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Accueil du site > Actualités > Politique > Législatives 2024 (46) : les socialistes entraînés dans la destitution...

Législatives 2024 (46) : les socialistes entraînés dans la destitution...

« Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. » (Article 68 alinéa 1 de la Constitution du 4 octobre 1958).

Ce mardi 17 septembre 2024 à 9 heures 30, le bureau de l'Assemblée Nationale s'est réuni dans les salons de la Présidence de l'Assemblée Nationale, à l'Hôtel de Lassay, pour sept points, et c'est le sixième point qui est le plus important : « 6. Examen de la recevabilité de la proposition de résolution présentée par Mme Mathilde Panot et plusieurs de ses collègues, visant à réunir le Parlement en Haute Cour en application de l’article 68 de la Constitution et de la loi organique n° 2014-1392 du 24 novembre 2014 ». Il s'agit de la procédure de destitution du Président de la République selon l'article 68 de la Constitution. Je l'avais déjà évoquée il y a un mois. Le bureau a adopté la recevabilité de la motion de destitution déposée par le groupe FI et l'a transférée à la commission des lois pour son examen.

En effet, ce n'est pas une surprise puisque Jean-Luc Mélenchon avait annoncé dès le 17 août 2024 dans "La Tribune Dimanche" qu'il comptait engager cette procédure si Emmanuel Macron ne nommait pas Lucie Castets à Matignon. Un chantage qui ne se révéla pas vraiment efficace puisque deux semaines plus tard, Michel Barnier a succédé à Gabriel Attal. Du coup, les insoumis ont donc fait ce qu'ils avait dit, tenter la procédure en sachant pertinemment qu'elle n'aboutirait pas puisqu'il faut notamment l'accord des sénateurs (où la gauche est ultraminoritaire) et ensuite le vote du Parlement en Congrès avec une majorité des deux tiers de ses membres, soit plus qu'une révision constitutionnelle qui ne nécessite qu'une majorité des trois cinquièmes.
 

L'entreprise est donc vouée à l'échec, et pourtant, elle est engagée dans le seul but de faire du bruit, de la mousse médiatique, de perdre le temps précieux des parlementaires, et de renforcer les conflits au sein de la société française. C'est le but du gourou des insoumis qui veut détruire les institutions de la Cinquième République. Rappelons alors plusieurs choses.

Et d'abord, rappelons que la démission ou la destitution du Président de la République ne débloquerait absolument pas la situation inextricable de l'Assemblée divisée en trois blocs de même taille, car le nouveau Président de la République, le cas échéant, ne pourrait pas plus dissoudre avant l'été 2025 qu'Emmanuel Macron. Un changement à l'Élysée ne réglerait donc aucun problème de cette XVIIe législature.
 

La procédure de destitution est récente, elle a moins de dix ans ; elle a été mise en place par la loi organique n°2014-1392 du 24 novembre 2014, à la suite de la dernière révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 (voulue par Nicolas Sarkozy). Cette procédure était une sorte de toilettage de modernité de la procédure de haute trahison. L'idée était double : d'une part, si le Président de la République n'était plus en capacité physique ou mentale d'exercer ses fonctions et qu'il n'en avait plus la lucidité, les parlementaires pourraient trouver une porte de sortie ; d'autre part, si le Président de la République faisait n'importe quoi (exemple de Paul Deschanel qui descendait du train en pyjama), ou agissait contre l'intérêt national, par exemple en complotant avec un ennemi de la France, alors les parlementaires pourraient l'exclure du pouvoir.

Cette nouvelle procédure permet donc de résoudre surtout les problèmes de santé qui se sont posés avec des Présidents malades ou âgés après la triple expérience de Georges Pompidou, François Mitterrand et Jacques Chirac, puisque les cas de haute trahison sont ultrarares dans l'histoire de France (sur le dernier siècle, on ne compte que Philippe Pétain, mais cette procédure, si elle avait existé, n'aurait servi à rien puisque la grande majorité des parlementaires, issue des élections du (vrai) Front populaire de 1936, ont voté les pleins pouvoirs à Pétain).

