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Accueil du site > Actualités > Religions > La Bible-Septante : Bras religieux du coup politique en Yehud-Canaan. (...)
#26 des Tendances

La Bible-Septante : Bras religieux du coup politique en Yehud-Canaan. (Partie V)

Cette Partie V (d'un ''essai'' en VII Parties) est une présentation d'un groupe de QUATRE Articles déjà parus, qui forment un ''bloc'' logique.

Un lien internet vers chaque Article est proposé après la présentation du thème développé par chacun.

 

Le Théologien et Pasteur Alexandre WESTPHAL exprime sa perplexité :

« Je ne m'imagine pas (...) que si le culte de Jéhovah avait été rencontré par Israël dans quelque vallée étrangère, ou si même Jéhovah avait été le dieu de Jéthro, ces raisons eussent paru suffisantes aux Hébreux pour abandonner leur Elohim protecteur, et se vouer à une divinité inconnue et formidable qui ne paraît guère, au premier jour, que pour leur imposer des châtiments. » (…) « Car enfin, le propre de Jéhovah, dès son apparition, c'est de commander et de frapper impitoyablement quand il est désobéi. Étrange entrée en matière, pour une divinité sans états de service, qui cherche à se substituer aux vieux théraphim d'Israël.

Si Jéhovah est un dieu d'emprunt, je ne m'explique ni les débuts de son culte, ni le zèle du patriote qui le prêche, ni la crédulité du peuple qui lui consacre des autels. » (1)

Mes réflexions me semblent répondre clairement à ces perplexités. En effet, je propose un ensemble de constatations qui, mises ensemble, et considérées dans le bon ordre, font émerger une logique interne qui donne un sens à l'ensemble et à ses parties. Et qui répond aux questionnements du Pasteur Westphal.

 

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« Mon peuple, ceux qui te conduisent t'égarent,

Et ils corrompent la voie dans laquelle tu marches. »

(Esaïe 3:12)

 

Il convient tout d'abord de se pencher sur les surprenants changements radicaux introduits par les versets plus tardifs, dont certains se rapprochent de traditions déjà bien établies chez des peuples d'alors d'expression non-sémitiques. Ce sont par exemple la fin des sacrifices d'enfants ''passés par le feu'', la fin des sacrifices au Temple, la fin de l'usage du Mensonge par Dieu, la fin des punitions collectives, la fin des statues de dieux.

Des changements ce cap voulus par des prêtres qui préparaient l'avenir.

 

« Les étonnantes mues bibliques de fin d'époque Perse Achéménide »

https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/1-4-le-mythe-de-la-loi-de-dieu-246029

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Il est aussi important de faire une ''photo'', à l'époque de l'Exil des élites judéennes à Babylone, de l'existence de la Croyance en l'Au-delà, depuis déjà un ou deux millénaires, chez tous les grands peuples d'expression non-sémitique de la région : les Sumériens, les Égyptiens, les Perses.

Pour la bonne forme, mentionnons aussi les Cananéens d'Ougarit, qui avaient, via le ''Cycle de Baal'' un proto-Au-delà (les Enfers) réservé aux divinités.

Et de constater que cette croyance en l'Au-delà reste étrangère à la Bible-Septante

 

« L'au-delà dans la Bible : l'apport des peuples non-sémitiques »

https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/2-4-le-mythe-de-la-loi-de-dieu-246036

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Toutes les grandes civilisations alentours vivaient alors déjà avec le concept d'Au-delà. Le ''ticket'' d'entrée dans l'éternité n'étant accordé post-mortem à l'âme qu'après jugement. Et ceci uniquement en cas de vie sociale ante-mortem qui ait été respectueuse des lois (rituels, morale, éthique, justice).

Les Judéens étaient-ils spirituellement attardés ? Ou bien ont-ils retenu en conscience une approche archaïque, sans Au-delà, pour des raisons bien particulières ?

 

« L'énigme de l'absence d' Au-delà dans la Septante »

https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/3-4-le-mythe-de-la-loi-de-dieu-246219

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L'objectif des Judéens était de disposer de textes religieux ad-hoc pour justifier théologiquement le Coup Politique prévu en Yehud, qui fut préparé durant l'Exil à Babylone.

En effet, chose inattendue dans le monde des royaumes d'expression Sémite d'alors, le Roi Perse avait autorisé le retour des exilés dans la minuscule province Perse de Yehud. En outre, ce roi rejetait les conversions forcées et encourageait les indigènes des provinces Perses à suivre leurs propres divinités, à condition de rester compatible avec la Loi du roi Perse. La loi israélite devenant un sous-ensemble local du système juridique de l'empire Perse.

