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Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam |
Au pied du rapport du 13 juin 2019 mentionné précédemment, alors que rien ne les laissaient présager, des témoignages sont venus s'inscrire spontanément. Ils racontent des faits de maltraitance de la part de Ramla Akhtar à l'égard de sa fille, Sofia. Au pied du rapport du 13 juin 2019 mentionné précédemment, alors que rien ne le laissait présager, des témoignages sont venus s’inscrire spontanément. Ils racontent des faits de maltraitance de la part de Ramla Akhtar à l’égard de sa fille, Sofia. Ils indiquent que ces actes lui ont valu d’être arrêtée par la police locale (Lire : « Ramla Akhtar : témoignages pakistanais sur la maltraitance infantile à Hussaini, Gojal »). Pourtant, le thème de la violence faite aux femmes et aux enfants est un des sujets exploités de façon intensive par cette dernière. Elle n’hésite pas à s’ériger, elle-même, en icône des victimes de cette violence.
4. Une xénophobie radicale tournée contre les populations blanches et le monde occidental
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Ramla Akhtar : "privilège raciste blanc, chauvinisme, esprit médiéval, colonialisme, vie de voyou" |
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Ramla Akhtar : "immoral, médiéval, chasseur de sorcières, pornographe, fétichiste, blanc, colonial, terroriste,mysogine, prédateur, nationaliste de grenouilles mortes..." |
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Ramla Akhtar : "peuple blanc, pouvoir colonial, voyoux loués, bellicisme" |
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Ramla Akhtar : "suprémacisme blanc, nazisme, terrorisme français, peuples blancs exportant le terrorisme, meurtriers" |
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Ramla Akhtar : "Blanc, Nazi, Fascistes, assassinat, pédophile" |
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Ramla Akhtar : "Au nom des « Droits de l’homme », les citoyens français supportent passionément le crime au Pakistan pour attaquer les Pakistanais du Sud. Logique blanche coloniale." |
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Ramla Akhtar : « Impérialistes et colonialistes blancs » |
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Ramla Akhtar : « Le blanc suprémaciste tue du musulman. »
« Inciter à la violence sur des bases confessionnelles/ethniques est un délit couvert par les lois anti-terroristes. Les créatures suprémacistes blanches au cerveau de boue considère qu’elle peuvent entrer ,dans le monde des gens de couleurs (POC, People of Color) » |
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Ce qui précède n’est qu’un aperçu des tweets envoyés par Ramla Akhtar.
On retrouvera, ci-après les mots-clefs racialistes utilisés dans un sens haineux et, entre parenthèses, le nombre de tweets concernés : crime/criminal (355) white (335), terror/terrorist/terrorism (225), POC/People of color (141), foreign/foreigner (139), brown (102), racist/racism (94), fascist/fascism (73), colonial/colonialism (70), nazi/nazism (54), supremacist/supermacism (30), imperialism/imperialist (17)
Il est important de noter que Ramla Akhtar a cherché à faire relayer, en France, son discours de haine, son harcèlement et ses appels à la violence, en demandant directement l'aide du Rassemblement National. Par la suite, elle s’est vantée de mener une mobilisation auprès de la communauté pakistanaise à Nantes § 6.3.
5. Une ambition visant à purifier le nord Pakistan de ses visiteurs blancs
Les touristes pakistanais (domestic tourists) sont souvent négativement perçus dans les régions montagneuses du nord Pakistan en raison de leur irrespect pour les populations, de leur mépris pour la foi et les coutumes locales ainsi que pour les dégradations de l’environnement, voire la destruction des monuments qu’ils causent :
- intrusion dans la vie privée des habitants,
- manque de savoir-vivre,
- photos volées, notamment de femmes, et publications réprobatrices sur les réseaux sociaux,
- contestations de la confession ismaélienne,
- reproches sur la place des femmes dans la société et sur le fait qu’elles ne sont pas voilées,
- demandes indécentes, telles qu’alcool et prostituées,
- intrusion dans les vergers et dans les champs cultivés,
- dépôts sauvages d’ordures, dégradation du patrimoine et d’environnements naturels (destructions, notamment de vestiges bouddhiques, tags sur des sites exceptionnels).
Lire à ce sujet :
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Les déchets d'une décharge informelle dans l'extrême nord du Pakistan sont fréquemment incinérés, envoyant des panaches de fumée nauséabonde juste à côté d'un lac glaciaire fréquenté par les touristes. |
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Déchets provenant des « domestic tourists » au col de Babusar (4.173 m) |
Les enfants de la Hunza nettoient la vallée après le passage des « domestic tourists ». |
Dans le Gilgit-Baltistan (GB), la conduite des touristes étrangers est, en revanche, beaucoup plus appréciée que celle des touristes pakistanais (domestic tourists).
