Les soutiens à la Résistance iranienne à l’occasion du rassemblement « pour un Iran libre » au Bourget
À la veille du rassemblement « pour un Iran libre » qui se déroulera le 9 juillet prochain à Paris, de nombreux politiques européens et internationaux ont souhaité exprimé leur soutien à la Résistance iranienne.
C’est le cas de Gérard Deprez, président du groupe « Amis d’un Iran libre » et membre chevronnée du Parlement Européen, qui a écrit qu’ « aucun accroissement commercial ni aucun accroissement économique ne peut compenser la souffrance et les pertes en vie causées par le régime brutal d’Iran. L’Occident doit exiger des changements avant d’approfondir ses relations avec Téhéran ».
Il a ajouté dans un article rédigé pour le journal Euractiv que « La semaine dernière, j’ai, avec 270 d’entre mes collègues du Parlement Européen issus de tous groupes politiques, comprenant 6 vice-présidents du Parlement, signé une déclaration conjointe décriant la situation des droits de l’Homme en Iran. Nous avons exhorté les gouvernements Européens à exiger des améliorations à cette situation avant d’étendre davantage leurs relations avec Téhéran, et exprimé notre préoccupation en ce qui concerne le nombre croissant des exécutions en Iran depuis que le soi-disant « modéré » président Hassan Rohani a pris fonction il y a 3 ans. »
Il a ensuite évoqué les tortures et brutales exécutions publiques, et les attentes vaines de réformes d’un régime qui demeure fondamentaliste et en grande partie extrémiste.
Son confrère José Bové, membre influent du Parlement Européen, a également déclaré son soutien au rassemblement « Iran Libre » et a rappelé que 270 membres du Parlement Européens de toutes appartenances politiques ont signé une déclaration commune de condamnation des mollahs en faveur de la démocratie en Iran. Cette déclaration demande également à l’UE de conditionner ses négociations avec l’Iran sur la base du respect des droits de l’homme-.
« Comment pouvons-nous aujourd’hui accepter un régime qui emprisonne, poursuit et exécute des milliers de femmes, des journalistes, des syndicalistes, et des jeunes ? Les populations sont obligées de garder le silence. Comment pouvons-nous accepter que notre pays démocratique et laïc fasse des affaires et du commerce avec de tels régimes ? Aujourd’hui, plus que jamais, le monde a besoin d’une démocratie qui est transparente et laïque, et c’est pourquoi je soutiens la Résistance iranienne, » a-t-il déclaré.
L’irlandaise Marian Harkin, également membre du Parlement Européen, a souhaité quant-à-elle confirmer son soutien au plan en 10 points de Maryam Radjavi, la présidente du CNRI. Elle a exprimé ses inquiétudes concernant la terrible situation des droits de l’homme en Iran et tout comme son confrère José Bové, a signé la déclaration des 270 députés en faveur d’un Iran démocratique.
Jan Zahradil, membre tchèque du Parlement Européen, a également pris le parti de la détresse des nombreux iraniens confrontés à un régime cruel. Il a déclaré qu’« il ne devrait y avoir aucune concession pour ce régime, jusqu’à ce qu’il montre des signes d’amélioration, de respect des droits de l’Homme, de tolérance au sein de la société et de tolérance envers le parti de l’opposition. »
Le plaidoyer de M. Zahradil au Parlement Européen contre les violations des droits de l’homme et la répression du régime a convaincu d’autres membres du Parlement d’assister à la manifestation du 9 juillet.
Le soutien des politiques à la Résistance iranienne est loin de se limiter aux frontières européennes. James Bezan, député canadien, a également envoyé un message de solidarité au rassemblement du 9 juillet, dans l’optique d’un Iran respectueux des droits de l’homme et des libertés civiles. « Je veux envoyer mes salutations à tout le monde qui envisage d'assister au rassemblement des moudjahidines du peuple d'Iran (OMPI) et du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) », a-t-il déclaré. Il a également évoqué l’ingérence constante de l’Iran en Irak, en Syrie et au Yemen ainsi que le camp Liberty et la luttre contre Daech.
Tous les politiques cités ainsi que d’autres ont confirmé leur participation au rassemblement international de l’opposition iranienne qui aura lieu le 9 juillet à Paris et invitent tout le monde à en faire de même, dans l’optique d’un Iran libre et démocratique.
62 réactions à cet article
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Oui à un Iran libre !
Oui à un Afghanistan libre.
Oui à un Irak libre.
Oui à une Libye libre
Oui à une Syrie libre
Oui à une Ukraine libre
Oui à une Union Européenne libre
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@Ar zen en effet, oui à un monde plus juste ! merci pour votre reflexion.
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@Ar zen
C’est ballot, vous avez oublié la Palestine.
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@Ar zen
C’est marrant Agoravox : je clique sur l’étoile de gauche (pas intéressant) pour l’article de Ar zen.
Résultat : une étoile de plus à droite (très intéressant).
Quoi ? Les votes seraient manipulés ? Noooooon ?..... Comme dans l’UE alors... -
@sirocco
C’est juste sirocco. Je me suis précipité en oubliant la Palestine.
- Alors Oui à la Palestine libre.
Je suis vraiment désolé de cet oubli.
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@sirocco
Du coup sirocco, je n’y suis pour rien. C’était mon premier article. Je suis le poussin qui sort de l’œuf. Je ne sais pas (encore) comment intriguer sur AV.
Pour votre information (sans rapport avec le présent article, mais puisque vous n’étiez pas intéressé, une dernière minute : le 4 juillet 2016 les actionnaires de LSE, la bourse de Londres, ont voté à 99,89% la fusion avec la bourse de Francfort). Le Brexit a donc des aspects positifs : il permet d’éviter et de contourner l’article 102 du TFUE et le fameux abus de position dominante.
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@Mazdak
J’ai de la chance, vous savez lire entre les lignes.
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@Ar zen— un iran libre commme un irak libre avec des centaines de morts tous les mois ?????? et cela depuis presque une dizaine d’annees que la guere innitiee par les etants unis est « terminee »
Quand comprendront nous que ce pays comme d’ailleurs l’irak , l’afganisthant’, la libyie , la syrie, ect, ne sont en core pas prets pour la democratie ; cela viendras peut etre un jour mais pas pour le momentQuand a l’innenarable « »bove« , ayant depuis longtemps decide, comme l’on dit pat chez moi »« d’aller a la gamelle »"(y’a bon pognon plus facilement gagne que de travailler la terre) on ne l’entends pas souvent denoncer ce qui ce passe dans les emirats du golfe ,ni les executions aux etats unis’, ou les assassinats des noirs et cela en toute impunite -
Vous dites « pour un Iran libre », mais l’a-t-il été un jour dans cette période contemporaine ?
parce que du temps du Shah, il semble que « l’occident » s’accommodait fort bien de sa dictature et de la répression qu’exerçait la Savak ...et même du temps du Shah qui donc avait renversé Mossadegh, alors Premier ministre ...