Les mélenchonistes ont choisi de guerroyer pour transformer cette procédure en outil politicien. Double : un outil médiatique (faire du bruit autour de la destitution), et un outil institutionnel. Si même le RN est réticent devant cette procédure, c'est bien parce qu'il y a un grave risque de transformation de cette procédure en manipulations politiciennes. Du reste, les insoumis ne sont pas les premiers à tenter de l'utiliser politiquement puisque les parlementaires LR avaient tenté, en 2016, sans succès heureusement, de destituer François Hollande après la publication du livre "Un Président ne devrait pas dire ça" (de Fabrice Lhomme et Gérard Davet) qui lui valut l'impossibilité politique de se représenter à l'élection présidentielle.

Le risque de transformation institutionnel, c'est de remettre en permanence la légitimité politique du Président de la République. Or, celle-ci provient du peuple français, seul souverain dans son vote, libre, secret et sincère. Pour rappel, Emmanuel Macron a été élu en 2017 par 66% des Français et réélu en 2022 par 59% des Français. L'oublier serait une grave erreur : malgré son échec électoral (réel) après la dissolution, Emmanuel Macron reste totalement légitime car réélu pour cinq ans et son mandat se termine en mai 2027 et il entend aller jusqu'au bout, quoi qu'il advienne, il en a le droit constitutionnel. Malgré leur échec électoral, François Mitterrand (en 1986 et 1993) et Jacques Chirac (1997) ont gardé toute leur légitimité à finir leur mandat.

Vouloir s'embarquer dans cette procédure de destitution, sans motivation institutionnelle (« cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat »), c'est accepter le principe que voudraient imposer les mélenchonistes, celui du mandat révocable : ce qui serait une aberration politique. Les mandats sont déjà trop courts pour faire quelque chose dans la durée, vouloir permettre leur révocation ferait que les élus ne feraient plus rien, ou pire, ne feraient plus que de la démagogie. Le contraire du courage et de la vision dans l'engagement.
 

Ce qui est donc absolument stupide, c'est de confondre des considérations institutionnelles et des considérations politiciennes. Ces dernières, en l'occurrence, signifieraient qu'il y a un désaccord dans l'interprétation des résultats des élections législatives de 2024 et leurs conséquences. Pour Jean-Luc Mélenchon, la nouvelle farce populaire (NFP) aurait gagné les élections et devrait gouverner, ce qui est totalement en opposition avec l'arithmétique parlementaire : cette coalition n'a qu'un tiers des sièges et ne peut pas gouverner sans s'élargir vers le centre. Mais les mélenchonistes ont toujours refusé cet élargissement. Emmanuel Macron a donc eu raison de rejeter l'option NFP puisqu'elle n'aboutirait pas à un gouvernement viable, car rejeté par les deux tiers de l'Assemblée.

Au contraire, l'attitude prudente du Président de la République a été salutaire, car peu de responsables politiques auraient su quoi faire le soir du 7 juillet 2024 avec de pareilles responsabilités ! Emmanuel Macron a tenté le centre gauche avec Bernard Cazeneuve : le rejet incompréhensible des socialistes, quoi qu'ils en disent, l'a obligé à se tourner vers le centre droit avec Michel Barnier. Sur la nomination du nouveau Premier Ministre, Emmanuel Macron est peu critiquable sur le plan politique et absolument irréprochable sur le plan constitutionnel, même si chacun a ses préférences (et on peut les citer puisque des dizaines de candidats plus ou moins volontaires s'étaient fait connaître pour Matignon). Vouloir destituer Emmanuel Macron parce que sa chouchou inconnue n'a pas nommée relève du caprice d'enfant gâté (très gâté si l'on en croit son patrimoine).

Dans cette folie mélenchonesque, qui est ce qu'elle est et on n'est pas étonné par l'excessif débordement du gourou, ce qui est le plus condamnable, c'est que les insoumis ne comptent que 72 députés sur 577 mais ils agissent avec une force de frappe de 193 députés parce que leurs partenaires sont de véritables larbins du gourou pour des raisons compréhensibles uniquement par cynisme : avoir le plus de sièges possibles, et donc, le plus d'argent possible (car un siège rapporte de l'argent public chaque année au parti).

Rappelons un point de procédure : pour pouvoir débattre en séance publique de la motion de destitution, il faut l'adoption par la commission des lois, mais auparavant, l'accord sur la recevabilité de l'initiative par le bureau de l'Assemblée Nationale. C'est là où l'absence, en pleine nuit, celle du 19 au 20 juillet 2024, d'un certain nombre de députés macronistes a été désastreux car cela a fait basculer l'avantage numérique au NFP pour l'élection des douze secrétaires de l'Assemblée. Aujourd'hui (et pour un an), le bureau de l'Assemblée compte douze députés NFP sur vingt-deux, soit une majorité absolue, mais il y a deux députés PS dans le bureau, si bien que si ces deux députés refusaient de déclarer recevable la demande de destitution, les mélenchonistes n'auraient plus que dix voix sur vingt-deux. Dans ce dossier, le PS a donc une position cruciale.

