odeur de l’argent.« Et la deuxième chose que vous devez comprendre c’est que la pieuvre ne s’appelle pas Duperey Moulinsard.
Dominique Strauss Kahn plaide pour que le Fonds Monétaire devienne la Banque Centrale du monde. » FMI ou le Fond Medusien Israélite. Un anthropologue célèbre a dit un jour que si l’on laissait la destiné du monde à ces gens-là, le chaos arriverait très vite tant le système établit serait corrompu. On vient juste d’en avoir un aperçu.
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Les malversations mise à jours dans les comptes de Lehman Brother pour planquer des actifs pourris.
Avec complice, le PDG, les Cadres, les Comptables, les Experts comptables, forcément le Commissariat aux comptes qui n’a pas trouvé bizarres des transactions de ventes juste avant la cloture des comptes et des achats juste après.
Et le cabinet Ernst & Young.
Tout cela sent l’entente mafieuse entre gens bien élevés-
@ Leon qui dit :
Les banques ont leurs propres turpitudes, mais ces sortes de complots bancaires mondiaux tels qu’ils sont ici décrits sont assez peu crédibles. Les banques font ce qu’on les laisse faire ou incite à faire.
Une nouvelle crise mondiale provoquée par la banque Goldman et Sachs ?Bien sûr !
« les banques font ce qu’on les laisse faire ou incite à faire » : et QUI les laisse faire, ou les incite à faire, si ce n’est le système qu’elles ont ELLES-MÊMES imposé au monde ?
Ce sont les banques, qui, par la création de monnaie fictive, par la titrisation de fonds pourris, par leurs opérations spéculatives, provoquent la crise, et qui s’en servent ensuite, pour, de nouveau, spéculer sur les dettes des états, et les rendre exsangues.
Elles ne sont pas seulement les profiteuses de ce système ; elles en sont les instigatrices, et les principales responsables.
Une nouvelle crise mondiale provoquée par la banque Goldman Sachs ?
Ben oui, entre autres ; et par qui d’autre ? Qui d’autre peut y trouver un intérêt financier, grâce à l’usure ?
Dans ce cas , lorsqu’un arbre tombe sur un passant dans la rue, on considère que la cause est l’arbre et pas la tempête qui l’a déraciné...
C’est ça !
Et quand une ville est ravagée par la tempête, et que des pillards viennent en profiter, ce n’est pas la faute des pillards, mais bien celle de la tempête, n’est-ce pas, Léon ?
Sauf qu’en plus, ici, la « tempête » , ce sont bien les banques et les fonds spéculatifs qui l’ont déclenché.
Quand on se targue de juger un article « pas sérieux », on utilise des arguments qui, eux, le sont, sinon, on gagne à se taire au lieu de dire des conneries...
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Parce que l’alternative est une alternative terroriste et que les dirigeants politiques pratiquent la fuite en avant, L’Union Européenne sera donc sacrifiée par manque de courage politique et offerte en pâture à la spéculation !
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« La spéculation consiste à réaliser un gain ou éviter une perte » (léon)
La spéculation se justifie par le risque ! De sorte que la définition ci-dessus de léon est ridicule ! Mais l’on n’en attendait pas davantage de la part de quelqu’un qui prétend que rentable et lucratif sont interchangeables ! ! !
Les léon renève furtif n’ont qu’une vérité : leur amitié indéfectible, de sorte que, sur chaque sujet traité, c’est le premier qui en parle qui détermine ce que les autres vont en dire. Mais comme ils sont tous déterminés par des considérations ad hominem, ceci explique cela, et réciproquement.
Au sujet des rapports entre l’amitié et la vérité, n’est-ce pas Aristote qui disait : « La vérité, avant les amis » ! -
Quelqu’un qui confond les mots du vocabulaire, qui déforme tous les propos, qui n’a que des opinions ad’hominem, qui défend les intérêts des multinationales et n’est ici accessoirement, que pour soigner son narcissisme blessé n’est pas un interlocuteur digne. Qu’il se le tienne pour dit.