Cependant, dans une Perse Achéménide faiblissante, les futurs ex-exilés comptaient bien s'emparer de beaucoup plus de terres que les terres dans lesquelles ils étaient envoyés pour représenter le Roi Perse ! Voir ici la carte de Yehud  :

https://www.historyinthebible.com/supplementary_pages/map-of-yehuda-judea.html

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L' opération fut préparée à travers la ''gestion'' d'une quinzaine d'éléments-clefs pseudo-théologiques, destinés à servir de ''bras religieux'' au Coup Politique en préparation   : 

le redimensionnement de la Terre Promise, pour la rendre (initialement) compatible avec la mission de confiance que le roi Perse donna à ses fonctionnaires israélites.

la mise à l'écart d'une grande partie de la descendance d'Abraham, avec pour effet de ''deshériter'' le reste de la descendance.

l' invention-apparition du peuple Hébreu, (Partie IV) Transformer une grande diversité de croyances et d'origines en un peuple uni, attaché à un Passé et à des Racines mythiques qui ne correspondaient en rien à la réalité de terrain.

la validation théologique d'une sanglante invasion hégémonique de Canaan (mythique) mais qui justifierait la propriété de la terre, devenue sainte.

le choix du dieu Yahvé en substitution des divinités en place, seule solution viable pour que les Judéens ex-exilés puissent s'imposer en Yehud, grâce à leur position d'envoyés du roi Perse, maître des lieux.

l'invention des exploits en Égypte de ce dieu qui était sans ''états de service'' en Canaan,

la justification des massacres Assyriens et Babyloniens comme punition collective infligée par Yahvé à son propre peuple prétendument ''infidèle'' ( au récit du passé et des racines mythiques) etc etc etc

 

« La Septante : bras religieux du coup politique en Yehud-Canaan »

https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/4-4-le-mythe-de-la-loi-de-dieu-la-246220

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La présente (Partie V) fait suite à la (Partie IV :

« La Bible : l'apparition-invention des HÉBREUX »

https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/la-bible-l-apparition-invention-257869

 

… et précède la (Partie VI) à venir.

« La Bible-Septante nourrit des IDÉOLOGIES contraires à l'Esprit ''de DIEU.'' »

 

 

JPCiron

 