La posture du parti socialiste est à cet égard instructive, d'autant plus condamnable que cruciale. J'avais cru depuis 1981 qu'il était un parti de gouvernement. Je constate que depuis 2022, il est un parti de rebelles pas plus éduqués que les insoumis. Olivier Faure a déjà mené le PS à 1,7% à l'élection présidentielle ; jusqu'où descendra-t-il en 2027 ? Peut-on avoir un pourcentage négatif ?!

Le grand écart adopté le lundi 16 septembre 2024 par le groupe des députés PS est incroyable d'hypocrisie. En effet, le communiqué explique : « Le bureau de l'Assemblée Nationale ne doit pas se voir confier un rôle de juge de l'opportunité politique de cette initiative. Cette résolution étant signée par plus d'un dixième des membres de l'Assemblée et motivée, nos représentants au bureau de l'Assemblée Nationale voteront en faveur de sa recevabilité. ».

Donc, les socialistes ne vont pas empêcher que les parlementaires perdent leur temps dans un débat qui n'a pas lieu d'être. Ce communiqué est particulièrement fumeux puisque si ! le bureau de l'Assemblée doit effectivement juger, pour sa recevabilité, si cette motion de destitution correspond bien aux faits reprochés en rapport au manquement évoqué dans la Constitution. Les socialistes sont tellement anesthésié ou peureux de la colère du grand maître insoumis qu'ils n'osent plus avoir leur propre libre arbitre. C'est grave et cela remet en cause le principe fondamental de notre démocratie parlementaire, celui de la décision libre en conscience de chaque député (rappelons que le mandat impératif est anticonstitutionnel).

Mais c'est le grand écart puisque les députés socialistes n'attendent pas de connaître les arguments avancés dans l'éventuel futur débat pour avoir déjà leur conclusion : « Nous sommes résolument opposés à cette procédure de destitution héritière de la procédure d'exception pour "haute trahison". Les députés socialistes et apparentés ne sont pas à l'initiative de cette procédure, n'en sont pas signataires et s'opposeront unanimement à cette proposition de destitution lors de son examen en commission des lois puis en séance publique. ». En gros, très courageusement, en traduisant : cette procédure, nous la permettons car nous avons peur de l'ogre Mélenchon et ses sbires, mais c'est pas nous, c'est eux !
 

N'osant pas donner les vrais arguments à leur refus sur le fond (cette destitution n'a pas lieu d'être car il n'y a pas de manquement constitutionnel), afin de garder la face devant le camarade Mélenchon, les députés donnent de piètres arguments pour rassurer sur leur antimacronisme chronique : « Nous considérons en effet que cette procédure de destitution consistera essentiellement à remettre le Président de la République au centre du débat politique et à lui donner une légitimité nouvelle car cette procédure est, compte tenu des conditions à réunir, vouée à l'échec. Nous ne voulons donner aucune victoire à Emmanuel Macron. Le pouvoir n'est plus à l'Élysée, il est au Parlement. ». En gros, traduction : c'est parce que nous détestons Macron que nous sommes contre sa destitution. Comprenne qui pourra !

Alors, pourquoi avoir accepté la recevabilité de cette motion, si ce n'est pas par masochisme promélenchonesque ? Certainement pas par intérêt national.

D'ailleurs, les députés socialistes donnent un argument que j'ai évoqué plus haut, il y a mieux à faire au Parlement : « L'urgence est ailleurs. Les forces de gauche doivent se concentrer sur les batailles qui vont peser sur le quotidien des Françaises et des Français, sujets dont le nouveau front populaire s'est emparé pleinement. ». Visiblement, les socialistes sont stupides : ils ouvrent la porte à un débat qui leur fait perdre du temps et les disperse dans leurs objectifs. Pourquoi n'ont-ils pas immédiatement fermé la porte pour s'occuper vraiment des Français ? Ils sont les complices de Jean-Luc Mélenchon, y compris François Hollande élu en Corrèze uniquement grâce au soutien des insoumis, qui, eux, ne pensent pas à l'intérêt des Français mais à défoncer les institutions comme des délinquants qui foncent dans les barrages routiers.


