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L’Assemblée d’un Nouvel Ordre Mondial par Henry Kissinger

Le concept qui a sous-tendu l'ère géopolitique moderne est en crise.

Henry Kissinger a servi de conseiller à la sécurité nationale et fut secrétaire d'État sous les présidents Nixon et Ford - Adapté de son livre « ordre mondial », qui sera publié le 9 septembre.

Source : The Wall Street Journal - 29 août 2014 -

Traduction Rochelle Cohen pour Agence Info Libre

La Libye connait une guerre civile, les armées fondamentalistes sont en train de bâtir un califat autoproclamé à travers la Syrie et l'Irak et la jeune démocratie en Afghanistan est au bord de la paralysie. A ces troubles se sont ajoutées une résurgence des tensions avec la Russie et une relation avec la Chine divisée entre les promesses de coopération et la récrimination publique. La notion d'ordre qui a soutenu l'ère moderne est en crise.

La recherche de l'ordre du monde a longtemps été définie presque exclusivement par les concepts des sociétés occidentales. Dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, les Etats-Unis -renforcés par leur économie et par la confiance nationale- ont commencé à prendre le flambeau du leadership international et ont ajouté une nouvelle dimension. Nation fondée explicitement sur une idée de gouvernance libre et représentative, les États-Unis ont identifié leur propre ascension avec la propagation de la liberté et de la démocratie et ont crédité ces forces avec une capacité de parvenir à la paix juste et durable. L'approche européenne traditionnelle à l'ordre avait vu les peuples et les Etats comme intrinsèquement concurrentiels ; pour limiter les effets de leurs ambitions qui s'entrechoquent, elle s'est appuyé sur un rapport de force et un concert d'Etat éclairés. L'opinion publique Américaine considérait les peuples intrinsèquement raisonnables et inclinait vers des compromis pacifiques et de bon sens ; la propagation de la démocratie était donc l'objectif global de l'ordre international. Les marchés libres doivent élever les individus, enrichir les sociétés et mettre en place l'interdépendance économique au lieu des rivalités internationales traditionnelles.

Cet effort pour établir l'ordre du monde s'est à bien des égards concrétisé. Une pléthore d'Etats souverains indépendants régissent la plupart des régions du globe. La propagation de la démocratie et de la gouvernance participative est devenue une aspiration partagée sinon une réalité universelle ; les communications globales et les réseaux financiers fonctionnent en temps réel. Les années de 1948 jusqu'au tournant du siècle ont marqué un bref moment dans l'histoire humaine où l'on pouvait parler d'un ordre mondial global naissant composé d'un amalgame de l'idéalisme américain et des concepts européens traditionnels de l'Etat et de l'équilibre du pouvoir. Mais de vastes régions du monde n'ont jamais partagé et ont seulement acquiescé à la conception occidentale de l'ordre. Ces réserves sont en train de devenir explicite, par exemple, dans la crise en Ukraine et dans la mer de Chine du Sud. L'ordre établi et proclamé par l'Occident se trouve à un tournant.

Tout d'abord, la nature même de l'Etat -l'unité formelle basique de la vie internationale- a été soumis à une multitude de pressions. L'Europe a entrepris de dépasser l'état et de fabriquer une politique étrangère fondée principalement sur les principes de la puissance douce. Mais il est douteux que les revendications de légitimité séparées d'un concept de stratégie puissent maintenir un ordre mondial. Et l'Europe ne s'est pas encore donné à elle-même les attributs d'Etat, offrant une vacance de pouvoir interne et un déséquilibre de pouvoir le long de ses frontières. Dans le même temps, certaines parties du Moyen-Orient se sont dissoutes en éléments sectaires et ethniques en conflit les uns avec les autres ; les milices religieuses et les pouvoirs qui les soutiennent violent les frontières et la souveraineté à volonté, produisant le phénomène d'États déchus qui ne contrôlent pas leur propre territoire.

Le défi en Asie est à l'opposé de l'Europe : les principes de balance-de-pouvoir prévalent indépendamment sur un concept convenu de légitimité, ce qui conduit à certains désaccords à la limite de l'affrontement.

