Pour combattre le cancer, la solution c’est vous… avec ou sans moi !
Il y a quelque 50 ans, le président Nixon signait le National Cancer Act instituant le financement de la recherche sur le cancer. Quelque 1.4 milliard de dollars furent alloués au plan cancer en 1971. D’autres pays se sont lancés dans la lutte contre cette terrible maladie et ce sont chaque année des dizaines de milliards de dollars qui sont dépensés par les instituts de recherche publics et les laboratoires privés. Le cancer n’a pas reculé ces dernières décennies malgré quelques résultats significatifs restreints à quelques types particuliers de tumeurs. Globalement, le pronostic du cancer se scinde en une moitié orientée vers la rémission plus ou moins longue, et une autre moitié orientée vers une issue fatale plus ou moins rapide. Dans le meilleur des cas, des rémissions à très longue durée sont considérées comme des guérisons. D’ailleurs, la vie n’est-elle pas une rémission à très longue durée, entre la naissance et la mort ?
La science officielle, mécaniste, matérialiste, ne parvient pas à réaliser des avancées remarquables pour soigner ou guérir le cancer. L’immunothérapie produit quelques résultats spectaculaires et d’autre désastreux. La lutte contre cancer est en l’état actuel des savoirs une impasse mais qui recèle son cortège d’espérance tant que les gens continueront à croire à la science mécaniste. Ils n’ont pas trop le choix car en face, trop de charlatans sont prêts à vendre des solutions inefficaces proposées car elles sont à la mode et présentent un volet magique et ésotérique. Le cancer est écartelé entre un cadre thérapeutique rigoureux, exact et encadré dont le risque est l’impasse et un ensemble de pratique hors cadre dont le risque est l’inefficacité et l’impuissance face au développement de la maladie.
Le problème de la science, c’est sa normalisation institutionnelle qui en fait un système social de Luhmann ; autrement dit une industrie ayant ses pratiques, ses techniques, ses normes, ses codes binaires, ses calculs, ses systèmes d’évaluation. Le scientifique est alors un fonctionnaire. Mais pas au sens administratif. Fonctionnaire signifie être employé pour réaliser une fonction. Et comme la « fonction médicale cancérologique » est encadrée, le scientifique ne peut pas sortir du cadre, pas plus qu’une cellule hépatique ne pourra exercer la filtration comme une cellule rénale, ou qu’une cellule musculaire ne pourra produire une pensée, ou alors un neurone produire une force mécanique. Pour le dire autrement, le scientifique cherche la compréhension et la thérapie du cancer sous le lampadaire parce que c’est là que c’est éclairé. Résultat des courses, la moitié des patients traités son en vie après cinq ans selon les chiffres donnés par Infocancer, organisme indépendant créé par des universitaires. En traduisant différemment, la moitié des patients décèdent au bout de cinq ans. Au bout de dix ans, les résultats dépendent du type de cancer. Moins de 10% de survie pour le foie, le pancréas, près de 80 % pour le sein chez la femme, ou le mélanome de la peau..
L’Invs vient de publier un rapport de 370 pages sur le cancer. Il confirme la situation en demi-teinte. L’incidence du cancer a sensiblement augmenté entre 1990 et 2015 sans que l’on puisse savoir quel est biais causé par une augmentation du dépistage avec une précocité accrue (H : 124 000 à 203 000, F : 92 000 à 169 000). En revanche, le nombre de décès ne varie pas énormément. Entre 1990 et 2015, on passe de 84 000 à 91 000 chez les hommes ; et de 54 000 à 68 000 chez les femmes. Pour ce qui est du traitement, aucune amélioration significative n’a été constatée depuis des décennies sauf pour quelques cas spectaculaire, le reste des progrès étant dû aux affinages dans les traitements conventionnels. Aucune disruption permettant de signaler une innovation majeure dans ce domaine. Et rien ne permettant d’en prévoir une pour les décennies à venir à moins d’avoir une confiance aveugle dans l’immunothérapie.
Peut-on imaginer une voie alternative mais restant dans le domaine de la science ? Oui si l’on note que la recherche actuelle se fait dans un cadre mécaniste et réductionniste, autrement dit dans un schéma où un agent anticancéreux produit un effet sur une cible ou alors active un mécanisme naturel comme en immunothérapie. C’est la méthode du garagiste. Entrer dans le moteur, regarder les pièces et changer celle qui ne fonctionne pas ou alors nettoyer ce qui est encrassé. Il existe une autre science qui elle, n’étudie pas les parties mais le champ, autrement dit une configuration globale, comme peut l’être un champ électrique ou magnétique. C’est sans doute la seule piste alternative sérieuse. Est-on certain d’avoir bien étudié et pensé l’effet des champs sur l’organisme ?
