Covid-19. Mais qu’en est-il de l’impact des vaccins ARNm sur les écosystèmes ?
On aimerait bien que vous ayez raison à promouvoir les vaccins anti-covid, moi-même, j'étais relativement neutre, pas forcément anti-vaccins, ni pour les thèses de complots, mais si la question de l'écologie de nos écosystèmes devait être prioritaire (moins de plastiques et de molécules pharmaceutiques, de pétrole, moins de polluants dans les océans), j'ai peur que la priorité vaccinale soit en complète contradiction avec nos promesses écologiques d'antan.
Pas si farfelu que ça, ni sociopathe, ou influencé par l'étranger, la conviction que la santé de l'homme repose sur la santé de la planète, et que malgré les effort à vouloir transformer les principes actifs des plantes en molécules ou substances synthétisées en laboratoires, la science moderne contribue à la pollution de tous les milieux aquatiques. L'eau, bien commun de l'humanité, est souillée de nombreux poisons impossibles à soustraire de l'environnement, nos assiettes en patissent, en patieront tout autant. Par des exemples factuels, de découvertes "innovantes" de l'industrie et de la science, nous verrons que lors de la plupart des inventions, leurs conséquences restent insoupçonnées. Comme le temps a souvent donné raison à la prudence, il faudra des décennies plus tard, pour juger de leur impact effectif à saper le fragile équilibre de nos écosystèmes, car tout est inter-dépendant.
- Déjà, les masques chirurgicaux dispersés, jetés par mégarde, projetés par le vent ne se comptent plus, ici, tous les 10 mètres au sol par certains endroits, et la ville n'embauche pas plus pour contrer cette pollution à la dioxine des sols, des cours d'eau, fleuves, mers et océans. Livrés aux intempéries, ils s'effritent en fines particules en seulement quelques jours, et deviennent impossible à contenir, à trier, à éliminer des écosystèmes, éparpillés par le vent. C'EST TRES GRAVE. Pendant que nous achetons « en vrac » pour utiliser le moins de plastique possible, les fines particules plastiques de ces masques risquent fort de polluer nos prairies, nos forêts, et la nourriture que nous puisons de tous nos écosystèmes, merci pour la dioxine cancérigène. Silence radio sur ce point.
- S'il avait fallu simplement 24 mois pour que nous comprenions que les algues toxiques des côtes bretonnes, soient le résultat de l'élevage et des déjections porcines combinés aux engrais chimiques que l'on répand depuis plus de cinquante ans, mais plus d'un demi-siècle il nous aura fallu pour pointer du doigt engrais chimiques et élevages intensifs.
- Pour le chlordécone, insecticide utilisé pour les bananerais antillaises depuis 1972, 90 % de la population des Antilles est touchée, risque des cancers de la prostate. Et il faut 50 ans pour commencer à trouver le coupable.
- Le constat d'une raréfaction d'individus mâles chez plusieurs batraciens comme crapauds et grenouilles, serait dû à l'atrazine, « herbicide et pesticide très commun utilisé par l'agriculture dans plus de 80 pays dans le monde, dont les Etats-Unis qui en consomment plus de 36.000 tonnes par an. Cependant, son utilisation a été interdite en France en 2003 et dans l'Union européenne depuis 2004, en raison des suspicions sur ses effets sur l'environnement et de son possible caractère cancérigène. » (https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/developpement-durable-atrazine-transforme-grenouilles-males-castrats-femelles-22852/)
Le problème c'est que l'impact toxicologique environnementale des « innovations » industrielles se vérifie jusqu'à soixante-dix ans après, voire plus tard encore, c'est-à-dire quand le problème devient irréversible. Il faudrait au contraire confiner ces « innovations » aux seuls laboratoires afin d'en étudier l'impact avant qu'elles ne deviennent légales et mises sur le marché. Nous payons aujourd'hui l'orientation sanitaire des laboratoires en produits pharmaceutiques. Pour preuve, les médicaments et vaccins sont des choix thérapeutiques peu pérennes, car les substances se retrouvent malheuresement dans tous les milieux aquatiques : https://ecotoxicologie.fr/medicaments-dangereux-environnement
ou plus scientifique : https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2010-3-page-325.htm
https://archimer.ifremer.fr/doc/00066/17773/15295.pdf
Mais alors, devant ces faits, de la nocivité écologique de nos remèdes industriels, que faire pour se soigner de la maladie, sans pour autant que la planète n'en souffre ?
