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Accueil du site > Actualités > Politique > Ségolène et les banquiers cupides

Ségolène et les banquiers cupides

Sortez le goudron et les plumes. Ségolène Royal veut faire le ménage dans le système bancaire. Invitée de Jean-Michel Apathie sur RTL le 19 septembre, la candidate à la primaire socialiste a eu des mots très durs contre les banquiers français qualifiés de "cupides".

La Présidente de la région Poitou met ses pas dans ceux de Vincent Auriol ministre des finances du gouvernement Blum qui, lors du Front populaire, devait avoir ce mot célèbre :"Les banques je les ferme. Les banquiers je les enferme".

Ségolène Royal ne va pas jusque là. Mais lorsque Jean-Michel Apathie lui demande ce qu'elle a envie de dire à Michel Pébereau, président du conseil d'administration de BNP-Parisbas, invité du lendemain, la réponse fuse.

"J'ai envie de lui dire, qu'il cesse de faire un chantage qui consiste à expliquer aux dirigeants politiques qu'il n'est absolument pas possible de réformer les banques. J'ai envie de lui dire, qu'il cesse de faire le chantage aux licenciements. Ou qu'il cesse ne nous raconter que si le gouvernement français réforme les banques, c'est impossible, parce qu'il faut que les banques restent compétitives par rapport aux autres pays européens.

J'ai envie de lui dire qu'il serait bien que les banques prennent enfin une initiative pour cesser de racketter les Français en leur faisant payer des tarifs bancaires exorbitants. Les banques ont d'ailleurs été condamnées par la Commission européenne. Elles ont du baisser un certain nombre de tarifs, mais les gens qui ont été rackettés n'ont pas été remboursés".

Sentant qu'il tient un bon sujet, le journaliste relance : "Les banques françaises sont cupides ?".

Et Ségolène Royal de dire tout haut ce que beaucoup de français pensent tout bas. "Oui, les banquiers français sont cupides. Et j'ai envie de lui dire qu'il faut que les banques cessent de spéculer sur la dette des Etats, c'est-à-dire sur la misère des peuples. Et avec moi, les banques seront assujetties à une réglementation, parce qu'elles cesseront de commander, mais elles obéiront".

A bon entendeur, salut.


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21 réactions à cet article    


  • gaspadyn gaspadyin 20 septembre 2011 12:12

    Elle a de bonnes idées, la Royal !

    Et j’apprécie son côté rebelle qui emmerde les pourris socialeux.

    MAIS elle reste une eurokraturiste.

    Qu’est-ce-qui empêche les banques de s’installer au Luxembourg ou en Suisse ? en ne laissant que des guichets automatiques et en se servant de plate-formes téléphoniques au Maroc ?

    RIEN du tout.

    Principe de l’europourriture : « toute restriction aux mouvements de capitaux est interdite ».

     

    Un moyen de coercition serait de déchoir les récalcitrants ( financiers non coopératifs et fraudeurs) de la nationalité française irrévocablement et de leur interdire l’accès au territoire, et de lancer des mandats d’amener internationaux, mais qui osera faire ça ?

     

    Donc S. Royal ment en définitive.

     


    • ZEN ZEN 20 septembre 2011 12:16

      Bien, mais Il lui reste à nous expliquer comment elle va faire
      Alain Minc pourrait la conseiller
      Non, c’est une blague !... smiley
      La cupidité est un vilain défaut...
      Mais les désordres financiers ne se ramènent pas à des considérations morales, ne se limitent pas à un seul pays et ne sont pas que le fait des banques. Le hors banking est plus dévastateur. A une époque, Merkel voulait interdire les hedge funds
      Paroles...


      • jef88 jef88 20 septembre 2011 21:30

        +++++++ Zen


      • The jester 20 septembre 2011 13:26

        Spéculer sur la dette c’est mal !!!! Mais avoir une dette n’est ce pas pire ????