https://www.herodote.net/19_aout_1953-evenement-19530819.phpDommage vous ne dévoilez rien de votre programme pour un Iran libre ? votre article n’est que jérémiades
et dommage si votre cause politique de résistance est purement iranienne, car malheureusement pour vous, la propagande contre l’Iran est largement parasitée par « l’entité sioniste » qui nous a inventé que l’Iran voulait « rayer de la carte » Israël, ce qui s’est révélé être un énorme mensonge de l’aveu même de Dan Meridor, vice-Premier ministre israélien chargé du Renseignement et de l’Energie atomique sur l’antenne d’Al Jazeera.
un mensonge qui a duré plus de 7 ans, de 2005 à 2012 !
http://www.europalestine.com/spip.php?article7130-
@njama
Le programme pour un Iran Libre ne pourrait être plus clair que ca :
- Fin des executions
- Fin de tortures et lapidations
- Egalité entre femmes est hommes
- Fin de programme nucleaire
- Libertés des opinions, associations... http://www.ncr-iran.org/fr/wrapper-full-width/8905-programme-en-10-points-de-maryam-radjavi-pour-liran-de-demain -
@Milad
- Fin de programme nucleaire
et pourquoi cela ? l’Iran n’aurait-elle pas droit d’utiliser l’énergie nucléaire ? cette nation vaudrait-elle moins qu’une autre ?
Vous pouvez retourner la question dans tous les sens, rien en droit international ne pourrait justifier une telle interdiction.
Je vous rappelle que c’est la France qui a vendu à l’Iran cette technologie.
Arrêtez d’écouter les fantasmes de Tel Aviv ... -
@njama
Au nom de qui et de quoi L« iran.nation souveraine n’aurait pas le droit de se payer du nucléaire, mème militaire.
Le Pakistan, bled instable entre tous en a, Israel un des pays les plus agressifs qui soit en a, même en le niant (a peine) , et on ne parle pas des multiples bases militaires US entourant l »Iran.
Ce n’est pas l’Iran qui sème la merde dans le coin, l’Iran n’a pas déclenché de guerre de puis des siècles.
Iren-Nao -
@Milad
« Egalité entre femmes est hommes »
dit Maryam Radjavi avec un foulard sur les cheveux. Hyper crédible. -
@Milad--- et les emirats du golfe , rien a redire ????seulement a redire contre celui qui n’accepte pas ce qui ce passe en israel ?????????
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Pour y voir un peu clair sur le cas de l’Iran contemporain écartons d’emblée l’infecte propagande sioniste belliciste contre l’Iran, véritable syndrome délirant, schizophrénie paranoïde ... venue se greffer sur des questions politiques purement iraniennes.
En Iran, résumons, c’est comme depuis la nuit des temps, l’histoire du vizir qui voulait être calife à la place du calife, sauf que dans le cas de figure iranien, il y avait deux vizirs prétendants au pouvoir pour s’asseoir à la place du Shah, les moudjahiddines du peuple iranien et les Fedayin de l’Islam qui deviendront Ikhuan al-Muslimin (les Frères musulmans).
"Après la révolution, l’OMPI (Organisation des moudjahiddines du peuple iranien) - cité dans l’article - refuse de laisser le pouvoir à l’ayatollah Khomeini, qui néanmoins s’empare du pouvoir avec l’aide du clergé chiite."
Le Shah avait des opposants politiques qui cherchaient à le renverser, d’un côté l’OMPI présentée comme « islamo-marxistes », et de l’autre des « islamistes » (pur sucre) qui s’inspiraient de l’ayatollah Khomeini, qui lui même était héritier spirituel de Navvab Safavi (1924 - 1955) fondateur du mouvement Fadayan-e Eslam (les Fedayin de l’Islam), responsable de plusieurs assassinats politiques, condamné à mort et exécuté le 25 décembre 1955.
En 1954 il se rend au Caire à l’invitation de Sayyid Qutb, théoricien du Jihad armé et prédicateur des Frères musulmans égyptiens. Safavi a lu tous ses livres et ils partagent de nombreuses idées dont celle de réislamiser leurs sociétés. La tendance dans les sociétés moyen-orientales était alors au nationalisme et au sécularisme. À la fin de ce séjour Safavi et Qutb fusionnent leurs organisations et désormais en Iran les Fedayin de l’Islam seront appelés Ikhuan al-Muslimin (les Frères musulmans).
"Son organisation des Fadayan-e Eslam, devenue Ikhuan al-Muslimin, lui survivra et prendra pour guide l’ayatollah Khomeini. Cela donnera une légitimité religieuse traditionnelle au mouvement, tandis que les disciples de Safavi apporteront à Khomeini tout le bagage doctrinal de la Confrérie égyptienne, au premier rang duquel les écrits et thèses de Sayyid Qutb [3]."
(source Wikipedia Navvab Safavi)
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Dès que l’on voit le mot libre associé à un pays qui n’est pas encore vassalisé par l’empire, en général, l’empire n’est pas loin derrière. Exemple : Tibet libre, Iran libre, RadioFree Europe, etc, etc.
Dans le programme du CNRI, entre autres on lit : et la non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays. Commencez par demander cela à l’empire qui intervient sur la surface du globe, à des milliers de kilomètres de chez lui apparemment ne vous dérange pas.
Bref, vous n’êtes qu’un propagandiste de la vassalisation de l’Iran vis-à-vis de l’empire sous couvert de démocratie et de droits de l’homme.
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Evitons les anathèmes et les préjugés !
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@Mazdak Teherani
J’étais en conférence téléphonique avec BHL et Kouchner : ils sont d’accord avec vous !Au nom du droit d’ingérence, les leaders de nos démocraties arriveront sous peu à votre aide.Quant à votre Peuple, il aura les bombes et le riz...what else ? -
Ce que l’article ne dit pas c’est que ce n’était pas particulièrement le régime iranien actuel (islamiste) que visait l’OMPI (Organisation des moudjahiddines du peuple iranien) - cité dans l’article -, sa vocation historique était de renverser le Shah, avec des procédés à la limite du terrorisme :
----------------L’opposition au shah et à la Révolution islamique
L’OMPI (Organisation des moudjahiddines du peuple iranien) a été fondée en 1965 par un groupe de jeunes intellectuels iraniens se réclamant d’un islam libéral, teinté d’idéologie de gauche. L’organisation fut qualifiée d’organisation « islamo-marxiste » par la Savak (police politique du shah). Selon l’intellectuel Afchine Matine-Asgari (2004), il s’agissait toutefois là d’« une étiquette polémique ingénieuse » pour stigmatiser les opposants au shah 3. Le CNRI lui-même affirme que Massoud Radjavi rejetait le matérialisme historique dès 1979, tandis qu’il s’était opposé dès les années 1970 à l’ayatollah Khomeini 4. En août 1981, l’ex-sous-secrétaire d’État américain George Ball (en) écrivait :
« Cette habitude de la presse de condamner les Moudjahidine en tant que « gauchistes » a aggravé sérieusement le problème. Massoud Radjavi est le chef de file du mouvement. Son intention est de remplacer l’actuel régime islamique rétrograde par un islam chiite moderne tirant ses principes égalitaires des sources coraniques, et non de Marx5. »
L’organisation est fondée pour mener une guérilla urbaine visant à ébranler le gouvernement du chah. En août-septembre 1971, 90 % de ses membres sont exécutés, puis trois de ses fondateurs en mai 1972, à la veille de la visite du président Nixon à Téhéran 4. Les Moudjahiddines participent activement au renversement de la monarchie en 1979. Après la révolution, l’OMPI refuse de laisser le pouvoir à l’ayatollah Khomeini, qui s’empare du pouvoir avec l’aide du clergé chiite. Bien que leur liberté d’action soit de plus en plus restreinte par le gouvernement de la République islamique d’Iran, l’OMPI continue à mener une intense activité politique, dénonçant la réduction de l’espace démocratique et tentant de s’opposer à la mainmise exclusive du clergé chiite sur l’État.
