Nouveau mensonge énorme de Nicolas Sarkozy, proféré lors de ses vœux aux forces économiques, le 6 janvier dernier : "Je ne partage pas l’analyse qui a été faite par tous les observateurs. Copenhague, c’est infiniment mieux que Kyoto. A Kyoto, 35 pays ont signé. Donc les règles s’appliquaient sur 35 pays. Il n’y avait pas l’Inde, pas la Chine, même pas les USA. A Copenhague, 192 pays ont signé. J’aurais préféré qu’ils aillent plus loin, mais à 192, ça a plus fière allure qu’à 35." Première remarque, il est tout de même frappant que le président français ne craigne pas de défendre une autre conception que l’analyse qu’il reconnaît lui-même établie par "tous les observateurs" : il signifie ainsi que tout le monde se trompe, sauf lui-même - ce qui en dit long sur sa dévorante égomanie. Quoi qu’il en soit et ne lui ne déplaise, si chacun s’est accordé à reconnaître le piteux échec de Copenhague, c’est bien pour des raisons objectives. Et Sarkozy ne parvient à prétendre le contraire qu’au prix, comme le résume Libération, d’un propos qui "n’a aucun sens, et regorge d’inexactitudes" : "Primo, le protocole de Kyoto n’a pas été signé par 35 pays… mais par près de 160 nations, dont les Etats-Unis (même si le traité ne fut pas ratifié par le Congrès américain). Nicolas Sarkozy a sans doute été trompé par le fait que le protocole n’engageait « que » 38 pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’au moins 5% par rapport aux niveaux de 1990 durant la période 2008-2012. Pour autant, les autres pays signataires (184 pays l’ont ratifié à ce jour) étaient impliqués, notamment par le volet consacré aux mécanismes de développement propre. Nicolas Sarkozy est tout aussi approximatif concernant Copenhague. L’accord conclu dans la capitale danoise n’a pas du tout été signé par 192 pays comme il l’affirme. En fait, le sommet danois ne s’est même pas soldé par un « accord » à proprement parler, plutôt par une vague déclaration d’intention destinée à sauver la face. Cette déclaration finale a été rédigée à l’arraché, lors du dernier jour, par seulement vingt-sept chefs d’Etat et de gouvernements. Et le texte n’a pas été soumis au vote des 193 pays représentés à la conférence. Et dans un système onusien où tout doit se décider à l’unanimité, il n’a, pour l’heure, aucune existence juridique. Et non content d’être flottant sur le plan juridique, l’accord de Copenhague est également quasi vide sur le fond. A la différence du protocole de Kyoto, il ne mentionne (ni globalement, et encore moins par pays) aucun objectif chiffré de réduction d’émissions de gaz à effet de serre, se bornant à un objectif de limitation à 2 °C de la hausse de la température. En clair, si Kyoto n’engageait « que » 38 pays. Copenhague, pour l’heure, n’en engage aucun."
De deux choses l’une : ou bien Sarkozy ne connaît pas le contenu des accords de Kyoto, ce qui traduirait une inadmissible incompétence, ou alors il sait très bien que ces derniers étaient autrement plus contraignants que le même-pas-vrai-accord de Copenhague. Mais il veut tant valoriser son action qu’il tord le cou aux faits pour décréter, seul contre tous les observateurs, la réussite de Copenhague, à analyser comme... sa propre réussite, naturellement. Tout comme il prétend que les paradis fiscaux n’existent plus - grandiose énormité - pour mieux adopter la posture de sauveur du monde qui moralise le capitalisme. En ce qui concerne Copenhague, une membre de la délégation française, et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de Laurence Tubiana, directrice fondatrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales, s’est chargée de contredire les divagations présidentielles en direct durant le Grand journal de Canal +, citée par Libération : "Je ne dirai pas que c’est mieux que Kyoto... Kyoto était un modèle, et pour l’instant, on n’est pas au niveau de Kyoto, pas du tout. Il faut vraiment aller vers un Kyoto qui intègre l’Inde, la Chine et les Etats-Unis dans les mêmes règles que nous nous imposons". Alors, Copenhague "infiniment mieux" que Kyoto, comme le prétend le président, ou "pas du tout au niveau de Kyoto", comme rectifie l’experte ? Libé répond d’une question : "Sarkozy aurait-il "infiniment" pris ses auditeurs pour des imbéciles ?"
