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Accueil du site > Actualités > Santé > Covid-19 : virus mortel ou mauvaises décisions ?

Covid-19 : virus mortel ou mauvaises décisions ?

Les statistiques peuvent être nos meilleures alliées pour comprendre le monde qui nous entoure, comme la plus grande prison intellectuelle au service d’un discours unique. Il s’agit ici de reprendre le cours des évènements depuis 2 ans, en confrontant l’histoire racontée médiatiquement prenant appui sur des statistiques bien choisies, à celle que nous pouvons dégager aujourd’hui à l’aide de l’ensemble de ces dernières.

lien vers la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=79E-bureKo8

1. Que s’est-il passé en mars-avril 2020 (ou 1ere vague) ?

1.1. L’histoire médiatisée

Le premier cas français est officiellement diagnostiqué le 24 janvier 2020. Le coronavirus devient alors le sujet occupant la quasi-totalité de l’espace médiatique. Cette domination totale a fait l’objet d’études de l’INA. Il a accaparé jusqu’à 80% du temps audiovisuel, des médias d’information continue ou des dépêches de l’AFP (Figure 23).

Figure 23 : Part consacrée à l'épidémie de coronavirus par l'audiovisuel français

Cette domination répond toutefois à une réelle demande d’information des Français comme en témoigne les statistiques de recherche internet par thème sur Google Trends (Figure 24). La peur est au cœur de l’espace médiatique, par sa capacité à intéresser les humains. Elle est utile et utilisée en ce sens. Les accidents, attentats, catastrophes, dangers futurs sont au cœur de l’information et suscitent l’intérêt du spectateur. C’est également un levier politique puissant, permettant de justifier des mesures d’exception comme en témoignent les nombreuses annonces et mesures « exceptionnelles » suivant les attentats par exemple.

Figure 24 : Part des recherches internet par thème

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En mars 2020, il est donc impossible d’échapper aux informations sur l’évolution de la situation liée au coronavirus. Les esprits sont par ailleurs préparés au scénario qui se déroule sous leurs yeux. Les romans, films, séries télévisées, plus ou moins ancrés dans le réel traitant d’un virus mortel qui se répand par contamination (Je suis une LégendeThe Walking Dead28 jours plus tardle FléauPandémie…) ont amené cette « culture » de la contamination mondiale. Le jeu de société à succès Pandémie apprend aux joueurs la mécanique de la contagion qui doit être contenue et que la seule façon de gagner contre les virus est la découverte des remèdes spécifiques. Le jeu en ligne The Plague propose la thématique inverse en apprenant au joueur à manier les « gains de fonctions » des virus pour infecter et éliminer l’ensemble des humains. Les jeux sont des réels outils pédagogiques et permettent d’enseigner des concepts et stratégies. Le jeu Monopoly a initialement été créé dans le but de faire comprendre la prédominance du capital dans la quête de richesse, loin devant le labeur.

En mars 2020, les Français, comme les autres, reçoivent les informations venant de l’épidémie et anticipent la suite de l’histoire en fonction de la culture qu’ils ont accumulée sur ce sujet via tous ces médias. Les annonces de la croissance du nombre de contaminés, de la saturation hospitalière, de l’augmentation décès sont anxiogènes, mais attendues par ceux préparés à ce scénario. Pour certains c’est une mauvaise surprise, pour d’autres c’est la réalisation de la catastrophe prévisible. Pour la télévision et les journaux, c’est le retour d’une audience que l’on croyait définitivement perdue.

Les médias annoncent l’arrivée de l’épidémie par le Haut-Rhin à cause d’un rassemblement évangélique de plusieurs milliers de personnes dont quelques malades préalables ont contaminé des milliers de personnes. Ce département est le premier à mettre en place des mesures de restriction de rassemblement. D’autres cas sont découverts par la suite en France. Durant cette période, la tension monte dans la société et les entreprises. Les syndicats réclament des mesures sanitaires de protection pour les travailleurs. Ces derniers, délaissés par les travailleurs retrouvent un élan en se posant en rempart protecteur des salariés. À cette époque, du côté du patronat ou juste de la hiérarchie (dans le public comme dans le privé), on sent plutôt l’agacement et l’incrédulité. Le 8 mars, la barre des 1 000 cas confirmés est franchie. Le 11 mars, l’OMS déclare l’état de pandémie. Le 12 mars les crèches, écoles, collèges et universités sont fermés. Le 14 mars tous les lieux publics « non indispensables » sont fermés. Le 16 mars Emmanuel Macron prononce son allocution comportant plusieurs fois la phrase « nous sommes en guerre » annonçant le confinement pour le lendemain. Il s’agit pour le pouvoir de stopper la trajectoire exponentielle de l’épidémie.

Chaque soir le Directeur Général de la Santé Jérôme Salomon annonce en direct à la télévision le nombre de décès du coronavirus. Ils augmentent tous les jours jusqu’au mois d’avril. Les soignants réclament des moyens matériels et humains. Les masques manquent, les respirateurs et places à l’hôpital aussi. La situation présentée est celle d’une catastrophe touchant un pays mal préparé, mais ayant des soignants courageux et ne comptant pas leurs heures. Ils sont applaudis tous les soirs.

Le nombre de décès annoncés commence à descendre à partir du 6 avril 2020. Le gouvernement et les médias laissent entendre que la vague est passée grâce à toutes les mesures mises en place. Quelle que soit la situation, le décideur défend toujours le bilan de son action.

1.2. L’histoire mesurée

Pour comprendre la période de mars-avril 2020, commençons par la replacer dans son contexte sur plus longue période. En France, l’année 2020 comporte plus de décès que l’année 2019 notamment par la mortalité tardive visible aux mois de mars-avril, mais également à la mortalité précoce arrivant en octobre. Un lissage des décès sur 52 semaines, nous permet de connaître l’impact de ces augmentations sur la mortalité habituelle (Figure 6 page 14).

La moyenne et les deux bornes des intervalles de confiance (2 écarts-types d’écart à la moyenne) permettent de visualiser les périodes de mortalité anormale. Toutes les tranches d’âges sont représentées en cumulé de telle sorte que la courbe des 80 ans et plus correspond à la somme de tous les décès toutes causes français. Comme nous l’avons vu précédemment pour la température, les variations de mortalité que la France connaît depuis le début de l’année 2020 ne concernent que les plus de 50 ans.

Ainsi, arrivé au mois de mars 2020, la France était sur une moyenne très basse de décès relativement aux années précédentes. Le pic de mars-avril en France a entraîné un rapprochement vers la moyenne de décès habituels, sans la franchir. Il s’agit donc d’un phénomène brutal avec un impact limité. La mortalité lissée sur 52 semaines ne dépasse la moyenne des 5 dernières années que depuis la hausse de mortalité en octobre 2020.

En appliquant le modèle basé sur les températures calculé sur les années 2017 à 2019 on observe bien que les 2 hausses de mortalité ayant eu lieu pendant les confinements semblent complètement décorrélées de ce qui est observé habituellement (Figure 25). Il y a donc une mortalité anormale. Dans les 2 cas, il y a bien une vague de froid, mais qui aurait dû ne déclencher que de faibles hausses de mortalité.

Figure 25 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température

Nous allons donc comme précédemment détailler deux hypothèses possibles expliquant la hausse soudaine des décès en mars-avril 2020.

L’hypothèse A est celle défendue par le gouvernement :

La mortalité de mars-avril 2020 est due à la propagation mondiale de la Covid-19 contre laquelle aucun traitement n’existerait.

Cette hypothèse a des implications très fortes pour justifier la politique de santé :

Les humains sont tenus responsables de l’état de santé de leurs voisins (contaminations) et légitime le confinement, le port du masque etc.

Elle légitime la stratégie de lutte préventive contre ce pathogène particulier (vaccination).

Nous allons la confronter à l’hypothèse B :

La mortalité de mars-avril 2020 est due légèrement aux conditions extérieures, mais surtout aux mesures prises, uniquement aux endroits où elles sont appliquées.

Cette hypothèse change la perception de cette période :

Les humains ne sont pas responsables de l’état de santé de leurs voisins. Il n’y a alors aucune raison de mettre en place des politiques restrictives et elles n’ont que des impacts négatifs

La saturation hospitalière et la mortalité sont créées par les mesures elles-mêmes. Cela met en cause les décideurs de cette politique et invalide leur présupposée efficacité.

On note que l’hypothèse A, comme pour la grippe, sert de justification aux mesures coercitives gouvernementales et légitime la privatisation de la santé par des industriels qui vendent (ou forcent l’achat par l'intermédiaire des gouvernements) des vaccins et autres produits préventifs.

1.2.1. Une « Pandémie » pas si mondiale

Contrairement à une idée largement répandue, le phénomène de pic de mortalité aux mois de mars-avril 2020 n’est absolument pas un phénomène mondial. Sur les 33 pays européens proposant des données de mortalité disponibles sur Eurostat, seuls 9 présentent une mortalité significativement supérieure à la mortalité habituelle sur cette période : la Belgique, la Suisse, Chypre, l’Espagne, la France, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas et la Suède.

Le contraste entre la Belgique et l’Allemagne pourtant pays voisins est saisissant (Figure 26 et Figure 27). Il est du même ordre que la différence entre le Portugal et l’Espagne par exemple (Figure 28 et Figure 29).

Figure 26 : Décès hebdomadaires en Belgique standardisés selon 2020

Figure 27 : Décès hebdomadaires en Allemagne standardisés selon 2020

 

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Figure 28 : Décès hebdomadaires en Espagne standardisés selon 2020

Figure 29 : Décès hebdomadaires au Portugal standardisés selon 2020

Ainsi, la hausse de mortalité sur la période liée à une « pandémie » est loin d’avoir touché l’ensemble des états européens. Seule une faible minorité a connu ce résultat. Tous les pays de ce petit groupe ont mis en place des mesures spécifiques sur la période. Certains ont choisi des confinements stricts, d’autre non. Parmi les 24 pays qui n’ont pas connu de hausse de mortalité significative, certains ont également appliqué ce genre de mesure. Il ne se dégage pas d’emblée une explication simple sur la mortalité. Ce phénomène très limité doit alors s’analyser au regard de la situation particulière de chaque pays et surtout de chaque mesure spécifique prise sur la période. La seule constante, est que les mesures ont toujours été prises avant le début de la hausse de la mortalité et jamais après. Il n’y a jamais eu de réaction d’un État à une augmentation des décès, mais une anticipation suivie d’une hausse réelle. Le premier pays à avoir lancé un confinement général en Europe est l’Italie le 10 mars 2020. La mortalité a commencé à y augmenter après cette décision.

En France, au niveau des départements, le pic de mortalité de mars-avril 2020 n’a touché ni tous les territoires, ni avec la même intensité les territoires touchés. En revanche, tous les territoires touchés par ce pic de mortalité l’ont été de manière synchronisée. Nous avons donc un pic de mortalité qui ne touche pas tous les pays d’Europe, et au sein de chaque pays, pas tous les territoires, mais dont tous les territoires touchés le sont en même temps.

En Île-de-France par exemple, tous les départements connaissent une hausse de mortalité synchronisée débutant après le début du confinement identifié ici en rouge (Figure 30).

Figure 30 : Décès quotidiens par Département de l'Île-de-France

À l’inverse, en Nouvelle-Aquitaine, aucune hausse de mortalité n’est visible sur la période (Figure 31).

Figure 31 : Décès quotidiens par Département de Nouvelle-Aquitaine

Nous constatons également que les territoires touchés par cette hausse de mortalité sont majoritairement des départements avec des villes de tailles importantes et donc des quartiers avec de très forts taux de pauvreté. L’Insee révèle logiquement que la mortalité de cette période touche beaucoup plus fortement les communes denses et les personnes nées à l’étranger. Il est étonnant de la part de l’Insee qui produit les statistiques annuelles de pauvreté, de ne pas faire le lien entre les conditions de vie et de salubrité difficiles des quartiers pauvres, et la hausse de la mortalité. Une fois de plus, il ne s’agit pas d’un problème de propagation, mais de santé publique sur des territoires particuliers.

En appliquant notre modélisation de la mortalité par les températures, nous retrouvons les mêmes incohérences d’un territoire à un autre. Par exemple, le département du Nord a bien une mortalité très forte en mars-avril 2020 (Figure 32), qui n’a aucun rapport avec le froid à cette époque, alors que son voisin le Pas-de-Calais ne présente pas la moindre surmortalité (Figure 33). Il paraît bien étrange qu’une pandémie aussi contagieuse et qui réussit à traverser les frontières des États du monde entier, s’arrête à celles du Pas-de-Calais.

Figure 32 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour le Nord

Figure 33 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour le Pas-de-Calais

L’hypothèse A gouvernementale d’une pandémie mondiale mortelle et contagieuse semble compromise au regard de la répartition des décès en Europe. Le fait que seuls 9 pays sur 33 semblent avoir connu une surmortalité sur la période pose question sur le caractère mondial du problème. De même, constater que seuls quelques territoires français sont concernés pose question sur les causes réelles de la mortalité.

1.2.2. L’impact des mesures sur la mortalité de mars-avril 2020 (ou 1ere vague)

Il s’agit ici de recenser les éléments qui peuvent expliquer une montée de la mortalité en France en mars-avril 2020, de façon à évaluer ce qui pourrait être imputable au seul virus et ce qui est imputable au reste.

En France, deux mesures structurantes concernant la politique de santé publique ont été prises :

  • Le confinement, c’est-à-dire une limitation extrême des mouvements et l’ordre à tous les Français de rester chez eux.
  • L’interdiction aux médecins de ville d’appliquer leur art, autrement-dit de proposer des traitements pour limiter le risque de complication. Le débat s’est focalisé sur l’hydroxychloroquine, mais l’interdiction ne se limite pas à cette molécule, mais à toute substance en dehors du Doliprane.

Ces 2 mesures ont des impacts sur l’évolution des infections respiratoires chez les patients, mais également sur toutes les pathologies habituelles.

1.2.2.1. La mortalité des causes autres que les infections respiratoires aiguës

Parmi les 9 pays ayant connu une surmortalité au mois de mars-avril, 7 ont mis en place un confinement à cette période. Dans tous ces pays, le seuil de surmortalité a été franchi après le début du confinement. En tenant compte du délai d’arrivée des données, il devient évident que la décision du confinement n’a jamais pu être déclenchée par réaction à une surmortalité. Aucun décideur ou spécialiste ne pouvait savoir si la période connaîtrait plus de décès qu’habituellement. La décision a été prise notamment à la suite de la pression médiatique suivant des remontées de cas déclarés Covid-19 et des projections alarmistes fondées sur des modèles sans ancrage dans le réel. Il s’agit donc d’une mesure forte qui a des impacts très lourds sur l’organisation de la santé qui est prise avant de connaître le niveau de danger encouru.

Il est notable qu’absolument tous les cas de figure existent en Europe, entre confinement ou non et surmortalité ou non. Les deux effets ne sont pas entièrement liés. Pour conclure de l’effet positif ou négatif d’une telle mesure, il est possible de quantifier quelques effets.

Beaucoup de journalistes écrivent que le confinement strict a permis de sauver de nombreuses vies par l’absence des accidents de voiture. Il est aisé de quantifier le nombre de vies sauvées au maximum par une telle mesure. Il y a environ 3 600 décès sur la route par an en France, soit 300 par mois, cela fait environ 600 décès sur la période de confinement. Les ¾ de ces décès concernent des moins de 65 ans.

