Dans les profondeurs sombres de la roche, en ses flancs Entre deux crêtes aiguës émergeant de l’abîme Céruse colorée par la nuit qui s’étend L’écume a abordé aux rivages intimes.
D’une infinie douceur, elle apaise et console Caresse infiniment le roc prêtant le dos Elle se veut son amante et le soir elle cajole L’ennemi de toujours vivant aux bords des flots.
Mais soudain déchirants, illusion vespérale Un cri, ou plutôt non, un accord dissonant Que sais je, un borborygme, une plainte ou un râle Vient gâcher ces murmures et troubler le moment.
Et je tendais l’oreille à cet odieux chantage A cette voix vulgaire osant se faire entendre Sans respect de l’Amour effleurant le rivage Ébauche d’un langage que la laideur engendre
Ta Kathy t’a quitté, tsoin tsoin, Elle est pas gentiiiiiiiiiiiille Avec sa glace au chocolat et vaniiiiiiiiiiiiiiille. C’est bo, bo, c’est bo, Bobyyyyyyyyyyyyyyy.
Soyons honnête, nous avons eu des instits et des profs merveilleux qui nous donnaient envie de leur ressembler et qui dispensaient un enseignement riche et documenté, parfois de façon un peu musclée, mais ils représentaient malgré ça un concentré de connaissances, d’intelligence, de dévouement et de charisme.
Je n’ai pas oublié ces profs et même après mon entrée dans la vie active, je suis retourné en revoir certains, des plus marquants, qui étaient encore en poste. Et puis j’ai épousé une institutrice...
Quant à leur disputer un mois ou deux de vacances, je n’en vois pas l’utilité et je déplore sincèrement la conduite innommable de ces merdeux qui leur font la vie dure quotidiennement. Et de cette hiérarchie molle et veule encore plus. A ça, je ne peux que compatir et regretter.
Une variante exotique du célèbre « Les Français sont des veaux » . Ce qui prouve bien que l’on peut s’instruire en regardant la télé, parce que les gnous, en France, ça court pas les rues. Je rappelle que les gnous sont des ongulés et des antilopes. En même temps, si le gnou veut avoir sa retraite, il a intérêt à fermer sa gueule. Sur le fond, chacun sa conception des choses, mais tant qu’à faire, je préfère choisir le berger. Ce qui est de plus en plus difficile.
Encore un article vide et sans intérêt, un copié-collé d’une info que l’on trouve sur n’importe quel site. Avox mérite mieux, il me semble. Prenez quelques vacances Rosemar, je vous en prie, et revenez-nous avec des idées.
Un article juste et plein d’intérêt que j’ai relu plusieurs fois, ainsi que les commentaires, pour le plaisir. On peut difficilement se détourner de ce phénomène. Cette vidéo de Nabila est présente sur tous les sites, même ici c’est dire, et je la regarde toujours avec une sorte de fascination morbide en cherchant à comprendre par quel processus « nos enfants » pour une grande majorité en sont arrivés là, à ce degré de vide et de futilité. Je dis cela sans aucune méchanceté, je constate sans plus avec tristesse, comme le dit si bien Alinea « qu’il y a quelque chose qui me blesse comme lorsque l’on constate l’irréparable, et que l’on y peut rien ». Merci à l’auteur de nous remettre les yeux en face des trous comme on disait « dans l’ temps »