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Du jihad au temps du prophète au jihadisme 2.0 : l’Islam est-il responsable ?

Sans pour autant s’improviser théologiens ou Oulémas, les terribles attentats ayant frappé respectivement la capitale libanaise et la capitale française, nous contraignent – musulmans ou non – à penser ou repenser la notion de jihad, revendiquée par les terroristes. Eric Zemmour déclarait après les attentats de janvier «  qu’il n’y existait  pas deux islams »[1] et donc que les terroristes s’appuient sur des références coraniques solides. Certes, ces versets existent bel et bien dans le Saint Coran et ils sont appelés « les versets du Sabre ».[2] Pourtant, il serait réducteur de se limiter à une lecture sélective du corpus : le Livre sacré et la Sunna regorge de points littéralement contradictoires si l’on cherche à les reproduire à notre époque. Ainsi, pour incriminer le salafisme[3] il est aisé d’aller prendre une phrase sortie de son contexte pour s’opposer théologiquement. Mais alors que différencie cette méthode de la méthode employée par les groupes terroristes ? Le Coran contient « tout », ce qu’en ont fait ses croyants à travers l’histoire et jusqu’à nos jours mérite nuance et plus fines analyses que le manichéisme promus par les médias. On comprend tout de suite mieux en quoi les réponses simplistes « oui l’Islam est une religion de paix », ou « non elle ne l’est pas » ne peuvent être envisageables. Sowt al Arab vous propose d’entrer de ce pas dans une analyse plus complexe en suivant dans un premier temps les pas du prophète d’Allah sur le champ de bataille puis en comparant avec ce que les politistes contemporains nomment aujourd’hui le jihadisme moderne. En bref, le jihad guerrier a bel et bien existé au temps du prophète, et le sabre a été utilisé au nom d’Allah. Toutefois, des questions subsistent : De quelle manière, dans quel contexte, et pour quels motifs ce prophète envoyé comme « Miséricorde pour les mondes » a-t-il mené la lutte armée ? Daesh mène t-il une lutte armée conforme à la tradition prophétique ?

Afin de vous offrir des pistes et éléments de réponse, nous verrons les batailles menées par le prophète et ses compagnons, et bien évidemment les règles qui en ont découlé. Puis, notre démonstration consistera à faire un bon dans le temps, pour cela nous dresserons une comparaison qui peut être jugée vertigineuse entre la tradition prophétique guerrière et la façon dont Daesh aujourd’hui mène sa « lutte contre l’Occident ».

Le prophète Muhammed : Un guerrier redoutable… Mais juste

On répertorie 80 définitions, ou traductions du mot jihad. 62 d’entre elles renvoient aux notions d’effort, de combat contre soi-même, contre ses pulsions, afin d’améliorer son comportement au quotidien pour finalement acquérir des qualités humaines. Plus encore, dans ce terme il y a également une notion de résistance contre les dimensions sombres de son être (Jihad an-nafs[4]). Finalement, un musulman qui tenterait d’arrêter de fumer, mènerait un Jihad.

Seule une traduction restante renvoie enfin à l’aspect guerrier défensif du jihad, celui dont nous parlerons dans cet article.

Le prophète de l’Islam peut être dépeint comme tantôt sanguinaire – l’argument du meurtre de tribus juives est souvent ressorti pour expliquer un présumé antisémitisme intrinsèque à l’Islam – tantôt homme de paix, concorde et de justice. Une fois ce constat posé, rappelons que le texte sacré n’a été bâtis que sous forme de révélations successives à partir de Layla al Qadr – à la fin de la 39ème année du prophète – et que certaines sont envoyées par Allah dans des instants précis de la mission prophétique. Muhammad était un homme, et dans toute vie on y voit une évolution des messages, des paroles, des actions. Cela ne veut en rien dire qu’il y a eu erreur, mais simplement que la religion s’adapte aux situations et peut nécessairement faire l’objet instrumentalisations de la part des hommes. Les épisodes guerriers ne représentent en aucun cas l’essence de la mission prophétique. Persécuté dans sa ville d’origine, La Mecque, Muhammad se voit dans l’obligation d’effectuer sa Hîjra pour continuer la Da’wa et obéir aux ordres divins. Il sera mis dos au mur dans son nouveau bastion à Médine (Yatrib) où il organisera une constitution multi-confessionnelle et où les communautés vivent ensemble au quotidien. Ce n’est qu’avec les attaques des Quraysh, tribu régnante de la Mecque, que le Prophète se mue en chef de guerre. Par ailleurs, lorsque les musulmans reprennent la Mecque, malgré leur supériorité, aucune goutte de sang ne sera versée. Muhammad refuse d’obéir à la pulsion de revanche contre ceux qu’y ont tant méprisé le message divin et sa nouvelle communauté élue.

La bataille de Badr ou la création du « Jihad défensif »

Le prophète de l’Islam s’est vu être confronté à des résistances de la part de son peuple et plus précisément des chefs de la Mecque. En effet,l’envoyé d’un Dieu unique gênait profondément les chefs commerçants de la ville Sainte car leur commerce était principalement basé sur la vente des idoles et les bénéfices du pèlerinage païen. Les premiers musulmans ont donc souffert d’agressions physiques, d’humiliation et de tentatives de meurtres et d’homicides. Certains, à l’image du premier martyr de l’Islam, Soumaya, se sont fait tuer pour leur foi. Le récit du compagnon du prophète, Bilal al Habachi nous vient également en tête. Cet esclave noir abyssinien fut torturé par ses maîtres polythéistes pour avoir abandonné la religion des idoles et embrassé la religion de l’unicité.

