Le « bio » et l’effet de serre
Les écologistes devront prendre une difficile et cruelle décision : ou consommer des produits issus de l’agriculture « bio », qui n’emploie ni pesticides ni fertilisants artificiels, ou lutter contre le « réchauffement climatique ».

38 réactions à cet article
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Pate feuilletée :
Préparation : 2 h
Cuisson : 0
Ingrédients :
- 500 g de farine
- 250 g de beurre ou de margarine (il en existe de la spéciale feuilletage)
- 30 cl d’eau tiède
Suivant l’utilisation :
- 1 cuillère à café de sel
ou
- 2 cuillères à soupe de sucre
Préparation :
Pétrir la farine avec l’eau salée ou sucrée.
Laisser reposer au frais 30 mn.
Sortir la matière grasse du réfrigérateur.
Sur le plan de travail fariné étendre la pâte en rond.
Couper la matière grasse en petits cubes et la mettre au centre de l’abaisse.
Rabattre les 4 pans du rond comme une enveloppe.
Laisser reposer 10 mn.
Etendre en forme rectangulaire et plier en 3 .
Mettre le dessus dessous et tourner d’1/4 de tour.
Etaler de nouveau en rectangle.
Plier en 3 .
Laisser reposer 20 mn.
Cela fait 2 tours et il en faut 6 donc recommencer encore 2 fois la même opération.
La pâte est alors prête à l’emploi.-
@ Jako
Merci pour la recette
Si tu en as d’autres n’hésite pas
Slts
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Circuit Vercors : durée 3 à 4 heures de marche sans difficultés, malgré de bons dénivelés.
Départ du village de Rousset en direction du Pas des Econdus, on descend rapidement sur le Diois.
Sur la commune de Roméyer, trouver le Pas de Chabrinel pour environ trois quarts d’heure de montée. Attention à la fontaine : se méfier de l’eau car beaucoup de moutons fréquentent l’endroit (risque de douve).
Sur le Plateau prendre la direction de la Cabane de Pré Peyret (fléchage).
On redescend su Rousset par le Pas des Econdus ;Bonne ballade !
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8 juillet 2010 Le Triathlon de St Jean de Luz, le 11 septembre prochain, permettra à un(e) participant(e) tiré(e) au sort de repartir avec un séjour offert à l’Indian Ocean Triathlon 2010 ! Triathlon de St Jean de Luz 21 juin 2010 Les inscriptions internet pour les résidants mauriciens sont ouvertes ; cliquez ici : Inscriptions résidants mauriciens 17 juin 2010 Le nouveau Bulletin d’Inscription, plus facile à remplir, est en ligne en page Inscription. Vous y trouverez aussi la possibilité de réserver votre préacheminement par avion province-Paris au départ de Bordeaux, Lyon, Montpellier, Marseille, Nice, Nantes, Strasbourg, Toulon, Toulouse : finis, les soucis de transfert de vélo ! 7 juin 2010 Gagnez votre séjour à l’Indian Ocean Triathlon ! A l’occasion de son 25° anniversaire, Triathlete Magazine organise du 1° au 30 juin un grand jeu concours et met en jeu notamment un séjour complet à l’Ile Maurice ; www.triathlete.fr ou n° de juin de Triathlete, en kiosque actuellement. 16 Avril 2010 Laurent Jalabert sera lui aussi au départ de l’Indian Ocean Triathlon 2010 ! 29 Mars 2010Olivier Marceau, Champion du Monde 2000 et vainqueur de l’IOT 2009, confirme sa participation au séjour et à l’épreuve 2010 18 janvier 2010 : Les inscriptions 2010 sont ouvertes ! Attention, places limitées ! S’inscrire
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Le BIO, c’est sale ! Le nucléaire, c’est propre !Les pesticides, c’est bon pour la santé !Les abeilles, on s’en fout !Les paysans, idem !Monsanto sublime les végétaux !Pioneer vous fera rajeunir !Syngenta rend les gens moins bêta !OGM partout, BIO nulle part ![Trêve de plaisanterie]Les amis de Lucilio sont vos ennemis !-
"les suédoises préfèrent le jogging au sport de chambre""Réalisée par le magazine de santé Iform, cette étude a été réalisée sur 1.774 femmes, toutes âgées entre 15 et 60 ans, et les résultats sont pour ainsi dire, surprenants !
