Après la mort, l’esprit survit nous enseigne la nouvelle physique
Parfois, l’opinion se pose la question de la vie après la mort. Les matérialistes modernes sont convaincus qu’il n’y a rien mais leur avis est basé sur une connaissance bien approximative de la matière. Les croyants sont convaincus qu’il y a une vie après la mort mais leur avis est basé sur une connaissance approximative de Dieu. La vérité ne pourra émerger que de la gnose. Sinon chacun s’en remettra à ses croyances, y compris en jouant le pari à la Pascal. C’est un pari qui ne présente aucun risque et qui peut combler une âme paresseuse. Une âme conquérante voudra savoir ce qu’il en est mais comment savoir l’au-delà ou du moins ce qui peut se passer après la mort. Sommes-nous anéantis ou bien préservés de la mort mécanique pour une vie non mécanique, non animée ? Je précise animé en référence à l’animal qui est en nous et à l’animation qui caractérise notre capacité à exercer une influence mécanique sur les choses et en premier lieu notre corps qui se meut conformément à notre volonté.
Vous l’aurez compris, la question sur ce qui se passe après la mort de notre corps n’a pas de réponse légitime dans le cadre d’une conception matérialiste héritée de la science moderne ou de la religion héritée d’une époque précédant la modernité. Cette question trouvera des éléments de réponse avec les expériences vécues aux limites de la mort ou de la décorporation pour ce qui relève des sciences humaines et des spéculations métaphysiques dans le cadre de la physique contemporaine. Quelques personnes peuvent témoigner, dans les deux domaines. Une remarque sibylline de Heidegger nous place aussi sur un chemin de compréhension. L’Etre et l’étant ne sont pas dans le même « lieu » selon les dires de Platon.
Et la science, que peut-elle nous enseigner ? La physique contemporaine est appliquée à la compréhension du vivant. Le dogme matérialiste est dominant. La vie repose sur une organisation des atomes, molécules, avec l’ADN comme mémoire phylogénétique et les neurones en tant que producteurs de la vie psychique, de la volonté qui détermine l’agir et de la conscience. Les neurones fonctionnent avec des mécanismes physico-chimiques reposant sur une seule des trois interactions fondamentales, l’électromagnétisme. Lorsque le corps perd son animation, autrement dit, lorsque la personne décède, alors la pensée, la conscience disparaît avec les signaux électriques du cerveau. D’ailleurs, l’absence de détection d’une activité électrique est un critère pour déclarer un patient en état de mort clinique. La conception matérialiste et mécaniste ne permet pas de concevoir une « vie » après la mort, ni une quelconque place pour le divin. Elle est symbolisée par le décret de Monod sur l’alliance rompue.
Admettons maintenant que la conception matérialisme constituant le dogme de la science moderne ne soit pas la réalité et qu’une autre vérité se dessine sur la nature des choses. La science moderne est efficace n’est l’efficacité n’est ni fausse ni vraie, elle est simplement à l’écart de la Vérité. Une toute autre interprétation de la nature s’esquisse à l’écart des dogmes admis, que ce soit en physique quantique, en cosmologie, en thermodynamique, en biologie, en évolution ou en neurosciences.
Une interprétation de la matière et du cosmos émerge actuellement. Elle est en rupture avec le passé et loin d’être achevée ni même esquissée dans les livres savants mais elle se dessine et de mon côté, je dois avouer que j’ai bien avancé. Le schéma universel qui émerge conçoit la Nature sous un angle double, à la fois disposition et communication avec une physique de la disposition héritée de la mécanique et une physique de l’information extraite de la dynamique quantique. Et derrière ces deux déterminations on trouvera une « métaphysique » de l’ordre informationnel. Ce qui signifie que si la disposition mécanique des choses s’éteint, une certaine information subsiste. Autrement dit, ce n’est pas parce que le corps physique meurt et se décompose que l’information liée à l’esprit et la personne se détruit. Une existence après la mort donc est envisageable et presque certaine, une existence sous forme d’essence informationnelle. L’existence crée de l’Etre. Il n’y a aucune raison que l’Etre disparaisse après l’existence temporelle. La vie de l’esprit après la mort est bien plus qu’un pari pascalien. Elle va devenir une vérité.
Je m’interroge néanmoins sur la nécessité d’ouvrir ce champ de recherche qui n’est pas étranger aux Mystères chrétiens de la Trinité et de la résurrection. Un mystère se résout en ouvrant vers un autre mystère. Ou bien il est impénétrable, il se vit. Alors, tant qu’à faire, autant se préoccuper de vivre dans l’ici et maintenant, en se projetant dans un horizon temporel, sans penser à ce qui sera vécu après la mort dans un lieu inconnu, hors du temps et de l’espace. Imaginer ce qui peut se passer après la mort avec une vie informationnelle peut-être éternelle est de nature à susciter quelques angoisses métaphysiques. Mais si l’esprit se laisse gagner par la gnose, la foi et l’espérance, l’idée d’une sur-vie après la mort peut devenir une source de sérénité. Le destin de l’homme est d’avancer, de connaître. Alors si le champ est ouvert, il faut avancer dans le chemin, un chemin de pensée comme aurait dit Heidegger.
Pour résumer la situation, nous avons le choix entre deux interprétations du réel, la première conforme aux dogmes matérialistes et mécanistes qui conduisent vers une option moniste que l’on retrouve chez beaucoup de biologistes et neuroscientifique. L’option alternative que je propose n’est pas encore conçue mais elle se dessine sous un angle complexe et disons dualiste. Avec deux physiques. Disposition et information. Cette conception de la nature ouvre la voie vers une compréhension du psychisme qui dépasse les limites des neurosciences matérialistes. Le spiritualisme devient alors le dogme du 21ème siècle. La nouvelle physique ouvre des portes inédites pour la connaissance de la matière, du vivant et de l’esprit.
Est-ce une bonne nouvelle que cette révélation d’une existence de l’esprit comme structure naviguant dans un univers intelligible et intemporel ? Vous en faites ce que bon vous semble. Sur le plan des conceptions, la nouvelle physique balayera les dogmes matérialistes tout en réduisant à peu de chose les projets nourris par la secte des transhumanistes. Quant à la nouvelle physique, elle naîtra inévitablement car la vérité est au bout du chemin.
113 réactions à cet article
-
Bonjour Bernard,
Que penser de cette annonce tonitruante du jour ? ( avec beaucoup de points d’interrogation....)
http://www.20minutes.fr/sciences/1764843-20160112-ondes-gravitationnelles-predictions-theorie-einstein-enfin-prouvees-
@Pyrathome
Bonsoir A mon avis et dans le cadre de ma cosmologie, les ondes gravitationnelles ne sont pas des propriétés du cosmos mais de la matière quantique. Elles sont accessibles à notre conscience mais ce ne sont pas les ondes d’Einstein. Je doute donc de l’observation et si ce n’est pas un artefact, je doute de son interprétation
-
@Bernard Dugué.
Dans le genre, on a eu aussi le cas de l’illusionniste Jean-Pierre Girard qui - selon son agent rabatteur - absorbait le contenu des livres les plus ardus sans les ouvrir, rien qu’à regarder la couverture.Bernard Dugué n’a qu’à s’asseoir sur le cours d’astrophysique, et Pouf ! Ça lui monte par osmose ! Quel génie tout de même !
Le génie sans bouillir sachant ce qu’est la matière quantique, je veux bien qu’il nous explique ce qu’est la matière non quantique. Merci d’avance !