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Copenhague c’était surtout une vaste masquarade : voilà comment c’est passé ce sommet où nos dirigeants donneur de leçons allaient « sauver le monde » :
- 140 jets privés affretés en plus de la normale, bien plus que la capacité de l’aéroport de Copenhague, alors ces jets atteriront dans les aéroport régionaux ou en Suède, on viendra chercher ces braves gens pour les amener à Copenhague, les avions resteront où ils sont et retourneront à Copenhague pour aller chercher leur passager VIP.
- Plus de 1200 limousines à disposition. Ils n’en avait pas assez au Danemark alors ils en ont fait venir d’Allemagne et de Suède. Selon l’article, les français ont réservé 42 limousines en plus de ce qu’ils avaient déja réservé. Je serais bien curieux de savoir combien au total ont été réservé, pour qui et pourquoi.
- les 11 jours de sommet vont produire 41 000 tonnes de co2 équivalent, la même quantité que le ville de Middlesbrough (142 690 habitants) sur la même période.
Allez dire après ça qu’on ne nous prend pas (que) pour des cons.
Attendez le pire arrive et la réalité va remettre tout le monde d’accord !!!
"La mer de glace s’est formée début janvier le long des côtes de la mer
de Bohai et la mer Jaune, alors que des fronts froids ont poussé les
températures en dessous de moins 10 degrés Celsius."
« »Sarkozy aurait-il « infiniment » pris ses auditeurs pour des imbéciles ?« »
J’ai une autre explication : ses conseillers et ministres ont tellement peur de lui qu’ils n’osent ni le contredire ni lui donner des conseils désagréables ou des infos contrariantes. Le pouvoir rend fou, a fortiori le pouvoir absolu pour quelqu’un qui déjà ...
Si bien que tous les mebres de l’aréopage du président ont fini par se convertir au « yes we can ». Un pas de plus vers l’américanisation, mais la France n’est pas le pays du dollar !
L’aréopage a peur du prés, qui a peur de la mafia qui a investi dans sa campagne.
Commissaire divisionnaire JF Gayraud, Le Monde Diplomatique : "L’épicentre du désastre avait pour origine des fraudes criminelles de
grande ampleur, menées par des cadres de ces caisses d’épargne et des
bénéficiaires extérieurs, parfois même des mafieux avérés. 70 % à
80 % des faillites de ces caisses d’épargne furent dues à une activité
criminelle."
C de Brie, le monde Dip : "Les grandes organisations criminelles ne peuvent
assurer le blanchiment et le recyclage des fabuleux profits tirés de leurs
activités qu’avec la complicité des milieux d’affaires et le
« laisser-faire » du pouvoir politique."
Bonjour, Olivier, et merci pour cette nécessaire mise au point.
J’avais pris connaissance des propos de Laurence Tubiana et j’avais noté avec satisfaction qu’ils ont été repris ici et là. Ce qui n’a pas empêché la plupart des médias de servir la soupe à Sarkozy en relayant complaisamment ses mensonges.
La conclusion est à rechercher du côté de « Libé » qui a trouvé, en posant sa question, la bonne formule, celle qui résume le mieux la position de Sarkozy à l’égard des Français : Oui, il nous prend infiniment pour des imbéciles !!!
Au-delà de sa grossièreté, de sa vulgarité, de ses mensonges
et de son égocentrisme qui nous fatiguent, il y a quelque chose de plus
important et qui nous épuise, c’est : »Sa connerie » Elle est
dense, abyssale et triomphante ! Utilisons nos bulletins de votes pour lui botter son royal derrière.
Qu’il soit complexé ou cynique, mythomane ou mégalomane, névrosé ou plus gravement borderline, peu importe !... il n’en demeure pas moins de trop !
Oui, on ne peut se fier plus longtemps à un président qui ment, trahit, et n’a que mépris pour son pays !
Ce pitre finira dans le parc de quelque institution psychiatrique pour nantis, une main sur le ventre et l’autre pressant ses reins. Le bicorne en papier, chef d’oeuvre d’origami, lui recouvrant le crâne, sera-t-il enfin l’égal dudit Napoléon !
A ses côtés, une grosse femme, tout de rose vêtue et chaussée de sabots fluo, poussant d’étranges barrissements. Sa vue ne manquera pas d’évoquer au visiteur le souvenir d’une dénommée Bachelot, naguère réputée pour être un peu... piquée !
Bon, et maintenant si on passait à tout autre chose !