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Pauvre léon qui rigole, explique nous donc cette contradiction :
« Les « opérations spéculatives » ... je n’en connais qu’une : la spéculation consiste à réaliser un gain ou éviter une perte » (léon).« la spéculation ne se justifie pas par le risque. C’est sa rémunération qui se justifie (soi-disant...) par ce risque... » (léon)
Je vois là deux définitions ! Une première, ridicule, mais la seule que léon déclare connaitre. Une seconde qui n’est qu’une reformulation de la mienne. Affligeant, indigent léon !
Mais décidément, ce type me fait perdre mon temps. -
Ca y est ; la clique des dogmatiques du grand Temple de la raison raisonnante a rappliqué en meute, pour dénoncer, comme d’habitude le « complotisme » !
Même pas gênés de s’être déjà fait proprement ridiculiser sur l’affaire de la grippe H1N1, et ses vaccins bidons, les revoilà en campagne anti-soucoupiste ; cette fois-ci pour défendre, après le Bigpharma ..... les banques...
Décidément, il y a des alliances objectives qui s’avèrent bien plus néfastes que les méfaits qu’elles croient dénoncer...
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Petite annonce :
- à vendre (très cher, mais payable en mensualités à taux variable) ; les Tables de la Loi de la Raison Raisonnante ; avec index de dénonciation nominative de tous les supposés complotistes de toute sorte de complot ; sponsorisées par Bayer, Pfizer, Baxter, Roussel, Goldman Sachs, BNP, Société Générale...
- lot de vaccins H1N1 encore en usage, avec mode d’emploi pour usage auto-injectable
- bulletins d’adhésion au Grand Temple de la Raison Raisonnante ; après sélection sévère, et serment de renoncement à toute dénonciation des organismes, entreprises, sociétés, mouvements de pensée strictement affiliés et codifiés dans les Dogmes des Tables de la Loi officielles...
S’adresser à : http://philippereneve.blogspot.com/
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C’est extraordinaire ! J’ai posté à 16H50, ceci :
« La preuve que la clique, contrairement à ce qu’ils affirment, se fiche des articles relatifs à la finance s’ils ne sont pas écrits par des auteurs boycottés, c’est que l’on n’a vu aucun d’entre eux intervenir sur cet excellent article : »Vers une autre crise économique signée Goldman Sachs« »
Et la clique se radine en meute : léon à 18H50, renève à 18H50 et furtif à 19H28 !
Et pour dire quoi ? Ceci : « Vous n’avez rien sur le 9/11 ? » -
Et ce sont ces contorsionnistes qui traitent les autres de tordus, ces trolls intéressés qui prétendent vouloir améliorer le site ! Mais combien de temps vont-ils encore sévir ?!!!
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J’ai oublié de dire : ce dernier forfait de la clique est d’une bêtise affligeante, qui doit figurer dans l’anthologie consacrée aux pieds nickelés d’AV, aux cotés de l’annonce qu’a publiée Sisyphe à leur intention.
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Haha ! Je n’avais pas vu celle-là, je cite : « Encore un coup de JL et Sisyphe qui ont réussi à entrainer le débat vers leurs dérives habituelles. » (furtif)
Mon premier post sur cet article date de ce matin ! -
Et face à la déraison, on ne peut que se taire !
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Par Trolléon (xxx.xxx.xxx.99) 15 mars 10:39
Sisyphe n’aime pas la raison raisonnante. Bien, bien. Sauf qu’on ne voit pas ce que peut faire la raison à part raisonner.
Donc ? Donc ?Ben....
Justement ; la raison, quand on n’a pas toutes les données en main, ça amène parfois.... à douter !
A se poser et à poser des questions, quoi...
Eh oui, Trolleon ; je sais que c’est un concept qui vous est étranger ; et pourtant....
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Quant au pauvre Trolleon, qui reste fixé à Descartes comme un bigot à sa Bible, ou un bulot à son roc, essayons de penser un peu plus loin...
