Panique à Bruxelles, la Grèce étudie la sortie de l’euro
Ce sont deux beaux pavés dans la mare que Mme Maria Damanaki, Commissaire européenne de nationalité grecque chargée de la pêche, et Mme Neelie Kroes, Commissaire européenne de nationalité néerlandaise chargée des nouvelles technologies, viennent de lancer coup sur coup.
1) CONFIRMATION OFFICIELLE : DES PLANS DE SORTIE DE L’EURO SONT BIEN À L’ÉTUDE PAR LE GOUVERNEMENT GREC
Dans le journal grec To Vima, Mme Damanaki a révélé que la sortie de son pays de la zone euro était une possibilité à l’étude. Interrogée sur les scénarios envisagés, elle a précisé « qu’il ne s’agissait pas de simples scénarios mais de plans alternatifs. »
2) CONFIRMATION OFFICIELLE : POUR LA COMMISSAIRE NÉERLANDAISE, IL N’Y AURAIT « PAS MORT D’HOMME » SI UN ÉTAT QUITTAIT LA ZONE EURO
Dans le journal néerlandais De Volkskrant, Mme Kroes vient de déclarer qu’ « une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro ne serait pas un drame pour l’UE. Il n’y a absolument pas mort d’homme si quelqu’un quitte la zone euro. On répète toujours que si on laisse un pays partir ou qu’on lui demande de partir, l’ensemble de la structure s’effondre. Mais cela n’est pas vrai. »
On fera d’ailleurs remarquer que, si « mort d’homme » il y a, c’est bien du fait de l’euro.
On ne compte plus, en effet, les suicides de grecs ruinés et désespérés par la crise économique, monétaire, financière, morale, sociale et politique créée par la chimère criminelle de la monnaie commune européenne.
3) PANIQUE À BRUXELLES
Nos lecteurs ne seront pas surpris outre-mesure par ces deux déclarations qui ne sont, ni plus ni moins, que des évidences.
Comme je l’explique dans l’une de mes conférences, toutes les monnaies plurinationales de l’histoire ont toujours fini par exploser et il est toujours bien plus facile et rapide de recréer une monnaie nationale que de faire le chemin inverse.
Et il est tout à fait normal et sain que le gouvernement grec étudie un plan de sortie de ce désastre. C’est d’ailleurs ce qu’ont fait, sous le sceau du secret, les gouvernements allemand et néerlandais. En revanche, il est à craindre que le gouvernement français n’ai rien étudié du tout, tellement le débat chez nous fait l’objet d’une interdiction totale de pensée rationnelle.
Ce terrorisme intellectuel ne triomphe pas qu’à Paris, mais aussi à Bruxelles. Les deux déclarations de Mmes Damanaki et Kroes ont fait l’effet de deux bombes.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, vient donc d’organiser une conférence de presse en catastrophe, en allant même chercher Jacques Delors pour l’occasion, pour déclarer : « Nous voulons que la Grèce reste dans l’euro. »
CONCLUSION : LA TERREUR DES GARDE-CHIOURMES DE L’UE
Et pourquoi cela ?
Parce que si la Grèce décide de sortir de l’euro, les traités l’obligent à sortir de l’UE par l’application de l’article 50 du TUE.
C’est la position de tous les juristes au vu des traités, c’est la position officielle de la Commission européenne elle-même, et c’est la recommandation de l’UPR pour la France.
Dès lors le dilemme des européistes serait cornélien :
a) – soit il faudrait autoriser la Grèce à sortir de l’euro sans sortir de l’UE.
Mais cela violerait ouvertement les traités, transformerait donc l’UE en une zone de non-droit international au vu et au su de toute la planète, achevant donc de se déconsidérer mondialement, et cela ouvrirait la voie à d’autres sorties rapides de l’euro.
b) – soit il faudrait imposer à la Grèce le respect des traités, et donc obliger la Grèce à sortir de l’UE par application de l’article 50.
Mais alors toutes les opinions publiques européennes découvrirait qu’il est en effet possible de sortir juridiquement de l’UE, conformément à cet article qui fait l’objet d’une « loi du silence » absolue en France, que seuls moi-même et l’UPR osons briser.
Cela ouvrirait alors la Boîte de Pandore et une poussé irrépressible traverserait tout le continent en faveur de cette désintégration de la prison des peuples baptisée « Union européenne ».
Dans tous les cas, les européistes sont terrorisés par une autre conséquence : c’est que la sortie de la Grèce de l’euro et de l’UE, non seulement n’apporte pas l’Apocalypse qu’ils affirment, mais apporte bien au contraire un redressement politique, économique et moral sans précédent, comme on le constate ces temps-ci en Islande.
Qu’il y ait une vie – et une vie heureuse – après la « construction européenne », c’est évidemment la preuve que les européistes refuseront avec la dernière énergie de voir se concrétiser.
C’est la preuve que l’UPR apportera tôt ou tard aux Français, même si tous les grands médias de masse font tout pour nier notre existence et notre notoriété croissante.
132 réactions à cet article
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Sortons de l’union européenne avant qu’elle nous entraine vers la guerre !
Il est anormal qu’un candidat à la présidentielle ayant un tel projet soit interdit de médias, il en va de l’interêt de tous.-
@ capone
pour les politiques le sujet est tabou mais les entreprises,elles, se sont préparées à la sortie de l’euro, depuis déjà plusieurs mois
- elles sont plus responsables que les gouvernements qui continuent de nous mener en bateau et ça va finir comme le Concordia
Tous à vos gillets de sauvetage !!!!! - en clair sortez vos liquidités des banques !
http://lci.tf1.fr/economie/conjoncture/ces-entreprises-qui-se-preparent-a-la-fin-de-l-euro-6897970.html -
les méfaits de l’euro
Dupont Aignan a fait ses courses
ici
http://boulognesurmer.ville.orange.fr/direct/index.html?direct/listeactu/120207162350.6vlbemqy -
Nous y allons à la guerre si on en croit la montée de la propagande de diabolisation de la Syrie.
On se croirait juste avant les bombardements de la Serbie par l’OTAN avec Kouchner qui nous faisait croire que les Serbes avaient des camps d’extermination. -
Sans doute faudrait-il plutot dire :
PANIQUE A ATHÈNES, L’EUROPE ÉTUDIE LA SORTIE DE LA GRECE -
Merci monsieur pour votre travail de vulgarisation. Même si je reste circonspect quant à la capacité des français à s’emparer de ce débat avant les élections présidentielles, compte tenu du boycott médiatique, je trouve votre travail salutaire.
L’Etat-Nation est le meilleur niveau de gouvernance des peuples. Vouloir régir le quotidien de 500 millions d’habitant est une hérésie.
Simplement une question. Je pense que beaucoup de gens s’auto censure vis à vis de vos analyses, car certains se sentent européens. Moi-même l’idée même de l’Europe ne me déplait pas. Ne devriez-vous pas prendre un autre angle d’attaque : montrer que la construction actuelle va entrainer la mort de l’Europe (ce qui en soit est vrai) et que vous vous battez pour une Europe des Nations, une Europe de la coopération dans l’environnement, la recherche, le spatial... ?-
« L’Etat-Nation est le meilleur niveau de gouvernance des peuples. Vouloir régir le quotidien de 500 millions d’habitant est une hérésie. »
Je dirais même plus, c’est un blasphème, une apostasie de l’État national-patriotissime, dogme révolutionnaire fondateur de la particularité française vaillamment érigée sur les cendres des différences régionales ancrées dans la nuit des temps. Grâce au grand clerc Asselineau et ses ouailles, Maurice en tête, la cinquième colonne étasunienne sera boutée hors du sol sacré de la patrie. Vive la France Libre, Jeanne d’Arc et le grand Charles !
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Renseigne toi on a pas attendu Bruxelles pour travailler avec d’autres pays hors UE, regarde dans l’aviation, Ariane.....etc , cela ne va pas changer grand chose en sortant sauf de décider par nous mêmes avec qui l’on souhaite coopérer. Et puis nous ne sortons pas de l’europe (à moins de réussir à détacher la France) mais de la construction européenne. Vous savez ceux à qui chaque pays donnent des milliards chaque année pour décider pour nous !!!!!! ?????
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Ah sacré Mor Aucon, le seul mec qui veut réformer la finance, et que cette refonte profonde soit entreprise par Barroso et Draghi !
SOPHISTE va ! -
« ...Vouloir régir le quotidien de 500 millions d’habitant est une hérésie. »
Ce qui est une hérésie c’est de vouloir régir la vie de 500 millions habitants composés de 17 groupes ne parlant pas la même langue, n’ayant pas la même culture ni le même niveau de économique. -
Exact. C’est exactement cette hérésie que la révolution jacobine a combattu en enterrant les bretons, corses, basques, catalans, etc... qui dans leur profonde ignorance n’avaient pas compris les avantages du centralisme et de l’élimination des différences. Il est curieux de constater que ces arguments du nationalisme jacobin ( son objectif plus ou moins accompli sur le sol français ) sont maintenant repris contre la construction de L’UE pour l’accuser des mêmes travers que ce nationalisme radicalement extrémiste alors qu’une des visées les plus importantes de cette construction est le respect des différentes cultures européennes. Il est important aussi, de réaliser que ces différences s’expriment dans le cadre supérieur de la culture commune à tous les peuples européens et forgé par l’Histoire. Ce sont des différences qui unissent et renforcent la cohésion européenne bien plus qu’elles ne séparent et elles ne doivent être laminées par aucune idéologie, révolutionnaire ou conservatrice sous peine de perdre le moteur du développement de l’Europe. Nous ne pouvons balayer d’un revers de main ce que l’évolution de la culture a mis des millénaires a créer sous prétexte que cela ne servirait à rien d’autre qu’à nous diviser alors que nous ne connaissons pas grand chose des mécanismes de cette évolution, pour l’instant.
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Mor Aucon, votre sophisme et vos bilevesées vont finir par vous étouffer. Bientôt vous allez nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Alors comme ça l’Europe prend en compte les différences des peuples, et pour cela nous ne devons rien dire sur son fonctionnement totalitaire. Menteur ! L’Europe actuelle favorise le régionalisme et non les Nations. Elle contribue bien au contraire à vider de sa substance ces dernières. La spécificité française ? Dissolue.
L’Europe actuelle ne cherche pas à regrouper les différences autour d’un projet commun, mais à les faire disparaitre pour faire émerger un pot-pourri institutionnel.
Derrière vos beaux discours, d’une effrayante banalité, il n’y a que du vent Mor Aucon. Vous faites dans l’esbrouffe, la masturbation intellectuelle, mais quand il s’agit de dire concrètement comment on fait pour réformer ceci et cela, c’est le néant...
Vous validez implicitement tout ce qui se passe actuellement car vous ne permettez aucun changement de paradigme, et criez à l’extrémisme dès que quelqu’un ose sortir de votre ligne.
Il s’agit de terrorisme intellectuel, chose dont vous faites preuve quotidiennement dès qu’un article traite de l’Europe, et de la finance. Et quand un auteur ose écrire sur la création monétaire, alors là vous êtes directement atteint de la maladie de Gilles de la Tourette...
Petit, petit, mais alors très petit propagandiste... -
Je suis conscient de l’ampleur de la tâche que représente faire comprendre la réalité à un illuminé asselinien, toutefois, en bon et irréductible rêveur, je vais m’y employer une fois de plus.
Mon cher Momo, ne voyez-vous donc pas que l’offensive libérale de dérégulation des opérations financières internationales a contaminé l’Union Européenne de la même manière qu’elle aurait atteint et miné une Europe sans union, pays après pays ? La différence est justement dans la résistance, même faible, qu’a pu exercer l’Union car il ne fait aucun doute que les États nations, désarmés comme ils le sont pour lutter contre le capital concentré dans la haute finance et dans le contexte de la dérégulation internationale des échanges commerciaux, auraient vu balayées leurs conquêtes sociales bien plus rapidement qu’elles ne sont entrain de l’être.
Repasser l’évolution politique et économique de l’Islande depuis les 80, par exemple, permet de comprendre cette différence qui fait de l’UE et de l’eurozone des victimes de l’offensive libérale et non pas des alliées.
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Illuminés asselinien. Hahaha, je vois que vous vous octroyez encore une fois le droit de penser à la place des gens. Je ne suis pas adhérent à l’UPR, mais j’adhère à la justesse des analyses de F. Asselineau, qui lui etaye ces affirmations de faits contrairement à certains.