Le probleme n’est pas celui de Sarkozy, en fait, mais celui de ses victimes : les français qui ne font que RECEVOIR des flux d’informations qu’ils n’ont pas du tout les moyens de verifier.
Or NORMALEMENT, ce role est devolu aux journalistes et aux groupes de presse. Si c’est groupes faisianet leur boulot, le Sarkozy serait ridiculisé sitot sa bvourde commise.
Mais Heureusement, l’ensemble des medias est controlé par une petite dizaine de groupe qui sont TOUS entre les mains de copains de la Sarkozie , qui sont aussi membre de la trilatélrale, de Bilderberg, de l’IFRI ou du CrifJ..... Et ces interets la, visiblement, ont interet a vendre du Sarkozie « sauveur de la France » au moment meme ou ce fossoyeur l’enterre devant nous.... Les cotoyens ne percoivent que la puissance du signal emis, en aucun cas, sa vérité.
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy la qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son age !
Quand revoiray-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminee, et en quelle saison,
Revoiray-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup d’avantage ?
Plus me plaist le sejour qu’on basty mes ayeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaist l’ardoise fine :
Plus mon Loyre Gaulois, que le Tybre Latin,
Plus mon petit Lyré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur Angevine.
Certains sont ainsi faits que, se faisant mettre, toujours en redemandent !
Le plus pathétique, en l’occurrence, c’est de les savoir pauvres, dindons de la farce jusqu’à l’os, petits, soumis près du nanti... et lui marchant dans l’ombre.
L’ autre, la main sur le porte-monnaie, il encourage ces bougres, s’interrogeant parfois : « comment être si bête ? », puis de sourire en pensant :
-« Ben oui ! quoi ? pour que je sois gagnant, des comme ça il en faut ! Je les méprise ? ils m’admirent !... va donc la bonne affaire ! »
Il est vrai que c’est loin d’être le premier mensonge proféré froidement par le président Sarkozy devant un parterre de journalistes et de politiques dont chacun sait pertinemment qu’il ment mais ne dit rien.
Sarkozy, c’est pas le gars qui disait que la carbone fait des trous dans la couche d’ozone ?
C’est pas le gars qui profite de la vague verte pour vendre le nucléaire au monde entier comme solution écologique ?
C’est pas le gars qui donne des bonus écologiques aux diesels parcequ’ils produisent moins de C02 que les mêmes modèles essence et qui produisent plus de particules cancérigène ?
C’est pas le même qui finance en parallèle un plan cancer ?
C’est pas lui qui se félicite des vendre des rafales très très polluants ?
Ca serait-y pas le même qui interdit que l’on utilise les huiles de fritures dans nos bagnoles, alors que l’on dépense des millions pour recycler ces huiles ?
Loin de moi de trouver des prétextes à l’échec du sommet de Copenhague de notre président, mais il va de soit que la France, même si nous devons donner l’exemple ne peut rien contre le reste du monde. Les ricains ne veulent rien changer (crise oblige) et les chinois veulent 12 % de croissance. Alors que faire ? la question posée reste sans réponse. Encore une fois le changement ne viendra que de la faillite du système qui j’éspère ne viendra jamais. Si cela était le cas, de sombres jours nous attendent. Tout les grands de ce monde étaient présents au Danemark ormis la planéte qui n’a pas été invité. Mille fois hélas pour notre descendance. C’est quand le prochain sommet ?
Les choses se seraient peut-être passées différemment si l’Union Européenne avait parlé d’une seul voix comme cela avait été envisagé. Mais il a fallu, a souligné Merkel après le sommet, que Sarkozy tente, comme d’habitude, de tirer la couverture à lui en jouant solo, quitte à disloquer l’unité des 27 ! Et comme souvent, il s’est planté !
Merci pour la clarification ! Entre fourberie et incompétence je suis indécis, mais dans un cas comme dans l’autre, c’est gros. La peur de ses conseillers et ministres de le contredire n’est pas impossible non plus. On l’avait bien vu lors de l’affaire Epad.
Que pouvions nous attendre d’intelligent de la part de Sarko qui s’est couvert de ridicule lors de son interwiew par Laurence Ferrari en affirmant que « le co² détruisait la couche d’ozone » ?
Sarko est certes un « vilain menteur », mais en aucun cas un « doux rêveur ». Les seuls rêves qu’il poursuit sont des rêves de grandeur pour lui-même, et basta !