-
« Les ondes gravitationnelles ne sont pas des propriétés du cosmos mais de la matière quantique... »M’enfin cher Bernard ! Qu’est ce qui te permet de pensée que la réalité quantique est séparée de Cosmos ???Ce dualisme forcené est il issu de ta Foi en la gnose ? -
@Tokani
vous êtes poliment invité a aller émettre des ondes négatives ailleurs vous ! et laissez l’auteurléviter spirituellement dans son cosmos perso.... pffff avec des septiques comme vous qui pourrait tondre paisiblement le crédule ? -
@COVADONGA722
PFFFF sceptiques !!!! j’ai honte quoique sous cette article septique ne soit pas si déplacé ! -
@Tokani
La matière quantique est une matière perceptive aussi les ondes gravitationnelles sont un phénomène lié à la perception du cosmos en premier lieu. C’est assez troublant pour l’instant. J’ai tenté d’exposer tout ça dans la revue cerveau science conscience numéro 10 de 2015
-
@Bernard Dugué. Wow ! Alors comme ça, il suffit de supprimer la perception, et la matière est supprimée avec ! Diantre que c’est trou blanc !
-
Naoh 13 janvier 2016 18:28Si intelligibilité et intemporalité il y a, gageons que l’on soit alors préservé des grands prêtes tout comme des grands découvreurs.
-
’’Est-ce une bonne nouvelle que cette révélation d’une existence de l’esprit comme structure naviguant dans un univers intelligible et intemporel ? ’’
Ah !? Alors, ça y est ? Vous avez démontré l’indémontrable ?Trop fort, Bernard Dugué !Votre croyance n’est pas le problème : le problème c’est votre duplicité, car il en faut pour aboutir à cette conclusion au terme de ce ... on va dire, billet.-
et l’esprit résiste-t-il à la mort de l’Univers ?
Votre âme, dans 13 milliards d’années, elle fera quoi ?-
-
Naoh 13 janvier 2016 19:06@lsga
Faut dire qu’elle est très con la question : car qu’est ce qui prouve que l’Univers sera « mort » dans 13 milliards d’années
-
@Naoh
2 scénarios possible : expansion infini ou big crunch. Dans les deux cas, on parle bien de mort.
Je veux bien croire en la réincarnation (de plus en plus d’études assez scientifiques semblent démontrer que des gamins se souviennent de vie passer). Mais par contre, croire en une vie éternelle ? éternelle ? mwarf. -
je ne me plaignais pas, je rigolais.
Dugué n’a pas trop une âme de censeur. C’est rare qu’il supprime des commentaires sous ses articles. Ou alors il en supprime plein d’un coup dans un coup de sang. -
Naoh 13 janvier 2016 20:09@lsga
Eternel ? warfPas plus con que de penser qu’il y ait des limites à l’infini ou à l’espace, non ?
Et puis en l’occurrence tu parles du big crunch, alors pourquoi ne pas parler de cycle plutôt ?
Celui ci a l’avantage de donner des limites d’extension, de régression et de temps, tout en restant compatible avec un renouvellement incessant. En plus tu as presque la moitié de l’humanité pour qui c’est une intuition multi millénaireParce 13 milliards d’années on peut très bien considérer ça comme très léger, en simple ordre de grandeur quand on sait que la plus grande étoile référencée par exemple fait 2,8 milliards de kms de circonférence...
Ce qui est le plus marrant en tout cas c’est comment on peut trouver des propositions complétement débiles dans ces domaines quand elles apparaissent tout aussi triviales que d’autres du même acabit.
Et puis en plus comme tu donnes foi à la réincarcération, t’es foutu, t’es d’emblée considéré comme un fumeur de moquette par les athées mécanistes et matérialistes. -
@lsga
Dans le domaine où l’esprit survit, le temps n’a plus cours comme dans le cosmos. L’univers ne naît jamais et ne meurt jamais
-
Si je peux me permettre...
En préalable, oui on peut peser l’Univers.
De tout l’Univers, nous n’observons directement que 4%, le reste n’existe pas (dans notre plan). C’est un fait.
Des 96 % qui reste, 24% serait de la matière noire (ou sombre). C’est un fait également car si par définition nous ne pouvons pas interagir avec elle, elle peut le faire, elle par l’intermédiaire de la gravitation, et on peut observer ses effets.
Reste donc 72%. et là çà devient velu mais cela correspond a l’existence de la lumière noire.
Dans les forces dynamiques qui régissent notre Univers, par exemple notre Voie Lactée et les autres galaxies ne peuvent pas exister avec cette forme sauf si on admet que cette lumière noire exerce une force centripète telle qu’elle annule la force centrifuge qui devrait la faire se barrer en sucette.
Pour les 4 et 24%, c’est marrant mais cela correspond aux 7 plans astraux d’un certain nombre de religions/croyances. Le premier étant le nôtre (le plus dense). Je suis convaincu que l’Archange Saint Michel existe et provient d’un autre plan astral.
Ne vous fatiguez pas à me répondre, ce message est le seul sur ce sujet.
Merci à l’auteur je vous ai plussé.
-
De toute évidence, Dugué n’a jamais eu à prendre en charge de grands vieillards à qui la mort prélève chaque trimestre de nouvelles zones de leur cerveau.
Bien que Dugué prétende damer le pion aux neurosciences, jamais il n’a étudié les diverses sortes de démences séniles, ni quelles habiletés vétérinaires le personnel soignant doit développer.
Depuis des années, Dugué prétend damer le pion aux physiciens. Jamais il n’a produit un résultat que l’expérience ait vérifié un jour. Il se contente de promettre que tout ce qui lui résiste disparaîtra un jour très prochain, et qu’à la place sa pataphysique règnera, et lui assurera l’immortalité après sa mort.
Même Agoravox peut mourir. On ne compte plus les sites qui sont morts, de la bêtise de leurs patrons.
-
@JC_Lavau
C’est tout à fait exact, je ne prends pas en charge les « grands vieillards à qui la mort prélève chaque trimestre de nouvelles zones de leur cerveau » et c’est pour cette raison que je ne répond pas à vos remarques, sauf cette fois, exceptionnellement
-
@JC_Lavau,
il semble que le grand savant ait déjà perdu sa capacité à penser, car, oui en effet, cette question que vous soulevez est primordiale dans le contexte présent, et seuls les croyants authentiques ce que manifestement Bernard Dugué n’est pas, peuvent l’éluder.Je crois qu’il vaut mieux le laisser rêver. -
@JC_Lavau,
dans le même ordre d’idées : que devient l’esprit quand le corps est incinéré ?De toute évidence, Bernard Dugué a réinventé l’âme, mais attention : scientifiquement. -
Naoh 14 janvier 2016 10:36@JL
Dans une perspective strictement quantique et pour autant complétement triviale, qu’est qui te fait dire que l’équivalent matière de l’esprit (et j’attribue ici une équivalence juste pour faire « plaisir » aux matérialistes mécanistes) se trouve bien dans le corps au moment de l’incinération ?
-
@Naoh
mais moi je n’affirme rien, je constate : Bernard Dugué a prouvé scientifiquement l’existence de l’âme. C’est bien ça, l’esprit en dehors du corps, non ?’’ ... Note ce qu’il faudrait, qu’il advint de mon corps,Lorsque mon âme et lui, ne seront plus d’accords,Que sur un seul point, La rupture ...’’ -
@Bernard Dugué.
La légende d’une immortalité de l’âme date d’un temps où la mortalité était si élevée dans toutes les tranches d’âge, qu’on n’avait pratiquement jamais le temps de voir s’installer une des démences séniles. On avait surtout à déplorer une mortalité infantile cruelle, et ces deuils étaient plus douloureux qu’on ne le laissait paraître.D’autres baisses spectaculaires de l’intelligence n’attendent pas l’âge d’une démence sénile.
En milieu scolaire, nous constatons des pertes de QI colossales chez certains très jeunes enfants, qui font l’objet d’une maltraitance parentale insoutenable, notamment les enfants durablement incestués. On a beau tenter un signalement judiciaire, la psychologue scolaire préfère rester cachée sous la table, où elle est si tranquille, si confortablement protégée du monde.
Un peu plus tard, des jeunes gens préfèrent se réfugier dans la schizophrénie plutôt que d’affronter toutes les complications de la vie d’un jeune adulte, en âge d’être reproducteur. Avec la régression cérébrale qui en résulte, et qui a été mise en évidence en imagerie TEP.