Les études sur les effets biologiques des champs physiques sont monnaie courante et portent essentiellement sur la toxicité des champs électriques, par exemple lignes à haute tension, ou électromagnétique, par exemple relais de téléphonie mobile ou smartphone collés à l’oreille. De rares investigations sur les effets curatifs des champs ont été menées. Ces recherches étaient en vogue dans les années 1920 à 40, au temps de Lakhowski qui s’intéressa au lien entre vie et radiation. Quelques décennies plus tard, H. Fröhlich, ancien élève de Sommerfeld, réalisa d’important travaux sur la cohérence dans les systèmes biologiques liée aux effets de résonances et théorisés dans un cadre associant les champs et la physique quantique.
Personne ne doute que la vie repose sur les propriétés physiques de la nature. En revanche, l’étude de l’interaction champ et systèmes vivants n’a pas fourni de résultat convaincant. Une seule recherche mobilisa en son temps la communauté médicale, c’est la fameuse machine de Prioré dont les résultats sur les tumeurs animales ou humaines furent controversés et fortement disputés par deux camps, les croyants et les sceptiques. Depuis la mort de Prioré en 1983, quelques rares et confidentiels travaux ont été menés pour en savoir plus sur ces effets. Le problème étant que Prioré n’a pas souhaité communiquer de son vivant sur les réglages de la machine qui utilisait des champs pulsé et une combinaison de fréquences. Les secrets de la machine sont dans la tombe sur laquelle nous pourrions écrire cette épitaphe formulée par l’un des croyants au pouvoir des ondes à cette époque, Robert Courrier, qui résumait ainsi sa position :
« Quand il s'agit d'un problème aussi grave que le cancer et qu'on voit poindre une lueur, on a le devoir de rechercher ce que représente cette lueur, on n'a pas le droit de l'éteindre avant de savoir ce qu'elle vaut. »
Pour l’instant, la communauté scientifique a éteint le lampadaire. Et le cancer poursuit son œuvre maléfique. Ayant réfléchi depuis des décennies sur ce thème, j’avoue ne pas avoir trouvé une explication justifiant un effet des ondes sur le cancer. En revanche, le magnétisme humain fonctionne. Combien de zonas, dermatoses et autres maux soignés par des guérisseurs. Sans oublier les « coupeurs de feu », certains agissant en concertation avec les services hospitaliers avec l’accord du patient.
Il est envisageable qu’aucune solution ne soit trouvée pendant deux ou trois décennies. Sauf à changer de vision en prenant en compte les aspects quantiques et magnétiques dans les interactions entre cellules. Le cancer est causé par une perturbation des communications si bien que les cellules tumorales naissent et se développent en ne respectant plus les règles fixées par l’organisme. Elles se comportent comme des éléments sectaires et séditieux. Elles détournent les mécanismes sanguins pour se nourrir, à l’image de certains groupes sociaux ayant accaparé les ressources pétrolières en proclamant un Etat indépendant. J’ai longtemps cru à la possibilité d’utiliser les champs et ondes mais cette fois, je serais enclin à jeter l’éponge en lançant néanmoins un dernier appel pour les rares pionniers disposant d’une aptitude à rêver intacte et prêts à se mobiliser. S’il y a une solution, elle est accessible. Encore faut-il prendre des chemins de traverse et ne pas se plier aux règles des fonctionnaires de la recherche et de la santé. Seuls les atypiques et révolutionnaires des sciences ont la solution. Les autres ont la technique pour progresser.
Des chercheurs sont certainement sur ces pistes dans le monde, notamment en Russie, en Chine ou aux Etats-Unis, pays dans lesquels les atypiques cherchant en dehors des cadres sont bien considérés. Ici, à Bordeaux, un rêve, bref, versez votre obole aux institutions comme l’Arc ou la ligue ; ou alors faites confiance aux atypiques et contactez-les. Et surtout, mettez-les en contact, vous ne connaissez pas les richesses que recèlent vos proches et connaissances. Le sort du cancer dépend de vous
Bien à vous,
Bernard Dugué, surdoué des sciences,
duguebernard (-att-) gmail.com
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