@ l’auteur, merci d’avoir rappelé la vérité, sarkozy est un manipulateur de vérité génial, mais il est avant tout un manipulateur tout court, rien n’empêchait la France d’appliquer unilatéralement la taxe carbone, il oublie aussi de dire que cette taxe, injuste, à été retoquée par le conseil constitutionnel, et on ne peut qu’approuver cette décision, car à regarder de plus près, les gros pollueurs échappaient à cette taxe, grace aux « aménagements » que sarkozy lui avait ajouté, pénalisant uniquement les classes modestes. il est temps que ce bouffon s’en aille vendre ses salades ailleurs. et le plus vite sera le mieux. ils sont peu nombreux ces français qui tombent maintenant dans le piège du discours pseudo écolo du président, qui par cette piètre astuce, espère récolter des voix pour son camps aux prochaines élections.
Sarko n’est pas ma tasse de thé, mais vraiment pas, mais je lui tire mon
chapeau, sachez les gueux qu’il en a cure de vos jérémiades, il a le POSTE qu’il
a convoité, alors vous pouvez tout dire et tout faire, il s’en tamponne le
coquillard, le moment venu, la moitié de ceux qui ici le mettent au pilori
seront les premiers a revoté pour lui, il suffira qu’il vous jette l’os adéquat,
parce que le français est bien connu pour être un « gentil râleur », mais sans
mémoire, prêt a redonné le bâton pour se faire battre, il suffit de le lui
demandais gentiment.
Merci Mr Bonnet d’avoir quand même essayé d’ajouter une nouvelle pièce à
charge contre Sarko, mais vous perdez votre temps.
Habituellement je désigne les médias par le mot MERdias et je n’ai aucune
considération pour les journalistes, vous êtes l’exception et croyez-moi il en
faudrait beaucoup comme vous pour que cette profession la retrouve a mes
yeux.
Ouah... ça fait vraiment du bien de dire tout ce que l’on a à coeur
Si vous savez lire, vous remarquerez que je ne critique pas l’échec de Sarkozy mais son mensonge que Copenhague serait « infiniment mieux » que Kyoto. Quant aux causes du réchauffement, c’est la loi du profit, celle du capitalisme libéral mondialisé, qui fait que l’environnement est sacrifié sur l’autel des dividendes à verser aux actionnaires...
Qu’attendiez-vous d’un pervers narcissique ? Un mea culpa peut-être ? Ce type est tellement mytho-mégalo qu’il est convaincu de ses mensonges. Si personne ne l’arrête, un jour, il affirmera que l’eau coule de la mer vers les montagnes. Et parce que personne à l’UMP n’osera contredire le Kondukator, cela deviendra un axiome.
*Gaz à effet de serre : *
*fiscalité verte et rouge et service public de l’énergie verte.
L’échec de la solution marchande aux émissions de GES explique le
recours à la fiscalité chez les adversaires de la solution étatique.
Evidemment ce recours doit pas pour eux gêner les entreprises. En
contrepoint grandit l’idée de fiscalité écologique redistributive et
celle d’un grand service public de l’énergie propre. Face à la double
dévastation sociale et écologique il faut
d’urgence forger une même double protection, ce qui impose de relier en
permanence les questions sociales et écologiques.
* Echec de la marchandisation de l’écologie.
En décembre 2009, Copenhague la Conférence de l’ONU qui doit conclure
les négociations internationales portant sur la suite à donner au
Protocole de Kyoto adopté en 1997, entré en vigueur en 2005, mais
arrivant à échéance en 2012 a confié aux mécanismes de marché le soin de
réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Depuis 2005, les États membres de Union européenne distribuent
gratuitement aux secteurs industriels les plus émetteurs des quotas
d’émission de dioxyde de carbone qu’ils ne peuvent dépasser mais peuvent
échanger entre eux sur le marché en cas de manque ou de surplus.
Ces mécanismes se sont révélés incapables d’aider à amorcer une
véritable régulation et ont fourni aux financiers un nouveau terrain de
spéculation sur le prix du carbone. L’échec est tel que l’idée de créer
une fiscalité écologique a fait son chemin, jusque dans les rangs des
plus opposés traditionnellement à toute intervention étatique. Les prix
des marchandises produites et
consommées n’incluent pas le coût des dégradations infligées à
l’environnement. Le marché est donc aveugle et il est également sourd
aux préoccupations écologiques qui montent
dans la société.