C’est dans ce contexte d’oppression – qui conduisit à la fugue du Prophète – qu’a eu lieu la célèbre Bataille de Badr, première bataille de l’Islam et événement historique fondateur. C’est en l’an 2 de l’hégire que Dieu commande au prophète et à ses compagnons de prendre les armes après que les mecquois aient confisqué tous leurs biens, « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) – parce que vraiment ils sont lésés ; et Allah est certes Capable de les secourir -ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, – contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : « Allah est notre Seigneur ». – Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d’Allah est beaucoup invoqué. Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa Religion). Allah est assurément Fort et Puissant, ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la Salât, acquittent la Zakat, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable. Cependant, l’issue finale de toute chose appartient à Allah. » (Sourate 22, Le pèlerinage, 39-41).

Ce verset marque un précédent historique et laisse le champ libre à une potentielle instrumentalisation du Jihad armé.[5] L’Islam autorise donc la guerre mais sous certaines formes et règles qu’il convient d’énumérer.

Les règles de la guerre sainte

Très souvent le Jihad a été proclamé à travers les siècles. L’exigence des règles établies par le prophète étant si stricte, qu’elles ont rarement été respectées, ou parfois volontairement omises.

Le défunt Ramadan al Bouti, éminent savant écrit dans son ouvrage « Le Jihad en Islam : comment le comprendre et comment le pratiquer ? » que trois des quatre écoles juridiques sunnites proclament que le jihad est avant tout une résistance contre l’oppression et non pas comme on pourrait le penser une guerre contre la dénégation. Ibn Al Qayyim et At-tabari, deux références du sunnisme, écrivent que toutes les batailles du prophète étaient des batailles défensives, sans exception. L’avis majoritaire de l’Islam sunnite est donc que le Jihad armé est principalement défensif.

Le jjihad belliqueux ne peut être enclenché que dans deux cas. Lorsque les musulmans sont attaqués dans leur honneur, leurs nations, leurs personnes, leurs biens et leurs familles. Ou lorsque la prédication est empêchée et persécutée. C’est en ce sens que l’Emir Abdel Kader face à l’invasion française ou encore Abdelkrim al Khatabi avaient lancé des appels au Jihad contre les puissances coloniales.

La guerre est donc une exception mais s’avère parfois inévitable. Le prophète de l’Islam a néanmoins donné des directives de son vivant et a lui-même mené la guerre d’une façon éthique. « Lorsque l’Envoyé de Dieu désignait un émir à la tête d’un corps d’armée ou d’un corps expéditionnaire, il l’exhortait de se prémunir de Dieu et de faire le biens aux musulmans qu’il emmenait. Puis il disait : « Combattez, mais ne prélevez pas une part du butin, ne violez pas un pacte, ne mutilez pas les corps des ennemis, ne tuez pas les enfants. » » Il est également rapporté que le Prophète a dit : « Allez au nom de Dieu, par Dieu, et selon la religion de l’Envoyé de Dieu ! Ne tuez ni les vieillards ni les enfants ni les femmes. Ne prélevez pas une part du butin, mais rassemblez-le, Améliorez, agissez avec bonté : Dieu aime ceux qui agissent avec bonté. »

Les compagnons du prophète, après sa mort, ont repris la tête du tout jeune état islamique – notamment les 4 califes bien-guidés – et ont continué les expéditions militaires. L’Imâm Mâlik rapporte dans son livre de référence, le Muwatta, que lorsqu’Abû Bakr As-Siddîq est investi « Calife du prophète d’Allah », il ordonnait à ses généraux envoyés en expédition « de ne tuer ni femme, ni enfant, ni vieillard, de ne pas couper un arbre fruitier, ni détruire ce qui est construit, de n’égorger ni mouton ni chameau, sauf s’ils sont à manger ; de ne pas mettre au feu les abeilles et ne pas les disperser ; ne fraude pas et ne sois pas lâche. »

Bien évidemment la paix, ou la signature d’un traité est toujours préférable : « S’ils penchent pour la paix, penches-y toi-même, sans cesser de faire confiance à Dieu, qui est l’Entendant, le Connaissant. S’ils voulaient te duper, qu’il te suffise de Dieu et de qui te suit parmi les croyants. » (S. 8, V. 61-62)

Le jihadisme moderne ou la trahison de la tradition prophétique : De la guerre sainte à la guerre sale

Toutes les institutions religieuses de référence – avec en tête de liste la célèbre école d’Al Azhar – ont condamné de manière absolue ces attentats commis au nom de Dieu. L’Algérie, le Maroc, et même l’État saoudien considéré comme le plus rigoriste, y compris l’égyptien Al Qaradawii réfugié au Qatar, ont également condamné les attentats.