Donc, honte aux socialistes d'être les complices de cette destruction calculée et progressive de la démocratie française ! Les électeurs n'auront pas la mémoire courte à ce sujet. Remettre en cause la légitimité du Président de la République, c'est grave, c'est remettre en cause toutes nos institutions, notre bien commun, et c'est particulièrement étonnant de la part d'un vieillard pervers pourtant obsédé par la seule élection présidentielle. Destituons plutôt son parti, considéré comme une menace pour notre démocratie par 71% des sondés !


Aussi sur le blog.

Sylvain Rakotoarison (17 septembre 2024)
http://www.rakotoarison.eu


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36 réactions à cet article    


  • chantecler chantecler 18 septembre 08:53

    Et comment fait on pour destituer un rakoto ?

    Quelle et la procédure pour se débarrasser de ce lèche cul ?


    • Aristide Aristide 18 septembre 12:25

      @chantecler

      C’est ben vrai, la censure, il n’y a que cela d’efficace ...


    • chantecler chantecler 18 septembre 13:13

      @Aristide
      Si vous le dites !


    • tashrin 18 septembre 14:53

      @chantecler
      Faites comme tout le monde ici, lisez le titre, déduisez le contenu, et passez directement aux commentaires :)


    • Reman 23 septembre 08:54

      Depuis le début il paraît évident que roto est colabo
      La solution ! ne pas lire ses articles pourris 
      Ou occasionnellement voir les commentaires ..
      autre solution éviter ce site il y en a d’autre bien plus instructifs et
      Sans colabos 


    • Fergus Fergus 18 septembre 10:10

      L’attitude des socialistes est d’autant plus consternante qu’ils ont annoncé vouloir voter contre cette destitution en Commission des Lois.

      A juste titre, car les conditions d’engagement d’une telle procédure ne sont pas du tout réunies.

      Elle n’était par conséquent pas recevable et n’a, de toute façon, pas l’ombre d’une chance d’aboutir.


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 septembre 10:24

        @Fergus
         
         ’’ Elle n’était par conséquent pas recevable et n’a, de toute façon, pas l’ombre d’une chance d’aboutir ’’
        >
        Oui oui, c’est pourquoi elle a été validée par le bureau de l’assemblée :
         
         « à la majorité, les membres du Bureau de l’Assemblée ont considéré que le Prséident (actuel) de la République n’était plus le garant du bon fonctionnement des institutions républicaines et que donc le débat devait avoir lieu devant l’ensemble du peuple français. »
         
        Fergus, vous êtes devenu une machine à désinformer. Ou peut-être bien que vous avez contracté le virus du larbin.


      • tashrin 18 septembre 11:02

        @Francis, agnotologue
        Non il a raison
        Le PS fait des dingueries... ils ont appuyé la recevabilité pour envoyer un message à LFI (on est tjrs avec vous les gars, on s’oppose) tout en annoncant qu’ils soutiendraient pas le vote à l’assemblée, ce qui rend mathematiquement impossible une issue favorable. Et tout le monde le sait, d’autant plus qu’ils l’ont dit ouvertement
        C’est dire à quel niveau de bassesse intellectuelle et clienteliste ils en sont reduits pour survivre...
        Quant au sketch de meluche... C’est du meluche


      • Fergus Fergus 18 septembre 11:18

        Bonjour, Francis, agnotologue

        il s’est agi d’un vote politique, pas d’un vote basé sur des éléments factuels de droit constitutionnel !

        Que Macron disparaisse du paysage politique, je ne demande pas mieux. Mais cela passera plus sûrement sur la chute d’un ou deux gouvernements dans les prochains mois qui impliquerait de facto (mais non de jure) sa démission.
        En tout état de cause, si l’on devait en arriver là, mieux vaudrait que cela se produise à la fin du printemps prochain, l’Assemblée ne pouvant être dissoute avant juillet 2025, comme l’a fort justement souligné l’auteur.

        Vos insultes  à côté de la plaque, comme souvent  me laissent de marbre.


      • Fergus Fergus 18 septembre 11:19

        Bonjour, tashrin

        « C’est dire à quel niveau de bassesse intellectuelle et clienteliste ils en sont reduits pour survivre...
        Quant au sketch de meluche... C’est du meluche
         »

        100 % d’accord.


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 18 septembre 11:49

        @Fergus,
        @tashrin,
        oui, bonjour.
         