Dans la liste de leurs activités phares on retrouve en première position le travail, ensuite le jogging, le sexe n’arrive qu’en troisième position ! Et c’est aussi prouvé scientifiquement, le jogging donne du plaisir plus rapidement que la pratique du sexe, en effet il libère de la dopamine, molécule du plaisir... Et c’est un phénomène de société, en Suède le jogging est très pratiqué et 10% des suédoises ont déjà couru un marathon.
En France en attendant, on fait moins de jogging, à bon entendeur, salut !
Source : Yahoo actualité"-
Suffit de regarder le pédigré de ce chèr rédacteur pour comprendre pour qui il roule.
Market Anarchyc’est écrit en haut de son site.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anarcho-capitalisme
regardez à cette adresse pour savoir ce que veut dire cette expression.L’anarcho-capitalisme est un courant de pensée politique inspirée par le libéralisme philosophique, selon laquelle l’existence de l’État est illégitime et inutile. Ce courant est une branche de l’anarchisme individualiste et du libertarianisme anarchiste[2], différent du minarchisme, qui soutient quant à lui l’existence d’un État minimal pour tous (« État veilleur »).
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Et les connards qui les défendent.
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lucilio a acheter 2 cuisses de poulet
une PAC libertaryenne
une bio ou label rouge
apres la cuisson au barbecue, il a prefere la plus petite, toute seche et dur comme du bois et donner l’autre au chien qui s’est regaler-
l(agriculture biologique ou raisonner ne produit pas moins car elle demande moins d’intrant, de credits et d’entretien
tous ces trucs utilise des surfaces cultivables et sont polluants
et goinfre des libertaryens-
En tout cas felicitation à l’auteur pour réussir à susciter autant d’unanimité. Faut dire que défendre l’indéfendable est une audace courageuse ou plutot téméraire trés à la mode actuellement...
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exemple de merde liberale polluante
le poullailer
deja on achete les poules pondeuses tous les ans ( qui devrait pondre 5 a 9a)
un mois de vide sanitaire (netoyage une fois par an)
16000€ pour 3500 bebete
oeufs cocorette vendu 6.78c
chauffage, eclairage toutes les 2h la nuit, brumisation en ete
nourriture genre sanders ou profitruc
antibio, vaccin
d’ou rentabilite apres 4 a 5 mois
en fin de ponte, apres torture de la bestiole les oeufs sont invendableset on recommence
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Du grand Foufouille, on est d’accord
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Un mouvement légitime que convoitent quelques vautours…
L’« antipub », un marché porteurL’invasion publicitaire se poursuit. Déjà nombre de restaurants, de cafés et de supermarchés imposent une rasade supplémentaire de « réclame » entre deux musiques d’ambiance. On parle désormais d’« assouplir » la directive européenne Télévision sans frontières afin de donner aux animateurs une plus grande marge de promotion des marques dans leurs émissions. Le développement du mouvement « antipub » témoigne d’un refus croissant de cette dégradation commerciale de l’espace public.
Soudain, à la fin de l’année dernière, les médias se sont avisés qu’il y avait de la publicité dans le métro. Que des groupes de jeunes, excédés, s’étaient lancés à l’assaut des affiches pour y bomber des formules libératrices. Et que la Régie autonome des transports parisiens (RATP), outrée, réclamait 1 million d’euros à une soixantaine d’activistes pris sur le fait. Journaux et revues ont alors multiplié les reportages faisant de l’affaire un sujet « tendance », au risque d’inquiéter les annonceurs qui les financent. D’où sortent ces brigades éclaboussant soudain l’ordre publicitaire ? Et pourquoi les médias ont-ils paru orchestrer la dénonciation du système qui les fait vivre ?
Le 17 octobre 2003, environ trois cents « barbouilleurs » se rendent dans le métro pour couvrir de peinture, de croix noires et d’aphorismes vengeurs des centaines de panneaux publicitaires (« Au lieu de dé-penser : pensez ! »). Ils ont répondu à l’appel d’un site Internet, lancé par le collectif Stopub, constitué d’intermittents du spectacle, d’étudiants, d’enseignants, de chômeurs, de précaires, etc. Tous dénoncent la marchandisation du monde et des esprits, dont « les pubs » sont à la fois la vitrine et le vecteur. Tous, refusant la personnalisation médiatique du mouvement, se présentent ironiquement sous le même nom : Robert Johnson. Cette première action, suivie d’une autre le 7 novembre, a très peu d’échos dans la presse, aucun à la télévision.
