DSK se dévoile à Francfort
Le 19 novembre, lors de colloques bancaires qui se sont tenus à Francfort, Dominique Strauss Kahn a dévoilé sa pensée sur plusieurs sujets économiques, sociaux, et touchant à l’Europe. S’agissant d’un possible candidat à la Présidence de la République, il nous parait important que ces positions soient connues le plus largement possibles.
26 réactions à cet article
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Comment peut-on continuer à promouvoir une politique aussi absurde qui prouve tous les jours ses effets nuisibles pour les citoyens ?
Comment peut-on oser se présenter à des élections comme candidat « socialiste » alors que la seule politique que l’on propose est de continuer celle qui ne favorise que les plus riches, ceux qui spéculent et détourne les richesses produites, au détriment de tous les autres ?
Le système s’effondre, le chômage explose, les pays se ruinent à sauver des banques qui spéculent avec l’argent des contribuables, les hommes politiques affichent tous les jours leur ignorance au mieux, leur cynisme plus probablement.
La corruption règne partout, les paradis fiscaux sont florissants, les délocalisations appauvrissent les citoyens et ruine les systèmes sociaux, la pollution et l’exploitation des hommes prospèrent dans en Chine et en Inde.
Et on essaie encore de nous vendre un type dont la queue trimbale des tonnes de casseroles mais qui, d’un point de vue économique et politique, semble ne rien voir, ne rien entendre, ne rien comprendre mais tout dire comme s’il vivait sur une autre planète et non pas dans notre monde en cours de basculement.
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Il est donc très clair (pour ceux qui avaient encore des doutes à ce sujet) que DSK est le porte parole de la classe de Davos, cette oligarchie financière dictatoriale et antidémocratique, qui vise à asservir le monde à travers son Nouvel Ordre Mondial.
On ne peut donc compter ni sur la « droite traditionnelle » (UMP, MODEM / MR, CDH) ni sur la « gauche traditionnelle » (PS) pour résister à cette mise en place d’une dictature mondiale.
Seul une forte abstention et/ou un grand nombre de votes aux petits partis peuvent, sur le plan strictement électoral, ébranler la machine. Écarter l’UMP, le MODEM et le PS lors des prochaines élections présidentielle, dès le premier tour, est la seule solution pour éviter de se faire bouffer ensuite (et ça, c’est le résultat de ce système majoritaire antidémocratique au possible).
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Euh ... l’abstention ou le vote pour des petits partis de témoignage, je crois qu’ils s’en foutent complètememt.
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Et donc, on fait quoi ? On lance des bombes ?
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Je viens de voir que vous soutenez les fascistes, sans comprendre que fascisme et libéralisme se sont toujours bien arrangé. Ce n’est pas IG Farben qui dira le contraire...
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Je suppose que vous faites référence à mon intervention dans le sujet de M. Asselineau ?
Vous faites erreurs en affirmant péremptoirement que je soutiens des « fascistes ».
Certes, je partage l’opinion émise par M. Asselineau concernant l’U.E. et la dictature bancaire via la BCE. Et quoi ?
Cela ne signifie pas que je soutienne des « fascistes », ni même que je soutienne le mouvement politique de M. Asselineau, figurez-vous ! Je soutient seulement son analyse des causes de la situation inacceptable dans laquelle bon nombre de pays - dont la France - sont plongés.
Parce que M. Asselineau émarge à droite sur l’échiquier politique, je devrais le conspuer et le traiter de fasciste ? Allons, citoyen, un peu de mesure, je vous prie. Si vous avez un tant soi peu le cœur à l’esprit démocratique, vous pouvez considérer que l’on puisse émettre des opinions différentes sans pour autant taxer ces opinions différentes de fasciste, n’est-ce pas ?
Maintenant, vous avez le droit de vous opposer au projet politique de M. Asselineau, et je ne vous dénie certainement pas ce droit. Mais s’il vous plait, faites-le avec plus de discernement et de réflexion : ne diabolisez pas vos adversaires, et moins encore vos potentiels alliés. Ce faisant, vous vous desservez, et vous desservez votre cause et le mouvement que vous défendez.
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@ Morpheus
<< Seule une forte abstention et/ou un grand nombre de votes aux petits partis peuvent, sur le plan strictement électoral, ébranler la machine. >>
d’accord avec le reste mais la solution que tu proposes est exactement la stratégie qui fait gagner ceux là même que tu dénonces (abstention et éparpillement des voix sur les petits partis courte échelle )
tu roules pour eux ou quoi !!????
