La désinformation sur l’euro continue
Jean-Yves Archer vient de publier coup sur coup deux tribunes, une dans Atlantico, une autre dans Les Echos, pour dire tout le mal qu’il pense du démontage de la monnaie unique, idée soutenue par neuf « prix Nobel d’économie ». L’occasion de démonter ses arguments.
Point qu’il développe particulièrement dans son papier pour Atlantico, et plus difficilement contestable, le fait que la baisse de la valeur du franc risquerait de provoquer une vague de rachat des entreprises françaises par des entreprises étrangères. Le point est logique : si la valeur de nos entreprises baissaient d’un coup de 20%, on peut imaginer que cela intéresserait les acheteurs chinois ou étasuniens. Mais on peut le contester. D’abord, il ne faut pas surestimer l’ampleur potentiel du phénomène : toutes les entreprises de Suède et de Grande-Bretagne n’ont pas été rachetées après leur dévaluation.
84 réactions à cet article
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Lorsqu’on défend un dogme à coup d’épouvantail, c’est que celui-ci a un sacré coup dans l’aile.
L’Euro a été inventé par des financiers pour des financiers. Et il est de plus en plus visible que seuls ceux-ci en profitent. La faiblesse des arguments des orthodoxes témoignent de leur panique : il faut vite brûler les hérétiques ! Mais le chat est sorti du sac, et la critique de l’Euro n’a plus rien de marginale. On peut parier qu’on verra sur le sujet de nombreux retournements de veste à l’avenir...-
« Plus en détail, l’explosion de la dette est un fantasme puisque notre dette serait convertie en nouveau franc, »
Qu’est qui vous fait croire que les créanciers qui détiennent de la dette en Euros voudront de vos Francs ?
« Bien sûr, le prix des produits importés monteraient »
Tout à fait, et à votre avis, le pétrole, il va prendre combien ? 10, 20, 30... 50 % ?
Vous tombez dans le même travers que ceux que vous dénoncez. Oui la sortie de l’euro est possible mais n’allez pas croire que se ne sera pas douloureux.
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Votre remarque est bonne : sans doute la sortie de l’euro n’intéresse pas les créanciers. Ce qui pourrait (entre autres) expliquer le blocage sur l’Euro.
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Qu’est qui vous fait croire que les créanciers qui détiennent de la dette en Euros voudront de vos Francs ?
c’est qu’ils n’auront pas le choix, nous sommes encore un pays souverain, qu’ils nous envoient un huissier si ça leur chante
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Politea,
Sapir a fait le calcul, le prix des carburants est fait essentiellement de taxes.
L’augmentation ne porterait que sur le prix du carburant.
Les prix devraient augmenter de 7%, ce qui n’est pas cher payé pour retrouver la souveraineté. -
« c’est qu’ils n’auront pas le choix, nous sommes encore un pays souverain, qu’ils nous envoient un huissier si ça leur chante »
Certe mais êtes vous sûr que vous n’aurez pas besoin d’eux pour de futur échange économique ? Quoi que vous en disiez un échange économique repose en partie (grosse ?) sur la confiance. Et quand vous dites un gros Fuck à vos créanciers on ne peut pas dire que vous instauriez un climat de confiance.
« Sapir a fait le calcul, le prix des carburants est fait essentiellement de taxes.
L’augmentation ne porterait que sur le prix du carburant. Les prix devraient augmenter de 7%, ce qui n’est pas cher payé pour retrouver la souveraineté. »Si j’entends bien qu’il y a énormément de taxe sur le prix du carburant arriver à estimer la dévaluation d’une monnaie me parait bien complexe surtout en sachant que celle ci sera inversement proportionnel aux bons signaux de confiance que l’on envoi à nos partenaires, ce qui renvoi au premier point.
Pour vulgariser, soit on dit fuck la dette et on aura une monnaie qui ne vaudra rien, soit on accepte de payer la dette et on aura une monnaie pas trop dévaluée. Dans le premier cas ça coute cher en pétrole, dans le deuxième ça coute cher en dette.
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si nous revenons au Franc, Politea, il sera basé sur l’or de la Banque de France et moi je vous dis qu’il aura bien plus de valeur que tous les Euros qui sont basés sur le seule confiance qu’on leur accorde et qui dès lors ne vaudront plus grand chose parce que si on s’en va c’est la débandade, nous mettrions peut-être en colère tous les parasites qui profitent du système mais les peuples nous en saurons gré
plus personne ne voudra nous prêter d’argent ?? la belle affaire, nous sommes bien assez endettés, je compte bien que la France ne fonctionne qu’avec l’argent de ses impôts et s’il faut emprunter qu’elle le fasse auprès de la Banque de France qui est là pour ça
le pétrole va augmenter ? mais avons-nous vraiment besoin de 3 voitures par foyer et de tous ces camions sur les routes, s’il faut faire des économies d’énergie nous aurons moins de pollution -
Politea,
Quand nous serons sortis de l’ UE, rien ne nous empêche de faire un débat et un referendum sur le dette, comme les Islandais... ?!
Ou l’ Argentine en 2002... « Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques » comme l’expliquait l’ancien Ministre de l’ Economie Roberto Lavagna, qui a sorti son pays de la crise en se passant des services du FMI.
Dans le programme de l’ UPR de François Asselineau, il est prévu un referendum sur la dette.
Mais pour faire la même chose que l’ Islande ou l’Argentine, il faut être un pays souverain. -
J’ai l’impression qu’on oublie qu’au retour du francs, les euros ne disparaissent pas pour autant ... surtout si nous sommes les 1ier à sortir.