         Il y a une différence entre les deux affirmations :
        « Cette demande de destitution n’était pas recevable  »
        et « « C’est dire à quel niveau de bassesse intellectuelle et clienteliste ils (le PS) en sont reduits pour survivre...  »
        Comme il y a une différence entre un cou de semonce e une frappe sans préavis.
         
        Ce que je vous reproche c’est d’amalgamer coupablement les deux, et par conséquent au bénéfice de Macron. Désolé.


      • Aristide Aristide 18 septembre 12:17

        @Fergus

        C’est qui ces zigues à qui vous tressez des louanges ? Ah, oui, les principaux participants du NFP... socialistes et insoumis ? Vous avez voté pour qui ?

        Je sais que la cohérence n’est pas votre fort mais là !!!


      • tashrin 18 septembre 14:28

        @Aristide
        +1


      • Fergus Fergus 18 septembre 17:58

        @ Aristide

        En politique, je n’ai jamais « tressé de louanges » à quiconque !
        Tout au plus ai-je approuvé de temps à autre telle ou telle initiative, mais trop rarement, eu égard à la médiocrité de nos gouvernants. 


      • Aristide Aristide 19 septembre 11:41

        @Fergus

        Vous devriez relire ce que j’ai écrit, c’est en réponse aux « compliments » sur les socialistes et méluche que vous approuvez ...

        C’est une antiphrase, vous savez, la figure de style dont l’objectif n’est pas de mentir au lecteur, mais bien de faire ressortir une opinion grâce à son contraire et de faire comprendre qu’on ne pense pas ce qu’on dit. Cette fois çi, « Compliments » en est une autre !!!

        Mon propos, le vrai, au premier degré, est mon « étonnement » sur votre propension à voter pour ceux que vous traitez de médiocre. En fait, je ne suis pas étonné de votre incohérence, c’est encore une figure de style ...


      • Fergus Fergus 19 septembre 16:32

        Bonjour, Aristide

        Je n’ai strictement aucune « propension » à voter pour des médiocres, je vote pour celui ou celle qui me semble un moindre danger relativement à mes attentes de justice sociale pour les classes populaires !!! 


      • Aristide Aristide 20 septembre 12:33

        @Fergus

        Voter est un acte responsable, il me semble, voter pour une personne, c’est simple !!! C’est lui accorder son droit de citoyen et en faire son représentant.

        Et si un jour, vous avez un Reconquête face à un RN , vous faites quoi !!! Vous ne savez pas, moi je sais, je vais à la pêche…

        Pire si un jour, vous avez un LFI face à un communiste, vous faites quoi !!! 


      • Fergus Fergus 20 septembre 15:24

        Bonjour, Aristide

        Si j’ai « un Reconquête face à un RN », je vote blanc.
        Si j’ai « un LFI face à un communiste », je vote communiste.


      • Aristide Aristide 22 septembre 13:12

        @Fergus

        Si j’ai « un Reconquête face à un RN », je vote blanc.

        Vous voyez bien que votre justification de voter pour le moins mauvais ne tient pas la route !!! La justification de votre vote blanc est évidente, vous ne voulez pas associer votre vote à Reconquête, pour quelle obscure raison cela ne vous gène pas quand il s’agit de voter Macron pour faire obstacle à Le Pen.

        On voit bien que cette stratégie du « vote contre » aboutit simplement à un déni démocratique. Combien d’électeurs qui ont suivi le vote pour écarter le RN, se retrouve à admettre qu’ils ont voté pour des adversaires politiques qui revendique le pouvoir. Imaginez le trouble de l’insoumis qui a voté LR pour faire obstacle, ou le LR qui a voté NFP de la même manière !!! 


      • tashrin 18 septembre 10:12

        On s’en fout

        C’est du bruit pour rien

        Les pauvres, faut bien leur laisser un nonosse à ronger pour qu’on parle d’eux apres la branlée qu’ils viennent de se manger, lol


        • Octave Lebel Octave Lebel 18 septembre 11:44

          Le dessous des cartes.