La construction européenne a accéléré le processus que vous décrivez dans votre dernier commentaire. Ne dites pas l’inverse s’il vous plait, vous insultez votre intelligence. Je trouve que déconstruire tout ce qui faisait notre pays en moins de 50 ans, est plutôt un processus rapide de dynamittage. Merci l’UE. Cette dernière aurait posé selon vous une faible résistance ? (Rigolade générale) Ouverture des frontières de capitaux, non respect des règlementation bancaire, lobby financier au coeur du Parlement et de la Commission... allez je m’arrête là...
Je ne suis pas contre l’Europe comme vous vous complaisez à répéter. Je suis pour une Europe des Nations qui coopèrent sur des domaines d’intérêt général (recherche, environnement, spatial). Alors pour arriver à cela, il y a deux options :
- rester dans l’Europe actuelle : dans ce cas là, si on veut essayer de la réformer, il faut dissoudre la commission européenne, et donner un peu plus de pouvoir au parlement. Croyez vous que Barroso et Van Rompuy vont faire cela ? Jamais. Donc il faut passer par la 2eme solution
- sortir de l’UE : nous retrouvons la maitrise de notre pays, tout comme le reste des pays européenns, qui suivront notre voie. Nous nous reconstruirons progressivement (allez on va dire que l’on va un peu en baver pendant deux ans, mais c’est toujours mieux que 15 ans de récession). Une fois remis sur pied, les pays qui le souhaite s’entendent pour former l’Europe des Nations, autour de projets guidés par l’intérêt général.
Ne voyez vous donc pas où nous conduit la construction européenne actuelle ? C’est ça que vous voulez ?
Et vous êtes là à crier à l’extrémisme pour dynamiter le débat, sans rentrer dans les faits, ni proposer des solutions. Vous ne faites que valider le totalitarisme ambiant. Au moins assumez le.
Je pense que si vous cherchez des extrémistes Mor Aucon, il n’y a qu’à vous regarder dans un miroir. -
Oui, je sais. Vous êtes, comme Asselineau d’ailleurs, pour une Europe à la Thatcher, avatar européen de Reagan et sa croisade contre le socialisme ( traditionnellement associé, outre-atlantique, au communisme ), dont les héritiers eurosceptiques brittaniques prônent une UE sans eurozone pour justement pouvoir appliquer les recettes néolibérales de M. Friedman et l’école de Chicago ( testées en Islande ) sans le frein que représente une union monétaire adossée à une union budgétaire et fiscale réelle, ce à quoi tend naturellement l’eurozone et que, bien entendu, combattent ces eurosceptiques en formation serrée autour de la City.
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Vous y croyez à vos salades ?
L’influence de Friedman est justement à l’oeuvre actuellement, et c’est contre celà que je me bat personnellement. Et vous, à part amalgamer à tout va, que proposez vous. Du concret pour une fois cela changerait... -
Maroc, vous avez lu les traités successifs de l’UE ?
Il est spécifié dedans que l’UE est libérale, basée sur la libre concurrence non faussée et la libre circulation.Bref, l’UE n’a pas subit l’influence du libéralisme, l’UE c’ EST le libéralisme ! -
Morocon (pas Maroc comme m’a suggéré le correcteur ortho)
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Oui, l’Europe c’est le libéralisme comme la France est le cartésianisme, l’Allemagne le nazisme, L’Italie, le pain et les jeux, l’Espagne is different, Babylone fut le code Hammourabi et si l’on mettait Paris en bouteille, les poules auraient des dents. Les mêmes qui parlent de sage, de doigt et de lune feraient mieux de regarder derrière l’arbre et voir s’il n’y aurait pas une petite forêt à explorer.
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Seuls les anticapitalistes peuvent proposer l’alternative d’une autre Europe, en rupture avec les traités et institutions existants, fondée sur la démocratie, la collaboration et la solidarité entre les peuples, l’harmonisation sociale par le haut, le développement de services publics communs. Une Europe dont le but n’est pas de payer les dettes publiques pour enrichir encore les riches mais de la répudier pour défendre les conditions de vie des travailleurs et des pauvres ; une Europe qui ne se propose pas de sauver les banques telles qu’elles existent aujourd’hui mais de les saisir et les socialiser, afin de mettre l’économie au service du plus grand nombre. En bref, une Europe qui commence à rompre avec le capitalisme.....
http://2ccr.unblog.fr/2012/01/04/sortir-de-l%E2%80%99euro-ou-du-capitalisme%E2%80%89/-
Pas vraiment car ce sont des opposants de façades, la vérité c’est que depuis la ratification du traité de Maastricht et de Lisbonne, les gouvernements nationaux n’ont plus aucun pouvoir car 80% des lois sont votées par Bruxelles pour le plus grand bénéfice des lobbies américains.
Donc tout parti qui est désireux de redonner de la vie à la vie politique nationale et donc de servir les intérêts des français se doit de présenter l’article 50 et la sortie de l’UE comme la seule voie possible pour ce faire.
Et à part l’UPR aucun parti n’en parle et pour cause, leurs têtes de proues sont députés européens et touchent en moyenne 15 000 euros / mensuels pour en fait faire semblant de décider de quoi que ce soit : les banques et industries US sont derrière Bruxelles et l’UE et en tirent toutes les ficelles.
Nous sommes de facto dans un système anti-démocratique et fasciste, il suffit d’ailleurs de se renseigner sur le Docteur Rath pour avoir confirmation des analyses de François Asselineau.
L’Union Européenne n’est qu’une union de façade car chaque peuple de cette ’union’ a des désirs, des envies, des intérêts, des cultures qui vont dans un sens différent donc nous condamne ad vitam eternam à tourner en rond.Une sortie de l’UE nous libérera du carcan monétaire impliqué par le monopole de la frappe de la monnaie Euro via la BCE sorte de FED pour l’UE nous permettra de redevenir compétitif en mettant tous les emplois en France et en arrêtant les délocalisations en Chine et dans les pays de l’Est.
Et cela nous permettra de reprendre en main nos affaires : nous n’avons n’y a obéir aux USA ni aux Allemands leurs garde chiourmes sur le continent.
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Pour moi ce sera François Asselineau et l’UPR. S’il n’est pas présent au premier tour, je reste chez moi...
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Bonjour monsieur le futur président de notre grand pays, ( je met mes gants car je souhaiterais devenir ministre de l’éducation. j’ai d’ailleurs corrigé une faute de votre part. )
je lis ; « Parce que si la Grèce décide de sortir de l’euro, les traités l’obligent à sortir de l’UE par l’application de l’article 50 du TUE. » les habiles auteurs de ce piège à Etats ne cachent pas leur jeu...Ils ont dû même bien rigoler en instituant ce mécanisme à nous traiter...Vous dites : « Cela ouvrirait alors la Boîte de Pandore et une poussé(e) irrépressible traverserait tout le continent en faveur de cette désintégration de la prison des peuples baptisée « Union européenne ». A vrai dire, les germanoraméricains n’attendent que cela, l’éclatement de l’Euro, notez d’ailleurs que les irlanglais aussi...» la sortie de la Grèce de l’euro et de l’UE, non seulement n’apporte pas l’Apocalypse qu’ils affirment " Pourquoi annoncent ils l’Apocalypse, mais parce que leurs armées de soldats privatisés et abreuvés de papier à zéro sont fin prêts à foncer dans la foule. Les Blackwaters sont dans les starting blocks et le peuple des indignés également ...Bonne chance à nous tous.-
Vous avez changé de coupe Lisa Sion2 ou j’me trompe ?
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Ou bien c’est un mega coup de vieux !
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Vous moquez pas les jeunes, parce que si je suis comme convenu ministre de l’éducation, c’est au coin avec cent lignes, faites palais cacous. http://www.youtube.com/watch?v=JL5VyAY3hgA
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Vivement que l’UE se disloque, le plus tôt sera le mieux !
Hollande qui est notre prochain président désigné aura un mandat mouvementé (si il est élu) !
Soit il est courageux d’y aller, soit il est inconscient ...-
@ Ulysse
Hollande n’est ni courageux ni inconscient, il est l’homme qui fera ce que lui disent ses maitres
Il a été choisi pour ça par son groupe -
L’intérêt de la Grèce est d’opérer rapidement une dévaluation compétitive avant que ses institutions ne volent en éclat et que les manifestations ne se transforment en insurrection, ce qui ne manquera pas d’arriver ce printemps selon tous les signes avant coureurs.
Il y a deux façons de faire :Sortir de l’Euro.Introduire une monnaire nationale en plus de l’Euro.Vu le virage totalitaire de l’UE depuis le début de cette crise, la première solution serait la meilleure pour la Grèce, comme pour n’importe quel pays endetté.Mais les a commissaires politiques ne laisseront pas faire car ils ont besoin de pays à renflouer pour justifier la mise en place du MES afin de drainer les trésors publics nationaux et financer l’état fédéral européen.Une monnaie nationale secondaire serait une solution bien plus dangereuse encore pour l’Euro qui redeviendrait ce qu’était l’ECU : une monnaie réservée aux échanges internationaux.Bref, la Grèce sera contrainte à rester autant que possible dans ce système qui l’asphyxie.Mais si d’autres pays se rebiffent, la Commission sera en mauvaise posture.-
Peux-tu expliquer ce qu’est une « dévaluation compétitive » ?
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Dévaluation compétitive : Mesure protectionniste pour relancer l’économie nationale, la dévaluation compétitive, pour le pays qui dévalue, tend à créer un avantage dans le rapport compétitivité-prix et ainsi rééquilibrer la balance commerciale.
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en clair , va regarder l’économie grecque , style bon résumé http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_Gr%C3%A8ce
Économie de la Grèce Grèce
Indicateurs économiques Monnaie Euro Année fiscale calendaire Organisations internationales UE, OCDE, OMC, OCEMN Statistiques Produit intérieur brut (parité nominale) 343 milliards $ (2008) Produit intérieur brut en PPA 339,2 milliards $ (2008) Rang pour le PIB en PPA
Croissance du PIB - 4,5 % (2010) PIB par habitant en PPA 29 361 $ (2008) PIB par secteur agriculture : 3,7 %
industrie : 20,6 %
services : 75,7 % Inflation (IPC) 1,0 % (2009) Pop. sous le seuil de pauvreté 20,0 % (2009) Indice de développement humain (IDH)
Population active 4,95 millions
(avril 2009) Population active par secteur agriculture : 12 %
industrie : 20 %
services : 68 % Taux de chômage 16,6 % (mai 2011) Principales industries
Commerce extérieur Exportations 29,14 milliards $ (2008) Biens exportés
Principaux clients
Importations 93,91 milliards $ (2008) Biens importés
Principaux fournisseurs
Finances publiques Dette publique 142,8 % du PIB (2010) Dette extérieure
Recettes publiques 108,7 milliards $ (2009) Dépenses publiques 145,2 milliards $ (2009) Déficit public 10,5 % du PIB (2010) Aide au développement
Sauf mention contraire, tous les chiffres sont exprimés en dollars des États-Unis modifierLa Grèce a connu une croissance rapide après son entrée dans l’Union européenne et suite à des mesures de stabilisation économique[réf. nécessaire]. La Grèce reste importatrice nette de biens industriels, de produits alimentaires et de pétrole. Les exportations principales sont les biens manufacturés, les produits alimentaires, les dérivés d’hydrocarbures, le ciment, les produits chimiques et pharmaceutiques.
L’économie grecque se caractérise par un secteur public important représentant 40 % du PIB[réf. nécessaire] et, comme pour plusieurs autres pays méditerranéens, par une économie parallèle fortement développée.
en clair soit elle reste dans l’europe et perd , soit elle la quitte et perd ecore plus , donc le choix qu’elle a c’est entre peste et choléra
Secteur primaire[modifier]Le secteur primaire représente 7 % du PNB et 12 % de la main-d’œuvre. La Grèce produit du blé (2 millions de tonnes), du coton, du tabac ou encore du riz. La vigne est également cultivée, les cépages variant selon les zones : Cyclades ou encore îles Ioniennes. Enfin, ses plantations d’oliviers (variétés amygdalolia et koroneiki) lui permettent de produire de l’huile d’olive. Le pays compte 850 000 producteurs d’olives officiels. L’aridité, l’importance des montagnes et l’érosion des sols constituent des obstacles depuis l’Antiquité : elles diminuent la surface agricole utile (21,1 % des terres), empêchant ainsi l’agriculture de se développer. La Grèce doit importer de la viande et des produits laitiers.