En gros :Etape 1 : Saisie par l’Etat de tous les euros se trouvant sur tous les comptes du territoire.Etape 2 : Emission de francs déposés sur les comptes précités en échange.Résultat : L’Etat dispose de 1.839 Milliard d’euros (chiffre de la masse monétaire en France de la BdF pour décembre 2012) à utiliser fissa avant que la BCE s’écroule.Elle est pas belle, la vie ! -
JFR77
Je ne crois pas que les choses se passent comme vous le dites.
Pendant la période transitoire, on met un coup de tampon sur les billets, sur la base de 1 pour 1 ; 1 euro = 1 franc, en attendant que les nouveaux billets soient imprimés.Dans la vidéo « La tragédie de l’euro », Asselineau montre des billets ainsi tamponnés de divers pays qui ont changé de monnaie.
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Votre exemple ne vaut que pour une monnaie qui est « détruite », les euros auront encore cours si la France les abandonne puisque ce ne sera pas forcément le cas des autres pays de la zone euro. C’est pourquoi je précisais « surtout si nous sommes les 1ier à sortir ».Imaginez un pays qui utiliserait le dollar américain comme monnaie (vue la masse qui se ballade sur la planète, c’est envisageable et c’est exactement notre situation puisque nous n’avons aucun pouvoir sur la BCE) puis se décide à imprimer ses propre billets. Ce pays n’aurait pas à détruire ses dollars US (monnaie ayant encore cours) mais pourrait s’en servir (pour solder sa dette, par exemple ou encore mieux, renationaliser).Il serait vraiment stupide de ne pas se servir des plus de 1.000 Milliard d’euros qui circulent en France !Si Asselineau préconise de jeter à la poubelle notre masse monétaire en euros suite au retour du francs, je ne le trouve pas très fut’fut’ sur ce coup ! -
JFR77
Mettre un tampon sur les billets, pas de les mettre à la poubelle...
Regardez la video « La tragédie de l’euro » et vous comprendrez. -
Mercredi 23 octobre 2013 : Eurostat publie les chiffres de la dette publique du deuxième trimestre 2013.
La Grèce, l’Italie, le Portugal, l’Irlande, la Belgique, Chypre, la France, l’Espagne, le Royaume-Uni sont en faillite.
La dette publique de ces Etats atteint des sommes inimaginables.
La question est donc :
« QUAND vont avoir lieu ces défauts de paiement ? »
1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 316,969 milliards d’euros, soit 169,1 % du PIB.
2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2076,182 milliards d’euros, soit 133,3 % du PIB.
3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 214,801 milliards d’euros, soit 131,3 % du PIB.
4- Irlande : dette publique de 204,495 milliards d’euros, soit 125,7 % du PIB.
5- Belgique : dette publique de 397,851 milliards d’euros, soit 105 % du PIB.
6- Chypre : dette publique de 16,906 milliards d’euros, soit 98,3 % du PIB.
7- France : dette publique de 1912,205 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
8- Espagne : dette publique de 943,410 milliards d’euros, soit 92,3 % du PIB.
9- Royaume-Uni : dette publique de 1422,213 milliards de livres sterling, soit 89,6 % du PIB.
http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-23102013-AP/FR/2-23102013-AP-FR.PDF
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Pour moi le champion mondial de la dette publique sont les États-Unis.
Au 2e trimestre 2013, le PIB des États-Unis atteint 16 633 milliards de dollars
La dette publique s’élève à la même hauteur c’est donc 100% du PIB !
Detroit en failliteSan Bernardino, ville californienne en faillite
En 2009, Osby Davis, le maire de Vallejo, ville de 116.000 habitants située au nord-est de San Francisco, déclarait : « Nous sommes les premiers à déclarer banqueroute, mais de nombreuses municipalités sont juste derrière nous et nous observent. source
2009 : Schwarzenegger espère sauver la Californie de la faillite
La faillite des États-Unis à été repoussé de quelques mois ...
« Les américains refusent de voir que, sur presque tous les points, leur situation est bien pire que celle des Européens » source
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Le champion du monde, c’est le Japon. D’après les dernières prévisions du FMI, la dette publique du Japon sera de 242,5 % du PIB en 2014.
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Je me demande si Eurostat, dans son calcul, inclut les dettes sociales (la retraite des fonctionnaires), et les couts futurs liés aux montages utilisés pour justement reporter à plus tard certains couts (les PPP par exemple), .... je doute ... et je me demande si la vertueuse Allemagne n’apparaitrait pas dans le classement ...
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@ ba : A poser des questions stupides, forcément.... Aucune réponse !..Regardez la télé !... On vous dit que TOUT VA BIEN !.... Ca passe dans la télé !.. Si c’est pas une preuve, ça ??!!... Si on vous dit que TOUT VA BIEN !!??.... Et que ça passe dans la télé !!... C’est QUE TOUT VA BIEN !.... Et arrêtez un peu votre « mauvaise foi » !.. ON vous dit, on vous répète :: :: :: : TOUT VA BIEN !...C’est terrible quand même, de ne pas y croire !.. C’est OFFICIEL !.. TOUT VA BIEN !.... Récitez-le avant de vous coucher !..... TOUT VA BIEN !...... François VEILLE !... François sait tout, il voit tout, devine tout,... Bref................François REGNE !.. Donc, pas de problème !...... Adishatz.
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voila deux articles qui posent chacun des questions pertinentes, a vous de vous faire votre avis :
premierement : IL FAUT SORTIR DE L’OTAN ET RESTER DANS L’EURO
deuxièmement : ETRE INTERNATIONALISTE ET VOULOIR SORTIR DE L’EURO
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quand j’ai un article qui je pense peut interresser et faire avancer le debat je donne le lien, sinon je m’abstient. Et je n’oblige personne a cliquer sur le lien, je ne vois pas ce qui vous dérange...