Puis peut survenir la perte de l’intelligence de l’espèce, qu’aucune intelligence individuelle ne peut remplacer, chez certaines. L’intelligence de l’espèce est essentiellement endocrine et neuro-endocrine. Alors que l’inintelligence relationnelle et familiale est de l’ordre de l’apprentissage précoce, un contage familial qui est rarement conscientisé, rarement amendé.
Parfois dès la quarantaine peut survenir la crise despotique de l’immaturité sénescente : la beauté s’est envolée, la capacité à diriger le monde par son attrait sexuel a disparu... C’est aussi sensiblement à cet âge qu’une paranoïa ouverte peut s’installer. Une partie des mécanismes pathologiques est commune aux deux évolutions.
Celle-là m’a été mise en évidence par, conservons-lui son pseudo, « Saba », femme d’une instabilité extrême :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,530.0.html
http://deonto-famille.info/index.php?topic=77.0Nous avons parmi les inamovibles chefs d’Agoravox plusieurs autres exemples de la crise de despotisme de l’immaturité sénescente. De très nombreux sites sont morts ainsi.
La légende d’une immortalité de l’âme avait aussi une finalité politique : faire gober que de vieux chefs inégalés étaient devenus des dieux, et que les chefs actuels étaient les dépositaires d’un pouvoir divin et sacré, au nom du mort divinisé. Dugué voudrait bien devenir un de ces dieux. Suspense !
-
Naoh 14 janvier 2016 11:15@JC_LavauL
Là dessus, rien à dire en effet, on attend de voir
-
@Bernard Dugué
Tu réponds jamais quand t’as le nez dans ta crotte, c’est tout, ça n’a rien de « grand », ça fait de toi une curiosité dont on rigole, rien de plus. -
Naoh 14 janvier 2016 11:25@Naoh
Oups je répondais à JL, pas à LAVAU, cliniquement imbuvable
-
@JC_Lavau
Intéressant, mais énormément de mécanismes sont à l’oeuvre dans la perte de culture, et les pathologies sociales. La violence sans doute impacte l’avenir d’un enfant, mais notons qu’elle n’est nouvelle, et qu’elle s’est même atténuée. Je viens de lire les souvenirs d’orwell dans un collège anglais, et l’on peut dire que c’est assez ahurissant de perversité. Bon, il écrivait cela en 49 sur des événements datant de 1912, et il se situe comme ayant de la chance par rapport à l’époque de Dickens et des sœurs Bronté. Les enfants le notent ils avec beaucoup de pertinence, ont des qualités de résilience incroyables. Il n’utilise pas ce terme, crée par Cyrulnik, mais c’est tout comme. Orwell est l’exemple même d’un garçon qu’on a tenté de « casser », mais qui s’en est sorti, grâce à ...A quoi au fait, ça je ne peux le dire. Sans doute que la société de l’époque malgré ses aberrations possédaient quelque chose de tangible, une orientation et un sens admis par la majorité des gens.La lecture l’a sans doute sauvé. A cette époque, c’était la seule récréation. Et l’on lisait Kipling Stevenson à dix ans. Elle m’a sauvé moi même quand j’étais enfant, et travaillant plus tard en psy, j’ai tenté souvent, parfois avec un certain succès, de donner cette planche de salut à des jeunes paumés, qui doutaient d’eux.Là aussi les travaux en IRM ont validé l’extraordinaire qualité qu’apporte la lecture à l’efficience de la construction d’un être, et son caractère soignant, rédempteur, en cas de blessure. Une bulle dans laquelle on peut s’enfermer et se reconstruire, par le biais d’une parole qu’on peut absorber à sa mesure. Lire fait travailler une dimension essentielle de humain. « Nous sommes des animaux poétiques, assoiffés de symboliques » dit Michèle petit, anthropologue. Une excellent article paru dans le dernier article du monde, supplément livres, intitulé : Le livre, ce remède souverain. -
@Naoh
Suffit de peser le corps juste avant et juste après la mort pour connaitre le poids de l’âme. -
Naoh 15 janvier 2016 16:09@popov
Les fameux 21 grammes de Mac Dougall !
L’expérience est depuis bien longtemps éventée. Et puis au demeurant quelle incongruité, voir quel scandale que l’âme d’un Dugué, d’un Einstein, d’un popov ou d’un Naoh aient exactement le même poids, c’est tout bonnement impossible
-
@bakerstreet 14 janvier 13:01
Le « bon » livre, ce remède souverain. Cet équivalent du témoin secourable, éclairé.J’apprécie toujours vos propos empreint d’une profonde humanité.@ JC_LaveauJ’ai visité votre site. Quel magnifique travail. J’apprécie aussi vos commentaires d’où transpire une révolte bien compréhensible. -
@Bernard Dugué mercredi 13 janvier 2016
Bonsoir,J’ai compris cela de la façon suivante : mon imprimante communique avec le constructeur et lui fournit toutes sortes d’informations pertinentes pour lui.Quand l’obsolescence programmée l’arrêtera de fonctionner pour moi, son programme fera une synthèse pour le manufacturier qui pourra ainsi prendre des décisions à propos des nouveaux modèles à mettre en marché.À mon décès, une telle synthèse aura lieu en rapport avec mon ADN et l’ADN mitochondrial et la matrice universelle prendra les décisions pour la prochaine combinaison des ADNs.Donc, l’information (l’âme) survie à l’imprimante et à moi.Salutations-
-
@Le Gaïagénaire
-
L’Univers est une intelligence Absolue et je ne doute pas de son existence . En ce sens la question de Dieu ne relève plus de la croyance mais d’un savoir « Les sciences sont des fouilles faites dans Dieu »V. Hugo
Transcendance et immanence sont sans doute une illusion intellectuelle. Ai je une Ame ? Me survit elle ? Je l’ignore est cela m’importe peu vu mon insignifiance , je place mon éternité uniquement en l’Un en Cosmos ou en Dieu appelez le comme vous voulez.-
@Tokani
Admettre qu’on est rien est insupportable pour son ego. Alors mieux vaut en jouer.
-
Si j’ai bien compris les explications vulgarisées de la physique quantique, il existe(rait) une longueur (de Planck) et par conséquent - la vitesse de la lumière dans le vide étant constante qq. soit le référentiel - un temps en dessous desquels il serait impossible de descendre, si tout est relié, une universelle intrication en qq. sorte, alors la mort ne peut être un anéantissement mais autre chose qui se manifeste différemment.
Une allégorie pourrait être la bonne vieille marche à pied : un pas nous sommes vivants et ... vient le pas suivant, chaque pas doit être terminé pour que vienne celui qui suit, et vient le dernier pas ici bas et le pas suivant dans la (dis)continuité du précédent, dans un au delà par delà celui que nous vivons actuellementJamais nous ne pourront refaire un pas identique à celui d’un précédent et chaque pas est bien mort, définitivement mort, seulement certains nous laissent une trace prégnante dans une de nos innombrables mémoires et nous les entraînons avec nous comme des casseroles.Un pas doit mourir pour que naisse le suivant que ce soit dans ce monde ou dans un autre , pourquoi imaginer que la grande mort puisse interrompre le chemin ?Nos mémoires nous aménagerons les décors qui nous attendent après notre dernier pas terrestre.-
@Jean Keim
La longueur de Planck n’a pas de sens physique car l’espace n’est plus un caractère à cette échelle qui du reste n’existe pas. Pas plus que la portée de l’interaction forte ou faible n’a de sens dans l’univers des monades quantiques. L’idée c’est que l’information est à la fois explicitées, par la matière électronique et les neurones mais aussi implicite, dans une mémoire liée à la gravité. Quand l’explicite se défait, l’implicite subsiste. C’est pas évident à comprendre dans le contexte scientifique moderne
-
@Bernard Dugué
La compréhension intellectuelle a une limite qui est celle de notre savoir, la pensée ne peut (re)produire que ce que nos mémoires contiennent, la PQ par ses concepts dépasse ce que notre pensée peut se représenter, la pensée discourt sur des univers à plus de 4 dimension avec des équations à l’appui mais ne peut s’en faire une image ; l’inconnu lui est inaccessible, un évènement qui arrive hors de ses limites (Le savoir) devient une expérience traduite tant bien que mal en pensées - notre savoir est mémoire - et si nous partageons avec d’autres notre expérience la distorsion ira en empirant. -
@Jean Keim
Esprits étriqués s’abstenir : discussion de P. JOVANOVIC sur les travaux du Dr Michael NEWTON, psychiatre, régression sous hypnose.