Le 28 novembre, ce sont un millier de militants qui rejoignent les stations d’où doit partir une nouvelle action d’envergure. Mais, pour faire régner l’ordre publicitaire, la RATP a mobilisé des cars entiers de policiers. Près de trois cents militants sont cueillis à froid et arrêtés, souvent même avant d’avoir eu le temps d’agir. Simultanément, le premier hébergeur du site (Stopub.Ouvaton) doit livrer à la justice le nom du seul responsable qu’il connaisse : celui d’un jeune informaticien qui a bénévolement mis en place le site incriminé. C’est alors que les médias, frappés par l’événement-poncif action-répression, semblent découvrir le sujet dont ils vont faire un (épi)phénomène de société.
Le 19 décembre, stimulés par la répression du 28 novembre et l’intérêt croissant de certains journaux, les collectifs « antipub » reprennent l’initiative d’une soirée de barbouillage, dans plusieurs villes de France. La RATP et Métrobus choisissent alors d’assigner en justice soixante-deux militants, parmi les centaines d’activistes interpellés, et leur réclament solidairement la modique somme de 1 million d’euros.
Dès lors, les médias s’agitent : de décembre 2003 à février 2004, on ne compte plus les demandes d’entretien adressées aux associations, aux militants un peu connus, aux analystes de l’idéologie publicitaire, sans parler des reportages souterrains sur ces jeunes qui osent, de façon festive et non violente, braver les armes et les symboles de la société de consommation. Libération, Le Nouvel Observateur, Technikart, Le Monde 2, VSD, puis encore Libération, Le Figaro et L’Echo des savanes y vont tous de leurs articles illustrés d’images, de citations approximatives ou de portraits singuliers – avec l’assentiment des intéressés, qui utilisent ce tam-tam médiatique pour braquer les feux sur un procès ignominieux. Les radios puis, plus modérément, les télévisions suivent. Le 10 mars enfin, Libération consacre sa « une » à l’affaire, sous ce titre ambigu : « Antipub : la génération spontanée en procès (1) ».
« Tout se vend »Pour saisir la genèse du mouvement, il faut éviter d’expliquer l’actualité par l’actualité. Certes, les manifestations se sont produites dans le sillage de la grève des enseignants, du mouvement des intermittents du spectacle (lire Le grand retour des intermittents du spectacle), des attaques contre la recherche en France, qui ensemble ont nourri la critique de la « marchandisation de la culture et des esprits ». Pour autant, ces détonateurs événementiels ne font pas du mouvement antipublicitaire le produit d’une « génération spontanée ». Ce surgissement a des causes profondes qui nous assurent de sa persistance.
Elément premier, la recrudescence de la pression publicitaire depuis quatre ans. Envahissement de l’espace public : bus pelliculés, marketing olfactif dans les gares, pubs sonores dans les couloirs du métro, « placement de produits » dans les films long métrage ; pénétration du système dans les écoles : panneaux intérieurs, parrainage de certains cours, étalage des signes publicitaires – et pas seulement religieux ; sexisme de plus en plus violent : mode du porno chic, spectacles télévisés visant le bas de la ceinture, entrelardés de tunnels publicitaires qui recherchent la même destination. Le resserrement de l’étau publicitaire suscite des soubresauts sans rapport avec une quelconque « haine de la gaieté (2) ».
Plus profondément, la distorsion croissante entre la précarisation de la France d’en bas (celle du métro, justement) et les mythes de l’abondance étalés sur les affiches rend de moins en moins supportable le dévergondage publicitaire. Les faux bonheurs de l’hyperconsommation ne cessent de frustrer une partie de ceux qui s’y adonnent ; l’omniprésente célébration de l’argent ne cesse d’insulter les victimes d’une paupérisation qui s’étend.
Or, depuis une vingtaine d’années, les analyses du système médiatico-publicitaire et le travail militant d’un certain nombre d’associations ont créé les voies d’une résistance face à l’idéologie du « tout se vend (3) ». Dossiers spéciaux, essais et documents (du No logo de Naomi Klein au Putain de ta marque ! de Paul Ariès), revues spécialisées (Casseurs de pub, Paysages de France, L’Ecologiste) ont orchestré une « publicritique » de plus en plus mordante, dont l’actuel mouvement dit des « antipub » s’est largement nourri pour penser son action.