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Commentaires sur la page Facebook d’un journaliste wakhi |
Ramla Akhtar veut décourager, au Pakistan, les voyages des blancs pour les remplacer par des POC (People of Color – gens de couleurs), c’est-à-dire des touristes du sud Pakistan. Pour ce faire, elle habille son racisme de populisme et d’environnementalisme. Notez le « We » (nous). Ramla Akhtar : "Nous (sic) décourageons le voyage des Blancs. Nous priorisons le voyage des gens de couleurs."
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Ramla Akhtar : « Nous (sic) décourageons le voyage des Blancs. Nous priorisons le voyage des gens de couleurs. » |
Trois cent soixante-quinze (375) tweets de Ramla Akhtar ont pour mots-clefs "travel/tourism" .
6. Une toxicité s’exerçant par le harcèlement, la diffamation et les dénonciations calomnieuses
La propagande de Ramla Akhtar, alias Ramla Aalam, s’exprime sur différents réseaux sociaux et sous de nombreuses identités dissimulées. Son principal compte Twitter, @GruaAbuseArkive, est « anonyme ». Depuis décembre 2019, il usurpe l’identité de « Bernard Grua », dans son nom, son identifiant et sa biographie afin de multiplier la diffamation par les 12.800 tweets de ce compte (au 31/03/2021). Akhtar utilise, parfois, un autre compte : @copingWithCovid.
6.1. Des victimes nommément désignées
Les groupes les plus ciblés par la propagande de Ramla Akhtar sont la France (628 tweets) et la vallée de Chapursan peuplée de Wakhis (344 tweets).
Les principaux objectifs individuels, du harcèlement, de la diffamation et des dénonciations calomnieuses de Ramla Akhtar sont :
- Bernard Grua, @bernardgrua, Français résidant à Nantes, auteur du rapport du 13 juin 2019 -> 1.639 tweets. Notons qu’en France des peines de prisons ont été prononcés contre des harceleurs ayant adressé moins de 200 tweets à leur victime (soit huit fois moins).
- Mahrukh Beyg, @mahrukhbeg, femme pendjabie de Lahore, créatrice à succès d’une entreprise de distribution de produits issus de petites exploitations agricoles -> 340 tweets.
- Alam Jan Dario, @chapursani, handicapé, chef de famille wakhi dans la vallée de Chapursan (4 enfants), tenant la guesthouse « Pamir Serai » -> 230 tweets.
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Accumulation des tweets de harcèlement,diffamation et dénonciations calomnieuses par cible depuis septembre 2019 |
Les trois personnes précédentes ont, bien évidemment, bloqué Ramla Akhtar sur Twitter. Mahrukh Beyg et Alam Jan Dario n’ont jamais répondu ni même envoyé un seul tweet à Ramla Akhtar. Mais ces deux derniers n’ont pas, non plus, évité sa malfaisance. Ainsi, les recommandations habituellement données (bloquer et ne pas répondre) sont inopérantes, lorsqu’un utilisateur de réseaux sociaux décide réellement de nuire à des victimes clairement identifiées.
6.2. Une pratique systématique de la dénonciation calomnieuse
Les dénonciations calomnieuses de Ramla Akhtar sont adressées à de nombreuses autorités (chefs d’Etats, gouvernements, forces de police – au Pakistan, en France et en Russie…), à des ONG humanitaires, féministes ou de protection de l’enfance, et à des médias. Les prétextes invoqués sont le terrorisme, la torture, le colonialisme, le fascisme, le nazisme, les violences faites aux femmes et aux enfants, le viol, la pédophilie, le racisme et le non-respect de l’islam. Le but est de faire pression sur les victimes, de déclencher des harcèlements en meute, des violences physiques et des poursuites.
Les principaux destinataires de ces dénonciations sont toutefois les suivants :
6.3. Un recours déterminé au « doxxing » pour mieux nuire à ses victimes, voire pour les mettre en danger physique
Ramla Akhtar, communique fréquemment les données personnelles concernant le lieu de travail et le lieu d’habitation de ses victimes. Samuel Paty nous a montré les conséquences funestes que peut avoir ce « doxxing », s’il est appuyé sur un discours de haine massif et par le fanatisme religieux. Dans cette optique, Ramla Akhtar fait état de contacts qu’elle aurait noués, à Nantes, avec un journaliste et, surtout, avec la communauté pakistanaise nantaisee.
