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Accueil du site > Actualités > Politique > Où est la viande, monsieur le président Sarkozy ?

Où est la viande, monsieur le président Sarkozy ?

Pour la presse anglo-saxonne, il est temps que le président Nicolas Sarkozy passe à la vitesse supérieure.

« Il court vite mais où va-t-il ? », se demande l’hebdomadaire The Economist à propos de Nicolas Sarkozy. Une interrogation qui résume bien l’état d’esprit de la presse anglo-saxonne libérale qui reste partagée entre l’admiration vis-à-vis du volontarisme du président français et le scepticisme quant à l’efficacité de toutes ses promesses et déclarations d’intentions.

Au chapitre satisfecit, on trouve, pêle-mêle, la conclusion d’un mini-traité européen, les premières réformes fiscales en France (baisse de l’ISF et mise en place d’un bouclier fiscal), la libération des infirmières bulgares (avec un bémol sur le caractère opportuniste de l’intervention française), le projet d’une « Union méditerranéenne » (dont les contours restent à déterminer), le rapprochement symbolique avec les Etats-Unis (une rupture avec le style Chirac particulièrement appréciée par le très conservateur Wall Sreet Journal) et le discours musclé à l’encontre de l’Iran dont les dirigeants savent désormais que la France est favorable à une action militaire au cas où Téhéran chercherait à se doter de l’arme nucléaire.

Mais, comme le relève The Economist, il est temps pour le président français de passer à un autre stade que celui du bagoût médiatique. « Time to deliver », peut-on lire ici et là. La France va-t-elle changer d’opinion vis-à-vis de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne ? Va-t-elle réintégrer l’Otan ? Son président, et son gouvernement, vont-ils cesser de s’en prendre à la Banque centrale européenne (BCE) et à la valeur de l’euro ? Et que va faire Sarkozy en matière de réforme du droit du travail ?

Autant de questions qui traduisent l’impatience, encore indulgente, des médias libéraux pour qui le salut de la France ne peut passer que par plus de réformes, notamment plus de flexibilité sur le marché du travail...

En tout état de cause, la question qu’ils posent désormais à Nicolas Sarkozy est la suivante : « Nicolas, where is the beef ? » « Le fumet des promesses est plaisant, mais où est la viande ? », se demande ainsi The Economist. Une manière polie de dire que le forcing médiatique ne sert qu’un temps...

Pour la petite histoire, cette expression très populaire aux Etats-Unis, remonte à la campagne électorale pour l’élection présidentielle de 1984. Lors de la course à l’investiture démocrate, le candidat Gary Hart - dont plus personne ne se souvient aujourd’hui - avait multiplié les promesses médiatiques pour « une nouvelle manière de penser », se présentant, avec force marketing médiatique, comme le nouveau Kennedy.

Lassé de ce discours creux, son adversaire Walter Mondale - dont on se souvient un peu - avait eu cette phrase célèbre inspirée d’une publicité pour une chaîne de restauration rapide : « Okay, now, but, mister Hart, tell us where is the beef ?  » La suite est connue, incapable de préciser ses pensées et de donner du fond à son discours, Gary Hart a perdu la course à l’investiture face à Mondale (lequel n’a, malheureusement, rien pu faire contre Reagan, mais il s’agit d’une autre histoire...).

« Où est la viande, monsieur le président Sarkozy ? » Voilà certainement une expression que l’on risque d’entendre souvent au cours des prochains mois...


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36 réactions à cet article    


  • bernard29 candidat 007 3 septembre 2007 11:02

    Mais c’est évident qu’il n’y a pas de viande. Sarkosi ne va nulle part. Il est déjà arrivé où il voulait être.

    Son seul souci est d’assurer un bon « management » de sa situation personnelle. Cad ; affirmer un bon maintien de popularité (présence médiatique populiste tout azimut) et de rendre innopérante une opposition éventuelle par deux techniques éprouvées ; 1) on mouille tout le monde ; c’est l’ouverture ; et 2) on multiplie les sujets de discussion en même temps, pour éviter les convergences potentielles des insatisfactions.