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6 réactions à cet article    


  • Étirév 11 décembre 10:32

    RÉVISION DES LIVRES SACRÉS
    C’est au VIème siècle avant notre ère, pendant la captivité que certains Juifs, au contact des lettrés babyloniens, se font littérateurs. Non parce que leurs œuvres soient originales, elles ne sont, d’abord, que la copie des œuvres féminines, mêlées aux traditions hindoues, chaldéennes, persanes, que l’on trouve mélangées aux textes hébreux. Tout cela devient une confusion d’idées et de mots.
    On y substitue des noms d’hommes à des noms de peuples, on dit Abraham pour « Peuple de Brahma », on adopte le mot Adam pour désigner un premier homme, alors que l’adamique avait désigné primitivement « la vie végétale primordiale » : terre adamique, terre végétale.
    C’est là qu’on conçoit l’idée de réviser le « Livre de la Loi » et de l’amplifier jusqu’à II Rois, 25, 29.
    On révise tous les écrits depuis la conquête de Chanaan jusqu’à Salomon, c’est-à-dire toute la période du régime gynécocratique ; on y ajoute l’histoire des deux royaumes en donnant le plus beau rôle à Juda et en humiliant Israël. Et c’est alors que nous voyons les Juifs, ces infidèles de la Loi, accuser les Samaritains d’infidélité.
    Ce travail finit avec le 21ème verset de II Rois, 25.
    C’est en faisant cette révision des Livres que l’on y introduisit le dénombrement des peuples suivant la filiation paternelle, innovation qui n’avait pas été connue antérieurement. Jusque-là, la filiation maternelle avait seule existé, l’enfant portait le nom de sa Mère.
    LES TARGUMS (ou TARGOUMS)
    La langue hébraïque primitive, celle qu’avait employée Myriam pour écrire le Sépher, s’était tout à fait corrompue.
    Le peuple devenu grossier y avait ajouté son langage vulgaire, et le sens intellectuel des mots lui échappait absolument, comme les idées abstraites, elles-mêmes, lui étaient devenues étrangères.
    Après la captivité de Babylone, cette langue intellectuelle, cette langue des idées abstraites se perdit tout à fait. Ainsi donc, à l’époque d’Esdras, les Hébreux, devenus des Juifs, ne parlaient ni n’entendaient plus leur langue originelle, ils avaient perdu le sens des mots en même temps que la notion des idées. Ils se servaient d’un dialecte syriaque, appelé araméen, formé par la réunion de plusieurs idiomes de l’Assyrie et de la Phénicie, et assez différent du nabathéen qui, selon d’Herbelot, était le pur chaldaïque.
    L’hébreu, perdu dès cette époque, cessa d’être la langue vulgaire des Juifs.
    Les livres (le Sépher et les Prophètes) appelés Micra ou lecture, étaient lus dans les synagogues et paraphrasés ; c’est-à-dire que, après la lecture de chaque verset, un interprète le rendait en langue vulgaire et l’expliquait au peuple. On appelait ces versions les Targums. Et, on voit tout de suite combien cela prêtait aux libres interprétations.
    Les Targums sont des versions ou des paraphrases faites dans l’idiome nouveau, le chaldéen ou l’araméen, qui devint la langue populaire après l’exil.
    Elles n’étaient alors que des interprétations orales. Ce n’est qu’au 4ème siècle de notre ère qu’on les écrivit définitivement.
    LA MASHORE
    Le premier soin des Prêtres, qui donnaient tant de valeur à « la lettre », fut de créer une convention grammaticale qui posait les règles de l’écriture que, désormais, on allait employer. C’est ce qu’on appelle la Mashore.
    Ces règles avaient plusieurs objets. Il ne s’agissait pas seulement de créer une grammaire, mais d’instituer une clef (une sorte de grille secrète) qui permettait de donner un sens nouveau aux phrases qu’on laissait dans le texte, parce qu’on ne pouvait pas tout changer.
    On voit clairement que le but des Prêtres fut de dénaturer les mots pour en altérer la signification.
    Les Massorètes remplacèrent les voyelles par des signes. En changeant la prononciation de ces signes, ils ont défiguré les mots.
    Exemple : Hevah devient Haveh, qui devient ave, qui devient Eve.
    La vieille langue n’avait qu’un temps pour le présent et le futur. Une nouvelle grammaire changea tout cela.
    Le Talmud de Babylone, doctrine des Rabbins, dit que la Loi de Moïse passa des Prophètes à la Grande Synagogue. On appelait ainsi un conseil d’hommes chargés, dit le Talmud (Mishna), de fixer une barrière autour de la « Loi », et cette barrière, c’est la Massore, travaux et association de théologiens juifs (1).
    NB : Tout le monde connaît la légende biblique du serpent et de la pomme, mais personne ne sait comment cette histoire a été inventée. Dans l’original du livre fameux, cette histoire n’existe pas. Elle a été introduite dans la version grecque faite deux siècles avant notre ère, on ne sait par qui, quoique l’on nous dise qu’elle fut faite par 70 docteurs, en réalité 72 (comme le nombre de grammairiens ayant révisé les poèmes homériques, œuvres originales de la déesse Hemœra), mais on préféra admettre un nombre rond, d’où son nom de Version des Septante. Il s’agissait de cacher sous un langage équivoque un épisode se rapportant à la vie sexuelle. L’original disait brutalement que l’ardeur sexuelle, qui régnait dans toute la nature, tourmentait les hommes. C’est de cela qu’on fera le serpent, l’esprit tentateur qui va séduire Eve et l’entraîner avec lui, vers ses œuvres basses. Mais tout cela va être retourné : c’est la femme qui sera la tentatrice, ce n’est plus l’homme, c’est elle qui va l’inviter à mordre à la pomme de luxure. Pourquoi cette pomme ? Parce que, dans le texte primitif, le péché de l’homme entraîne une déchéance morale, trouble son cerveau, l’incite au mal. Tout cela est exprimé en latin par le mot Malum. Ouvrez un lexique latin et vous verrez que ce mot signifie mal, péril, fléau, calamité, malheur, châtiment, peine ; malum habere (être puni du plaisir) ; tort, dommage, préjudice, faute, vice, pernicieux, funeste, etc. Mais, si malum veut dire tout cela, il signifie aussi pomme. « Malum punicum », grenade ; et en général graines, semence contenue dans la pomme (Malus, arbre, pommier).
    C’est sans doute parce que cette graine, sacrifiée par l’homme, a été l’origine de toutes sortes de malheurs, que Malus (pomme) est devenu le symbole de la discorde, Malum discordiæ, mais aussi la source de la Mélancolie.
    N’y aurait-il pas, éventuellement, un rapprochement à faire entre Habel ou Abel (de la légende de Caïn et Habel) et le mot pomme en anglais : Apple ?
    BLOG


    • JPCiron JPCiron 11 décembre 11:27

      @Étirév


      Bonjour,

      et Merci pour cette intéressante exégèse.


      Je ne me trouve pas toujours sur le même sentier, mais je sens bien que je randonne dans la même vallée.


      < au contact des lettrés babyloniens,>

      Le prêtres se sont imbibés des idées que ces Lettrés ont reçues de nombre de peuples anciens, généralement d’expression non-sémitique.