-
@Vipère
Merci pour le lien, je l’ai écouté en diagonale et il fût un temps où la réincarnation me passionnait.
La réincarnation a donné lieu à tellement d’enquêtes que la nier en bloc serait absurde.Il y a entre autres deux explications - si tant qu’il est besoin d’en avoir - qui sont un peu à la fois contraires et complémentaires :D’une part une théorie matérialiste : à notre mort, la disparition progressive de notre organisme soit par sa désagrégation naturelle (dans le sol ou autrement), soit plus rapide par la crémation, libère les composants atomiques ultimes de notre corps, composants qui gardent la mémoire de leurs nombreuses voire innombrables agrégations passées et qui seront récupérés pour la fabrication d’un nouveau corps incorporant les souvenirs de vies passées, d’après certains partisans de cette théorie, les atomes seraient organisés suivant une échelle de valeur afin qu’ils se retrouvent dans un milieu correspondant à leur évolution.D’autre part une théorie spirituelle : à notre mort, notre essence quitte notre corps et emmène avec elle les souvenirs prégnants de la dernière vie qui viennent s’ajouter à ceux des vies antérieures. Ce lourd bagage que nous traînons comme une casserole serait le karma - bon ou mauvais - notamment des orientaux qui tant qu’il n’est pas dissous nous enchaîne dans la roue des réincarnations.Dans la philosophie bouddhiste originelle et dans d’autres également, ce qui se réincarne n’a pas d’autre réalité que celle que nous lui accordons, un artefact qui serait en fait dans une vie notre ego infiniment variable et volatile.La réincarnation fait l’objet de bien d’autres théories mais globalement la nier en tant que phénomème me paraît incongru.Bonne journée. -
@Jean Keim,
Vous dites : ’’La réincarnation fait l’objet de bien d’autres théories mais globalement la nier en tant que phénomème me paraît incongru.’’Je vous dirai ceci : outre que je connais parfaitement ces théories depuis longtemps, j’ajoute qu’y investir scientifiquement est également incongru.Seule fa loi peut légitimer ces croyances. Mais la foi n’est rien si elle ne rend pas l’homme meilleur. Les matérialistes athées - excusez le possible pléonasme -, n’ont pas de leçon à recevoir en la matière de la part des croyants d’obédiences aussi variées et qui se chamaillent entre eux : seule la morale est universaliste. -
@JL
Quelle mouche vous pique !Je ne donne aucune leçon, je me contente de commenter ce que Vipère m’a adressé.- Définition du dictionnaire du vocable « Phénomène » :
- Fait, événement qui se manifeste à la conscience. Phénomène extérieur, physique, sensible. Phénomène psychologique, affectif. Un phénomène étrange, bizarre est en train de se produire.
Une phénomène est la manifestation de qq. chose qui est perçu par un ou plusieurs sens, l’intellect s’en empare bien entendu en le niant ou en tentant de le comprendre, la réincarnation, les fantômes, les OVNI etc. sont des phénomènes cela ne présume en rien de leur réalité ni de quoi que ce soit d’autres y compris de leur réalité.Je n’ai rien contre les matérialistes athées, c’est somme toute des croyants dans leur domaine comme tant d’autres. -
@Jean Keim,
une mouche trop matinale sans doute. Veuillez m’excuser.C’est le mot phénomènes qui m’a fait tiquer. Pour moi, les exemples que vous avez cités ici ne sont pas des faits : c’est seulement l’interprétation de ce que croient percevoir les individus qui est la réalité.Par exemple, le fait est que des gens disent avoir observé des OVNIs, des gens disent avoir vécu des expériences qu’ils nomment NDE, etc. Connaissez vous l’impression de déjà vu que Jacques Audiberti à appelé dans une de ses pièces, l’effet Glapion ?
’’Certains croyants et mystiques estiment que le déjà-vu correspond à la réminiscence de souvenirs d’une existence antérieure ; il est pour eux la preuve de la métempsycose ou de la réincarnation. Une autre croyance estime qu’il s’agirait d’un souvenir émanant du passé d’une ligne temporelle parallèle à la nôtre. Le lien qui transmet ce souvenir à nous serait une forme de « Reading Steiner », nom issu du visual novel japonais Steins ;Gate. D’autres pensent encore que la sensation de déjà-vu serait le souvenir de rêves prémonitoires.’’Un mot sur les leçons : je ne parlais évidemment pas de vous, mais quand même, je trouve que vous y allez un peu fort quand vous dites que ne pas croire c’est croire. Ces deux positions intellectuelles ne relèvent pas du même ordre. Mais je veux bien qu’on parle de choix, excepté que ça me gène un peu pour les mystiques. -
@JL
Pour un athée Dieu ou les dieux n’existent pas point final et pour certains théistes voire déistes l’affirmation contraire est affirmée avec autant de force, les deux approches ne relèvent pas du même ordre effectivement mais elles sont toutes les deux le résultat d’un parcours.On a vu les tenants d’un bord virer dans l’autre bord.A quoi tient une conviction ... donc finalement il y a bien une croyance à la base tout en sachant très bien que pour un athée scientifique, le choix s’appuie sur un raisonnement apprécié comme réel, objectif, concret, néanmoins il y a des scientifiques et même des très grands qui sont adaptes d’une croyance religieuse.Les deux convictions sont le résultat notamment d’un contexte culturel, religieux et également d’un cheminement personnel.Imaginons qu’un individu soit élevé dans un milieu où il n’est question ni de religion ni de dieu(x) et un jour il est mis en relation avec un missionnaire religieux qui cherchera à le convertir, l’idée lui paraîtra incongrue, l’inverse est vrai également.Tout ce que vous citez comme approches différentes sont donc ce que j’appelle des phénomènes y compris ceux catalogués de neurologiques.Et va pour le choixUne voûte étoilée ou le miracle de la vie peut inciter à faire le choix d’un créateur, les horreurs de la guerre ou la souffrance d’un malade peut nous faire nier l’existence d’un être suprême. -
@Jean Keim
Une voûte étoilée ou le miracle de la vie peut inciter à faire le choix d’un créateur, les horreurs de la guerre ou la souffrance d’un malade peut nous faire nier l’existence d’un être suprême.
Pourquoi associer a priori le choix d’un créateur à des événements ayant une connotation positive, et inversement ? Ne peut-on pas considérer que le miracle de la vie pour un athée, c’est que justement elle avait seulement des chances de naître, et que ces chances se sont réalisées ? -
@Jean Keim. Les vendeurs de dieux existent, et ne tardent guère à être vomitifs.
-
-
@Jean Keim, enabomber,
le débat sur dieu est faussé par le fait que les croyants confondent la question de la création de l’Univers - pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? - avec la question du bon dieu (*).Voilà pourquoi ils ne peuvent pas comprendre qu’être athée c’est seulement ne pas croire au bon dieu, et non pas croire que dieu (*) n’existe pas.Plus précisément, les rationalistes ont cette idée irrationnelle d’un bon dieu, ce concept si versatile qu’il en devient mortifère entre les mains des intégristes et qui pose plus de problèmes qu’il n’en résout.