    Pour cela il faut du souffle et une bonne condition physique. C’est ainsi que le Jogging est devenue l’arme politique essentielle pour Sarkosi. Pour espérer le battre en 2012, la gauche devra faire se mettre au marathon.


    • valentin1979 4 septembre 2007 11:13

      Le souffle ne fait pas tout : il parait que ceux qui se mettent au jogging tardivement risquent beaucoup plus les attaques cardiaques.

      L’imagerie médiatique a ses limites...


    • Marie Pierre 3 septembre 2007 11:34

      Bonjour Akram,

      Et si l’on rajoute ton article sur le livre de Yasmina Reza, on comprend qu’on est pas près d’avoir la viande.


      • Vilain petit canard Vilain petit canard 3 septembre 2007 12:14

        Je ne suis pas sûr que Sarkozy ait pour seul souci « d’assurer un bon management de sa situation personnelle ». Je crois qu’il a réellement envie d’agir et de changer des choses. Le problème, c’est justement sa façon de faire : l’agitation médiatique, les commissions, et la croyance qu’en annonçant une loi, cela suffira pour que les choses s’arrangent. C’est la victoire de la parole sur l’action.

        De plus, les limites de sa personnalité l’empêchent (à mon avis) de voir plus loin que des lieux communs de classe, ou tout au moins d’un certain milieu : sa dernière proposition (ou l’avant-dernière, je ne sais plus) de faire juger quand même les criminels déjà jugés irresponsables montre bien ces limites.

        Je n’aime pas le personnage (j’avertis honnêtement), cependant je trouve qu’au moins, sa volonté de bouger oblige à remettre en question des choses, et oriente le débat vers les résultats plutôt que sur les intentions. Le problème, c’est d’abord qu’il n’y a plus d’opposition digne de ce nom, deuxièmement que la presse est comme tétanisée par la flagornerie, et troisièmement, que... les résultats vont se faire attendre : on ne peut gérer une économie nationale comme un problème d’ordre public dans les banlieues.


        • valentin1979 4 septembre 2007 11:30

          Je ne crois pas, au contraire, qu’il ait envie de changer les choses. Je pense plutot qu’il utilise les évènements à sa guise, en y répondant par du répressif.

          Ca marche : regarde Bush avec ses exécutions dans le Texas, regarde Guiliani à New York et sa tolérance zéro. Ca marche parce qu’il y a un troisième élément dans ce système : l’appui des médias et des Grands Groupes.

          Il connait très, très, très bien le système des médias ; il sait quel message leur donner, comment créer des polémiques, du bruit, pour que les vrais débats soient éludés : pendant qu’on polémique sur un pseudo-éventuel rétablissement de la peine de mort en France, qui parle de la piètre situation économique à laquelle les choix de Sarkozy contribuent ?

          L’art de la diversion.

          Je n’ai pas lu les Machiavel, les Sun Tsu. Je commence simplement à bien connaitre ce personnage, et j’en apprends peut-etre plus qu’en lisant ces bouquins !


        • Forest Ent Forest Ent 3 septembre 2007 12:14

          Le plat de résistance, il a commencé aujourd’hui avec la privatisation de GDF au bénéfice de quelques vieux copains. C’est là qu’on entre dans le dur.


          • spartacus1 spartacus1 3 septembre 2007 15:42

            Bah, la privatisation de GDF, cela ne fait que quelques cocus de plus, ceux qui avaient crus Sarkozy lorsqu’il disait qu’il ne privatiserait pas GDF !

            Ils vont rejoindre les autres cocus, ceux qui avaient crus Sarkozy lorsqu’il disait que la Turquie ne devait pas rentrer dans l’Europe.

            Ils sont cocus, mais contents, puisque, selon les sondages, Sarkozy recueille l’approbation d’une majorité de français.

            Enfin, pour autant que l’on croie aux sondages. Pour ma part je n’y crois pas, à moins que les français soient schizophrènes, parce qu’un sondage lui donne une cote de popularité de plus de 65 % et un autre nous dit que moins de 36% des français font confiance à Sarkozy pour lutter contre la vie chère !