        • gaspadyn gaspadyin 20 septembre 2011 14:27

          Ce qui est frappant, ou en plus doux : évident, c’est le comportement des Royaliens qui censurent chaque fois que c’est possible, ou « moinssent », ou répliquent d’une manière inappropriée en évoquant l’éventail des critiques formulées par leur dame, mais qui n’ont aucun argument précis à opposer à une critique aussi simple, voire simpliste, que la mienne.

          Que déciderait Royal si plusieurs établissements financiers français décidaient de s’installer au Luxembourg ?

          Dénoncerait-elle les obligations du traité de capitulation ( qu’elle a approuvé sans aucune restriction) ?

          Comment peut-on imposer des établissements et des particuliers qui REFUSENT de l’être, dans le cadre très bienveillant à leur égard, de l’euroPOURRITURE ?

          Admettons que la moitié ( je sais, c’est vraiment beaucoup ; mais je veux bien être optimiste, ou crédule) des gens concernés ( établissements financiers, gdes fortunes, fraudeurs, expatriés....) acceptent une imposition beaucoup plus importante qu’actuellement.  Et qu’une partie de cette recette soit utilisée pour subventionner une industrie nationale ( éventuellement un projet bi ou tri national).

          J’applaudis ! Mais ! tiens ! Regardez-donc qui va là !

          Vous le reconnaissez ? L’INUTILE NUISIBLE Rumpelstielchen-Barroso-etc.... !

          Un quarteron d’eurokrates pourris qui interdiront toute subvention. Car ils défendent le traité de capitulation qui l’interdit.

          Attitude de S. Royal ???

           

           

          Je suis prêt à reconnaitre que tout ce que j’ai écrit est faux, ou serait faux, devenu inexact, si des Royaliens me le prouvent.

           


          • at974 at974 20 septembre 2011 15:32

            Sans être royaliens, je peux essayer de vous répondre :

            Si les banques « françaises » s’installaient au Luxembourg, elles deviendraient luxembourgeoise.....Et vous que feriez-vous ?
            On pourrait aussi autoriser le paiement des salaires et indemnités/allocations en liquide, ce qui éviterait à de nombreux français de devoir avoir un compte dans les banques ex-françaises...
            Enfin, pourquoi attendre de Madame ROYAL des actions que vous ne demandez pas aux autres ? Le sujet traite des banques et vous élargissez votre commentaire à l’ensemble des règles européennes. MAUVAISE FOI ?

          • gaspadyn gaspadyin 20 septembre 2011 17:18

            Merci de me répondre, au moins partiellement.

            Rien n’interdit à un Français d’avoir un compte dans une banque luxembourgeoise.

             

            Je pose ces questions aux royaliens, car Royal est celle qui a le discours le plus intéressant et le plus innovant du PS.

            ( je considère que Montebourg n’en fait déjà plus partie)

            Mais elle ne va pas jusqu’au bout de ses idées.

            De temps en temps j’asticote les uns ou les autres.

            Et je n’ai jamais de réponse !


          • editou 21 septembre 2011 00:15

            Bien sûr que tes arguments sont valables, mais à part sortir de l’UE, on peut aussi croire en sa capacité à négocier avec les autres états (notamment l’Allemagne qui vient de voter la taxe bancaire)...

            Dans les candidats susceptibles d’être élus c’est certainement la plus à même de faire ce travail car elle ne lâche rien et parvient très souvent à ses fins lorsqu’elle entame une négociation avec des partenaires.

            Que ses idées ne soient pas assez révolutionnaires je peux te l’accorder mais notre démocratie est ainsi les choix sont limités et dans les choix qui se présentent à nous je pense que c’est la meilleure dans les idées.


          • gaspadyn gaspadyin 21 septembre 2011 08:42

            EDITOU : il-y-a pourtant un très gros obstacle : le traité de capitulation auquel se sont soumis 27 pays.

            Discuter, négocier avec l’Allemagne etc ..., d’accord, très bien ! mais il faudra bien à un moment ou un autre que des décisions soient prises.

            Et là ...... le traité !