(*) en italique, puisque quand je fais la différence entre le dieu tel de Spinoza, et le bon dieu des religions le mal nommé puisque le plus souvent c’est un dieu cruel, clivant et vengeur.Ps. Pardon pour le retard, je n’étais pas présent tout ce WE. -
Le p’tit Charles 14 janvier 2016 09:09Après la mort, l’esprit survit.. ?...Il serait plus intéressant d’en avoir de son vivant non.. ?
-
Le p’tit Charles 14 janvier 2016 09:26@Porcu Nustrale...Faut pas vous sentir visé mon bon en retournant la « louche » du mauvais côté.. !
-
@Le p’tit Charles.
Pfff ! Tu lui demandes l’impossible, là !
Oun ! Dos ! Tres !
Y arrive à compter sur mes doigts !
Quatre ! Cinq ! Six !
Non, y arrive plus.... -
Bonjour M Dugué,
Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, or j’ai beau avoir une formation scientifique, j’ai un mal fou à comprendre ce que vous dites, et où vous voulez en venir.
D’autre part, vous avancez un grand nombre de propositions gratuites qui n’engagent que vous, et qui n’ont aucune valeur scientifique ou philosophique. Celle-ci par exemple :
« La vérité ne pourra émerger que de la gnose. »
En vertu de quoi tout devrait-il être démontrable ? Depuis Gödel, on sait très bien que la raison humaine n’a pas et n’aura jamais accès à l’intégralité du réel. D’autre part, vous faites totalement l’impasse sur l’expérience mystique, ce qui est pour le moins étrange lorsqu’on prétend aborder un sujet tel que la vie après la mort."Pour résumer la situation, nous avons le choix entre deux interprétations du réel, la première conforme aux dogmes matérialistes et mécanistes qui conduisent vers une option moniste que l’on retrouve chez beaucoup de biologistes et neuroscientifique. L’option alternative que je propose n’est pas encore conçue mais elle se dessine sous un angle complexe et disons dualiste."
Sans parler du fait que le matérialisme est techniquement mort depuis la synthèse de la théorie quantique, l’hypothèse alternative n’est pas forcément dualiste, loin de là. D’ailleurs, l’immense majorité des traditions spirituelles sont monistes en cela qu’elles affirment que tout est conscience.-
Est-ce une bonne nouvelle que cette révélation d’une existence de l’esprit comme structure naviguant dans un univers intelligible et intemporel ?
c’est sans doute une bonne nouvelle ... car le principe égalitaire sera sans doute respecté dans l’eau-delà .....encore que rien ne dit que des Lobbies ne seront pas à l’oeuvre de l’autre côté de la barrière !!!peut-être que cette nouvelle croyance (ou nouvelle vérité ) presque laïque va balayer les autres formes de superstitions ????mais tout cela vient après cette enquête et la parution de ce livre« le Test » de S Alix qui je dois dire est assez troublant dans les éléments qu ’il expose !!!!-
Bienvenue sur « ésotérisme & conspiration . com »
-
J’imagine l’embouteillage, là-haut dans l’éther, avec tous ces esprits qui rôdent ! Parce qu’il y a ceux des animaux, évidemment, des mammifères du moins !
Enfin, je suis bien convaincue que le mien n’y sera pas, ça fera une petite place !!-
@alinea.
D’ailleurs les morts vivent en orbite géostationnaire. Il leur faut bien ça pour remplir la mission que leur assignait telle québécoise, qui rivalisait avec les autres à qui sera la meilleur donneuse de sein : « Non, ton père n’est pas vraiment mort ! De là haut il continue de te surveiller et te protéger ! ».Evidemment, quand un kabakois a sa descendance dispersée sur trois continents, qu’il doit simultanément surveiller et protéger et sa fille qui est restée au Kabak, et son fils qui est parti en Colombie Britannique, et sa fille qui travaille en Europe, et son fils qui est parti en Australie, ça fait une orbite (géostationnaire ?) un peu compliquée. Et cette protection demeure imparfaite, car tous les quatre mourront eux aussi à leur tour.
-
Contre l’idée saugrenue et mortifère de la vie éternelle après la mort, je reproduis, ici, une fois encore, l’actualité Kényane m’y oblige, un texte d’Épicure :
La mort supprime toutes les sensations, il n’y a rien à craindre de la mort !
Maintenant habitue-toi à la pensée que la mort n’est rien pour nous, puisqu’il n’y a de bien et de mal que dans la sensation et la mort est absence de sensation. Par conséquent, si l’on considère avec justesse que la mort n’est rien pour nous, l’on pourra jouir de sa vie mortelle. On cessera de l’augmenter d’un temps infini et l’on supprimera le regret de n’être pas éternel. Car il ne reste plus rien d’affreux dans la vie quand on a parfaitement compris qu’il n’y a pas d’affres après cette vie. Il faut donc être sot pour dire avoir peur de la mort, non pas parce qu’elle serait un événement pénible, mais parce qu’on tremble en l’attendant. De fait, cette douleur, qui n’existe pas quand on meurt, est crainte lors de cette inutile attente !
Ainsi le mal qui effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous, puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la mort est là nous n’existons pas. Donc la mort n’est rien pour ceux qui sont en vie, puisqu’elle n’a pas d’existence pour eux, et elle n’est rien pour les morts, puisqu’ils n’existent plus. Mais la plupart des gens tantôt fuient la mort comme le pire des maux et tantôt l’appellent comme la fin des maux. Le philosophe ne craint pas l’inexistence, car l’existence n’a rien à voir avec l’inexistence, et puis l’inexistence n’est pas un méfait. EPICURE, Lettre à Ménécé
Suites :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/search?q=La+mort+n%27est+rien+pour+nous
ou sur
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/la-mort-n-est-rien-pour-nous-epicure/
Crab 5 Avril 2015-
Le pari de Pascal m’a toujours semblé absurde, et peu en rapport avec les qualités de l’homme. En gros il nous conseille de croire au cas où, faute de mieux, car ça peut rapporter au grattage. Il met une logique de joueur, de rationalité dans l’irrationnel, et de comptable matois de ses actes. Il est lié encore à l’histoire de son temps, qui faisait que les puissants donnaient à l’église, et achetaient des indulgences, dans l’espoir d’en tirer bénéfice là haut, que cela leur serait décompté de leur vilenie. Pascal se trompe de matière, la foi n’a rien n’a voir avec la table des calculs. Elle ne se prouve pas, elle ne s’achète pas, elle ne se convoque pas, elle est de nature évanescente, liée sans doute plus au ressenti et à l’émotion qu’à une exigence.
L’angoisse nous fait pédaler à coté du vélo. Les anciens, Socrate je crois avait trouvé la parade. A moins que ce soit Platon. La mort n’est pas un problème, vu que quand on est vivant elle ne concerne pas, et quand nous sommes mort, elle ne nous concerne plus. Bien mieux qu’un mot d’auteur. Il nous dit que certaines fenêtres sont impossibles à ouvrir. Nous sommes comme des aveugles tentant d’imaginer un feu d’artifice.Notre psyché est incapable d’imaginer ce qui le dépasse, et ce qui le tétaniserait. Seules les fractales et les arborescences peuvent nous consoler, car nous faisons sans aucun doute parti d’un grand ensemble, et le moi tout comme le temps, et l’espace sont des illusions d’optique. Néanmoins, mieux vaut oublier ça quand vous prenez le volant !-
Naoh 14 janvier 2016 12:59@bakerstreet
Tout ceci est fort juste, mais si la vie nous enseigne, nous enjoint qu’il faille bien tenir le volant, pourquoi cela exclurait de facto la nécessité de chercher où conduit le chemin ou à tout le moins quel est le sens du chemin.