On comprend dès lors que cette contestation ne se limite plus à un rejet épidermique de la déferlante publicitaire. Elle entre en phase avec d’autres prises de conscience militantes : critique radicale du libéralisme économique et de la cartellisation d’un « monde-marchandise », constat de la dévastation écologique de la planète directement liée aux modèles de vie prônés par les sociétés de consommation, faillite des démocraties dévoyées par les impératifs de l’économisme. Devant l’affiche publicitaire, les plus mûrs des activistes ne se contentent pas d’un coup de griffe ou de gueule : ils font le lien entre le global et le local, entre l’impérialisme du marché et l’idéologie de la consommation.
L’un des collectifs le déclare nettement : « Notre espace public est devenu la proie d’une poignée de transnationales qui sont à la tête de l’économie de marques, avec son cortège de maux planétaires : délocalisations, exploitation éhontée du tiers-monde, marchandisation des ressources naturelles, de la culture, et, pour finir, des êtres humains eux-mêmes. » D’où le sens et la nécessité d’une riposte publique.
Mais voilà : si la soudaine prédilection des revues et journaux pour les « croisés » de l’antipub (papier glacé, deux pages de texte, images hautes en couleur) a pu surprendre l’observateur, la lecture des articles consacrés au mouvement l’aura rassuré. Hâtivement ficelés, ils s’inscrivent dans la droite ligne de la récupération médiatique, et de ses procédés bien connus.
D’abord, un effet de vaccin. On concède qu’en effet, ici ou là, la publicité abuse de son pouvoir (prolifération, sexisme, abêtissement). Nos journalistes, entrant en connivence avec cette cause salutaire, sont alors allés, non sans une certaine condescendance, humer le parfum de rébellion soixante-huitarde que les barbouillages avaient répandu underground. Cela soulage tout le monde, et notamment les plus subtils défenseurs de la « pub ». Car cette liberté libertaire, face aux dérives publicitaires, prouve paradoxalement qu’on peut s’accommoder du système, comme le souligne sans ambages l’éditorialiste de Libération : « Puisque trop de pub tue la pub, la contestation ne peut pas faire de mal. Surtout si elle aide à renouveler le genre (4). »
Le deuxième procédé est celui de l’amalgame. Un peu comme naguère l’expression « antimondialiste », l’appellation « antipub » permet d’étiqueter le phénomène tout en se dispensant de lui chercher une cohérence, qui serait politique. On donne à croire qu’on saisit le réel alors qu’on le construit, selon le schéma bien connu du phénomène de société dont le surgissement échappe à la raison. C’est significativement l’expression « pêle-mêle » qui revient dans les articles sur les antipub. Se dessine un regroupement hétéroclite de saturés du système, d’écologistes plus verts que les Verts, de publiphobes archaïques (trop illuminés pour que le lecteur dans la norme souhaite les rejoindre), d’étudiants « néo-situationnistes » à leur insu, d’anars clandestins qui fleurissent au grand jour, de tagueurs non violents qui s’adonnent au « free style », et même d’intégristes du voile islamique, tous plus ou moins entrés en « désobéissance civile » (expression reprise mais non élucidée).
Pour faire informé, on ajoute quelques références aux associations militantes (légalistes, mais dépassées), aux revues engagées, aux publicitaires repentis ou aux jansénistes de la première heure. Bref, on filme un phénomène au lieu d’analyser les fondements d’un mouvement. L’ensemble produit une sorte d’effet galaxie sur lequel on tente de « brancher » en direct les lecteurs, c’est-à-dire le public-cible à qui l’on vend, cette semaine, de l’antipub...
Or, tout en peignant ce beau désordre, dont la seule unité semble tirée du mot « anti », les articles tracent une ligne de partage entre les anciens et les nouveaux, entre l’arrière-garde qui pense (publicritiques par trop rigides, publiphobes institutionnels, associations structurées) et l’avant-garde qui « bouge » (réactivité immédiate, contacts Internet, génération spontanée). Les reporters branchés, imprégnés des canons de la postmodernité, saluent chez les néo-publiphobes la prévalence du pulsionnel sur le rationnel.
Ce qui plaît aux médias, c’est l’apparent « jeunisme », l’hypermobilité des « acharnés de la bombe à peinture », leur pratique de la gué-guérilla métropolitaine – qui conduit par exemple Technikart, pour être tout à fait « in », à nous parler anglais : « No pub last night, underground, free style. » C’est « par sa façon free style d’agir politiquement (5) » que le mouvement antipub est jugé convaincant. S’inscrivant en effet dans ce qui est tendance, il ne peut être qu’une mode passagère, et donc inoffensive.