. Allons un peu plus loin que Descartes, notamment avec Alain :
Le doute de Descartes est une méthode qui lui permet d’aboutir à des connaissances certaines. D’abord, la première : l’évidence de sa propre existence, « je pense, donc je suis ». On pourra trouver que c’est peu. A partir de là, Descartes découvre l’existence de Dieu comme certaine, selon lui. ( ) On pourra se dire que le sceptique avait davantage que Descartes raison d’être prudent. Faut-il revenir au scepticisme ? On peut définir autrement le doute, si l’on s’interroge sur la nature de la vérité.
Alain, dans un texte sur le fanatisme, montre le doute, non plus comme une conclusion (scepticisme) ni comme un moyen provisoire que l’on utilise une fois puis que l’on abandonne dès que l’on a trouvé ce que l’on cherchait(Descartes), mais comme un travail constant de l’esprit. Sa conception du doute repose sur une certaine idée de la vérité. La vérité est toujours complexe, par conséquent, il faut sans cesse douter, sans cesse mettre en question son opinion, sans quoi on perd de vue la complexité des problèmes et l’on caricature. Le fanatisme est une forme de dogmatisme. Il croit avoir trouvé la vérité, et ne la met plus en question. C’est une « pensée raidie », figée, immobilisée, alors que la pensée doit toujours être vivante, doit être animée par le doute.
(...)
La pensée doit toujours être vivante, en mouvement. Si elle s’immobilise, elle devient une pensée morte, usée, elle se schématise. Elle devient caricaturée, elle perd sa nuance. On n’a plus une "pensée vivante« mais un »cadavre de vérité" (Gide)On voit ici la différence entre Alain et Descartes : pour Alain, le doute doit être constant, il est un effort toujours renouvelé. Ce doute traduit sans doute un renoncement à l’idée que l’on peut atteindre, une fois pour toutes, une vérité indubitable et se reposer sur elle. Mais il n’est pas synonyme de renoncement à la recherche de la vérité. Il suppose au contraire que la vérité consiste dans ce mouvement même de chercher, puisque c’est lorsque l’on cesse de chercher que l’on tombe dans l’erreur. Le doute est ainsi la condition de la vérité.
« Il n’y a que les fols certains et résolus », écrivait Montaigne (Essais, I, 26). C’est qu’en effet l’absence de doute, l’absence de questionnement reflète un mauvais usage de la raison. Ainsi, le dogmatique s’accroche à une vérité, mais renonce du coup à chercher plus loin. Mais ce doute ne doit pas être une simple étape provisoire (Descartes). Il ne doit pas non plus coïncider avec l’idée que rien ne peut être connu, qu’il n’y a pas de vérité, et qu’il ne vaut donc pas la peine de chercher. Au contraire de cette attitude paresseuse, le doute doit être un travail permanent de l’esprit pour ne pas se reposer sur des idées tenues pour acquises une fois pour toutes.
On trouve des philosophes autres que Descartes, à Prisunic ?
Trolleon lui, ne se pose pas ces questions : il croit penser, donc, il suit.... avec quand même quelques trains de retard...
Et alors, Trolleon, vous êtes d’accord avec Descartes, pour affirmer que Dieu existe ?
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Thèse quelque peu extreme de la toute puissance goldman sachs.
Il est évident que Goldman Sachs n’est pas toute blanche, et qu’elle a largement profité de la crise économique et ne rechigne pas aux magouilles.Cependant, la désigner comme le chef d’orchestre d’une symphonie nommé crise économique est peu crédible.
Une crise économique de l’ampleur de celle que nous connaissons aujourd’hui est un phénomène cahotique dont personne ne peut prévoir l’évolution car elle dépend de tout un tas de variable aléatoires......
Une crise économique de cette ampleur peut mener à des révolution, à l’émergence de régimes dictatoriaux, ou encore à une guerre à l’échelle mondiale.
Il faudrait être totalement inconscient pour déclencher ce genre de crise et espèrer la contrôler.-
Complètement d’accord avec les dernières interventions. ce genre d’articles même si il est plein de bon sens. Peut être dangereux, elle désigne un bouc émissaire imaginaire.