Loin de nous de s’attribuer le droit de nommer/retirer leur retirer le qualificatif de musulman cela semble une vérité indéniable que Daesh a trahi la conception majoritaire de la Sunna du prophète de l’Islam. Les attentats suicides, les attaques contre des victimes innocentes, femmes, enfants, vieillards, et civils, ou encore les massacres des populations chrétiennes d’Irak demeurent des actes interdits par Allah et son prophète comme expliqué précédemment. Les preuves coraniques sont nombreuses ; la plus éloquente est la suivante : « Celui qui tue une âme innocente, c’est comme s’il avait tué l’humanité entière et celui qui sauve une âme, c’est comme s’il avait sauvé l’humanité entière. » (S 52, V 32). Les appels à la paix a contrario des appels à la guerre ne sont pas issus d’impératifs historiques que les musulmans ont dû affronter. Ils sont a-contextuels.

A la suite des attentats, les regards sont tournés vers la revendication de Daesh mais n’a-t-on pas remarqué que la plupart des terroristes ayant frappé le sol français ces dernières années étaient eux même français ? Il est légitime de se demander pourquoi des européens peuvent être embrigadés. Arrêtons-nous un instant sur leurs profils. Ce n’est pas, contrairement à ce que l’on pourrait penser, leurs origines sociales qui les rassemblent. L’embrigadement touche toutes les couches sociales. Le point commun essentiel que les politistes relèvent est l’absence de culture et de science religieuse de la part de ces jeunes. L’Islam ne s’est pas radicalisé, c’est une partie de la jeunesse qui a politisé son rejet sociétal en allant puiser dans l’air du temps et dans son malaise identitaire.[6] L’Islam s’offre comme la vitrine parfaite, en particulier depuis que le « jihad » fait l’objet de manipulation politique intensive depuis le dernier siècle. De l’appel au Jihad par les autorités allemandes et ottomanes pour lever les tirailleurs maghrébins et africains contre la France en passant par l’appui massif des jihadistes en Afghanistan par les Etats-Unis sous prétexte de rétablir la paix, il n’y a qu’un pas. La mobilisation intensive de l’Islam de guerre relève plutôt du contexte politique : quid des vidéos tournant dans les caves des banlieues appelant à la guerre sainte auprès des frères dans le Caucase déjà dans les années 1990 ? Quid de la diplomatie intensive et du laisser-faire des institutions européennes d’un certain Islam s’efforçant de limiter tout Ijtihad (effort d’interprétation) ? Cet embrigadement est en sus facilité par le manque d’institution reconnue dont souffre l’islam sunnite, ce qui est d’autant plus complexe en France qui doit trouver un équilibre entre laïcité, démographie musulmane croissante, religion traditionnelle et la liberté. Très souvent, l’espace compris entre leur « entrée dans la religion », et leur départ en terre de Jihad est de quelques mois seulement.

Maintenant que l’aspect théologique a relativement été traité, il est désormais question de la responsabilité de chacun. L’autoproclamé califat islamique est le produit d’un cocktail complexe. Les puissances occidentales ont une large part de responsabilité dans l’escalade de la violence dans cette région du monde. Le califat n’est pas sorti d’une simple volonté des musulmans du Shâm mais de 10 ans de destruction de l’État Irakien et de révolutions arabes instrumentalisés de part et d’autres par les puissances régionales et internationales. Nous ne pouvons décrypter la situation en se contentant de désigner d’une manière simpliste les monstres d’un côté et les sauveurs de l’autre.

Le jihadisme ne représente ni l’Islam ni les musulmans : il s’en revendique à des fins politiques et construit un discours visant à rameuter des déracinés en quête d’aventures et d’identités. « Devenez des héros à l’aube de l’Apocalypse ; vous mourrez en martyr au jour de la dernière des Fitnaet une place vous sera réservé au paradis ! ». Son développement démontre pourtant qu’une lutte interne à l’Islam est à l’œuvre y compris en terre d’Occident. Comment un monothéisme de tradition et de rites communautaires peut-il s’intégrer dans une société individualiste promouvant l’abandon de références divines ?

Malheureusement, les constats et les réponses existent déjà. Des rapports ont été commandés puis oubliés. L’Algérien Mohamed Akroun plaidait dès 1989 la création d’une École nationale de théologie musulmane à Strasbourg et un large débat sur l’enseignement de la complexité des textes et de l’exégèse de l’Islam. En attendant, l’Observatoire National de la Laïcité soutient la création d’établissement privé de théologie musulmane. Plus récemment, des individus alertes comme l’ancien haut-fonctionnaire Pierre Conesa font un travail de propositions de fond[7]. Les possibilités existent mais l’État peine à s’en saisir. Il est plus facile de tomber dans un tout sécuritaire que de se servir de l’opportunité pour enfin réformer et redonner un souffle à un pays en proie à ses meurtrissures identitaires. Le jihadisme ne devrait pas nous amener à polémiquer en permanence sur la nature de l’Islam mais à penser une politique de réforme interne et une réflexion sur les ingérences dans le monde arabe qui permettront de l’endiguer, et plus largement amorcer un débat sur la mondialisation et l’émergence d’un monde multipolaire éléments déstabilisateurs des identités.