...
La lutte armée et la répression en Iran
À la fin de la guerre entre l’Iran et l’Iraq en 1988, les tribunaux iraniens d’exception ordonnent l’exécution de milliers de prisonniers politiques, dont de nombreux membres des Moudjahidines du Peuple. À l’été 1988, Khomeini émet une fatwa visant à l’élimination des Moudjahidines. Selon Mohammad Mohaddessin, 30 000 moudjahidines seront exécutés dans les mois qui suivent8. Selon l’OMPI, depuis 1981, plus de 120 000 opposants ou sympathisants de l’OMPI ont été exécutés en Iran 8
...
L’OMPI est inscrite sur la liste noire des organisations terroristes du département d’État des États-Unis de 1997 jusqu’à septembre 2012 et sur celle de l’Union européenne de 2002 à janvier 2009.
...
Basée en France, l’OMPI est dirigée depuis 1989 par Maryam Radjavi qui se ferait appeler « Soleil de la révolution » par les membres de l’organisation32, et qui lui vouent un véritable « culte de la personnalité » selon un article de 2003 de Gilles Anquetil, journaliste au Nouvel Observateur33.https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_des_moudjahiddines_du_peuple_iran ien
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libre de quoi ?? qui sera le prochain dictateur et le suivant et encore le suivant etc ......
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La transition démographique, c’est quand la femme à l’éducation et le pouvoir de décider pour ses grossesses. C’est un changement de société.
Dans une étude purement économique sur l’Iran et sa sortie de l’embargo, on y écrivait qu’il avait assez d’étudiants pour intégrer ce boum technologique et que la majorité des diplômés était des femmes.La transition démographique a eu lieu après le départ du chad.d’Iran en 79 et une majorité féminine dans les diplômés, c’est des chiffres vérifiables, ce n’est pas de la déformation à la Soros.
Bien sûr que ce n’est pas l’idéal mais en se basant sur ces chiffres ce n’est pas aussi noir que décrit.
La Corée du nord c’est certainement pire, comme ils n’ont pas de pétrole, les ONG de Soros et du département d’état US sont assez discrets.
On commence à avoir des doutes sur les révolutions vertes.
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@Michel Maugis
Il m’est arrivé de discuter avec des indiens, des coréens du sud à l’extérieur de leur pays, jamais avec un coréen du nord. Je ne dois pas être le seul dans le cas.La raison, peut être parce que c’est le paradis sur terre je vous l’accorde.
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@sls0
Quel raport ?
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Merci pour votre billet qui exprime le souhait de nous les Iraniens pour une république libre et démocratique. Je viendrai effectivement, comme tous les ans d’ailleurs, avec ma femme et mes enfants à ce grand rendez-vous annuel de la diaspora iranienne. Aucun doute là-dessus, grâce au peuple iranien et de sa jeunesse, notre beau pays sera débarrassé de cette dictature théocratique !
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@Michel Maugis Occupez vous de votre pays et permettez-nous d’en faire autant. Merci d’avance.
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@Cyrus le Grand
s’il vous plaît, dites à Israël de s’occuper de ses fesses et des Palestiniens avant de donner la leçon à d’autres, dites aux USA et à l’Union Européenne de lever l’embargo sur l’Iran, ... et après cela, et seulement après, il y aurait de bonnes bases pour parler de la transition démocratique que vous souhaitez ...
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@Cyrus le Grand
Vous faites erreur me semble-t-il, car le problème n’est pas particulièrement le régime des mollahs / ayatollahs, enfin je veux dire pas plus (et moins très probablement) que la dictature du Shah, qui elle, était la raison d’être historique du combat politique des moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI) que Maryam Radjavi préside aujourd’hui.
Dans la mesure où l’on considère le problème de l’Iran, l’Islam n’en est pas et ne pourrait en être la cause, directe du moins, puisque même l’OMPI est à la base « islamo-marxiste », ou se revendiquait d’un « islam libéral », et que du temps du Shah c’était pire !
Pour la crédibilité politique de l’OMPI, pour ne pas être anachronique, il est important de rappeler clairement ses bases politiques et son origine fondée en 1965, donc du temps du Shah ...la révolution islamique n’apparaissant que plus tard en 1979
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@Cyrus le Grand : « Occupez vous de votre pays »
il écrit en France dans un journal Français à propos d’une manifestation en France. Si l’avenir de l’Iran est avec des proto-dictateurs de votre genre, je les pleins. Vous devez être un ancien soutient du Shah, non ? -
@Zolko
Vous massacrez la langue française avec vos fautes d’orthographe. En plus, vous avez vraiment besoins des lunettes ! Je parle d’une république et vous parlez du Chah !!! Allez vous reposer un peu et laissez l’Iran aux Iraniens.
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@njama
Moi, comme la majorité des Iraniens, je soutiens le CNRI et l’OMPI pour arriver à une république libre sans dictature de tout genre (monarchique, religieuse, etc.) Nous serons des dizaines de milliers d’Iraniens demain au Bourget pour le crier haut et fort ! Excusez-moi de vous choquer, mais l’avenir de notre pays nous appartient et nous soutenons qui nous voulons. Tant pis si notre choix ne vous plaît pas. Désolé mais c’est comme ça.
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@Cyrus le Grand
Je vous souhaite bien sûr d’arriver « démocratiquement » à vos objectifs.
Je rappelais juste aux travers de quelques points historiques contemporains, que l’avenir de votre pays, des pays comme les États-Unis, Israël et leurs alliés s’essuient les pieds dessus ... comme ils s’essuient les pieds sur les volontés du peuple syrien ...
Ne vous faites pas les idiots utiles de gouvernements dont les « intérêts » ne sont autres que d’entretenir le chaos pour le pétrole, le gaz, ... et n’ont rien à voir avec le bien-être du peuple iranien dont ils n’ont rien à faire.
Regardez autour de vous (de l’Iran), Afghanistan, Irak, et Syrie, Yémen ... je ne souhaite pas aux iraniens de tomber dans cette situation -
@Cyrus le Grand :
« Allez (...) laissez (...) »
n’essayez pas de donner des ordres, pauvre débile. Si vous manifestez en France mais que vous refusez aux Français de s’exprimer sur le sujet, vous êtes déjà un dictateur. Allez vous faire pendre ailleurs.