En effet, en écrasante majorité, les personnes qui prennent leur voiture tous les jours pour aller au travail ont moins de 65 ans. La Covid-19 au contraire touche les plus de 65 ans. L’impact du confinement sur la sécurité routière aura pu sauver une partie des 600 décès possibles, mais en écrasante majorité des jeunes, alors qu’au regard des statistiques de mortalité, ils ne risquaient pas leur vie avec la Covid-19.

Parallèlement, le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique, Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin. En France, environ 80 000 infarctus sont dénombrés chaque année, soit 13 000 attendus pendant la période de confinement. De même, 150 000 AVC sont comptabilisés chaque année, soit 25 000 en 2 mois. Contrairement aux accidents de la route, les AVC et les infarctus touchent majoritairement le même public que les victimes des infections respiratoires.

Santé publique France nous révèle que pendant la dernière semaine de confinement, les hôpitaux ont relevé 300 personnes de moins aux urgences AVC et 300 personnes de moins aux urgences cardiaques qu’à la même époque en 2019. Deux hypothèses sont alors possibles :

  • Les Français n’ont pas fait d’AVC ni de crises cardiaques pour laisser toute la place aux malades identifiés « Covid-19 ».
  • Les Français n’ont pas été pris en charge du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi. Ce ratio étalé sur 8 semaines représente 4 800 personnes non soignées.

Les pathologies non soignées du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi, ainsi que la peur panique engendrée par la pression médiatique quotidienne peuvent expliquer la surmortalité à domicile en France sur cette période détaillée sur le site de l’Insee (Figure 34). Ces décès ne sont pas considérés comme ayant un quelconque rapport avec la Covid-19. Ils apparaissent pourtant aux mêmes périodes que ceux attribués à cette maladie, et surtout, pendant le confinement.

Figure 34 : Nombre de décès quotidiens à domicile en France

Sur mars-avril 2020, mortalité française au-dessus de la moyenne est de 5 200 décès. Ce nombre est extrêmement proche de l’estimation des 4 800 personnes non soignées pour constituer un indice fort sur la cause réelle de décès de ces personnes : l’abandon de soin.

Ce résultat de non-prise en charge peut expliquer le caractère particulier des données de Chypre (Figure 35).

Figure 35 : Décès hebdomadaires à Chypre standardisés selon 2020

De la même manière qu’en France, où l’on constate un nombre de décès inscrits à l’état civil plus important les lundis et mardis et très faibles les dimanches, à Chypre la fin du confinement n’est probablement pas liée à un excès mortalité, mais plutôt à la découverte tardive des décès non répertoriés. L’inclusion de Chypre dans les 9 pays ayant connu une surmortalité sur la période est probablement abusive, cela réduirait donc à 8 pays sur 33 le phénomène de « pandémie mortelle en Europe ».

1.2.2.2. La mortalité des infections respiratoires aiguës dont celles identifiées Covid-19

La période de mars-avril est extrêmement particulière dans toute l’histoire du soin, car il s’agit de la première fois que l’on demande à des malades de ne pas consulter de généraliste, en particulier dans le cadre d’une infection respiratoire (Figure 36).

Figure 36 : Affiches officielles françaises concernant le coronavirus

 

36.png

Cet ordre a entraîné un comportement de la population inédit dont on peut voir les effets sur les statistiques d’achat de médicaments en pharmacie de la base de données Médicam, mais également sur la prise en charge trop tardive des patients et sur la saturation hospitalière.

1.2.2.2.1. Les mesures ont organisé le non-soin des patients

En représentant la base remboursable de tous les médicaments vendus par les pharmacies en France, chaque mois (Figure 37), on observe que Le mois de mars 2020 a connu une hausse de 13 % des ventes de médicaments par rapport à la moyenne 2017-2019, représentant le provisionnement des Français à la suite de l’annonce du confinement généralisé. Les mois d’avril et mai 2020 présentent au contraire, des baisses de 15 % et 14 % par rapport à la moyenne. Ces baisses sont le reflet de la non-prescription par les médecins à la suite de l’ordre de ne pas consulter.

Figure 37 : Base remboursable mensuelle des médicaments distribués en pharmacie

Cette chute est cependant bien plus forte concernant les traitements habituels prescrits dans le cadre des infections respiratoires aiguës. En particulier les antibiotiques permettant d’éviter les surinfections ont connu une chute sans précédent (Figure 38).

Figure 38 : Base remboursable mensuelle des antibiotiques distribués en pharmacie

En mars, le provisionnement n’a pas existé et le total d’antibiotiques vendus est inférieur de 1 % à la moyenne 2017-2019. En avril et mai, les chutes de ventes furent respectivement de 40 % et 47 %. Depuis cette période, la vente d’antibiotiques est restée à des niveaux extrêmement bas, reflet du choix de ne pas proposer ce traitement en cas de Covid-19.

À l'inverse, les Français ont suivi les injonctions gouvernementales en ingérant massivement du Doliprane à cette période (Figure 39). Pour mémoire, ce médicament n’est utilisé dans ce cadre qu’en tant qu’antalgique (anti-douleurs) et antipyrétique (anti-fièvre). Il n’a donc pas la même visée thérapeutique qu’un antibiotique. L’ANSM rappelle d’ailleurs que le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie dans certains cas de surdosage, pouvant conduire à des greffes du foie (1ère cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France).

Une étude australienne a également averti en 2019 d’une recrudescence du nombre d’hospitalisations et de décès liés à des surdoses de ce médicament.

Figure 39 : Base remboursable mensuelle de Doliprane distribué en pharmacie

Ainsi, ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer de traitements dans le cadre d’une infection respiratoire aiguë pendant les mois de mars et d’avril, a entraîné une dégradation sans précédent de l’état de santé des patients. La non-prescription d’antibiotiques aura permis aux bactéries de proliférer chez les patients âgés et affaiblis. Ainsi, à partir de fin mars, de nombreux Français dont l’état de santé s’est dégradé à leur domicile affluent dans les services hospitaliers. Les coronavirus, comme la Covid-19, ont pu entraîner des lésions dans l’appareil respiratoire empêchant les patients de respirer. Ces lésions sont également des portes ouvertes aux surinfections bactériennes. Les sujets âgés se présentant à l’hôpital ont à la fois des « trous » dans les poumons les empêchant de respirer, mais également des bactéries se développant à la suite de ces lésions et de la chute des défenses immunitaires. Ces 2 pathologies combinées empêchent de répondre rapidement aux besoins du patient. Si une injection de corticoïdes pouvait permettre au patient de réparer les trous des poumons, elle accélèrerait la prolifération des bactéries, entraînant la mort par surinfection. À l’inverse, ne pas agir sur la mécanique respiratoire entraîne le décès du patient dans les plus brefs délais. De nombreux patients sont décédés non pas à cause du caractère exceptionnel de la maladie, mais à cause du caractère exceptionnel de la situation : pas de prise en charge précoce, et pas de traitement antibiotique.

Une fois de plus, pour les personnes les plus pauvres et vivant dans les logements les moins salubres, pour lesquelles nous avons vu plus haut une plus forte hausse de mortalité, il est normal qu’un confinement à domicile forcé engendre une probabilité plus importante de souffrir d’une infection, que le manque d’antibiotiques ne manquera pas de laisser s’aggraver.

1.2.2.2.2. L’hôpital n’est volontairement plus en mesure de se substituer aux médecins de ville

À ce stade, il convient de rappeler la politique de soin menée en France depuis plus de 30 ans.

Les études de l’Insee et de la DREES permettent de suivre les différents effectifs des établissements de santé depuis 20 ans. Ainsi, depuis 20 ans le nombre de lits d’hôpitaux a baissé de 100 000 : en 1998, il y avait 8 lits d’hôpitaux pour 1000 habitants et il n’en reste plus que 6 en 2018.

Cette baisse a lieu pendant que la population française passait de 58 millions à 65 millions d’habitants et plus particulièrement les plus de 65 ans passaient de 9 millions à 13 millions (Figure 40).

Figure 40 : Comparaison de l'évolution de la population et du nombre de lits d'hôpitaux en France

Pendant que le nombre de lits baissait drastiquement, le nombre de médecins augmentait très légèrement, passait de 3,3 pour 1 000 habitants en 1998 à 3,4 pour 1000 habitants en 2018.

La stratégie gouvernementale depuis 30 ans est de limiter le recours à l’hôpital pour reporter le soin vers les médecins de ville. La gauche, comme la droite ont lancé de nombreuses réformes dans ce sens. Citons par exemple la tarification à l’acte mise en place à l’époque par le Directeur de l'hospitalisation et de l'organisation des soins (DHOS) au Ministère de la Santé, Jean Castex.

Ou encore la mise en place des 35 h à l’hôpital, mais sans rajouter de personnel soignant. Le bilan a été une simple diminution du nombre d’heures de soignants, donc moins de soins. Derrière cette avancée pour les travailleurs de l’hôpital s’est cachée une désorganisation du parcours de santé permettant d’entraîner un renoncement au soin.

Cette idée de faire renoncer aux Français l’accès à l’hôpital et surtout aux urgences était directement au cœur de la réforme de santé du candidat François Fillon pour les élections de 2017. Cette politique est juste le prolongement de ce qui est réalisé par la gauche ou la droite depuis 30 ans. Finalement le candidat Emmanuel Macron a gagné sans afficher son programme, mais en continuant la suppression des lits d’hôpitaux.

La raison affichée de cette stratégie est évidemment qu’il faut que la santé coûte moins cher aux Français, soit plus efficace et moderne. Dans les faits, les coûts des soins médicaux français n’ont jamais été aussi élevés, ils sont passés de 154 milliards d’euros en 2006 à 204 milliards d’euros en 2018. Une augmentation de 30 % du budget consacré pour une saturation toujours plus forte. Ce sont 50 milliards d’euros qui vont dans les bonnes poches pour soigner uniquement les bonnes personnes.

En résumé, la politique de santé menée depuis 30 ans est de supprimer au maximum les places à l’hôpital (et donc le recours à l’hôpital et en particulier aux urgences). Le rôle est donné aux médecins de ville et à leurs prescriptions pour limiter l’arrivée des Français à l’hôpital. Cette stratégie connue implique que l’hôpital n’a plus les moyens d’absorber la totalité du soin et que les médecins de ville sont incontournables.

1.2.2.2.3. Des décès à l’hôpital confirmant le défaut de prise en charge

Les hôpitaux ont commencé à remonter des décès Covid-19 à partir du 18 mars 2020 (Figure 41, courbe orange). On constate, en effet à partir de cette date, une augmentation du nombre de décès dans la mortalité générale de l’hôpital (courbe grise).

Figure 41 : Nombre de décès quotidiens à l'hôpital en France

Le nombre de décès enregistré à l’hôpital entre novembre 2019 et février 2020 est en moyenne de 931 par jour. Ce nombre a bien été franchi quotidiennement à partir du 18 mars 2020, date à laquelle les hôpitaux ont commencé à remonter des décès liés à la Covid-19, et jusqu’au 18 avril 2020, avec un maximum à 1 345 le 31 mars 2020. Durant cette période entre le 18 mars 2020 et le 18 avril 2020, le nombre de décès à l’hôpital est passé en moyenne à 1 150 par jour. Cela représente donc 200 décès de plus par jour. Pendant cette période, le nombre de décès identifié Covid-19 a été de 370 par jour en moyenne. Ainsi, le nombre de décès remontés déclarés à la Covid-19 est 2 fois plus élevé que l’augmentation du nombre de décès total constatés.

À partir du 18 janvier, plus les hôpitaux remontent de décès liés à la Covid-19 et moins ils remontent de décès liés à d’autres pathologies. On voit nettement la courbe bleue baisser lorsque la courbe orange augmente et inversement.

Au bilan, la surmortalité hospitalière représentant le surnombre de décès à l’hôpital sur la période du 18 mars au 30 avril 2020 est de 7 170 personnes. Ce nombre est 2 fois plus petit que le nombre de décès attribués à la Covid-19 par l’hôpital sur cette période : 14 283.

Il y a 2 explications possibles à ce constat :

  • Soit les décès des autres causes de mortalité ont été attribués de façon abusive à la Covid-19 ;
  • Soit les personnes avec d’autres pathologies ont été exclues de l’hôpital et sont donc mortes ailleurs, sans soin.

La réalité est certainement une somme de ces 2 possibilités, entre surévaluation des statistiques de décès Covid-19 et défaut de prise en charge.

Du côté de la surévaluation statistique, le site géodes précise le changement de comptage opéré à partir du 31 mars 2020  : Jusqu’au 31/03, les instructions aux établissements de santé pour créer un dossier patient dans SI-VIC étaient un diagnostic de COVID-19 confirmé biologiquement.

Depuis le 31/03, les établissements de santé doivent saisir systématiquement dans SI-VIC les patients hospitalisés présentant un diagnostic de COVID-19 confirmé biologiquement OU une TDM thoracique évocatrice de diagnostic de COVID-19. Toutefois, un établissement peut créer un dossier patient sur une base de forte suspicion clinique ou d’une imagerie évocatrice, puis effacer ultérieurement le dossier si le test s’avère négatif.

On observe que le nombre de décès Covid-19 remontés par les hôpitaux dans la semaine du lundi 23 mars 2020 au dimanche 26 mars 2020 est de 282 en moyenne. Cette moyenne explose à partir de la semaine suivante pour passer à 469, puis 480, avant de commencer à redescendre avec l’arrivée des beaux jours. On ne peut pas écarter l’hypothèse que l’augmentation très forte visible fin mars vienne uniquement du changement de la stratégie de comptage.

Le défaut de prise en charge a, quant à lui, été quantifié par les deux membres du Conseil Scientifique, Arnaud Fontanet et Simon Cauchemez, pourtant à l’origine de cette stratégie. Leur article dans Science, utilise les données hospitalières françaises et notamment le temps de passage et réanimation et de décès depuis la prise en charge du patient. Les courbes les plus intéressantes ont été supprimés depuis de l’article principal, mais sont toujours disponibles dans les données complémentaires. Aux pages 15 et 16 sont détaillés les nombres de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant d’aller en réanimation (Figure 42 graphique de gauche) et le nombre de jours qu’ils mettent avant de décéder (graphique de droite).

Figure 42 : Délai entre l'entrée à l'hôpital et l'entrée en soin intensif ou le décès

Ainsi, 50 % des patients arrivant à l’hôpital sont placés en réanimation dès le premier jour et 17 % des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes prouvent que les patients arrivent trop tard à l’hôpital. On observe d’ailleurs une très forte différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2, illustrant qu’une grosse partie des arrivées n’est plus sauvable. Les auteurs en déduisent d’ailleurs qu’il y a 2 courbes séparées entre ceux arrivant trop tard et les autres. C’est l’explication restante dans l’article toujours en ligne. Une lecture moins orientée déduit de cet énorme ratio de décès au premier jour que les soins sont trop tardifs. Il est donc très probable que les décédés des jours suivants soient également pour beaucoup du fait de personnes dont l’état a eu le temps de s’aggraver et dont certain auraient pu survivre si les soins avaient été précoces. Ces 17 % de patients arrivés trop tard représentent 3 000 personnes sur les 17 570 décès déclarés Covid-19 à l’hôpital sur cette période. Si on considère qu’un décès dans les 3 jours à l’hôpital est un signe d’une prise en charge trop tardive, le total de décès potentiellement évitable est alors de 6 000. Ce total de 6 000 est à rapprocher de la surmortalité hospitalière de la période : 7 170 personnes.

Au vu des éléments concernant la mortalité liée à la destruction du parcours de soin, il n’est pas certain que la mortalité hospitalière constatée soit autre chose que la conséquence de la stratégie choisie.