Le conflit entre l'économie internationale et les institutions politiques qui la régissent ostensiblement à aussi affaiblit le sens de l'objectif commun nécessaire pour l'ordre mondial. Le système économique est devenu mondial, tandis que la structure politique du monde reste fondée sur l'État-nation. La mondialisation économique, dans son essence, ne tient pas compte des frontières nationales. La politique étrangère les affirme, cherchant même à concilier des objectifs ou des idéaux nationaux contradictoires à l'ordre mondial.

Cette dynamique a produit des décennies de croissance économique soutenue ponctuée par des crises financières périodiques d'une intensité apparemment grandissante : en Amérique latine dans les années 1980 ; en Asie en 1997 ; en Russie en 1998 ; dans les États-Unis en 2001 et de nouveau à partir de 2007 ; en Europe après 2010. Les gagnants ont quelques réserves à l'égard du système. Mais les perdants -tels ceux qui sont coincés dans des désordres structurels, comme cela a été le cas pour le secteur sud de l'Union européenne- cherchent leurs remèdes par des solutions qui renient, ou au moins font obstacle, au fonctionnement du système économique mondial.

L'ordre international est donc confronté à un paradoxe : Sa prospérité dépend de la réussite de la mondialisation, mais le processus produit une réaction politique qui travaille souvent à l'encontre de ses aspirations.

 

Un troisième échec de l'ordre mondial actuel, tel qu'il existe, est l'absence d'un mécanisme efficace permettant aux grandes puissances de se consulter et éventuellement de coopérer sur les questions les plus conséquentes. Cela peut sembler une étrange critique à la lumière des nombreux forums multilatéraux qui existent, plus avancés qu'à n'importe quel autre moment dans l'histoire. Pourtant, la nature et la fréquence de ces réunions vont à l'encontre de l'élaboration de la stratégie à long terme. Ce procédé permet un tant soit peu, au mieux, une discussion sur les questions tactiques en suspens et, au pire, une nouvelle forme de rencontre au sommet comme un colloque de "réseau social". Une structure contemporaine des règles et normes internationales, si elle se veut pertinente, ne peut pas simplement être confirmée par des déclarations communes ; il doit être encouragée comme une question de conviction commune.

La sanction de l'échec ne sera pas autant une guerre majeure entre les Etats (même si dans certaines régions cela reste possible) qu'une évolution en sphères d'influence identifiées par certaines structures nationales et des formes de gouvernance. A ses extrémités, chaque sphère serait tentée de tester sa force contre d'autres entités considérées comme illégitimes. Une lutte entre les régions pourrait être encore plus débilitante que ne le fût la lutte entre les nations.

La quête contemporaine de l'ordre du monde nécessitera une stratégie cohérente pour établir un concept de l'ordre dans les différentes régions et relier ces ordres régionaux à l'autre. Ces objectifs ne sont pas forcément auto-conciliants : Le triomphe d'un mouvement radical pourrait amener l'ordre dans une région tandis qu'il met en place des turbulences dans toutes les autres. La domination d'une région par un pays militairement, même si elle apporte une apparence d'ordre, pourrait produire une crise pour le reste du monde.

Un ordre mondial des Etats affirmant la dignité des personnes et la gouvernance participative, et coopérant internationalement, conformément aux règles convenues, peut être notre espérance et devrait être notre inspiration. Mais la progression vers celui-ci devra être soutenue par une série d'étapes intermédiaires.

Pour jouer un rôle responsable dans l'évolution de l'ordre mondial du 21ème siècle, les États-Unis doivent être prêts à répondre à un certain nombre de questions pour lui-même : Qu'est-ce que nous cherchons à éviter, peu importe comment ça se passe, et si nécessaire tout seul ? Qu'est-ce que nous cherchons à atteindre, même sans être soutenus par un effort multilatéral ? Qu'est-ce que nous cherchons à atteindre, ou empêcher, uniquement avec le soutien d'une alliance ? Dans quoi ne devrions nous pas nous engager, même poussés par un groupe multilatéral ou une alliance ? Quelle est la nature des valeurs que nous cherchons à faire avancer ? Et à quel point l'application de ces valeurs dépend des circonstances ?