Secteur secondaire[modifier]L’industrie est encore assez peu développée en Grèce : elle représente seulement 22 % du PNB et 20 % de la main-d’œuvre.
La Grèce s’alimente en électricité essentiellement grâce à des centrales thermiques. La Grèce produit un peu de pétrole puisé en mer Egée, du fer, du lignite. L’industrie est encore assez peu développée en Grèce par rapport à la moyenne de l’UE.
donc le choix leur appartient , ça ne dépend que d’eux
en grosse partie la population grecque a joué depuis 10 ans , dans la facilité et ils ne méritent que ce que l’ensemble des grecs à semer ( ne va pas me parler des citoyens non responsables ) , ils ont ben profité de l’europe
La Grèce a connu une croissance rapide après son entrée dans l’Union européenne et suite à des mesures de stabilisation économique[
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à part le tourisme ou l’agriculture , je vois pas dans quel domaine ils ont un avantage
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« L’intérêt de la Grèce est d’opérer rapidement une dévaluation compétitive avant que ses institutions ne volent en éclat et que les manifestations ne se transforment en insurrection, ce qui ne manquera pas d’arriver ce printemps selon tous les signes avant coureurs. »
Fantastique solution qui ouvrirait de part en part les portes de la Grèce, déjà extrêmement poreuses, à la vague déferlante du libéralisme financier à moins qu’elle n’entre dans une période d’au moins trente ans d’autarcie dictatoriale à la Franco ou à l’albanaise. Que de plaisir en perspective, pour les Grecs !
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Tout ça c’est déjà le cas cher moroc
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Pas encore mais vous n’aurez pas à attendre longtemps, si le rythme actuel se poursuit, pour pouvoir assister au fascinant spectacle du retour d’une société à l’état de nature. Votre problème de compréhension de la réalité ne me semble pas basé sur l’ignorance des facteurs qui ont conduit à cette situation en Grèce mais plutôt sur le désir profond de voir s’écrouler un monde qui ne vous convient pas. Tout cela pourrait être très légitime à condition de ne pas dénier le salut à un peuple entier juste pour conforter une thèse apocalyptique qui relève plus de la psychanalyse freudienne et son instinct de mort qu’à l’analyse rationnelle des causes et des effets du naufrage grec. Bref : on ne joue pas avec la vie des autres.
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Merci pour l’analyse docteur.
Mais vous pensez reelement que l’alternative, c.est à dire de remettre les armes à Von Rompuy va sauver les Grecs ?Franchement ?Ce qui détruit la société grecque ce sont les paquets de réformes imposées par l’UE -
Vous arrangez les alternatives à votre convenance comme si elles étaient obligatoires. Oyez, oyez braves gens, venez choisir votre alternative : la dictature ou le bordel, du rugby ou du football, le Pape ou le grand Mufti, l’aile ou la cuisse, l’Europe ou la patrie. En avez-vous une autre ?
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« Ce qui détruit la société grecque ce sont les paquets de réformes imposées par l’UE »
Ah ? Elle n’était pas du tout malade avant que l’on n’essaye de la sauver ? Serait-il possible, depuis l’amalgame de positions binaires derrière lequel vous vous êtes fortifié, de considérer que l’on peut critiquer, à la fois, la manière dont les technocrates veulent résoudre la crise sans remettre en question le cadre dans lequel elle s’est déclenchée et le désir d’explosion de l’UE habitant des illuminés sourds et aveugles aux leçons de l’Histoire, particulièrement en Europe.
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J’ajoute qu’en juillet, c’est Chypre qui prend la présidence tournante pour 6 mois.
Cette situation va Offrir aux Grecs un relais au sommet mais va aussi créer une situation tendue avec la Turquie.Bref, une fin 2012 mouvementée pour l’UE.-
je doute fort que les grecs acceptent d’être rabaissés au niveau de vie de la Moldavie juste pour que Sarko , Merkel , Draghi , Barosso et Juncker dorment tranquilles ................
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@Lechat
où se situe le seuil de résistance des peuples à se faire tondre , c’est précisément ce que le système est en train de tester.
( je croise les doigts pour que les Grecs se soulèvent )
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Monsieur Asselineau ,
Allez -vous inscrire dans votre programme un jubilé général de toutes les dette , tant publiques que privées ?En effet , je n’apprendrai rien à personne en disant que c’est uniquement grâce à l’arnaque des réserves fractionnaires bancaires que les banquiers prêtent l’argent qui n’existait pas , de l’argent inventé pour la cause , d’un simple clic d’ordinateur.
Dans les bilans ubuesque des banques apparaissent ainsi dans les deux colonnes « je lui dois » et « il me doit » qui s’annulent.Reste aux malheureux emprunteurs à travailler pour créer et rembourser les intérêts réels sur une somme empruntée virtuelle.mais à cours légal.
C’est bien évidemment et de fait la collusion entre l’état et les ploutocrates qui permet cette escroquerie à échelle planétaire pour le bénéfice de quelques familles oligarchiques déjà immensément riches.
Les mêmes familles bancaires qui pillent la Grèce devant nos yeux , puis ce sera l’Espagne , l’Italie , le Portugal , la France.Nous serons tous ruinés , c’est mathématiquement certain , par l’argent dette.
C’est ainsi que c’est développé la mise en servitude par l’arnaque de la dette.
De ce constat , ma demande de justice sociale qui solvabiliserait instantanément tous les foyers en envoyant les banquiers en faillite :
Monsieur Asselineau ,
Allez -vous inscrire dans votre programme un jubilé général de toutes les dette , tant publiques que privées ?Je pense que cette mesure de justice serait très populaire.
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Il est prévu dans le programme de mettre le pb de la dette sur la table et de discuter de sa légitimité pour ensuite trancher ce pb par un référendum.
http://www.u-p-r.fr/presidentielles-2012/le-programme-de-l-upr
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Certes,mais cela prendra du temps , pourquoi ne pas l’inscrire au programme ?
Nous savons , pour beaucoup , les mécanismes de cette escroquerie de la dette inventée et son effet qui est la mise en servitude.
C’est simple et porteur , ce serait même un raz de marée electoral .
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Il est prévu dans le programme de rendre à la banque de France sa prérogative de prêteur à l’état. Donc l’état ne sera plus dépendant des marchés financiers.
Ensuite, il est prévu un audit des dettes publiques pour savoir qui possèdent quoi. Puis c’est le peuple qui statuera sur quelles dettes sont légitimes, lesquelles ne le sont pas par voie référendaire.
Vous semblez vouloir tout annuler d’un coup. Mais n’oubliez pas que des obligations d’états sont aussi possédées par des gens normaux via divers produits comme les assurances vie.
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Oui il faut tout annuler.car c’est une escroquerie.
Il faut appliquer justice , c’est indispensable.La société ne peut se développer que sur des bases saines.
Les petits porteurs sont ultra minoritaires et ont été floués par les banquiers qui leur ont revendus les bonds ou fraction titrisés qu’ils se sont procurés par fraudeIl faut poursuivre les banquiers sur leurs fonds propres et provisoirement apporter une garantie d’état au peuple .
Comme il en sera des dépôts des particuliers en banques qui ont été utilisés par les voyous comme prêt et vont disparaitre dans la faillite des bancaires .
C’est inéluctable.Le baratin et gesticulations de Barroso ou Van Rompuy lou du gars de Goldman Sachs à la tête de la BCE ne font que retarder les échéances.
IL faut trancher et le dire haut et fort et vous aurez un véritable soutien populaire.
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Il me semble que Jean Claude Trichet a participé aux réunions du bilderberger, non ? Alors, ne nous attendons pas à de la clémence.
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Mr asselineau ,oublie de dire que l’allemagne de la merkel n’a pas payé les dommages de guerre de 39/45 ,et que pour cette raison elle a tenté de prendre le pouvoir de la grece par l’argent ,c’est presque une déclaration de guerre avortée ,oui pour combien de temps ,affamé le peuple grec jusqu’a la révolte peut conduire a la meme opération qu’en libye au plus grand profit des banqsters et de tous les nazillons cachés ,en autriche en hongirie ,ah ! et en dehors ,en france ,celle de la sarkosie pourrie jusqu’a la moelle ,suffit de lire les journaux !
Alors faire éclater l’europe nous cnduira a la guerre civile oui et toute une jolie bannde de parfaits salauds n’attend que ça pour ce gaver un peut plus .
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« Oui il faut tout annuler.car c’est une escroquerie. »
Non, Alcide, presque tout est escroquerie mais pas tout ! 99% des crédits vient d’argent « inventé » à partir de promesses d’ honorer tous crédits, voire en plus gonflé par spéculations (OK là dessus) mais pas la petite épargne des gens : Celle-ci correspond à des revenus non immédiatement dépensés, à du véritable argent donc.
Il s’agit de très peu de choses par rapport aux masses d’argent diffusée. Il est important que les épargnes et autres dépôts réels restent garanties, non ?
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Absolument .
Il faut bien évidemment protéger les souscripteurs d’assurance vie et les dépôts bancaires.
C’est le rôle de l’état .De même , son rôle est de faire respecter la justice et l’équité donc de supprimer l’escroquerie des réserves fractionnaires , donc de mettre les banques en faillite et de poursuivre les dirigeants sur leurs biens personnels pour pouvoir garantir les déposants dont l’argent est évaporé depuis longtemps.
Le ponzi bancaire doit cesser.par salubrité publique.
Remettons les choses à l’endroit , la criminalité financère doit être sanctionnée ,Avec le jubilé général , cela doit figurer au programme du candidat qui défend le peuple.
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exact .....http://greekcrisisnow.blogspot.com/
extrait :
Mais il y a d’autres sujets de notre actualité qui ne se prêtent pas à l’ironie. Lundi dans la journée, Panagiotis Lafazanis, député SYRIZA (formation de gauche), un parlementaire très apprécié pour son sérieux, a déclaré au micro d’une radio locale, qu’au Nord du pays « des réservistes viennent d’être mobilisés pour former des unités de la Garde Nationale [appellation des formations par ce type de recrutement]. Ce qui étonne [souligne Panagiotis Lafazanis], est que ces hommes, reçoivent selon nos informations, à la fois des instructions sur la gestion des intempéries, ce qui est normal nous savons que cette région comme d’autres en Grèce, en subissent trop en ce moment, mais ils reçoivent aussi des instructions sur la gestion des foules et des manifestations qui peuvent dégénérer. Je souligne que des fusils viennent d’être distribués à ces réservistes, alors va-t-on utiliser ces citoyens contre d’autres citoyens ? De quoi ont-ils alors peur, nos gouvernants ? » -
Plus simplement, un empire se met en place, le N.O.M ou Nouvel Ordre Mondial, ce n’est pas de la théorie conspirationniste, ce sont les faits.
La seule solution pour se sortir de ce fascisme global avec une administration du flicage à l’URSS mais en plus techno c’est le soulèvement mondial des peuples et le renversement de l’oligarchie mondialiste, financière, matérialiste, extrémiste religieuse et industrielle.
Et pour ce faire, il faut placarder partout ce tract : http://www.mediafire.com/?wlunakll72gfg89
Par exemple aux endroits où les gens passent et stationnent, aux toilettes, dans les abri bus, dans les gares, sur les panneaux d’affichages publics, aux passages piétons bref partout où il peut être vu et lu.
Une fois les peuples informés, ils ne goberont plus la masse d’âneries et de mensonges que les médias leur servent depuis tant d’années.
Merci de faire tourner et de poster sur votre page facebook, blog, chat, ...
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Vous pouvez nous donner les sourçes s’il vous plait ?
Crdt ..
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avant de dire des conneries de ce niveau , lit ceci
http://lexpansion.lexpress.fr/economie/l-allemagne-prisonniere-de-l-euro_251863.html
l’allemagne a gagné justement des parts en Europe et si l’Euro n’existait plus , elle aurait beaucoup plus à perdre que les autres pays -
Le passé c’est le passé lagabe.