Après la crise de 1929 on a désigné les banquiers juifs comme responsables... Là on désigne les banquiers américains.
Les banques ont leur responsabilité mais je n’irai pas jusqu’à dire qu’elles planifient les crises... Elles profitent du système bancaire mis en place. Système qui débouche inévitablement sur des crises.Je pense qu’on est tous responsables par notre naïveté, et notre passivité.
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tourn en ron 15 mars 2010 18:18lis tout ça et tu comprendra que ces pas ci faut,on dirai que les juif on les invente il sont belle est bien dans le coup alors il faut montrer tout les acteur de cette crise sauf les juif a non sinon on est anti-semite (http://catholiquedu.free.fr/cultes/Octopussy/CARL.htm)
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Un paquet de bêtises antisémites en effet... Beaucoup trop long pour que je perde mon temps en plus
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C’est quand même pas bien compliqué. Il y a deux sortes d’hommes politiques. Ceux qui veulent arriver au pouvoir en se faisant élire par la masse populaire ; ceux qui veulent arriver au pouvoir en s’appuyant sur les élites riches. On appelle ça communément « droite / gauche », mais au fond ce sont les mêmes ambitieux obnubilés par le pouvoir dont seules les stratégies changent (cf les 2 beaux exemples d’opportunismes que furent, en symétrique, Mitterand et Chirac).
Pour les premiers, les banques sont des alliés nécessaires. Pour les deuxièmes, des boucs émissaires bien commodes. Mais, que l’on flatte les riches ou qu’on rivalise de démagogie avec les pauvres, rien ne bougera tant qu’on ne réfléchira pas en termes POLITIQUES. Et les questions POLITIQUES qui se posent aujourd’hui, c’est : qui voulons nous pour nous gouverner, et dans quel système. Revenons donc à ces questions du « meilleur régime », revenons à Platon et Aristote, élevons un peu nos ambitions au lieu de ne penser que fric et révolution.
Aujourd’hui, privilégiés et révolutionnaires ne sont que les 2 côtés d’une même médaille, celle de l’ambition personnelle et de l’appât du pouvoir. Et, malheureusement ce genre d’article complotiste ne fait que renforcer le problème au lieu d’ouvrir le couvercle. Et après on s’étonne des taux d’abstention...
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Si les banques us ont un tel pouvoir de nuisance, c’est aussi parce qu’ elles ont leurs entrées dans les couloirs des décideurs politiques , qu’elles colonisent et qu’elles infléchissent
Le politique a ouvert la voie à tous les excès et la dette des états est aussi la conséquence de leur politique monétaire, de l’argent-dette"Qu’on se souvienne du Glass-Steagall Act, la loi bancaire de 1933 qui avait établi une séparation stricte entre banques de dépôt et banques d’affaires après les milliers de faillites bancaires provoquées par le krach boursier de 1929.
Cette frontière a sauté en 1999 sous le président Bill Clinton, avec la loi dite de modernisation des services financiers, texte sur mesure voté pour permettre la naissance de Citigroup, l’une des entreprises les plus touchées par la crise financière apparue en 2007 et dont le sauvetage a nécessité plus de 45 milliards de dollars de fonds publics.Simon Johnson, ancien économiste en chef du Fonds monétaire international (FMI) et aujourd’hui professeur au MIT, à Boston, a estimé jeudi sur la chaîne CNBC que les grandes banques américaines renouaient avec les excès ayant conduit à la crise financière de 2007 en se remettant à spéculer sur les marchés.
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Demander des comptes à ces salopards qui ont mis l’industrie française sur la paille,,et qui l’a tiennent par la gorge à l’aide du caca 40.Demander des comptes et agir contre Sarkozy et sa MAFIA,demander des comptes et dénoncer la dérive sioniste qui est en train de nous mener au naufrage,dénoncer tous ces tenanciers de bordels organisée en institution financiére en charge de couvrir toutes les opérations de blanchiement de la drogue en Europe.Dénoncer la mafia des journalistes complices,ces véreux ,ces vendus,ces pousse au crime qui assistent impassible à la mise à sac du pays.Ensuite tous les éxecuter.