Pour les États-Unis, il faudra penser sur deux niveaux apparemment contradictoires. La célébration de principes universels doit être couplée avec la reconnaissance de la réalité des histoires, des cultures, des visions, et de la sécurité des autres régions. Même si les leçons de décennies difficiles sont observées, l'affirmation de la nature exceptionnelle de l'Amérique doit être soutenue. L'histoire n'offre aucun répit aux pays qui réservent leur sens de l'identité au profit d'une course apparemment moins ardue. Mais il n'y a pas de garantie de succès pour les convictions les plus élevées en l'absence d'une stratégie géopolitique globale.


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16 réactions à cet article    


  • claude-michel claude-michel 31 août 2014 17:29
    Henry Kissinger...criminel de guerre..toujours pas fusillé.. ?

    • Daniel Roux Daniel Roux 1er septembre 2014 10:46

      Ce cher Henri en est-il arrivé enfin au stade de la rédemption, si chère à l’hypocrisie étasunienne.

      Quoi qu’il en soit, il est en plein déni de réalité. Non, les US ne sont pas une démocratie représentative mais une oligarchie corrompue et criminelle.

      Oubliées les guerres idéologiques et les prétextes bidons contre les chinois et les russes, en Corée et au Viet-nam qui ont mis ces deux pays à feu et leurs peuples à sang.

      Oubliées les guerres économiques autour du pétrole au Moyen Orient avec le mensonge d’état devant l’ONU causant des centaines de milliers de victimes civiles malgré la précision des frappes chirurgicales.

      La seule gouvernance mondiale qui fonctionne est celle du fric, le seul consensus, l’exploitation abusive des peuples les plus faibles grâce à la corruption des hommes politiques, le seul droit, celui du plus fort, la seule justice, la destruction des pays et des peuples récalcitrants.


      • soi même 1er septembre 2014 12:27

        Le Nouvel Mondial n’est rien d’autre que la domination impérialisme du principe de l’égoïsme, les forces qui sont à l’œuvre sont considérable et en même temps c’est du vent qui marche sur a peur et l’ effrois.
        Si les hommes en étaient conscient que c’est une faiblesse, sont pouvoir de séduction en serait limité et serait tenue en lisière de notre Monde !


        • philouie 1er septembre 2014 12:54

          Si le modèle des états échoue, c’est en réalité par le fait de l’inégalité de répartitions des ressources en matière première.
          La démocratie est un leurre. En réalité les peuples contrôlent les territoires pendant que les groupes industriels contrôlent les états.
          Ces groupes ont besoins de l’accès aux matières premières qui forment la base de leur business. Ils utilisent la puissance des états pour parvenir à leurs fins. les peuples sont alors otages de ces politiques, comme ce sont eux qui tiennent les territoires, ce sont eux qui se font massacrer dans la rivalité de ces groupes industriels.
          Aucune paix de possible tant que nous serons selon ce modèle.


          • Onecinikiou 1er septembre 2014 13:31

            « La célébration de principes universels doit être couplée avec la reconnaissance de la réalité des histoires, des cultures, des visions, et de la sécurité des autres régions. Même si les leçons de décennies difficiles sont observées, l’affirmation de la nature exceptionnelle de l’Amérique doit être soutenue. »


            On comprend dans cette articulation en forme d’aveu de Kissinger que les principes prétendumment universels prônés par l’Amérique servent en réalité de légitimation à son « exceptionnalité » et reconnaisance simultanée, imposée à toutes les autres parties. 

            Nous sommes ici dans une pure stratégie de puissance. La démonstration d’une volonté hégémonique et suprémaciste sur le monde, et la multitude des peuples et diversité des cultures qui le compose.

            Rappelons pour faire balancier à cette fantasmagorique le discours en opposition radicale de Poutine, héraux de la grande tradition du réalisme géopolitique contre les sornettes idéalistes et meurtières de nos millénaristes yankees, dont les patronymes masquent mal leur appartenance tribalo-communautaire par ailleurs :

            « (...) je serais plutôt en désaccord avec ce qu’il a dit sur l’exceptionnalisme américain, affirmant que la politique des États-Unis est « ce qui rend l’Amérique différente. C’est ce qui nous rend exceptionnels ». Il est extrêmement dangereux d’encourager les gens à se considérer comme exceptionnels, quelle que soit la motivation. Il y a de grands pays et les petits pays, des riches et des pauvres, ceux qui ont de longues traditions démocratiques et ceux cherchent encore leur chemin vers la démocratie. Leurs politiques diffèrent, aussi. Nous sommes tous différents, mais quand nous demandons la bénédiction du Seigneur, nous ne devons pas oublier que Dieu nous a créés égaux. » - Vladimir V. Poutine, président de la Fédération de Russie. 