           

          Un président content de lui qui s’essuie les pieds sur les votes de ses concitoyens, dont on finit par apprendre ( tout finit par arriver) les conciliabules tenus avec la présidente du RN qui lui a fait les gros yeux ensuite en pensant donner ainsi le change sur ces arrangements et cette débandade politique où le duo connaît les attentes de l’oligarchie d’ici et d’ailleurs sans trop savoir comment s’y prendre pour nous l’imposer. À deux, par leur improbable équipée depuis 2017, ils viennent d’achever la Vème république. L’un en déconsidérant la fonction présidentielle déjà vacillante, telle que voulue par cette république maintenant en lambeaux, avec orgueil, comme par jeu, avec le goût malsain du spectacle et de l’épate. L’autre, se trompant toujours de porte, de moment et de sujet, en s’en disant digne et capable de la tenir. Qui serait restée insignifiante sans ce que sont devenus les médias.

          Le président qui a fondé cette république, jamais politiquement égalé depuis et de loin, muni d’une majorité sans discussion, se voyant désavoué, s’est retiré. Et une demande de démission ne paraît pas la démarche politique adéquate à des députés qui viennent d’être portés par nos suffrages alors qu’à l’évidence le temps de fonder une VI° république est venu et que le plus tôt sera le mieux. Comment ne pas penser que ces gens, censés nous représenter, redoutent en réalité une république conjuguant la justice sociale avec la responsabilité démocratique partagée entre tous les citoyens voulant dorénavant une démocratie en actes. Avec les moyens qui permettent de la faire vivre et de la défendre.

          Soyons un peu concrets. Leurs intérêts financiers en jeu, une partie de l’électorat LREM et LR, mesurée à 60%, front républicain ou pas, vient de donner des mandats au RN chaque fois qu’il était opposé au NFP et le refera si besoin. Pendant qu’une partie des électeurs du RN croit encore voter pour un parti social et souverainiste. Et c’est comme cela d’élection en élection depuis les législatives de 22.En présentant encore et toujours la politique comme enfermée dans les règles d’un jeu de plateau pour initiés, politiciens et médias cherchent à nous contrôler et mener par le bout du nez comme si nous n’étions pas à l’origine de la légitimité politique, ni à la source de la création des richesses, ni capables de réfléchir à l’organisation de l’intérêt général, ni en mesure de décoder les comportements électoraux et les mettre en rapport avec les combinaisons à l’oeuvre et la propagande dont nous sommes la cible.


          • Aristide Aristide 18 septembre 12:27

            @Octave Lebel

            ... la propagande dont nous sommes la cible.

            Excellente conclusion pour cette diatribe insoumise…


          • tashrin 18 septembre 14:35

            @Octave Lebel
            Un président content de lui qui s’essuie les pieds sur les votes de ses concitoyens, dont on finit par apprendre ( tout finit par arriver) les conciliabules tenus avec la présidente du RN

            Ben ouais captain obvious, les mathematiques, c’est dur à désavouer...
            Ne vous en deplaise, les gagnants veritables du scrutin de juin, c’est le RN malgré les ptits arrangements entre amis que le NFP et les macronistes se sont évertués à mettre en place. La confiance est silencieuse, le doute est bruyant... Et ils disent rien les lepenistes, ils savent compter...
            Et malgré cette collusion avec ceux que vous appelez vos ennemis (et c’est d’ailleurs la troisieme fois que vous leur sauvez la mise juste avant qu’ils vous la fassent à l’envers... a croire que vous aimez ca...), le parti en position d’influer sur les décisions de l’AN, ben c’est les lepenistes, et certainement pas l’attelage heteroclite des sarouels diaboliques... qui en plus sont pas d’accord entre eux, ce qu’on sait tous depuis longtemps.
            Ca fait 1000 ans qu’on vous l’explique... Entre les appels à marcher sur l’elysee, le delire castets, et vos prises de position provoc, ben... pchitt !
            La lecon que vous devriez (peut etre, mais on se fait pas d’illusions...) tirer, c’est que les macronistes sont une planche pourrie qui vous fait cocu à chaque fois
            La vraie question, c’est pourquoi vous y revenez...
            Lol


          • chantecler chantecler 18 septembre 16:06

            @tashrin
            Quand les cocus passent leur temps à traiter les autres de cocus ça me fait marrer .
            Ca me rappelle un dessin de Reiser :

            Un type avait fabriqué un casque avec deux rétroviseurs et se demandait pourquoi tout le monde rigolait dans son dos !

            Parce que, hein, les cocus c’est comme les cons : c’est toujours les autres !
            Qu’un cocu soit lui même cocu ça ne lui vient même pas à l’esprit !


          • tashrin 18 septembre 16:54

            @chantecler
            Cool bro, et sur le fond ?