Contrairement à l’hypothèse A attribuant l’ensemble de la mortalité de mars-avril 2020 à la circulation d’un virus, il apparaît que les mesures prises sont largement liées à la saturation et à la mortalité hospitalière. L’interdiction de soin précoce par les médecins de ville est directement responsable du chaos qui a suivi. Le traumatisme créé chez certains professionnels d’un afflux de patients en état critique est donc artificiel. La peur de revoir cette situation est aujourd’hui utilisée pour justifier des mesures qui ne font qu’accentuer le problème.

1.2.2.2.4. Le Décret d’accélération des décès

L’article 12-3 du chapitre 7 du Décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire décrète une dérogation au Code de la santé publique :

 La spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention “ Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19

Le Rivotril est un médicament antiépileptique dont l’utilisation n’a habituellement rien à voir les infections respiratoires, ni l’accompagnement palliatif par sédation. Dans la notice du Vidal, il est mentionné comme contre-indications :

Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :

Insuffisance respiratoire grave,
Syndrome d'apnée du sommeil,
Insuffisance hépatique grave,
Myasthénie.

Ainsi, la dérogation du décret ne propose pas l’utilisation d’un sédatif, mais d’un médicament déclenchant l’arrêt de la respiration du patient et donc son décès anticipé. Le décret a eu cours du 28 mars au 11 mai, soit dans la période exacte sur laquelle est constatée le plus fort nombre de décès depuis la canicule de 2003. L’analyse des ventes de Rivotril en pharmacie dans sa forme injectable reflète l’ampleur de l’utilisation de ce produit (Figure 43).

Figure 43 : Base remboursable mensuelle de Rivotril injectable distribué en pharmacie

Ainsi, contrairement aux antibiotiques, les ventes de boîtes Rivotril dans sa forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril relativement à la moyenne observée entre 2017 et 2019. Cette augmentation sur mars-avril représente 1 700 boîtes du produit et plus de l’habitude. Précisons que chaque boîte contient 6 ampoules dont une à 2 sont utilisées par patient dans le cadre d’une fin de vie. Ces statistiques ne reflètent que partiellement l’utilisation de cette molécule, car elles ne prennent pas en compte les doses qui ne sont pas distribuées par les pharmacies de ville, par exemple en provenance directe de l’hôpital. On s’étonne par la suite que la consommation de ce produit dans sa forme injectable n’ait pas retrouvé son ancien niveau. Entre mars 2020 et mars 2021, ce sont 6 150 boîtes supplémentaires à l’habitude qui ont été vendues, soit plus de 36 000 ampoules.

De la même manière, le valium injectable a été distribué en grande quantité en mars-avril 2020, et son utilisation est restée très haute depuis (Figure 44).

Figure 44 : Base remboursable mensuelle de Valium injectable distribué en pharmacie

La comparaison des décès déclarés Covid-19 et des décès toutes causes dans les Ehpads présente ainsi des incohérences massives (Figure 45). Par exemple autour du 31 mars, la quasi-totalité des décès des Ehpads sont enregistrés dans les statistiques Covid-19 alors que nous avons constaté que moins de la moitié des départements français connaissent une surmortalité et sont considérées touchés par cette pathologie.

L’origine de ce comptage peut aisément s’expliquer à la lumière de ce choix palliatif.

Figure 45 : Nombre de décès quotidiens en établissement médicalisé en France

 

45.png

On constate que les remontées de décès Covid-19 arrivent massivement après la promulgation du décret dérogatoire concernant le Rivotril. De plus, même après la fin de la période de surmortalité française à partir du 1er mai, des décès Covid-19 ont bien été enregistrés dans les Ehpads jusqu’à la fin de la validité du décret.

Il est évident qu’une intervention médicamenteuse ayant pour conséquence d’accélérer le décès de patients en fin de vie, a des répercussions sur les statistiques de décès. Dès lors, la “surmortalité” constatée sur courte période n’est pas le signe d’un plus grand nombre de décès à moyen terme, mais uniquement d’un regroupement artificiel de décès sur les mêmes dates.

Cette intervention médicamenteuse mériterait d’être quantifiée à l’hôpital. Si un nombre significatif de patient a “bénéficié” de la mesure dérogatoire le premier jour d’arrivée à l’hôpital, il devient tout à fait normal d’avoir ce pic significatif de décès ce premier jour.

1.3. Quelles statistiques pour trancher sur la période de mars-avril 2020 ?

Au bilan, l’hypothèse A d’une pandémie mondiale au mois de mars-avril 2020 souffre de fortes lacunes. Peu de pays semblent connaître de réelles surmortalités à cette période, et au sein de la France, seuls quelques départements semblent touchés.

Les données des médicaments et des recours à l’hôpital montrent un abandon de soin organisé sur la période. Les ordres de grandeurs entre les décès qui seraient induits par les décisions et la surmortalité correspondent. L’hypothèse B de mauvaises mesures semble bien plus robuste.

Pour trancher, des études mobilisant les données de santé des personnes décédées devraient être publiées pour répondre à ces questions :

  • Parmi les personnes décédées, y a-t-il un plus grand nombre de personnes qui n’ont pas vu de médecin de ville que d’habitude ?
  • Parmi les personnes décédées, y a-t-il un plus grand nombre de personnes qui n’ont pas eu d’ordonnances pour antibiotiques que d’habitude ?
  • Le sous recours aux antibiotiques est-il d’ampleur nationale ou ne concerne-t-il que certains prescripteurs ?
  • Parmi les personnes décédées, combien ont reçu une injection de Rivotril ?
  • Parmi elles, combien n’ont pas été pris en charge de manière précoce ?
  • Le sur-recours au Rivotril est-il d’ampleur nationale ou ne concerne-t-il que certains prescripteurs ?
  • Est-il normal que la distribution de Rivotril ne soit pas redescendue à son niveau habituel à la fin du décret ?
  • Y a-t-il encore aujourd’hui une utilisation de ce médicament pour la fin de vie hors cadre légal ?

2. La fin de la mortalité aux beaux jours du printemps 2020

Avec l’arrivée des beaux jours au mois d’avril 2020, la mortalité a baissé (Figure 6 page 14). Cette baisse a été attribuée par certains aux effets bénéfiques du confinement. Il s’agirait de s’étonner que la mortalité retrouve un niveau bas, à une période où il n’en a jamais été autrement. Le mois de mai 2020 a marqué la première crainte du « retour d’une nouvelle vague d’été » avec la fin de toutes les mesures visant à « protéger les Français », notamment les confinements ou le port du masque en extérieur.

Pourtant, tout l’été les médias continuent de parler du coronavirus. Santé Publique publie toutes les semaines son bulletin hebdomadaire dédié en continuant d’alarmer les Français sur la diffusion épidémique. Bien que les hôpitaux soient vides et que la mortalité soit au plus bas, l’agence relayée par les médias continue d’entretenir un climat anxiogène. Pendant l’été les règles de port du masque sont complètement différentes d’un territoire à l’autre et peuvent changer du jour au lendemain au gré de la découverte de « cas positifs » sur les territoires.

Le début de l’été 2020 a, en fait, été un des moins mortels jamais enregistrés. La forte mortalité de mars-avril 2020 a généré un effet moisson qui a accéléré le décès de personnes qui seraient décédées quelques semaines plus tard. Seule la canicule de fin août 2020 a entraîné un rebond dans les décès. On ne peut que s’étonner que les augmentations de mortalité liées à des hausses de températures ne soient jamais reliées à des maladies, alors que le rapprochement est fait systématiquement pour les baisses de températures.

3. Le pic de mortalité précoce d’octobre 2020 (ou 2e vague)

3.1. L’histoire médiatisée

Tout l’été 2020, les médias ont entretenu la peur du coronavirus. Le Conseil Scientifique a prévenu au mois de juin qu’une nouvelle vague arriverait à la rentrée de septembre. Les experts se sont alors battus sur les plateaux de télévision sur l’arrivée ou non de cette dernière. Contrairement à la première vague, cette fois les hôpitaux sont équipés pour tester les patients. Dès le mois de septembre, le nombre de patients déclarés positifs à la Covid-19 commence à augmenter. À partir du 26 septembre, certaines zones sont placées en « alerte maximale » et d’autres en « alerte renforcée ». Le nombre de lits d’hôpitaux déclarés occupés par les patients Covid-19 augmente durant le mois d’octobre. Le confinement est décrété le 30 octobre, cette fois après le pic déclaré du nombre de cas et de décès liés au coronavirus.

3.2. L’histoire mesurée

De nombreux pays européens présentent une mortalité saisonnière forte et précoce dès octobre 2020. Seuls quelques pays échappent à cette hausse des décès : Chypre, Malte, le Danemark, l’Islande, la Norvège et la Finlande. Pour les pays concernés cependant, la hausse de mortalité est simultanée, rendant, encore une fois, impossible la seule cause d’un unique virus se propageant de pays en pays en Europe. Nous notons de surcroît, que la généralisation du port du masque, les gestes barrière, les fermetures de nombreux lieux publics, les jauges de publics dans les commerces, la profusion de gel hydroalcoolique ou encore la diffusion du télétravail, n’ont absolument pas empêché la mortalité hivernale d’être aux mêmes niveaux, voire légèrement supérieur à ce qui est observé d’habitude. Il s’agit d’un indice supplémentaire qu’elle n’est aucunement liée à un phénomène de propagation.

En revanche, nous notons bien en France, grâce au modèle créé en lien avec la température, une nouvelle décorrélation par rapport à l’habitude. La mortalité est bien trop précoce au regard de la vague de froid (Figure 25, page 32).

Il s’agit alors de comprendre pourquoi, fin 2020, les habitants d’une majorité de pays européens semblent en moins bonne santé que les autres années. Les périodes de stress, le manque de sortie peuvent être des éléments favorisant la faiblesse des défenses immunitaires.

On note toutefois, qu’en France, comme dans une grande partie des pays européens, une très vaste campagne de vaccination antigrippale a eu lieu à partir d’octobre 2020. Le taux de couverture vaccinale a gagné presque 10 points en 2020 par rapport aux années précédentes.

La campagne de vaccinale antigrippale arrive tardivement dans l’année. Elle est concomitante à la hausse de mortalité hivernale (Figure 46).

Figure 46 : Nombre de vaccins antigrippaux distribués en pharmacie

Les débats sont ouverts sur l’utilité réelle du vaccin contre la grippe sur la mortalité hivernale. Rappelons que ce vaccin n’est pas conçu comme les autres. Il s’agit d’un mélange contenant plusieurs souches de grippes préconisées par l’OMS. Au moment de la préconisation, absolument aucune certitude n’existe sur les souches qui circuleront pendant l’hiver. Il s’agit donc d’un pari. Certains pays comme la Norvège ou la Finlande en ont une distribution plus faible que d’autres, en particulier depuis les polémiques ayant suivi la campagne vaccinale contre le virus H1N1. Pour autant, la Norvège et la Finlande semblent ne pas être soumis à des pics de mortalités hivernales ces dernières années, bien au contraire. Pour mémoire le rapport du Sénat dressant le bilan de cette « pandémie H1N1 » rapporte les mêmes incohérences dans la gestion par la terreur qu’elle a engendrée ainsi que les profits colossaux pour l’industrie pharmaceutique sans montrer le moindre intérêt pour la stratégie vaccinale de l’époque.

On observe ainsi un fort contraste entre la Finlande (Figure 47) et l’Italie (Figure 48).

Figure 47 : Décès hebdomadaires en Finlande standardisés selon 2020

Figure 48 : Décès hebdomadaires en Italie standardisés selon 2020

Les données disponibles sur les vaccins antigrippaux distribués en France ne sont disponibles que mensuellement, ne permettant pas un rapprochement de qualité avec les décès en France. Un lissage hebdomadaire des vaccins distribués comparé aux décès toutes causes des plus de 60 ans en France (population la plus vaccinée du fait de la gratuité à cet âge), montre une proximité entre ces 2 évènements (Figure 49).

Figure 49 : Décès hebdomadaires en France standardisés selon 2020 en nombre de vaccins distribués

La hausse soudaine des décès en octobre 2020 comparativement aux années précédentes correspond en dates et proportions aux observations du passé. Même si corrélation n’est pas causalité, les soupçons à ce niveau devraient soulever des recherches poussées complémentaires. Il serait nécessaire de comparer les dates de décès de tous les Français depuis 2015, aux dates de vaccinations. Il s’agirait de déterminer si un lien statistique existe entre date de vaccination et date de décès. Les données précises et nominatives des décès de tous les Français sont publiques et disponibles en ligne. Le rapprochement avec les dates de vaccinations devrait être possible pour les chercheurs disposant des droits d’accès aux données de vaccinations.

Les liens entre vaccinations et détérioration temporaire des défenses immunitaires ont pourtant déjà fait l’objet d’études. Une étude de janvier 2020 montre des liens statistiques entre la vaccination antigrippale et une augmentation du nombre de malades des autres pathologies, en particulier les coronavirus. Si on ajoute le fait que pendant l’hiver 2019-2020, la mortalité attribuée à la grippe est proche de 0, il paraît contradictoire de lancer en octobre 2020 une campagne de vaccination d’une ampleur jamais égalée contre une maladie qui ne paraît pas si mortelle. Les impacts du seul effet nocébo devraient engendrer un débat contradictoire sur l’opportunité d’une opération à grande échelle concernant la grippe dans un contexte de “guerre” affichée contre “un” coronavirus. Chaque personne ayant été vacciné a déjà été prévenue des effets indésirables des vaccins sur l’organisme. Les notices des vaccins disponibles sur le Vidal préviennent de l’ensemble de ces effets ainsi que de leur (haute) fréquence.

Les statistiques présentées dans la partie précédentes nous montrent qu’à cette période également sont constatées un sous-recours aux antibiotiques et un sur-recours aux solutions palliatives comme le Rivotril ou le Valium. On constate également que toute la hausse de mortalité sur la période, à l’hôpital comme en EHPAD est entièrement attribuée à la Covid-19. Il n’existe à partir du début du comptage Covid-19 plus d’autre pathologie comptabilisée dans les statistiques, comme en témoigne les statistiques du Réseau Sentinelles (Figure 50).

Figure 50 : Taux d'incidence hebdomadaire des Syndromes grippaux en France métropolitaine

Il convient alors de se demander aussi si l’augmentation de la mortalité visible à partir d’octobre provient comme relayé politiquement par la presse, d’un seul virus qui se déclencherait partout en même temps, ou de l’effet combiné de la dégradation cyclique de l’état de santé combiné à des mesures favorisant la survenue précoce de maladies hivernales telles que les coronavirus ou les grippes, avec une dégradation de la qualité des soins.

Du côté des départements, on observe des disparités très fortes entre territoires voisins. On constate notamment que les départements « riches » et donc avec des populations réputées accepter massivement la vaccination ont des hausses de mortalité élevées, alors que d’autres, plus pauvres ne connaissent pas ces hausses (Figure 51).

Figure 51 : Taux de pauvreté par département

On constate alors le fort contraste entre l’absence totale de hausse de mortalité à cette période pour la Seine-Saint-Denis (Figure 52) au contraire de la Seine-et-Marne (Figure 53).

Figure 52 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour la Seine-Saint-Denis

Figure 53 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour la Seine-et-Marne

Doit-on s’étonner d’observer là encore une augmentation de la mortalité si la stratégie choisie est :

  • Organiser des injections de masse qui vont fatiguer les patients en particulier les plus âgés, juste avant les périodes d’augmentation de mortalité hivernales ;
  • Considérer que toute infection respiratoire aiguë vient du virus de la Covid-19 ;
  • Considérer qu’il n’existe pas de traitement et interdire la prescription des antibiotiques ;
  • Utiliser des palliatifs qui vont raccourcir la vie des patients malades.