          • stephanemot stephanemot 3 septembre 2007 12:24

            Tant que Sarko brasse du vent, il n’y a pas trop de danger. La question que je me pose n’est pas « où est la viande » mais « où est l’os » ? Pas le truc sensé me nourrir, mais le truc sensé m’étrangler.

            Le Petit Nicolas s’est engagé sur la laïcité et la voie des modérés pendant la campagne, je continue à le scruter avec circonspection...


            • aurelien 3 septembre 2007 12:26

              la viande Karsher, euh Kasher ?


              • aurelien 3 septembre 2007 12:29

                La presse anglo-saxonne est-elle cannibale ?


                • aurelien 3 septembre 2007 12:53

                  C’est un bonne période pour devenir végétarien...


                  • tvargentine.com lerma 3 septembre 2007 13:10

                    Vraiment,ces anglais !

                    Toujours le même discours et les mêmes articles de presse sur la France.

                    Quand on voit que l’industrie anglaise n’existe plus,que toute leur technologie dépendent des américains,les journaleux de viande anglaise devraient balayer devant leur écurie.

                    Non,les français ne ressemblent pas aux anglos-saxon et c’est tant mieux.


                    • Niamastrachno Niamastrachno 3 septembre 2007 13:26

                      Très bon article, avec le style en plus, merci !

                      (La viande, elle est au congelo, mais ça fait tellement longtemps qu’elle y squate, que je me demande s’il ne va pas nous la faire manger avariée...)


                      • patrocle 3 septembre 2007 13:46

                        Après le libéralisme le yakafauconisme

                        Il n’y a q’en France qu’on est capable d’avaler de telles salades....sans la viande bien sur ...La salade suffit car c’est un aliment qui a le mérite de remplir le bol alimentaire sans nourrir réellement.En attendant vu la politique actuelle on rumine. L’exemple type est la prestation sans surprises de Nicolas Sarkozy en terrain conquis en direct de l’Université du Medef qui a été un grand discours d’intention qui s’apparente a un discours de candidat de campagne électorale. Tous les lieux communs y sont passé mais peu de solutions concrètes ont été dites. Le maître mot était je suis l’homme de la rupture qui agit et qui fait ce qu’il dit. C’est bien mais les français n’élisent jamais un Président de la République pour ne pas faire ce qu’il a dit. Donc c’est un peu court. Effectivement on ne peut être que d’accord avec un certain nombre d’éléments d’analyse comme la nécessité de réciprocité dans les échanges commerciaux internationaux ou la régulation des primes aux patrons qui échouent. De même il est évident que l’économie et les entreprises font partie du corps social et que l’économie et le social sont en interaction. Enfin l’incitation à l’investissement dans la recherche a été une des seules mesures annoncée qui est intéressante. Ceci dit globalement l’analyse et les postures volontaristes ne suffisent pas .On aurait pu attendre des mesures précises à la hauteur des enjeux. . Il ne suffit pas que Nicolas Sarkozy dise qu’il réforme toutes les lourdeurs du fonctionnement de l’état pour que cela soit . N’importe quel dirigeant sait que les ressources humaines et le fonctionnement d’une organisation sont des choses complexes. Pareillement il ne suffit pas de dire que la droite est moderne et que l’ensemble des questions doivent être abordées sans tabous pour que cela soit vrai. Les tabous des uns n’étant pas forcément ceux des autres le Président n’a pas abordé une seule fois qu’il existe des travailleurs pauvres dans ce pays. De même est-il vraiment moderne ou sérieux de comparer la rupture d’un contrat de travail au divorce quand la caractéristique du contrat de travail est le lien de subordination donc l’inégalité des rapports. Décidément Nicolas Sarkozy a raison de compter beaucoup sur Jacques Attali car pour l’instant la copie est plus que passable. Comme il l’a dit avec une ironie mal dissimulée « Je suis celui qui sait le mieux exploiter les ressources humaines du Parti Socialiste .Ils ont des gens très bien mais ils ne les utilisent point.. ». Apparemment motivé par cette pique qui a visiblement beaucoup plu à ses interlocuteurs du Medef ,il a aussi rajouté qu’il pourrait être directeur des ressources humaines dans une autre vie. A notre avis après une heure de discours et de verbe , les talents de Nicolas Sarkozy ne se limitent peut être pas au management des ressources humaines . Il aurait sûrement pu être comédien...mais pas dans une autre vie.La viande ne faisant pas partie de ces corps de métier...le beef attendra.