          • Octave Lebel Octave Lebel 18 septembre 17:37

            @tashrin

             « La vraie question, c’est pourquoi vous y revenez... »

            1. Panique à bord. On dirait que les chiens de garde sortent les uns après les autres pour aboyer faute d’arguments un peu consistant à apporter dans la même veine que celle qui a suivi la présidentielle puis les législatives de 22, puis celles de 24 où malgré un 27 sur 27 accordé par les médias de milliardaires et leurs instituts de sondages , malgré la collusion des électorats LREM,LR et RN, le RN s’est ramassé en ayant eu quand même le temps de nous faire la démonstration qu’en dehors de sa propagande populiste, il n’y avait en réalité pas de véritable programme économique, pas de réponse construite et réfléchie sur la retraite ni sur l’équilibrage des ressources et recettes sans parler de vos candidats, qui eux n’ont pas besoin d’être caricaturés pour inquiéter. Quand vos propres électeurs s’en rendent compte, saturés de démagogie presse-bouton, vous espérez quoi, encore une nouvelle rafale de sondages sur mesure pour les hypnotiser, l’hystérisation du sujet immigration comme a déjà l’air d’y penser votre partenaire Barnier.  

            2. « les gagnants veritables du scrutin de juin, c’est le RN » « Et ils disent rien les lepenistes, ils savent compter... »

            Pour une fois, nous sommes d’accord, L’encadrement lepéniste sait très bien ce qu’il fait et pour qui il roule → « Soyons un peu concrets. Leurs intérêts financiers en jeu, une partie de l’électorat LREM et LR, mesurée à 60%, front républicain ou pas, vient de donner des mandats au RN chaque fois qu’il était opposé au NFP et le refera si besoin. Pendant qu’une partie des électeurs du RN croit encore voter pour un parti social et souverainiste. Et c’est comme cela d’élection en élection depuis les législatives de 22. »


          • Octave Lebel Octave Lebel 18 septembre 17:54

            @Octave Lebel@tashrin

            Et cela , c’était avant même les élections.

             « Des dîners secrets entre la Macronie et le RN ? L’ancien Premier ministre Édouard Philippe et l’actuel ministre des Armées Sébastien Lecornu auraient participé à des dîners avec Marine Le Pen et Jordan Bardella ces derniers mois ». D’après le quotidien, Libération l’ex-député, « un temps écarté des premiers cercles de l’Élysée », est « à nouveau dans le jeu  » en tant qu’« agent de liaison entre la macronie et l’extrême droite ».

             https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/quand-edouard-philippe-et-marine-le-pen-dinaient-ensemble-chez-thierry-solere-proche-de-macron_236691.html


          • Octave Lebel Octave Lebel 18 septembre 18:01

            @Aristide

            Pour vous rappeler ce que vous savez et informer la partie de l’électorat du RN qui n’est pas encore au courant.

            Je vous parie, que vu la panique, ce bon Barnier et cette charmante Marine vont commencer à dire que, « les supernantis, question impôts, va falloir faire un effort » et même que Marine va prendre son ton sévère pour en rajouter un peu pour se démarquer smiley

             

            → Les cadeaux aux riches d’Attal et de Bardella : le choc fiscal dont on ne parle pas (Boris Bouzol-Broitman 1/07/2024 de l’institut Rousseau).

             https://lvsl.fr/les-cadeaux-aux-riches-dattal-et-de-bardella-le-choc-fiscal-dont-on-ne-parle-pas

            le NFP propose une baisse de l’impôt sur le revenu et de la CSG pour 92 % des Français, financée par une hausse pour les plus riches, ce qui rend la réforme budgétairement neutre.

            Le programme du NFP est en réalité le seul entièrement chiffré et financé. Il est d’ailleurs soutenu par plus de 300 économistes renommés internationalement, dont la Prix Nobel Esther Duflo. A l’inverse, le RN et Ensemble proposent de nombreuses baisses d’impôts, sans aucun chiffrage ni piste de financement. Mais les éditorialistes peuvent dormir tranquille : ce sont bien aux plus riches du pays que s’adressent ces cadeaux fiscaux.