De plus, si intervention armée il doit y avoir, il semblerait préférable que les états arabes – trop souvent frileux sur la question – mettent un terme à cette menace terroriste qui plane sur leurs terres par leurs propres moyens. En effet, toutes les interventions occidentales sur le sol arabe se sont, à ce jour, soldées par des périodes d’instabilité et des échecs sur le plan social, la montée de Daesh étant plus ou moins une des conséquences directe de celles-ci. Le projet avorté d’une armée arabe commune démontrait la volonté des pays arabes de devenir militairement indépendants, volonté qui paraît une nouvelle fois plus que nécessaire au vu du contexte actuel.

                                        Yassine Derradj et Yannis Boustani

 


Lectures salvatrices


 

[1] Un point du débat entre Zemmour et Onfray : https://www.youtube.com/watch?v=VhvpN9TYCEY Symptomatique du traitement de l’Islam par deux intellectuels non spécialistes du sujet

[2] Un bel exemple de lecture sélective http://saintespritdeverite.e-monsite.com/pages/dossier-islam/le-coran-un-livre-de-haine.html

[3] Le salafisme est également pluriel. Il a tendance à devenir une notion fourre tout et est constamment rapproché du jihadisme. Bien qu’il puise dans les mêmes sources ( Ibn Tamiyya, Sayiid Qutb) nuance est de mise http://www.lexpress.fr/actualite/societe/pourquoi-il-ne-faut-pas-confondre-djihadistes-et-salafistes_1739319.html

[4] Rougier Bernard, « Qu’est-ce que le jihad ?. », Sciences humaines 1/2015 (N° 266) , p. 5-5

URL : www.cairn.info/magazine-sciences-humaines-2015-1-page-5.htm.

[5] Particulièrement éclairant http://islamicencyclopedia.org/public/index/topicDetail/id/500

[6] “On se réfugie dans le choc des cultures sans voir l’aspect mondialisé du phénomène. Or, ces conflits sont le symptôme d’un même effondrement culturel.” http://www.liberation.fr/planete/2014/10/03/le-jihad-est-aujourd-hui-la-seule-cause-sur-le-marche_1114269

[7] Excellent résumé du travail de Pierre Conesa sur la question http://www.monde-diplomatique.fr/2015/02/CONESA/52626

Documents joints à cet article

Du jihad au temps du prophète au jihadisme 2.0 : l'Islam est-il responsable ?

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31 réactions à cet article    


  • jack mandon jack mandon 19 janvier 2016 14:16

    Bref, pour un occidental de bonne foi, les guerres de religion « chrétiennes » et les atrocités perpétrées dans les siècles passés dans le monde sont une abomination.
    Aujourd’hui le monde musulman remet le couvert et suscite les mêmes désapprobations et le même rejet. La différence est que de surcroît il existe aujourd’hui des moyens d’information et de destruction sans aucune commune mesure avec ceux du XVI et XVIIe siècle.


    • philouie 19 janvier 2016 22:13

      @jack mandon
      et donc les bombardements français et ricains, ça n’existe pas.
      paille poutre, tout ça.


    • jack mandon jack mandon 20 janvier 2016 09:57

      @philouie

      Les monstruosités d’où qu’elles viennent doivent être dénoncées.

      En politique, mon modèle est Jaurès, c’était un homme de paix qui en son temps était contesté par des intellectuels chrétiens, il faut croire que la religion et la politique font mauvais ménage.


    • Massada Massada 19 janvier 2016 15:04

      L’Islam, cette idéologie mortifère et haineuse, qui sème la haine et la destruction, ne leur a pas apporté la paix et ne la leur apporteront jamais. 


      La violence est dans leur sang, qu’ils soient citoyens d’un pays ou pas, c’est culturel et profondément enraciné, il n’y a qu’à voir comment ils se traitent entre eux en Syrie ou ailleurs

      Il leur faut des dizaines de milliers de Gandhi, de Martin Luther King, de Freud et d’autres sages qui leur feront abandonner cette culture de haine de l’autre, de violence, de victimisation, de « martyrologie » et de mythomanie qui les aveugle et ne leur apprend que la destruction et la glorification de la mort.

      • Massada Massada 19 janvier 2016 16:45

        @OMAR

        Les musulmans ne sont jamais responsables de rien et encore moins coupables c’est toujours la faute au sioniste s’ils sont empêtrés dans la misère, la violence et le sous-développement. S’ils en sont là c’est à cause du sioniste qui leur met les bâtons dans les roue et qui veut leur mal.

        Même quand ils s’entretuent entre eux comme c’est le cas en Syrie, ils n’y sont pour rien c’est le juif qui tire les marrons du feu et qui conspire contre leurs intérêts.

        Le juif frappé par la malédiction coranique qui leur sert d’exutoire pour apaiser leur colère et leur ‘antidote à leurs frustrations de se trouver à la traîne de l’humanité.

        Si le juif n’avait pas existé, l’auraient-il inventé ?

        L’éternelle obsession du complot juif devenu aujourd’hui sioniste semble être la seule motivation qui vous guide.

        Le sioniste hante les nuits des musulmans et obsède leur pensée. Ils voient sa main partout. 