« vous avez vraiment besoins des lunettes »
lesquelles ? Vous voulez peut-être dire que j’ai besoin de lunettes ? Ah, la langue Française ... -
@njama
Vous vivez dans vos illusions en pensant que vous comprenez mieux et êtes plus intelligent que nous les Iraniens. Alors, restez-y ! Vous n’avez même pas à nous souhaiter bonne chance !
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@Cyrus le Grand
Qu’attendez-vous au juste ? que l’occident se mobilise pour aller mettre le chaos en Iran comme en 2003 en Irak ? juste pour renverser le régime iranien ...
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@Zolko
Vous insultez maintenant ? Serriez-vous à ce point énervé ? Ressaisissez vous !
Le peuple iranien a mis un terme à la dictature du Chah et va faire bientôt pareil avec la dictature religieuse, pour pouvoir enfin instaurer une république laïc, démocratique et pacifiste. C’est notre souhait et C’est à nous de choisir et notre façon de lutter pour y parvenir et les personnes qui dirigent notre résistance. C’est ainsi !
La tenue d’un rassemblement des membres de la diaspora iranienne en Europe sur le sol d’un des pays de ce continent relève d’un droit démocratique et ne constitue en aucun cas une raison valable pour que les non-iraniens aient leur mot à dire sur nos choix politiques concernant l’avenir de notre pays. Si vous comprenez bien cela, vous garderez votre énergie pour le bien-être de vos concitoyens. Bonne chance !
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@Michel Maugis
Vous vivez dans vos illusions en pensant que vous comprenez mieux et êtes plus intelligent que nous les Iraniens. Alors, restez-y ! Nous parcourons le chemin que nous avons choisi sans se soucier de ce que vous en pensez. Si vous voulez nous en empêcher, vous n’avez qu’à joindre le régime anti-iranien des mollahs et lui donner un coup de main dans la répression de notre peuple. Je ne vois pas d’autres solutions pour vous. Mais sincèrement, je ne crois pas que votre aide rendrait le régime des mollahs plus fort de ce qu’il est actuellement.
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@njama
Des gens comme vous et vos gouvernements, n’avez même pas à nous souhaiter bonne chance ! Nous voulons simplement que les gouvernements occidentaux arrêtent leur politique de complaisance et de collaboration, motivé essentiellement par des intérêts mercantiles, à l’égard des mollahs et adoptent une politique de neutralité entre nous les Iraniens et le régime en place.
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@Michel Maugis
« Au contraire, on veut vous aider »
Non merci, sans façon... sauf si vous insistez.... MDR !
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@Cyrus le Grand
Nous voulons simplement que les gouvernements occidentaux arrêtent leur politique de complaisance et de collaboration ...
Relations entre les États-Unis et l’Iran
Relations entre l’Iran et l’Union européenne
Vous trouvez que l’embargo c’est de la complaisance ? vous trouvez que les États-Unis et la Grande Bretagne ont été complaisants avec Mossadegh ?
Pensez-vous que vos ennemis d’hier, alliés du Shah, seraient vos amis aujourd’hui ?En politique étrangère une seule chose gouverne la politique américaine, ce sont leurs $$$$ intérêts $$$$ ... et croyez bien que nous avons énormément plus d’empathie pour le peuple iranien dans toutes ses diversités culturelles et tendances politiques et religieuses que les américains et leurs supplétifs sionistes uniquement motivés par leurs mercantilismes nationaux au service de multinationales
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@njama
La politique iranienne des gouvernements occidentaux depuis le coup d’Etat de 1953 contre feu Mossadegh jusqu’à aujourd’hui n’a pas changé et consiste à composer avec la dictature en place. Si vous ne le voyez pas, ce n’est pas de notre faute mais dû à votre ignorance sur notre pays. De toute façon, ne vous fatiguez pas trop... occupez-vous d’autres sujets que vous maîtrisez un peu mieux.
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@Michel Maugis
Du calme monsieur le super-révolutionnaire. Vous êtes en train de perdre la pédale ! Avant de partir sur le front de combat contre tous les méchants de la planète, vous feriez mieux de laisser un instant votre ordinateur et aller déjà boire un verre d’eau. Ensuite faites ce qui vous semble opportun. Ce n’est surement pas nous qui allons vouloir vous en empêcher. Nous, on a d’autres chats à fouetter avec notre cher pays, le plus beau et le meilleur dans le monde : IRAN !
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@Michel Maugis
Du calme mon « grand ».... Occupez-vous de votre pays et nous, on s’occupera, COMME ON LE SOUHAITE, du nôtre. Si vraiment vous tenez à nous en empêcher, vous n’avez qu’à rejoindre les pasdaran du régime iranien. Mais est-ce que vous en aurez le « courage » ? Rien n’est moins sûr.... Quant à nous IRANIENS, nous serons des dizaines de milliers demain au Bourget, au nord de la capitale française, pour crier ce que nous voulons pour notre patrie. Si vous ne pouvez pas venir le constater personnellement, vous avez toujours la possibilité de suivre l’événement en direct à partir de 13h sur le site http://iranntv.com/ Mais à déconseiller si vous avez un cœur fragile !
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@Michel Maugis
Du calme mon « grand ».... Occupez-vous de votre pays et nous, on s’occupera, COMME ON LE SOUHAITE, du nôtre. Si vraiment vous tenez à nous en empêcher, vous n’avez qu’à rejoindre les pasdaran du régime iranien. Mais est-ce que vous en aurez le « courage » ? Rien n’est moins sûr.... Quant à nous IRANIENS, nous serons des dizaines de milliers demain au Bourget, au nord de la capitale française, pour crier ce que nous voulons pour notre patrie. Si vous ne pouvez pas venir le constater personnellement, vous avez toujours la possibilité de suivre l’événement en direct à partir de 13h sur le site http://www.ncr-iran.org/fr/ Mais à déconseiller si vous avez un cœur fragile !
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Vive L’Iran ... oh j’ai encore déconné *
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MDR, ils préparent l’après Syrie avec optimisme les bonhommes, ça sonne bien l’Iran libre, libre de se faire enculer par les mercenaires DAESH d’Israël il va de soi, exactement comme fut libérée la Syrie de 6 millions de syriens, mais c’est une révolte populaire qui a porté les mollah au pouvoir, on peut pas en dire autant des technocrates qui dirigent l’Europe sans aucune légitimité.
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@MDR 2
Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, rencontre une délégation de la résistance syrienne* de haut niveau- 12 juin 2016
* l’opposition « off-shore », alias coalition nationale syrienne, un ovni politique multifaces, en partie « islamiste », qui n’a aucune légitimité ni nationale, ni internationalehttps://www.youtube.com/watch?v=ei6VfeCklA0
ça donne le « la » ... l’OMPI / CNRI suivent le même chemin avec les mêmes mécènes
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la répression en Iran, pire qu’avant ? vous en êtes sûr ?