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Ramla Akhtar : « Nous » avons finalement atteint une large et multi-ethnique audience à Nantes |
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Ramla Akhtar : "« Nous » avons écrit à la communauté des expatriés (Pakistanais) à Nantes, qui ont été franchement choqués." |
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Ramla Akhtar : Finalement un journaliste nantais a été débrifé sur les tortures criminelles de Bernard Grua contre les victimes de viols et d’agressions |
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Ramla Akhtar : Bernard Grua, dont le visage cruel est plein de hargne, tout comme ses nombreux sites Web chargés de matériaux toxiques et haineux, est un partisan actif de la #pédophilie en France et au Pakistan, il soutient le viol, les attaques contre les femmes et, bien sûr, # pédophilie. |
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7. Des actes cyber-délictueux à l’origine de nombreux signalements et plaintes en France ainsi qu’au Pakistan
Les innombrables demandes argumentées adressées à Twitter n’ont eu aucun résultat, à l’exception d’une suspension pendant un mois de @GruaAbuseArkive pour utilisation de la photo de Bernard Grua dans le profil de ce compte frauduleux. Durant cette période, Ramla Akhtar a eu recours à son deuxième compte Twitter, @Coping WithCovid.
8. Une nuisance bénéficiant de conditions d’impunité qui doivent nous alerter
8.1. Une idéologie pakistanaise officiellement anti-occidentale et spécifiquement francophobe
La France est une cible privilégiée des partis islamistes pakistanais, tel le Tehreek-e-Labbaik, et des dirigeants du « pays des purs. Cette propagande s’est intensifiée depuis septembre 2020, alors que le Premier ministre, Imran Khan, s’en est pris régulièrement et violemment au Président français (lire : "Pakistan et Turquie : Quand des gouvernements deviennent les parrains de la menace terroriste !" ). Le ministère des Affaires étrangères de la France a été conduit à publier, à ce sujet, deux communiqués particulièrement réprobateurs contre la ministre pakistanaise des « Droits de l’homme », Shireen Mazari, et contre le président pakistanais, Arif Alvi. Le stances de Ramla Akhtar, contre la France et contre les Occidentaux, y trouvent un environnement très favorable.
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Déclaration du MAE français au sujet d’un tweet ignoble et francophobe de Shireen Mazari, ministre des « Droits de l’homme » au Pakistan. |
8.2. Un « Gora complex » (complexe blanc) source de profondes rancœurs
Dans une société où prévaut la ségrégation de genre et où la féminité est gommée, la frustration sexuelle des hommes pakistanais les conduit à porter une attention particulière aux influenceuses blanches, qui trouvent dans leur pays un exceptionnel moyen de diffusion, sous réserve d’un discours favorable. Ils en constituent la principale audience. De leur côté, les autorités pakistanaises encouragent et soutiennent ces étrangères à des fins de promotion internationale (Lire : Agoravox - Vlogueurs, Instagrameurs & Blogueurs présentent-ils un Pakistan en trompe l’oeil ?). Jordan Taylor, Eva Zu Beck, Rosie Gabrielle, Alex Reynolds (qui relaye aussi le discours d’Akhtar) en sont les principaux exemples. Mais la compromission va encore plus loin avec Cynthia D. Ritchie, @CynthiaDRitchie. Cette Américaine est, dans les faits, une porte-parole de l’armée, de l’ISI (services secrets pakistanais) et du PTI (le parti d’Imran Khan actuellement au pouvoir).
Cette démarche propagandiste a tourné à la farce avec l’émergence, en février 2021, du faux compte Twitter intitulé « Katherine George », @iKatherineGeorg, qui a gagné 12K abonnés en un mois. Il s’agit soi d’un canular, soi d’une maladroite création de l’organisme @Gwadar_Pro (le port de Gwadar fait partie du CPEC, « China-Pakistan Economic Corridor »). Il est clairement destiné à flatter les hommes pakistanais et leur besoin de reconnaissance par les femmes occidentales.
Ce « gora complex » (complexe blanc) crée de très fortes rancœurs sur lesquelles Ramla Akhtar peut aisément s’appuyer. Il montre, aussi, de façon inquiétante à quel point l’audience pakistanaise des réseaux sociaux, sans esprit critique, est crédule et facile à manipuler dès lors qu’on lui dit ce qu’elle souhaite entendre.