        Au lieu de se demander pourquoi sont-ils la risée des nations et à la traîne du progrès humain et s’inquiéter de l’état des libertés humaines et publiques chez eux et du statut dégradant et humiliant de leurs femmes, ils se complaisent dans leur petit rôle de victimes de cet ennemi dont ils font la source de tous leurs tourments histoire de rendre la pilule de leurs échecs pathologiques moins amère


      • colere48 colere48 19 janvier 2016 19:13

        @Massada

        La violence est dans leur sang...

        Votre évocation du « sang » est du pur racisme

        Je vous rappel qu’il s’agit de religion, donc de culture acquise et non innée.
        Idem pour les juifs , c’est pas dans le sang !
        Idem pour les chrétiens et les bouddhistes !


      • ETIENNE 20 janvier 2016 16:06

        @colere48

        Eh oui ! Massada est un grand racialiste. Vous touchez là un des éléments les plus primitifs de la religion juive : la transmission par le sang.
        Elle vaut à la fois pour les vertus des juifs et les défauts des gentils : tous sont hérités génétiquement.
        Ainsi pour Massada il existe une hiérarchie des peuples selon des caractères innés : Il y a la masse des peuples inférieurs voués à devenir esclaves et le peuple juif intrinsèquement supérieur a qui Dieu ordonne de « se parer de la richesse des nations »
        Le mensonge et le vol sont les corolaires de ce judaïsme mortifère.
        Et si comme il le dit il existe bien un Islam mortifère, rappelons lui qu il est notoire que les combattants de DAESH sont formés, armés et même soignés par l’entité sioniste, rappelons lui que les victimes sont pour la plupart musulmanes ou chrétiennes.
        Ca fini par se voir....


      • Le p’tit Charles 19 janvier 2016 15:15

        peu importe la race ou la religion, l’homme est décérébré par nature, sa barbarie traverse les siècles allègrement...C’est l’histoire sans fin du chaos sur terre.. !


        • pierre 23 janvier 2016 20:28

          @Le p’tit Charles
          et vous en êtes la parfaite représentation....


        • Robert GIL Robert GIL 19 janvier 2016 15:37

          Pour beaucoup de musulmans, l’Islam se résume aux « hallal/haram ». Combien ont lu le Coran en arabe, et parmi ceux qui l’ont lu, combien l’ont approfondi ? Pareil pour la sunna et les enseignements des grandes figures de l’Islam, comme Ghazali, Es-Suyuti, Ashari, et les fondateurs des quatre écoles juridiques de l’Islam, des maîtres éminents comme Ibn Arabi, Ibn Ata illah, Junayd, Abd el Qader Jilani, ou plus près de nous, l’émir Abd el Qader ?
          .
          voir :
          L’ISLAMOPHOBIE EST-ELLE LA FAUTE AUX MUSULMANS ?


          • francesca2 francesca2 19 janvier 2016 18:31

            @sampiero


            bravo, le même langage et la même méthode que les Frères Musulmans...


          • colere48 colere48 19 janvier 2016 19:37

            @OMAR

            Bismi’Allah Ar-Rahman Ar-Rahim

            Mes amis d’enfance, kabyles, pratiquaient un Islam tranquille et apaisé. Les souvenirs que j’en ai sont empreints de générosité et de solidarité.

            Je ne vous demande pas de comprendre ma profonde colère devant le gâchis que représente l’endoctrinement que vous décrivez donc que vous connaissez et dénoncez.

            Les religions sont souvent sources de grand troubles chez les humains, les chrétiens ont effectivement expérimenter cette réalité dans d’immense bains de sang.

            ...des tarés, des barbares ?

            quand je dénonce ceux là je ne fait jamais l’amalgame avec l’immense majorité des musulmans leurs premières victimes

            Nos freres ne sont ils pas nos pire ennemi parfois ?


          • francesca2 francesca2 19 janvier 2016 20:01

            @sampiero


            MDR. Et alors pourquoi tu te ramènes avec ton islamophobie et ce-que-dit-wiki ?

          • francesca2 francesca2 19 janvier 2016 20:37

            @sampiero


            On peut donc comprendre, vu les centaines de milliers de morts de par le monde au nom de « l’islam » par ses auteurs du moins, et jusque dans nos villes, que les gens puissent avoir légitimement peur de cet islam

            ----------------tiens donc

            Cette peur est -elle justifiée ?
            on peut supposer que cela est indépendant de la volonté : 

            E’ pericoloso sporgersi..ne te raccroche pas aux branches.
            Capito ?

          • francesca2 francesca2 19 janvier 2016 20:49

            @sampiero


            Tu peux m’appeller comme tu veux, si tu savais comment je m’en fous...et ça ne masque pas ta bêtise. 
            Bisous. 

          • francesca2 francesca2 19 janvier 2016 21:46

            @sampiero


            Le mieux est que tu m’oublie et quand tu voit un de mes posts tu zappe, je m’en remettrai.

            Nan, ça ne va pas arriver...je sais que tu aimerais très fort, mais ça ne va pas arriver. 