      Et ces récits ’importés’, via la < confusion d’idées et de mots> donnera tous ces récits de la Septante qui essaient de l’ancrer dans un passé lointain qui va bien avant l’émergence des langues proto-sémitiques.


      < Abraham pour « Peuple de Brahma » >

      Abram était bien dravidien :

      https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/le-nazareen-ses-lointaines-racines-238062


      < On révise tous les écrits  >

      Les yncrétisme est une richesse :

      https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/un-regard-d-extraterrestre-sur-nos-243333


      < Les Massorètes remplacèrent les voyelles par des signes. En changeant la prononciation de ces signes, ils ont défiguré les mots.>

      Ainsi, beaucoup de noms de lieux (en consonnantique dans la Septante) deviennent introuvables en Palestine. Mais on les trouve quasi tous en Hijaz/ Arabie !

      https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/extraits-d-ouvrages/article/la-bible-est-nee-en-arabie-par-238843


      < par 70 docteurs, en réalité 72  >

      Ce qui correspond aussi aux 70 enfants divins de El et Ashéra, divinités Cananéennes / Ougarit.




    • Eric F Eric F 11 décembre 12:17

      @JPCiron
      ’’Abram était bien dravidien’’
      Pourtant sous Wiki (on cherche où on peut smiley ) il est indiqué ’’Probablement d’origine ouest-sémitique’’

      Quant au lien entre Abram et Brahma, on peut toujours formuler des hypothèse sur des ressemblances phonétiques, mais cela parait aléatoire


    • JPCiron JPCiron 11 décembre 13:28

      @Eric F

      Oui, Wiki, a déjà tendance à présenter les histoires de la Bible comme récits historiques. Tout en indiquant en général, en deux lignes en fin de texte qu’il n’y a pas de traces historiques.


      J’avais lu des travaux d’un chercheur (je n’ai pas retrouvé ma note) qui disait que Abram signifiait en Sumérien ’’père bien-aimé’’, et que ce sens s’est retrouvé en Akkadien avec des variantes, mais qui associaient toujours des concepts voisins de ceux de père et de aimé-apprécié. Et que Abraham était une des variantes de Abram en Akkadien. L’ Akkadien est une des premières langues sémitiques, qui dérive de populations sahariennes qui ont émigré vers Égypte, et ont poursuivi leur route. J’ai écrit cela dans un de mes articles.

      Cependant, à l ’époque sumérienne, ce sont les Sumériens qui étaient LA civilisation avancée de la région. Et l’Akkadien s’écrivait en caractères sumériens, et s’est imprégné de la civilisation sumérienne. Aussi des récits.

      https://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/le-nazareen-ses-lointaines-racines-238062


      Les Sumériens avaient des liens culturels forts avec la Civilisation de l’Indus. J’ai écrit là-dessus aussi .


      Si on va sur l’article que j’ai indiqué, on voit qu’il y a similarités phonétique entre Abram et Brahma. Mais pas que.

       Abram / Abraham et sa femme Sarah/ Saraï font miroir à Brahma et sa femme Saraswati.

      Dans la Bible, Hagar/ Agar est la servante de Sarah/ Saraï, tandis qu’en vallée de l’Indus, Ghaggar est un affluent de la rivière Saraswati.

      Les Hindous ont ainsi -entre autres- un mythe similaire à notre "Adam et Eve’’, celui de "Adhama et Havyavati". Après la visite d’un démon qui apparut sous la forme d’un serpent, Adhama mangea du fruit de l’Arbre du Péché. Les descendants du couple devinrent tous ’’impurs’’.


      En réalité, Abram/Abraham n’a jamais existé. C’est un récit rédigé vers le VI s av JC qui l’a invente. En rajoutant des éléments qui étaient dans les récits sumériens.


      Dès lors, si l’on considère (pour de faux comme dirait mon petit-fils) que Abram est une personne réelle, on peut dire ’’honnêtement’’ qu’il avait toutes les chances d’être (avec ses ancêtres) un dravidien. Noir donc.


    • Eric F Eric F 11 décembre 13:58

      @JPCiron
      La question n’est pas celle de l’existence historique d’Abraham (évidemment mythique), mais de la racine du nom qui le désigne. Je suis très sceptique sur les questions d’assonances par exemple entre une servante et un affluent, j’ai déjà évoqué celle entre Krishna et Christos.
      Maintenant, que certaines légendes aient traversé des bras de mer est toujours possible.


    • JPCiron JPCiron 11 décembre 14:28

      @Eric F

      questions d’assonances >
      Il y a là plusieurs groupes d’assonances différentes qui vont par paires, qui concernent des ’’acteurs’’ et des récits différents, nés éloignés dans le temps, et dans la géographie.
      Cet ensemble constitue autre chose : une convergence

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