Car franchement réduire l’objet de l’humanité à une variable matérialiste et mécaniste, c’est aussi lui enlever une bonne partie de ce que lui permettre de s’extraire la fange consumériste dans laquelle elle s’enfonce de plus en plus profondément. -
Naoh 14 janvier 2016 13:00@Naoh
oups de ce qui peut lui permettre de s’extraire de la fange
-
@Naoh
les religions n’ont pas le monopole de la spiritualité - la spiritualité c’est la vie de la conscience -
-
@Naoh
mais l’humanité n’a pas d’objet, c’est pourquoi elle est arrivée là ! elle aurait pu prendre un tout autre chemin. Les orientaux donnent, en symbolique, la réincarnation ; celle-ci n’est pas une matérialité mais bien qu’un ensemble se construit de toutes ses composantes ; ce .n’est pas mon esprit ni mes cendres qui resteront, longtemps, en ce bas monde, mais mes gènes, transmis, que j’ai transmis à mon tour. Une chaîne aussi longue que durera notre espèce ; avant que notre espèce pourrisse ce monde magnifique, qui se posait la question ? Personne, alors pourquoi aujourd’hui cette question aurait-elle quelque valeur ?
Le sens du chemin, c’est chacun qui se la donne, en son âme et conscience !! Parce que nous avons besoin de sens comme d’autres ont besoin des thermiques pour planer ! -
Naoh 14 janvier 2016 15:29Je suis tout à fait d’accord, et à tout le moins rien dans ce que j’ai écrit n’indiquait la nécessité de chercher des vérités révélées, des dogmes religieux ou autres à suivre.
-
Naoh 14 janvier 2016 15:44@Alinea
Je suis pas vraiment d’accord, pourquoi dénier toute valeur à la conscience et par delà à l’espèce qui la porte et qui jusqu’à la découverte d’éventuelles d’autres espèces ou entités détentrices des même attributs, est la seule dans l’univers à disposer de cette envie ou nécessité de donner du sens aux choses, à la vie, à l’Univers ?
L’espèce humaine est une plaie pour elle même et pour son environnement, soit, mais ce n’est pas une raison pour ce qu’elle ne soit d’aucune utilité « ontologique » comme aimerait à le définir l’auteur sous lequel nous discourons.
L’immatériel, la pensée ne sont pas forcément des pis aller, des constructions bio-mécaniques uniquement utiles à l’homme dans une perspective de survie.
Dès lors même que l’on considère que l’intelligence est partout, en tant qu’attribut d’information lié à toute particule qu’elle soit simple ou complexe (et c’est bien ce que révèle in fine la physique de l’information), on peut considérer que la conscience, ce relai/émetteur/ordonnateur joue un rôle nécessaire à défaut d’être central.
La vraie problématique à ce niveau là, c’est la gestion de l’être conscient par rapport à lui même (son égo) et par rapport à son environnement (se croire maître de toute chose alors qu’il nous faudrait vivre en harmonie avec) -
@Naoh
Nous avons cru tuer dieu, mais nous avons oublié l’angoisse existentielle qui se cachait derrière.
Pour continuer la métaphore, certains c’est vrai proposent un parcours tracé, avec sens interdits, limitations de vitesse. Et même certains parkings privés...Bientôt même voilà la voiture connectée, sans volant, peut être tenue par un dieu nouveau. Nous sommes dans l’instrumentalisation du religieux, palliant à l’angoisse humaine, qui évolue dans ses représentations, la technologie en étant l’ultime. . Certains préfèrent se jeter par la fenêtre, dés qu’il y a un feu de poubelle dans la rue.Comment se sauver ? Help ! Comme disait les Beatles. "I need someone, not just anybody !Pas n’importe qui s’il vous plait !Le prosélytisme fait des ravages, avec sa bande de dégénérés, récupérant l’angoisse existentielle. Proposez n’importe quelle solution ou théorie, en prenant un ton doux, convaincant, inspiré, en disant que vous êtes l’élu, que vous avez la solution, et les gens rappliqueront. Tout cela est lié avec la stigmatisation de la solitude, de la peur de ne plus être connecté, même de façon totalement virtuelle, se résumant à un tweet faisant fonction de cataplasme mental.... -
Naoh 14 janvier 2016 17:42@bakerstreet
Pour sur Help, c’est une constante, l’angoisse existentielle aussi mais si on va un peu plus loin.. ne serait ce que dans la chanson :
Now I find I’ve changed my mind and I opened up the doors.La curiosité, l’envie d’en savoir plus, l’envie d’évoluer (et de voir évoluer la communauté humaine) autrement que pour simplement accumuler plus de biens c’est quand même pas une tare, si ?
-
@Naoh
Pas du tout, et c’est le sel de la vie : Remplir ses poches, et puis les vider au fur et à mesure de l’âge ou de l’expérience. Le livre de Perec, « la vie mode d’emploi » faisait l’illustration de ce rythme inspiration expiration, accumulation restitution.Les sadus indiens sont parfois des vieillards qui abandonnent toutes leurs possessions terrestres pour vivre de mendicité, faisant expérience de l’instant même.Plus de projet, plus de désir, beaucoup moins d’angoisses. La peur de la perte de la carte grise disparaît.Suivre à la lettre demande de solides suspensions cérébrales, mais aussi vertébrales ! -
@Naoh
Je ne dénie aucune valeur à la conscience ! au contraire, je m’en tiens à la conscience, je m’en tiens au bouddhisme ( la philosophie, pas la religion qui en a été faite) , celui ci nous dit qu’il est vain de se poser des questions qui n’ont pas de réponse ; la création de l’univers, l’éternité des âmes,etc.
La spiritualité ni le mysticisme n’ont besoin de religion, ni de science, qui n’est que la religion moderne ; l’adéquation au monde, son appartenance, sa fusion même relèvent le l’intuition, l’intelligence de cerveau à cerveau, immédiate et sans discours ; tout le reste me paraît billevesées. -
Naoh 14 janvier 2016 18:37@Alinea
j’avoue que sur le coup, je dirai pas mieux que Robert Lavigue
-
Naoh 14 janvier 2016 18:51On navigue d’un extrême à l’autre là
La tendance orientale à vouloir considérer la vie comme un tout indistinct dans lequel se noyer m’apparaît bien souvent comme le pendant tout craché du penchant occidental à se plonger sans limite dans le matérialisme le plus vil.Utiliser sa raison pour se confronter à l’immatériel, à sa, à la conscience et par ricochet mieux appréhender sa condition, cela apparaît comme une voie toujours possible et qui ne présume en rien du but à atteindre.
Et à tout le moins, je me demande bien pourquoi l’homme moderne tient absolument à ce que la quête de sens soit vaine (sauf bien sûr à éviter dogmes et gourous en tous genres, ce qui là est une nécessité sans équivoque) -
@Robert Lavigue
Allez vous expliquer avec le Bouddha !! moi je n’y suis pour rien ; je trouve ça juste et ça me convient, c’est tout !
Mais peut-être que Robert Lavigue se place au dessus du bouddha, dans sa perception et compréhension du monde ? -
@Naoh
On navigue d’un extrème à l’autre..Je n’ai rien contre le fait des bords ; la navigation, le vent, et les courants vous forçant comme la vie à vous adapter.
L’art au delà des discours et des théorèmes laïques ou religieux exprime au mieux cette recherche d’équilibre, non dans l’objet fini en lui-même, mais dans la démarche, l’action, qui illumine la vie, et lui donne un sens, sans d’ailleurs qu’on pense à le convoquer.
Commencer à réfléchir comment l’on tient sur le fil, et c’est alors que vous tombez. -
ah « l’ethernité » ^^
-
@bouffon(s) du roi
Le cannibalisme permettait en mangeant les morts de les rendre immortels - de toutes façon nous savons que nous sommes fait de poussières d’étoiles et chaque fois que l’on mange de la salade d’un peu de poussières de dinosaures -
@bouffon(s) du roi
Les jeux de mots ne font pas recette ^^Tenez :
Mondes intérieurs, Mondes extérieurs (en 4 parties)
https://www.youtube.com/watch?v=P7ISbbkO-Xs -
Il s’appelait Esprit. Esprit Galliano cultivait des légumes, et sa femme dite « Fifine » car elle était large et épaisse, les vendait.
