6ber

@Fergus
Hélas non Fergus, on ne réforme pas démocratiquement, ni de l’intérieur, ni de l’extérieur 28 pays aussi disparates, dont 19 avec une monnaie commune, on impose.
Dixit Junker (entre autres).
Je me permet de vous rappeler ce pseudo théorème de Zorn qui a fait ces preuves :
« Dans tout ensemble ordonné, inductif, il y a au moins un élément maxima ».
La démocratie est un leurre et nos élections ne sont plus qu’une pitrerie grotesque de guignols à l’intention des peuples.
Vous le savez et vous l’avez souvent dit.
Si réforme il y a, elle ne peut se faire qu’à l’intérieur des frontières, sur un plus petit nombre aux références communes, en souhaitant qu’elles existent encore et peut être grâce à un « despote éclairé » façon De Gaulle.
La diversification des populations par l’immigration massive au sein des divers pays de L’UE ne vise qu’à la division des peuples en communautés, auxquelles seront imposées des lois iniques pour n’en privilégier aucune et faire ainsi consensus.
Je ne sais si ce repli communautaire Français est encore possible, mais je le souhaite de tout cœur pour NOS enfants.
Il nous faut sans tarder sortir de ces pièges que sont l’UE, l’EURO et l’OTAN qui ne profitent pas aux individus.

L’euro est une aberration. Une monnaie unique pour 27 pays aussi différents ne permet aucune variation des cours.
La variable d’ajustement nécessaire au privé devient publique. Une austérité obtuse et contre productive en devient son corollaire.
Mais jusqu’à quand ?
Sauf à renégocier un nouvel étalement de paiement d’au moins 4 ans, si on considère un excédent primaire de 1,5% l’an, constant ou supérieur, Il sera difficile pour les Grecs de rester dans l’UE.
Nous sauront le 5 juillet si c’est le cas en espérant que cette propagande obsessionnelle essayant de nous faire croire qu’une sortie de l’espace financier Européen serait la ruine de tout pays de l’UE, ne finisse pas par abrutir nos amis Grecs et qu’ils seront les pionniers du démantèlement de ce monstre qui n’alimentent que les grosses structures financières.

En quoi le peuple Grec y perdrait-il ? A condition de ne pas sortir du pays pendant les premières années.
Après la nationalisation de la banque centrale Grecque revenir à l’ancienne monnaie ne poserait pas (trop) de problème au citoyen, puisqu’après dévaluation, 1 Drachme serait égale à 1€ ou à 1$ et qu’à l’export les entreprises seraient gagnantes si export = ou > import.
Idem en ce qui concerne le marché intérieur qui serait de ce fait redynamisé par une production nationale et la création d’entreprises indispensable à son fonctionnement.
De plus si la Grèce fait sécession, on peut imaginer que d’autres pays, prêt à sauter le pas, s’engouffrent dans la brèche et deviennent ses partenaires privilégiés.
Rendez vous le 5 juillet, avec impatience.

Difficile de prendre parti dans cette affaire.
Néanmoins, on peut peut être se demander si, ce qui se passe entre les taxis et uber, ne serait pas un avant goût de ce qui risque d’arriver une fois le TAFTA mis en place.

Mais qu’est ce que c’est que ces Français qui veulent retirer le pain de la bouche à nos Arabes ?
Merde alors !

Excellent, très amusant.
Je me suis laissé dire, dans le même ordre d’idée, que le Venezuela voudrait ne pas envahir les USA ?
Ces pays sont tout de même incroyables, ils ne respectent rien.
A vous lire.