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Accueil du site > Actualités > Technologies > La physique théorique : colosse aux pieds d’argile

La physique théorique : colosse aux pieds d’argile

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En physique théorique la position et le temps sont considérés indépendants, par postulat. Mais, en pratique, c'est faux. Ce postulat est pourtant la pierre angulaire, la base structurelle, de toutes les physiques.

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La position et le temps sont évidemment indépendants

Dès le paragraphe 1 du cours de mécanique classique le plus célèbre de l'histoire de l'humanité, de Lev Landau et Evgueni Lifchitz[1], il est expliqué que la position, la vitesse et le temps sont indépendants. Cela est bien compréhensible, car voici le raisonnement : si, avec votre voiture, vous passez Porte d'Orléans, c'est à dire à une position précise, vous pouvez le faire à n'importe quelle heure, et à n'importe quelle vitesse, sauf respect des obligations de sécurité routière, et de la technologie. Ainsi votre position, Porte d'Orléans, n'est pas dépendante de l'heure qu'il est, ni de la vitesse qui vous anime alors. Bien évidemment votre vitesse ne dépend pas non plus de l'heure qu'il est, ni du lieu où vous êtes. La position, la vitesse et le temps sont donc indépendants.

Il n'y a vraiment pas plus compréhensible et trivial que cela. Et c'est d'ailleurs l'ossature de base de toutes les physiques. En effet, la situation est identique en Relativité Générale[2], ainsi qu'en mécanique quantique[3]. Sur ce terrain toutes les physiques se rejoignent. Car il semble impossible de ne pas accepter une telle évidence.

Cette « évidence » est pourtant totalement fausse. En voici les preuves.

 

Non, la position et le temps sont toujours étroitement dépendants

Vous lisez en ce moment cet article, assis sur votre siège, et selon le postulat d'indépendance, de la position et du temps, vous pourriez, à ce même instant, être assis sur le siège d'à côté. Ceci posé, vous aurez remarqué que la phrase précédente est écrite au conditionnel. Mais en science, la mesure expérimentale utilise le présent de l'indicatif, « la mesure est ... », et pas le conditionnel, «  la mesure pourrait être ... », il est donc intéressant de passer la phrase précédente au présent de l'indicatif, au lieu du conditionnel. Cela donne : vous lisez en ce moment cet article, assis sur votre siège, et selon le postulat d'indépendance, de la position et du temps, vous pouvez, à ce même instant, être assis sur le siège d'à côté.

Cette dernière phrase sonne faux, elle ne décrit rien de réel. Bien évidemment vous savez qu'à un instant donné vous ne pouvez occuper deux positions différentes simultanément. Ou vous êtes assis sur votre siège, ou vous êtes assis sur celui d'à côté, il faut choisir, car les deux en même temps, ce n'est pas possible. Certes, vous pourriez, dans vos rêves, mais en réalité, vous ne pouvez pas.

Les quanticiens me diront ici « la mécanique quantique autorise de posséder plusieurs positions simultanément ». Oui, par postulat, i.e. par énoncé indémontrable. Et j'attendrai donc qu'ils me fournissent plutôt la preuve directe qu'un objet peut effectivement posséder deux positions simultanément, avant de les croire. Car comme champions du conditionnel, ils se posent là, sans jamais fournir de preuve directe de leurs croyances. Je rappelle, par exemple, que le Prix Nobel 2013 a été décerné pour la découverte, grâce à des méthodes indirectes, de ce qui est « probablement » le boson de Higgs. Cool, la science au conditionnel.

Revenons plutôt aux choses sérieuses.

Si un satellite, en orbite autour de la Terre, possède une position donnée à un instant donné, il pourrait avoir une autre position en ce même instant … mais pour cela il aurait fallu que son heure de lancement, et son angle de tir, soient différents. On voit par là que le postulat d'indépendance de la position et du temps oublie de prendre en compte l'historique du système. Le système aurait pu avoir une autre position, si les conditions initiales avaient été différentes, mais cet aspect des choses n'est pas évoqué par le postulat. En attendant, le satellite ne se trouve pas à deux positions simultanément, mais à une seule, qui correspond à son histoire, et donc à l'heure qu'il est, une fois entendu ses conditions de lancement.