Il y en a d’autre qui ne mettent aucun liens (ou presque) mais qui copie/colle et recolle leur meme propagande a longueur d’article et qui reponde a coté des questions posé en ramenant toujours tout a leur seule lubbies : l’anticommunisme, la chine, les fonctionnaires...vous trouvez ça mieux ?
D’autre part je trouve que vous avez du temps a perdre juste pour me dire cela, vous n’avez pas de commentaires plus constructifs !
bonne journée.
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Si vous n’avez pas d’arguments convaincants, il n’y a que deux solutions :
- Vous êtes le plus fort et vous cassez la gueule à votre opposant,- Vous n’êtes pas le plus fort et vous cherchez à lui faire peur.Simple, non ?-
« démontage de la monnaie unique, idée soutenue par neuf « prix Nobel d’économie » »
Robert Mundell écrit au contraire : « Euro is here to stay » ; mais en posant les conditions suivantes, Union bancaire, eurobonds, pouvoir exécutif à la Commission européenne ...
Et Isabelle Job à propos du mécanisme européen de stabilisation : "
le degré de mutualisation des moyens à l’échelle européenne paraît trop limité pour endiguer la fragmentation financière en zone euro et faire de ce dispositif un pare-feu efficace en cas de menace systémique.«
Une vraie union ou le démontage : il faut choisir !
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Tout à fait d’accord, l’Europe en l’état n’est pas viable, soit on renforce sa légitimité, soit on arrête tout de suite les frais.
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« fait économique empiriquement et théoriquement incontestable... »
Encore une affirmation intempestive de Pinsolle qui poste plus d’articles que de commentaires (Avox une annexe de DLA ?).
Si la monnaie est dévaluée de 50% et que l’on exporte deux fois plus en volume, en valeur on n’aura rien gagné ... Mais ceci est empiriquement théorique , ou le contraire.
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Jean-Yves Archer doit sans doute avoir l’idée de faire un feux de dispersion, je serais vraiment intéreser qu’il s’exprime sur ce sujet ?
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Mr Pinsolle vous avez raison : le RBM vous attend, la France à besoin de vous, j’ai beaucoup de sympathie pour la secte DLR mais bon..
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« Démontage de l’euro », en voilà une expression...
L’euro est irréversible. Juridiquement parlant, puisqu’il n’existe aucun article dans les Traités pour en sortir. L’euro ne peut donc se « démonter ».
Pour sortir de l’euro, il faut sortir de l’ UE, et la clause de sortie de l’UE, c’est l’article 50.
« Tout Etat membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
L’Etat membre qui décide de se retirer, notifie son intention au Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet Etat un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’ Union.
Les Traités cessent d’être applicables à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait, à défaut deux ans après, si l’accord proroge ce délai. »
L’article 50 est une négociation de sortie de l’ UE.
Et pas comme le raconte le FN, un moyen pour sortir de l’euro.On ne peut pas sortir de l’euro sans sortir de l’ UE. Les économistes qui racontent cela devrait faire un peu de Droit International. Les Traités européens relèvent du Droit International, et pas de l’économie, du moins pour en sortir.
Une des premières mesures à prendre après la sortie, c’est de remettre en place le contrôle des capitaux.
Une monnaie commune appliquée à plusieurs économies différentes, cela ne fonctionne jamais.
Dans la vidéo « La Tragédie de l’euro », François Asselineau donne une liste des pays qui ont changé de monnaie, sans problème aucun.
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Paradoxal en effet de pouvoir être dans l’UE sans l’€ ou sans € hors UE...
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legrind,
Vous avez raison, il y a de nombreux point communs entre le FN et Debout la République.Le principal est de faire des déclarations entre deux élections, qu’on ne retrouve pas du tout sur les documents officiels que sont les professions de foi... de ces deux candidats...
Les professions de foi sont les seuls documents officiels de la République, déposés aux Archives Nationales. Les paroles passent, les écrits restent.
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SOUVENIRS ! SOUVENIRS !
Les attaques en bourses (dans le monde entier) contre le franc, le mark, la lire, etc ...
c’est cela qui a poussé à créer l’euro !alors si vous voulerz vraiment engraisser les spéculteurs refondez les monnaies nationales ...
une certitude ? le dalard appréciera et s’appréciera ..........-
SOUVENIRS ! SOUVENIRS !
Les attaques en bourses (dans le monde entier) contre le franc, le mark, la lire, etc ...
c’est cela qui a poussé à créer l’euro !alors si vous voulez vraiment engraisser les spéculateurs refondez les monnaies nationales ...
une certitude ? le dollar appréciera et s’appréciera .......... -
Toute solution où la monnaie est le centre d’intérêt du vivre ensemble n’est pas viable, la monnaie doit être à la marge.
Garder l’euro : c’est rester en prison
Changer l’euro : c’est demander une remise de peine au gardien de la prison.
Revenir aux monnaies nationales : c’est repeindre les cellules de la prison et temporairement croire que l’on est plus confortable.
Passer à une monnaie internationale : c’est changer de prison.La société doit lâcher prise vis-à-vis de son rapport à la monnaie.
L’accumulation de monnaie n’apporte rien quant au bonheur espéré : ceux qui en possèdent ont peur de perdre leurs réserves et ceux qui n’en ont pas, vivent de l’espoir qu’un jour ils en auront et seront heureux à ce moment-là (qui n’arrive pas !). -
Jeff88,
L’euro a été imposé par les USA pour nous transformer en colonies de l’ Empire.
Et empêcher que l’ Europe ne devienne un concurrent mondial des USA.
Une monnaie plurinationale ne fonctionne jamais longtemps.Vous ne pensez pas qu’on raconte aux pigeons le charme des petits pois ?
Tout cela a été fait « sans débat » ni information des populations. -
Sortir de l’Europe ! Mais, nous nous sommes déjà fait sortir !
