Sables bitumineux : C’est qui le poisson ?
Des scientifiques et des Amérindiens ont exigé jeudi du gouvernement Harper qu’une étude soit menée sur les les poissons difformes du lac Athabasca, dans le nord de l’Alberta, des déformations liées, selon eux, à l’exploitation des sables bitumineux. Cyberpresse
Les habitants sont réticents à manger les poissons du lac, les pêches comportant de plus en plus de poissons difformes.
Il y a quelques années, on en trouvait dans les Grands Lacs.
Mais nous, humains, dans quelle eau nageons-nous ?
On dirait que l’on nage dans les grands crachats de l’Économie… Ou de la bouche de politiciens … Leur bave de pouvoir est un océan de pollution pour le corps et pour l’âme humaine.
Après moi le déluge ! Sauf qu’un déluge comme on en trouve dans les environs des sables bitumineux, ça fait une créature étrange.
Vous en mangez ?
On dirait une créature d’un film de science-fiction des années 50.
Nous voilà en 2010… C’est nous le poisson. Ce sont eux les poisons.
Ne nous demandons pas pourquoi les cancers se développent à un rythme effarant. L’ensemble de nos « travaux » et réussites pour le « bien » de la collectivité a de grands yeux noirs couleur de bitume et de pétrole. La mode est maintenant au gaz de schiste.
Le gaz de schiste est du gaz naturel de type non conventionnel. Comme son nom l’indique, il s’agit de gaz emprisonné dans du schiste, roche sédimentaire déposée à l’origine sous forme d’argile et de limon. D’apparence semblable à celle de l’ardoise, le schiste est la roche sédimentaire la plus répandue sur la planète. Il est moins perméable que le béton, de sorte que le gaz naturel ne peut s’écouler facilement vers les puits. En fait, il est si solidement emprisonné qu’il doit d’abord circuler dans des espaces poreux mille fois plus petits que ceux du grès des réservoirs conventionnels. Les schistes sont une des sources « non classiques » de gaz naturel, qui incluent le méthane de houille et le gaz de réservoirs étanches.
Dans le cas du gaz naturel classique, les molécules de méthane migrent de leur emplacement original jusqu’à un endroit où elles sont emprisonnées dans une roche hôte à de plus fortes concentrations. Le gaz classique est plus facile et moins coûteux à produire. Cependant, la production de gaz provenant de ces accumulations diminue. Afin de pallier ce recul de production, l’industrie pétrolière et gazière se tourne vers des combustibles fossiles dont la production était auparavant jugée trop coûteuse et difficile. Les nouvelles techniques, telle la fracturation hydraulique en plusieurs étapes, jumelées au forage horizontal, facilitent la production de gaz de schistes et ce, à moindres coûts. […] Le potentiel de gaz de schistes au Canada s’élèverait à 1 000 billions de pieds cubes. AQLPA
Le politico développeur
On ne sait pas à quoi roulent les « politico-développeurs »… À une vieille rengaine de millénaires qui consiste à se mettre à genoux devant un dogme qui fait que l’argent, la richesse (laquelle ? ) est une nécessité qui passe par le progrès technique. Tout est « techno ». Science.
Dans l’Histoire, les politiciens sont des masses cancéreuses. Des poux qui se font l’amour entre poux et qui s’accrochent. Quand ils meurent, on les encense. Alors qu’ils apportent avec eux des milliers de cadavres. Ils sont suffisamment insignifiants pour croire que pour on construit de machines servant à l’industrie de la santé, plus c’est raffiné, stéroïdé, plus c’est … plus.
Les éclopés restent.
C’est que, voyez-vous, si le cancer est si « développé » et voilà le portrait : à
Il rappelle que le nombre de cas dans le monde a doublé entre 1975 et 2000. Les experts pensent qu’il pourrait encore doubler entre 2000 et 2020 et même tripler d’ici 2030 avec 20 à 26 millions de nouveaux cas diagnostiqués par an (contre 12 millions en 2007), qui entraineraient le décès de 13 à 17 millions de personnes. En 2030, le nombre de personnes vivant avec la maladie pourrait s’élever à 75 millions.
Alors on fabrique des machines et des pilules pour nous convaincre qu’ils sont nécessaires à notre « santé ». On nous tue, mais on nous facture pour nous rendre la vie…
Des savants qui fabriquent des zombies. Avec bonne conscience… Assez intelligents pour fouiller dans les chromosomes, mais pas assez pour faire le lien entre l’eau dans laquelle nous baignons et le résultat de nos sociétés développées.
La piscine sociale
Nager en eaux troubles…
Et dans « quelles eaux » , nous, nageons-nous ?
Probablement celle aussi épaisse et noir que la rivière Athabaska…
Alors, il faut se livrer à un système compensatoire…
La destruction créatrice, version …santé
La santé étant détériorée, l’industrie s’est livrée à une chimification (sic) de produits tout aussi délirants et colorés. Il suffit d’étudier 20 produits pour atténuer les douleurs pour constater que les formules sont toujours les mêmes, mais à la base une ou des substances naturelles en provenance des opiacées. Une drogue que l’on trouve dans la nature.
Le reste est un camouflage de serpents.
Plus on créée une société de « malades », plus il faut suppléer par des recherches, des machines affinée – à des coûts exorbitants- de même que des pilules.
Mais c’est aussi une industrie…
On ne touche pas aux industries : ça crée de l’emploi.
Et c’est là le but des sociétés. Car elle ne voit que le bout de son nez. La vision globale de la vie leur est absente. Dans les laboratoires, on ne sait plus qui sont les rats…
Avalons nos doses.
« Vide ton assiette, si tu veux devenir grand et fort »
La théorie du « plus ».
Bon déjeuner !
Le cercle est vicieux…
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