De derrière la haie de bambous, on l’a entendue appeler : « Esprit , Es-tu là ? Si tu es là va me cueillir deux kilos de haricots, j’ai là une cliente qui les veut ! »-
@JC_Lavau
’’ elle était large et épaisse ’’, dites-vous - non, vous n’y êtes pas, c’est le miroir qui n’était pas assez large -
Bonjour Bernard,
Je partage votre enthousiasme sur la question mais je reste sur ma faim. Quelle est votre théorie ? J’ai, en ce qui me concerne longuement réfléchi et conçu une théorie sur la connaissance et j’aimerais en débattre avec vous car il y a des sujets communs.
En simplifiant à l’extrême, mon idée (pour le sujet ici débattu) est que la conscience est une étendue entre un point X (l’Etre lié à l’Absolu) et un point Y (volonté liée au monde réel et relatif). L’Etre étant en quelque sorte le Soleil et les autres sphères de l’intelligence cogitent autour. La sphère la plus éloignée de l’être est la volonté (elle est aveugle à toute idée d’être et à toute transcendance). Des sphères intercalées entre Etre et Volonté subissent l’influence de l’absolu ou du relatif selon leur proximité de l’un ou l’autre pôle. Voilà pour la présentation spatiale. J’y ajoute une dimension temporelle : chaque région de la conscience correspond à un stade d’évolution de l’esprit, la raison étant la dernière née. La croyance étant le second stade de l’esprit (liée à l’imagination) après l’intelligence perceptive (scientifiquement pour vous : le néocortex), tout premier pas de l’intelligence.
Dit comme cela, en extrêmement résumé, cela peut paraître une peu fumeux. Mais si vous voulez en débattre...J’ai 120 pages déjà rédigées d’un livre dont le titre reste à définir. N’étant pas scientifique, votre point de vue m’intéresserait.
-
@Taverne !!!
Sous quel nom étiez vous donc caché , tout ce temps ? -
@JL
Bonjour JL, je vous réponds bien que hors-sujet : j’étais dans une autre sphère. Je compose des textes de chansons pour un artiste très talentueux, Syl-Mer sur Jamendo (je vous ai mis le lien dans mon profil).
Pour revenir au fil : sur la mort et l’après-vie possible. Ma question est : notre « salut » passe-t-il pas l’Etre lié à l’Absolu (le Soleil comme je l’appelle dans mon commentaire ci-dessus) ou par l’être en devenir. Par la Permanence de l’être ou par l’être en tant que Devenir ? Je n’y réponds pas.
Je n’aborde pas ces questions frontalement, persuadé comme La Rochefoucauld que regarder la mort en face ne peut que nous aveugler (« Ni le soleil ni la mort ne peuvent se regarder fixement »). C’est donc pas des questionnement métaphysiques et périphériques que j’émets quelques hypothèses...
-
@Taverne,
merci de la réponse. J’espère pour vous que cette période vous aura été faste.Avez lu l’article de Jean-Michel Lemonnier qui présente l’ouvrage de Jean-Jacques Charbonnier dont le thème est ’l’Après- vie terrestre’ ? -
@JL
Oui. Mais pas le livre.
« Heidegger ; Être présentement en éveil pour la mort et non pas attendre qu’elle survienne. » Il y a plus simple : « philosopher, c’est apprendre à mourir » : c’est bien plus ancien et tout aussi vrai, n’en déplaise aux philosophes allemands avec leurs mots curieux comme « da sein » !
« La mort est devenue terriblement angoissante pour le »Moderne« dit l’auteur. En effet, vu les circonstances, cette tendance ne va pas régresser. Plus que l’idée de la mort, la mort violente, atroce et barbare est de retour. Cela change quelque peut la teneur du débat.
»certains de nos contemporains sont en train de retrouver le sens du sacré" : oui, mais pas toujours les meilleurs...
Je conclus un peu sarcastique avec cette interrogation : les pédagogues ont-ils renoncé à apprendre aux enfants la vie, pour qu’ils en soient à leur expliquer la mort ?
-
@Taverne,
’’’les pédagogues ont-ils renoncé à apprendre aux enfants la vie, pour qu’ils en soient à leur expliquer la mort ?’’Est-ce que vous ne généralisez pas un peu vite ?Apprendre la vie aux enfants, oui, mais comment lutter contre la télévision, ou pire, les réseaux sociaux ? -
@JL
Peut être qu’il vaudrait mieux lâcher un peu les gamins, plutôt que d’en faire soit des objets narcissiques trop investis. La moindre angoisse est tout de suite culpabilisée, décortiquée, confiée à un « spécialiste, enfouie sous un harcèlement »bienveillant", encore pire parfois que les sévices corporelles d’antan, car les enfants sont incapables, sous le mieux disant pédagogique, de
se défendre, de haïr leur persécuteur trop gentil. La maltraitance n’a pas que le visage de la brutalité, il est ai des plus redoutables, ressemblant à l’amour, du moins dans la forme....Ca me rappelle un super bouquin de Joan Carol Oates : Petite soeur mon amour.Les crises, l’angoisse, les épreuves, c’est là qu’on se forge une identité, et aussi une fierté, une résilience. Les enfants ont énormément de capacités à surmonter les crises, bien plus que nous souvent. Bien sûr, il ne s’agit pas de faire l’éloge du traumatisme. Mais à l’inverse il ne faut oublier la parabole de la naissance à l’éveil de Bouddha, ce fils de prince, qui prit conscience du mensonge de sa vie, quand il vit pour la première fois la maladie et la souffrance d’un mendiant, en se sauvant du château paternel.L’amour, oui, bien sûr, c’’est l’engrais indispensable, mais surtout ne pas étouffer les plantes. Les laisser tranquille. Leur laissé des terrains de découverte d’investigation personnel, surtout leurs secrets. On a oublié comment la solitude est formatrice. Certains ont la main verte, et d’autres pas. -
Sarko et Hollandouille survivraient après leur mort ? Pitié. Non, pas ça
-
@troletbuse
Non rassurez vous, ce n’est qu’un conte de Dugué. -
@troletbuse.
Quand Staline mourut... L’épisode est peu connu, car les chancelleries sont discrètes.
Donc, quand Joseph Djougachvili dit Staline, mourut, les héritiers hésitèrent un instant devant l’immensité symbolique du cadavre. Ils ne décidèrent pas tout de suite de le faire reposer à côté de Lénine, dans le Mausolée. Ils tentèrent d’abord de proposer à un état de petite importance, qui devait beaucoup à l’URSS (le vote de l’ONU qui décida sa création en 1948), c’est à dire à Israël, d’accepter la dépouille mortelle de l’illustre géorgien. Un cadeau, en quelque sorte.
David Ben Gourion répondit avec beaucoup d’urbanité et de diplomatie :
« Notre jeune état est très honoré de l’honneur insigne que vous nous proposez, en nous considérant dignes d’accueillir la dépouille mortelle de votre illustre dirigeant, Staline.
Toutefois, il est de mon devoir de vous prévenir que selon certaines rumeurs persistantes, il y aurait des précédents, de personnes enterrées sur notre territoire, qui seraient ressuscitées...
Voilà pourquoi nous estimons que votre proposition devrait, dans l’intérêt de tous, être reconsidérée.
(formule de politesse) »Les chancelleries sont discrètes. Mais il y a eu une fuite, cette fois.
-
@JC_Lavau
Elle est excellente. Je ne la connaissais pas -
@JC_Lavau
Ce pauvre vieux Joe Staline !Vous n’auriez pas un petit lien ? -
Oui Taverne, vous avez tout dit (en quelque sorte).