8.3. Les Wakhis, une minorité, qui doit se taire.
Le Gilgit-Baltistan (GB), plus particulièrement la vallée de la Hunza avec ses montagnes géantes et ses paysages exceptionnels, ainsi qu’avec sa population accueillante et paisible, est la vitrine internationale et touristique montrée par le Pakistan. Toutefois, en parler trop positivement, et mettre en avant sa différence, peut être considéré comme un encouragement au séparatisme et être assimilé à la promotion du terrorisme.
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Ramla Akhtar : diverses images d’un terroriste, « Bernard Grua », actif depuis l’étranger (Nantes, France), dans le #GilgitBaltistan instigant non seulement une « identité distincte » mais attisant aussi le sentiment anti-pakistanais, anti-punjabi / sindhi et anti-sunnite. |
Ramla Akhtar ne peut pas étayer ses fables par des éléments tangibles. Elle a, très rarement en raison de la faible matière disponible, recours à des éléments hors contexte. Elle utilise fréquemment des fausses citations qu’elle attribue à ses victimes. Mais, plus systématiquement, elle attache des pièces jointes en complet décalage avec ses accusations. Ici, pour révéler l’existence d’un « terroriste », elle annexe six captures d’écrans deGoogle search images. Les liens sont communiqués ci-dessous. Ils contredisent sa dénonciation comme chacun peut le vérifier. Il est à souligner que, même des champs photographiés dans le corridor du Wakhan Afghan (peuplé de Wakhis), sont considérés comme du matériel terroriste.
Au Gilgit-Baltistan (GB), l’ordre doit impérativement règner pour le bon fonctionnement du modèle chinois de vassalisation (lire : "Agoravox - La Karakoram Highway, prototype du schéma colonial de la Nouvelle Route de la Soie dans un Etat en perte de légitimité ?"). La région, traversée par la Karakoram Highway, est un élément clef du CPEC (China-Pakistan Economic Corridor) reliant le Xinjiang au port de Gwadar sur le Mer d’Arabie. L’annexe IV et la loi antiterroriste sont utilisées pour écraser la dissidence civile en arrêtant des citoyens et en les censurant, s’ils expriment leurs opinions politiques. Ceci est particulièrement le cas si la personne, dont le discours est contré, est partie intégréante d’un mécanisme de contrôle, voire d’oppression, comme l’explique le commentaire d’un journaliste wakhi cité ci-dessous. De plus, les disparitions, voire les assassinats, d’opposants sont des pratiques auxquelles les services secrets pakistanais ont recours dans leur pays ou à l’étranger.
Enfin, les Wakhis sont seulement au nombre de 20.000 au Pakistan. Une controverse rendue publique ne manquerait pas de tourner à leur désavantage, particulièrement si la question religieuse est instrumentalisée. Ramla Akhtar pourrait bénéficier du réflexe pavlovien de centaines de milliers d’extrémistes sunnite, promptes à invoquer le blasphème, puni de mort. C’est aussi, et peut-être le principal, axe expliquant sa recherche de médiatisation.
8.4. Ramla Akhtar, une auxiliaire coloniale du Sud, dans le nord du pays ?
Le Gilgit-Baltistan (GB), auquel appartient la Hunza, n’est pas une région pakistanaise régulière bénéficiant des droits constitutionnels des quatre autres provinces. Ses citoyens ne peuvent pas voter aux élections nationales. Ils ne sont pas représentés au Sénat ou à l’Assemblée nationale. Ils n’ont, ainsi, aucun pouvoir sur le choix du gouvernement et de son Premier ministre, alors que le Gilgit Baltistan est sous leur administration directe via des chargés de pouvoirs qu’ils appointent. Ces représentants du pouvoir central n’appartiennent donc pas aux ethnies, confessions et cultures (y compris langues) sur lesquelles ils exercent leur autorité. Selon un journaliste wakhi reconnu internationalement, mais dont l’identité ne peut pas être révélée ici, Ramla Akhtar serait une sorte d’informateur, partie prenante d’un système de domination. En France, on dirait trivialement un « indic », un « mouchard » ou une « balance ». Ceci expliquerait les protections particulières dont elle bénéficie. Lesquelles lui autoriseraient toute sorte de propos au sujet de la minorité contre laquelle elle est mandatée. Son discours à forte teneur islamiste et xénophobe est, de plus, en phase avec l’idéologie développée par Imran Khan, le Premier ministre. Ramla Akhtar se méfie seulement de la police de la région qui est, pour l’instant, composée de personnel local.
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Ramla Akhtar : Voir ci-dessous |
Exemple d’un fil Twitter de dénonciation calomnieuse.