Ce que l’Euro a rapporté à l’Allemagne n’a aucun poids dans leurs choix.Ce qui compte c’est ce que ça va leur rapporter ou coûter à l’avenir.Si c’est pour payer le renflouement des banques ayant prête au reste de l’UE, il y a des chances qu’ils disent Nein ! -
"Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, vient donc d’organiser une conférence de presse en catastrophe, en allant même chercher Jacques Delors pour l’occasion, pour déclarer : « Nous voulons que la Grèce reste dans l’euro. »"
Ben tu m’étonnes !Ni Bruxelles, ni Mercosy ne veulent que la Gréce sorte de l’euro et de l’europe. Cela déclencherait les cds et sonnerait le glas pour le systéme bancaire en son entier. Ils préféreront passer par toutes sortes de « bricolages » et « rafistolages » plutot que d’ouvrir la porte aux parieurs qui ont misé sur le défaut de la Gréce.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Credit_default_swap
Extrait :
Un autre aspect des CDS est qu’ils servent non seulement d’assurance mais aussi de moyen de spéculation. On leur attribue un rôle non négligeable dans la spéculation sur les dettes souveraines européennes. On le voit clairement depuis que la crise de l’endettement frappe une partie des pays de l’Euroland. Pour conserver une stabilité des marchés financiers, on ne peut déclarer une restructuration de la dette grecque parce qu’on ne sait pas le nombre et le volume des contrats CDS qui se déclencheraient sur une décision qui serait interprétée par les agences de notation[réf. nécessaire] comme un « événement de crédit ».
En gros pour le moment, les peuples vont payer pour que ce boxon se maintienne. En cas d’éclatement, le tsunami serait terrible.....et tous ces enfoirés déguerpiraient se planquer dans un terrier de luxe.
La Gréce est leur laboratoire certes. Espérons que ce peuple va les envoyer se faire voir.
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Franchement je commence à me demander si ils ne cherchent pas justement déclencher une rébellion en Grèce, car les dernières mesures ne sont clairement pas soutenables pour au moins la moitié des Grecs.
L’abaissement drastique du smic et des salaires, ajouté a l’imposition des les bas revenus, plus les taxes locales et l’énergie qui flambe, c’est un peu comme la réplique de Marie-Antoinette :Ils n’ont plus de pain ? Qu’ils mangent de la brioche.Sauf que les grecs ont déjà montre qu’ils étaient capables de se sacrifier pour des idéaux.Ca va donc finir par péter violemment.C’est peut être pour se débarrasser de l’état-nation par le chaos que la troïka pousse au crime.Sinon, je ne vois pas, c’est complètement absurde. -
je vous propose de méditer sur les propos de Mr Sarközy lors de sa prestation TV « La crise économique est toujours là, profonde mais la crise financière s’apaise ... les mesures prises ont permis de stabiliser les choses ... L’Europe n’est plus au bord du gouffre »... Notre président n’a pas l’air d’être informé que la Grèce est au bord du défaut de paiement... et que les taux d’intérêt payés par le Portugal viennent de prendre le chemin de la Grèce... signifiant à terme le défaut du Portugal... No comprendo. Il ne doit pas lire les mêmes choses que vous et moi. A se demander même s’il vit bien dans le même pays que nous !Le Président a annoncé la création d’une nouvelle banque pour financer les PME (idée proposée aussi par Hollande). Ce qu’il y a de dingue, c’est que les deux nous prennent vraiment pour des c. En effet, en ce moment même la BCE prête des centaines de milliards aux banques françaises (voir plus bas) mais celles-ci ne remettent rien, ou presque, dans l’économie du pays. Or cela veut dire que Nicolas Sarkozy NE PEUT RIEN IMPOSER AUX BANQUES FRANCAISES qui replacent les prêts de la BCE à la... BCE !Cette future banque nationale est donc de facto L’AVEU IMPLICITE de son impuissance face aux banques, et par voie de conséquence aussi de celle de Hollande... Jean-Luc Melenchon et Nicolas Dupont-Aignan sont ceux qui ont fait la meilleure analyse hier soir : « Nicolas Sarkozy avait voulu apparaître sur toutes les chaînes à la même heure pour convaincre les Français qu’il allait faire en 3 mois ce qu’il avait promis de ne pas faire pendant 5 ans. Mais cette nouvelle séquence de communication a tourné au fiasco. Et pour cause l’instauration d’un 3e Plan de rigueur (déguisé derrière une augmentation de la TVA pour tous les Français) est indéfendable. Afin de renflouer les caisses de l’Etat, vidées par sa politique de l’euro fort et le sauvetage d’un système financier à la dérive, Nicolas Sarkozy accepte ce soir de pénaliser les classes moyennes et populaires, et notamment les retraités » (propos de ND-A qui a ajouté que le président fait campagne pour Hollande)... Clairement cette intervention présidentielle a été un raté sur tous les plans. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2012-
Ben non, car Sarkozy connait le système politique qui est un cercle fermé avec alternance de la droite, de la gauche, des extrêmes et du centre. Donc il sait qu’il n’a un mandat que pour un temps donné et passe le relais à Hollande qui n’est son adversaire que devant les caméras. tout ce ’beau monde’ est parfaitement au courant de la magouille et savent qu’ils sont tous des fusibles et des boucs émissaires mis en avant pour empêcher les peuples de voir qui a le vrai pouvoir : les banquiers, les oligarques.
C’est tout l’art de la manipulation : enfumer les abeilles travailleuses pour leur faucher leur miel c’est à dire le fruit de leur travail et ce via l’argent papier qui est l’arnaque suprème.
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Idiot !
Le soutien d’ A. Merkel à NS démontre le contraire . -
Yvance77 8 février 2012 13:58Salut,
Eh ben, heureusement qu’il nous reste encore des sites, tel que celui-ci, pour nous tenir un poil informé.
C’est sûr que sur la télé à Pipole 1er ils ne moufteront point.
Merci pour cet éclairage.
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@l’auteur
Parce que si la Grèce décide de sortir de l’euro, les traités l’obligent à sortir de l’UE par l’application de l’article 50 du TUE.
J’ai déjà exprimé mes doutes sur la question :
http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/une-sortie-de-l-euro-entraine-t-103588
On peut ajouter dans le cas particulier de la Grèce qu’une autre solution juridique existe : l’entrée de la Grèce dans la zone Euro ayant été obtenue par fraude, celle-ci peut être annulée sans que cela remette en question la participation de la Grèce à l’UE.-
Utopie de juriste qui ne berne que Attali et ceux qui veulent se laisser berner.
Quand on quitte une union, c’est par le fait accomplis unilatéral et seule compte alors l’expression de la souveraineté nationale.Ou avez vous vu qu’on débatte des questions juridiques lors du démembrement de l’URSS ou de l’Union Latine ?quand vous claquez la porte vous vous posez la question de savoir si la serrure est faite pour ça ? -
Oui m’enfin si les grecs sortent de l’euro au contraire cela servira l’union européenne.
Au hazard :
- On arréte de les subventionner via les projets européens et autres mécanisme : Cela va amplifier la récéssion gravement pour eux.
- Ils dévaliuent car ils n’ont pas le choix, le prix de tout ce qu’ils importent augmente très fortement : Inflation, drame social, destruction de l’économie.
- En l’abscence de mécanisme déstiner à les sauver, ils doivent emprunter au prix du marché. C’est à dire très cher.
En clair, vous pouvez prévoir plusieurs années de très forte récéssion comparable à ce qu’ont vécu les citoyens d’europe de l’est après la chute du mur. Sauf qu’après la chute du mur, l’europe a très fortement subventionné ces économies pour qu’elles retournent dans sa sphére d’influence. Alors que la son intérêt sera plutôt d’avoir un exemple à montrer.
Les conséquences sociales de tout cela devraient montrer rapidement aux marinistes et autres anti-européens quelles sont les conséquences de quitter l’union. Et beaucoup seront beaucoup moins tentés de le faire...
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Stupide !
Ils paieront les matières premières un peu plus cher , certes , et encore faut voir combien elles sont taxées dans notre belle UE ....
De toutes façons la Grèce n’est pas un pays industriel et le climat est plutôt clément ....
Mais leur pays redeviendra attractif pour les touristes , l’ artisanat local , la pèche , la petite agriculture , etc , ce dont la Grèce vit depuis toujours .Une ou deux banques nouvelles, les autres faillies et c’est reparti .
Bien entendu si Merkel et Sarko ruent dans les brancards c’’est qu’ils ont peur de la contagion...
Pensez un pays qui s’affranchit du poids de la finance ,des banques, de la spéculation , de la rente et du libre échange , c’est diabolique .... !
Mieux vaut faire crever la population !
Ca me dégoutte .
Vous rendez vous compte que ce qui arrive aux Grecs va nous tomber dessus , à nous Français, dans moins de deux ans ?
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@chantecler,
Bien vu c’est tout à fait celà ! +100Dire qu’il y a encore autant de gens qui refusent de voir ce qui nous pend au nez une fois que les milliards injectés aux banksters par NOUS les citoyens seront bouffés par les spéculateurs est incroyable ! -
D’où croit tu que viens l’argent de Bruxelles, qui paie les subventions ?? déjà pose toi ces questions
Si il dévalue ils vendrons plus donc plus d’emploi et plus d’investisseurs, auront-ils besoin d’importer ?? Pour ma part je pense que chaque pays à tout ce qu’il faut pour exister
Emprunter ?? Pourquoi aller emprunter sur les Marchés si ta banque centrale te fournie à taux zéro, argumente sur l’absence de mécanisme pour les sauver, parce-que là j’en ai pas vu moi depuis 2008 !!!
Et encore une fois ce n’est pas l’UE qui verse des subventions mais les Etats qui versent chaque année des milliards à Bruxelles et qui le redistribue aux autres. L’UE n’a pas de fonds propres ne melanger pas tout !!!! -
@Chantecler
Vous avez entièrement raison. Mais les gens sont tellement conditionnés (dans le système néo libéral actuel la domination (totale puisque des « philosophes » officiels encadrent même la pensée [parallèlement on étouffe la pensée d’un J-C Michéa ]) a remplacé l’exploitation capitaliste au sens marxiste.
L’indice de la « santé » (pas obligatoirement de sa population comme le montre bien le cas de l’Allemagne) d’un pays comme le notre (ce n’est pas valable pour la Suisse) est la balance de son commerce extérieur. Elle se dégrade continuellement à un rythme effrayant. [les mesures sur le nucléaire de Hollande vont aggraver sérieusement la situation avec l’importation massive de gaz naturel, - des milliards d’euros-, de matériels pour le ENR, sans rien produire de plus, entre autres]
Autre point parmi tellement d’autres. Dans le Budget de l’Etat le poste lié au remboursement des intérêts de la dette va devenir le plus important. Cela implique dans un premier temps la destruction totale de notre système social. Mais cela conduit aussi à la faillite de l’Etat lui-même. En PACA, la Région emprunte régulièrement 15% de son budget à des taux qui vont bientôt atteindre plus de 5%.. est ce que cela peut durer longtemps ?
Six mois après la prochaine présidentielle aux candidats imposés par le système, donc peu représentative du mouvement profond qui serait nécessaire pour infléchir les choses (dont la sortie de l’Euro c’est une évidence), nous allons vivre une phase de chaos qui va tomber sur des gens non conscients.
Il faut souhaiter que notre pays ait la force pour un sursaut qui ne peut se réaliser qu’en dehors du monde politique actuel toutes tendances confondues.
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D’accord avec chanteclerc et Restegroupir !
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La Grèce a tout de même été une des premier pays a utiliser le dumping économique pour se prendre de belles parts de marché.
Les exploits d’Onasis, et de quelques autres armateurs, qui ont réussi après guerre à transformer leur marine marchande pour en faire la première au monde, ne s’est pas fait sur des bases très saines.
Achats de bateaux poubelles
Invention des pavillons de complaisance, et des montages financiers complexes, afin d’échapper à l’impôt
Embauche de marins du tiers monde, sous payés, sans protection.
Avec ça c’était la fin des marines de commerce nationales, bêtement planplan et respectueuses de leurs marins et de leurs états.
Un exemple qui en a inspiré bien d’autres.Grâce à ça, en quelques années, les Grecs se sont fait des couilles en or, comme on dit vulgairement.