Je suppose que, même pour une telle trivialité, je vais entendre les hurlements offusqués de « ceux qui savent » et qui me dénient le droit d'écrire de « telles absurdités », tant « je n'ai rien compris », car « tout le monde sait bien », et je risque aussi leurs insultes, qui est leur argument préféré. Alors pour ces retords, ces humains sans capacité de science, ces dogmatiques englués dans leurs illusions conditionnelles, voici la preuve qui tue, sous forme de théorème. Pas un postulat, c'est à dire un énoncé humain indémontrable et invérifiable, mais bien un théorème, c'est à dire un énoncé vérifiable et mesurable expérimentalement.

Théorème : « Toute trajectoire est la succession d'intervalles, généralement compris entre un extremum et un point d'inflexion, dans lesquels la position et le temps sont liés par une bijection.  »

Ouh là là, … bijection … Pardon. Cela veut dire que, dans ces intervalles, à une position correspond un temps, et un seul, et vice versa, à un temps, une position et une seule. La figure 1 l'illustre.

 

 

 

 

 

Figure 1 : Toute trajectoire est la succession d'intervalles, généralement compris entre un extremum et un point d'inflexion, dans lesquels la position q et le temps t sont liés par une bijection, c'est à dire qu'à un temps correspond une position, et une seule, et vice-versa, à une position correspond un temps et un seul.

 

Puisque le mobile se trouve à tout instant sur la trajectoire, il se trouve à tout instant dans un intervalle où la position et le temps sont liés par une bijection. A aucun moment sur la trajectoire on a le droit de considérer que la position et le temps sont indépendants, c'est même tout le contraire, ils dépendent toujours fondamentalement l'un de l'autre.

Voilà.

Maintenant, pour prouver que j'ai tort, il suffit simplement de prouver que le théorème que je propose est faux. Le reste ne sera que blabla de mauvaise foi, irrecevable scientifiquement.

Pendant que les séides du modèle standard auront les cheveux qui se dresseront sur la tête, les scientifiques se demanderont, pour leur part, ce que le théorème précédent change pour la physique. Je ne le décrirai pas ici en détail, me contentant d'évoquer le plus fondamental.

 

A quoi ça sert ?

En physique on fait le pari, le postulat, que toutes les propriétés physiques d'un système peuvent être décrites par une fonction mathématique, la fonction de Lagrange, ou lagrangien. La situation est différente pour un artiste ou un religieux, mais pour le physicien, c'est son point de départ. A ce stade du raisonnement on ne sait rien sur le lagrangien, cette fameuse formule, donnant toutes les propriétés physiques d'un système, reste totalement inconnue. Mais on peut cependant être certain d'une chose à son propos : tant que la position r, la vitesse v et le temps t sont indépendants, il est nécessaire que la fonction de Lagrange, notée L, dépende de ces trois variables. On écrit :

L = L(r,v,t)

Aussi simple que cette expression puisse apparaître au premier abord, sa manipulation s'avère très complexe, à cause des trois paramètres indépendants. En revanche, le théorème précédent simplifie grandement cette écriture du lagrangien. On montre en effet, de façon triviale, que le lagrangien peut alors s'écrire sous différentes formes mathématiques, toutes dépendantes d'une seule variable :

L = L(r,v,t) = A(t) = B(r) = C(v)

Si alors on cherche, par exemple, l'évolution des propriétés physiques par rapport au temps, elle sera donnée simplement par la dérivée de L par rapport au temps. Or cette dérivée est une formulation complexe lorsqu'on utilise L, elle fait apparaître des « dérivées partielles ». En revanche elle devient très simple en utilisant A, B ou C, et seules des « dérivées totales » apparaîtront, bien plus simples à manipuler, et surtout à intégrer, que les dérivées partielles.