          • Jonas 22 janvier 2016 11:33

            @sampiero

            Le concept d’islamophobie a été utilisé en Iran, par l’imam Khomeyni pour discréditer et éliminer tous les opposants à l’islamisation de son pays dont notamment le parti communiste Toudeh. 
            Ce concept fut introduit en France par l’ancien président du MRAP aujourd’hui disparu Mouloud Aounit sans donner l’origine de sa trouvaille. 
            Phobie : veut dire tout simplement peur irraisonnée et comme vous le dites si bien non pas haine de l’islam, comme le font véhiculer les arabo-musulmans. 
            J’avais il y a quelques mois donné quelques exemples sur ce site des phobies que je redonne encore. 
            -Claustrophobie : Peur maladive des espaces vides.
            -Thanatophobie : Peur de la mort
            -Nécrophobie : Peur des cadavres
            -Poinéphobie : Peur des châtiments 
            -Tératophobie : Peur des monstres 
            -Mastigophobie : Peur de la flagellation 
            -Probophobie:Peur d’avoir peur
            -Pantophobie : Peur de tout etc 
            Aucun de ces concept ne désigne une haine ou une détestation, mais une peur tout simplement. 
            Par islamophobie , les arabo-musulmans veulent interdire et vouer aux gémonies toute personne qui critique l’islam et son enfant l’islamisme. Ce concept rejoint « Pasdamalgam » « Stigmatisation » et le dernier c’est « C’estpasçal’islam » devant tout acte criminel des islamistes même lorsqu’ils exhibent le Coran et vocifèrent Allah Akbar ?

          • philouie 22 janvier 2016 11:49

            @jonas
            Salut Streicher,
            toi t’es un antisémite ordinaire.
            pas de différence.
            sauf que c’est pas les juifs que tu détestes.
            bientôt pourrim !
            Haman sera pendu.


          • Jonas 22 janvier 2016 17:46

            @philouie

            Salut bin Haj Amine al-Husseini admirateur hitlérien devant Allah et son prophète Mohammed, Que le Salut Soit sur Lui. 
            Voici un extrait de Farid Abdelkrim ancien islamiste et Frères musulman, revenu des illusions et fantasmes de l’idéologie de l’islam radicale. J’ose espérer avoir une réponse de votre part .

            << Les attentats qui ont touché la France en 2015, comme tous les crimes perpétrés au nom de la folie des hommes, non seulement m’attristent mais me plongent dans une incompréhension chaque fois plus grande. Et en tant qu’homme et croyant , ma compassion pour les victimes , leurs familles ains que leurs proches croit tout autant. 

            Ma colère , qui ne changera rien à ce qui s’est passé et à ce qui risque de se passer à nouveau , est, elle aussi , très grande. Elle est la cause de la lâcheté des coupables. Elle est aussi en partie liée à la manière dont se dédouanent tous ses prétendus « religieux » qui affirment sans sourciller que tout cela n’a rien à voir avec l’islam ! « Ce n’est pas ça l’islam … » « Ceux qui ont commis ces actes ne sont pas musulmans », disent-ils . C’est pourtant bien le contraire qu’affirment ces criminels qui revendiquent qu’ils sont musulmans et qu’ils incarnent l’islam authentique. 
            Le constat est donc simple : l’islam se trouve prisonnier entre l’ignorance des ses adeptes et l’incapacité de ses savants d’y remédier. (…) 
            Or , s’il est avéré que je suis l’un des problèmes qui empêche de faire société , ne devrai-je pas commencer par moi et m’occuper de ce problème en priorité ? Avec honnêteté ? C’est un déni et cela est totalement irresponsable de penser et de dire que ce sont les autres qui ne savent pas y faire avec l’islam et les musulmans >>. fin de citation. 




          • adeline 22 janvier 2016 20:00

            @Robert GIL
            vous pouvez inclure les chrétiens qui n’ont jamais lu la bible mais ils l’ont bien rangée chez eux


          • philouie 19 janvier 2016 22:15

            La bonne question serait de savoir pourquoi l’ocident qui se réclame de l’amour du prochain, du petit jésus et de tendre la joue, sème la mort sur la terre entière partout où il passe.
            il y a une réponse : perversion.
            et il y a une cause à la perversion : le mensonge.
             
            bon je dis ça mais vous ne voyez pas.


            • Jonas 22 janvier 2016 19:53

              @philouie

              Par exemple dans ma guerre civile algérienne 200 000 morts 
              Par exemple pendant la guerre du Soudan Nord/sud , 2 millions de morts 
              Par exemple lors de la guerre Iran:Irak 1 malin de morts..
              Par exemple la guerre civile libanaise , 150 000 morts 
              Pa exemple la guerre Turquie / Kurdes , plus de 50 000 morts 
              Par exemple la ville de Hama détruite par Hafez al-Assad acec ses 45 000 morts 
              Guerres au Yémén , Syrie-Pakistan- Afghanistan ; Bangladech -Indonésie en 1966 avec ses 800 000 morts 
              Partout où l’islam est présente , il y a violence. 
              « La culture arabe est immergée dans la violence et la haine d’autrui »Imam Ibrahim Al-Buleihi. 
              Sur les 57 pays arabo-musulmans dans le monde , pouvez -vous citer un seul pays sans conflit ou sans guerre interne ou externe ? Soyez courageux , mouliez-vous ? 

            • Ruut Ruut 20 janvier 2016 12:50

              Au lieu d’accuser l’autre, nettoyons chez nous.........
              Montrons l’exemple.
              Ce n’est qu’au travers d’un comportement exemplaire et irréprochable chez nous que nous deviendrons crédibles.