3.3. Quelles statistiques pour trancher sur la période d’octobre 2020 ?

Au bilan, l’hypothèse A d’une pandémie mondiale au mois d’octobre 2020 a cette fois-ci plus de pays et territoires candidats pour lui donner du crédit. Il n’y a cependant pas d’exhaustivité totale des hausses de mortalités, certains pays n’ont pas de réelles surmortalités à cette période, et au sein de la France, tous les départements ne sont pas touchés.

Les données de distribution des médicaments de soins et de palliatifs vont dans le même sens que l’abandon de soin observé à la période de mars-avril 2020. La forte concomitance entre les périodes de vaccinations antigrippales et les hausses de décès en France et en Europe mériteraient des investigations poussées.

Pour trancher, des études mobilisant les données de santé des personnes décédées devraient être publiées pour répondre à ces questions :

  • Parmi les personnes décédées, y a-t-il un plus grand nombre de personnes qui n’ont pas vu de médecin de ville que d’habitude ?
  • Parmi les personnes décédées, y a-t-il un plus grand nombre de personnes qui n’ont pas eu d’ordonnances pour antibiotiques que d’habitude ?
  • Le sous recours aux antibiotiques est-il d’ampleur nationale ou ne concerne-t-il que certains prescripteurs ?
  • Parmi les personnes décédées, combien ont reçu une injection de Rivotril ?
  • Parmi elles, combien n’ont pas été pris en charge de manière précoce ?
  • Le sur-recours au Rivotril est-il d’ampleur nationale ou ne concerne-t-il que certains prescripteurs ?
  • Y a-t-il un lien entre la mortalité et le statut vaccinal antigrippal ?
  • Y a-t-il un lien entre la déclaration de décès pour cause Covid et le statut vaccinal antigrippal ?

4. Le pic de mortalité de décembre 2020 – janvier 2021 (ou la "non-vague")

On s’étonne que le plus fort pic de mortalité de l’hiver 2020-2021 autour du changement d’année, ne soit pas du tout considéré comme une vague de Covid-19, ni une vague grippale. La théorie de la cause virale des maladies hivernales semble abandonnée pour les fêtes de fin d’année.

Nous notons que cette mortalité s’explique parfaitement par les températures très basses de l’époque (Figure 25, page 32)

Ce reniement de la mortalité Covid-19 prend probablement sa source dans le faible nombre de tests positifs trouvé à cette époque par rapport à la période précédente (Figure 54).

Figure 54 : Nombre de patients testés positifs à la Covid-19

 

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Ce faible nombre de tests positifs n’a pas limité le nombre de déclarations de décès Covid-19 rapporté par les hôpitaux, montrant une fois de plus, son manque de corrélation avec les autres statistiques (Figure 41, page 45).

5. L’augmentation des tests positifs de mars 2021 (ou la 3e vague)

5.1. L’histoire médiatisée

L’hiver 2020-2021 marque à la fois l’arrivée de la vaccination anti-Covid-19, mais également l’arrivée des annonces médiatiques sur les variants. Ces premiers d’abords niés deviennent à ce moment le sujet principal. Le variant anglais (ou Alpha) arrive sur le territoire français par Dunkerque au mois de février. Le nombre de cas déclarés de Covid-19 remonte et Jean Castex annonce un 3e confinement à partir du 20 mars 2021 pour 3 semaines dans les départements les plus touchés. Le nombre de malades à l’hôpital et de décès liés à la Covid-19 continue d’augmenter. Les services de réanimations sont une nouvelle fois saturés. Le confinement devient national dès le 3 avril 2021 et les vacances de Pâques sont alors avancées au 12 avril pour tous les Français. La situation se stabilise au mois de mai.

5.2. L’histoire mesurée

Le froid persiste en France jusqu’au mois de mai 2021. Ainsi, le printemps 2021 stagne à un niveau de mortalité relativement élevé. Ce taux est bien plus bas que pendant l’hiver qui précède (Figure 25, page 32).

Cette période correspond à un changement radical de définition de la « pandémie » qui persistera par la suite. En effet, la baisse sensible du nombre de décès par rapport aux mois précédents devrait naturellement faire baisser la pression sur le risque de décès lié à la maladie.

Cependant, cette période marque également le début de la campagne de vaccination anti-covid-19 et le gouvernement français n’a jamais caché sa volonté de vacciner toute sa population. En mars 2021, démarre alors la plus grande vague de tests n’ayant encore jamais été effectuée en France avec 500 000 tests réalisés tous les jours pendant 3 semaines (Figure 55). Seule la période juste avant les fêtes de Noël en famille en avait connu autant.

Figure 55 : Nombre de patients testés pour la Covid-19

L’augmentation du nombre de tests réalisés augmente naturellement le nombre de tests positifs trouvés. Le « pic de la 3e vague » ne correspond en aucun cas à un « pic de décès », mais à un « pic de tests positifs ».

Ajoutons que cette période marque également un changement de stratégie de test avec l’introduction du criblage pour « détecter les nouveaux variants » (Figure 56). L’utilisation de cette nouvelle technologie qui donne un résultat positif désormais pour plusieurs variants va nécessairement augmenter le taux de positivité des tests. Cela participe à la création artificielle d’une vague.

Figure 56 : Nombre de tests de criblage réalisés pour les variants

Parmi ces « testés positifs », certaines personnes sont malades, certaines sont âgées et parmi elles, certaines sont dans un état grave nécessitant une hospitalisation.

Le fait d’avoir augmenté massivement le nombre de tests dans la population et donc artificiellement le nombre de positifs, augmente artificiellement le nombre d’hospitalisés de testés positifs sans que cela ne puisse nous aider à savoir s’il y a vraiment une augmentation des hospitalisations en général. Ce manque de transparence sur le nombre d’hospitalisés en soins courants ou en soins critiques a été souligné par la Cour des Comptes dans son rapport du 22 septembre 2021.

Ainsi sur cette période, on observe une décorrélation totale entre le nombre de décès toutes causes en forte baisse par rapport à la période précédente et un nombre de tests positifs, d’hospitalisations et de décès pour causes Covid-19 en augmentation (Figure 57).

Figure 57 : Nombre quotidien de nouveaux patients hospitalisés pour Covid-19

On observe également pour certaines tranches d’âges dont la mortalité varie en fonction des températures, des hausses étonnantes pendant la période vaccinale. Toutes les tranches d’âge entre 60 et 74 ans voient à cette période une mortalité plus forte que pendant la période précédente beaucoup plus froide (Figure 58Figure 59 et Figure 60).

Figure 58 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 70-74 ans

Figure 59 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 65-69 ans

Figure 60 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 60-64 ans

Ainsi, au lieu d’avoir un pic de mortalité au moment des températures les plus froides, deux pics ont lieu, un avant et un après. Le premier pic précoce a lieu pendant la période de vaccination antigrippale et le second a lieu pendant la période de vaccination anti Covid-19. Ces hausses de décès pour ces tranches d’âges particulières n’ont pas d’impact dans la mortalité française totale, car les décès des plus de 75 ans représentent près 75 % des décès français contre 20 % pour les 60-74 ans.

Il convient de rappeler que les premiers vaccinés français l’ont été avec des produits désormais interdits (AstraZeneca, Janssen et Moderna) à la suite de cas d’effets indésirables graves dont des thromboses. Aujourd’hui, parmi les 4 vaccins initiaux présentés initialement par les autorités comme efficaces et complètement sûrs, 3 à ce jour sont interdit en France et dans de nombreux pays européens, le dernier restant est étonnamment celui ayant les plus forts liens d’intérêt avec les décideurs.

On déplore toujours qu’il n’ait pas été réalisé d’étude de décès toutes causes à la suite des injections anti Covid-19. Les seules études disponibles concernent soit uniquement les décès marqués comme « Covid-19 » (dont certaines comportent de nombreux biais méthodologiques), ou des études concernant uniquement certains aspects des effets secondaires avec des suivis limités.

5.3. Quelles statistiques pour trancher sur la période du printemps 2021 ?

Cette période de printemps 2021 est originale sur bien des aspects. C’est la première période pour laquelle une baisse conséquente des décès français est associée à une augmentation du nombre de malades et de décès Covid-19 déclarés. Ces derniers font suite à une stratégie de tests tous azimuts associés aux détections de variants. Il est impossible dans ce contexte de conclure à la propagation d’une maladie mortelle.

On note toutefois de l’augmentation des décès pour certaines populations ciblées par la politique vaccinale.

Pour trancher, des études mobilisant les données de santé des personnes décédées devraient être publiées pour répondre à ces questions :

  • Y a-t-il une augmentation réelle d’hospitalisations toutes causes sur la période ?
  • Y a-t-il une augmentation réelle de soins critiques toutes causes sur la période ?
  • Y a-t-il un lien entre l’hospitalisation toutes causes et le statut vaccinal anti Covid-19 ?
  • Y a-t-il un lien entre la mortalité toutes causes et le statut vaccinal anti Covid-19 ?

6. La fin de la mortalité aux beaux jours de la fin du printemps 2021

Avec l’arrivée des beaux jours au mois de mai 2021, la mortalité a baissé (Figure 6, page 14). Cette baisse a été attribuée par certains cette fois-ci aux effets bénéfiques du vaccin. Il s’agirait de s’étonner une nouvelle fois que la mortalité retrouve un niveau bas, à une période où il n’en a jamais été autrement. Il semblerait que nous devions nous habituer à remercier nos sauveurs pour la fin des maladies hivernales au retour des beaux jours. Une fois de plus, l’hiver mortel est suivi d’une période de mortalité très basse. À la différence de l’année précédente, cette période n’est pas marquée par la fin des mesures de coercitions de masse, mais par leur maintien en vue de pousser la population à la vaccination anti Covid-19. Il s’agit de la première période de discussion sur la mise en place du « passe sanitaire » en France, contrairement aux promesses gouvernementales du passé.

7. La mortalité basse de l’été 2021 (la 4e vague qui n’existe pas)

7.1. L’histoire médiatisée

Pour avoir une idée du niveau de médiatisation de cette vague, le mieux est de visiter la page Wikipédia de la pandémie Covid-19 en France.

À l’heure où ces lignes sont écrites, on y apprend que l’épidémie a officiellement démarré à partir du moment où le premier ministre l’a annoncé et qu’elle n’a concerné que des non-vaccinés. Les sources de cette seconde affirmation sont des médias grand public.

7.2. L’histoire mesurée

Cet été 2021, la mortalité française est restée au niveau estival habituel. Aucune hausse n’est visible dans la population générale. L’idée d’une 4e vague porte la même logique que celle ayant défini la 3e : une augmentation du nombre de tests positifs.

Cette « vague » a pour début la mise en place du passe sanitaire et l’explosion du nombre de tests qui a alors suivi.

7.2.1. L’instauration du passe sanitaire

La DREES propose dans une analyse publiée le 17 septembre 2021 : un graphique présentant le nombre de tests positifs par statut vaccinal (Figure 61). Ce dernier a bien évidemment pour but de justifier la campagne de vaccination au milieu de cette « vague ».

Figure 61 : Nombre de tests positifs pour 100 000 personnes selon le statut vaccinal

À partir du 12 juillet, les non-vaccinés sont contraints de se faire tester en très grand nombre. Par conséquent, le nombre de tests positifs augmente très fortement pour les non-vaccinés, sans que cela ne soit du fait d’une épidémie. La courbe a commencé à baisser à partir de mi-août pour au moins trois raisons :

  • La baisse du nombre de non-vaccinés, du fait de personnes ayant finalement reçu les injections par contrainte.
  • La fin des vacances, signant la fin des tests systématiques pour les sorties.
  • Le fait que toutes les personnes ayant été déclarées positives se retrouvent avec un passe sanitaire valable pendant 6 mois et n’ont plus besoin de faire de tests.

Nous l’avons dit, la pression du 12 juillet a contraint de nombreux Français à aller se faire injecter rapidement. Cette primo-injection ne leur a pas permis d’obtenir immédiatement le précieux passe. Ainsi, cette poussée vers les injections a fait augmenter le nombre de primo-doses récentes devant se faire tester, et donc augmenté le nombre de tests positifs, un peu en décalage de la courbe des non-vaccinés. La courbe a commencé à baisser quand ces personnes sont tout simplement rentrées dans la case suivante au bout de sept jours : "primo-dose efficace".

À partir du 19 juillet, ceux ayant déjà subi leur première injection dès le 12 ont commencé à rentrer dans la case "primo-dose efficace". Ils étaient toujours contraints de réaliser des tests pour obtenir leur passe sanitaire, et par conséquent le nombre de positifs a également commencé à augmenter. La deuxième bosse correspond au changement de statut des nombreuses personnes ayant réalisé leur première injection juste après les annonces, et au fait que toutes ces personnes ont réalisé leur deuxième dose plutôt fin août en rentrant de vacances. Ainsi, les Français ne sont rentrés dans la case "complètement vacciné" que fin août.

Les "complètements vaccinés" ne sont pas contraints de réaliser des tests pour accéder aux lieux nécessitant un passe sanitaire. En revanche, ils doivent réaliser des tests lorsqu’ils sont considérés « cas contact ». Ainsi, faire exploser le nombre de tests, et donc de tests positifs chez les non-vaccinés, va nécessairement forcer les vaccinés à réaliser des tests en tant que « cas contact ». Cela a augmenté le nombre de tests positifs en décalage des premiers à partir du 19 juillet.

Ainsi, pour toutes les catégories, les augmentations visibles ne révèlent absolument pas l’apparition d’une épidémie de coronavirus, mais uniquement une épidémie de tests à cause du passe sanitaire. La différence du nombre de tests positifs entre vaccinés et non vaccinés ne montre en aucun cas une protection du vaccin quant au fait d’être malade de la covid-19, mais une protection du vaccin quant au fait de se faire tester.

Rappelons que pour la Haute Autorité de la Santé, les tests sérologiques sont censés avoir un seuil de spécificité minimal de 98 %. Cela signifie que jusqu’à 2 % de faux positifs sont tolérés pour ces tests. La spécificité des tests RT-PCR dépend du nombre de cycles décidé pour la positivité. Avec une positivité déclarée au-delà de 35 cycles, le test est très sensible et très peu spécifique. Constater un taux de positivité des tests pendant l’été 2021 en deçà de 5 % signifie qu’il est impossible d’affirmer avec certitude que le nombre de « vrais positifs » soit vraiment différent de 0.

Enfin pour mémoire, en plus du passe sanitaire et de l’explosion du nombre de tests, cette période est également celle du déploiement des tests de criblage visant les mutations du virus (Figure 62). Cela entraîne une nouvelle fois une augmentation mécanique des taux de positivité.

Figure 62 : Nombre de tests de criblage Covid-19 pour les mutations

7.2.2. L’étonnante disparité territoriale

Des différences étonnantes de comptages sont relevables entre les hôpitaux. Sur la période du 31 mai au 11 juillet, Paris a enregistré 6,6 % des décès Covid-19 de France sur la période, pour seulement 3,2 % de la population française des 60 ans et plus. Pour le Nord, il s’agit de 6,76 % des décès Covid-19 pour 3,18 % de la population française des 60 ans et plus. Il convient de s’étonner du fait que le nombre de décès soit autant corrélé au soutien affiché des hôpitaux pour la politique vaccinale. Le virus est alors déclaré très virulent et mortel aux endroits où l’on promeut les vaccins.