C'est cette simplification mathématique drastique qu'apporte le théorème précédent. En utilisant la mécanique lagrangienne il devient même possible de trouver des solutions analytiques au lagrangien, c'est à dire des équations décrivant B et C issues uniquement des mathématiques, mais n'utilisant aucun postulat. Rappelons en effet que le lagrangien classique :

L = m v² / 2 – U(r)

est postulé, pas démontré. Certes ce lagrangien fonctionne bien pour toute une série de problèmes, mais c'est un postulat, dont nul ne peut scientifiquement prouver la véracité absolue.

Je ne vais pas aller plus avant dans le détail mathématique, me contentant de dire que les lagrangiens B et C, obtenus analytiquement, et non plus postulés, ont une forme bien connue en thermodynamique, et plus précisément ils s'assimilent à l'énergie libre. Ils permettent aussi de prévoir les lois de Kepler et de Newton. Ils sont d'une efficacité redoutable.

 

Alors, on bouge ?

Jusqu'à preuve du contraire, le théorème proposé ici est vrai. Ce n'est pas un postulat, ni une hypothèse, ni une théorie, c'est un théorème. Il s'oppose cependant au postulat de base de toutes les physiques, celui de l'indépendance de la position et du temps.

Partant d'une base démontrée comme fausse, la physique actuelle peut-elle alors prétendre détenir la vérité ? Il ne serait pas raisonnable de le penser. Doit-on la rejeter totalement ? Il ne serait pas plus raisonnable de le penser.

Les lois de la physique sont avant tout empiriques, c'est à dire vérifiées expérimentalement, celles de Kepler, celles de Maxwell, celles de Newton, et toutes les autres. Vient ensuite la physique théorique qui tente de lier ces lois entre elles dans un corpus mathématique adéquat. C'est cette théorie qu'il faut revoir, pas les lois qui s'imposent à nous. C'est l'interprétation théorique de ces lois qu'il nous faut profondément modifier. Et il n'est pas question ici du seul modèle standard, ou de la mécanique quantique, c'est carrément toute la mécanique classique qu'il est nécessaire de revisiter.

Mais voilà, existe-t-il encore, sur cette planète, un physicien théoricien assez fou pour admettre la vérité expérimentale, au lieu de fantasmer sur des postulats indémontrables, sur ces matières sombres et noires, toute étranges et indétectables ? Ne sont-ils pas trop perdus dans leurs limbes à cordes, à boucles, à branes, à multivers et autres bosons ? Sont-ils encore capable de se remettre en cause ?

J'en doute.

 

[1] L. Landau & E. Lifchitz, Mécanique, Ed. Mir, Moscou 1966

[2] L. Landau & E. Lifchitz, Théorie du champ, Ed. Mir, Moscou 1966

[3] L. Landau & E. Lifchitz, Mécanique Quantique, Ed. Mir, Moscou 1967


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35 réactions à cet article    


  • Julien Julien 6 septembre 2014 13:25

    Bravo pour votre démarche de remise en question des fondamentaux, qui à mon avis est nécessaire à tout apprentissage, si l’on veut que ce ne soit pas simplement du bachotage.

    Cependant, le fait que le lagrangien ne dépend que de t est très clair dans la littérature, par exemple dans le tome de mécanique de Landau&Lifchitz que vous citez : prenez l’équation (2.2) : q est une fonction de t, dq/dt « q point » aussi, donc évidemment L(q,q point, t) est aussi une fonction de t. En physique on ne change généralement pas le nom de la fonction :

    L(q,q point, t) = L(t)

    en maths, on écrirait plutôt :

    L(q, q point, t) = f(t)

    Donc ce que vous écrivez est juste, mais rien de révolutionnaire. Evidemment quand on résout une équation différentielle ordinaire en mécanique, les solutions sont des fonctions explicites du temps. Maintenant, que ce ne soit pas ce qui est dit en physique quantique, c’est un autre problème.


    • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 17:47

      Je ne fais pas la même lecture que vous de ce cours de mécanique. Comme il est expliqué, au paragraphe 1 de cet ouvrage, la connaissance simultanée de q et dot q est nécessaire, car ces deux paramètres sont indépendants à tout instant. Le paramètre q étant mesurable à tout instant on peut toujours tracer une trajectoire q=f(t). Cependant, elle n’est pas une bijection car elle ne vérifie pas forcément t=f-1(q).


    • christophe nicolas christophe nicolas 6 septembre 2014 14:04

      C’est fichtrement bien écrit mais la bijection n’implique pas que votre fonction soit dérivable et continue comme sur la figure présentée sinon vous revenez à la physique classique et je pense que la physique atomique et nucléaire vont poser des soucis. Ceci dit, vous n’avez pas dit qu’elle devait être continue.


      Sans parler du fait que la mesure brouille le résultat et que cela oblige à parler de probabilités mais sans remettre en cause le déterminisme, il faut bien des fonctions non continue s pour expliquer la non localité de la fonction d’onde et l’expérience EPR.

      Si on parle de fonction non dérivables et non continue, alors on part dans « limbes » pour les dérivées partielles....

      Le fait d’admettre des fonctions non continues mais en gardant la conservation de l’énergie oblige à postuler « toutes choses sont liées et recréées instantanément » dans un principe de moindre action pour qu’il n’y ait qu’une solution... il n’y a pas d’autres solutions....

      J’ouvre un livre d métaphysique de Mgr Régis Jolivet et là je m’aperçois rapidement que les caractéristiques de la fonction d’onde de l’univers correspondent aux attributs de Dieu, Unicité, Éternité, Immuabilité.... Remarquez que Régis Jolivet n’est pas un scientifique et cela date de 1937...

      Du coup, le plus simple est de postuler Dieu. Ici on ne parle pas de révélation mais de critique de la connaissance mais comme tout est corrélé par les observations, un bon scientifique ne peut être que Chrétien, sinon il faut le noter entre 0 et 10, 10 points de pénalité, 5 s’il est juif ou musulman, 7 s’il est bouddhiste. Et 2% de baisse de salaire par point de pénalité. Je n’enlève rien pour les fautes d’orthographe parce que je ne suis pas masochiste, ça, c’est mon ex femme, ni sadique, ça, c’est mon ex employeur.

      Je ne sais pas si je ne suis pas un peu choquant des fois, parce que pas mal de gars du CNRS ont en dessous de la moyenne avec mon barème, il y a même des franc-maçons... la honte, là c’est 15 points de pénalités et une baisse de salaire de 30% et je suis sympa parce qu’il faut rajouter prévarication, mobbing, harcèlement, secte, etc...

      Je crois qu’il faut se résoudre à être modeste car je ne me sens pas le courage de faire une théorie sur les dérivées partielles des fonctions non continues...je laisse ça aux cadors. D’ailleurs c’est à cause des fonctions non continues qu’ils ont trouvé le boson de Higgs, parce qu’évidemment ça n’existe pas mais les brisures de trajectoires font aller moins vite que la vitesse de la lumière donc donnent de la masse, etc... etc... mais j’ai déjà expliqué cela. 

      Ce n’est pas grave, il suffit de reconvertir les gens et les budgets vers le magnétisme, il y a de très beaux développements vers la fusion froide, l’antigravité et plein d’autres choses mais bon, même si la fin de seconde guerre s’achève le 8 mai 45, le rationnement du pain décidé le 24 avril 47 entraîne les grèves et le système des tickets de rationnement prend fin le 1er décembre 49, c’est la vie... pour l’instant c’est la Hollandie...

      Bon je vous laisse, j’ai des trucs à faire en métallurgie.

      • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 17:51

        Non, cela s’applique même aux fonctions non continues, qui seront elles aussi décomposables en une succession d’intervalles bijectifs, par exemple entre deux discontinuités ou un point d’inflexion et une discontinuité, ou un extremum et une discontinuité.


      • christophe nicolas christophe nicolas 6 septembre 2014 20:38

        Oui, je te comprends bien, mais peux tu me faire une théorie ? Tu dis des critères minimum et tu indiques une direction avec des critères maximum, moi je te dis de voir du coté de la révélation, sinon tu vas épuiser les rameurs comme un esclavagiste.... C’est à toi de trouver la réponse et c’est à toi de la présenter sans enfumer mais tu ne la trouveras pas...


        Tu seras face à ton orgueil, et ne compte pas sur moi, tes accusations, tu te les mets là où je pense, assume ton orgueil... Ne viens pas chialer ou provoquer, expose tes solutions au peuple mais je ne serai pas loin... Tu me sors ce ridicule boson de Higgs, tu sauras ce qu’il en coûte de prendre les gens pour des crétins, je te mettrais plus bas que terre...



      • Dwaabala Dwaabala 6 septembre 2014 18:27

        J’en était resté à l’idée que les faits élémentaires et paradoxaux de la mécanique quantique sont mis en évidence expérimentalement.


        • Dwaabala Dwaabala 6 septembre 2014 18:29

          J’en étais


        • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 18:45

          Certaines expériences montrent un comportement inattendu dans le monde classique, l’expérience des fentes de Young avec des électrons, par exemple. Pour expliquer ces expériences la mécanique quantique propose pas moins de 6 postulats, qui sont tous des énoncés humains non démontrables.
          Si ..., et si ..., et si ..., et si ..., et si ..., et si ..., alors vous allez voir ce que vous allez voir !
          Ainsi démarre la mécanique quantique.


        • christophe nicolas christophe nicolas 6 septembre 2014 21:29
          à Dwaabala, Les communistes désespèrent de Dieu car ils voient le monde sans comprendre que l’âme est éternelle...

          Je leur dis : la seule personne que Dieu le Père exècute à cause du dégout de son fils, Jésus, est Doras, le Synhédriste riche, cruel et menteur car craignant Jésus ,il lui ment pour se faire bien voir de lui alors qu’il martyrise Jonas, le berger présent lors de la nativité.

          Jésus n’est pas dupe et recueillera Margziam qui deviendra le fils adoptif de Pierre... Regardez du coté d’André car Jésus lui a dit « Si je te dis que si différent au début, tu seras parfaitement égal à Pierre à la fin de ta mission, le croiras-tu ? » . Défendez le !

          Ce n’est pas la « praxis », mais ça y ressemble...

          Les foudres du ciel s’abattent sur Doras, et la malédiction sur les les terres de Doras... 

          Seul Margziam ne manifeste pas d’étonnement et rit de plein cœur à la distribution des pains et des poissons...

        • Enabomber Enabomber 6 septembre 2014 19:08

          Echaudé par les élucubrations d’un pseudoscientifique sur le mouvement perpétuel, je ne perdrai pas mon temps à la lecture de cet article.


          • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 19:49

            Voilà pour les insultes dont j’ai parlé dans mon article. Merci pour la parfaite démonstration.


          • Enabomber Enabomber 6 septembre 2014 22:12

            Yapadkoi c’était gratuit mais justifié, crétin.


          • Enabomber Enabomber 6 septembre 2014 22:18

            Tu nous a cassé les couilles avec ton incompréhension des principes fondamentaux de la physique, et maintenant tu reviens à la charge. Tu as peut-être raison cette fois, mais ton discours borné de la fois précédente t’a totalement disqualifié. C’en est trop pour qu’une personne sensée accepte de t’entendre encore, espèce de demeuré.


          • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 22:24

            Quelle élégance, c’est délicieux !
            Quel grand homme tu dois être, caché derrière ton pseudo. Rarement science n’aura été élevée à si haut point.