Voter pour un seul petit candidat qui en a , autre que les petits partis traditionnels, un candidat porteur de changement de système à savoir faire la 6ème République , sortir de l’euro et de l’europe pour être raccort avec le vote réferendum (non à l’europe du fric ) des Français, çà c’est un objectif rassembleur qui balaye les clivages politiques !!!!! Ceci dit dans la merde où on est faudra pas trop chipoter sur le dit candidat mais le considérer comme un passe murail !!! Après les citoyen(ne)s décideront dans les élections qui suivront ...
Pas d’abstentions mais prendre du plaisir en allant voter !!!!
C’est possible la preuve !!!
juste après les 10 secondes de pub
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=pDGXMsmjYcE -
Peut-être avez-vous raison quant à la stratégie. L’ennui, c’est que les candidats des petits partis sont assez nombreux, ce qui a pour conséquence de semer la confusion pour un nombre important d’électeurs, peu soucieux de s’informer et qui se contentent d’écouter les grands médias traditionnels et leurs faux débats et analyses, qui contribuent à faire le jeu des grands partis traditionnels. Ces électeurs « paresseux » sont une manne pour les partis traditionnels. Combien de citoyens ont une démarche citoyenne et cherchent à s’informer par eux-mêmes sur les programmes des petits partis et les alternatives qu’ils proposent ?
A cela vient se poser le problème du nombre de candidats des petits partis. Aussi bien à droite qu’à gauche - ou même ceux qui cherchent à dépasser le clivage gauche-droite (pas facile, il faut bien l’admettre).
Cette situation en elle-même fait le jeu des grands partis, dans la mesure ou le réflexe est souvent de voter pour des personnalités connues, dont on parle tout le temps, simplement parce que leur présence continuelle semble rassurante (bien souvent, les personnes peu informées, mais saturées de télévision, se contente de répondre à ce réflexe quasi pavlovien). -
Certes, il serait naturellement plus efficace de concentrer un maximum de voix sur un seul candidat des petits partis. Mais lequel ? Ceux qui ont plutôt une sensibilité de gauche vont se tourner vers la Front des Gauches (donc J.L. Mélanchon), ce qui semble le plus probable et le plus efficace (l’attitude isolationniste de O. Besancenot n’est pas très constructive), ou encore Europe Ecologie (pour ceux qui ont peur des « extrêmes ») ; ceux qui ont une sensibilité de droite voteront pour N. Dupont-Aignan, F. Asselineau, M. Le Pen, J. Cheminade ou F. Bayrou ...
Ne croyez-vous pas qu’il serait alors plus raisonnable de constituer un Front Unis de Transition ? Mais qui oserait s’y engager, qu’ils soient à droite ou à gauche ? Et même au cas très improbable où un tel front voyait le jour, lequel des candidats serait à même d’être accepté par tous pour les représenter ? La situation est kafkaïenne. Elle montre bien les limites de cette « démocratie » représentative et du système majoritaire.Quant à l’abstention - ou mieux le vote nul (existe-il en France ?), si elle était particulièrement importante, pourrait aussi être un signe de désaveux pour le système et la classe politique. Par contre, vous avez raison de souligner qu’ à moindre importance, elle fait le jeu des partis traditionnels. C’est l’avantage des systèmes où le vote est obligatoire : dans pareil cas, l’abstention est un véritable acte politique (forme de désobéissance civile ayant un sens politique).
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(désolé pour le texte en gras, c’est involontaire, je ne sais pas ce qui s’est produit - bug)
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Jean-Claude :
Les partis de gauche européens (non marxistes) portent une lourde responsabilité dans ce rendez-vous manqué de l’Histoire.
Aussi sont-ils absoluments non crédibles sur tous les projets de protectionisme, de sortie de l’Europe, etc,
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Très vrai appliqué aux partis de gauche, qui ont une lourde responsabilité dans le développement du mondialisme.
Mais je crois Marine capable de nous sortir de ce merdier (l’euro, l’Europe, le mondialisme).-
Bonjour catherine, je ne partage pas vos conviction quant-à Marine, en revanche oui, définitivement oui, l’UMPS n’est pas en mesure de nous sortir de ce trou sans fond dans lequel ils souhaitent nous précipiter à coup de pelleteuses...
je reste persuadé que la seule chose qui pourrait nous sortir de tout ça serait un gouvernement d’union nationale, où tous ceux de bonne volonté et un temps soit peu droits se rejoindraient le temps d’un quinquennat pour remettre la france debout, et fière de l’etre...Tous, je dis bien tous y auraient une place, y compris Marine, qui dans sa conviction reste une des rares personnalités politique (tout comme son père) droite.je ne partage aucunement ses vues globalement, mais il reste qu’a certains égards elle n’a pas tort et donc tout comme d’autres, d’autres bords, elle aurait au moins autant sa place dans cet utopique gouvernement.cela rejoint ce que vous disiez hier sutie à mon commentaire...arrive un moment ou tous les bords se rassemblent et se serrent les coudes face à l’adversité.......bref comme les français l’ont toujours fait...on se rale dessus, on se tape desssus mais entre nous... pour peu qu’un autre arrive, on se ressere on lui tape dessus et ensuite on se rengueule.....mais c’est aussi ça notre ame... -
@BABAYAYA
Puissiez vous avoir raison.