-------In : LE LIVRE NOIR DU CAPITALISME, éd. Le Temps des Cerises 1998.
Massacres et répression en Iran
par François Derivery
A mes amis — où sont-ils aujourd’hui ? — du parti Toudeh* d’Iran. (parti communiste)* "En 1951, Mohammad Mossadegh a été nommé premier ministre par le Shah et établit une alliance avec le mouvement nationaliste, le Front National de l’Iran et le Parti Toudeh. Mossadegh entreprit la nationalisation du pétrole et introduisit de nombreuses réformes socialistes, utilisant les profits massifs provenant du pétrole. Ces profits étaient à l’origine drainés par le gouvernement britannique, au travers de la Compagnie Anglo-Iranienne de Pétrole (maintenant British Petroleum, BP). En 1953, des agents des services secrets britanniques et de la CIA aidèrent le général à la retraite Zahedi et le colonel Nassir à fomenter un coup d’État contre Mossadegh qui fut forcé à quitter son poste de premier ministre."
La SAVAK (2)
[..................]
La SAVAK use fréquemment d’une innovation en matière de torture, variante de la chaise électrique chère à l’oncle Sam : la “ table chaude ” ou encore le “ grill ” ou la “ planche à rôtir ”. Jacobson décrit cet instrument comme “ un treillis en fer ressemblant à un sommier, dans lequel circule un courant électrique comme dans une rôtissoire. Les suppliciés sont ligotés sur ce châssis jusqu’à ce qu’ils se mettent à griller. ” Quant aux femmes, elles sont de préférence battues sauvagement après avoir été violées.
Aux Etats-Unis des pétitions sont acheminées, notamment à partir de l’Université de Berkeley, en 1975, pour obtenir des renseignements sur le sort de disparus tel le Docteur Ali Shariati, théologien, Mme Hadjebi Tabrizi, le Docteur Gholamhossein Sa’edi, écrivain, S. Soltanpour, écrivain... Les pétitionnaires (plus de 2.000) sont reçus sur le perron de l’ambassade par un employé qui refuse de dire son nom. Ils sont conviés à envoyer une lettre par la poste à Téhéran. Des auteurs et artistes américains comme Noam Chomsky, Laurence Ferlinghetti, Kay Boyle, Joan Baez participent à ces actions.
On peut estimer, en 1975, que quelque 137.000 prisonniers sont passés par le Comité de la SAVAK — le quartier général, particulièrement honni. A cela il faut ajouter un nombre égal de personnes dirigées vers Gashr ou Evine et qui y ont été torturées sur place. Sur sept hommes arrêtés, en moyenne, un seul aurait échappé à la torture. L’Association de la Jeunesse et des Etudiants Démocrates Iraniens (ODYSI, Toudeh) estimait en 1977 à quelque 300.000 personnes le nombre des torturés, hommes et femmes, dans les prisons de la SAVAK, durant les 20 ans de son existence.
Dans les salles d’interrogatoire la panoplie des instruments de torture est accrochée aux murs, comme dans les antres sado-maso aujourd’hui à la mode, où s’exprime le fantasme bourgeois d’une violence civilisée. Mais ici la suite est autrement sinistre, le supplice peut mener à la mort. Les fouets métalliques pendent à des clous, les bâtons électriques sont alignés sur des tabourets, la pince à arracher les ongles est exposée en évidence. Sans parler du chevalet et de la planche à rôtir. Mais d’autres tortures sont pratiquées, comme l’introduction d’eau bouillante dans l’intestin par clystère, l’électrocution des organes génitaux, qui “ font hurler les victimes, hommes et femmes, comme des loups ”. Ou bien encore on introduit des fers brûlants dans la bouche des suppliciés. (Caifi Newsletter, New York, mars 1975).On n’en finirait pas de détailler la liste des victimes. Le total, comme les méthodes, sont accablants. Pas seulement pour le Chah, un maniaque mégalomane qui n’aurait été qu’un despote raté sans le soutien que lui accorda la CIA en 1953 pour retrouver son trône perdu. Aujourd’hui Mossadegh demeure le héros privilégié des Iraniens, en dépit du charisme incontestable de Khomeini, lequel, à sa façon, a continué son combat. Quoi qu’on en dise en Occident, où la propagande américaine fait la loi, l’Iran est non seulement un grand pays — il l’a toujours été —, mais c’est aussi un pays moderne et évolué où, depuis la chute du Chah, d’énormes progrès ont été réalisés dans le domaine social.
Par contre le coup d’état de la CIA de 1953, et la politique hégémonique américaine qui s’en est suivie, ainsi que le soutien inconditionnel accordé au satrape d’un autre âge Reza Pahlavi, ont condamné l’Iran a 25 années de stagnation, occasionnant en outre un passif de centaines de milliers de morts et une somme inégalée de souffrances.
On peut avancer aussi que les Etats-Unis, par cet acte d’intrusion inadmissible dans les affaires intérieures d’un autre pays, ont été les premiers responsables de l’échec d’une tentative de gouvernement laïque et démocratique en Iran. De même qu’ils sont directement responsables de l’avènement d’une république islamique auprès de laquelle, c’est le moins qu’on puisse dire, ils n’ont pas une once de crédit. Les Etats-Unis, du reste, n’ont pas pardonné à l’Iran d’avoir été évincés puisqu’à l’instar de Cuba, de la Lybie et aujourd’hui de l’Irak ils le soumettent à un sévère blocus, allant même jusqu’à menacer tout pays qui commerce avec lui de sévères mesures de rétorsion (loi Helms-Burton de 1996). La liberté capitaliste garde sa logique.http://www.ddp-art-group.com/4-ddp-travaux-individuels/4.1-f.derivery/iran.html
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« les Etats-Unis, par cet acte d’intrusion inadmissible dans les affaires intérieures d’un autre pays [le coup d’état de la CIA de 1953], ont été les premiers responsables de l’échec d’une tentative de gouvernement laïque et démocratique en Iran. »
Il est quand même assez surprenant qu’aujourd’hui l’OMPI et le CNRI trouvent des soutiens chez ceux qui furent hier en termes de démocratie leurs liquidateurs ...
Nous le savions pour le cas de l’Afghanistan, nous en sommes aperçus avec la Syrie, suivant la doxa US, il y aurait de bons moudjahidines islamistes (des afghans, des saoudiens coupeurs de têtes par ex.) et d’autres qui le seraient moins... cherchez l’erreur !
Sur cette constatation facile et très limpide, on peut affirmer que le régime des mollahs / ayatollahs (islamiste), ou chiisme et sunnisme, ce n’est pas le problème de l’Iran ...
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« Tea-party » à la Maison Blanche avec les islamistes talibans : la légende de cette photo qui a été récemment retirée de quelques sites est :Ronald Reagan rencontre les moudjahidines (talibans) en 1985 : « Ces hommes sont l’équivalent des pères fondateurs des États-Unis. »
En 1982, le président Ronald Reagan a même dédié la navette Columbia aux « combattant de la liberté », les islamistes appuyés par les États-Unis en Afghanistan, à savoir Al-Qaïda et les talibans.