Pas facile pour pisser, me direz, vous, et je vous renverrais au roi Midas, qui transformait en or tout ce qu’il touchait. Problème : Il ne pouvait plus manger, la nourriture transformée ainsi.Merci aux grecs pour leur civilisation antique, leurs mythes, mais merci aussi aux romains, aux chinois, aux arabes, qui tous à un moment de l’histoire, se sont transformés en phares de la civilisation.
Moi je persiste à croire que l’europe est une belle idée
Mais qu’il ne faut pas les laisser aux épiciers, ni être tout à fait naïf -
@ Asselineau
Bon c’est une bonne nouvelle !!!! l’euro et l’europe n’en ont plus pour longtemps !!!!!
Ce serait un peu dommage pour vous MR Asselineau si çà implose avant les élections
Bon çà se corse, la pagogue ne tient plus, même pas besoin d’envoyer le GIGN pour la cramer !!!!!
Ne pensez vous pas Mr Asselineau qu’il est vital de virer la racaille UMP-PS dès le premier tour !!!???
Nous sommes en guerre Mr Asselineau, autrement dit tous les citoyen(ne)s normalement constitué(e)s sont en résistance, à situation exceptionnelle , moyens exeptionnels, ne pensez vous pas faire une erreur de stratégie quand au lieu de cibler le bipartisme monarchique vous vous en prenez à la seule candidate capable de virer le survivant UMP-PS au deuxième tour !!!!!!!!?????
Ne pensez surtout pas que les nombreux électeurs, électrices qui vont voter FN au premier tour soit des citoyen(ne)s ( comme je vais le faire et il m’en coûte !! ), qui vont le faire parcequ’ils adhèrent à toutes les idées du FN , oh que non !!!!!! qu’ils soient tous toutes abruti(e)s , oh que non !!!! qu’ils soient tous toutes animé(e)s de vengeance ou de défoulement , oh que non !!!! de colère certes oui !!! Le général Degaulle qui ne vous est pas étranger je crois, n’avait-il pas en son temps dans le souci d’unité nationale , pris dans son gouvernement jusqu’à des communistes ( c’est vrai qu’à l’époque le PC passait les 20 % , comme le FN aujourd’hui ! )
Je crois Mr Asselineau que les Français(e)s sont très conscients qu’ils sont dans la merde, et si homme , femme providentiel il devait y avoir je pense qu’il, qu’elle serait celui , celle qui saurait engager un dialogue avec l’ensemble des partis d’opposition à l’UMP-PS du FN à l’extrême gauche pour créer un front démocratique de salut national !!!!! Ah c’est sûr faut pas trop chipoter sur la couleur ni sur l’odeur , mais le changement est à ce prix, la vrai question à poser est donc de savoir quels sont les candidats qui souhaitent virer la racaille UMP-PS pour rétablir la démocratie dans notre pays !!!!!! L’heure est grave , il n’y a pas à tergiverser .
Certes le FN est peu fréquentable , mais nous sommes en guerre contre ce système et le système est bien vérouillé pour interdire tout changement ( vous êtes pourtant bien placé pour le savoir !!!! )
Je ne vous demande pas d’adhérer au FN mais ne croyez vous pas qu’il serait judicieux d’unir toutes les forces d’opposition pour virer cette racaille UMP-PS !!!!!! Proposer une sorte de front démocratique pour retrouver le chemin de la démocratie , un front démocratique qui autoriserait les candidats à avoir la même audience médiatique , un front démocratique qui établirait une proportionnelle intégrale à l’assemblée nationale , un front républicain qui remplacerait ce système des parrains et parrainages et mettrait en place la 6 ème république , ou mieux une constituante en consultant les Français par référendum ect ect .............. ?????
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Je te dirait qu’une chose kéké, pourquoi ni le FN ni NDA ni hollande.....etc.. ne parle de FA ou ne l’invite alors que lui leur à déjà proposer ????
Parce-qu’il dérange et que ceux que tu iras soutenir son main à main depuis longtemps et ne souhaite pas que ça change. La racaille n’est pas seulement au UMP-PS mais de tous ceux qui ont étaient de loin ou de prés dans les coulisses des médias et de la politique depuis 30 ans .....
Vouloir passer FA pour quelqu’un qui veut se la jouer solo, c’est comme dire à l’époque à De Gaulle va faire alliance avec Pétain ......
Mais je pense que tu devrais te renseigner sur qui sont ceux qui sont et profite bien de leurs siège de député, tu comprendra mieux pourquoi aucun d’entre eux ne critique l’UE et tout ça sa coûte cher !!!! -
@ bertucat
Je suis globalement d’accord avec ce que tu dis et ne suis pas naïf au point de croire que la racaille se limite à l’UMP-PS !!!!!
Ton allusion par contre à Pétain / Degaulle ne me semble pas adapté à la situation d’autant que pour l’heure , les collabos au système sont bien l’UMP-PS, ce sont eux qui sont aux manettes et nous mettent dans la merde libérale ........
Dans une période complexe comme celle que nous vivons il est déplacé de faire l’enfant et d’arrêter ses efforts sous prétexte d’un refus de la main tendue !!!!!!!
En période de guerre, chacun se méfie et il faut du temps et remettre dix fois cents fois l’ouvrage sur le métier avant d’espérer un résultat !!!!!
Le temps nous n’en avons plus , je pense donc que MR Asselineau , au point où il en est des intentions de vote , pourrait se limiter à marteler l’urgence d’un front démocratique avec tous les candidats désireux de vraiment changer le système !!!!!!!!!!!!!
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à Kéké dans l’Aisne (c à d Cauet)
« Ne pensez surtout pas que les nombreux électeurs, électrices qui vont voter FN au premier tour soit des citoyen(ne)s ( comme je vais le faire et il m’en coûte !! ), qui vont le faire parcequ’ils adhèrent à toutes les idées du FN , oh que non !!!!!! qu’ils soient tous toutes abruti(e)s , oh que non !!!! »
L’attitude d’Asselineau semble effectivement accréditer l’idée que, oui, tous ceux qui ne se rallient pas à son panache blanc sont des abrutis, même s’ils ont des idées voisines des siennes. -
Lis le programme de François Asselineau, il n’y a aucune idée voisine des siennes. Le problème c’est que vous n’avez pas vu évoluer le discours de vos candidats dans le sens de celui de l’UPR. Mais ils en restent volontairement très éloignés. Il n’y a chez Mélenchon ou Le Pen aucune intention de quitter l’UE, voir le discours récent de JLM qui en appelle à un référendum improbable contre le TSCG.
On sait comment se raidit l’UE face aux idées de référendum —>les gouvernements tombent comme en Grèce.
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Bonjour !
J’adhère complètement à votre propos.
Cependant,je suis étonné de vous entendre dire que sortir de l’Euro entraine automatiquement la sortie de l’UE:tous les membres de l’UE ne sont pas membres de la zone Euro.
Marcel Foures ex adhérent de l’UPR
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Ce n’est pas Asselineau qui le dit même si sa phrase laisse à penser le contraire. Ce sont simplement les Traités qui le stipulent ainsi, car aucun état membres ne peut quitter la monnaie unique, sauf en quittant par l’art. 50 du TUE. C’est à dire sortir complétement de la construction européenne, sinon cela reviens à dire qu’il transgresse les Traités et qui ne serait pas démocratique ni juste pour les autres état membres. Déjà que les Anglais est pu rentrer sans la monnaie unique n’a rien avoir avec une Europe soudé comme on voudrait nous le faire croire.
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Une sortie de l’Euro n’entraine rien de certain, vu que ce n’est jamais arrivé...
Et surtout pas une sortie de l’UE. -
Le vote du plan d’austérité est une « nouvelle vraiment bonne », s’est félicitée la chancelière allemande Angela Merkel. Pour Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, c’est « un pas vital » fait par la Grèce pour s’éloigner d’un défaut de paiement....
La politique du chiffre au détriment de l’humain, voilà de quoi nos demains, comme ceux des grecs, (c’est déjà bien engagé) seront faits à la grande satisfaction du couple franco-allemand merkel sarkozy... Austérité sur fond de flexibilité de l’emploi... ; traduire le salariat jetable/corvéable à merci...
Comment le peuple grec pourrait il relancer sa croissance alors que les entreprises ferment et délocalisent en masse, que les petits commercants se retrouvent à la rue, que les salaires réduits (quand ils ne sont pas versés un mois sur deux pour le personnel des armateurs blindés de thunes) n’assurent même pas la survie et que les mesures préconisées euh... exigées par le FMI vont tarir les recettes fiscales...(notamment indirectes) que le gouvernement grec peinent à faire rentrer ?
http://blogs.rue89.com/matouk/2012/02/08/le-fmi-veut-il-que-la-grece-quitte-leurope-226538-
Trahisons pyramidales.Nos élites nous ont trahi pour des motifs idéologiques.
Ils nous ont trompés, nous ont mentis et nous ont cachés l’architecture qui se construisait derrière notre dos.Le problème est que la plupart des ces traitres ignorent qu’ils sont eux-mêmes trahis par des cercles plus restreints qui ont d’autres objectifs et comptent utiliser cette architecture à d’autres fins.
La bêtise, la cupidité, l’orgueil, la vanité, la fierté de s’imaginer en être (de la Caste des élites) a fait d’eux des êtres manipulables, de simples laquais pour les strates supérieures au sommet desquelles se situent la véritable ploutocratie.
Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font.
Ils ne comprennent pas que, lorsque le système sera verrouillé, ils deviendront inutiles et leurs enfants deviendront du simple bétail, au même titre que le reste de l’humanité.
Lorsque tout être humain sera pistable, traçable, historisable (autant ses déplacements que les idées qu’il a pu exprimer) et lorsque la contestation, même simplement verbale, de l’autorité sera considérée comme un crime, alors ces 2nds couteaux deviendront simplement des « témoins gênants » qui en savent trop.Les peuples européens aspirent naturellement à vivre en harmonie.
Ce qui les a divisés dans l’histoire est toujours venu d’intérêts de castes et s’est toujours appuyé sur d’immondes propagandes pour entraîner les foules.Jamais les guerres n’auraient eu lieu si, par exemple, avait existé une simple loi qui permette de radier définitivement de la profession, tout journaliste ayant commis un acte de désinformation caractérisé
= « tu as menti, cherche-toi un autre métier ! »Vous imaginez les médias nettoyés des propagandistes professionnels !!!
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Lorsque j’ai lu consterné les commentaires pitoyables des gens (je n’ose meme pas les appeler francais) ayant regardé l’émission de M 6 le dimanche 5 février 2012, sur la sortie de l’euro, je me dis que ce n’est pas demain la veille que cela se produira tout au moins par la volonté populaire.
Certes le docu-fiction était tres orienté pour fout les chokotes a Mme Michu, et la propagande des pro est tellement omnipotante, voire indécente en rapport avec la réalité que l’on peut comprendre des opinions divergeantes, mais de la a n’avoir qu’une bande de pleutres effrayés ...
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Désolé
Alire
Un bon article sur la sorie de l’euro ou 2 prix nobels d’économie bouffent la feuille de match et commencent a ouvrir les yeux.« Lentement, mais sûrement, la sortie de l’euro gagne le soutien d’un nombre grandissant d’économistes, notamment Joseph Stiglitz et Paul Krugman. Pourtant, d’un point de vue médiatique, le débat reste tout aussi caricatural comme l’a montré l’émission de M6 hier soir. »
...
Le tout repris sur Marianne c’est dire !! -
« En revanche, il est à craindre que le gouvernement français n’ai rien étudié du tout, tellement le débat chez nous fait l’objet d’une interdiction totale de pensée rationnelle. »
C’est surtout interdit d’en parler sur les médias. Il est impossible qu’ils soient cons au point de n’avoir pas prévu un tel virage
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François Asselineau fréquentant un peu les allées du pouvoirs en tant que haut-fonctionnaire à Bercy - même si on l’a mis au placard quand il a commencé à l’ouvrir - laisse justement entendre que dans le secret des couloirs des ministères, en France nos élites savent en leur fort intérieur qu’elles n’ont plus les leviers et admettent ne plus savoir où elles nous emmènent, mais se refusent évidemment à le révéler, et qu’il n’y a donc pas de plan B concernant la politique de la France. Sinon ça reviendrait pour eux à remettre en cause tout leur dogme europhile et leur responsabilité dans ce désastre vers lequel ils nous ont conduits en y croyant dur comme fer...