Pour la période du 30 août au 5 septembre, ce sont désormais les Bouches-du-Rhône qui présentent un nouveau record, avec 9,6 % des déclarations de décès covid-19, pour seulement 3,2 % de la population française des 60 ans et plus. La Région PACA présente à elle seule 25 % des décès Covid-19 pour 7 % de la population française des 60 ans et plus. Il est étonnant de constater ce changement radical au moment même d’un changement de direction au sein des hôpitaux de cette région.

7.2.3. Des évolutions de mortalité au moment des périodes de vaccination

L’instauration du passe sanitaire a pour objectif « l’incitation » à la vaccination de toute la population. On observe à partir du 12 juillet des évolutions préoccupantes dans la mortalité des plus jeunes. Certaines tranches d’âges, comme les 20-24 ans présentent des hausses du nombre de décès au moment même des injections (Figure 63). Le nombre de décès reste faible, et il a déjà existé par le passé des jours avec autant de décès, mais la concordance des moments devrait amener à la plus grande prudence. Des constats similaires sont faits pour les âges avant 40 ans (Figure 64 et Figure 65).

Figure 63 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 20-24 ans

Figure 64 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 25-29 ans

Figure 65 : Nombre de décès et nombre de vaccins anti Covid-19 pour les 35-39 ans

Des études sérieuses mériteraient d’être menées sur le lien entre la vaccination et le décès, en particulier chez les plus jeunes.

7.3. Quelles statistiques pour trancher sur la période de l’été 2021 ?

Cette période de l’été 2021 voit une décorrélation totale entre la maladie déclarée et la réalité du nombre de malades. Pour la première fois, une vague entièrement artificielle est médiatisée par l’instauration notamment du passe sanitaire. L’augmentation inédite du nombre de tests a permis une augmentation du nombre de cas pour visualiser une « vague ». Le taux de positivité très faible de la période ne peut être prétendu significativement différent de 0.

Aucune hausse de mortalité n’est pas ailleurs visible. Seuls quelques nombres de décès chez les plus jeunes sont à souligner pendant la période vaccinale.

Pour trancher, des études mobilisant les données de santé des personnes décédées devraient être publiées pour répondre à ces questions :

  • Y a-t-il une augmentation réelle d’hospitalisations toutes causes sur la période ?
  • Y a-t-il une augmentation réelle de soins critiques toutes causes sur la période ?
  • Y a-t-il un lien entre l’hospitalisation toutes causes et le statut vaccinal anti Covid-19 ?
  • Y a-t-il un lien entre la mortalité toutes causes et le statut vaccinal anti Covid-19 ?

8. Y a-t-il un lien entre le Covid-19 et la mortalité en France ?

La question peut paraître choquante après 2 ans de pandémie. Nous avons montré que pour l’ensemble des « vagues » identifiées par la presse et le gouvernement, ce que nous avons appelé « l’hypothèse A » qui fait porter les hausses de mortalités successives à la propagation d’un virus souffre de nombreuses incohérences et lacunes.

Nous avons trouvé bien plus d’éléments statistiques allant dans le sens d’une mauvaise gestion de la santé publique à des fins politiques ou financières.

Nous demandons bien évidemment que soient rendues publiques les différentes statistiques demandées qui pourraient valider ou invalider « l’hypothèse B » expliquant les variations de mortalité par les conditions extérieures, environnementales notamment, mais également les décisions prises. Aujourd’hui nous n’avons pas de preuve que nous faisons face à une pandémie qui tue significativement plus que d’habitude, pendant que les mesures réduisent drastiquement la mortalité. Le fait de déclarer une maladie comme étant insoignable, d’abandonner les patients et de ne proposer que des palliatifs, pour constater par la suite une hausse de mortalité s’apparente bien plus à une prophétie auto-réalisatrice et qu’à une justification scientifique.

Enfin, il est temps de sortir de cette période de l’inversion de la charge de la preuve. Depuis 2 ans les humains sont déclarés coupables. Ils sont déclarés coupables de rendre malade les autres. Aucune preuve n’existe validant cette charge. Les Français subissent depuis des punitions coercitives traduites par des interdictions de circuler, d’accéder à des lieux de patrimoine ou de culture. Ils sont interdits de se rassembler ou même de s’approcher de trop près. Les enfants sont les premières victimes de cette situation, déclarés coupables et condamnés comme les adultes à porter des masques toute la journée, toujours sans preuve, mais uniquement à cause de théories trouvant péniblement des appuis sur des statistiques orientées. Il nous incombe aujourd’hui de prouver que nous sommes innocents pour avoir le droit d’être libres. Dans quel monde vivons-nous ?

Cette inversion n’a pas épargné la campagne vaccinale pour laquelle les fabricants sont incapables de produire des études montrant un quelconque intérêt pour les injections. Les études sont biaisées en montrant des résultats sur la « cause Covid-19 » en oubliant de comptabiliser les décès et hospitalisations des autres causes qui pourraient survenir à cause de l’injection elle-même (À l’exception de l’étude de cohorte Pfizer qui suit 20 000 personnes sur 6 mois, qui montre finalement qu’il y a plus de décès chez les vaccinés que dans le groupe placébo). Ces mêmes méthodes sont répétées par nos « autorités de santé » qui semblent oublier tous les autres aspects de la santé en dehors d’une seule maladie. Là encore l’inversion est totale. Les vaccins sont présupposés sûrs et efficaces (3 sur 4 sont déjà interdits dans de nombreux pays) et ce sont aux citoyens de prouver qu’ils ne le seraient pas s’ils voulaient échapper à ces injections forcées.

Cette inversion de la charge de la preuve n’a pu être réalisée que dans un état de stupéfaction de la population. Cet état ne peut être maintenu que par le maintien de la peur et les changements de stratégies tous azimuts avec de nouvelles mesures fréquemment. La seule manière de se sortir de l’inversion est de retrouver ce qui nous fait défaut depuis 2 ans : le bon sens.


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98 réactions à cet article    


  • Clocel Clocel 22 novembre 2021 09:45

    Les stats... La branlette des gauchers prépubères...

    On n’a pas le cul sorti des ronces, ils doivent se pisser dessus nos archontes autour du plat de caviar...

    Heureusement, il y a des gens sérieux, la phase 5, vite !


    • xana 22 novembre 2021 11:44

      @Clocel
      En tous cas j’enregistre ces articles pour éviter qu’ils se retrouvent « perdus » lors du futur procès des responsables actuels de la panique et de tous ces morts évitables.

      Ce serait un comble qu’on puisse en arriver à les relâcher « faute de preuve »...


    • Clocel Clocel 22 novembre 2021 11:58

      @xana

      Si tu n’as que des stats pour convaincre les tribunaux, tu pars mal habillé, ceux d’en face en produiront en masse et à l’arrivée, tu ne pourras juste pas trancher.

      C’est la façon moderne d’exercer la censure, tu ne peux trier le bon grain de l’ivraie.


    • Le421... Refuznik !! Le421... Résistant 23 novembre 2021 09:10

      @Clocel
      Pas besoin de courbes pour savoir que si vous êtes positif au Covid et que vous sautez du premier étage de la Tour Eiffel sans parachute, le virus est effectivement mortel !!
      Sans déconner...


    • Ruut Ruut 22 novembre 2021 09:56

      Existe il un lien entre la hausse des morts toutes causes confondues et les vaccinations ?

      Peut on avoir les courbes des morts toutes causes confondues en % pour les non vaccinés et pour les vaccinés covid* dés 1 dose ?

      Et ce entre 2019 et maintenant ?

      L’histoire de voir l’efficacité vaccinale contre la mort sans biais statistiques.


      • Ecométa Ecométa 22 novembre 2021 13:02

        @Ruut

        Toute cause : il faudra attendre la fin de l’années pour les chiffres INSEE des décès !

        Actuellement, au 04/10/ 20121, i y aurait encore un surcroit de 10.000 décès à domicile en 2021 sur 2020 qui était déjà élevé + 23.000 ! Et, toujours au 04/10/2021 : + 17.000 pour les décès à l’Hôpital ! Vaccinés pas vaccinés on ne sait pas ! Mais sur l’ensemble, les Injections ARN Messager n’ont pas ou très peu d’effets ! Impossible de savoir qui est vacciné ou pas ! 

        De même sur Géodes et Santé Publique France : pour les entrées à l’Hôpital + 40.000 en 2021 avec ARN Messager sur 2020 ; et + 1.000 décès.

        Coté injection ARN Messager, Il n’y a rien de très significatifs en terme d’efficacité : taux de décès à 16 % en 2021 contre 18 % en 2020 ! 
        Il faut dire qu’on ne soigne toujours pas précocement : comment les choses s’arrangeraient ! 


      • perlseb 22 novembre 2021 17:23

        @Ruut
        Oui, vous avez tout à fait raison. Si un médicament contre le cancer diminue le nombre de cancers (efficace donc ?) mais tue beaucoup plus de personnes par AVC, son bénéfice-risque devient négatif. Mais on peut statistiquement le considérer efficace contre le cancer.

        Pour répondre sur les vaccins Covid, ils sont globalement mauvais pour la santé (peut-être légèrement efficaces contre le Covid, mais avec tellement d’autres problèmes que le bilan global est négatif). Voir la page 90 de ce lien, que je place après :

        « De nombreux domaines de la médecine, l’oncologie par exemple, ont abandonné l’utilisation de critères d’évaluation spécifiques à une maladie pour le critère d’évaluation principal des essais cliniques pivots (décès par cancer par exemple) et ont adopté « la mortalité ou la morbidité toutes causes » comme critère d’évaluation scientifique approprié d’un essai clinique [...]

        Les données d’essais cliniques pivots des 3 vaccins COVID-19 commercialisés ont été réanalysées en utilisant « toutes causes de morbidité grave », une mesure scientifique de la santé, comme critère principal [...]

        Les résultats prouvent qu’aucun des vaccins n’apporte de bénéfice pour la santé et tous les essais pivots montrent une augmentation statistiquement significative de la « morbidité sévère toutes causes confondues » dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo.

        Le groupe immunisé Moderna a subi 3 042 événements plus graves que le groupe témoin (p = 0,00001).

        Les données de Pfizer étaient grossièrement incomplètes, mais les données fournies ont montré que le groupe de vaccination a subi 90 événements plus graves que le groupe témoin (p = 0,000014), en n’incluant que les événements indésirables « non sollicités ».

        Le groupe immunisé Janssen a subi 264 événements plus graves que le groupe témoin (p = 0,00001).[...]

        Sur la base de ces données, il est presque certain que la vaccination de masse contre le COVID-19 nuit à la santé de la population en général. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins COVID-19 doit être arrêtée immédiatement car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins »



      • JulesDu13 23 novembre 2021 21:52

        @perlseb
        Le surcroît d’événements graves post-vaccinaux devrait être comptabilisé séparément pour chaque tranche d’âge (et éventuellement aussi pour les catégories ayant des comorbidités fortement associées au Covid).
        Car pour le calcul du rapport bénéfice/risque le risque Covid d’une personne de 0-20 ans doit être au moins 100 fois plus faible que celui d’une personne de 80+ ans.


      • Ruut Ruut 25 novembre 2021 16:00

        @perlseb
        Plainte très intéressante avec du contenu fort instructif.
        Pourquoi contre X et non contre nos autorités sanitaires ?

        C’est quoi l’intérêt du X ?


      • perlseb 25 novembre 2021 18:21

        @JulesDu13
        Une vidéo de eau-du-robinet plus bas nous apprend qu’il y a jusqu’à 50% de mortalité dans les 15 jours qui suivent l’injection de la 3ème dose en EPHAD. Si le bénéfice-risque est très défavorable pour les jeunes, je crois qu’il l’est aussi pour les personnes âgées. Pour moi, les morts post-vaccin sont ignorés : on fait tout pour ne pas voir en cherchant une autre cause au décès, en expliquant que c’est une mauvaise coïncidence. Ou pire, on les attribue à des morts Covid non vaccinés (car injections récentes).

        @Ruut
        Oui, il y a un travail de dingue dans cette plainte. Je n’ai pas participé à ce travail mais on voit bien qu’il y a les médias, les politiques, beaucoup de responsables médicaux corrompus dans le X. Si on veut réellement faire le ménage, c’est difficile de laisser en place le système tel qu’il est (en ne tapant que sur un groupe ciblé). Cette histoire va beaucoup trop loin, tellement que le déni est la seule façon de ne pas devenir fou pour beaucoup. Le pire, c’est que si ça se trouve, tout se passe exactement comme prévu (début du chaos planifié ?, guerre civile souhaitée pour mise en place d’une dictature féroce ? : plus de justice à rendre avec arrestations arbitraires, ça serait tellement plus simple pour ceux qui nous ont amené là).


      • perlseb 25 novembre 2021 18:40

        @JulesDu13
        Une remarque supplémentaire. N’est-ce pas judicieux de débuter l’injection d’une 3ème dose (possiblement très dangereuse) après avoir préparé le terrain en disant qu’une 5ème vague apocalyptique nous attendait ? Car si les vaccins tuent en grand nombre, il nous avaient prévenu : cette 5ème vague est très violente... Donc ils ne passeront pas pour des charlatans (comme avec la 4ème vague qui n’en était pas une). La 5ème vague sera bien réelle et on pourra alors planifier une 6ème vague en même temps que la 4ème dose...


      • JulesDu13 26 novembre 2021 04:17

        @perlseb
        Pour éviter les biais d’analyse, j’ai lu (je ne sais plus si c’est dans cet article ou ailleurs) qu’après un traitement ou vaccin on préférait dorénavant évaluer ses risques en mesurant l’excès de symptômes ou décès *tous types/causes confondus*, entre une population traitée et une population de même composition non-traitée.
        (Ensuite il y a la durée d’observation : pour le Kreutzfel-Jacob de l’hormone de croissance la durée était de l’ordre de 20 ans)

        D’après l’auteur :

        On déplore toujours qu’il n’ait pas été réalisé d’étude de décès toutes causes à la suite des injections anti Covid-19. Les seules études disponibles concernent soit uniquement les décès marqués comme « Covid-19 » (dont certaines comportent de nombreux biais méthodologiques), ou des études concernant uniquement certains aspects des effets secondaires avec des suivis limités.



      • Samy Levrai samy Levrai 22 novembre 2021 10:17

        La pauvre « médecine » nous refait un voyage dans le temps, nous sommes passés des saignés de l’époque Molière à l’enfermement des biens portants masqués, moderne , puis à l’injection d’OGM expérimentaux obligatoire.

        Nous avons affaire à de vrais charlatans pour l’écrasante majorité.


        • Clocel Clocel 22 novembre 2021 10:22

          @samy Levrai

          « Nous avons affaire à de vrais charlatans pour l’écrasante majorité. »

          Ne les sous-estimez-pas, ils sont cons mais pas au point de se rendre compte qu’ils risquent la potence s’ils calent au milieu du gué.

          Le pire est devant nous, ils ne lâcheront rien.


        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 22 novembre 2021 10:31

          @Clocel
           
          ’’ ils savent qu’ils risquent la potence s’ils calent au milieu du gué.

          Le pire est devant nous, ils ne lâcheront rien. ’’

           

           C’est pourquoi depuis le début de cette affaire, j’ai évoqué l’Armageddon.


        • Samy Levrai samy Levrai 22 novembre 2021 11:05

          @Clocel
          Ce sont des vendeurs sans conscience, je ne les prends pas pour des cons intellectuellement mais des êtres fats, imbus d’eux mêmes sans esprit critique dont le nombril est le centre du monde.