              Tout le reste n’est que Foutaise.


              • caius 20 janvier 2016 14:04

                Il est assez évident que l’unique raison pour laquelle Mahomet n’a pas attaqué les païens de la Mecque tant qu’il y vivait est qu’il n’avait pas assez d’hommes pour combattre et l’emporter. Ce fut seulement quand Mahomet eut la certitude que les tribus arabes de Médine étaient disposées à l’aider à combattre et vaincre les Mecquois qu’il eut comme par hasard la « révélation » qu’il avait le feu vert pour se battre.

                 

                Certains musulmans admettent d’ailleurs que la raison pour laquelle Mahomet n’attaquait pas les païens de La Mecque était tout simplement son état de faiblesse. Par exemple, un érudit musulman moderne, le Dr Sobhy AS-Saleh, cite les travaux de al-Suyuti, l’« Itqan Fi ’Ulum al-Qur’an » :

                 

                L’ordre de combattre les infidèles fut différé jusqu’à ce que les musulmans deviennent forts, mais quand ils étaient faibles, ils reçurent l’ordre de supporter et d’être patient. Ulum (Sobhy as-Saleh, Mabaheth Fi ’Ulum al-Qur’an [Dar al-’Ilm Lel-Malayeen, Beirut, 1983], p. 269)



              • Hijack Hijack 20 janvier 2016 14:14

                Article lu en diagonale car vraiment long, mais vraiment intéressant.
                N’ayant relevé que des vérités vérifiables.
                .
                Il y a manifestement un sérieux problème de compréhension entre musulmans et non musulmans (sauf pour une minorité parmi eux) >>> la balle est à mon sens dans le camp musulman, c’est à lui qu’incombe la responsabilité de se faire entendre et comprendre, chose certes très délicate ... il s’agit avant tout de se faire comprendre parmi les musulmans eux-mêmes, avant de se faire comprendre par les autres.


                • COVADONGA722 COVADONGA722 20 janvier 2016 22:51

                  @Hijack
                  « Il y a manifestement un sérieux problème de compréhension entre musulmans et non musulmans »

                  heu moi non musulman j ’ai parfaitement compris aussi comme j’ai peu d’aptitude a la course a pieds je me suis mis au tir.Je suis sur que cela m’aidera a me faire comprendre si d’aventure l’incompréhension que vous évoquez advenait .

                  asinus 
                   

                • Hijack Hijack 21 janvier 2016 00:47

                  @COVADONGA722

                  Pour aller dans ton exemple, je pourrais te dire que Dieu n’oblige personne à pratiquer la course à pied. Ni même aucune sport ne correspondant pas à tes aptitudes.
                  .
                  Ainsi : « Nulle contrainte en religion. La bonne voie est désormais distincte de l’erreur. Celui qui rejette les fausses divinités et croit en Dieu a saisi l’anse la plus solide, qui ne se brisera jamais. Dieu entend tout, et Il est Omniscient. » (Coran 2:256)
                  .
                  Ce verset s’applique non seulement à la religion mais dans tous les domaines ... Voilà pourquoi, il est dit au sujet de Dieu, « le Tout Miséricordieux, le Tout Miséricordieux ».

                  .
                  Par conséquent, tu fais ce que tu veux ... tu crois en qui tu veux. Même un athée honnête a, à mon sens, plus de valeur aux yeux de Dieu qu’un salopard, une crapule, un criminel se disant croyant, priant 50 fois et faisant 2 fois ramadan par an, allant à la Mecque tous les ans etc ... Enfin, Dieu, tient compte de l’ensemble de l’existence et actions des hommes. Que tous les hommes se valent.


                • Hijack Hijack 21 janvier 2016 19:41

                  @Nyspelache

                  Oui, je sais ça ... je pensais même que tu allais me poster cette page Wiki, lue plusieurs fois.
                  .
                  Ce que font les islamistes pour embrouiller ... je ne m’en occupe pas.
                  Qu’ils se servent des bonnes paroles ... ne change rien à l’affaire.
                  Même un criminel, peut apprécier une bonne recette de cuisine et la citer.


                • franc 21 janvier 2016 03:01

                  Bah l’interprétation du coran dans cet article n’est qu’une interprétation des auteurs de cet article ,une interprétation personnelle parmi de multitudes autres interprétations différentes ,opposées ou contradictoires ,puisque chaque musulman a sa propre interprétation personnelle selon son intérêt propre , un m^me verset peut être traduit ,reporté de manière biaisée avec des mots plus ou moins différents et interprété de manière différente, la langue arabe primitive n’ayant pas de voyelle ,chaque lettre modifiée , ajoutée ou retranchée ou m^me une simple séparation par un blanc change le sens des mots et des phrases en son opposé ,et d’autant plus que l’islam n’est pas organisé en une Eglise hiérarchique avec une autorité qui impose une interprétation universelle pour l’ensemble des musulmans ,n’importe quel quidam peut s’autoproclamer imam de sorte qu’on peut voir des bandits et des gangster s’autoproclamer moufti ou cadi pour lancer des fatwa ou prononcer des sentences de jugement de mort ,de décapitation ou de dilapidation en récitant des versets du coran au nom du décret divin du coran écrit par d’Allah le Miséricordieux ,le Clément et le Compatissant comme chez Daech , ou en Arabie Saoudite

                  -

                  pourquoi l’interprétation des auteurs de cet article serait plus vraie, plus exacte ou plus juste que l’interprétation par exemple de Majid Oukacha auteur du pertinent livre « Il était une fois l’islam » ou celle de Ali Sina auteur du puissant et très documenté livre explosif « La psychologie de Mahomet et des musulmans » qui disent toutes deux le contraire et en opposition absolue avec celle des auteurs de cet article .

