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Accueil du site > Actualités > Société > Le placement des enfants ? : Parlons-en !

Le placement des enfants ? : Parlons-en !

JPEGPlusieurs associations et militants melunais ont accompagné et soutenu une famille.

La femme, surendettée a été expulsée de son appartement début avril 2013.

Elle est restée avec ses trois enfants dans une chambre d’hôtel fournie par le 115 jusqu’à fin mai…..

Qu’ont fait les services sociaux ?

Rien pour le relogement de cette femme mais par contre ils se sont mobilisés pour le sort des enfants.

C’est toujours ça, me direz vous… Il faut que cette famille soit relogée et réunie.

C’est votre logique et la mienne mais pas celle de la "justice" :

Le 27 mai 2013 la juge des enfants ordonnait le placement des trois enfants dans une famille d’accueil….

Quant à la mère et le père revenu en urgence, il ne leur restait plus que les larmes et la chambre d’hôtel.

Des militants de l’enfance,naïfs en la circonstance ont pensé que le lien aux parents allait être maintenu…

Eh bien non… Le lien s’est résumé à un rendez vous encadré tous les quinze jours pendant deux heures.

Le couple reformé a déposé un dossier de surendettement et les deux associations ont réussi après une course d‘obstacles à leur trouver un bail glissant.

Six mois après le placement des enfants, voici la situation :

- La femme désemparée est en maison de repos médicalisée ;

- L’ASE, l’aide sociale à l’enfance considère qu’il y a une crise grave entre les parents et les enfants : le père a refusé d’offrir à l’un des enfants une tablette et à l’autre un ordinateur….

On croirait "rêver".

Hier la mère ne savait pas dire non à ses enfants, aujourd’hui les parents décident de poser un cadre.

Jeudi 21 novembre, j’ai demandé en vain au juge de travailler le lien aux parents, de mettre en place de vrais droits de visite en journée et de préparer le retour des trois enfants dans leur famille.

Eh bien Non, pendant plusieurs mois le droit de visite limité à deux ou trois heures par quinzaine continuera être encadré

 

Le père est désemparé…. et je ne vous parle pas de la mère….

Nous sommes très inquiets.

 

Jean-François Chalot
 


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20 réactions à cet article    


  • Jean J. MOUROT Jean J. MOUROT 25 novembre 2013 10:26

    On a beau vouloir défendre les fonctionnaires, ils ne sont pas tous défendables !

    Et l’idéologie guide quelquefois plus que le bon sens les détenteurs d’une autorité...

    • appoline appoline 25 novembre 2013 12:18

      Où était parti le père ? En Afrique sans doute. J’admets que certains fonctionnaires ne font pas correctement leur travail mais là, je pense que l’auteur ne nous a pas tout narré car leur but est quand même de préserver la cellule familiale mais pas à n’importe quel prix. Le père qui met les voiles au lieu d’assumer son rôle et la mère qui dit « amen » ou autre à ses enfants, au lieu de tenter de trouver du travail et aussi, assumer son rôle. C’est bien plus facile de se faire entretenir par l’état. 


    • el cogno 25 novembre 2013 19:43

      @ appoline

      Pour le père qui met les voiles, OK.
      Ils sont nombreux, et les mères célibataires dans la merde sont nombreuses aussi.

      Par contre, pour reste... les clarifications de l’auteur devraient suffire à te remettre à ta place, celle d’un cliché, le cliché du partisan d’extrême droite basique et .... primaire ?

      J’en ai dans ma famille, quand je les entends parler ça me déprime, c’est comme ton commentaire, du n’importe quoi, des raccourcis simplistes, des trucs tout faits, qu’ils soient aptes à saisir facilement, pour que la complexité du monde ne les effraient pas.

      Après une bonne diatribe d’anti « métèque, fonctionnaire, bougnoules, chômeurs, négros, feignasses, parasites, etc, etc », et après, on se sent rasséréné, tout va mieux, le pantin est rassuré et regarde fixement le doigt.


