Nouveau scandale Sanitaire : l’#ANI des laboratoires #MEDEF est hautement toxique
La nouvelle tourne en boucle dans les médias spécialisés en santé sociale : le produit de la marque “ANI”, fabriqué par les laboratoires de l’entreprise MEDEF, présente, selon un nombre de plus en plus croissant de spécialistes indépendants, un risque avéré et majeur d’intoxication pouvant même entrainer la mort professionnelle chez un grand nombre de salariés. L’ANI est un produit dérivé du libéralisme financier élaboré par la filiale “Choc de Compétitivité” et qui aurait pour fonction, selon ses concepteurs, d’accroitre la tonicité circulatoire des flux RH. Dans un communiqué récent, le MEDEF, la maison mère, allait jusqu’à venter l’apport historique de ce nouveau produit pour la santé professionnelle en France, en prétendant que cet “ANI” favoriserait une baisse significative du chômage. Mais en réalisant des analyses chimiques sur ce principe actif, des chercheurs reconnus et incontestables ont mis en lumière non seulement sa haute toxicité pour les cellules industrielles, mais également pour l’ensemble du métabolisme économique en général.

Des dégâts irréversibles sur le système immunitaire de l’entreprise.
img125768|left>Alors que l’ANI est supposé renforcer la vitalité de l’entreprise, les analyses mettent en lumière son effet dévastateur sur le code du travail, cet organe essentiel dont la principale fonction est de protéger le salarié. Ainsi, l’ANI détruirait les récepteurs prud’hommes des cellules de défense de l’entreprise en cas de fortes poussées de licenciements abusifs. Pire, il forcerait certains salariés de l’entreprise à muter vers d’autres régions ou postes de travail sans leur consentement. Ou encore, en raison de son principe actif d’une puissance redoutable, il pourrait forcer l’organisme à considérablement réduire son temps de travail et ainsi sa rémunération qui constitue pourtant son apport principal en oxygène. Les salariés se verraient alors frappés d’hypoxie sociale. Mais il y a pire. En cas de licenciement provoqué par un simple refus du salarié de se voir muter à l’autre bout du pays ou de voir son salaire baisser, le seul remède connu à ce jour et qui consistait à mettre en place une cellule de reclassement pour accompagner le salarié vers une nouvelle activité professionnelle sera rendu impossible.
Des essais cliniques aux résultats catastrophiques.
Ce produit a déjà été testé dans d’autres pays, en particulier en Grèce. Ce qui n’a pas empêché la nécrose de plus de 27% du marché du travail, avec certains organes, en particulier les jeunes, touchés à plus de 60%. Certains salariés ou chômeurs n’ont alors pas hésité à s’euthanasier plutôt que de voir leur état général se dégrader. Déjà, le même phénomène pathologique arrive en France. Cela n’empêche pourtant pas le gouvernement français d’envisager une Autorisation de Mise sur le Marché de l’ANI sans aucune modification. Mais cette AMM est d’ores et déjà contestée par certains membres du conseil de l’ordre des secrétaires nationaux du PS. Ainsi, Gérard Filoche, affirme, preuves à l’appui, qu’il existe 52 effets secondaires qui peuvent, dans de nombreux cas, provoquer la mort du salariat tout entier.
Un risque de pandémie de récession majeur.
Ce que craignent surtout les chercheurs indépendants, en particulier Jean-Luc Mélenchon et son centre de recherches appliqués à la santé sociale, le Parti de Gauche, c’est une pandémie de récession mondiale qui touchera d’abord les plus fragiles. En effet, partout où des produits tels que l’ANI ont été administrés, les mesures d’austérité se sont amplifiées, les plans sociaux ont augmenté infligeants aux pays qui ont décidé de ces AMM une dégradation de leurs constantes biologiques avec engagement de leurs pronostics vitaux. Certaines grandes nations ont même, pour prolonger leur temps de vie, mis en vente certains de leurs organes vitaux, à l’image de la Grèce déjà citée qui vend ses services publics. Le gouvernement français s’est porté candidat pour faire l’acquisition de certains organes grecs, candidature ironique d’un état qui s’apprête à vivre la même pathologie morbide.
L’Autorisation de Mise sur le Marché peut encore être stoppée.
La mobilisation de tous les acteurs en santé sociale est désormais indispensable pour empêcher le gouvernement de délivrer une AMM mortifère. Il s’agirait même d’une première si cette AMM devait être accordée car les risques sont d’ores et déjà connus grâce aux essais cliniques. Il serait donc totalement incompréhensible que l’ANI bénéficie d’une autorisation de mise sur le marché alors que son inéfficacité est connue, sa toxicité reconnue. Sauf à considérer certains conflits d’intérêts qui existeraient entre les laboratoires MEDEF et le gouvernement français. Cependant, des mobilisations s’organisent un peu partout avec, entre autre, une grande journée d’action le 5 mars prochain pour stopper la procédure d’AMM. Enfin, les députés de gauche, majoritaires, peuvent engager des transformations profondes de ce produit Made In MEDEF, afin de le rendre, au minimum, inofensif pour le salariat français. A la condition qu’ils aient pleinement conscience d’avoir été élus pour défendre la santé des salariés français et non celle des laboratoires MEDEF.
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