« Columbia représente les plus grandes aspirations de l’Homme dans le domaine de la science et de la technologie au même titre que la lutte du peuple afghan représente les plus grandes aspirations de l’Homme à la liberté. »
https://www.youtube.com/watch?v=uqZ-ToXjCz0
Zbigniew Brzezinski : Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979.
Mais la réalité gardée secrète est tout autre : c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime prosoviétique de Kaboul. Et ce jour-là j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques.
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l’OMPI (organisation d’opposition à la dictature du Shah créée en 1965) et le CNRI fondé en 1981 à Téhéran, présidé par Massoud Radjavi ex militant de l’OMPI en 1967, trouvent aujourd’hui des soutiens chez ceux qui furent hier en termes de démocratie leurs liquidateurs ...
surprenant, non ? les ennemis d’hier, amis d’aujourd’hui ? autre fait pour l’illustrer :Révolution iranienne États-Unis
Face à la menace d’une révolution, le shah d’Iran cherche de l’aide auprès des États-Unis. L’Iran occupe alors une place stratégique de premier plan dans leur politique étrangère au Moyen-Orient. C’est un îlot de stabilité, et un tampon contre la pénétration soviétique dans la région. L’ambassadeur américain en Iran, William H. Sullivan se rappelle que le conseiller national à la sécurité, Zbigniew Brzezinski « assurait au shah que les États-Unis le soutenaient pleinement ».Le 4 novembre 1978, Brzezinski appelle le shah pour lui signifier que les États-Unis le soutiendraient jusqu’au bout. Dans le même temps, certains officiels américains haut placés considèrent que le shah doit partir, sans considération pour son remplaçant. Zbigniew Brzezinski et le Secrétaire à l’Énergie James Schlesinger (ancien Secrétaire à la Défense sous la présidence de Gerald Ford), continuent à répéter que les États-Unis vont soutenir le shah militairement. Le soutien américain est donc apparemment total, cependant il n’ira pas aussi loin que lors du renversement de Mossadegh en 1953 que les États-Unis avaient organisé et financé dans l’Opération Ajax, alors même que le Shah était déjà en fuite.
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_iranienne#.C3.89tats-Unis
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Le CNRI est-il soutenu par Israël ? Si aujourd’hui Israël achète son pétrole à DAECH en passant par la Turquie pour le revendre à l’Union Européenne, hier il l’achetait secrètement au Shah d’Iran ...
Il y avait une entente secrète sur le pétrole avec l’Iran du Shah ... évidemment avec la révolution islamique Israël a perdu ce business et doit un milliard de dollars à l’Iran
ISRAËL, LE SHAH D’IRAN ET LE PÉTROLE
le « nucléaire iranien » apparaît de plus en plus comme un prétexte de l’État hébreu et de ses alliés pour entretenir la discorde avec l’Iran, pays souverain comme la Syrie, alors que le vrai sujet est l’hégémonie sur le pétrole dans la région.
L’Iran du Shah était en vertu d’accords secrets le fournisseur quasi exclusif de pétrole à l’État hébreu, lequel transitait par l’oléoduc Eilat-Ashkelon, dont la construction fut décidée dans le cadre d’un accord israélo-iranien en 1968. Une fois à Ashkelon, le pétrole était chargé sur des navires à destination de l’Europe. La révolution iranienne mettra fin à cette entente.
Renseignement intérieur... Ou l’histoire des oléoducs pétroliers irano-israélienstraduction d’un article de Haaretz, Saturday October 13, 2007 http://www.haaretz.com/hasen/spages...
"Jusqu’au milieu des années 1950, Israël recevait son pétrole d’Union soviétique, du Koweït (alors sous tutelle Britannique) et des compagnies pétrolières internationales. Mais dans les années 1955/1956 ces liens furent coupés et Israël fut forcé de trouver de nouvelles sources pour s’approvisionner. Israël conclut des accords secrets avec l’Iran, puis voulut le définir comme principal fournisseur pétrolier. Par crainte de détériorer ses relations avec le Monde arabe, l’Iran a alors hésité. Mais après la Campagne du Sinaï, en 1956, les Iraniens ont été convaincus et ont consenti à fournir du pétrole à Israël.
Grâce à des unités de pompage et des conduites « réquisitionnées », (pour ne pas dire « volées »), à des sociétés italiennes et belges qui exploitait un gisement pétrolier à Ras Sudar, dans le Sinaï, Israël construisit un jour un oléoduc reliant Eilat à Ashkelon. La mise ne place de la conduite, de 40 centimètres de diamètre, fut financée par le Baron Edmond de Rothschild. Le projet fut dénommé « Tri-continental ». A la demande des Iraniens, qui voulaient alors dissimuler leur participation à la vente d’hydrocarbures à Israël à travers une Société commune, les parties établirent une association secrète la « Fimarco », enregistrée en juillet 1959 au sein de l’abri fiscal du Lichtenstein. L’Iran possédait 10 % de l’association. Les tankers transportaient le pétrole d’Iran vers Eilat, et de là il était réexpédié à Ashkelon par le pipeline....
En 1969, le pipeline entre Eilat et Ashkelon étant achevé, des tankers géants furent achetés pour transporter le pétrole. En décembre 1969, le pétrole iranien commença à couler dans la grande canalisation. Un petit pourcentage de ce pétrole fut affecté à Israël.
L’essentiel fut cependant chargé sur des tankers au terminal d’Ashkelon et envoyé aux consommateurs en Europe, principalement en Roumanie, le seul pays du bloc Soviétique qui continuait à entretenir des liens diplomatiques avec Israël.
En 1970, 162 tankers livrèrent 10 millions de tonnes de pétrole au terminal. Ce fut l’année record du pipeline, mais le but ambitieux des 50 millions de tonnes par an ne fut jamais réalisé.
Fin 1978, avec la chute du Shah, le pétrole arrêta de couler et les liens entre les deux pays se détériorèrent jusqu’à l’hostilité qui les caractérise à ce jour.
...http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=53893
ISRAEL PETROLE & GAZ - Israël veut devenir un acteur majeur du développement régional dans les secteurs du pétrole et gaz.
26 févr. 2008
Israël cherche à devenir un acteur majeur dans le transport du pétrole brut du Caucase vers l’extrême Orient. Son principal atout actuel est l’oléoduc qui relie Ashkelon à Eilat.
Le principe est simple : si Israël parvient à finaliser le projet de navette de super-tankers de 250.000 tonneaux entre Ceyhan (ville turque qui reçoit du pétrole d’Azerbaïdjan et de Georgie) et Ashkelon, alors Israël se servirait de son oléoduc et d’autres super-tankers de 280.000 à 310.000 tonneaux pour transporter le pétrole jusqu’à à Eilat, et Eilat pourrait alors servir de point de passage pour livrer l’Inde, le Japon, et la Chine.source : Israel Valley SITE OFFICIEL DE LA CHAMBRE DE COMMERCE FRANCE-ISRAËL
26 févr. 2008
Israël cherche à devenir un acteur majeur dans le transport du pétrole brut du Caucase vers l’extrême Orient. Son principal atout actuel est l’oléoduc qui relie Ashkelon à Eilat.