    • philippe913 25 novembre 2013 10:50

      "- L’ASE, l’aide sociale à l’enfance considère qu’il y a une crise grave entre les parents et les enfants : le père a refusé d’offrir à l’un des enfants une tablette et à l’autre un ordinateur…."

      j’ai du mal à croire que les fonctionnaires de l’ASE se soient basés sur ce seul fait, j’ai du mal à croire que les fonctionnaires de l’ASE soient débiles au point que vous voulez bien le montrer,
      ainsi, je n’ai pas de mal à croire que votre démonstration soit tronquée.


      • Gnaffron 25 novembre 2013 11:11

        Que de documentation, que de références vérifiables pour s’assurer de la véracité de vos propos ! Grâce à votre excellent papier, me voilà désormais convaincu que l’ASE arrache aux bras attentionnés de familles aimantes de pauvres chérubins pour des histoires d’IPad et d’ordinateurs. Quel scandale !


        L’irréprochable rigueur journalistique de votre article suffit évidemment à éloigner tout soupçon d’un vague parti-pris. Parti-pris de quoi d’ailleurs, tant il est de notoriété publique que tous les fonctionnaires (les juges en premier) ne sont que des paresseux dépourvus d’émotion et uniquement soucieux de complaire à leurs cercles d’amis.

        Bien sur, le fait que vous soyez personnellement impliqué dans l’affaire ci-relatée (puisque vous faite une requête à un juge. Un juge des enfants je suppose.) pourrait laisser croire à quelques esprits chagrins un léger défaut d’objectivité de votre part. Merci donc d’avoir pris la peine de donner à vos lecteurs toutes les informations nécessaires afin que ceux-ci se forge une opinion par lui-même.

        Plus sérieusement, ça commence à bien faire ces contributeurs qui confondent Avox et le dépotoir de leurs frustrations, le défouloir de leurs humeurs et petites colères. Vous croyez informer qui et de quoi avec votre pauvre articulet larmoyant ? Pensez-vous réellement contribuer à une information collaborative de qualité avec votre prose de militant ?

        Je n’ai rien contre le billet d’humeur, lorsque celui-ci est un tant soit peu bien écrit. Cela exclut les misérables tentatives de manipulation telles que ce que vous nous donnez à lire. Pour celles-ci, je recommande de les poster dans les lieux suivants : votre blog ou la poubelle. La dernière de préférence.

        Quant à lancer le débat sur le bien-fondé ou non du placement d’enfant, j’ai peur que votre approche ait tué des les premières lignes tout espoir d’une discussion intéressante. Dommage...

        • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 25 novembre 2013 13:22

          Non non, au contraire, ça nous montre une face insoupçonnée de l’aiuteur qui est içi pris en flagrant délit de mauvaise ... foi. (quoi de plus normal pour un bouffeur de curés me direz vous ? )

          C’est très très instructif !


        • Gnaffron 25 novembre 2013 13:42

          Découvrir qu’un auteur d’Avox fait preuve de mauvaise foi, c’est instructif ?


          Ah bon...

        • picpic 25 novembre 2013 13:47

          J’ai passé mon enfance placé, parce que ma mère ne pouvait s’occuper de moi...j’en ai été très heureux et suis certain que j’aurais été plus malheureux avec ma mère.

          Même si enfant, je pleurais sang et larme pour vivre avec !

          Pour moi, faire un gosse à l’heure actuelle est déjà quelque chose de coupable.
          A voir le monde pulluler de gosses qui n’ont rien et en faire, dès « à soi » avec son code génétique « à soi » qui voudront tout, ça m’agace légèrement...

          Donc, je glisserai très très vite dans le cynisme...Déjà mon introduction serait :

          Être endetté, c’est TOUJOURS avoir merdé dans son calcul, y a toujours de la connerie dans l’histoire ...