La subtilité de ce traitement médiatique peut néanmoins paraître bien vénielle devant l’énormité de la récupération institutionnelle tentée par la RATP. Celle-ci, en effet, joignant la carotte au bâton, annonça soudain en mars 2004 qu’elle allait offrir, pendant une semaine, quarante-sept panneaux (soit un dix millième de l’affichage publicitaire annuel de la RATP) à la « libre expression » des artistes en tout genre. Des panneaux de pub pour les antipub, en somme...
Peu après, tombant « dans le panneau », la très verte association Agir pour l’environnement se félicita d’avoir acheté à Métrobus quelques espaces publicitaires pour dénoncer la pollution publicitaire, ce qui lui valut un communiqué de Casseurs de pub sévère mais justifié (6). Car s’il est difficile pour les militants d’échapper à la récupération, il est vraiment futile de prétendre récupérer leurs récupérateurs. La stratégie du petit poisson qui entre dans le gros pour le dévorer de l’intérieur... n’a pas encore fait toutes ses preuves.
Audiovisuel, Idéologie, Libéralisme, Médias, Mouvement de contestation, Presse, Publicité, Société, Marketing
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// --></script>François BruneAuteur du Bonheur conforme (Gallimard, 1985) et de De l’idéologie, aujourd’hui (Parangon, 2004, édition revue et augmentée en septembre 2005).
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faire un don.combat », par Serge Halimi, octobre 2009. -
Quelques pistes à creuser pour Lucilio :
Pétrole pas cher et abondant > engrais, pesticides, mécanisation > explosion des rendements > explosion de la démographie = question à résoudre : pourquoi encore plus de crèves la faim, de miséreux, de malades et de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ?
Question subsidiaire : les forêts qui ont été sauvé grâce à la sainte révolution verte, elles sont où ?
Un indice parce que je suis sympa : renseigne-toi sur les externalités négatives...
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Allez , encore un effort Lulu, on va arriver à 100% de vote négatif
t’en a pas marre de raconter autant de mensonges en si peu de lignes ??
c’est tellement gros que plus personne ne lit tes inepties de propagande....-
L’agriculture dite bio n’est pas capable, aujourd’hui, de nourrir l’humanité.
Les agroressources ne poussent malheureusement pas en quantité suffisante, sans soins, en regardant pousser un champs.
Sans pesticides les ravageurs nettoient n’importe quel champs.
Sans engrais les rendements à l’hectare sont bien plus maigres.Mais, bien entendu, tous ceux qui s’expriment bruyamment sur internet contre l’agriculture intensive montrent l’exemple irl, n’est-ce pas ?
C’est à dire aucuns plats préparés, aucunes pâtes, aucuns riz, aucunes bières de grande consommation.
Je sens qu’on s’amuserait bien à comparer vos actes à vos idéaux.
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ÉNORMES MENSONGES !!! Du grand n’importe quoi ! ce sont justement les pesticides, engrais chimique et variétés hybrides qui affaiblissent d’années en années les sols et donc les plantes et qui réclament encore plus de traitements pour lutter contre ses propres méfaits....l’effet boule de neige !
La famine ? on y viendra quand-même !! pour exemple, voir les sols de la Beauce et de la Sologne, ils sont pratiquement morts....et on n’ose même pas parler des sols Américains, totalement inertes et impropre à la vie, et pour les OGM, c’est une pure ineptie, voire un crime contre l’humanité !! IL EXISTE ENCORE DES GENS POUR VENIR VANTER LE DÉSASTRE ÉCOLOGIQUE DE L’AGRICULTURE INTENSIVE ??
ÇA NE PEUT-ÊTRE QUE DES IMMONDES PROPAGANDISTES DE MOSSANTO À LA BOTTE DE L’EMPIRE DE LA HONTE ET DE LA FINANCE CRIMINELLE !!! -
marrant que le jardin ait juste besoin de fumier et d’arrosage
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Certes mais faut-il se résoudre à crever du cancer ?
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Toujours intéressant de vous lire. Il y a de tout et du reste dans l’écologie, y compris des gens intelligents et interessant. Pour s’en tenir aux seuls « verts » politiques, ce n’est qu’une parmis de nombreuses irrationalités et contradictions. Pas la plus rigolote. En regardant les positions de leurs innombrables sous tendances lors d’un congrés, j’ai remarqué, qu’ils n’étaient d’accord que sur un seul point. Pas le nucléaire, ni même le réchauffement, mais la non existence de Dieu.