             

            Je suis totallement complètement radicalement sanslamoindreconcession opposé à l’euroPOURRITURE ( mais pas opposé à une autre Europe, une vraie, respectueuse des nations et des populations) . Donc je suis intéressé par les processus imaginés pour s’affranchir de la pourriture.

             

            On peut imaginer que si la France faisait sécession en dénonçant les traités — illégitimes, et certains illégaux — , en décidant de taxer les profits indécents et/ou frauduleux, etc...., que d’autres pays suivraient, sous la pression de leurs populations.

            Tant mieux ! je le souhaite ! Notre printemps à nous !

            Virer les inutiles et nuisibles eurokrates — tout détruire avec méthode, et reconstruire.

             

            Mais S. Royal ne donne pas de mode d’emploi. Elle ne prétend pas non plus en avoir un dans ses dossiers qu’elle sortira le moment venu pour agir.

             


          • devphil30 devphil30 20 septembre 2011 14:30

            Inspiration Montebourg , elle n’est plus dans la course , elle doit aller chercher des idées auprès des autres candidats....

            Pourquoi n’avons nous pas entendu ce discours la semaine dernière lors du débat ???

            Et comment elle va les faire obéir les banques , en les nationalisant ???
            avec quel argent ???? 

            Philippe 


            • Elysium Elysium 20 septembre 2011 14:59

              Evidemment, qu’ils sont cupides ! Un « bon » libéral est cupide et avide, car par définition, il est guidé par ses intérêts personnels, au sens le plus égoïste. Selon, eux, un monde idéal. Que nous avons eu tout loisir d’apprécier depuis octobre 2008. Il faudrait être naïf pour croire qu’il y ait autre chose que la cupidité qui les guide. Pas étonnant dès lors, qu’à l’occasion d’une fraude interne, qu’on surprenne ainsi une des plus grandes banques du monde en train de spéculer contre la monnaie du pays qui l’avait pourtant sauvée de la crise des subprimes en 2008 !

              Ségolène Royal a raison. Il faut réguler les marchés financiers. La présidence française n’y suffira pas, mais ce serait déjà un pasde géant dans la bonne direction. Il faudrait une présidence du G8 ou du G 20 et qu’à l’inverse de Sarkozy, on s’en serve pour réguler les marchés financiers.


              • Elysium Elysium 20 septembre 2011 15:10

                Des règles nationales n’ont que peu d’impact contre une finance mondialisée, vous avez en grande partie raison, mais il y a quand même des moyens de pression. On peut accorder ou refuser une licence bancaire dans un pays donné, comme la France. Le marché français n’est certainement pas rien, sur le marché mondial.des dizaines de millions de consommateurs et beaucoup d’entreprises. Les USA ont récemment fait plier les plus grandes banques suises, à ce moment respectivement N°1 et 5 mondiales, en les menaçant de leur fermer l’accès au marché US. La présidence française peut aussi être un moyen d’accéder à la présidence du G8 ou du G20, à l’instar de Sarkozy. Mais, à la différence de Sarkozy, on pourrait utiliser pareil pouvoir pour justement réguler la finance à l’échelle mondiale.

                Réguler la finance est une nécessité. La main invisible de ce libre-marché là, est surtout celle qui fait les poches des populations ! La main invisible des marchés financiers, c’est du flan !


                • Christophe Certain Christophe Certain 20 septembre 2011 21:48

                  Oui mais tu vas le réguler avec qui le problème de la finance mondiale ? Certainement pas avec les Américains qui en sont les premiers bénéficiaires, donc cela ne règlera rien.


                • gaspadyn gaspadyin 20 septembre 2011 15:32

                  Mais comment refuser une licence bancaire à une banque française ?

                  Et si on en arrivait à une telle situation, la banque pourrait se délocaliser au Luxembourg ou en Suisse ou à Londres, et proposer à ses clients des cartes inédites permettant des retraits gratuits ds n’importe quel guichet.

                  L’histoire d’UBS et des E.U. se situait dans un cadre différent.

                   

                   

                  Royal veut créer une banque .... nationale , dont j’ai oublié la dénomination, pour développer l’industrie et le commerce.