        • Clocel Clocel 22 novembre 2021 11:18

          @samy Levrai

          Si tu crois que le but de tout ce merdier c’est juste le fric, tu vas avoir un réveil pénible.

          Dès l’instant où tu as recours à la planche à billets, la monnaie perd toute sa valeur, ce n’est plus qu’un outil d’asservissement des peuples.

          Lis Valérie Bugault...


        • Samy Levrai samy Levrai 22 novembre 2021 10:17

          Merci à l’auteur pour cet énorme travail toujours si brillant.


          • Ben Schott 22 novembre 2021 11:09

             

            Arrête, Pierre, les cuistres zététiciens ne savent plus où donner de la tête...

             

             smiley

             


            • xana 22 novembre 2021 11:55

              Merci encore une fois pour cet article remarquable.

              Comment se fait il que Nono, notre grand-prêtre des statistiques, n’ait pas su voir tout cela ?

              N’est-il pas simplement d’une MAUVAISE FOI absolue ?

              Ne devrait-il pas passer lui aussi au tribunal pour propagande mensongère ?


              • ETTORE ETTORE 22 novembre 2021 13:24

                @xana

                xana....
                nonos, comme un certain pirehéro, ont viré leur cuti .
                On les sent hésitants, sans plus trop savoir quel drapeau sortir, et tenant de fait dans leurs petites pognes tremblantes, tous les torchons, qui pourraient les torcher, pour les rendre « culs propres ». Et il apparaissent, pour de courtes « bavures à limaces » qui doivent leur servir de colle, pour ne pas glisser dans l’oubli cradingue de leur personnes.
                Il y en a toujours eu, et il y en a encore, des comme ça !
                Les épingler comme de simples morpions, doit même leur apporter la jouissance.
                Parce que, peu leur importe, ce qu’ils disent, l’essentiel est d’être là, même trépané !


              • Ecométa Ecométa 22 novembre 2021 11:58

                Un travail incroyable ; et je partage totalement le point de vue ! 

                Pour moi le scandale ultime c’est le surcroit de décès à domicile : non assistance à personne en danger  : + 23.000 en 2020/2019 pour l’Insee, et déjà + 10.000 au 04/10/2021 sur 2020 qui était déjà élevé !

                Tout ça est criminel, et visiblement tout continue à l’identique : il n’ y a aucune leçon tirer de tout ce patacaisse politico sanitaire ! 

                Où est la médecine ? il n’y a rien eu de médical dans le traitement de toute cette crise ; ni en matière de soins , ni en matière d’injection ARN Messager dits « vaccins » ARN Messager !

                Logiquement d’un point de vue médical : on ne vaccine pas en période épidémique sans un « test préalable » ( vaccinodromes et même chez les médecins qui vaccinent ) sans savoir si la personne n’est pas déjà infectée ; si elle n’av pas déjà des anticorps . Ceci représente un danger d’émergence de variants, et même d’un virus mutant ! 

                Pourtant cette « vacciculite aigüe » continue et sans test préalable même chez le médecin !

                Où est la médecine même chez les médecins ?

                Pierre : à quand une audition au Sénat ? Je crois qu’ils auront du mal à suivre !

                En même temps vous publiez aussi chez FranceSoir...


                • samuel 22 novembre 2021 12:26

                  @Ecométa

                  « Ceci représente un danger d’émergence de variants . si elle n’av pas déjà des anticorps . Ceci représente un danger d’émergence de variants, et même d’un virus mutant !  »

                  Alors que vous auriez sans soucis trouvé la solution contre un virus qui de toute façopn ne tue pas autant que les mesures sanitaires...


                • Le421... Refuznik !! Le421... Résistant 23 novembre 2021 20:19

                  @Ecométa
                  pataquès et non patacaisse...
                  Sinon, je suis d’accord !!  smiley


                • samuel 22 novembre 2021 12:20

                  source : décolder l’info :

                  À partir du 12 juillet, les non-vaccinés sont contraints de se faire tester en très grand nombre. Par conséquent, le nombre de tests positifs augmente très fortement pour les non-vaccinés, sans que cela ne soit du fait d’une épidémie. La courbe a commencé à baisser à partir de mi-août pour au moins trois raisons


                  Sauf que selon la Dress, le nombre de test positif est rapporté à la sous-population de chaque classe (vaccinés, non vacinnés, vaccinés partiel). 


                  Source « Dress » : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/toujours-plus-de-tests-pcr-positifs-et-dadmissions-en-soins-critiques-des


                  Pour les tableaux et graphiques présentant des nombres de tests RT-PCR positifs ou d’événements hospitaliers pour 100 000 habitants selon le statut vaccinal, les dénombrements de ces tests positifs ou de ces événements sont rapportés à la population du statut vaccinal 7 jours auparavant, pour tenir compte de l’existence d’un délai entre la date de contamination (non observée) et la date de test ou celle d’hospitalisation.


                  ça en dit long sur la qualité et le r ecul de votre travail...



                  • leypanou 22 novembre 2021 12:43

                    @samuel
                    source : décolder l’info :  : un nouveau mot ? çà en dit long sur votre rigueur.


                  • Décoder l'éco Décoder l’éco 22 novembre 2021 12:56

                    @samuel
                    Donc ce n’est pas rapporté au nombre de tests effectués selon chaque classe vaccinale.
                    Vous vous plantez de règle de 3. La DREES a réussi son coup vous êtes tombé dans le panneau.


                  • JulesDu13 23 novembre 2021 23:53

                    @samuel
                    https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/toujours-plus-de-tests-pcr-positifs-et-dadmissions-en-soins-critiques-des

                    Tel que je le comprends le taux de positivité des vaccinés/non-vaccinés est le nombre de tests positifs rapporté à 100.000 personnes de cette catégorie, et non pas rapporté au nombre de tests effectués par les personnes de cette catégorie.

                    Donc si on prend 100.000 non-vaccinés qui se testent 1 fois/semaine et 100.000 vaccinés qui se testent 1 fois/mois, on peut obtenir 4 fois plus de tests positifs chez les non-vaccinés que de tests positif chez les vaccinés, même si le taux de positivité réelle est identique dans ces deux populations.

                    En pratique, le test obligatoire répété va détecter tous les cas asymptômatiques et bénins chez les non-vaccinés, alors que ces cas ne seront pas détectés chez les vaccinés.

                    Si je ne me trompe pas, il s’agit bien d’une supercherie : car, évidemment, les non-vaccinés sont contraints de se tester tous les 3 jours, même en l’absence de symptôme, pour accéder à divers lieux (alors que les vaccinés n’ont pas à le faire).

                    ***

                    Autre exemple, pour m’aider moi-même à comprendre.

                    Je sépare mon troupeau de vache entre les vaches à cornes droites (disons 10) et les vaches à cornes courbes (disons 90).

                    Je teste toutes mes vaches à cornes droites pour voir si elles ont des pis, je trouve 10 cas positifs/10 vaches.

                    Je teste 1/9 de mes vaches à cornes courbes pour voir si elles ont des pis, 1/9 de 90 fait 10 tests, je trouve 10 cas positifs/90 vaches (mais 10 cas positifs/10 tests !)

                    Je conclue néanmoins que 10/10 est 9 fois plus grand que 10/90, et donc que les vaches à cornes droites ont 9 fois plus de chance d’avoir des pis que les vaches à cornes courbes.

                    Le paysan d’à côté, qui n’est pourtant pas statisticien, me dira que je suis un idiot.


                  • JulesDu13 24 novembre 2021 00:21

                    @JulesDu13
                    L’affaire du Covid aura vu tellement de manipulations statistiques pour ne pas dire d’escroqueries qu’elle devrait rester un cas d’école dans l’histoire des statistiques (même si cette histoire intéresse assez peu de gens).
                    Malheureusement les médecins n’ont pas forcément la compétence, ou au moins le temps, d’analyser ces chiffres, et se retrouvent de ce fait instrumentalisés à des fins financières et politiques.
                    Le médecin voit les patients qui sont devant lui, mais la situation générale ne peut lui apparaitre qu’à travers les statistiques. Le tromper sur les chiffres généraux revient à le pousser à prendre de mauvaises décisions.


                  • McGurk McGurk 22 novembre 2021 13:22

                    Un lissage des décès sur 52 semaines, nous permet de connaître l’impact de ces augmentations sur la mortalité habituelle

                    Il n’y a pas eu de surmortalité vu que l’année 2019 a été anormalement basse en ce qui concerne les décès, à savoir que les personnes qui auraient dû mourir cette année-là ont vécu légèrement plus longtemps (mais pas beaucoup plus).

                    Ces 2 mesures ont des impacts sur l’évolution des infections respiratoires chez les patients, mais également sur toutes les pathologies habituelles.

                    Vous avez oublié deux évènement majeurs qui ont, à eux seuls, permis l’installation durable de cette maladie :

                    *Le déni des autorités qui, jusqu’à ce que le virus touche Paris puis enfin Versailles, ont fait croire aux gens que ce n’était qu’une « gripette » et que coller des affichettes dans les lieux de transports allait arrêter les contaminations.

                    *Le refus catégorique de notre Zéro en chef de fermer toutes les frontières au motifs que, justement, « le virus n’a pas de frontières » alors que les autres pays, comme l’Allemagne, l’avait fait sans se poser de questions ou demander au Maître bruxellois.

                    La décision a été prise notamment à la suite de la pression médiatique suivant des remontées de cas déclarés Covid-19 et des projections alarmistes fondées sur des modèles sans ancrage dans le réel.

                    Non, c’est faux.

                    La presse n’a été qu’un instrument pour instituer une paranoïa et ensuite la panique au sein de la population. Elle comptait scrupuleusement, en exagérant comme d’habitude, chaque personne contaminée en disant que c’était la fin du monde.

                    Tout médecin sérieux sait pertinemment que confiner des familles entières chez elles, avec potentiellement des malades, ne fera qu’empirer les choses.

                    Les « pseudo-résultats », présentés comme résultant du succès du confinement, sont grossiers et stupides car ils ont participé à un écrasement de la « courbe des contaminations »...qui était une véritable bombe à retardement car, lors des « déconfinements », il y avait plus d’infectés qu’avant.

                    Beaucoup de journalistes écrivent que le confinement strict a permis de sauver de nombreuses vies par l’absence des accidents de voiture.

                    Tout comme respirer l’air peut nuire à la santé, traverser au passage piéton, boire de l’alcool, prendre les transports en commun, etc.

                    Ces gens ont fait et continuent à non-argumenter en énonçant « des faits véridiques », « la science » (imbécile) comme racontait l’un d’entre eux l’autre jour.


                    • sirocco sirocco 22 novembre 2021 13:25

                      Ah ! Si on ne donnait pas toutes ces belles courbes à déguster à l’internaute, AVox ne serait pas AVox... Merci quand même.

                      Entendu le représentant de la macronie en Guadeloupe dire : « Il faut se faire vacciner car nous ne savons pas de quoi l’avenir sera fait. » (ou qq chose comme ça)

                      Bien que n’étant pas devin, je peux néanmoins annoncer à ce fonctionnaire obéissant ce qui nous attend (en Guadeloupe ou ailleurs) : après cette injection presque imposée (heureusement que les Ultramarins montrent aux moutons français comment résister !), une autre injection sera quasi obligatoire dans quelques mois. Au besoin, on nous aura sorti un nouveau variant très méchant et des chiffres de contamination affolants qui sont déjà prévus ! 

                      Au fait, on en sera à quelle vague ?... Il paraît que nous sommes en plein dans la 5ème... Mince, j’ai même pas vu passer la 4ème ! À chaque fois que les « scientifiques » et politiques corrompus touchent leurs commissions sur leurs comptes anonymes, on change de vague... ça va si vite...

                      Et ainsi de suite ad vitam aeternam...

                      Comme quoi, s’agissant des manœuvres mondiales de BigPharma, c’est pas si difficile de jouer les Mme Soleil !


                      • McGurk McGurk 22 novembre 2021 13:31

                        @sirocco

                        Ajoutons que le concept de « vague » n’a rien de scientifique et s’appuie sur des chiffres totalement corrompus et manipulés à souhait.


                      • ETTORE ETTORE 22 novembre 2021 13:27

                        Sacré boulot. !

                        Bravo l’auteur.

                        Lu et relu, et à garder.

                        Même si, comme dit Clocel, ,« ils en auront d’autres à opposer. »

                        Cela a le mérite d’être dit, et écrit avec soin.

                        Bravo !


                        • troletbuse troletbuse 22 novembre 2021 13:32

                          Tiens, encore une connaissance, 70 ans, sans comorbidités, morte par AVC après la vaxxination.


                          • zygzornifle zygzornifle 22 novembre 2021 14:09

                            @troletbuse

                             Encore une allergie a la petite cuillère dans le café du matin qui se déclare après 70 ans de petit déj ....


                          • Le421... Refuznik !! Le421... Résistant 23 novembre 2021 20:23

                            @troletbuse
                            Mauvaise langue, va !!  smiley


                          • zygzornifle zygzornifle 22 novembre 2021 14:08

                            La seule bonne discision d’un politique c’est quand il démissionne, mais en France ils sont tellement dorlotés qu’ils ne le font pas ....

                            Même si leur quinquennat envoie indirectement des milliers de personnes au cimetière ils sont intouchables sauf physiquement .... 


                            • McGurk McGurk 22 novembre 2021 14:11

                              @zygzornifle

                              Qu’est-ce que ça changerait qu’il le soit physiquement ? Ils sont des milliers à vouloir prendre le trône.


                            • McGurk McGurk 22 novembre 2021 18:11

                              @Jeekes

                              Visiblement, la peur des GJ pourraient « buter Macron » a été pris très au sérieux par cette classe alors que le but des manifestations était tout autre, mais ça aurait effectivement pu arriver.

                              Leur réaction a été viscérale avec toute la violence de la police, des politiques, ainsi qu’un énième serrage de vis avec la panoplie du masque, de la seringue, du pass moustachu et son inévitable déclassement des citoyens.

                              Une sorte de « même pas peur, bâtard ! » lancé aux gueux que nous sommes (plutôt un bras d’honneur). Quant aux Pays-Bas, feu symbole de la liberté (surtout de la fumette libre et sans entrave), ils ont carrément tiré à balles réelles sur la foule alors que les manifestations étaient originellement pacifiques et demandaient clairement l’arrêt de ce système fou.

                              La réponse a été digne des régimes totalitaires. Vive l’UE.

                              C’est par l’instauration d’une vraie démocratie dans laquelle on peut contrôler, surveiller et virer ces gens qu’on aura la paix. Mais ça signifie la fin de leurs privilèges (leur grande peur) et une peur constante soit d’être au chômage soit de passer devant les tribunaux.

                              Cela implique donc que le peuple contrôle et que la politique applique. Chose qui n’arrivera sans doute pas de mon vivant...


                            • McGurk McGurk 22 novembre 2021 21:33

                              @Jeekes

                              J’aimerais.


                            • suispersonne 22 novembre 2021 14:31

                              Les questions posées ici vont être traitées (mission expresse et supplément d’honoraires) par les branleurs de mckinsey (déjà lourdement condamnés pour l’affaire des opiacés mortels aux usa).

                              Cependant, l’ignominie de nombreux « gouvernants » dans ce monde est fortement soupçonnée, et la seule surprise est que les questions légitimes finissent par apparaître ... aussi tôt.

                              Il n’est pas inutile de se souvenir de la panique entretenue dès mars 2020, à l’issue des élections municipales sans protection.