Ainsi, leur seul consensus interne étant du domaine du religieux, même si c’est en creux, on est peu étonné qu’ils aient des positions assez peu rationnelles et scientifiques...-
La première réalité de l’élevage industriel est quantifiable à l’échelle mondiale, elle correspond à une multiplication par quatre de la production de viande dans les cinquantes dernières années. 20 milliards de têtes de bétail éparpillées sur la planète, soit plus de trois fois la population humaine.
Une fois encore, les Etats-Unis assument dans ce domaine leur rôle de première puissance avec 60 millions de vaches, 100 millions de porcs, 300 million de dinde et 7,5 milliards de poulets. Non, je vous l’assure, il ne s’agit pas d’une erreur de frappe : chaque année défilent dans les abattoirs américains plus de poulets qu’il y a d’êtres humains sur terre.
Evidemment, à un tel niveau, il faut oublier toute vision pastorale. Désormais, les fermes industrielles entassent jusqu’à 30 000 têtes d’une espèce.
Cette multiplication de viande sur pied entraine d’innombrables dégâts écologiques. L’eau, par exemple est utilisée pour abreuver les animaux, les rafraichir en plein été et nettoyer leurs enclos. Dans les onze états de l’Ouest américain, 70 % des ressources d’eau sont englouties par l’élevage du bétail. Le pétrôle est un autre acteur de cette industrialisation. Michel Pollan a demandé à un économiste de calculer la quantité de carburant nécessaire à la préparation du grain alimentant une vache jusqu’à son arrivée à l’abattoir. En moyenne, une bête avale 12 kilos de maïs par jour pour un poids oyen de 90 kg . En fin de vie une vache aura donc nécessité l’équivalent de 132,5 litres de pétrole rien que pour l’acheminement de sa nourriture.
La pollution qui tue lentement les côtes de la Louisianne ne provient pas seulement de l’engrais utilisé pour accroître la production de maïs. Elle tient aussi du refus de gérer les déchets produits par les millons de têtes de bétail. Pour en mesurer l’ampleur, il faut savoir qu’une vache produit 30 kg d’excréments par jour. Quand leur nombre approche celui de la polulation française, on imagine l’enjeu que cela reprèsente. Quand à la volaille, elle donne 6 milliards de tonnes de déjections par an. Le pire, ce sont les porcs, concentrés par dizaines de milliers dans ’ les fermes « semblables à celles situées à proximité de Clinton. Chaque jour, un cochon produit trois fois plus de déchets qu’un être humain. Si cette caractéristique restait gérable à l’époque des exploitations familiales, elle ne l’est plus lorsque certaines » usines « regroupent jusqu’à 500 000 bêtes.
Le sort de ces excréments ne fascine pourtant pas grand monde. Rien de ce qui se passe derrière ces enclos modernes n’intéresse d’ailleurs l’opinion publique. Or, nous sommes tous concernés. Pas seulement parce que ces déchets organiques en surnombre détruisent notre environnement ou changent radicalement notre rapport au monde animal, mais parce que, en bout de course, la viande sur pied qui les produit est responsable de l’obésité, avec son lot d’ennuis cardio-vasculaires, de résistance aux antibiotiques et de cancers.ces quelques lignes sont extraites de »TOXIC" un livre de Wylliam Reymond ; c’est un livre de poche dans la collection j’ai lu..
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"Une fois encore, les Etats-Unis assument dans ce domaine leur rôle de première puissance avec 60 millions de vaches, 100 millions de porcs, 300 million de dinde et 7,5 milliards de poulets«
il s’agit surtout de bestioles »de reforme"
les poules pondeuses sont abatus au bout d’un an et envoyes en afrique
les vaches laitieres vivent 3 ou 4a, etc -
De l’autosuffisance alimentaire aux dégâts du productivisme
Extrait :
Le productivisme peut afficher ses succès : en France, la production du blé a triplé en 40 ans, la production du porc a doublé, celle du maïs a été multiplié par 13. De 1950 à 1980, la productivité est plus de 7 fois plus importante mais 10 fois moins de personnes travaillent dans l’agriculture et l’on assiste à des déséquilibres démographiques, économiques et écologiques inquiétants. Les Gouvernements européens s’apitoient sur les dégâts provoqués, poids des écologistes et des électeurs oblige ! Mais, la nouvelle PAC, celle de 1993, reste pour le moins très controversée.