                  C’est très bien. Mais ce serait interdit par le traité de capitulation qui défend la concurrence sauvage, anarchique, monopolistique et totalement déloyale ( officiellement appelée « concurrence libre et non faussée »).

                   


                  • at974 at974 20 septembre 2011 15:44

                    Une banque Nationale qui serait interdite dites-vous !!!

                    Connaissez-vous Oséo, « l’entreprise des entrepreneurs », schématiquement appelée banque publique française de financement des PME innovantes.
                    Elle n’a pas été interdite. ALors ?

                  • gaspadyn gaspadyin 20 septembre 2011 17:21

                    Sans doute parce qu’OSEO répond à certaines normes définies par le traité de capitulation.

                    Si la banque prévue par Royal pouvait échapper aux foudres et à l’interdiction : tant mieux ! 

                    Dans le principe ça ne me dérange absolument pas. 

                    Et dans la réalité, si elle était élue, ça ne me dérangerait pas non plus.

                    Je me délecterais même à lire les subtilités trouvées pour ne pas se faire décapiter par l’europourriture.


                  • editou 21 septembre 2011 00:20

                    De toutes façon le système bancaire est en train de s’effondrer ce sera l’occasion de tout remettre à plat...


                  • Bulgroz 20 septembre 2011 16:47

                    Le dressage des banques en trois leçons faciles !
                    Le dressage d’un banque est une tâche relativement simple. Bien que les écoles de dressage pour banques s’avèrent efficaces, il est tout à fait possible de dresser votre banque vous-même et d’en faire votre vache à traire parfait.

                    Pour bien dresser votre banque, vous n’avez besoin que de trois choses : du temps, de l’amour et de la compréhension. Si vous êtes ici, c’est que vous possédez déjà les deux premiers, il ne reste donc que la compréhension.

                    Pour le maître, le dressage du banque peut se résumer en trois leçons faciles :

                    1) Apprendre à distinguer les ordres à donner au banque des mauvaises habitudes qu’il doit corriger.
                    Ces deux enseignements se donnent selon des méthodes très différentes et il est capital de faire la distinction dès le départ.

                    2) Apprendre comment s’opère le dressage de votre banque selon son point de vue à lui.
                    Il est effectivement bon de savoir pourquoi votre banque développe de mauvais comportements avant de vouloir les corriger. Il est tout aussi essentiel de savoir ce qui se passe dans sa tête quand vous lui donnez un ordre.

                    3) Apprendre ce qu’est l’anxiété de séparation et aider votre banque à la surmonter.
                    Sachez-le, la majorité des problèmes de comportement que peut développer votre banque sont reliés à l’anxiété de la séparation. Il est donc primordial de bien comprendre ce phénomène.

                    4) les messages clés

                    Couche couche, les banques
                    Aux pieds, les banques
                    Vas chercher le nonos, les banques
                    Rapportes le nonos les banques


                    • BA 20 septembre 2011 21:32
                      Mardi 20 septembre 2011 :

                      Union Européenne : Bruxelles juge une recapitalisation des banques « peut-être nécessaire ».

                      Une nouvelle recapitalisation des banques européennes sera « peut-être nécessaire » en raison de l’aggravation de la crise de la dette, a déclaré mardi le commissaire européen chargé de la Concurrence, Joaquin Almunia lors d’une conférence de presse.

                      Il va proposer d’étendre les règles mises en place par la Commission en 2008 et 2009 pour permettre aux gouvernements d’apporter une aide publique à leur secteur bancaire.

                      « Malheureusement, avec l’aggravation de la crise des dettes souveraines, de nouvelles banques auront peut-être besoin d’être recapitalisées » en plus des neuf qui n’ont pas réussi les tests de résistance des banques effectués en juillet, a dit M. Almunia.

                      Dans ces circonstances, « je vais proposer cette année de prolonger les règles autorisant les aides d’Etat » mises en place en 2008-2009, « afin de permettre aux gouvernements de continuer à aider publiquement leurs banques au-delà de 2011″, a-t-il annoncé.