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salopards sur la paille l’a tiennent par la gorge à l’aide du caca 40 Sarkozy et sa MAFIA mener au naufrage dérive sioniste tous ces tenanciers de bordels opérations de blanchiement de la drogue journalistes complices,ces véreux ,ces vendus,ces pousse au crime mise à sac du pays.Ensuite tous les éxecuter Par perditadeblanc
bravo ! un peu brouillon mais excellent scénario pour hollywood
vous devriez le proposer à Steven Spielberg -
En France, les mesures Pompidou-Giscard ont favorisé l’endettement de l’Etat
Si l’Etat se prêtait à lui-même, il serait aujourd’hui en excédent-
Le dernier mot à l’économiste Husson :
La Grèce est aujourd’hui un condensé de ce qui nous attend en Europe. L’offensive spéculative des marchés financiers, préparée en petit comité sous l’égide de Georges Soros (par ailleurs grand philanthrope et critique de la finance) démontre s’il en était besoin que tout ce que l’on nous a raconté sur la nécessaire « régulation » des marchés financiers était du flan.
Fondamentalement, les gouvernements sont au service de la finance ou, pour être modéré, ont choisi de ne pas aller à l’encontre de ses intérêts. Cela n’exclut pas des
contradictions au sein de ce petit peuple : la finance cherche à se faire un maximum de fric, les gouvernements doivent quand même gérer les affaires courantes. Face à la crise, ces derniers n’ont pas hésité à déverser tout l’argent nécessaire pour sauver les banques et la finance, mais en se gardant bien d’y mettre la moindre condition.
Partout en Europe, les banques se renflouent en prêtant à un taux d’intérêt bien supérieur à leur taux de refinancement. Sous cette forme, les subventions aux banques coulent à jet continu.
La crise n’a rien changé à cette soumission. Les gouvernements n’ont pas un seul moment envisagé sérieusement de sanctionner la spéculation ou d’encadrer des instruments purement spéculatifs, comme les fameux Credit Default Swaps. Ils auraient pu imposer aux banques de détenir une fraction de leurs actifs en titres de la dette publique et mutualiser la gestion de la dette au niveau européen. Mais ne rêvons pas : leur seule préoccupation est de redonner confiance aux « marchés » en imposant à la Grèce un plan d’ajustement d’une incroyable brutalité. Le seul débat porte sur le moyen d’y parvenir, et le projet d’un Fonds Monétaire Européen n’a de sens que s’il permet de mieux contrôler la réalité de cet ajustement. Le creusement des déficits publics est un phénomène général en Europe et, si la Grèce est apparue comme le maillon faible, beaucoup d’autres pays sont dans une situation aussi fragile. Les économistes de l’OFCE viennent de mener un exercice de prospective qui montre que la dette est là pour durer. Le plan d’ajustement présenté par la France repose sur une hypothèse de retour à une croissance 2,5 % dès 2011 à laquelle
personne ne croit : ni Bercy, ni la Commission européenne Cette dette n’est pas soutenable, même d’un point de vue de gauche : elle implique en effet que, durant une
période indéterminée, une partie importante du budget serait captée par une couche de rentiers qui prêtent à l’Etat plutôt que de lui payer des impôts.