            • non667 1er septembre 2014 14:12

              kissinger = le peuple élu = la race supérieure = 4500 ans d’avance sur hitler avec la ruse d’avancer masqué en plus ! smiley  ! smiley  ! smiley  ! smiley


              • Pyrathome Pyrathome 1er septembre 2014 15:30

                Il n’y a pas de peuple élu, les nazis le croyaient aussi, c’est la marque de la folie !!!
                C’est du pur obscurantisme, le croire c’est donner du crédit à ceux qui le prétendent.....
                Le seul peuple élu est l’humanité toute entière au même titre que la faune et la flore qui vivent sur cette planète !


              • El_Arabi_El_Acil El_Arabi_El_Acil 1er septembre 2014 17:29

                C’est vrai ce que vous dites.

                Chaque peuple se croit élu.
                Chaque élu se croit le plus grand , le plus fort , le plus beau et le plus intelligent.
                Mais ce qu’on oublie de dire , c’est que chacun est comme un produit périssable avec une date de péremption.
                Les Juifs disent être : peuple élu . 
                Ils le disent et disent même que cette terre de Palestine est destinée au peuple élu.

                C’est ce que leur disaient ceux qui se sont portés à leur secours. 
                Ceux qui les ont parqués en Palestine , et pour les calmer ( comme on calme un bébé avec un bonbon) il leur est fait croire que cette terre de Palestine est la terre qui leur est promise pour toutes les prétendues souffrances qu’ils veulent faire avaler aux...non-naïfs....aux non-idiots que nous sommes !!!

                Que des chimères que les blancs-becs ont volontairement avaler et pourtant , ils avaient été avisés. Les prétendues victimes sont devenues des monstres qui ne vivent qu’avec le sang de la nouvelle victime.
                Gare au réveil !!!


              • Onecinikiou 1er septembre 2014 18:55

                Pyrathome, ce n’est pas à non667 qu’il faut le dire, il semble bien convaincu de la chose... !


                Non, c’est à nos kabbalistes qui le professent qu’il faut le dire. 

                Et s’ils n’entendent rien, comme de prévisible, il faut les dénoncer, et les démasquer pour ce qu’ils sont.

              • Le printemps arrive Le printemps arrive 1er septembre 2014 14:24

                Tout est clair, le représentant d’une catégorie (qui se croit supérieure) veut imposer son idéal (qu’il croit pacifique) à ceux qu’il considère comme inférieurs.

                Il oubli le temps qui passe et qui s’accélère, le flux des informations qu’il maîtrise de plus en plus mal, l’expérience des plaisirs matérialistes qui ne donne pas les résultats escomptés, l’expérience, forcément décevante, du travail qui libère...
                Il y aura un nouvel ordre mondial, mais pas celui qu’il espère.
                Chacun prendra le pouvoir sur lui-même pour que personne d’autre ne puisse prendre le pouvoir sur lui.
                Un monde de coopération va émerger pour remplacer le monde de compétition.
                Et le pire pour ce représentant, c’est que c’est lui qui va permettre l’éclosion imminente et massive de ce changement, qui sera un changement de paradigme.


                • Pyrathome Pyrathome 1er septembre 2014 15:22

                  Bien d’accord avec ça, ceux qui « œuvrent » à mettre en place une dictature financière mondiale sont en fait leurs propres fossoyeurs sans qu’ils en aient vraiment conscience, tout ce qu’ils croient contrôler va leur échapper et certains se retrouveront devant un peloton d’exécution après un Nuremberg 2.0 qui aura cette fois-ci sur le banc des coupables, tous les responsables et leurs complices, à contrario de Nuremberg 1 où il manquait beaucoup de monde.....