**
* Une fiscalité injuste contre les petits particuliers mais
respectueuse du marché et des entreprises*
Le choix de l’assiette comme le type de fiscalité est critiquable. Outre
les critiques portant sur l’exclusion du nucléaire et sur le niveau de
prélèvement de la taxe carbone il y a surtout celle de son uniformité.
Elle s’apparente à une TVA supplémentaire dont le principe est de frapper
indistinctement le ménage riche et le ménage pauvre. L’accent mis sur la
seule modification du comportement des consommateurs comporte le risque
d’oublier que, le plus souvent, ce sont les producteurs (d’énergie,
d’automobiles, d’équipement ménager, d’emballages…) qui dictent leurs
choix. La situation s’aggrave encore pour le consommateur particulier,
souvent pénalisé au niveau de son habitat, des sources d’énergie et des
transports auxquels il a accès. La ristourne de l’État, sous forme de "
chèque vert " inspiré par Nicolas Hulot et défendu par Jean-Louis
Borloo, à leur bénéfice est un compensation factice en totale incapacité
à réduire son injustice fondamentale.
*Le service public national pour la recherche et la mise en réseau de
l’énergie propre.
Il ne s’agit pas de laisser l’énergie propre aux riches avec éolienne
dans le jardin ou dans le lotissement de luxe. Il importe de relier la
recherche fondamentale et appliquée à la création d’un grand service
public national des énergies renouvelable.
Comme aucune source d’énergie renouvelable n’est à elle seule (solaire,
éolien, biomasse, etc.) capable d’assurer la transition de sortie des
énergies fossiles et nucléaire, il faut donc que les investissements
d’avenir prévoient la mise en réseau de toutes les énergies
alternatives. C’est une raison supplémentaire de refuser la
libéralisation des marchés de l’énergie, au vu de la taille des
investissements nécessaires. Ceux-ci impliquent de telles
immobilisations de capital, et donc de coûts fixes, disent les
économistes, qu’il est fort à craindre que l’anticipation de la
production de tels biens collectifs serait sacrifiée dans une logique de
rentabilité. Le contrôle du secteur de l’énergie par la collectivité est
donc indispensable, car ni une taxe carbone, fût-elle bien pensée, ni un
système de quotas échangeables ne peuvent répondre à ce souci.
Le CO2 blablabla, est un mythe, les ressources énergétiques limitées aussi.
Il y a sur la Lune 1 millions de tonnes d’hélium 3, la Chine envisage son exploitation. H3 non polluants, sur la Lune, il y a environ 10 000 ans d’énergie, on peut allez la chercher.
Il faut démonter tout le système informatif et faire taire les éscrologistes.
Les meilleures nouvelles ne sont pas médiatisées. Notre monde ne peut pas porter l’espoir. e-Change 1, va repérer une zone d’alunissage pour e-Change 2.
Change !!! Vous voici sur la piste. L’idée ! Il faut la mener à terme.
C’est la bulle verte voulue par les grandes corporations apatrides dont les intérêts sont relayés par les institutions européennes. Sarkozy se fait simplement le chantre de ce mondialisme économique et politique et cette vision est partagée par l’ensemble de l’élite européenne acquis aux intérêts anglo-saxons . Voilà l’Europe telle que prévue par ses concepteurs et pilotée par les
intérêts anglo-saxon et les grandes corporations mondiales qui ont tous
les relais institutionnels pour faire adopter des lois et règlements
européen favorables à leurs intérêts !!! Il n’y a pas d’autre Europe
possible. Il faut sortir du traité de Lisbonne et reprendre notre
souveraineté nationale, que le pouivoir revienne au peuple et pour le
peuple. La sortie de l’Europe de Lisbonne ne sera pas un chaos mais une
mesure de salubrité,elle n’empêche pas de siéger au conseil de l’Europe
et de valider les autres traités et règlements jugés acceptables. Il
faut gagner notre indépendance, caractéristique de notre identité
nationale !!!
Un lien pour voir quel profil est
apprécié pour les postes clefs de la commission européenne. Nomination
de la nouvelle commissaire bulgare Kristaliva Georgeva
Formation anglo-saxonne, ex-vice présidente de la banque mondiale,
et qui sera adjointe de catherine Ashton la haute représentante aux
affaires internationales.... La souveraineté du peuple n’existe plus. Europe = despotisme