            Commençons par décrypter les mesures proposées par le RN à destination des jeunes. La suppression pure et simple de l’impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans... Elle ne changera pourtant rien à la situation de la majorité des jeunes qui perçoivent des revenus trop faibles pour être assujettis à cet impôt. Cela représentera en revanche un cadeau de 1,3 milliard d’euros aux 10% des jeunes les plus riches.Jordan Bardella souhaite exonérer d’impôt sur les sociétés les patrons de moins de 30 ans. Mais en réalité, une infime minorité de jeunes entreprises payent l’impôt sur les sociétés puisque la plupart ne sont pas encore rentables ou bénéficient déjà de régimes fiscaux favorables. Cette mesure bénéficiera donc uniquement aux quelques jeunes patrons dont les entreprises sont particulièrement florissantes. Elle risque par ailleurs de créer des possibilités de fraude fiscale, des parents pouvant par exemple enregistrer leur entreprise au nom de leurs enfants. Ce cadeau leur permettra d’augmenter leurs marges nettes et donc leurs dividendes… qui ne seront eux-mêmes pas taxés pour les patrons de moins de 30 ans. La boucle est bouclée.

            En outre, Jordan Bardella maintient la « flat tax » mise en place par Emmanuel Macron et dont la conséquence est qu’en France, les revenus du travail sont bien davantage taxés que les revenus du capital. Alors même que depuis 2017, le salaire horaire réel dans le secteur marchand a baissé de 4,8% tandis que les dividendes augmentaient de 85%. Et que cette politique de baisse de la fiscalité du capital n’a eu aucun effet bénéfique pour l’économie, de l’aveu même du comité d’évaluation de France Stratégie mis en place à la demande du président de la République.

            etc...

             

             


          • chantecler chantecler 19 septembre 06:08

            @tashrin
            Sur le fond ? c’est du tashrin autrement dit c’est miné .
            Tout le monde n’est pas Voltaire , lequel je l’ai appris il y a peu , est mort dans des circonstances atroces .
            Comme quoi la causticité permanente dans la communication avec les autres , ne porte pas toujours chance .


          • tashrin 19 septembre 11:01

            @chantecler
            C’est bien
            Et sur le fond maintenant ?


          • Aristide Aristide 19 septembre 11:49

            @Octave Lebel

            Votre logorrhée insoumise devient de plus en plus imbuvable.

            Quelle nécessité à mettre en avant les positions démagogiques de votre adversaire préféré pour essayer de donner quelques crédibilités aux vôtres ...

            Il n’y a plus que les inféodés à croire à toutes ces balivernes ...


          • Aristide Aristide 19 septembre 12:14

            @tashrin

            Le fond ? Chanteclerc ? Vous ne percevez pas une certaine contradiction dans cette association de mots ?


          • tashrin 19 septembre 12:39

            @Aristide
            On sait jamais, un eclair soudain...
            Bon, à sa decharge, faut reconnaitre que c’est vraiment n’imp...
            Les gens qui votent extreme gauche ont du voter macron et se retrouvent avec la droite, mais qui veut augmenter les impots des riches !
            Le RN defend les juifs, ce qui fait tache pour des nazis selon le logiciel gaucho
            Les macronistes ont du pour certains voter extreme gauche pour eviter le RN mais finalement doivent negocier avec le RN
            C’est un bordel...


          • Aristide Aristide 19 septembre 12:45

            @tashrin

            Ce n’est que le résultat d’un seul comportement : le fait de voter contre un candidat et non pour. Car derrière le candidat, il y a TOUJOURS un programme que l’on ne peut ignorer !!!

            Aucune constitution ne peut résister à ce « détournement démocratique » consistant à voter pour un candidat dont on ne partage rien au prétexte que l’autre est encore plus nocif.


          • tashrin 19 septembre 16:05

            @Aristide
            je suis d’accord


          • ETTORE ETTORE 18 septembre 19:24

            Le « Rakoto », le panneau publicitaire graaaaand formol, de la Macro-n’Hideux....

            Il touille, il touille votre présidiot...La gamelle sur le feu .

            A force, il crée au forceps, le vortex qui fait resurgir la mélasse de fond de son parti, collée a la gamelle démo-crade-Hic, avec le seul avantage d’entrainer tous les autres, dans une ronde folle

            ( où, il semblerait qu’ils se tiennent tous par la main, comme pis de vaches à traire et cocus à décorner )

            A part, ce manège typé « barbe à papa », habillé de rose, et filé vaporeux, le reste à nettement moins d’importance que ce que le scribe en tailleur ( la position, pas la jupe) Rakoto, veut bien nous le pondre si tiède.

            C’est le « vert-tige » de l’amour, et ça, Rakoto, il ne s’en remets toujours pas !

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