          • picpic 25 novembre 2013 13:55

            Ces gens sont logé à l’hôtel gratos et ça râle...
            Tu ne verras jamais un célibataire sur endetté logé à l’hotel gratuitement !
            Les gosses c’est un talisman social !


            • Taverne Taverne 25 novembre 2013 15:23

              A l’auteur :

              Vous avez sûrement un gros coup de fatigue. Rien qu’au titre contenant une double ponctuation (deux points après un point d’interrogation), on le voit. Ensuite, au vu du vide sidéral des faits et de l’argumentation.

              Un conseil : demandez qu’on retire votre papier de la une, si c’est possible.

              Et sinon, bon courage ! Et à bientôt, je n’en doute pas. Cela peut arriver à tout le monde, un coup de mou... smiley


              • Ruut Ruut 25 novembre 2013 16:39

                Je ne savais pas que le président Français logeais dans la rue après avoir sur endetté la France.


                • CHALOT CHALOT 25 novembre 2013 18:00

                  Non Taverne !Je ne retirerai pas mon papier d’autant plus que c’est une histoire dramatique et qu’on craint pour l’avenir des parents qui sont désespérés.

                  Le problème c’est que dans ce cas là, ni le juge , ni les travailleurs sociaux n’ont cherché à nous rencontrer....La juge m’a entendu deux minutes et m’a retoqué quand je lui ai dit qu’il faudrait que les parents puissent voir les enfants au moins une journée entière.
                  Je n’ai pas mis en cause les fonctionnaires ou les professionnels d’associations mais une attitude de déni, de refus de discuter, d’ignorance de l’autre. 
                  Nous avons été les seuls, le secours catholique et familles laïques, ensemble à nous dé carcasser pour trouver un logement à cette femme et au père de ses enfants.
                  Appoline ! Arrêtez avec l’Afrique, cette famille est française et même « gauloise »....Vos propos sont déplacés : quelle que soit son origine, il fallait la défendre, on l’a fait !



                  • Gnaffron 26 novembre 2013 09:29

                    Et alors ? Vous n’êtes pas content avec la décision du juge et vous voulez refaire le match ici ? Ou cherchez-vous en ces lieux une épaule compatissante pour vous consoler ?


                    Je ne doute pas que la situation dont vous parlez vous paraisse choquante. Peut-être même est elle objectivement scandaleuse. Qu’en sais-je. Je sais en revanche que votre article n’offre pas la moindre information exploitable pour se forger une opinion. On n’a là que le cri du cœur d’une partie prenante à un dossier forcement complexe (on parle de placement d’enfants), qui ne va guère plus loin que les lamentations d’un enfant incompris. Contexte, références, points de vues opposés ? Passez votre chemin ! Ne parlons pas d’une vague tentative d’analyse des informations présentées, car information il n’y a point.

                    Agoravox se veut un média d’information, collaboratif et « citoyen » de surcroit. Ce n’est pas sensé être la tribune ouverte à tous les militantismes, pas plus que le café du commerce du coin ou l’on déverse ses frustrations à un auditoire compatissant.

                    A partir du moment où vous soumettez votre prose au lectorat de ce site, souffrez que celui-ci vous donne son opinion sur la valeur informative de votre contribution. Pour votre papier, cette dernière s’élève à la quantité suivante : néant.

                  • Taverne Taverne 26 novembre 2013 10:51

                    Je suis entièrement d’accord avec ce que vous dites, Gnaffron. A défaut de pouvoir donner des éléments sur ce dossier, l’auteur devait soit produire des faits plus précis mais anonymes, englober la situation dans les questions générales telles que l’incidence malheureuse des conditions matérielles des familles sur le maintien de leur cohésion, le manque criant de logements qui pousse aux placements, etc.

                    L’auteur a peut-être raison dans cette situation mais, à défaut d’être en mesure de donner des faits et arguments sérieux et de permettre un débat, il devait s’abstenir de faire son papier.

                    C’est un article pour rien.