Le principe est simple : si Israël parvient à finaliser le projet de navette de super-tankers de 250.000 tonneaux entre Ceyhan (ville turque qui reçoit du pétrole d’Azerbaïdjan et de Georgie) et Ashkelon, alors Israël se servirait de son oléoduc et d’autres super-tankers de 280.000 à 310.000 tonneaux pour transporter le pétrole jusqu’à à Eilat, et Eilat pourrait alors servir de point de passage pour livrer l’Inde, le Japon, et la Chine.-
Les Idiots utiles des sionistes. Ils ne comprennent pas qu’ils sont soutenus par « l’axe du bien », non pas comme ils le pensent bêtement, parce que l’Iran est une théocratie, mais tout simplement, car c’est une théocratie qui n’a pas accepté de se soumettre aux sionistes, comme l’Egypte, la Turquie, l’Arabie Yaoudite, le Maroc...la liste est longue. La seule entité terroriste est bien celle qui reçoit plusieurs milliards des USA, qui vole, tue, spolie, bombarde, massacre, torture, détruit, empoisonne, terrorise, à longueur de journée la courageuse nation palestinienne La république islamique a des défauts, mais au moins elle est du côté des palestiniens, des opprimés, je rappelle pour ceux qui auraient été contaminées par la propagande officielle.
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L’Iran est tout aussi démocratique que la France : il y a des élections, et les candidats sont pré-sélectionnés par les apparatchiks déjà au pouvoir : les ayatollahs en Iran, les milliardaires en France. La peine de mort est pratiquée par les 2 pays, sauf qu’en Iran ils tuent des Iraniens, tandis qu’en France ils tuent loin du pays (en Afghanistan, Syrie, Libye...)
Moi, je voudrais une manifestation pour une France libre !-
« Pour un Iran libre. Notre engagement : pour un changement de régime »
allez faire vos cochonneries ailleurs ! je ne veux pas d’un autre crime contre l’Humanité comme déjà commis contre la Syrie, la Libye, l’Irak, l’Afghanistan, l’Égypte .... tout-ça pour sauver le cul des Israéliens.-
Les Iraniens et tous les peuples méritent de vivre dans un régime démocratique et laïc, respectueux de la déclaration universelle des droits de l’homme et l’égalité entre les femmes et les hommes. Je crois que toutes les personnes qui se sont donné la peine d’écrire des commentaires, se rejoignent autour de ces valeurs universelles. Ça c’est l’essentiel.
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@Mazdak Teherani
« Les Iraniens et tous les peuples méritent de vivre dans un régime démocratique et laïc, respectueux de la déclaration universelle des droits de l’homme et l’égalité entre les femmes et les hommes. »
Pourquoi vous arrêter à ça ? Les Iraniens et tous les peuples méritent aussi la gay pride, le mariage pour tous, la GPA et la PMA, la liberté d’expression (assortie bien sûr de l’interdiction de contestation de génocide), et la libre création d’associations à but humanitaire (CRIF, Femen...) !
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@Ben Schott : vous avez oublié la libre circulation des capitaux, le droit à l’évasion fiscale, le droit de voter pour des politiciens corrompus condamnés multirécidivistes, le droit de bombarder n’importe quel pays sous des prétextes bidons...
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Un autre regard sur l’Iran
Notre aveuglement sur l’Iran
Par Jean-Claude Guillebaud le 06 mai 2016Le gouffre qui sépare l’image politico-médiatique de l’Iran et la réalité persane est tellement vertigineux qu’il invite au questionnement.
Un concours de circonstances m’aura permis, à une année d’intervalle, de sillonner à nouveau l’Iran : avril 2015, avril 2016. Pour la deuxième fois, j’ai donc ressenti, avec une trentaine de compatriotes, le même choc. Et encore le mot est-il trop faible. Celui de sidération conviendrait mieux. Précision : le groupe que j’accompagnais était franchement et délibérément laïc. Personne n’avait la moindre disposition à la complaisance, ou même à l’indulgence, à l’endroit des mollahs de la république islamique, en place depuis trente-sept ans (1979). Au fil des kilomètres, cependant – de Téhéran à Chiraz, en passant par Kachan, Abyaneh, Ispahan, Nain, Yazd ou Ardakan -, la stupéfaction se fit plus intense.
Qu’on prenne le problème par n’importe quel bout, un constat s’impose : l’Iran n’a rien à voir avec l’image qu’on s’en fait en Europe, et singulièrement en France. Certes, tous les voyageurs le savent, le décalage entre un pays « imaginé » et un pays « découvert » est un phénomène récurrent. Dans le cas de l’Iran, il est ahurissant. L’absolue fausseté de notre représentation de ce pays, notre aveuglement à son sujet constituent un cas d’école de je ne sais quelle « tromperie » médiatique. Là où la ritournelle majoritaire évoque un pays verrouillé dans l’archaïsme et la dictature, un peuple asphyxié par un obscurantisme misogyne qui, à la saoudienne, tient les femmes claquemurées sous leurs voiles et dans l’ignorance, on tombe sur une réalité symétriquement contraire. Un « cas », en effet !
En dépit des sanctions internationales et de l’embargo longtemps subis, l’Iran apparaît au visiteur comme un grand pays (trois fois la France), abritant 80 millions d’habitants, et doté d’une des jeunesses les mieux éduquées du Proche-Orient. La société civile a si bien appris à ruser avec le régime qu’elle s’est modernisée « toute seule », pourrait-on dire. Du coup, les femmes n’ont jamais été si nombreuses à l’université et dans plusieurs professions, comme la médecine, le barreau, l’enseignement, etc. En chemin, les Français du groupe s’étonnaient de la modernité proprette des grandes villes traversées (Ispahan compte 1,5 million d’habitants et Chiraz un peu plus) et du standard quasi européen de la vie quotidienne, comme du taux d’alphabétisation. A tout cela, bien sûr, s’ajoute une disposition à la courtoisie, à l’hospitalité, qui n’a pas beaucoup d’équivalent dans le vaste monde. La Perse millénaire a imprimé sa marque et son raffinement culturel à un pays où il arrive que les chauffeurs de taxi vous récitent tout de go des poèmes d’Hafez, de Saadi ou d’Omar Khayyâm. Ajoutons à cela une liberté de ton (nouvelle ?) qui, cette fois, autorisa maints interlocuteurs à proclamer devant nous, à haute et intelligible voix, leur défiance à l’égard du régime. Cela nous arriva, par exemple, dans un restaurant populaire, à l’entrée de Chiraz, où nous fûmes conviés à partager une fête d’anniversaire et où les conversations s’enflammèrent. L’intrépidité politique et les chansons partagées firent durer cette fête franco-iranienne ! Le gouffre qui sépare l’image politico-médiatique de l’Iran et la réalité persane est tellement vertigineux qu’il invite au questionnement.
De quoi cet aveuglement est-il le produit ?