Il manque cependant un projet fédérateur, une vision, et le FN ne l’a absolument pas. -
Y en a-t-ils qui voient encore un socialiste dans DSK ?
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Je suis scandalisé par cet article qui est tout bonnement MENSONGER
Voici le lien vers le discours de DSK à Francfort :
http://www.imf.org/external/np/speeches/2010/111910.htmSur la réduction du temps de travail, je traduis : « Le niveau de vie européen a cessé de s’améliorer pour une raison principale : les citoyens ne réalisent plus leur plein potentiel. Pour partie, cela reflète un choix social conscient de travailler moins d’heures. Il n’y a là aucun problème - après tout le bonheur ne vient pas seulement de l’argent. Mais il y’a également un aspect plus sombre. Le chômage est élevé de manière persistante en Europe, et l participation au monde du travail est bas depuis longtemps, surtout pour les femmes. Une raison principales est que les règles du marché du travail favorisent les gens en place au détriment des exclus. »
Puis-je faire plus clair : 35h, bien, chômage et exclusion pas bien.
Idem sur la passage sur la démocratie : DSK explique que c’est l’opinion académique que que c’est pas ça qu’on va faire.
Ce torchon est un tissus de mensonges dégeulasses. Je repecte toujours les gens qui participent au débat démocratique quelles que soient leurs opinions. Je ne supporte pas les gens qui mentent pour salir. Les prochaines fois que je passerai sur l’interface de publication, je vérifierai particulièrement les articles de cet auteur quand il rapporte des propos de gens qu’il critique.
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Mea culpa, après vérification ces travestissements viennent du Figaro et de Marianne. Je prie l’auteur d’accepter mes excuses pour ma charge qui était mal dirigée...
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Il vaut mieux en rire va, mais tu sembles honnête camarade.
Tu notera que quand le Figaro fait des ronds de jambe au candidat de Gauche, il y a matière à se poser des questions non ? -
@ Tonio,
Il n’y a pas de travestissement, ni de ma part, ni de la part du Figaro et de Marianne.
Bien sur, on peut toujours citer un passage un peu plus longuement et gagner quelques nuances, mais sans que le fond soit changé.
Votre citation plus longue de DSK ne me rassure en rien sur son programme. Il dit :
« »Le niveau de vie européen a cessé de s’améliorer pour une raison principale : les citoyens ne réalisent plus leur plein potentiel. Pour partie, cela reflète un choix social conscient de travailler moins d’heures. Il n’y a là aucun problème - après tout le bonheur ne vient pas seulement de l’argent. Mais il y’a également un aspect plus sombre. Le chômage est élevé de manière persistante en Europe, et l participation au monde du travail est bas depuis longtemps, surtout pour les femmes. Une raison principales est que les règles du marché du travail favorisent les gens en place au détriment des exclus.«
Je comprends :
1 si vous travaillez moins longtemps, c’est un choix et cela explique la diminution de votre niveau de vie
2 les règles du marché du travail »favorisent les gens en place« ... oh les méchants travailleurs qui ne se laissent pas licencier ... ce serait si sympa pour les »exclus" ! -
@ Tonio suite
S’agissant de la démocratie et du respect du droit des Etats, c’est bien en son nom propre (et non en résumant l’opinion d’autrui) que parle DSK. Il ressort de son discours qu’il pense vraiment qu’il faudrait tenir le Conseil (= les Etats) davantage à l’écart des grandes décisons, et privilégier une impulsion par le « centre ( = la Commission et Bruxelles en général) même s’il pense que ce ne sera pas réalisable tout de suite.
Voir à cet égard ce long extrait sans coupure ni résumé de ma part :
»A center-driven agenda
How can such a comprehensive reform agenda be best achieved ? There is no single grand solution, but challenges on this scale can only be solved in a collaborative manner. Just look at the lessons of recent European history. When the agenda is driven by the center, things happen. Think of the single market program, or of monetary union. But when the agenda is left with the nations, things stall. Think about labor and service market reforms, especially through the Lisbon agenda.
Peer pressure has not served Europe very well. It’s time to change course. The center must seize the initiative in all areas key to reaching the common destiny of the union, especially in financial, economic and social policy. Countries must be willing to cede more authority to the center. Mechanisms must be redesigned to give them the incentives to reform.
Progress is being made on a number of fronts, but we are still some distance away from an effectively functioning economic union—the missing “E” in EMU !