-
Je suis convaincu que l’esprit contient en germe la possibilité de vie au-delà de la matière. Je dis « vie » et pas « survie », c’est-à-dire une vraie vie (avec libre arbitre et animée). Cependant, la question que je me pose est celle-ci : cette vie après la vie telle que celle que nous connaissons passe-t-elle par l’Etre (en tant qu’Un et lieu de l’Absolu) ou par l’esprit à son stade optimal d’évolution (au-delà de la sphère de la raison...). ? La seconde question étant alors : pourrons-nous atteindre ce stade ultime d’évolution de l’esprit ? A défaut, nous pourrons toujours mettre au point, grâce à la science, une survie artificielle, pas éternelle celle-là. Mais, je l’avoue, cette seconde option m’indiffère car ce qui m’intéresse c’est l’esprit, son évolution, ses progrès.
-
@arthes
La vie est une exception dans l’univers, alors vénérons-la, et commençons par ne plus dire « ici-bas ». Pourquoi « ici-bas » et pas « ici-haut » ? Les vivants joueraient-ils les difficiles, n’en ont-ils jamais assez ? Ils voudraient l’éternité en plus ?
Que l’humanité puisse toute entière jouir d’une bonne vie sur terre, voilà un idéal qui vaut la peine et qui serait accessible. Si seulement...
-
J’ai bien aimé cette théorie :
http://www.amazon.fr/Jai-v%C3%A9cu-quinze-milliards-dann%C3%A9es/dp/222601666X-
Benard Dugué,
si vous intéressiez un tant soi peu à ce qui se passe autour de vous, vous magneriez avant que ce monsieur Charbonnier ne vous devance dans le dépôt du brevet de l’âme !-
Une chose est sûre : Muhammad, honnête brigand désert de son état, était un commerçant parfaitement scrupuleux, car aucun des pillards et guerriers tués à la bataille de Badr ou une des batailles suivantes, n’est revenu se plaindre que les vierges fussent de mauvaise qualité, ou acariâtres, ou que certaines manquaient à l’appel...
Il faut croire que c’est seulement aux U.S.A. et pas en Arabie que « Laurel était mawrié. Hardy aussi était malheuwreux ! »
-
Oups ! Deux mots perdus : « honnête brigand de grand désert de son état »...
-
L’article est aussi vide que le titre est racoleur.
-
@Bernard Dugué
Après la mort, l’esprit survit nous enseigne la nouvelle physiqueLe titre me parait pour le moins présomptueux.Où est-elle cette nouvelle physique, que nous puissions vérifier qu’elle prédit bien ce que vous annoncez ?Et est-ce que cette entité qui survit, et qui ressemble très fort au bon vieux concept d’âme, peut-elle s’échapper d’un trou noir dans votre nouvelle physique ?-
@Bernard Dugué
Je ne dis pas que votre théorie est fausse ; je ne dis pas non plus qu’elle est correcte.Comme elle n’est pa publiée, personne en fait ne peut rien en dire.Vous avez des problèmes de publication ? Les maisons d’éditions ne publie que ce qui risque de se vendre et publier à ses propres frais, c’est coûteux. Sauf sur la toile.Créez donc un site ou vous décrivez en détails votre nouvelle physique. Faites comme pour les « open software », attachez-y une license GNU qui permet à tout le monde de reproduire le texte à condition que le texte de la licence l’accompagne.-
Ce qu’il faudrait c’est un volontaire, qui après sa mort aille explorer la nouvelle physique, puis qui revienne nous expliquer tout ça.
Dugué ? Tu es volontaire ? Toi qui aimes bien enseigner, à ce que tu nous dis. Ce serait quand même une occasion unique, à ne pas dédaigner !-
Naoh 15 janvier 2016 21:05@JC_Lavau
Ben moi, je vais peut être bientôt passer de l’autre côté !
Alors si un jour tu vomis tes tripes après avoir une fois de plus fait étalage de toute ta science infuse et de ta suffisance, cherche pas plus loin, c’est moi qui serai venu te faire un petit coucou gastrique
Et prends pas la mouche, on rigole là (en tout cas c’est comme ça, j’espère, que tu considères tes interventions lumineuses sur AV, sans te prendre autant au sérieux que tu en donnes l’air) -
@Naoh. Science infuse ? Comme c’est bizarre ! Si tu nous chiffrais le temps que tu as consacré à tes études ? On veut tous les détails.
-
Naoh 16 janvier 2016 00:26@JC_Lavau
Oberstuntfurher Lavau, ich bin in Kommandantur ? Nitch jé né dirai nitch, nitch
Lol, ça te fait trop bander d’user d’arguments d’autorité en veux tu en voilà.
Admettons que t’ais en face de toi un bac -15, ça te fait quoi de savoir que tu pourras pas me faire fermer le clapet ?
Et puis t’as l’air d’en redemander en plus, franchement ça m’épate que quelqu’un qui se prend pour un tel cador en soit réduit à venir jouer les vils contradicteurs avec d’autres ectoplasmes dont il ne cesse pourtant de dénoncer l’incurie et la basse engeance.PS : et puis c’est qui ce ON ? Tu connais pas mes états de service ici, t’es bien le seul. En fin de compte t’as même pas la science infuse, quelle misère !
-
@Naoh
En français, quand on dit un village de 2000 âmes, c’est en comptant une âme par personne ?
-
Naoh 16 janvier 2016 08:54@popov
C’est très simple, dénombrez les âmes souches, décomptez les âmes sœurs et estompez le vague à l’âme, vous aurez votre compte !
-
Naoh 16 janvier 2016 20:13@Ausiriss
Absolument d’accord en tous points.
Ce qui fait que quand je le vois, ça me fait comme quand je vois votre avatar, mais avec marqué au centre : à troller en urgence
-
@Ausiriss
Tiens ? Encore un mensonge ! Comme c’est étrange !
Dis-nous : on vit bien dans la contre-vérité permanente ?
Mieux qu’un psychotique ? Ou moins bien qu’un psychotique ? -
Naoh 19 janvier 2016 12:26@Sacrisitie
Ah bon parce que vous êtes éclairée vous en matière de métaphysique ? Je serai ravi d’en savoir plus.
-
Dans un cerveau d’alzheimer qui un temps a su faire de l’esprit, lorsque précisément l’alizée y meurt, elle va où cette part d’esprit qui l’a quitté en mettant les voiles ?
Sur Sirius … rejoindre celles des illuminés d’un certain temple afin d’y attendre le peu qui est resté sur Terre et qui devrait suivre ? Et dire que des esprits immatures, comme aussi des élèves et des étudiants doivent subir et écouter de tels personnages dont les croyances ne peuvent que déteindre sur les enseignements …
Grave !? C’est grave !? C’est très grave ... ! Non ?
-
Bernard,
Je réitère ma proposition de contact et de collaboration. Je ne doute pas de vos recherches. De mon côté, j’ai aussi beaucoup avancé, par d’autres voies, sur la question de la Connaissance. Ma thèse repose sur des lois que j’ai énoncées, simples le plus souvent, et surtout que j’illustre par la pensée des philosophes sur 2500 ans et par les lois naturelles connues.
Si nous pouvions unir nos efforts dans l’intérêt de tous, j’en serais heureux. Qui sait, mes principes vous aideraient-ils peut-être à avancer dans vos propres réflexions. Mon mail secondaire est [email protected]. J’utilise une autre adresse bien entendu pour le courrier quotidien et pour éviter les spams mais si vous me contactez là, je vous répondrai.Je viens de donner un exemple concret de l’application de ma méthode dans mon post précédent (sous un autre article) : la résolution du nombre Pi sans les maths. Sous réserve que je poursuive l’essai au-delà de 48 décimales, point où je me suis arrêté pour faire une pause, un peu par flemme. En effet, rien de dit que ma méthode fonctionne au-delà. Enfin, ce serait curieux...
J’ai d’autres idées à partager avec vous si le coeur vous en dit...Mon but : faire avancée le savoir humain, contre l’ignorance et la violence.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON