Retour sur le chemin qui nous a amenés où nous en sommes
Il va falloir revenir, dès que l’évolution de la situation sanitaire le permettra, et si possible avant, aux méthodes et pensées gaullistes en les adaptant à l’évolution de la planète de ce dernier demi-siècle. C’est le seul moyen de retarder la prise du pouvoir absolu par une poignée de mondialistes devenus fous !
Je voudrais ici rebondir sur un article fort intéressant de Testarosa et particulièrement sur cette citation :
>>> la stagflation c'est à dire la coexistence de l'inflation et du chômage.<<<
Cette stagflation, qui évolue le plus souvent de façon parallèle à l'importance du désordre socio-économique que je nommerai ici intentionnellement la chienlit, est maintenant devenue, tout simplement mortifère !
Un exemple lumineux de la progression vers la situation présente :
1) Dans la France post WW2 et socialiste (quoique ce soit finalement déprécier le qualificatif "socialiste", à quelques exceptions près, que de l'appliquer à la sphère politique de la rue de Solferino) il est infiniment difficile de trouver un emploi, et pratiquement impossible de se loger dignement pour un prix raisonnable. Ceci sans parler de la pratique des "reprises", escroquerie notoire que jamais les socialistes d’alors n’ont dénoncée efficacement et encore moins réprimée !
Et ceci dure jusqu'en 1958, alors même que les "trente glorieuses" s'épanouissent déjà dans presque tous les autres pays du groupe occidental depuis plusieurs années.
2) A partir de 1958, début de la cinquième république de Charles de Gaulle, retour à l'indépendance nationale, à une reprise économique résultant de choix socio-économiques basés sur la préférence nationale, sur une protection douanière techniquement élaborée, et sur une utilisation véritablement SOCIO-économique nationale du volume global des recettes. Cela dure jusqu'en 1969 et c'est ce qu'il conviendrait de nommer les "dix ou onze glorieuses françaises" dont le rapport avec les "trente glorieuse" occidentales est fort éloigné, quoique réel !
Cette politique va d'ailleurs donner à la France un élan socio-économique tel qu’il va falloir pratiquement vingt ans aux successeurs du président de Gaulle pour gaspiller ce capital national et quarante ans pour qu’ils réussissent à détruire visiblement les avantages acquis sur le plan social. (J’ajouterai pour mémoire, dans le contexte actuel, la mise à mal de nos infrastructures en général et de notre système de santé en particulier.
Enfin, non seulement cette politique socio-économique de priorité nationale ne nous a pas aliéné la sympathie et le respect du Concert des Nations, jamais la France, ni son président, n’ont été aussi reconnus et respectés !
3) Nous pouvons dire enfin qu’à partir de 1981, l’arrivée au pouvoir du président Mitterrand et de sa suite « mondialo-crypto-socialiste » marque le retour officiel de la chienlit comme système de gouvernement.
Les conséquences en sont maintenant non seulement visibles mais leurs dommages induits dans tous les domaines sont pratiquement irréparables.
Alors désormais, une seule politique pourra peut-être sauver quelques meubles, sinon ressusciter la France éternelle Le retour au « fondamentaux » tels que l’avait compris et mis en pratique le général de Gaulle.
Il va falloir revenir, dès que l’évolution de la situation sanitaire le permettra, et si possible avant, aux méthodes et pensées gaullistes en les adaptant à l’évolution de la planète de ce dernier demi-siècle. C’est le seul moyen de retarder la prise du pouvoir absolu par une poignée de mondialistes devenus fous !
Et c’est aussi le seul moyen d’organiser la transition socio-économique entre une société industrielle régulée que des populations abusées par des voyous criminels ont mis à terre trop tôt, et la société du futur post-industriel.
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