Elle n’est pas moins dramatique que ça à mon avis, la situation au plus haut niveau de l’État. Ce pourquoi monsieur Asselineau a entrepris de créer un mouvement pour rassembler les Français, avant tout pour leur révéler ce constat tragique que nos élites n’ont plus la main sur rien et se complaisent à nous mener tous vers un suicide social, et leur dire qu’il ne faut pas l’accepter et reprendre notre destin collectif en mains.
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@Croâ,
le dire, pour notre gouvernement, c’est envisager peut être un vent de panique généralisé (avec retraits massifs d’argent dans les banques, retraits des dépots des livrets d’épargne, cessation des placements d’assurance vie etc...) puisqu’on ne fait que nous seriner que revenir à notre monnaie serait une catastrophe...
Avec notre politique « au jour le jour » qui ne fait que retarder je pense l’échéance (soit la chute inévitable de l’euro), on ne fait pas mieux que les autruches...
plus dur sera le réveil...-
Les cabalistes sataniques initiateurs du contrôle des banques centrales occidentales sont dans un état de peur extrême.
Une des raisons est que le secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a déclaré la semaine dernière que le Pentagone et les agences des États-Unis n’étaient pas d’humeur à laisser les cabalistes avec leurs visions et en plus leur accorder un comité de réconciliation pour tous leurs crimes bientôt mis sous grand jour.
Je cite « Nous avons été à surveiller ces gars-là pendant une longue période », at-il dit, et la conclusion était que la Réserve fédérale doit être démantelée, et les cabalistes emprisonnés.
Tous les cabalistes, ceci inclus ceux d’Europe aussi... Tous ces cabalistes sont la racaille qui gère les pays du G5 qualifié de terroriste par tous les autres pays du monde.
Question à Asselineau : Que pensez-vous de NESARA ?-
Mardi 7 février 2012 :
Il y a vingt ans, le 7 février 1992, c’était la signature du traité de Maastricht.
Vingt ans après, le jour de l’anniversaire du traité de Maastricht, la crise nous a montré l’échec total de l’Union Européenne.
Toutes les belles promesses des partisans de l’Union Européenne reposaient sur ce postulat : « la solidarité européenne, ça existe. » Or, justement, ce que la crise nous a montré, c’est exactement le contraire :
L’Union Européenne est construite sur une solidarité ... qui n’existe pas.
La solidarité européenne entre les pays européens riches et les pays européens pauvres, ça n’existe pas.
Les pays européens riches ne veulent pas donner pour sauver de la faillite les pays européens pauvres.
Un article du journal allemand « Der Spiegel » évoque les manifestations de mardi, en Grèce, lors de la grève générale : la photo qui illustre l’article est une photo extraordinaire.
A droite de la photo, un manifestant brandit un drapeau grec.
A gauche de la photo, un manifestant grec est en train de brûler un drapeau allemand.
L’article de « Der Spiegel » :
« Il est temps d’arrêter la farce du sauvetage de la Grèce. »
http://www.spiegel.de/international/europe/0,1518,813919,00.html
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Il n’est nul besoin d’être sorti de la cuisse de Jupiter pour se rendre compte que la Grèce sortira de l’Euro un jour ou l’autre et que, contrairement à ce que M. Asselineau affirmait apocalyptiquement dans sa précédente livraison, tout autre pays euroïsé peut le faire sans être traîné devant les tribunaux post-staliniens de l’Euroland.
Le lièvre que l’UPR, en bon rebellocrate, se gardera bien de faire sortir de son gîte est que le Maghreb et même certains pays d’Afrique noire, d’un traité l’autre, d’une convention l’autre, d’une cocktail-party l’autre, sont virtuellement dans l’Euroland.
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L’Allemagne est en train de commettre son deuxième crime contre l’humanité en moins d’un siècle (comment appeler autrement des actes hostiles visant à piller un pays et à pousser un peuple au suicide, à la misère, à l’humiliation ?).
Quant à la France, pour la seconde fois en moins d’un siècle, elle collabore avec l’Allemagne.A part Melenchon qui propose des solutions de relance économique comme en Argentine, mon pays ( adaptés à la France, bien entendu ) et un audit citoyen de la dette préalable au référendum pour décider de son sort , les quatuor en « tête » des sondages défendus par les médias les plus diffusés se prononcent ouvertement pour l’austérité... et pour cause : ils défendent et sont financés par ceux qui veulent le prolongement de « l’ordre » actuel, version « hard » ou « soft », peu importe.Chaque jour que je lis le journal de bord de cet historien/ethnologue grec http://greekcrisisnow.blogspot.com/...j’en pleure : des souvenirs trop douloureux de ce qui s’est passé pour nous en 2001 me reviennent en mémoire....-
Tu te trompes de coupable même si ce système de banque « indépendante » profite en ce moment apparemment à l’Allemagne !
L’Europe s’est construite au profit d’une oligarchie qui se fout pas mal des frontières et de l’intérêt des nations qui la compose, Allemagne comprise.
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Anasosa
un peu de retenu quand même !
Mettre deux choses si dissemblables sur le même plan, c’’est banaliser les premières, bien plus graves que cette crise.
Du reste, même si j’ai beaucoup de sympathie pour les grecques, et surtout ceux qui paient la crise au prix fort, il ne faut pas oublier tout de même que leurs dirigeants élus ont savamment triché pour rentrer de force dans les clous, avec la conviction, que ce seront les autres qui paieront la note, quand la supercherie sera découverte.
C’est quand même les armateurs Grecques qui ont lancé, ( Onasis en est l’exemple) la mondialisation, en commençant à se foutre des règles maritimes conventionnelles, dés l’après guerre, et en cassant les couts du fret international, à partir de cargos promis à la casse, et dotés d’équipages internationaux folkloriques et bons marchés.
L’exemple a été suivi par d’autres
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Tant pis je garde mon solex, bien que j’ai déjà piloté une Harley, mais j’aime bien le coté bucolique de l’engin. .
C’est vrai qu’à la relecture, je sursaute souvent devant les fautes. Mais c’est surtout la pensée qui compte. Je reste tout de même assez dubitatif devant le cas Grec, même si je critique la vision libérale de l’Europe.
Les foules gueulent contre cette Europe. On voudrait aussi qu’ils demandent des comptes à leurs dirigeants. Et surtout qu’ils exigent une alternative aux baisses de salaire, ou du moins un effort partagé.
Quid demandé au clergé, qui ne paie pas d’impôts.
Quand est -il de la réforme du cadastre ?
De l’exonération qui permet aux plus riches de ne pas payer d’impôts.Un peu facile de crier au crime quand on n’a maquillé ces comptes. il y a là une volonté de paraitre innocent qui me semble un peu fort de café ( grec ou turc ?)
Pour parler des rapports Grecquo-Turc, justement, et d’Europe, celle-ci refuse assez justement un mur de barbelés, coutant la bagatelle de plus de 5 millions d’euros, long de douze kilomètres, et censé protéger la Grèce des hordes d’envahisseurs clandestins.
No comment !
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heureusement la guerre va sauver l’europe !
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Tout à fait
Comme nos « élites » ont « sauvé » la Grèce !
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les gens au quotidien sont loin des blablas des hommes politiques . leurs soucis sont très terre à terre surtout quand ils ont du mal à finir le mois..
aussi mr l’auteur, vous serez gentils de nous dire, pour le grec lambda, si demain ils se reveille étant sorti de l’euro et qu’il se rend dans un magasin pour faire ses achats, ce qui va très concrètement se passer pour lui :si 1€ = 1 drachme :hier le kilo de viande coûtait 20€ : demain il coûtera combien de drachmes : ?son pull chinois lui coûtait 25€ : demain c’est combien drachmes :sa Renault luia coûté 15.000 € demain c’est combien de drachmes :demain, pas dans dix ans. demain il aura gagné quoi le grec en changeant de monnaie ?-
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Le doit d’imprimer ses propres drachmes sans se trainer à genoux devant les banquiers pour avoir des Euros que les banquiers inventent à partir d’une réserve fractionnaire ?
Sinon, le plaisir d’avoir une monnaie qui culturellement leur rappelle qu’ils ont inventé la monnaie il y a 2500 ans ? -
Oui, Aldous, mais c’était 4 grammes d’argent pur, des mines du Laurion... à l’heure actuelle ce n’est guère que du papier.
On pourrait rappeler d’ailleurs que les Grecs (d’Asie Mineure, en fait) ont inventé la monnaie pour payer les mercenaires, principale industrie grecque, car la terre et le commerce ne faisaient pas vivre toute la population. En fait la monnaie permettait aux guerriers dans une économie encore basée sur le troc de disposer d’une valeur sûr, accepté par tous...
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La Grèce « étudie ». Ah bon. Je crois bien plutôt que les politiciens là-bas commencent à avoir chaud aux fesses. Etudiez donc.
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avant de sortir de l’euro, d’abord il fautproduire français, donc ::-reconstituer le tissu industriel Français et le donner en co-gestion ouvrière afin que pas un euro produit n’aille dans la poche d’un actionnaire.-racheter nos brevets et en inventer d’autres ..........recherche innovation-reconstituer l’outillage.-reconstituer notre savoir faire ...........formation-revitaliser notre agriculture et pêche pour éviter d’acheter des salades en hollande !etc....délais pour tout ça au mieux ? 10 ans ?et pendant ce temps il faudra bien acheter chinois à un coût augmenté du taux d’inflation dû à la sortie de l’euro, puisqu’on ne produit rien ! sans compter les taxes en plus aux frontières.car les familles continuerons à acheter chinois, faute de moyens !tout augmentant la TVA et en baissant les salaires et pensions pour devenir compétitifsdemandez si les français peuvent voir baisser leur pouvoir d’achat de 40% et tenir 10 ans avnt de voir le bout du tunnel !!seriez vous mr l’auteur aussi irresponsable que lepen pour faire de telles annonces ? sortir vite de l’euro ? c’est criminel pour le peuple.les riches et nantis eux n’ont rien à craindre il pourront supporter dévaluation, taxes et baisses de revenus sans problème. eux seront d’accord !-
Impossible !
On ne peut envisager de reconstituer le tissu industriel français dans le cadre des traités européens , de l’euro et de la globalisation .
A chaque fois dans l’histoire que la politique libérale a autant cassé les structures industrielles , y compris aux USA par exemple , la reprise en main n’a pu se faire qu’en protégeant les frontières .
Ne pas les fermer naturellement mais réintroduire des droits de douanes significatifs et différentiels ...
En lien avec la balance commerciale vis à vis des différents pays .
Si la chine nous vend 20 milliards de produits par exemple , il faut qu’elle nous en achète autant .
Ce sont les immenses déséquilibres que l’on ne peut même plus corriger en compressant les salaires et en augmentant la productivité , à moins de rétablir l’esclavage ou le STO , qui rendent vains tous les sacrifices demandés ...
Les gens ont besoin de se loger , d’avoir des services en rapport avec leur revenus , eau, gaz électricité, carburants , alimentation , etc qui rendent absurdes les propositions et les règles européennes .
Plus évidemment l’ immensité de la dette et des intérêts à rembourser .
Soit ce capitalisme de la rente , des fonds de pension et d’investissements crève soit ce sont les populations .
Or en Europe l’Allemagne fonctionne sur ce modèle .
L’Europe n’est pas allemande : l’UE est constitué de satellites de l’Allemagne .
Impossible de ménager la chèvre et le chou .
Cr.
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La sortie de l’euro et la remise en cause de traités européens qui ne sont que l’institutionnalisation du système néo libéral, est une évidence si l’on veut sortir de cette spirale infernale qui nous conduit vers le destin de la Grèce.
Le rôle de la monnaie dans l’exploitation des états, des collectivités locales, des particuliers, avec le crédit (par la délégation de la création de la monnaie aux Banques privées), la spéculation, l’évasion de capitaux, - qu’accompagne aussi le transfert gratuit de technologies- .. est souvent ignoré, mais c’est un élément majeur de la destruction du pouvoir d‘achat, du droit au logement, de l’emploi, notamment par la désindustrialisation.
Sortir de l’euro, implique aussi de revenir à une Banque publique pour la création de la monnaie, contrôlée par l’état et à la gestion démocratique, ainsi qu’à une Banque publique du même type pour les échanges financiers.