Les Grecs, Italiens, Irlandais, Portugais sont les premiers. Quand à nous, méprisables, incompétents, râleurs, fainéants de Français c’est en cour. Demain les « régions européennes » et la fin des états, comme prévu depuis les années 1980 par les parasites de Bruxelles. (pas de lien, mais renseignez vous)
Si nous sortons la tête haute, plutôt que les pieds devant, ce sont les eurocrates qui devront négocier âprement leur « entrée » sur le territoire français.
Quand le jour arrivera (enfin) du retour à notre monnaie nationale, un Franc égalera un euro ; puisqu’il ne s’agit pas de démolir nos voisins et nos relations internationales mais de reconquérir notre indépendance. Rien de plus !
Il faudra bloquer ou, au moins, contrôler les prix avant de dévaluer. Peut être qu’une dévaluation progressive jusqu’à 2 ou 3Fr/euro sera suffisante pour relancer les productions et les revenus.
Nous passerons d’une monnaie hors de prix (même pour les Allemands) à une monnaie...d’échanges...et la terre continuera à tourner...et la France sera toujours une puissance sur laquelle il faudra compter.
Louis XVI est à Bruxelles. Soyons bons seigneurs. Nous lui laisserons sa tête.
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Vous nous faîtes un peu rire, cher Laurent, avec votre sortie de l’euro
En 2014 , ou en 2015 ou un peu plus tard si les Amerloques arrivent encore à faire les poches à leurs débiteurs , les Etats Unis vont s’asseoir sur leur dette, et là ce sera 17 000 milliards de dollars qui vont s’envoler en fumée(voir un peu plus d’ici là) , et créeront une nouvelle monnaie, l’amero , les cartes vont être rebattues au niveau mondial , alors votre petite analyse toute proprette et gentillette , à savoir ce qu’il adviendra si l’on sort de l’euro ou pas deviendra de la roupie de sansonnet.........
http://graphseobourse.fr/prevision-effondrement-krach-dollar-2014-aivazov/les USA sont un pays sans morale , ils montrerons leurs muscles , leurs sous marins, leurs porte avions et nous n’aurons plus que les yeux pour pleurer
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"les USA sont un pays sans morale , ils montrerons leurs muscles , leurs sous marins, leurs porte avions et nous n’aurons plus que les yeux pour pleurer"
Oui, vous avez raison là.Mais nous supporterons mieux cet évènement si nous sommes libres avec notre propre monnaie.
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Mon message ci-dessus convient mieux dans ce fil :
Toute solution où la monnaie est le centre d’intérêt du vivre ensemble n’est pas viable, la monnaie doit être à la marge.
Garder l’euro : c’est rester en prison
Changer l’euro : c’est demander une remise de peine au gardien de la prison.
Revenir aux monnaies nationales : c’est repeindre les cellules de la prison et temporairement croire que l’on est plus confortable.
Passer à une monnaie internationale : c’est changer de prison.La société doit lâcher prise vis-à-vis de son rapport à la monnaie.
L’accumulation de monnaie n’apporte rien quant au bonheur espéré : ceux qui en possèdent ont peur de perdre leurs réserves et ceux qui n’en ont pas, vivent de l’espoir qu’un jour ils en auront et seront heureux à ce moment-là (qui n’arrive pas !). -
Nous aussi pouvons nous asseoir sur la dette ! Il faut brûler les templiers et acculer les banquiers florentins !
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Le Parlement européen exige une rallonge d’un milliard pour 2014.
Et 3,9 milliards pour le budget 2013.
Une nouvelle négociation difficile va s’ouvrir entre les élus européens et les gouvernements de l’UE.
Le Parlement exige parallèlement des Etats le déblocage de 3,9 milliards d’euros destinés à abonder le budget 2013. Il a lié l’octroi de ces fonds à son vote définitif sur le budget pour la période 2014-2020.
« Nous avons besoin de ces 3,9 milliards d’euros pour payer les factures qui auront été présentées avant le 30 octobre, sinon la Commission ne pourra pas honorer ses engagements et le budget sera exécuté en déficit », a averti M. Lamassoure.
Au total, les Etats membres auront été contraints d’augmenter leurs contributions nationales pour ajouter 11,6 milliards d’euros au budget 2013.
Ces sommes seront toutefois insuffisantes pour régler toutes les factures présentées par les Etats cette année, a averti la Commission européenne. Le solde, qui pourrait s’élever à 20 milliards d’euros, sera réglé sur les fonds du budget 2014.
« Les députés sortants ne laisseront pas à leurs successeurs une Union européenne en cessation de paiement », a assuré Alain Lamassoure.
Non mais je rêve !
Le Parlement européen exige que les Etats donnent tous ces milliards d’euros supplémentaires à l’Union Européenne !
Mais les Etats européens sont déjà surendettés !
Donc les Etats européens surendettés vont devoir emprunter tous ces milliards sur les marchés internationaux, pour pouvoir ensuite donner cet argent à l’Union Européenne !
L’Union Européenne, c’est un suicide collectif.
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"Donc les Etats européens surendettés vont devoir emprunter tous ces milliards sur les marchés internationaux, pour pouvoir ensuite donner cet argent à l’Union Européenne !"
OUI et on sait comment cet argent est gaspillé par la mafia européenne ! -
L’euro et l’Union européenne ce sont les nouveaux bouc-émissaires des populistes, avec bien sûr les immigrés, ces éternels souffre-douleur.
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Il faut quitter l’Europe, c’est la seule façon de reprendre son destin en main. Les évènements à venir nécessitent une cohésion nationale forte et l’Europe ne l’a pas. La perte de l’euro n’est qu’une broutille qui ne mérite pas plus d’attention que lorsque vous écrasez un lapin. On s’en fout, les liens entre européens sont faits et resteront mais l’Europe a manqué à son premier devoir, l’équilibre, la justice entre les nations à cause des déséquilibres commerciaux. C’est un jeu de dupes pour les nations faibles que de matcher dans la même catégorie que les poids lourds. Il faut l’isolant, il faut la frontière où c’est l’électrocution.