A défaut de médicaments, il nous reste les plantes, entièrement assimilées par les tissus humains, donc laissant l'eau de nos toilettes comme nous l'avons trouvée, aux principes actifs découverts depuis l'Antiquité, puis par les sorcières que l'Inquisition immola sur les bûchers. On appelle ça la Phytothérapie, elle est actuellement grandement mise en doute, discréditée par le corps médical, richesses végétales dont les laboratoires synthétisent pourtant les molécules et que les médecins prescrivent sous forme de médicaments, mais comme nous l'avons constaté, ceux-ci se retrouvent dans tous les milieux aquatiques, ce qui est paradoxal car, pour moins polluer, il faudrait ne prendre que des plantes médicinales et rester ENFIN fidèle à la politique du « Laisser la planète aussi propre qu'à notre naissance ». C'est elle qui nous fait vivre quand même !
Le croiriez-vous, le métier de phytothérapeute est interdit. Très dommage que la science moderne n'ait pas choisi la solution de la phytothérapie sans incidences environnementales, elle.
Connaissez-vous le Limulus Polyphémus ? Les laboratoires s'en servent pour les vaccins anti-covid aux USA, on leur pompe leur sang, et là on commence à en comprendre l'impact :
"L’augmentation de l’incidence de la rage en Inde est attribuée à l’utilisation massive d’un anti-inflammatoire bovin, le diclofénac, mortel pour les vautours. La disparition rapide des charognards a entraîné une accumulation de carcasses de bovins puis un accroissement des populations de chiens errants, principale source de transmission du virus de la rage (Markandya et al., 2008).
Par ailleurs, la politique de vaccination antirabique des renards en Europe a eu des conséquences inattendues, conduisant à une expansion de la population de renards roux (Vulpes vulpes) et une augmentation consécutive de la transmission d’Echinococcus multilocularis (Combes et al., 2012 ; Schneider et al., 2013 ; Schweiger et al., 2007), responsable de l’échinococcose alvéolaire, démontrant la complexité des interactions éco-épidémiologiques." (https://www.fondationbiodiversite.fr/modification-des-ecosystemes-et-zoonoses-dans-lanthropocene/)
Renforcer notre immunité devrait surtout être bien ancré dans nos convictions, notre éducation, faites des recherches, plein de plantes nous offrent cette solution. Pourtant encore silence radio.
Comme je l'avouais au départ, je n'étais pas du tout anti-vaccins, ou simplement révolté par les mauvaises directions de nos sociétés modernes, mais devant ces informations sur la pollution de la planète par les molécules pharmaceutiques, ou pesticides agricoles, devant le monopole thérapeutique à l'unique solution du vaccin, je commence à m'interroger sur l'innocuité de la dispersion d'ARNm dans nos éco-systèmes et sur nos corps, de même s'ils ont une réelle efficacité sur le covid et ses variants, pourquoi on ne trouve pas d'étude sur les conséquences possibles de l'ARNm sur l'environnement, ça rend ce covid, ces politiques vaccinales inquiétantes, car, sans être alarmiste, qui sait quelles seront les conséquences à long terme s'il n'y a aucune étude sur le Net, "on nage à l'aveuglette" ? Et les vaccins favorisent-ils les nouveaux variants ? Encore silence radio.
Lorsque nous consommons, plusieurs alternatives s'offrent à nous, nous avons le choix entre une lessive à copeaux de savon de Marseille ou une poudre lavante pas du tout biodégradable, c'est ce choix de thérapies qu'il manque à cette crise du Covid, car médicaments et vaccins ne sont PAS BIODEGRADABLES. Ce qui est certain, c'est que la crise du Covid laissera des traces, masques chirurgicaux, vaccins, se retrouveront tôt ou tard dans ce qu'il nous reste d'eau.
Du coup, nous sommes réduits à la situation où le non-vacciné est suspecté d'être contaminant, alors que, finalement, d'après ces arguments en faveur de la préservation de l'eau, ce sont les vaccinés qui contribuent à polluer encore plus la planète, et de prendre le risque d'une énième dispersion de molécule/substance « innovante » telle que l'ARNm dans les éco-systèmes dont nous dépendons pour garder une bonne santé. « 5 fruits ou légumes/jour » quand les plantes seront engraissées aux masques chirurgicaux, arrosées par des nuages issus de l'évaporation d'un océan pollué à l'ARNm et le RESTE (la liste serait trop longue), je ne suis plus aussi certain que ce soit si bon pour la santé. Si depuis bientôt trente ans, la science étudie l'ARN, pourquoi n'y a-t'il pas d'études sur les « éventuels risques » pour l'eau et les océans ? Ou alors, devant la hâte à trouver le vaccin, n'a-t'on tout simplement pas pris le temps d'en faire une étude plus appronfondie en incluant les probables fuites dans les ecosystèmes ? Et laissez-moi poser ces questions, bien légitimes, sans m'attribuer d'autres intentions que d'éclaircir ce qui paraît obscur au débat. Merci de votre compréhension.
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