          • Tzecoatl Claude Simon 7 septembre 2014 13:23

            Un exemple de mouvement perpétuel, basé sur l’interaction d’échange (http://fr.wikipedia.org/wiki/Interaction_d%27%C3%A9change) :
            https://www.youtube.com/watch?v=uxkMwNFEm9o#t=179





            • HClAtom HClAtom 6 septembre 2014 19:50

              Heu ... Quid ?


            • quid damned quid damned 7 septembre 2014 00:33

              HClAtom, félicitations pour votre démarche.
              Je n’ai pas la capacité de juger la valeur scientifique de votre théorème, donc d’émettre un avis sur sa validité, en revanche je suis tout à fait d’accord avec ce passage :
              « ... le Prix Nobel 2013 a été décerné pour la découverte, grâce à des méthodes indirectes, de ce qui est « probablement » le boson de Higgs. Cool, la science au conditionnel. »
              Il devient de plus en plus évident que les moyens et les crédits scientifiques sont accaparés par une communauté scientifique qui semble hermétique et figée.
              Votre travail a également le mérite d’avoir suscité un débat auquel se sont prêté de commentateurs semble-t-il avertis.
              Bonne continuation.


              • HClAtom HClAtom 7 septembre 2014 08:41

                Merci à vous.

                Oui, effectivement, la physique théorique actuelle est devenue la cour des miracles. La physique classique a toujours refusé de prendre en compte le non mesurable directement. En revanche la mécanique quantique a fait sauter ce verrou et admet, quant à elle, qu’il puisse exister, à la base de la structure du monde, des inobservables, et non mesurables. C’est donc la porte ouverte à tous les abus : matière noire, énergie sombre, théories des cordes, des multivers, neutrinos, bosons, etc.

                En réalité ce sont les mathématiciens qui ont pris le pas sur les physiciens. Et les matheux prétendent que toutes les solutions mathématiques doivent avoir une traduction en physique, bref, que tout ce qui leur passe par la tête est forcément une réalité physique. Charge aux physiciens expérimentateurs de se débrouiller ensuite pour prouver que le matheux a raison.

                Un exemple est particulièrement dramatique : celui de la matière visible qui ne représenterait plus que 5% de l’univers, matière noire et énergie sombre représentant les 95% restant. Par suite, si on veut étudier le fonctionnement de l’univers, il vaut mieux s’intéresser à l’essentiel, les 95%, plutôt qu’au détail, les 5%. La matière réelle et visible est donc devenue un détail négligeable face à l’essentiel, auquel il faut consacrer toutes nos forces. Ainsi tous les théoriciens, au lieu de s’intéresser à notre univers, étudient des inobservables, indétectables, invérifiables. Et nous on paye leurs salaires et leurs laboratoires. 5 milliards d’euros tout de même pour mesurer indirectement un probable boson ... Ca fait cher pour une poudre de perlimpinpin.


                • marauder 7 septembre 2014 12:28

                  Et la physique débilitique aussi a de bon jour devant elle.

                  On sait bien que le scientard moyen a un soucis avec sa soit-disant rationnalitée, elle meme baignée dans le courant « des lumières ».

                  Pour autant, le « camp d’en face » n’est pas pret de construire quoi que ce soit de pertinent.

                  A moins que Ô notre sauveur messire christophe nicolas, envoyé de dieu lui meme daigne nous éclairer ?

                  Bon, sur ce, dehors, il fait beau et y’a choses réelles a faire ;)


                  • vesjem vesjem 7 septembre 2014 20:57

                    « Landau & E. Lifchitz, Mécanique, Ed. Mir, Moscou 1966 »

                    si ces scientifiques sont russes , toutes leurs théories sont probablement fausses .....lol


                    • HClAtom HClAtom 8 septembre 2014 11:03

                      C’est bizarre, à voir le nombre de réactions, l’indépendance de la position et du temps ne semble pas passionner, en tout cas beaucoup moins que le mouvement perpétuel, ou la remise en cause d’Einstein. C’est pourtant beaucoup plus fondamental car cela sape toutes les physiques à leur base.