Au contraire, mieux vaut gérer la mise au point de l’antigravité entre Français et laisser les autres nations à l’écart, celles qui le voudront s’associeront. Elle n’auront pas le choix, le centre d’essai est à Dozulé.
L’Europe, tu parles ! Pour les vitesses supraluminiques des neutrinos, les italiens nous ont planté un couteau dans le dos, les espagnols ont été complices pour la chaine de mesure du temps, et le Fermilab a appuyé les italiens. Et bien, on les encouragera pour financer le CERN en euros... il ne faut pas y mettre un franc mais les encourager pour se foutre de leur poire.
Soit ils reviennent, ce qui veut dire qu’ils s’excusent, soit leurs mensonges vont les conduire dans un chemin sans issu. Tel est pris qui croyait prendre.. Qu’ils fassent donc de la microgravité sous terre.
La justice est l’alliance de la loi de Moïse et de la miséricorde de Jésus, on l’entend surtout pour les corps. N’oublions pas les parole de Moïse, Dieu est justice. Rajoutons Dieu est Vérité.
La vérité, alliance de l’intelligence et de l’amour, est la forme de la justice de Dieu pour les esprits.
Il faut comprendre que suite à l’histoire du veau d’or, Moïse ne donne pas la justice mais la loi. Il dit : « tu n’auras pas d’autre Dieu... » au lieu de « tu aimeras ton Dieu ». Tout est sous forme d’interdiction. Jésus corrige le tir pour une notion de justice positive qui rajoute la miséricorde à la loi car le but est la justice, l’équilibre, l’équité. Maintenant, il faut intégrer cela dans les esprits.
Aujourd’hui, on dit « tu ne mentiras pas » au lieu de « tu aimeras la vérité », il faut corriger le tir pour une notion de vérité positive qui rajoute l’amour à l’intelligence et chasse le mensonge par omission ou l’information qui enfume. Bien sur, vérité ne veut pas dire : violer la vie privée de l’autre.
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Bonjour Monsieur PINSOLLE,
Votre article ne rapporte pas avec exactitude ce que j’ai écris : les lecteurs se feront une idée directement puisque tout est public.Ce qui est moins public et que je vous indique, c’est que le fait d’avoir accolé mon nom à celui de « désinformation » alors que mes deux articles décrivent des scénarios possibles d’évolution n’est pas un procédé loyal. Nous verrons sous quinze jours ce que je décide et qui dépendra de votre attitude.Considération réservée, Jean-Yves ARCHER-
Monsieur,
Je ne suis pas Laurent Pinsolle et, comme beaucoup d’internautes sans doute, je me fout de votre querelle naissante.Si vous vouliez répondre à cet article, vous auriez pu donner vos liens pour qu’on puisse juger par nous-mêmes.
Mais il semble bien que, comme écrit plusieurs fois ici par les internautes, vous n’ayez plus d’autres arguments valables pour la logique et la raison, si tant est que vous en ayez eu, pour défendre objectivement et sensément le maintien de la France dans l’Euro.
Je ne suis pas un économiste mais je sais, comme la plupart des citoyens français, compter, observer, comparer, analyser ce que je vois et ce que je vis. Je sais peu de choses mais ce que je sais, on ne me le fera pas oublier. -
Que vous êtes délicat ! Ah si les Tiberi, Balkany, Woerth, Cahuzac et consorts (enfin il faut le dire vite) pouvaient vous ressembler ! Surréaliste !
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Cher Monsieur,
Je n’ai pas de querelle naissante avec Monsieur PINSOLLE : nous lui demandons seulement de respecter de Droit.Pour le reste, nous pouvons être en désaccord : c’est autre chose.Je vous écris pour répondre à votre très exacte remarque sur les liens :Quitter l’€uro ? Un saut sans parachute. http://lecercle.lesechos.fr/node/82229/
Sortie de l’Euro et risques pour les entreprises françaises :
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Monsieur Archer,
Vous oubliez que la sortie de l’ UE et de l’euro, c’est à dire le retour à la souveraineté, ne peut se comprendre que si le contrôle des capitaux est remis en place.
Vous oubliez que si le gouvernement d’alors n’a pas pu empêcher Mittal d’acheter Arcelor, c’est qu’il ne disposait plus, grâce aux Traités, du contrôle des capitaux (article 63)
Un haut fonctionnaire du Ministère des Finances explique pourquoi l’ Etat ne peut plus protéger les entreprises, ni l’emploi.
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Je pense que le problème de l’euro, c’est que le pacte de stabilité est mal conçu. En principe, si un état dépasse 3% de déficit par rapport au PIB et que sa dette correspond à plus de 60% du PIB, il devrait être sanctionné par une amende. Or c’est contre-productif de retirer de l’argent à un état qui en manque. Cela revient à aggraver encore plus son cas. C’est pour cela que la sanction n’a jamais été appliquée. Le problème des PIGS, ce qu’ils ont dû appliquer des mesures d’économie drastiques alors que la situation était déjà trop grave. Il aurait fallu leur imposer ces mesures beaucoup plus tôt.