                              Et de ne jamais oublier le comportement moutonnier de nombreux citoyens écervelés, dont certains voulaient faire partir de leur voisinage des soignants susceptibles de contaminer autrui !

                              Après tout, la connerie est majoritaire, c’est entendu.

                              Mais quand les cons se réveillent, cela fait mal.


                              • fcpgismo fcpgismo 22 novembre 2021 15:19

                                La cinquième vague c’est l’orgasme permanent pour les merdias et les terroristes des gouvernements à la solde de big pharma.


                                • sirocco sirocco 22 novembre 2021 18:55

                                  @fcpgismo

                                  https://francais.rt.com/france/92887-guadeloupe-macron-evoque-adhesion-croissante-vaccination-denonce-manipulation
                                  Le dictateur (en référence à ce qui se passe actuellement aux Antilles françaises) demande de « ne pas utiliser la santé » des Français pour des « combats politiques ».

                                  Par contre, utiliser le prétendu rebond épidémique (« justifié » à l’aide de chiffres complètement bidouillés par le régime) pour renforcer le contrôle des Résistants et, depuis le début, utiliser cette pseudo pandémie à des fins d’enrichissement personnel au bénéfice de cohortes de collabos sans scrupules, ça c’est chaudement encouragé par la clique mafieuse au pouvoir en France.


                                • nono le simplet 22 novembre 2021 16:25

                                  consternant 


                                  • Ben Schott 22 novembre 2021 16:45

                                    @nono le simplet
                                     
                                    « consternant »
                                     
                                    Appréciation gratuite.
                                     


                                  • roby roby 22 novembre 2021 18:05

                                    @nono le simplet
                                    A baisser votre froc comme vous le faites je pense que vous en croquez...


                                  • ETTORE ETTORE 22 novembre 2021 17:37
                                    Jeekes 22 novembre 16:39

                                    @nono le simplet
                                     « consternant »


                                    Enfin il se décide à changer le nom de pseudo !

                                    Comme quoi, la reconnaissance attend le nombre des années ! lol !



                                      • perlseb 22 novembre 2021 20:13

                                        @eau-du-robinet
                                        Intéressant : « Dans les EPHAD, on a parfois jusqu’à 50% de décès dans les 15 jours qui suivent la 3ème dose ».
                                        C’est pour cela que le vaccin est « efficace » : si on meurt juste après la vaccination, c’est normal et pas grave, c’est l’état qui était pas bon, par contre ceux qui ont résisté à ce poison ont une santé de fer, donc c’est normal qu’ils fassent moins de Covid graves derrière.


                                      • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 22 novembre 2021 18:37

                                        Réponse : Virus mortel. 


                                        • pipiou2 22 novembre 2021 18:42

                                          Une première mondiale : l’auteur de vient démontrer qu’un virus ne se transmet pas !!

                                          Et c’est sur Agoravox ! Halleluiah !


                                          • pipiou2 22 novembre 2021 19:28

                                            @pipiou2

                                            « vient de démontrer »

                                            J’en perds mes mots tellement cette nouvelle est sensationnelle smiley


                                          • Ben Schott 22 novembre 2021 19:33

                                            @pipiou2

                                             
                                            T’as vu comme tout le monde s’en branle de tes âneries ?...
                                             


                                          • pipiou2 22 novembre 2021 18:48

                                            "il devient évident que la décision du confinement n’a jamais pu être déclenchée par réaction à une surmortalité. Aucun décideur ou spécialiste ne pouvait savoir si la période connaîtrait plus de décès qu’habituellement."

                                            Ben c’est simple : il suffit de regarder le nombre de cas augmenter, et avec les connaissances de médecine (délai d’incubation, R0, situations de référence, etc ...) on sait que les décès vont augmenter quelques semaines plus tard.

                                            ça s’appelle LA SCIENCE.

                                            Et essayer de démonter tout ça en jouant avec les statistiques et la parano ça s’appelle ... le complotisme.


                                            • véronique 24 novembre 2021 09:58

                                              @pipiou2

                                              il suffit de regarder le nombre de cas augmenter, et avec les connaissances de médecine (délai d’incubation, R0, situations de référence, etc ...) on sait que les décès vont augmenter quelques semaines plus tard

                                              Donc logiquement on confine.....   et ......  les décès augmentent quand même quelques semaines plus tard.

                                              Remarquez bien que le conseil scientifique avait pris ses précautions. Il avait affirmé, sur la base de rien, que la mesure de confinement produirait ses effets 2 à 3 semaines plus tard. Ça tombe bien car une période épidémique ne dure en général que quelques semaines.


                                            • I.A. 22 novembre 2021 18:54

                                              Travail plus fin et exhaustif que ce qui pourra jamais être réalisé. Et qui se lit d’une traite, telle une investigation journalistique parfaitement documentée, tant c’est le reflet du réel.

                                              Nous savions, à l’hôpital, que le nombre de décès brutaux à domicile avait subitement augmenté. Et nous en devinions d’autant plus les causes, que c’était prévisible. Le plus atterrant était alors de constater TOUT ce dont ne parlaient pas nos médias, notamment en regard de ce qu’ils mettaient, au contraire, au-devant de la scène… Ce n’est qu’à partir de là, que journalistes, médecins et politiques nous sont apparus comme des monstres.

                                              La hausse des décès liés aux vaccins, qu’ils soient anti-grippaux ou anti-covid, est aussi connue des scientifiques, que visible dans les chiffres à disposition du public, mais quasiment personne ne semble vouloir le relever sauf lorsqu’on évoque la possibilité de vacciner leurs enfants.

                                              La pseudo 4ème vague a tout de même été perçue enfin !  comme la grossière manipulation qu’elle était par la plupart des gens, y compris les néophytes.

                                              Pour finir, conditionner l’accès à l’hôpital à la détention d’un pass sanitaire, ça fait partie de l’un des plus gros scandales passé sous silence par les journalistes. Ça va définitivement contribuer écarter des soins, des médias et des urnes, des populations entières.

                                              Vous voir exposer et analyser avec autant de sang-froid les preuves de cette gigantesque tuerie organisée force le respect. J’en suis incapable, et j’ai dit « investigation journalistique » pour ne pas dire « enquête policière »...

                                              Les processus décisionnels de cette gestion sanitaire ont beau avoir été dissimulés par le sceau du secret permis par l’état d’urgence, les chiffres sont là, qui parlent sans préjugés ni parti pris.

                                              Félicitations.



                                                • eau-du-robinet eau-du-robinet 22 novembre 2021 20:22

                                                  Pour rappel :

                                                  .

                                                  Voici un rapport datent du 25 Mars 2021 de l’institut de recherche pour la valorisation des données de santé confirment l’analyse de DR Astrid Stuckelberger
                                                  http://recherche.irsan.fr/Var/documentations/documentation_155/Analyse_IRSAN_2021-03-25-surmortalite%CC%81.pdf ?4517

                                                  Citation du rapport :

                                                  L’épidémie qui touché  la France en  2020, montre une  surmortalité nulle pour  les moins de  65 ans (soit  80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (3,72 % d’excès pour cette classe d’âge).
                                                  .
                                                  Voici le rapport de l’ATIH (Agence technique de l’Information sur l’Hospitalisation
                                                  .

                                                  Mr Blachier se réfère au rapport de la A.T.I.H. l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation sur le COVID. Cette agence gère tous les systèmes d’informations des hôpitaux, dont elle est en courent de toutes les hospitalisations qui ont lieu sur le territoire français.

                                                  .

                                                  "Ainsi en cours de l’année 2020 les patients Covid représentait 5% de l’ensemble des patients prise en charge dans les services de réanimation. Les patients COVID représentent 2% de l’ensemble des patients au cours de l’année 2020, tout champs hospitaliers confondus."

                                                  .
                                                  Voici le rapport

                                                   


                                                  • eau-du-robinet eau-du-robinet 22 novembre 2021 21:12

                                                    et voici la conclusion de REINFOCOVID
                                                    .

                                                    Nous pouvons, au vu de ces données officielles de Santé Publique France, affirmer sans le moindre doute qu’en France, la vaccination n’a absolument aucun effet sur les taux d’incidences mesurés pour la présence du SARS-CoV-2, virus responsable de la COVID-19. Cette conclusion indique que la pression politique et médiatique intense et permanente pour inciter (obliger ?) la population française à se faire vacciner ne repose sur aucune réalité scientifique. Plus généralement, il paraît probable que ce que nous observons en France soit généralisable aux autres pays. On peut donc raisonnablement penser qu’aujourd’hui, la vaccination ne protège pas contre le regain de contaminations SARS-CoV-2 observé en Europe."



                                                    • eau-du-robinet eau-du-robinet 22 novembre 2021 21:13

                                                      Bonjour Ben Schott,
                                                      .
                                                      ++++++ smiley




                                                      • Montagnais .. FRIDA Montagnais .. FRIDA 22 novembre 2021 22:27

                                                        Énorme cette info et bien vérifiée : le patron de Pfizer se voit refuser l’entrée du territoire israélien parce qu’il n’est pas inoculé à son propre produit. Tous les dealers le savent : « never get high on your own supply »


                                                        • Taverne Taverne 22 novembre 2021 22:52

                                                          @Montagnais .. FRIDA

                                                          c’est faux. Il suffit d’écouter la vidéo où il dit qu’il a 59 ans. Or il en a aujourd’hui 60. La vidéo a donc un an. CQFD. De plus, je me souviens d’avoir vu cette vidéo à l’époque. 


                                                        • pipiou2 22 novembre 2021 23:17

                                                          @Taverne
                                                          Oui les intoxs vont bon train ici.


                                                        • Montagnais .. FRIDA Montagnais .. FRIDA 23 novembre 2021 04:20

                                                          @Taverne
                                                          ..

                                                          Ouf ! merci ... reusement qu’vous êtes là ! Je viens de lui téléphoner (décalage horaire ..) .. Il a dit oui. Yes, sure, he said, that was a year ago ..
                                                          ..
                                                          Thanks Albert, thanks a lot
                                                          ..
                                                          Mais, pour vous et pipiou ;
                                                          ..
                                                          https://crowdbunker.com/v/GCGrl92lAc
                                                          ..
                                                          Faut être osé je trouve .. et vous ?


                                                        • pipiou2 23 novembre 2021 14:11

                                                          @Montagnais .. FRIDA

                                                          Donc 6 mois après la vaccination les vaccinés vont commencer à tomber comme des mouches !
                                                          Est-ce vraiment ce que tu observes ?

                                                          Tu n’en as pas marre de diffuser des canulars comme un collégien ?
                                                          Tu as vraiment un pêt au casque !


                                                        • leypanou 22 novembre 2021 23:06

                                                          @l’auteur et ceux qui s’intéressent aux statistiques

                                                          Et si on a une surmortalité des 10-59 ans non due au covid mais à la pseudo-vaccination ?

                                                          En tout cas, c’est ce que prétend cet article pour le Royaume Uni, de la même manière que les sportifs ont montré plus de problèmes cardiaques depuis la « vaccination » de masse, chose que les médias msm ne risquent pas d’approfondir (par exemple dans cet article).


                                                          • Le bébé de Macon Le bébé de Macon 22 novembre 2021 23:18

                                                            @leypanou
                                                            « les sportifs ont montré plus de problèmes cardiaques »
                                                            Pas grave, ils ont des semelles en carbone et le e-sport maintenant.


                                                          • Eric F Eric F 23 novembre 2021 17:14

                                                            @leypanou
                                                            « Et si on a une surmortalité des 10-59 ans non due au covid mais à la pseudo-vaccination ? »
                                                            Il n’y a, heureusement, aucun phénomène de surmortalité chez les jeunes en 2021 en France, et si on regarde plus particulièrement la période où la vaccination leur a été ouverte du 1 juin au 8 novembre 2021 comparée à la même période de 2019 :
                                                            0-24 ans +0,1%
                                                            25-49 ans : -0,3%


                                                          • LeMerou 23 novembre 2021 08:13

                                                            Autant que l’article relate un peu la chronologie des faits et des vérités percutantes, c’est très bien, mais le bon peuple a déja en partie oublié, se préoccupant aujourd’hui de bien d’autres choses.

                                                            Que des chiffres, courbes, graphiques, analyses en tout genre soient associés, me dérange un peu, car ils peuvent être facilement publiés pour obtenir l’effet souhaité ou fournir une sorte de preuve étayant les propos. Et surtout quid de l’authenticité ou de la véracité de ces derniers glanés deci-delà. (ou mis à disposition)

                                                            Analyser la mortalité d’un pays est une chose complexe, comptabiliser les décès, qui sont (ou devrait) être classé par genre comporte un aléa non négligeable, par celui qui le classifie lors du constat.

                                                            Ayant été confronté il y a huit jours à un décès familial, j’ai pu m’enquérir auprès du Médecin qui porte la cause sur le certificat et les causes probables sont fort peu nombreuses et très généralistes, ce qui me fait douter des analyses « fines » des décès, en l’absence d’analyses poussées. 

                                                            Un système rompu pendant des décennies à ce type de classement, ne peut demain mettre en exergue une cause particulière comme le C19, car sans les analyses, la question est ont mort du C19 ou à cause du C19 ? Reste entière.

                                                            En l’absence du savoir exact (mort du ou à cause), le décès « covidien » relativement fiable ne peut être que celui provenant des hôpitaux, ou une personne dont l’infection à été vérifié décède.

                                                            Il est évident que toutes les personnes décédées dans ces lieux, n’ont pas fait l’objet d’analyses poussées. Surtout au regard du type de personne, généralement assez âgées ou ayant de fort problèmes de santé (dont on nous parle seulement depuis quelques temps).

                                                            Plus ont est vieux, plus ont se rapproche à grands pas de la fin, c’est comme ça depuis que l’humanité existe, un rien peut vous faire basculer de vie à trépas. Plus ont est malade ou atteint d’affections qui réduisent votre durée de vie, un rien aussi vous fait basculer de l’autre coté de la barrière un peu plus tôt que prévu.

                                                            Avoir un nombre de décès dans une tranche d’âge n’est qu’un indicateur, l’absence de détails sur les causes réelles fait qu’il est impossible d’exploiter ces chiffres, autrement que par des probabilités ou des convictions.

                                                            Ce qu’il faut comprendre c’est que les analyses des décès sont issues de probabilités liées à un classement standard, et pas sur des faits réellement scientifiques (Autopsie déterminant les causes exactes), d’ailleurs en à t-on besoin ?

                                                            Jusqu’à hier, avait-on besoin d’une fine analyse détaillée des causes des décès ? A quoi cela servirait t-il d’ailleurs.

                                                            Bien évidemment ont peut être tenté d’analyser plus finement en rajoutant ci ou ça comme vecteur afin d’obtenir un « résultat » plus « précis », mais ces rajouts sans analyse réelle du lien cause/effet (à cause du manque d’informations réelles et fiables) finalement n’apporte rien sinon qu’une probabilité, une idée, insidieusement mêlée d’une recherche du pourquoi et du comment, liées à tout ce cirque que nous vivons depuis bientôt deux ans.

                                                            Il faut dire aussi, qu’en matière de prédiction nous sommes gâtés, par tout le monde, la plus récente étant celle de l’OMS qui prédit 500 00 décès en Europe à cause du Codid d’ici fin février....

                                                            Nous ne sommes pas en reste non plus avec les prédictions de notre Delfraissy qui ressembles plus à celle d’une bohémienne qui lit dans votre main, et un porte parole du Gouvernement en mal de reconnaissance qui emploi des mots dont je pense qu’il en ignore la réelle signification et la portée qu’ils peuvent avoir.