En plus, cette charge de la dette pourrait se mettre à gonfler à partir du moment où le taux d’intérêt réel viendrait à augmenter. Enfin, la vulgate libérale expliquera que cette dette publique « évince » l’endettement privé et donc bride l’investissement, donc la croissance, etc. C’est pour cela que l’exemple grec doit être médité : il représente une forme de répétition générale des politiques de super-austérité qui vont tendre à se généraliser. Dans le même temps, évidemment, les patrons vont vouloir rétablir leurs profits écornés par la crise pour mieux affronter la concurrence. Cette double
austérité, salariale et budgétaire, conduit directement à une nouvelle récession. Mais chaque pays cherchera à tirer son épingle du jeu, au prix d’une concurrence exacerbée. Dans cette Europe qui a choisi la concurrence comme emblème, il ne faut pas s’attendre à la recherche de solutions coopératives. Dans cette conjoncture, tout est affaire de timing, et c’est dorénavant le gros problème de Sarkozy. La bourgeoisie n’a pas d’objection de principe à son charlatanisme (le chômage va bientôt baisser, la production industrielle va augmenter de 25 % d’ici à 2015, etc.) mais il lui faut attendre 2012 avant d’entamer le tournant vers l’austérité et cette échéance est un peu éloignée. En attendant, il laisse filer les déficits. Tant
qu’à faire, DSK ferait peut-être mieux le job, avec le même enthousiasme austère que Merkel, ou ses camarades socialistes, Zapatero et Papandréou. Il y a une autre leçon à tirer de la Grèce, c’est que la « régulation » du système ne dépassera pas spontanément le stade de la simulation. Seule une mobilisation sociale venant bousculer le business as usual
peut changer un tant soit peu les règles du jeu. Et cette mobilisation doit être à la hauteur de la violenceexercée par les dominants : c’est la seule « éthique » à laquelle ils soient vraiment sensibles-
Entièrement d’accord avec vous Mr ZEN, comme souvent
Un article sur le sujet est d’ailleurs en attente de modération sur AgoraVox
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On parle de PIMCO qui voudrait attaquer la France pour en faire une nouvelle Grèce, je viens d’apprendre que The Inter-Alpha Group Bank (http://www.inter-alpha.com) créé par les Rothchilds, voudrait la peau du Brésil. Les loups sortent du bois, attention se sont toujours les mêmes ...
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Alors finalement Crise ou Coup d’État ?
Voici quelques éléments de réponses nourries :
Il y a 4 vidéos, le son est un peu médiocre mais le fond est saisissant.
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Cet article de propagande ressemble comme deux gouttes d’eau à la propagande des Nazis contre les banques anglosaxonnes, toujours fortement teintée d’antisémitisme, que l’on pouvait observer avant la guerre.
Même thèmes, même vocabulaire.Et toujours les mêmes boucs émissaires : les « banksters » qui sont toujours, comme par hasard, des juifs.Cette propagande est aujourd’hui reprise par des groupuscules sectaires fascisant du style Lyndon LaRouche ou Jacques Cheminade. L’auteur est probablement un domestique qui travaille pour « Solidarités et Progrès ».A noter que nos amis Islamistes (Alibaba par exemple) relayent volontiers cette propagande antisémite.-
@frédéric lyon...
Voyez-vous, vous êtes pourtant seulement le troisième à évoquer l’antisémitisme...
Un premier commentaire prédisait « qu’on va encore nous traiter d’antisémitisme », rapport au patronyme de la banque en question.
Comme vous le faites remarquer justement, un second nous a servi une diatribe alibabesque qui n’est surement pas le sésame permettant de revenir à des débats sereins.
Mais pourquoi venir en remettre une couche en comparant cet article à de la propagande nazi ? Franchement, on en est loin et c’est vous qui favorisez l’antisémitisme en sous-entendant qu’on dit du mal d’une banque parce qu’elle se nomme Goldman...
Qu’elle s’appelle Abdel, N’golo, Tchang, Smith ou Martin c’est la banque, son histoire et ses pratiques qu’il faut observer, ce sont les faits qu’il faut regarder. Il y avait d’ailleurs un article paru récemment dans Libération qui dénonçait le double-jeu de Goldman & Sachs vis à vis de la Grèce.
Libé se met à faire dans l’antisémitisme, vous devriez leur écrire...
Pendant que vous y êtes, vous pouvez aussi rajouter que cet article dissimule une propagande anti-Jean-Jacques... Tant qu’à en rajouter, autant finir en chanson
« Il suffira d’un signe .... Un matin .... »
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