                • El_Arabi_El_Acil El_Arabi_El_Acil 1er septembre 2014 17:10

                  Ce qui a été révoltant chez ce bonhomme d’une certaine époque -mais toujours dangereux- c’est le fait qu’il fait valoir son âge , donc son savoir faire alors que son savoir faire se base sur la fripouillerie.

                  S’ajoute à cela qu’il soit un Israélite donc soutenu à bras le corps par les sionistes du nouveau continent .
                  je me rappelle qu’ à l’époque , il avait à chaque fois , plongé les Palestiniens dans l’abîme de l’horreur , avec art et manière. Son sourire perfide et ses yeux de lynx s’ajoutaient à sa personnalité pour faire de lui , l’homme le plus déresté au monde.
                  On le voyait à l’écran et dans la presse à tel point qu’on aimait bien repousser le journal ou changer de changer de chaîne comme nous le faisons actuellement quand la photo de Johnny H. apparaît au devant de nous !

                  • El_Arabi_El_Acil El_Arabi_El_Acil 1er septembre 2014 17:13

                    Ce qui a été révoltant chez ce bonhomme d’une certaine époque -mais toujours dangereux- c’est le fait qu’il fait valoir son âge , donc son savoir faire alors que son savoir faire se base sur la fripouillerie de bas étage

                    S’ajoute à cela, le fait qu’il soit un Israélite donc soutenu à bras le corps par les sionistes du nouveau continent comme on aime bien utiliser les marionnettes .
                    Je me rappelle qu’ à l’époque , il avait à chaque fois , plongé les Palestiniens dans l’abîme de l’horreur , avec art et manière. 
                    Son sourire perfide et ses yeux de lynx s’ajoutaient à sa personnalité pour faire de lui , l’homme le plus détesté au monde.

                    On le voyait à l’écran et dans la presse à tel point qu’on aimait bien repousser le journal ou changer de changer de chaîne comme nous le faisons actuellement quand la photo de Johnny H. apparaît au devant de nous !

                    • soi même 1er septembre 2014 18:20

                      Tous ce qui nous arrives et due à la séduction du matérialisme, plus personne ne croit qu’il y a des forces d’oppositions qui œuvrent dans le monde , on ne voit que les rapport humains et l’on oublier que ce n’est que l’ombre projeter du combat spirituel en nous !

                      Si les hommes en avaient consciences, Kissinger et tous la clique seraient dans l’impuissance d’agir !

                       Mais comme les hommes ne croient plus dans la providence divine, et bien nous avons sa contre image qui a élue domicile dans les âmes humaines, et l’on va passer par tous les affres de la folies avant de comprendre, c’est quoi le sens de la vie !

                      Regarder ce documentaire pour comprendre où va la folie humaine.

                      http://www.dailymotion.com/video/x1zsm32_vers-une-frappe-nucleaire-prevemptive-contre-la-russie-ou-et-la-chine_news#from=embediframe


                      • lloreen 2 septembre 2014 08:13

                        Voici les liens qui établissent l’ idéologie sous-jacente des dangereux prédateurs qui gouvernent notre planète.
                        Tant que nous (nous) laisserons faire, cela continuera.Le but est énoncé dans l’ ouvrage d’ Orwell, 1984.

                        http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-le-comite-des-300-les-olympiens-69832575.html


                        • lloreen 2 septembre 2014 08:30

                          In memoriam.

                          Hier, il y a 75 ans Hitler ,prétextant l’ agression de la Pologne, précipitait le monde dans la « seconde » guerre mondiale.
                          C’ était, avant l’ heure, la « mission humanitaire » de Hitler en Pologne, pays qui ne respectait pas les « droits de l’ homme », tels que l’ entendent toujours les pseudo élites des divers gouvernements.

                          Hélas, 75 ans plus tard, rien n’a vraiment changé.Les têtes ont changé mais leurs délires persistent.

                          Kissinger, l’ éminence grise, pour ne pas dire noire, du CFR, est un criminel de la pire espèce qui continue à professer cette théorie funeste d’ une nation soi-disant « élue ».

                          On voit malheureusement sur quoi débouchent les élections...

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