Ce qu’il aurait été plus logique :1) N’admettre dans la zone Euro que les Etats qui respectaient strictement les critères de Maastricht. L’Italie et la Grèce n’auraient jamais dû rentrer dans l’Euro.2) Si un état membre de la zone Euro, dépasse les critères de Maastricht, son budget devrait être validé par le Parlement Européen et son administration recevraient le support d’experts qui lui indiqueraient la marche à suivre pour retrouver des dépenses stables, jusqu’à ce que le déficit n’existe plus.3) Faire des audits pour vérifier que les pays ne trafiquent pas leurs comptes, comme ça a été le cas en Grèce.-
Voici les Etats européens qui ne respectent pas le plafond maximal de 60 % du PIB de dette publique :- la Grèce,- l’Italie,- le Portugal,- l’Irlande,- la Belgique,- Chypre,- la France,- l’Espagne,- le Royaume-Uni,- la Hongrie,- l’Allemagne (l’Allemagne est incapable de respecter le plafond maximal de 60 % du PIB de dette publique depuis 2003. Je dis bien : depuis 2003)- Malte,- l’Autriche,- les Pays-Bas,- la Slovénie. -
Merci BA pour cette illustration qui montre parfaitement que le mécanisme actuel de respect des critères de Maastricht est complètement inefficace. Il faut le réformer.
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Xavxav,
Vous savez que les critères de Maastritch basés sur les 3% du PIB sont une idiotie économique, que ce critère n’a aucun sens, qu’il met en parallèle des pommes et bananes, qu’il a été fabriqué à la demande de Mitterrand, un soir sur un coin de bureau, au Ministère des Finances, et que c’est quasiment un canular ?
« Les 3% du PIB sont 100% d’origine française »
Mais il a une grande utilité pratique, c’est de justifier les plans d’austérité.
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Que le chiffre soit 3% ou 4%, le problème est le même.
Laisser filer le déficit pendant des dizaines d’années revient à confier la charge à nos descendants. À partir d’un certain niveau d’endettement, aucun pays n’est capable de le rembourser.C’est pourquoi, mettre une limite, c’est nécessaire dans la mesure ou la monnaie est partagée par plusieurs pays, il n’y a plus de possibilité de dévaluer dans un des membres de la Zone Euro.Si un des pays membre de l’Euroland creuse son déficit jusqu’à en être incapable de le rembourser, il n’a d’autre choix que se livrer à une cure d’austérité dramatique ou se mettre en état de cessation de paiement. C’est ce qu’il se passe en Grèce. C’est ce qu’il faut éviter à l’avenir.N’oublions pas les avantages que nous procurent l’Euro en terme de facilité de gestion pour les échanges internes à la Zone Euro. -
Xavxav,
Si la dette a grossi de cette façon, c’est que l’article 123 du TFUE oblige les Etats à emprunter « au marché » et aux banques privées.
Avant les Traités, l’Etat et les Collectivités locales empruntaient à taux 0% à la banque de France, qui créait cette monnaie pour l’occasion et au fur et à mesure des remboursements, la Banque de France détruisait cet argent sans faire payer d’intérêts.
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Cela date de Pompidou... politique formé à la banque Rotschild...
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Puisque les républicains ont la nostalgie des rois, qu’ils incitent le monarque de l’Elysée à brûler les Templiers et à dépouiller les banquiers florentins ! Le pays n’aura plus à rembourser ! Plus de dette !
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L’emprunt des états au marché est effectivement assez radical pour ruiner un pays. Mais ne fait qu’accélérer un processus qui de toute façon est inéluctable.
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Jean François,
Le début a été l’envoi par la loi de 1973, puis c’est devenu l’article 104 du Traité de Maastritch, et l’article 123 du Traité de Lisbonne.Dans ce document paru sur Agoravox, vous avez un graphique avec l’évolution de la dette.
Elle a véritablement commencé à s’envoler à partir des années 80. -
Bonjour Laurent
ce n’est pas un problème financier, c’est un problème politique, depuis 1989 si nous pouvons nos réjouir de la fin ’une dictature, nous l’avons remplacé par une autre qui st celle du marché qui n’adore qu’un seul dieu celui de la comptabilisation de l’existence. Que l’on reste ou l’on sorte de l’euro cela ne réglera pas nos difficultés.
L’Europe ou la mondialisation ne sont pas le problème, le problème est ce que nous avons fait de nos relations commerciales en les soumettant à la tyrannie comptable. Non qu’il n’en faille pas une pour savoir ou l’on se trouve et se situe, mais ce n’est qu’un processus imaginaire pour répartir la rareté et même l’organiser. Quand existe l’abondance car l’humai n’est pas attiré par ce qui est abondant vu que cela ne lui permet pas de se différencier et d’espérer être le dominant. Sauf qu’il n’a pas compris qu’il n’est qu’un dominant Bêta du deuxième rang condamné à toujours se remettre en question suivant des cycles. Les dominant Alpha sont devenus des dominant systémiques, tel que celui que je viens d’indiquer la « comptabilité », la « loi du marché » le « capitalisme » qui instruisent et cooptent ceux qui pérenniseront leurs organisations installeront « des chiens de gardes »et rejetterons toute autres forme d’organisation que la leur, comme s’il s’agissait d’une vérité intangible de l’espèce humaine. Donc aucun espoir de trouver une solution par la manipulation monétaire sauf à faire jouer son rôle à la BCE de régulateur de la rareté pour ne pas la rendre destructrices. L’affaire Léonarda en est l’éclatante démonstration puisque la rareté monétaire pousse des gens hors de leurs états, les pousse à se trouver des sources de revenus en exploitant le droit disponible et la réponse à cela n’est que l’imbécilité formulé tant par Copé que Marine le Pen.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/du-rat-a-moi-7607770.html
http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-capitalisme-est-la-marque-de-l-homme-prehistorique-120716748.html
http://ddacoudre.over-blog.com/article-des-fouilleurs-de-poubelles-aux-eboueurs-de-la-france-120753136.html.