                      Heureusement que les non spécialistes semblent un peu intéressés, mais aucun son, aucune image, de ceux qui connaissent la physique. Sans doute sont-ils plus occupés à fantasmer sur la matière noire qu’à travailler sur les vrais fondamentaux. Ou peut-être ne connaissent-ils déjà plus ces derniers, sevrés qu’ils sont aux spéculations conditionnelles de la mécanique quantique. Auraient-ils perdu par là même tout sens scientifique de base ?


                      • bourrico6 8 septembre 2014 11:07

                        Boarf, comme déjà dit, après le coup du mvt perpétuel, ça calme les envies.

                        Puis vu le ton agressif, méprisant et arrogant de ton post, je pense que tu peux attendre longtemps.
                        Ce n’est pas en insultant les gens que tu vas les faire venir, par contre c’est comme ça que tu vas passer pour un gros con, ça oui.

                        Par contre ce qui est étonnant, c’est que même les incultes complotistes ne sont pas au rendre vous, ils n’ont rien du comprendre... moi non plus ceci dit.


                      • HClAtom HClAtom 8 septembre 2014 11:22

                        Oui, c’est bien ce que je dis.

                        Si tu dis connaître la physique, alors c’est désespérant car visiblement tu n’en connais pas les bases : comme tu le dis « ils n’ont rien du comprendre... moi non plus ceci dit ».

                        Et puis toujours la bave de l’insulte au coin des lèvres, seul « argument » en ta possession. Face à un nouveau théorème, point de physique, de l’insulte uniquement. Peut-être as tu tellement perdu pied que tu imagines que ces « arguments » sont recevables pour les lecteurs, et même que ta bave te grandit. Mais après tout, si tu crois à la matière noire et au boson, ton comportement est finalement « normal », tu as effectivement perdu tout sens scientifique.


                      • bourrico6 8 septembre 2014 12:31

                        blablablabla.

                        Tu prends les gens pour des cons, ils te le rendent bien, et moi aussi.

                        Au plaisir.


                      • HClAtom HClAtom 11 septembre 2014 10:13

                        Formidable conclusion scientifique. Nous te lisons, pleins d’admiration pour ton grand savoir et ta lucidité.


                      • hello 8 septembre 2014 11:43

                        Bonjour,

                        Je ne comprend vraiment pas ce qu’il y a de « nouveau » à dire que le temps et l’espace son liés. Ce qui les lie est évidemment l’interaction ou la situation particulière d’un objet, par exemple, la gravité + un position et une vitesse initiale d’un objet détermine entièrement sa trajectoire. Et la trajectoire est justement le lien entre temps et espace. Tout le but de la physique est justement de trouver ce lien, ou ces trajectoires, dans telle ou telle situation.

                        Je pense que vous avez mal interpréter la phrase « le temps et l’espace sont indépendant », ça ne veut évidement pas dire que tout peut se trouver n’importe où à n’importe quel moment.. Un peu comme quand on dit que l’espace est isotrope, alors que visiblement il ne l’est pas. Ce que l’on veut dire c’est que tourner l’ENSEMBLE des objets de l’univers ne changerait rien.


                        • bourrico6 9 septembre 2014 10:01

                          Oh vous savez ce n’est pas le premier révolutionnaire en carton sur AV.
                          Ils sont plusieurs à venir ici pour tenter révolutionner les sciences.... en fait, le plus souvent, il ne s’agit que d’un crachat, comme ici, quand on lit ça :
                          C’est pourtant beaucoup plus fondamental car cela sape toutes les physiques à leur base.
                          C’est poilant quand on sait que le PC d’ou il poste et le réseau par lequel il passe sont des produits de la physique, une physique qui ne marche pas donc.
                          On retrouve aussi cette tare qui consiste à mélanger le coté humain (entreprise, recherche de financements, débouchés, rentabilité, etc.), avec leur sujet d’étude, c’est à dire la physique dans son ensemble, la faillite de l’entreprise humaine entrainant de facto cette de tout l’édifice scientifique..... quelle connerie.
                          Je passe les reproches sur les maths, l’auteur doit s’imaginer que le cerveau humain, largué et bernable facilement, est plus à même de faire avancer l’édifice théorique que les maths... le pauvre. smiley