                  • SOS Parents Abusés SOS Parents Abusés 25 février 2014 20:05

                    Et alors ! je pense que c’est juste d’informé chacun d’entre nous de ce qu’il se passe devant nos portes et ne par tourner le dos à de tel agissement. Personne ne vous demande de compatir et vous pouvez continuer à fermer les yeux, pour ne pas déranger votre quiétude.


                  • CHALOT CHALOT 25 novembre 2013 18:24

                    Achéron !

                    Tout cela est sur le papier, par manque de moyens peut être, les services vont au plus pressé : quand la mère est hospitalisée et le père cassé....La première n’a pas pu se rendre à l’audience et le deuxième était cassé....Toutes les belles constructions se fissurent.
                    Les enfants et les parents ont besoin de se retrouver afin de retisser un lien distendu depuis 6 mois.

                    • asterix asterix 25 novembre 2013 19:46

                      Bonjour Chalot,
                       
                      Pour nos lecteurs, toi et moi en avons parlé il y a peu à Vaux-le-Pénil, je vous livre une expérience cruelle. Pas des on-dit, la mienne, celle de ma famille.
                      Le placement des enfants en Belgique...
                      Mon fils, après un itinéraire difficile sur lequel je ne m’étendrai pas, a appris l’existence de son fils lorsque celui-ci avait déjà 4 ans. Le gamin, qui en a 11 maintenant avait été placé d’urgence en famille d’accueil por maltraitances répétées à l’âge de deux ans et, tout logiquement retiré à sa mère. Sur mon insistance, mon fils l’a reconnu après analyse sanguine et il porte dorénavant notre nom. C’est mon seul petit-fils, mon autre gosse, un adulte maintenant, est autiste.
                      Son arrivée fut pour moi un véritable bouleversement !
                      MAIS !!!
                      Mais depuis, le système fait tout pour empêcher de quelque manière que ce soit les contacts. Chaque fois que je vais en Belgique, je reçois royalement 2 heures de visite encadrée.
                      J’ai demandé de le prendre en week-end, en vacances.
                      La réponse fut à chaque fois non.
                      Non après insistance, car sans menaces judiciaires, le système n’estime même pas utile de me répondre. Mieux encore, il y a un mois à peine, j’ai appris par mail « que mon petit-fils avait décidé de ne plus me voir », façon s’il en est de m’envoyer balader dans les grandes longueurs.
                      Tu sais que je vis au Laos. Si ce gamin était né ici, cela ferait longtemps que je m’en occuperai seul, comme je me suis occupé seul des deux miens.
                      Non !!! Zeggy est confisqué par la Protection de la Jeunesse qui n’estime même pas nécessaire de privilégier, susciter, aider à établir ou conserver les contacts familiaux. Rien sinon un coup de fil tous les deux mois ! Rien sinon son omnipotence et son droit de ne pas justifier sa position. L’inverse de toute logique, la honte, la fonctionnarisation dans sa version la plus abrutie.
                      J’ai là un magnifique sujet de roman. Mais je ne l’écrirai pas car je risque d’en sortir trop chamboulé...
                      Déjà la présente me fout dans tous mes états

                      Mes meilleures salutations
                      Alain Sapanhine


                    • CHALOT CHALOT 25 novembre 2013 20:30

                      Merci Alain pour ton témoignage émouvant .

                      J’en ai un autre poignant et douloureux que je garde pour moi .
                      Ce qui se fait mal dans ce pays, entre autres c’est le lien avec les parents.
                      Les enfants sont protégés et suivis par des éducateurs mais les parents, eux, à part l’audience avec le juge sont peu ou pas soutenus....
                      Il y a des parents maltraitants et il faut tout de suite agir et mettre les enfants en protection mais il en existe d’autres qui aiment leurs enfants, qui se retrouvent dépassés déstructurés ,vivant dans le désespoir.
                      Désolé d’avoir dérangé certains mais dans le cas de ce couple, nous sentons une grande souffrance et CELA est insupportable. 