                      Ce recours au financement public doit intervenir « en dernier recours », a-t-il mis en garde, encourageant les banques à se « financer sur les marchés et à prendre toutes les mesures possibles, comme la vente de filiales et la limitation des dividendes, avant de se tourner vers le soutien public ».

                      « J’aurais préféré qu’on revienne plus tôt aux règles normales » de concurrence, « et c’était mon intention jusqu’à cet été. Mais la situation à laquelle nous sommes confrontés plaide pour une prolongation du régime existant » permettant aux Etats d’aider leurs banques, a-t-il expliqué.


                      En clair :

                      Contribuables européens, préparez-vous à payer.

                      Contribuables, vous allez payer pour recapitaliser les banques européennes.

                      • bigglop bigglop 21 septembre 2011 01:13

                        Bonjour,

                        La recapitalisation des banques est prévue, organisée dans la loi modificative de la loi de finances de 2011, votée le 4 septembre 2011 en première lecture par les deux assemblées :
                        - recapitalisation des banques européennes par le FESF (Société Anonyme de droit luxembourgeois) par intervention sur le marché secondaire, donc payée par les états européens, par les citoyens.
                        - renforcement de l’action du Fonds pour la stabilité de L’Euro, aide financière à la Grèce, Espagne, Portugal, Irlande, Italie et toujours par intervention sur le marché secondaire.
                        - mise en place de la « règle d’or » pour tous les états.

                        Le MESF (Mécanisme Européen de Stabilité Financière, Organisation Internationale de droit luxembourgeois) dont le Contrat de Banque-Mesf a été complètement remanié absorbera le FESF, suite à des modifications des traités européens et législatives dans chaque pays.
                        Le MESF aura la possibilité d’engager les états, à son initiative, sur la base des ses propres analyses, pour les montants et les durées d’emprunt sur le marché secondaire.
                        Autrement dit, ce sera une dette qui ne sera remboursée que partiellement par des finance ments sur le marché secondaire. Une dette sans limite de montant ni de durée.
                        Les états ne pourront pas en demander la sortie.
                        Nous allons gaver les marchés spéculatifs et les banques mondiales et nous ruiner.
                        Des informations avec les liens suivants :

                        http://www.assemblee-nationale.fr/13/rapports/r3718.asp

                        http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/le-fesf-l-ue-et-la-banque-mes-le-97421

                        Dans l’idéal, un nouveau Glass-Steagall Act Européen serait la solution.
                        Mais comme la Construction Européenne s’est faite avec « l’amical soutien » des USA (mar chés financiers, banques, CFR, etc..) et correspond aux projets de la Fondation Bertelsmann dont A. MERKEL n’est que la porte-parole (1).
                        Cela serait possible en France, mais pénaliserait nos banques (si nous restons dans un modèle de capitalisme financier).
                        En ce moment, Sarkozy et ses amis nous font courir vers cet avenir riant de bonheur et que tout soit en place avant les présidentielles de 2012. Dans "l’opposition’, nous n’entendons qu’un silence assourdissant.
                        Une reconfiguration de la construction européenne (2) se met en place pour installer une gouvernance supranationale avec l’abandon de la souveraineté des états européens et le vote des citoyens deviendra inutile ou sera un hochet pour les distraire.

                        Il faut agir tout de suite et ne pas s’éparpiller sur des projections d’un futur Glass-Steagall Act ou d’un nouveau Bretton-Woods.

                        (1)http://www.mecanopolis.org/?p=8261
                        (2)http://www.mecanopolis.org/?p=24040


                        • Lisa3142 Lisa3142 1er octobre 2011 10:33

                          Ségolène Royal a des idées, elle est pragmatique, elle est perspicace et tenace mais elle ne sera jamais présidente de la république.

                          Voici 10 bonnes raisons de ne pas voter Ségolène Royal

                          et donc de voter Arnaud Montebourg le 9 octobre

                          Découvrez vite les 10 bonnes raisons http://0z.fr/7iCji

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Auteur de l'article

Henry Moreigne

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