Cordialement....-
Chris De Baün 24 octobre 2013 12:44-
bonjour chris
intéressant ton site, j’ai relevé ceci que je partage. :À l’échelle universelle, « la civilisation » humaine terrestre n’en est qu’à ses premiers balbutiements, ce qui la rend extrêmement instable et dangereuse pour l’univers et pour elle-même.
http://ddacoudre.over-blog.com/article-le-capitalisme-est-la-marque-de-l-homme-prehistorique-120716748.html cordialement.
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ddacoudre,
Savez vous qu’en dehors des pays de la zone euro, tous les autres pays du monde ont chacun leur propre monnaie ? Et qu’il s’en sortent souvent pas si mal que cela....La Norvège, qu’on a obligé à voter et revoter, qui a dit non à l’euro, et non encore, a un taux de chômage de 3%, alors que la moyenne dans la zone euro est... de 12,1%.
Avec les plans de licenciements qui tombent comme à Gravelotte, ça ne risque pas de s’arranger...
L’Islande, qui a mis ses banquiers en prison et a laissé ses banques faire faillite, a sa propre monnaie, la couronne islandaise. Elle n’est pas dans l’euro, et vient de supprimer la commission d’entrée dans l’ UE. Pas folle, après sa crise bancaire, elle est 5,1% de chômage !
La Russie est à 6% de chômage, la Turquie à 8%...
Etienne Chouard « Les 10 raisons de sortir de l’UE », la première est que l’euro nous condamne au chômage de masse.
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Autriche : zone Euro, 4,5 % de chomâge ...
La Norvège a du pétrole, pas la zone Euro : est-ce la faute à l’Euro ?
Effectivement la désinformation se porte bien.
Pour les populistes dépressifs il faut toujours un bouc émissaire extérieur : avant c’était l’immigré, aujourd’hui l’Euro, demain le Chinois
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Tfi groupie,
Les chiffres que je donne sont ceux d’ l’ INSEE et d’ Eurostat pour les 6 premiers mois de 2013.
Si vous ne comprenez pas que les Traités mettent en concurrence tous contre tous, permettent les délocalisations, les achats des entreprises françaises par les fonds de pension, et la fin du modèle social français, ne vous inquiétez pas, les Français eux, ont parfaitement compris.
L’euro c’est le gâteau sur la cerise, il est impossible à dévaluer, il est 30% trop cher par rapport au dollar que si nous avions le franc, et plombe nos exportations.
Si vous trouver que l’ UE, l’euro et l’ OTAN, c’est génial, restez-y, mais vous allez devenir une rareté.
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Brindacier
Je n’ai pas contesté vos chiffres, mais mes chiffres sur l’Autriche vous défrisent alors vous bottez en touche.
Quand vous dites que les français ont tout compris, j’en doute vu votre piètre analyse
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TF1,
Pour l’ Autriche, l’ Allemagne et les Pays Bas, l’euro est bien plus bas par rapport au dollar que s’ils avaient gardé leur ancienne monnaie, ce qui facilite leurs exportations, d’où leur bas niveau de chômage.
12% de chômage dans la zone euro est une moyenne entre le pire et le meilleur.
Pour les autres pays, en particulier pour la France, il est 30% plus élevé que si nous avions gardé le franc.
D’où les ordres de Bruxelles de contracter la masse salariale, pour faire baisser les prix.
Comme il n’est pas possible de dévaluer l’euro, soit on continue à s’enfoncer dans le marasme, soit on baisse salaires et charges sociales, encore moins d’impôts rentreront pour rembourser la dette, et on s’enfoncera quand même.
Avec l’euro, on a vachement le choix, on crève ou le malade meurt guéri !
Asselineau explique ces questions monétaires : « La Tragédie de l’euro ».
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Chômage en septembre 2013 : catégories A, B, C, D, E :
France métropolitaine :
5 473 000 inscrits à Pôle Emploi.
France entière (y compris l’outre-mer) :
5 795 300 inscrits à Pôle Emploi.
Variation sur un mois : + 1,4 %.
Variation sur un an : + 6,8 %.
http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/PI-Mensuelle_JMT751.pdf
Vous vous rappelez toutes les belles promesses au moment du référendum sur le traité de Maastricht ?
- « Si le traité était en application, finalement la Communauté européenne connaîtrait une croissance économique plus forte, donc un emploi amélioré. » (Valéry Giscard d’Estaing, 30 juillet 1992, RTL)
- « L’Europe est la réponse d’avenir à la question du chômage. En s’appuyant sur un marché de 340 millions de consommateurs, le plus grand du monde ; sur une monnaie unique, la plus forte du monde ; sur un système de sécurité sociale, le plus protecteur du monde, les entreprises pourront se développer et créer des emplois. » (Michel Sapin, 2 août 1992, Le Journal du Dimanche)
- « Maastricht constitue les trois clefs de l’avenir : la monnaie unique, ce sera moins de chômeurs et plus de prospérité ; la politique étrangère commune, ce sera moins d’impuissance et plus de sécurité ; et la citoyenneté, ce sera moins de bureaucratie et plus de démocratie. » (Michel Rocard, 27 août 1992, Ouest-France)
- « Les droits sociaux resteront les mêmes – on conservera la Sécurité sociale –, l’Europe va tirer le progrès vers le haut. » (Pierre Bérégovoy, 30 août 1992, Antenne 2)
- « Pour la France, l’Union Economique et Monétaire, c’est la voie royale pour lutter contre le chômage. » (Michel Sapin, 11 septembre 1992, France Inter)
- « C’est principalement peut-être sur l’Europe sociale qu’on entend un certain nombre de contrevérités. Et ceux qui ont le plus à gagner de l’Europe sociale, notamment les ouvriers et les employés, sont peut-être les plus inquiets sur ces contrevérités. Comment peut-on dire que l’Europe sera moins sociale demain qu’aujourd’hui ? Alors que ce sera plus d’emplois, plus de protection sociale et moins d’exclusion. » (Martine Aubry, 12 septembre 1992, discours à Béthune)
- « Si aujourd’hui la banque centrale européenne existait, il est clair que les taux d’intérêt seraient moins élevés en Europe et donc que le chômage y serait moins grave. » (Jean Boissonnat, 15 septembre 1992, La Croix)
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BA
Les politiques n’ont pas d’obligation de résultat, comme le garagiste ou le plombier !