Faut-il y voir une rémanence inavouée de l’époque où, hostiles à l’Iran (comme les Américains), nous soutenions l’Irak de Saddam Hussein dans cette affreuse guerre qui, entre 1980 et 1988, fit 750 000 morts dans chaque camp ? La tricherie est-elle imputable à l’horreur « laïque » qu’inspira durablement aux Français cette « révolution religieuse » de 1979 ? L’explication est-elle plus récente ? La gauche au pouvoir n’a-t-elle pas délibérément choisi de devenir l’amie – et la cliente obligée – de l’Arabie saoudite, pays où l’on décapite les gens en place publique et où l’on professe un islam wahhabite qui est la « boîte noire » idéologique du terrorisme ? Quelques Rafale vendus valaient-ils une Légion d’honneur remise au prince saoudien ?
Sachant tout cela, on constate sur place que les Iraniens demeurent très francophiles. A l’heure du rush touristique (deux fois plus de groupes et de cars climatisés que l’an dernier, j’en témoigne), les Français sont d’ailleurs les plus nombreux, suivis par les Allemands et les Italiens. Paradoxalement, cet Iran si longtemps dénigré devient la destination branchée des Européens. En attendant les Américains ! On prévoit de construire 50 hôtels 5 étoiles dans les années qui viennent ! Cette revanche et cette « invasion » annoncée constituent une menace d’un autre genre pour le pays des poètes…
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Entre l’Iran et Daech, Israël a fait son choix
Comparer l’Iran à une organisation terroriste menaçant le monde entier est absolument inadmissible », a déclaré le rédacteur-en-chef du journal Iran Presse, Emad Abshenass, commentant les propos récents du ministre israélien de l’Intérieur qui avait comparé l’Iran à Daech.
« Si je devais choisir entre l’Iran et Daech, je choisirais Daech », a déclaré Moshe Yaalon, le ministre israélien de la Défense lors d’une conférence à Tel-Aviv. L’homme politique a estimé qu’il valait mieux que la Syrie tombe entre les mains de Daech plutôt que de l’Iran, car « Téhéran reste le pire ennemi d’Israël », qui est « plus puissant que Daech » et plus difficile à combattre.
Interrogé par Sputnik, Emad Abshenass a indiqué les trois raisons principales qui expliquent, selon lui, cette position d’Israël.
Maintenir le chaos autour d’Israël afin de garantir sa sécurité
Sur les trente dernières années, Israël a montré que la préservation de sa stabilité et de sa sécurité passait par le maintien du chaos, des conflits militaires et des guerres civiles dans les pays voisins, d’après M. Abshenass.
Soutenir Daech au détriment de la Syrie
Selon les propos du journaliste, nous disposons aujourd’hui d’éléments qui prouvent que des groupes terroristes comme l’Etat islamique sont soutenus par Israël. Un certain nombre de terroristes qui se battent actuellement en Syrie ont été pris en charge en Israël et réhabilités pour ensuite regagner le front et continuer à lutter contre le président syrien Bachar el-Assad.
C’est pour cela qu’Israël ne souhaite pas la liquidation de ces groupes terroristes, craignant un retour en grâce de la Syrie qui redeviendrait par là même une menace pour Tel-Aviv.
Iranophobie
Ces dernières années, Israël a mené une politique iranophobe en incitant les Etats-Unis et les pays de l’Europe à lui fournir des armes dernier cri ainsi que des fonds afin de soi-disant financer la défense du pays. Force est de constater qu’une cette iranophobie n’a pas porté ces fruits.
« Il faut juste du temps pour que l’Occident puisse reconnaitre l’Iran comme son allié »
Dans le même temps, l’attitude des pays du monde entier à l’égard de l’Iran a changé suite à la signature de l’accord historique sur le nucléaire iranien en juillet 2015, Téhéran ayant accepté le Plan global d’action conjoint, estime M. Abshenass.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a ainsi souligné le rôle que jouait l’Iran dans la sécurisation du Moyen-Orient. Il a également fait remarquer que l’Iran était le pays « clé pour la stabilité de la région », ce qui montre bien que Téhéran est en phase de regagner les faveurs de l’Occident.Les sanctions contre Téhéran ont été levées le 16 janvier dès l’entrée en vigueur de l’accord nucléaire qui a mis fin à plus d’une décennie d’isolement diplomatique de l’Iran, dont l’économie a été lourdement touchée par les sanctions occidentales.
21.01.2016
Source Sputnik
http://arretsurinfo.ch/entre-liran-et-daech-israel-a-fait-son-choix/-
« Comparer l’Iran à une organisation terroriste menaçant le monde entier est absolument inadmissible, ... »
C’est pourtant ce que fait Madame Maryam Radjavi présidente du CNRI tel qu’on peut le voir sur son site http://www.ncr-iran.org/fr/
citation au début de la vidéo
Conférence de solidarité avec la Résistance syrienne
11 juin 2016« Tant que l’on ne s’opposera pas au régime iranien, on ne pourra éradiquer la crise du terrorisme en Europe »
https://www.youtube.com/watch?v=9-SZvqAMt00un tel raccourci, une telle mauvaise foi c’est hallucinant, elle doit être payée par la CIA, le MI16 ou Tel Aviv pour dire une telle chose
d’autant plus comique que l’OMPI avait été classée organisation terroriste par les États-Unis de 1997 à 2012, puis par l’Europe de 2002 à 2009 -
La secte Iranienne (MEK) et ses Gourous Maryam et Massoud Rajavi se retrouvent à Villepinte
vidéo 5’43
22 juin 2013 - Reportage France 24 : les Moudjahidine du peuple d’Iran se retrouvent à Villepinte...
https://www.youtube.com/watch?v=dqtqFaQ0j2E---
L’organisation des moudjahidines du peuple iranien : lobby ou secte ?
Publié le 4 juillet 2016 par Classe Internationale-
faut pas se tromper de cible, l’ennemi commun devrait être l’impérialisme
Kissinger avait confessé publiquement que « le contrôle US des approvisionnements pétroliers iraniens est le vrai ordre du jour derrière l’hostilité envers l’Iran »
Kissinger admet que l’attaque de l’Iran est pour le pétrole
29 Septembre 2007
Original : http://prisonplanet.com/articles/september2007/210907_about_oil.htmhttp://collectifbrignoles.over-blog.fr/article-12711400.html
Greenspan, Kissinger : Oil Drives U.S. in Iraq, Iran
09/17/2007Alan Greenspan had acknowledged what is blindingly obvious to those who live in the reality-based world : the Iraq War was largely about oil.
Meanwhile, Henry Kissinger says in an op-ed in Sunday’s Washington Post that control over oil is the key issue that should determine whether the U.S. undertakes military action against Iran.
...
Henry Kissinger echoes this view in his op-ed. “Iran has legitimate aspirations that need to be respected,” he writes — but those legitimate aspirations do not include control over the oil that the United States and other industrial countries need.http://www.huffingtonpost.com/robert-weissman/greenspan-kissinger-oil-d_b_64659.html
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