Many issues revolve around budgets. The most ambitious solution—extensively discussed in the academic literature—would be to create a centralized fiscal authority, with political independence comparable to that of the ECB. The authority would set each member’s fiscal stance and allocate resources from the central budget to best hit the dual targets of stability and growth.
Such a leap toward European political integration appears unlikely in the foreseeable future, but we should exploit other ways of moving in this direction. There are at least two ways.
One is to shift the main responsibility for enforcement of fiscal discipline and key structural reforms away from the Council. This would minimize the risk of narrow national interests interfering with effective implementation of the common rules. Within the existing institutional context, the Commission—as the guardian of Europe’s treaties—could play such a role. A separate, independent, institution could work as well.
Finally, it would make sense to increase the size of centrally-allocated budgetary resources. This means going beyond the current EU budget, strictly limited by the Treaty, to a system that uses more transparent EU-wide instruments—such as a European VAT, or carbon taxation and pricing."
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Ah, mais là on est dans une vraie discussion. Sur le temps de travail : il est évident que quand une société travaille collectivement moins, elle gagne collectivement moins (en termes de production). Par contre, elle peut gagner en qualité de vie. Là pour le coup, j’ai un peu de mal à voir ton problème ? Tu gagnes ce que tu produits (sauf endettement...)
Sur les exclus : quid par exemple du partage du travail ? Sans partage du travail, les inclus font plein temps et les exclus zero
Sur le « centre » : DSK repousse bien la question « ultra » du centre techno. Pour le reste, c’est un fait que c’est la Commission qui fait historiquement avancer l’Europe et pas les Etats. Si on veut que ça avance (et la crise de l’Euro est là pour montrer que ce n’est pas inutile), alors il faut que ça pase par le centre. Sinon on fait du souverainisme en carton-pête, comme l’Irlande : je suis souveraine, je ne délègue rien au centre. Sauf qu’en pratique ça peut êter un peu compliqué. La question est ailleurs : le centre doit il être démocratique ou rester technocratique ?
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Ouais , article interessant mais sujet déjà traité hier ... un peu en retard Mlle. Seguanne.
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/quand-dsk-parle-europe-au-congres-84791
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Comment osez vous contester le futur programme du parti socialiste et du candidat PS-FMI ???
Non ,je ne peux croire cela !!!
Entre SARKOZY et le FMI des socialistes,je préfére encore 10 ans de SARKOZY car on est sur de ne pas se retrouver au niveau d’un pays du tiers monde
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Ouais... dix ans de choréla à la place de la peste quoi.
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@ lermanipulateur
au tiers monde de Trop scan tu nous proposes le tiers payant de Starco !!!!
Va te faire foutre enfoiré ! :-> -
Il semble que l’évidence de la position à droite de DSK n’est plus à démonter mais quid du pacte triangulaire de non agression ; Aubry et Royal , pactisant avec le président du FMI, s’alignent de fait sur sa position politique.
Cela signifie que l’« opposition » UMP PS ne sera au sommet qu’une comédie pour conquérir la magistrature suprême pour satisfaire à des intérêts ou des ambitions personnels.
Mais le pire des pièges pour la gauche est bien les présidentielles. Déjà la farce des journées à répétion contre la loi sur les retraites avaient pour objectifs réels non le retrait de la loi, jamais exigé au PS ni à la tête des grandes confédérations syndicales, mais l’affichage d’une mobilisation pour 2012. Ensuite la campagne présidentielle est obligatoirement polluée par le chantage à l’unité pour le second tour : que signifie un pacte républicain pour se rallier au Président du FMI ou à l’une de ses complices ?
Enfin faire des présidentielles l’ échéance principale, c’est se priver d’engager les combats urgents pour ne pas être broyés par les diktats de la finance et le rouleau compresseur des « réformes » sarkozistes.
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En 2012 les Présidentielles ne changeront pas grand chose. Le jeu est pipé. Plus d’un siècle que dure ce manège (fausse) gauche ou (vraie) droite et jamais de réels changement de société !
J’invite toutes celles et tous ceux qui présentent comme « neufs » leurs champions « à gauche » d’examiner (à la loupe) le parcours de leurs politicards favoris. Pas un qui ne traîne de casseroles, qui n’ait ou rien dit contre les privatisations Jospin alors qu’il était au gouvernement ou même appelé à voter le traité inique de Maastricht par exemple.
Récemment on retrouve le nom d’une autre au bas d’une résolution européenne, véritable coup de poignard contre le régime des retraites par répartition pour lequel des millions de gens sont descendus dans les rues.
Ras-le-bol des hypocrites arrivistes ! Seule l’organisation des gens du peuple à la base et pour renverser cette société capitaliste par la force du nombre et instaurer l’égalité sociale est un espoir sérieux de changer la donne.
Le reste c’est du Bla-bla...
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