Ils peuvent donc raconter et promettre tout et n’importe quoi sans que les citoyens puissent en fin de mandant, leurs demander de rendre des comptes.
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C’est ça. Tous les 5 ans, on leur fait un chèque en blanc.
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Les politiques sont contre le mandat impératif. Comme on les comprend...
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Salaires indexés sur les résultats, et lutte totale contre la corruption (pour éviter qu’ils aillent se servir ailleurs, ce qu’ils font déjà). Et on verra qui se présente devant les urnes...
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ah ah ahrien à cirer de l’Eropej’suis dans la piscines avec des filles en strings et des caîmans-
Nous aussi on a les caïmans, la preuve on vote régulièrement pour eux.
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Une seule chose ou comment une monnaie « naine » fait la nique à un géant (aux pieds d’argile) :
2002 : 32 couronnes tchèques pour 1€
2013 : 25 couronnes tchèques pour 1€20% de plouf pour l’euro, tout est dit !
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Le fond du problème n’est pas l’Euro. C’est l’irresponsabilité des politiques des deux côtés de l’Atlantique, soumis aux lobbies bancaires et au tempo médiatique. Ils ont laissé filer les déficits depuis des dizaines d’années. Ils n’ont pas cherché à résoudre les problèmes de fond de nos pays. Ils ont dérégulé le commerce international de manière à soumettre les classes moyennes à un dumping social. Et pour finir, ils ont mis en place un système financier toxique qui a ruiné la planète.
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Un commentaire de bon sens ... donc il est moinssé
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Le traité de Lisbonne est libre-échangiste.
L’article 206 grave dans le marbre le libre-échange mondial généralisé :
« Par l’établissement d’une union douanière conformément aux articles 28 à 32, l’Union contribue, dans l’intérêt commun, au développement harmonieux du commerce mondial, à la suppression progressive des restrictions aux échanges internationaux et aux investissements étrangers directs, ainsi qu’à la réduction des barrières douanières et autres. »
http://consilium.europa.eu/uedocs/cmsUpload/st06655.fr08.pdf
Cet article était présent, mot pour mot, dans le Traité établissant une constitution pour l’Europe de 2005.
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Pour ou contre la sortie de l’euro ? Ben c’est simple, yaka convoquer un référendum. Un référendum consultatif, comme d’hab...
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Si je pouvais demander aux français ce qu’ils pensent, ma question serait celle-ci : Vous sentez-vous plus riches qu’avant 2002 ???!!.. C’est tout !... Adishatz !..
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L’UPR explique le mode d’emploi de sortie de l’ UE et de l’euro, page 1.
C’est le seul Parti qui a déjà préparé vos nouveaux billets en francs, page 2
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Europe 2013
L’ Europe ne fait pas rire les bretons
Une courte fiction à partir d’un édito, à propos de l’Europe
Suite :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2013/10/europe-2013.html
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Jeudi 10 octobre 2013, le FMI publiait ses prévisions pour l’année 2014. Ces prévisions confirmaient que les grands pays industrialisés étaient en faillite.
Mais 13 jours plus tard, le 23 octobre, Eurostat donnait les chiffres de la dette publique du deuxième trimestre 2013 : pour l’Italie, le Portugal, l’Irlande, les chiffres d’Eurostat explosent les prévisions du FMI.
Prévisions du FMI pour l’année 2014 :
1- Japon : dette publique de 242,3 % du PIB.
2- Grèce : dette publique de 174 % du PIB.
3- Italie : dette publique de 133,1 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 133,3 % du PIB.
4- Portugal : dette publique de 125,3 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 131,3 % du PIB.
5- Irlande : dette publique de 121 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 125,7 % du PIB.
6- Etats-Unis : 107,3 % du PIB.
7- Espagne : 99,1 % du PIB.
8- Royaume-Uni : 95,3 % du PIB.
9- France : 94,8 % du PIB.
Le FMI ne parle pas de la Belgique. Fin juin 2013, la dette publique de la Belgique était de 105 % du PIB.
http://www.imf.org/external/pubs/ft/fm/2013/02/pdf/fm1302.pdf
La question est donc :
« QUAND vont avoir lieu ces défauts de paiement ? »
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soleil,
Pour produire chez nous, il faut remettre en place le contrôle des capitaux, gérer la monnaie et son taux externe, prendre des mesures douanières, et arrêter les délocalisations.
Acheter un teeshirt merdique à 10 euros que vous allez jeter après quelques lavages, ou acheter un teeshirt 30 euros que vous garderez plusieurs années, au bout du compte, c’est la qualité qui est la plus rentable pour le consommateur.
Ou bien acheter un lave linge qu’on peut réparer, va permettre de le garder plus longtemps, d’éviter d’épuiser les ressources de la planète, d’engorger les déchetteries, et de recréer des emplois de réparateurs.
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soleil,
Rassurez-vous, Nicolas Dupont Aignan est comme Marine Ma Divine, il n’a aucunement l’intention de sortir de l’ UE, de l’euro et encore moins de l’ OTAN...Professions de foi du FN et de DLR,
Où voyez -vous écrit qu’ils veulent sortir de l’ UE et de l’ euro ?
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Europe 2013
Changer l’ Europe, elle ne fait pas rire les bretons, même quand ils ont des chapeaux ronds
Une courte fiction à partir d’un édito, à propos de l’Europe
Suite :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2013/10/europe-2013.html
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