                                                            Le C19 est-il une cause de surmortalité ? (Mamie est décédée à 95 ans, alors qu’elle allait ou qu’elle aurait du vivre jusqu’à xx ans) Vaste question à laquelle personne ne sait répondre avec certitude (scientifique cela va de soit)

                                                            Je pense que le C19 à vraisemblablement une influence de date, sur la fin de vie des personnes citées avant. Nous ne pourrons le constater que plus tard, dans quelques années seulement. C’est sûr qu’en attendant ont peut faire quelques comparatifs avec les données disponibles, mais ces derniers doivent être présentés comme des possibilités et non des faits avérés.

                                                            Faut-il rajouter les décès du aux « effets secondaires » du traitement ? (Il est entendu pour moi, que ce que l’ont nous propose ne peut être appelé vaccin, c’est plutôt un traitement).

                                                            Ben non, toujours en l’absence d’analyse scientifique permettant d’affirmer que le décès est uniquement lié à ces derniers. Je ne conteste pas qu’il y en ait, tout soin comportant un risque qui est variable suivant la personne.

                                                            Le C19, peut importe qu’il soit naturel ou fabriqué, est-il épidémique, oui sans aucun doute. Est-il dangereux au point d’être classé comme les épisodes tant cités par nos dirigeants politique et médicaux, bah je n’en suis pas si sur.

                                                            .

                                                            Je ne fais pas d’analyse, sur le C19, mais de simples règles de trois comparatives avec les grands fléaux tant cités en exemple, cela sans aprioris, ni recherches particulières, elles confortent mon opinion sur la dangerosité très exagérée de la bête infâme pour des raisons que j’ignore. Certes j’en subodore quelques unes, mais sans preuves......

                                                            Une chose est sure dans cette affaire, c’est l’état de « folie » qu’elle entraîne, un surenchérissement de l’anxiogénité malsain pouvant provoquer à un moment des effets sur la population complètement inattendus par les générateurs de cette dernière.

                                                            Et pour conclure, je suis entièrement d’accord avec l’Auteur sur la perte incroyable de bon sens d’une majorité.


                                                            • Perplex Perplex 24 novembre 2021 10:29

                                                              @LeMerou
                                                              C’est bien pour cela qu’il a été créé ce genre d’outil : EUROMOMO
                                                              Quel dommage dans s’en être passé, la moment venu !


                                                            • pipiou2 23 novembre 2021 14:14

                                                              « vérités percutantes » ...

                                                              Prétendre que les virus ne sont pas contagieux c’est vraiment percutant en effet, mais pas vrai du tout.

                                                              Les reptiliens sont parmi nous c’est aussi ce que vous appelez une « vérité percutante » ??


                                                              • pharmacien 23 novembre 2021 14:31

                                                                bravo pour cet article ! c’est ce genre d’article qu’on devrait trouver dans les médias !!! pour que les chiffres soient expliqués et que certains se fassent une idée de la situation réelle.

                                                                vous pouvez être fier de votre travail. j’ai tout copié et archivé car après l’épidémie de covid viendra une épidémie d’amnésies...et certains chiffres embarrassants disparaîtront comme par magie, c’est déjà le cas.

                                                                c’est bien dommage que la plupart des gens ne cherchent pas à s’informer et gobent tout ce qu’on leur matraque à longueur de journée.

                                                                vraiment bravo !


                                                                • Eric F Eric F 23 novembre 2021 14:44

                                                                  L’article est intéressant, ceci étant pourquoi titrer « virus mortel OU mauvaises décisions » ? Le virus est mortel, l’épidémie dans les pays fortement touchés a été supérieur aux grosses grippes depuis des décennies. Mais aussi certaines décisions ont été inadaptées ou excessives, en mettant le pays à l’arrêt ou en court circulant la médecine de terrain pour tout reporter sur le système hospitalier.

                                                                  Diagnostic : virus mortel ET mauvaises décisions


                                                                  • troletbuse troletbuse 23 novembre 2021 21:44

                                                                    @Eric F
                                                                    Merci NonoBis


                                                                  • véronique 24 novembre 2021 08:12

                                                                    @Eric F

                                                                    Peut-être que l’épidémie de covid n’est pas suffisante réellement pour justifier les mesures sanitaires prises. 
                                                                    Et peut-être que dans ce cas ce sont les mesures prises qui ont causé une bonne partie de la surmortalité, ces mesures constituant la seule différence notable par rapport aux années précédentes.
                                                                    Il n’y aurait donc pas à la fois un virus mortel et des mauvaises décisions, mais uniquement des mauvaises décisions (dans un contexte sanitaire tel que ce qu’on connait habituellement avec ses épisodes de surmortalité hivernaux plus ou moins importants).
                                                                    Si cette dernière hypothèse est exacte, ce qui correspond à ce que les tenants de la thèse officielle appellent « nier l’épidémie », toute la politique sanitaire s’effondre. D’où les injonctions répétitives pour que la population croit à la réalité d’une terrible épidémie ultra-mortelle.


                                                                  • BA 23 novembre 2021 21:01

                                                                    Covid-19 : en France, la situation est hors de contrôle. Le gouvernement français ne maîtrise plus rien du tout. Les fêtes de fin d’année s’annoncent bien pourries. Regardez bien le nombre de cas de contamination :


                                                                    https://raw.githubusercontent.com/CovidTrackerFr/covidtracker-data/master/images/charts/france/cas_journ.jpeg


                                                                    • pemile pemile 23 novembre 2021 21:32

                                                                      @BA

                                                                      Mais en retard par rapport à l’Autriche, la Hollande et l’Allemagne !
                                                                      https://zupimages.net/up/21/47/4zz4.png


                                                                    • véronique 24 novembre 2021 10:07

                                                                      @pemile

                                                                      Et pourtant à niveaux de vaccination équivalents.


                                                                    • nono le simplet 24 novembre 2021 10:41

                                                                      @véronique
                                                                      Et pourtant à niveaux de vaccination équivalents.

                                                                      pourtant ? sans rapport ... la propagation de l’épidémie vient de l’Est de l’Europe (peu vaccinée) sans qu’on puisse associer le froid comme facteur unique, la Grèce n’étant pas un pays froid ... mais difficile d’imaginer un autre facteur prépondérant autre que le froid ...


                                                                    • véronique 24 novembre 2021 11:18

                                                                      @nono le simplet
                                                                      Sans rapport ? Oui vous avez raison, les vaccins n’ont pas l’air très efficaces.

                                                                      Donc selon vous ça vient de l’est ? Des preuves de ça ?


                                                                    • Ben Schott 23 novembre 2021 21:14

                                                                       

                                                                      Petite mise au point salutaire de 8 minutes de Pierre, qui va faire monter la tension des petits trolls excités, qui n’auront, une fois de plus, que leurs petits pieds pour trépigner...

                                                                       

                                                                      L’éternel retour du concret.

                                                                       

                                                                       smiley

                                                                       


                                                                      • Ben Schott 23 novembre 2021 21:34

                                                                        @PЯФЛG
                                                                         
                                                                        Il a tellement traumatisé cette bande de trous-du-cul qu’ils se vengent encore aujourd’hui par contumace !...
                                                                         
                                                                        T’as raison, j’en chiale !!!  smiley
                                                                         


                                                                      • pemile pemile 23 novembre 2021 21:35

                                                                        @PЯФЛG « ils etait tout content d’ avoir flinguer le compte a huismans »

                                                                        Bis repetita, si le filou philou s’est fait flingué son compte et ne l’a pas plutôt fait lui même supprimer, ce grand défenseur de la liberté d’expression et et grand combattant de la censure va donc dénoncer cela dans un article sur son site levilainpetitcanard.be ?


                                                                      • Ben Schott 23 novembre 2021 22:08

                                                                        @PЯФЛG
                                                                         
                                                                        « je te dit pas ce que ca va etre a noel »
                                                                         
                                                                        Surtout que le traitement anti-morpion n’est pas assez efficace (le gros a décroché, mais il sera encore là demain...).  smiley
                                                                         
                                                                         smiley
                                                                         


                                                                      • JulesDu13 23 novembre 2021 21:39

                                                                        Comme certains ne comprennent guère plus que la soustraction, un calcul simple pour le premier semestre 2021 sur la France entière.

                                                                        https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&facet=none&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country= FRA
                                                                        Cumul décès Covid officiels
                                                                        au 1/1/2021 : 64 891
                                                                        au 31/3/2021 : 95 798
                                                                        Total premier trimestre 2021 : 95 798 - 64 891 = 30 907 décès Covid officiels

                                                                        https://www.insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854#tableau-figure2_radio1
                                                                        Cumul tous décès
                                                                        1/1/2019 au 31/3/2019 : 169 912
                                                                        1/1/2021 au 31/3/2021 : 182 657
                                                                        variation de 2019 à 2021 : 182 657 - 169 912 = 12 745 surmortalité réelle

                                                                        Résultat : les décès officiels du Covid ne s’ajoutent pas à la mortalité de 2019 pour au moins les 59% d’entre-eux.
                                                                        (30 907 - 12 745) / 30 907 = 59%

                                                                        Ce calcul ne tient même pas compte de l’accroissement et du vieillissement de la population, ni de la mortalité inférieure à la moyenne de l’année 2019, mais son objectif est simplement de montrer que les décès du Covid sont complètement erronés.

                                                                        Remarques :
                                                                        *Je suis moi-même plus que surpris d’une telle incohérence des chiffres.
                                                                        *La simplicité du calcul permet à n’importe qui de le refaire, et limite essentiellement les risques d’erreurs au niveau de la méthode, de la mise en oeuvre, et des hypothèses de départ (il n’y a pas d’hypothèse sur l’efficacité des mesures anti-Covid, sur les traitements médicaux du Covid, sur l’impact de la baisse du nombre de lits d’hôpitaux/hab de 2019 à 2021, etc...).
                                                                        *Ce calcul est réalisé de la façon la plus ’prudente’ possible (minorant l’incohérence des chiffres officiels entre eux).

                                                                        L’erreur dans l’attribution des décès au Covid a des conséquences sur tous les arguments et décisions qui sont fondés dessus.


                                                                        • Quand l’éveillé montre les 11300 milliards d’évasion fiscale , l’imbécile fustige le RSA de son voisin .

                                                                          • Perplex Perplex 24 novembre 2021 10:59

                                                                            Le titre se veut diplomate pour ne pas faire fuir le lecteur potentiel :

                                                                            « Covid-19 : virus mortel ou mauvaises décisions  »

                                                                            Mais « Covid-19 : l’arme du crime » n’aurait été trop mal.


                                                                            • Perplex Perplex 24 novembre 2021 11:29

                                                                              Excellent article !

                                                                              Bien sûr, ça ne parlera qu’aux initiés (comme ceux qui lisent ici) et espérons-le, aux avocats qui défendent les réfractaires à la piqûre.

                                                                              Personnellement, j’ai toujours été dubitatif, pour ne pas dire perplexe, face à cette régionalisation de l’épidémie, tout comme cette idée de cluster ou de masque qui retiendrait le virus.

                                                                              « le microbe n’est rien, le terrain est tout » Béchamp ou Pasteur (qui aurait retourné sa veste sur son lit de mort).

                                                                              Et ici, le terrain a été façonné par nos dirigeants (non prise en charge, traitements médicaux criminels, mal-bouffe dans les éhpad, chez les moins aisés, procédures chronophages dans les services covid associées au manque de moyens hospitaliers chroniques depuis une décennie).


                                                                              • Octave Lebel Octave Lebel 24 novembre 2021 13:08

                                                                                Travail remarquable qui ne cède pas à la facilité.Merci


                                                                                • BA 24 novembre 2021 22:44

                                                                                  Les vaccins ont une efficacité de seulement 40 % !


                                                                                  Covid-19 : à cause de Delta, les vaccins ne protègent qu’à 40% de la transmission, selon l’Organisation Mondiale de la Santé.


                                                                                  https://www.lefigaro.fr/actualite-france/covid-19-a-cause-de-delta-les-vaccins-ne-protegent-qu-a-40-de-la-transmission-selon-l-oms-20211124


                                                                                  • JulesDu13 26 novembre 2021 04:45

                                                                                    @BA
                                                                                    La règle de base de ce genre de virus est qu’il doit évoluer vers plus de transmissibilité (c’est dans l’intérêt du virus) et moins de létalité (rendre très malade ou tuer son hôte est contraire à l’intérêt d’un virus ou d’un parasite). Ce processus peut prendre un peu de temps, mais ce faisant les vaccins deviendront de moins en moins efficaces et de moins en moins nécessaires. Les courbes de contamination et décès devaient se dé-corréler, autrement dit la létalité diminuer. On pourra toujours attribuer ce phénomène naturel au miracle des vaccins pour ne pas mettre en péril les intérêts qui vont avec, et permettre de les écouler jusqu’à la dernière dose produite.
                                                                                    Ceci dit, vacciner ceux qui n’en ont pas besoin augmente la pression sur le virus pour être plus transmissible (et échapper au vaccin) mais pas la pression pour être moins létal (pression qui aurait lieu si on laissait les malades asymptômatiques/faiblement symptômatiques se promener et que l’on isolait ceux ayant des symptômes sérieux : l’isolation indiscriminée basée sur un test PCR et non sur la gravité des symptômes ne permet pas cela, donc il ne reste que le temps pour faire ce travail).


                                                                                  • véronique 28 novembre 2021 11:03

                                                                                    @JulesDu13
                                                                                    On pourra toujours attribuer ce phénomène naturel au miracle des vaccins

                                                                                    C’est ce qui se fait déjà depuis plusieurs mois, même si une diminution de l’efficacité du vaccin est reconnue dans le même temps.


                                                                                  • Lynwec 28 novembre 2021 11:56

                                                                                    L’effort de l’auteur est louable dans ce sens qu’il a effectivement travaillé dur. Mais il a perdu son temps . L’analyse de ces deux ans est très simple . Une analogie courte aurait suffi :

                                                                                    « Vous êtes devant un véhicule fou qui roule vers vous, le conducteur est décédé . Quelques pas de côté pourraient vous mettre hors de danger ( les traitements précoces des médecins libres de soigner selon leur code de déontologie ) mais des militaires armés ( les gouvernants bienveillants ) vous menacent avec un fusil en vous intimant l’ordre de ne pas bouger ( interdiction aux médecins de soigner ) et vous assurent qu’un missile va détruire le véhicule et vous sauver . Bien entendu, ils oublient de préciser que le missile n’a pas forcément une précision chirurgicale . »

                                                                                    Pas parfaite cette analogie mais bon, c’est dimanche ... Je n’ai pas trouvé mieux .


                                                                                    • BA 28 novembre 2021 13:38

                                                                                      L’INSEE écrit :


                                                                                      2020 : une hausse des décès inédite depuis 70 ans.


                                                                                      En raison de l’épidémie de Covid-19, la mortalité a été exceptionnelle en 2020 avec près de 669 000 décès toutes causes confondues, soit 56 000 décès de plus qu’en 2019 (+ 9 %).


                                                                                      Une telle hausse de la mortalité n’a pas été enregistrée en France depuis 70 ans. Cette hausse est notamment très supérieure à celle observée lors des épisodes grippaux et caniculaires sévères des années précédentes.


                                                                                      https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347349


                                                                                      • beo111 beo111 30 novembre 2021 22:59

                                                                                        Bonjour, les gens de ma manif souhaiteraient vous inviter pour une conférence. Plus d’info ici :

                                                                                        https://www.agoravox.tv/commentaire13357020

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