                        • Fred 3 septembre 2007 14:26

                          Effectivement, pour l’instant Sarkozy fait dans la mesurette.

                          Il va etre interessant de voir la loi sur le contrat unique s’il a le cran de le faire et la suppression des regimes speciaux.


                          • valentin1979 4 septembre 2007 11:51

                            Les régimes spéciaux... sans oublier ceux des députés !!!


                          • Fred 5 septembre 2007 09:55

                            Bien sur, il faudrait aussi reformer ceux des deputes et autres politiciens.

                            Je suis pour un contrat unique pour tout le monde : ouvriers, cadres, fonctionnaires... Quand le premier ministre perd son travail, il doit pointer a l’ANPE comme tout le monde.


                          • faxtronic faxtronic 3 septembre 2007 14:39

                             smiley de quoi ils se melent ces rosbeefs, qu’ils aillent crever la bouche ouverte, la France n’est pas une colonie rosbeef que je sache.


                            • White Scarf Pascal 3 septembre 2007 15:24

                              Malgré les dons évidents de M. Sarkozy pour s’agiter devant les caméras, il fait face aux mêmes réalités que tout le monde. Qui a dit qu’il avait réglé quelque chose concernant l’ordre public dans les banlieues ? Avec Sarkozy, c’est facile pour tous de se reporter sur le Président pour penser et agir à notre place. C’est ce qu’il a proposé, d’ailleurs, et il s’est fait élire là-dessus. Napoléon avait déjà fait le coup !

                              On a bien vite oublié, dans la délicate et naturelle habitude qui consiste à déchaîner notre sadisme sur les vaincus, certaines des idées qui ont conduit une bonne majorité des actifs urbains à voter pour Royal. Sa société plus participative, toute floue et maladroitement présentée qu’elle était, offrait une clé que la France n’a jamais encore essayé : mobiliser les français dans la réforme, à travers des processus encadrés.

                              Sans l’énergie du pays, on se limite à gesticuler. Tout politique qui sait ce qu’il faut faire devrait être recyclé aux archives. L’essentiel, c’est de donner aux gens les moyens et l’occasion de vraiment réfléchir et proposer des solutions. Pas facile ! Bien sûr, les socialistes n’ont rien compris à cette idée et Ségolène elle-même n’a pas su la développer. Mais c’est bien là l’avenir - enfin, l’autre avenir que celui qui consistera à se rendormir ensemble au vu des patouillages du clown, ou encore celui d’abandonner une autorité de plus en plus absolue à un sauveur qui nous fera partager ses cauchemars.


                              • Stef 3 septembre 2007 22:39

                                C’est ce que fait Attali !

                                Voir son blog sur http://www.liberationdelacroissance.fr


                              • valentin1979 4 septembre 2007 11:54

                                Attali fait de l’internet participatif.

                                Prend-il en compte cette fameuse fracture numérique ???

                                Les gens dans la dèche n’ont pas toujours internet, donc comment se feront-ils entendre ?


                              • fouadraiden fouadraiden 3 septembre 2007 17:01

                                salam karim

                                tu sais, aux yeux des anglo-américians ,l’impatience dans laquelle Sarko semble les ponger est probablment une réalité . mais tu sais ,à mes yeux ,quand je vois les pequenots qui dirigent le Maghreb(sans qui nous ne serions pas là à nous soucier des dirigeants des autres nations) Sarko me redevient sympathique,comme par magie.

                                j’ai un truc qui doit pouvoir marcher, Karim ,et que j’utilise à chaque fois qu’un dirigieant occidental me déroute et me déprime : penser à la misère de nos pays d’origine et à l’incompétence quasi congénitale qui y règne et qui nous condamne à l’exil.