Il est évident qu’il faudrait renégocier les dettes, réinvestir dans l’appareil de production, relancer l’agriculture et la pêche. On ne peut pas non plus échapper à l’instauration d’un protectionnisme sélectif, qui n’est ni plus ni moins que ce que font les US, le Japon, …
Le problème est complexe donc un fois ceci mis en place, il faudrait sûrement revoir certaines choses. Il serait sûrement nécessaire également de relancer des coopérations internationales.
Il est évident qu’Hollande ne fera rien de tout cela et qu’il nous conduira rapidement au chaos, (coup de frein à un nucléaire déjà très entamé, creusement de la dette sans sortir du système actuel, mise en cause du pouvoir d’achat des classes moyennes, -qui l’auront élu-..)
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Sortir de l’Union Européenne en vertu de l’article 50 nous mettrait à l’abri de la situation que vous dépeignez. L’Europe nous empêche de produire français, c’est donc qu’il faut D’ABORD sortir de l’Europe pour pouvoir revenir à une économie plus encadrée.
On a du mal à suivre un tel raisonnement.
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ah bon ? et en sortant d’abord de l’europe, il vous faudra combien pour produire français ? un mois, un an dix ans ?
et pendant ce temps ??alors répondez à ça :
si 1€ = 1 franc :hier le kilo de viande coûtait 20€ : demain il coûtera combien de francs : ?son pull chinois lui coûtait 25€ : demain c’est combien francs :sa Renault luia coûté 15.000 € demain c’est combien de francs :demain, pas dans dix ans. demain il aura gagné quoi le français en sortant brutalement de l’euro et de l’europe ? ?facile d’annoncer les avantages d’un tsunami !! dites aussi les inconvénients , par honnêteté intellectuelle ! ne pensez pas qu’aux plus riches : eux peuvent tout supporter, ils ont les moyens de tenir des dizaines d’année.répondez à ces simples questions ? demain, combien ?-
L’article 50 prévoit une sortie progressive de l’UE qui prendrait effet au bout de deux ans maximum.
D’accord avec vous. Il n’est jamais facile de relancer une économie surtout dans l’état désastreux où la politique européenne l’a laissé, avec son cortège de délocalisations industrielles.
N’étant pas économiste je m’abstiendrai de théoriser. Mais lorsque des personnalités de renom annoncent comme certain l’effondrement de l’Euro, ou que Joseph Stiglitz affirme que ce sont les premiers à quitter l’Union qui s’en sortiront le mieux, on peut se dire que ça sent le sapin, non ? Alors on est responsable ou on continue de se voiler la face ? -
Ne voyez vous pas où nous mène cette UE et cet Euro ?
A la catastrophe ! Nous sommes en train de perdre tout ce que nos anciens avaient érigé pour le bien commun : la sécu, les retraites, le bien être, LA PAIX ! Au nom de logiques assassines et financières, on est en train de culpabiliser les gens en leur faisant croire que tout est de leur faute, qu’ils ont été gourmands etc etc ... La réalité, c’est que les marchés sont passés par là, que l’état qui empruntait à 0% s’est vu interdire ce droit par les félons banquiers à partir de 1973 (Pompidou) et a donc du emprunter sur le privé, faisant démarrer une dette abyssale !
Nous AVONS DEJA REMBOURSE CETTE DETTE en intérêts depuis des lustres et le piège est refermé puisque les intérêts dépassent largement ce qu’on peut prélever. Donc on tente de culpabiliser par tous les moyens sur la dette alors que ce n’est au fond qu’un hold-up perpétuel !
N’oubliez pas qu’en sortant de l’Euro, nous économiserons plus de 7 millards/an rien qu’en ne versant plus de subsides à cette UE !!! -
A mon avis plus important et le début de la fin du complot des banksters :
Poutine a lancé un mandat international contre G. Soros pour terrorisme international : http://wp.me/p1WnGr-9e
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Il semble que les gens ne prennent pas la mesure de cette info, si elle s’avérait exacte. J’attends demain pour voir si la presse « mainstream » va reprendre cette info ou si c’est un hoax !
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Je ne sais pas s’il faut envier les belles certitudes de certains. Même si je suis hostile à la vision économique de l’Europe en cours, je ne suis pas sûr qu’une marche arrière est la meilleure solution. Cette crise peut dans ces excés amener une certaine régulation. Par ses carences et son tout économique, la vision en cours ne peut être qu’ être remodelée.
D’ailleurs, le simple fait que les US tentent eux aussi de couler l’euro me rend un peu plus méfiant.
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Les USA qui veulent couler l’Euro, c’est à la fois vrai et faux. Ce sont eux justement qui ont œuvré à la construction de l’UE mais pas n’importe comment et ce depuis maintenant quelques décennies !!!
Mr Asselineau l’explique remarquablement dans ses conférences, PREUVES INDISCUTABLES à L’APPUI ! Le but ultime est l’émergence de la gouvernance mondiale par l’élimination des états nations ! L’UE est une étape indispensable à ce but. La théorie des chaines dont parle François Asselineau est d’une clarté implacable sur ce sujet. Par le passé, ceux qui avaient lu ce dessein étaient taxés de complotistes, de rigolos et pour cause ! Aujourd’hui, on se rend compte de la justesse de leur analyse. De Gaulle avait vu le jeu des Américains depuis longtemps et avait tenté d’en avertir le pays. Même François Mitterrand sur la fin l’avait clairement dénoncé !
Donc, les USA veulent non pas couler l’Euro mais ont fait en sorte de mettre en place des logiques qui de toute façon amèneront les peuples à soit : se foutre sur la gueule à terme parce que cette UE sera absolument indirigeable (théorie des chaines)
Soit totalement s’en remettre à un tiers de l’extérieur (devinez qui ?) qui viendra tel le messie des croyants remettre les choses en ordre par le biais d’une gouvernance mondiale ! Dans ces deux cas, les USA sont gagnants et apparaitraient comme des « sauveurs » !
Le seule solution pour sortir de ce piège grossier, c’est de reconquérir notre libre choix, notre indépendance TOTALE et pour ça, il nous faut IMPÉRATIVEMENT sortir de l’Euro et évidemment de cette UE toile d’araignée.
Asselineau avec l’UPR est le seul qui le propose sans aucune ambiguïté, c’est peut être et sans doute pour ça qu’il est à ce point occulté par les médias ! -
" Même si je suis hostile à la vision économique de l’Europe en cours, je ne suis pas sûr qu’une marche arrière est la meilleure solution. "
quand on va vers un mur à vitesse exponentielle , on peut espérer s’en sortir à condition de couper le moteur et de freiner très fort
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Velosolex : « D’ailleurs, le simple fait que les US tentent eux aussi de couler l’euro me rend un peu plus méfiant. »
Vous faites bien d’être méfiant, à mon avis. Si l’on admet comme inévitable une réforme du système monétaire international et le remplacement du dollar par un mécanisme, quel qu’il soit, de compensation, l’intérêt de l’économie américaine, sous les critères du système actuel, est de s’y opposer autant que faire se peut. L’eurozone est un des acteurs de poids de cette négociation qui vient, je pense, inéluctablement. Il n’y a besoin d’aucune théorie du complot pour observer comment la finance anglo-saxonne, alignée derrière Wall Street et la City, font feu de tout bois pour torpiller cette aspiration.
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l’UPR ?? C’est pas eu qui demanderont de reporter leurs voix sur SARKOZY au second tour ??
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@hgo04
on ne sauraiit trop vous conseiller de prendre un peu de temps pour vous renseigner sur l’UPR, son programme et ses valeurs -
Vous pouvez faire les paris sur ce sujet !!!! L’UPR ne reportera jamais ses voix sur Sarkozy. Asselineau n’est pas propriétaire des voix sur son nom et son programme. L’UPR est composé de gens d’horizons très divers, de la droite à la gauche mais qui ont compris comme leurs devanciers qu’à un moment dans la vie, pour résister efficacement, il faut s’unir : que l’ennemi est commun à tous, quel que soit sa tendance car cet ennemi lui, n’est ni de droite ni de gauche, ce sont peut être d’ailleurs ses propres inventions !
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La sortie de la Grèce de l’Euro ?, Bien sûr, tout le monde a essayé de visualiser le problème.
Le bilan est facile, le retour de la drachme, c’est immédiatement une dévaluation de 30 à 50% ! Comme les produits fabriqués en Grèce sont insignifiants dans la consommation des Grecs, la majorité des produits consommés restera facturée en Euros.
Donc le retour de la drachme, c’est un plan de rigueur automatique, beaucoup plus sévère que le plan du FMI !
Le pire des remèdes de cheval !-
@magnon
La grèce aura au moins le droit de faire ce qu’elle veut ... d’elle même. La dette grecque devra être totalement éffacée comme toutes les autres dettes d’ailleurs. Il faut revenir aux choses sérieuses et arrêter de payer pour engraisser les Goldman Sach et autres bandits que vous semblez soutenir. Tout pays qui sortira de l’Euro et de l’UE gagnera la plus grande des richesses : sa liberté !!! Si nous sortons nous, en plus de cette liberté, nous pourrons tous les ans économiser 7 milliards de leur euro pourri ...que nous versons sans plus jamais le revoir ! (nous versons 21 et recevons à peine 14 ...)-
PascalR 9 février 2012 11:09Quand je vois ce qu’engloutit la Grèce en milliards d’euros et que cela ne sert en fait à rien car il est trop tard, et que ce sont mes impôts qui y passent, raisonnement tout bêtement égoïste, sachant que la Grèce a quand même bien déconné, alors oui, qu’ils se démerdent sans moi.
Quand à l’Europe, ce n’est qu’un machin au service, comme toujours, des grands pouvoirs financiers, rien d’autre, on y a globalement tous perdu quelque chose.
Et gagné quoi ?
Les blablablas philosophico-politiques sur l’Europe m’ennuient, la réalité est bien là sous nos yeux, l’Europe est un échec total pour les populations, surtout ceux qui casquent et qui voient débarquer chez elles des milliers de travailleurs schengenniens alors que notre chômage explose.-
Etat des lieux actuellement
Europe La pauvreté menacePrès du quart de la population de l’Union européenne est menacé de pauvreté ou d’exclusion sociale, ce risque touchant davantage les enfants, selon l’agence Eurostat.115 millions de personnes, soit 23,4 % de la population des 27 pays de l’UE, étaient confrontées à ce risque en 2010.Les plus fortes proportions de personnes menacées de pauvreté ou d’exclusion sociale se situent en Bulgarie (42 %), en Roumanie (41 %) et en Lettonie (38 %) tandis que les plus faibles se retrouvent en République tchèque (14 %), en Suède et aux Pays-Bas (15 %) ainsi qu’en Autriche, en Finlande et au Luxembourg (17 % chacun).Elles sont 19,7 % en Allemagne et 19,3 % en France.-
Grèce : le cap du million de chômeurs dépassé en novembre
ATHENES - Le cap du million de chômeurs, pour 11 millions d’habitants, a été dépassé en Grèce en novembre, mois pendant lequel le chômage a atteint le taux record pour le pays de 20,9%, tiré par l’austérité et la récession, a indiqué jeudi l’Autorité des statistiques grecques (ASE).Le nombre de chômeurs a atteint 1,02 million, en hausse de 48,7% sur un an et de 14% par rapport à octobre, a précisé un communiqué de l’ASE.
L’explosion du chômage, à un niveau jamais atteint depuis l’entrée dans la zone euro en 2000, a démarré début 2010 avec la débâcle financière du pays et la cure d’austérité qui lui est depuis administrée, alors qu’il est entré dans sa cinquième année consécutive de récession.
Près d’un jeune sur deux de 15 à 24 ans est sans emploi (48%). 24,5% des femmes sont victimes du chômage.
Les régions les plus sinistrées sont la Macédoine-Thrace (nord-est du pays - 23,8%) et la région d’Athènes, la plus peuplée du pays, où le taux de chômage a encore empiré, à 21,1% contre 19,2% en octobre et 13,9% un an plus tôt.
(©AFP / 09 février 2012 12h31)
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« On n’avait pas vu ça en Grèce depuis l’Occupation. »
Menacés par la famine, comme pendant la Seconde Guerre mondiale, les Grecs ont l’impression de replonger dans la dictature. Economique, cette fois.