                        • bourrico6 9 septembre 2014 10:02

                          En tout cas, il n’est pas reviendu, je pense qu’il a compris.


                        • HClAtom HClAtom 11 septembre 2014 10:20

                          Quelle démonstration scientifique extraordinaire !
                          Et ben, si c’est cela que vous appelez faire de la « science », on n’est pas arrivés ...
                          Rien d’autre que l’insulte. Pas la moindre critique du théorème proposé, seulement de l’insulte.
                          Forcément, puisque ce théorème n’est pas critiquable, car expérimentalement évident, alors il faut utiliser des moyens honteux pour faire croire que l’auteur est fou. Mais pourquoi donc faut-il absolument que l’auteur soit fou ? Surtout s’il propose un théorème exact ?
                          Jalousie, dogmatisme, ignorance ... ?


                        • HClAtom HClAtom 11 septembre 2014 10:22

                          Ah oui, j’ai bien compris que vous ne faites aucune science, vous ne pratiquez que l’insulte.
                          Un comportement scientifique serait de critiquer le théorème proposé, mais pour ça, on peut attendre.


                        • HClAtom HClAtom 11 septembre 2014 10:24

                          @hello
                          J’explique au début de mon article pourquoi la physique actuelle considère que le temps et la position sont indépendants, avec référence au cours de L. Landau.
                          Si pour vous cette dépendance va de soi, et bien le théorème que je propose vous donne raison.


                          • Aurélien 14 septembre 2014 21:50

                            Article tout simplement scandaleux qui veut renvoyer la physique un siècle en arrière et qui pinaille avec du rigorisme mathématique sur des questions de vocabulaire...


                            OK, si en lançant une balle on connaît sa vitesse et l’angle de l’impulsion, on peut calculer sa trajectoire à tout instant postérieur. Et ? ça n’empêche pas qu’on peut lancer cette balle à tout endroit de l’espace, à n’importe quelle vitesse inférieure à celle de la lumière et à n’importe quel moment donné, donc ces paramètres sont indépendants. Vouloir casser la physique moderne juste à cause de différences de formulation est du même niveau que s’opposer à la théorie de l’évolution car « ce n’est qu’une théorie ». 
                            De plus le monde quantique n’est pas déterministe, par exemple on ne peut prédire le moment où un noyau se désintègrera en dépit des efforts des physiciens depuis un siècle. Mais il est plus facile de dire qu’il faut casser tout ce qui existe et de repartir sur d’autres bases que de proposer soi-même un modèle cohérent.

                            • JC_Lavau JC_Lavau 9 février 2015 11:23

                              Dommage que HCl.etc. n’écrive que des bêtises, constamment des bêtises.
                              On se demande comment le réhabiliter, et je crains que cela soit impossible, car le principal obstacle est lui-même, son narcissisme en pleine hybris.


                              • HClAtom HClAtom 1er août 2015 19:38

                                Et toujours l’insulte, comme je le décris dans mon article, mais aucune critique scientifique du théorème que je propose. Un simple théorème de géométrie, pas une hypothèse, pas une théorie, pas un postulat, mais simplement un théorème.

                                Mais cela semble être trop pour votre capacité cérébrale, alors le dénigrement et l’insulte pour toute démonstration scientifique, cela vous suffit.

                                C’est pitoyable.

                                J’aimerais vous dire de vous ressaisir, mais cela vous est sûrement aussi impossible qu’à une huître de faire des mots croisés.

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