                                quand tu doutes ici, pense fort au Roi du Maroc ou à notre ami Bouteflika. contre ses deux esbroufes arabes j’acheterais bien un Sarko sans viande !


                                • akram belkaïd akram belkaïd 4 septembre 2007 00:30

                                  J’y pense effectivement souvent. Sarko est un Raïs et il a son Makhzen...


                                • moebius 3 septembre 2007 20:07

                                  C’est vrai font chier ces connards de rosbeef


                                  • moebius 3 septembre 2007 20:10

                                    C’est vrai font chier ces connards de rosbeef


                                    • moebius 3 septembre 2007 20:12

                                      ils sont impatient ! tu parles... ils attendent un pain dans la gueule ?


                                    • Boileau419 Boileau419 3 septembre 2007 20:50

                                      Article nul fondé sur l’idée que la presse anglo-saxonne serait la lumière du monde. Si on nous bassinait les oreilles avec les opinions de la presse lusophone ou swahilophone, je suis sûr que les commentateurs se rouleraient par terre de rire.

                                      Quelle misère que la France en soit venue à se regarder à travers les yeux des autres, surtout quand ce sont foncièrement des ennemis !


                                      • La Taverne des Poètes 3 septembre 2007 21:01

                                        Quels ennemis ? Les ennemis de la France, ce sont les types comme vous !


                                      • La Taverne des Poètes 3 septembre 2007 22:44

                                        Boileau met un temps infini à répondre. Il ressemble à son maître « N’a-qu’un-oeil ». Il se dégonfle comme une baudruche : « Boileau n’a-qu’une-couille ».

                                        P.S Au fait Boileau419, vous avez relayé mon défi auprès de votre maître, une rencontre en direct en public « N’a-qu’un-oeil » face à la taverne des poètes ?


                                      • La Taverne des Poètes 3 septembre 2007 22:46

                                        Ne vous inquiétez pas chère couille molle, sur la photo c’est encore moi, mais à 16 ans. Demain je me rajeunis encore plus !

                                        P.S : au fait, si vous n’êtes pas content, c’est pareil.


                                      • Pinpin 4 septembre 2007 12:23

                                        Parfois il est bon d’avoir un point de vue exterieur.

                                        Peut-être y trouvera-t-on plus d’objectivité.


                                      • moebius 3 septembre 2007 21:42

                                        Les ennemis de la France ne sont pas les petits Bretons bien au contraire la nation bretonne est ami de la France comme l’est l’Alsace, la principauté de Monaco, le grand duché du Luxembourg et....nous ne savons plus quoi dire...et ou est la viande ? oui ou est la viande ?


                                        • La Taverne des Poètes 3 septembre 2007 21:49

                                          « et nous ne savons plus quoi dire. » Eh bien ! Vive la Bretagne ! Vive la France ! La Bretagne est un allié fidèle, fier, et solide. Mais la Bretagne n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds et si on se « fout » d’elle, elle n’aime pas...


                                        • Antoine Diederick 4 septembre 2007 00:36

                                          bon ok vive la Bretagne et les ch’tapias ronds...mais bon...


                                        • Antoine Diederick 4 septembre 2007 00:35

                                          La Turquie n’a pas vocation d’entrer en Europe ...sauf pour faire du business et de faire plaisir aux us qui veulent stabiliser et aboutir sur ce point afin de nous contraindre à leur vision du monde....

                                          Sarko risque de rater une marche ds quelque temps....

                                          La France doit se rénover non pas pour faire plaisir à ses alliés mais parce qu’elle est une grande nation et que sans elle nous n’aurions pas un autre regard sur le monde d’aujourd’hui.

                                          Les impatiences anglo-saxonnes ne tiennent pas compte des nécessités françaises et de son originalité et de son histoire.

                                          Lorsqu’un vrai dirigeant apparaitra en France qui pourra faire les rénovations structurelles nécessaires, nous en reparlerons...

                                          Ensuite, il est temps que les élites française se remettre à travailler sur le modèle d’une France nouvelle en mettant ensemble leurs intelligences et leurs compétences...l’Europe en a besoin...nous en avons tous besoin...

                                          ps : On va pas se laisser « emmerder » !

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