D’un côté, la CEE se targue désormais de préserver les paysages, elle incite au retour aux pâturages, finance les plantations de haies brise-vent car, sur des surfaces considérables, les animaux ne sont plus à l’abri du vent et de la chaleur. De l’autre, la logique ultralibérale est renforcée sous forme d’octroi de subventions aux exportations ; la déréglementation favorisant la baisse des prix et la concurrence acharnée « obligeraient » à préserver les grands secteurs par le moyen d’aides directes compensatrices de revenus. Il en est ainsi pour la céréaliculture, les élevages de bovins. Quant aux secteurs délaissés, porcs, volailles, fruits et légumes, ils sont voués au « dégraissage » des moins productifs, sauf à résister en prônant une autre alternative.
C’est en effet le système mondial de libre échange dérégulé qu’il convient de mettre en cause car il aggrave les inégalités(16).
« Les Etats du Nord poursuivent une frénétique politique hyperproductiviste, surconsommatrice de pesticides et de polluants » (17), dans le même temps, 6 millions de terres cultivables disparaissent chaque année dans le monde, du fait de la désertification et 800 millions de personnes souffrent de malnutrition. Dans les pays occidentaux, la pollution alimentaire a été révélée par l’emploi d’excréments humains pour l’élaboration de farines animales pour le cheptel voué à la boucherie et les poissons d’élevage, par la commercialisation de poulets à la dioxine, les vaches folles, la contamination de canettes de coca cola, les bouteilles d’eaux minérales polluées au benzène…
Non seulement, il faut sonner « l’alarme écologique mais récuser cette malbouffe, cette alimentation de nulle part diffusée partout, dans laquelle on incorpore toutes sortes d’ingrédients, colorants, conservateurs, stabilisateurs, produits retenant l’eau… C’est de cette bouffe standardisée, aseptisée, conditionnée, reformatée, au goût uniforme que naissent les accidents sanitaires massifs. Malbouffe et risques alimentaires au Nord, malnutrition et famine au Sud, résultent de la logique financière du néolibéralisme qui pousse au productivisme incontrôlé. »(17)-
« Nous y sommes »
Nous y voilà, nous y sommes.
Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes. Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal.
Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance.
Nous avons chanté, dansé.
Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine.
Nous avons construit la vie meilleure,
nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air,
nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines,
nous avons mangé des fraises du bout monde,
nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits,
nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche,
nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones,
franchement on peut dire qu’on s’est bien amusés.
On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l’atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
Franchement on s’est marrés.
Franchement on a bien profité.
Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu’il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.
Certes. Mais nous y sommes. A la Troisième Révolution. Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu’on ne l’a pas choisie.
« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.
Oui. On n’a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.
C’est la mère Nature qui l’a décidé, après nous avoir aimablement laissé jouer avec elle depuis des décennies.
La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d’uranium, d’air, d’eau.
Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l’exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d’ailleurs peu portées sur la danse).
Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
Evidemment, dit comme ça, on comprend qu’on n’a pas le choix, on s’exécute illico et, même, si on a le temps, on s’excuse, affolés et honteux.
D’aucuns, un brin rêveurs, tentent d’obtenir un délai, de s’amuser encore avec la croissance.
Peine perdue.
Il y a du boulot, plus que l’humanité n’en eut jamais.
Nettoyer le ciel, laver l’eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l’avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n’en a plus, on a tout pris dans les mines, on s’est quand même bien marrés).
S’efforcer. Réfléchir, même.
Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.
Avec le voisin, avec l’Europe, avec le monde.
Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
Pas d’échappatoire, allons-y.
Encore qu’il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l’ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.
Qui n’empêche en rien de danser le soir venu, ce n’est pas incompatible.
A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie une autre des grandes spécialités de l’homme, sa plus aboutie peut-être.
A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.
Fred Vargas
archéologue et écrivaine-
"La FNSEA créée en 1946, permet aux vieux caciques de Vichy,
provenant de la corporation paysanne pétainiste, de se
reconvertir. Elle va très vite adapter son discours pour
prendre en compte l’aspiration d’une minorité active de
paysans, tout en maintenant le mythe corporatiste de leur
unité d’intérêts. Un système d’organisation verticale, de
syndicat qui se veut unique, auquel l’adhésion est
quasi obligatoire, va se mettre en place très rapidement.
Il passe très vite sous le contrôle étroit des plus riches
agriculteurs , en particulier des gros céréaliers.
Il se transforme, avec la complicité des différents
Gouvernements, en un groupe de pression institutionnalisé,
qui cogère avec l’appareil d’Etat la politique agricole (4).
Projets de loi, règlements, jusqu’à leur application dans
chaque département par l’intermédiaire des Chambres
d’agriculture et du Crédit agricole, sont élaborés conjointement.
Il s’agit de faire bénéficier le monde agricole d’aides à
l’installation, d’obtention de droits à produire, de prêts
du Crédit Agricole, de protection sociale et d’assurer la
maîtrise foncière au profit des « plus entreprenants »."une vision a long terme evidente
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http://amd.belfort.free.fr/malbouffe13.htm
a lire aussi-
Nous sommes bien d’accord que nous avons devant nous une vaste escrocologie pour berner les gogos que nous sommes.
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normal, le bio est aussi recupere par le systeme
on entend meme plus boveste -
hahahahaha...hahahahohohihihihhahahahahahohohohohhihihih.....(reprend mon souffle) .....hohohohihihihhahaha........
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« ou la croyance – fausse – de ce que ces produits seraient plus sains que les conventionnels »
La reference ??un article de contrepoint lucillo vous etes un grand comique.
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Article déplorable dans la veine du temps : cracher sur le bio...
Manque de chance, je connais assez bien l’aspect chimie/santé lié aux pesticides et autres...Alors déjà cité l’étude anglaise (si je ne me trompe pas) qui dit que le bio n’est pas meilleur que l’agriculture intensive, ça prouve au minimum votre incompétence dans ce domaine...Allez une toute petite infos qu’un gamin de 5 ans est capable de comprendre : en agriculture intensive, les produits sont aspergés par une quantité astronomique de pesticides. Pas pour le bio...La question à 2 neurones : a ton avis c’est bien de manger des pesticides ?-
Merci Lucilio pour cette ode à la malbouffe ! si ça te fait plaisir de bouffer de la merde , c’est ton choix !
continue et tu va recevoir le Monsanto d’or de littérature !
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il a un succès fou ce Lucilio - je n’ai pas encore voté, j’me tate !
récemment je me suis promenée dans les musée et jardins Albert Kahn - superbe Musée Albert-Kahn site internet officiel
Quel rapport avec l’article ? la Fondation Rockefeller
Norman Borlaug a été mandaté en 1959 par la Fondation Rockefeller pour sélectionner des variétés de blé pour les milieux tropicaux, il proposa les variétés à haut rendement Lerma Rojo 64 et Sonora 64, basées sur la variété de blé Norin 10 et des variétés traditionnelles mexicaines permettant de tripler les rendements de cette céréale.
(il faudrait savoir si les Mexicains leur avaient demandé quoi que ce soit... ou si c’était du business)
bref, le lien entre Albert Kahn et Norman Borlaug c’est la Fondation Rockefeller
La crise économique des années 30 met fin aux activités bancaires et mécénales d’Albert Kahn, qui est visé par plusieurs saisies de bien entre 1932 et 1934 qui mèneront à sa faillite. Le Centre de documentation sociale créé en France (CDS) passe ainsi sous le contrôle de la Fondation Laura Spelman Rockefeller. Les bulletins de l’Imprimerie cessent d’être publiés. En 1941, le CDS cesse aussi ses travaux. Ses collections sont transférées à la Bibliothèque-Musée de la guerre à Vincennes, qui deviendra la BDIC (Bibliothèque de documentation internationale contemporaine), située dans l’Université de Nanterre. D’autres parties de ce fonds ont été dispersées (BNF, Archives nationales) voire confisquées (d’abord par les nazis, puis par l’Urss)
Histoire de la Fondation Rockefeller : sa charte a été approuvée le 14 mai 1913 par William Sulzer (Le 13 août 1913, la New York Assemblée a voté pour destituer le gouverneur Sulzer , par un vote de 79 à 45...)
voir Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_Rockefeller-
Il serait intéressant que l’étude de Burneya et al. soit commentée par des avis critiques. Vous dites que « les améliorations introduites par la révolution verte – en permettant de cultiver plus afin d’alimenter la population mondiale sans devoir abattre des forêts supplémentaires pour agrandir les domaines agricoles – ont réduit les gaz à effet de serre » (je souligne) mais une forêt, une fois mature, n’absorbe plus de CO2 (contrairement à une idée reçue) et le bois extrait ne dégagera du CO2 que s’il est brûlé (pas s’il est utilisé pour de la construction par exemple).Cela dit, et comme le rappelle très justement Owen, le but premier du bio est d’éviter d’absorber des produits chimiques et donc de tomber malade.-
Et j’oubliais : le pétrole consommé par l’industrie chimique (produits répandus dans les champs) et par les tracteurs d’épandage de l’agriculture industrielle est-il pris en compte par Burneya ?
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