Par MARIA MALAGARDIS, envoyée spéciale à Athènes.
Tous les jours, la même scène : à midi, une foule silencieuse se presse devant les grilles de la mairie d’Athènes, à deux pas de la place Omonia. Combien sont-ils ? Une centaine ? Bien plus encore ? « Le soir, ils sont deux à trois fois plus nombreux », soupire Xanthi, une jeune femme rousse, chargée par la mairie « de gérer la foule ». L’ambiance est tendue quand les grilles s’ouvrent enfin, et qu’une longue cohorte se forme jusqu’au stand où l’on distribue un Coca-Cola light et une sorte de purée de patates dans une gamelle en plastique.
Certains tentent de doubler, d’autres de repasser une seconde fois. Il y a des cris, des disputes, tout doit aller très vite : la distribution ne dure qu’une demi-heure. Et tant pis pour les retardataires ! Gestes fébriles, regards fuyants, ils s’accrochent à leur repas qu’ils avalent rapidement assis dans la cour. Au milieu des quelques marginaux et des vieillards aux vêtements usés, on remarque tout de suite cette nouvelle catégorie de citadins jusqu’à présent peu habitués à quémander sa nourriture. La plupart d’entre eux refusent de parler aux journalistes, détournent la tête dès qu’on les aborde.
« Ils ont honte », confie Sotiris, 55 ans, qui s’est retrouvé au chômage après avoir travaillé vingt ans dans une compagnie de sécurité. « Mais en Grèce, les allocations chômage ne durent qu’un an », rappelle-t-il. Tirant nerveusement sur sa cigarette, il évoque sa femme, malade du cancer et alitée, ses deux fils, aussi au chômage, qui vivent sous le même toit. « Que va-t-on devenir ?Je n’ai plus d’argent et je ne peux même plus payer les traites pour mon appartement ! Bientôt, ils viendront le saisir », s’affole-t-il. Juste avant de partir, il demande un euro, murmurant : « Juste pour un café. J’en ai oublié le goût. »
En Grèce, on les appelle les « néopauvres », ou encore les « SDF avec iPhone » : des salariés virés d’une des nombreuses PME qui ont fait faillite, des fonctionnaires licenciés à la suite des mesures d’austérité prises depuis deux ans. Tous se sont retrouvés au chômage, alors que les crédits à la consommation les avaient poussés à se surendetter pendant les années fastes. Qui ne sont pas si loin : entre 2000 et 2007, la Grèce affichait encore un taux de croissance prometteur de 4,2%. Puis la crise bancaire de 2008 et l’annonce coup de tonnerre d’un déficit budgétaire record de 12,7% du PIB fin 2009 ont fait s’effondrer, comme un château de cartes, une économie aux bases trop fragiles pour résister au jeu spéculatif des marchés.
Premier pays « dégradé » d’Europe, la Grèce est aujourd’hui le plus mal noté par les agences financières. Travail au noir, fraude fiscale, administration inefficace : les maux sont connus et une grande partie de la population accepte la nécessité des réformes structurelles exigées par « Merkozy », comme on appelle ici le tandem Angela Merkel-Nicolas Sarkozy, qui domine les négociations à Bruxelles. Mais les plans d’austérité imposés au pays depuis le printemps 2010 passent mal. Ils frappent en priorité les salariés et les retraités, qui ont vu leurs revenus diminuer, voire disparaître quand ils ont été licenciés, et leurs impôts, prélevés à la source, augmenter de façon exponentielle. Résultat ? En deux ans, le nombre de sans-domicile-fixe a augmenté de 25% et la faim est devenue une préoccupation quotidienne pour certains.
« J’ai commencé à m’inquiéter lorsqu’en consultation j’ai vu un, puis deux, puis dix enfants qui venaient se faire soigner le ventre vide, sans avoir pris aucun repas la veille », raconte Nikita Kanakis, président de la branche grecque de Médecins du monde.
Il y a une dizaine d’années, l’ONG française avait ouvert une antenne en Grèce pour répondre à l’afflux aussi soudain que massif d’immigrés clandestins sans ressources. « Depuis un an, ce sont les Grecs qui viennent nous voir. Des gens de la classe moyenne qui, en perdant leurs droits sociaux, n’ont plus droit à l’hôpital public. Et depuis six mois, nous distribuons aussi de la nourriture comme dans les pays du tiers-monde, constate le docteur Kanakis, qui s’interroge. Le problème de la dette est réel mais jusqu’où peuvent aller les exigences de Bruxelles, quand des enfants qui ne vivent qu’à trois heures d’avion de Paris ou Berlin ne peuvent plus de soigner ou se nourrir ? »
Jeudi 26 janvier, une scène insolite s’est déroulée au cœur d’Athènes, sur la place Syntagma, juste en face du Parlement : des agriculteurs venus de Thèbes, à 83 km de la capitale, distribuent 50 tonnes de patates et d’oignons gratuitement. Annoncée à a télévision, la distribution tourne vite à l’émeute. Tout le monde se précipite sur les étals. A nouveau des disputes, des cris. « On n’avait pas vu ça depuis l’Occupation », peste Andreas qui observe le spectacle à distance. L’occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale avait provoqué une terrible famine qui reste dans toutes les mémoires.
Mais si le mot revient si souvent pour décrire le retour de la faim qui frappe les classes moyennes, c’est aussi en référence aux diktats de Bruxelles, et plus encore de Berlin. « Tous les trois mois, on nous menace de faillite immédiate et on nous ordonne d’étrangler encore plus les plus pauvres. L’argent qu’on nous promet ? Ce sont des prêts qui ne servent qu’à rembourser nos créanciers ! » s’exclame Andreas.
Employé dans une entreprise maritime, il rit en évoquant l’éventualité de supprimer les treizième et quatorzième mois des salariés du privé. Comme beaucoup d’employeurs, le sien ne lui verse aucun salaire depuis des mois. « Les patrons invoquent la crise pour éviter de payer leurs employés », se plaint-il. Puis, se tournant vers l’ancien Palais royal qui abrite le Parlement, il ajoute : « Ici, il y a 300 crétins qui suivent un gouvernement non élu par le peuple. Est-ce qu’ils ont diminué leur train de vie ? Les fonctionnaires de l’Assemblée touchent toujours seize mois de salaires et personne à Bruxelles ne s’en préoccupe. »
Loin d’avoir, comme en Italie, provoqué un sursaut national face à la crise, Loukas Papademos, le Premier ministre « technocrate » nommé en novembre, brille surtout par son silence. Alors que le pays négocie à nouveau sa survie en promettant de nouvelles mesures de rigueur, la seule interview qu’il a accordée était destinée au… New York Times.
Andreas en est persuadé : « Nous vivons sous une dictature économique. Et la Grèce est le laboratoire où l’on teste la résistance des peuples. Après nous, ce sera le tour des autres pays d’Europe. Il n’y aura plus de classe moyenne. »
http://www.liberation.fr/economie/01012386707-on-n-avait-pas-vu-ca-en-grece-depuis-l-occupation
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A l’attention de l’UPR : Il faut aller sur les espaces publics pour obtenir un peu de visibilité. En voilà un :
Il doit y en avoir d’autres !-
Non ce n’est pas un canulard et voici une autre info concernant la Grèce :
La Grèce poursuit Goldman Sachs et JP Morgan http://wp.me/p1WnGr-9p
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Dimanche 12 février 2012 :Kastelórizo ou Megísti est une île de Grèce, baignée par la mer Méditerranée orientale et située à moins de cinq kilomètres de la côte Sud de la Turquie, environ 110 kilomètres à l’est de Rhodes.Le 23 avril 2010, Georges Papandréou s’y rend, pour nous annoncer par un très mauvais direct télévisé et en moins de six minutes que « la Grèce accepte le Mécanisme de soutien économique, institué par le Fond Monétaire International, l’Union Européenne et la Banque Centrale Européenne (…) Les marchés ne nous laissent pas le temps (…) Mais les partenaires de la Grèce nous offrent cette possibilité, afin de conduire notre navire dans les eaux d’un port alors protégé, pour pouvoir ainsi le réparer, utilisant des pièces solides et fiables (...) ».Notre dernière île si loin au large a été depuis surnommée par les journalistes, « île du Mémorandum ». Mais plus maintenant, et de manière officielle.Car son maire, Pavlos Panigiris, vient de proclamer « le retour à la drachme et ainsi à l’indépendance » de son île : « Nous reviendrons à la drachme, car sous l’euro notre patrie n’est plus souveraine. Pour rester libres et Grecs, il faut partir (…) Nous ne voulons plus les voir ici [ces politiciens], plus jamais » (journal des Municipalités – aftodioikisi.gr).-
Merci pour votre article, cela me parait évident ce que vous dites à propos de la Grèce.
M’importe, quelque qui soit la personne qui se retrouve en faillite va cherché à ce déclaré en faillite civile.
Donc ce faire racheter sa dette pour atténuée le goulot d’étranglement qui l’axisphie.Donc pour la Grèce le seul choix qui va avoir c’est de se lié au FNI, ce qui est en soit dramatique sachant comment il opère et comment il désosse les Etats.
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Le centre ville d’Athènes a des airs de champ de bataille ce dimanche soir. Une dizaine de bâtiments vides sont en flammes, selon les pompiers, dix-huit selon la police. Des incendies causés essentiellement par des cocktails Molotov, a précisé un porte-parole des pompiers, qui explique que les véhicules de secours ne peuvent pas s’approcher de tous les lieux des sinistres en raison du nombre de gens dans les rues.Dans la journée, quelque 80 000 personnes ont manifesté à Athènes, aux alentours du Parlement où doit être voté dans la nuit un nouveau plan d’austérité imposé par l’UE et le FMI. Ils étaient également 20 000 à Salonique, la deuxième ville du pays, dans le nord, où des heurts ont également éclaté entre les manifestants et les policiers.A Athènes, les affrontement ont débuté quand un groupe de contestataires regroupés devant le parlement a fait pression sur l’important cordon policier disposé autour du bâtiment. La police a aussitôt riposté en faisant usage de gaz lacrymogène. Les manifestants se sont alors retirés dans les rues adjacentes, transformées en champ de bataille. Les pierres, morceaux de marbre prélevés à coup de masse et cocktails Molotov volaient sur les forces anti-émeutes, qui répliquaient par gaz lacrymogène. Les heurts se sont poursuivis pendant plus de deux heures. Deux heures pendant lesquelles la situation est restée « hors de contrôle », selon une source policière.Les manifestants avaient commencé à affluer en début d’après-midi pour protester contre l’adoption prévue après minuit heure locale d’un plan de rigueur, condition du maintien du pays sous perfusion et au sein de l’euro. La manifestation, à l’appel des deux grandes centrales syndicales du pays ainsi que de la gauche radicale, a drainé des familles entières. Un grand-père portant masque à gaz et lunettes de piscine se frayait ainsi un passage au milieu de la foule, tandis qu’un vendeur ambulant de masques en papier - destinés à se protéger des gaz - faisait aussi ses affaires en vendant des drapeaux grecs.Plusieurs milliers de policiers avaient été déployés en prévision des affrontements entre des groupes de contestataires et la police qui ont régulièrement émaillé les rassemblements anti-austérité de ces dernières années.A l’intérieur du parlement, dont les abords étaient gardés par 3000 policiers, les discussions battaient leur plein, marquées par de fréquents incidents de séance entre les rangs gouvernementaux et l’opposition de gauche. « Il y a du gaz lacrymogène jusqu’à l’intérieur de l’assemblée », a déclaré un député.Suivre les émeutes en centre-ville d’Athènes en direct :-
Yannis RITSOS
Ne pleure pas la Grèce
Τη ρωμιοσύνη μην την κλαις
εκεί που πάει να σκύψει
με το σουγιά στο κόκκαλο
με το λουρί στο σβέρκο
Νάτη πετιέται απο ξαρχής
κι αντριεύει και θεριεύει
και καμακώνει το θεριό
με το καμάκι του ήλιουNe pleure pas sur la Grèce,
- quand on croit qu’elle va fléchir,
Le couteau contre l’os
et la corde au cou,
La voici de nouveau qui s’élance,
impétueuse et sauvage,
pour harponner la bête
avec le trident du soleil.
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- On arréte de les subventionner via les projets européens et autres mécanisme : Cela va amplifier la récéssion gravement pour eux.
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