                      • Liline 25 novembre 2013 21:49

                        Cet étrange, cet article me fait penser à une histoire que je tiens de mon amie Mme K.. que je connais depuis le lycée. Une histoire qu’elle a vécu et dont elle m’a récemment reparlée suite à un souci que rencontre actuellement un de ses collègues.
                        M T... arrive dans le bureau de Mme K pour demander à utiliser le fax, il a besoin d’envoyer en toute urgence un document à un hôpital. Se sentant obligé de se justifier, il dit que son fils aîné de 16 ans vient de « péter les plombs » (une tentative de suicide ?) et qu’il est hospitalisé. Un jeune sans histoire, très bon élève au lycée. Au psychiatre, le jeune a dit qu’il se sentait malheureux à la maison. M T... n’est pas bien non plus, il a besoin de parler. Ce genre de sujet fait partie des secrets honteux qu’il convient de cacher, a fortiori à ses collègues, mais lui... a besoin de parler. Il se sent seul, sa femme et lui se murent chacun dans leur chagrin, leurs famille les regarde d’un air soupçonneux, ou du moins voient-ils les chosent comme ça. De plus, il présume que dans les mois qui vont suivre, il va devoir se rendre à des rendez-vous, transmettre d’autres documents, peut-être même prendre des jours de congé. Sa collègue Mme K... le rassure, tant qu’elle peut, les choses vont finir par s’arranger un jour, surtout que d’après la façon dont il parlait de son fils depuis toutes ces années qu’il travaillait là, c’était un père attentif et aimant, bien qu’exigent sur la réussite de ses enfants. Sa collègue, Mme D surprend la conversation par hasard et lui dit que les enfants « jouent parfois des tours ». Elle se rappelle que sa fille ainée avait dit au médecin de famille que sa mère la maltraitait parce qu’elle lui avait donné un claque après une dispute où l’adolescente s’était montrée fort agressive. Mon amie quant à elle n’a pas raconté sa vie, elle n’a montré aucune émotion, mais elle aussi a connu cela : sa soeur a quitté la maison à l’âge de 17 ans, en claquant la porte. Elle a contacté un juge pour enfants pour demander à être placée en foyer. Elle n’y a pas été heureuse, son geste s’expliquant avant tout par un trop plein de mal-être et de souffrance, et a fait de nombreuses fugues. Ses parents tout déchus de leur autorité parentales qu’ils étaient ont passé des nuits entière à tourner dans la ville pour retrouver leur fille quand elle fuguait, pour qu’elle retourne là où elle était en sécurité, c’est à dire au foyer. A cette époque, une partie de leur famille les ont rejetés, mais d’autres les ont soutenus, essayant parfois de faire la médiation entre les parents et leur fille. Ce soutien leur a permis de garder (même péniblement) la tête hors de l’eau, mais aussi de rétablir un lien fille-parents. Les institutions n’ont elles rien fait pour rétablir ce lien, considérant les parents avec méfiance il les voyaient sans doute maltraitants). Et les choses se sont arrangées, au fil des années, à fur et à mesure que la jeune fille avançait vers l’âge adulte. Maintenant, la soeur de Mme K est elle-même devenue mère et vit près de ses parents qu’elle aime et qu’elle entoure.


                        • SOS Parents Abusés SOS Parents Abusés 25 février 2014 19:55

                          Rien ne m’étonne dans cette situation, et même pire cela arrive aussi sans réelle motivation et sur des allégations, car c’est devenu malheureusement une pratique courante dans notre pays, cela concerne des milliers de familles, à qui ont retirent des enfants bien souvent sans véritable raison et sur des prétextes fallacieux. 

                          150 000 enfants placés, plus de la moitié ne devraient pas l’être (selon l’IGAS), doit ont encore fermer les yeux devant des enfants qui souffrent de ses placements abusifs ou enfin se réveiller et aider ses enfants victimes de l’administration aux méthodes douteuses. smiley 

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