                  -

                  et m^me l’ interprétation littéraliste n’est elle pas plus simple et la plus évidente et donc la plus facilement recevable par la masse des musulmans de base que les interprétations compliquées et alambiquées faites par des grands et honnêtes intellectuels avec des distorsions et des contorsions à n’en plus finir qui échappent et larguent les fidèles basiques qui sont de plus manipulés et sous la coupe de démagogues sournois et perfides qui excitent l’égo ,l’amour propre ,la jalousie contre ces intellectuels honn^tes qui veulent contextualiser pour relativiser et adoucir les propos littéraux violents ,haineux et meurtriers du coran .

                  -

                  et si l’on s e base littéralement sur les versets du coran que l’on considère comme des décrets divins absolues intangibles et immuables comme le fait l’islam hanbalite ,bonjours les dégâts .

                  -

                  Donc dans l’islam si l’on prend l’interprétation simple littéraliste du coran ,la violence est là évidente et terrible ,mais si l’on prend en compte toutes les autres interprétations ,et comme chaque interprétation est tenue comme absolue en exprimant la parole divine , alors c’est la guerre des interprétations et la violence est toujours là et absolue par la haine et la guerre entre les tenants des interprétations différentes ,opposées et contradictoires ;

                   et donc dans tous les cas l’islam coraniste idolâtre nécessairement produit la haine , violence , la guerre et m^me les génocides .

                  -

                  il n’ ya rien à sauvegarder dans cet islam coraniste idolâtre,vicié dès l’origine prenant un livre objet créé par des humains imparfaits voire m^me criminels de la pire espèce comme les premiers califes sunnites (Omar ,Otman) pour le déifier en une entité divine contenant les paroles absolues de la volonté divine ,tout est à jeter .

                  -

                  les cinq piliers de l’islam tel qu’il est sont les cinq piliers de l’idolâtrie .

                   


                  • franc 21 janvier 2016 18:04

                    @franc
                    erreur ci-dessus

                    il faut bien entendu lire et écrire « lapidation » et non « dilapidation » 


                  • Jonas 21 janvier 2016 19:59

                     A l’auteur , 

                    Vous voulez absolument convaincre les occidentaux et leur expliquer le Coran. Je pense que vous devriez commencer , par convaincre et expliquer le Coran à ceux qui tuent, massacrent , crucifient , égorgent , violent , déposent des bombes dans les écoles maternelles , restaurants , gares, hôpitaux , bus , universités marchés , cimetières , etc. A ceux qui détruisent les sites antiques au cris d’Allah Akbar et nous avons vengé le prophète Mohammed . 

                    Les Occidentaux se fichent éperdument de l’islam , religion stérile, archaïque, obscurantiste et arriérée, qui ne partage avec lui aucune valeur. Les viols de Cologne , Stockholm montrent la nocivité de cette religion. Comment peut-on parler d’une religion dont les adeptes se sont toujours massacrés le long de leur histoire, il suffit de citer les assassinats des premiers califes , un seul le premier est mort dans son lit. , pourtant successeurs du prophète de l’islam. 
                    Vous devriez en tant que musulman , vous demandez pourquoi le saint Coran fourni tant de tueurs . A Boston , New York, Madrid , Oslo, Amsterdam , Londres , Paris, San Bernardino, Ottawa, Sydney, Tunis, Istanbul, Bamako, Jakarta, le Caire , Ouagadougo etc, tous les auteurs sans exception sont des musulmans , tous exhibent le Coran et le nom du prophète. 
                    Je passe sur les guerres, actuelles et ses lots de morts , Libye-Irak-Syrie-Soudan-Somalie-Yémen -Algérie , Pakistan-Afghanistan etc 

                    Les islamistes terroristes sont des bons musulmans littéralistes , Ils appliquent fidèlement et avec scrupule la feuille de route délivrée par le prophète de l’islam . Le Coran est leur nourriture et se délectent de ses préceptes. Les islamistes sont issus de l’islam et non des Evangiles , de la Thora ni du Mahabharata.
                    Le Coran avec ses versets de violence agit sur les islamiques comme une drogue qui annihile toutes les facultés de réflexion et de pensée. 
                    Une preuve de cette drogue : En plein XXIe siècle , une mère musulmane a été exécutée par son propre fils ,l’accusant d’apostasie. Ali Saqr al-Qasem, 20 ans abat sa mère , Lena , 45 ans d’une balle dans la tête a Raqqa , devant une foule qui approuve le geste. parce que cette mère a demandé a son fils de quitter l’Etat islamique. Est-ce que Ali Saqr al-Qasem a lui aussi mal lu le Coran et ses versets prônant la mort pour apostasie ? 

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