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Primum non nocere

Primum non nocere

Etudiant, donc comme je l'entend souvent "un sale D'jeunss" (Je vous autorise à me lapider, mais très doucement) je me complaît dans certaine mélophilie, une légère misanthropie, et quelques idées naïves qui ont la peau dure. Féru de psychosocio, entre autre, j'aime à m'amuser des stéréotypes dans l'air du temps et m'essaye constamment à réfléchir à contre-courant de la doxa.
Plutôt dans la réaction que la rédaction, il ne serait pas étonnant que l'on se doive réhabiliter la théorie du chaos si je venais à être publié. Mes excuses par avance, donc, si mon bordelisme usuel venait à être source d'incompréhension lors de mes interventions/publications.
Primum non nocere.

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  • Premier article le 07/06/2014
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Derniers commentaires



  • Primum non nocere Primum non nocere 26 août 2014 17:46

    Confusion ? Nan du tout, tout est tres clair.

    Le bureau, l’administration, les formalités, ne sont-ce pas des technologies facilitant le traitement d’information ?

    Vous (et oui, je vouvoie, ce n’est pas parce que l’on est sur internet que les familiarités sont permissibles à loisir, question de respect) confondez l’administration, qui « administre », fait en sorte que les choses roulent, bref fait de la logistique, et la cybernétique, qui elle, est la science du traitement de l’information (sous toutes ses formes).

    Crois-tu que quand un carburateur est mal reglé, il faille le régler ou bien accélérer plus fort et mettre un second reservoir ?

    Me croiriez-vous dénué de bon sens ? Relisez moi donc « Cette refonte de la constitution de l’OMS, en 1947, spécifie bel et bien cette réalité désirable de ne plus seulement « réparer » mais bien « améliorer durablement » » etc etc etc. Allons, ne vous faites pas plus bête que vous ne l’êtes, vous savez pertinemment que c’est hors de propos. S’il y a à réparer, réparons, s’il y a à optimiser, optimisons. Nul besoin de chercher midi à quatorze heures ou tout mélanger dans le même panier, d’toute façon les amalgames c’est pas bô !.

     Alors que ces 200 dernières années de « formidablheu progres » a tué plus d’humains que toutes les guerres du passé réunies. Et en a sauvé une somme considérable, en a fait naître de nombreux, en a aidé tant. Peut-on les dénombrer ? Question de manière de percevoir les choses (ceci dit je partage vos inquiétudes sur l’instrumentalisation militaire de la chose, les ’ricains en particulier font tout sous « budget défense », erreur infâme)

    La destrcution des éco-systemes, la dispartion de la quasi totalité des grands bassins de poissons, la fonte des glaces, le fait qu’en france on ne peux plus avoir un seul lieu totalement dénuée de structure artificielle dans son horizon. Et ce plastique partout ? J’ai toujours vu, enfant que ce plastic c’etait « mauvais », on m’a toujours pris pour un con, et aujourd’hyui quoi ? on fait les etonnés a voir ces iles de plastique. Je partage vos convictions à ce niveau, et c’est justement par la diversification et la démocratisation des techniques que je peux consommer avec conscience et attention. Ce problème est peut-être plutôt d’ordre de la conscientisation citoyenne.



  • Primum non nocere Primum non nocere 25 août 2014 11:56

    Que de confusions. Quel rapport avec la bureaucratie je vous prie ? La recherche scientifique, le progrès, sont des quêtes 1/ de véracité 2/ d’un mieux humain. Vouloir stagner dans sa situation, sa condition, est une aberration qui tient du fatalisme craintif. Je préfère pour ma part voir un espoir dans la quête constante du Rationnel.



  • Primum non nocere Primum non nocere 25 août 2014 11:47

    Quitte à citer des extraits de mon article, citez-moi donc correctement gaijin  : 
    ( Suite ) L’idée de perfectibilité, pierre angulaire du développement de l’humanisme moderne, né des Lumières et transformé par la révolution scientifique, puis la révolution industrielle, estime que l’être humain ne réalise son humanité que dans l’arrachement et l’émancipation à la nature, à l’animalité et au déterminisme.

    C’est le fondement même des avancées démocratiques, politiques, sociales, scientifiques et techniques modernes, et ce depuis le XVII° siècle. C’est appuyé sur cette notion d’émancipation que l’Homme s’est focalisé à optimiser les divers aspects de sa vie, de manière constante, par le progrès technique et le progrès intellectuel, par la constante recherche d’un « mieux ».

    En effet, depuis le parapluie jusqu’au tout à l’égout, de l’eau courante à l’ampoule 22W, du smartphone à la brosse à dent, du plus impressionnant au plus commun, rien ne pré-existe à l’Homme.

    Concrètement, ce sont toutes les avancées techniques faites par et pour l’Homme qui le permettent.

    Voilà déjà un développement d’idée un peu moins... Tronqué.

    N’avez-vous, vous-même, jamais cherché à améliorer votre cadre de vie, votre confort, limité vos effort, fait dans le « plus pratique », ne serait-ce qu’à votre propre niveau ?

    Nieriez-vous donc le naturel même de ce fait de l’évolution humaine ? De sa valeur socio-historique également ? Ou de sa réalité dans notre vie de tous les jours ? Je me dois de vous renvoyer à quelque chose de « tellement rabâchée qu’elle parait naturelle », c’est la main d’Aristote.



  • Primum non nocere Primum non nocere 25 août 2014 11:28

    C’est pourquoi dans ma conclusion j’introduis et met en exergue le risque que prennent les Sciences (grand S) à se mêler aux institutions économiques. Il n’y a pas à craindre les Sciences, le Progrès, la Technique ou son usage, mais bien l’instrumentalisation que pourrait en faire le sacro-saint Argent et ses prophètes. 



  • Primum non nocere Primum non nocere 21 août 2014 12:43

    Effectivement, votre raisonnement se tient. mais ceci dit je campe sur mes positions quand même, qui me paraissent au moins aussi valides que les vôtres, à savoir que je cautionne l’idée et les motivations, mais pas la GPA en tant que telle. Devoir inclure un tiers me gêne profondément.


    Pour revenir sur les risques à l’usine, ils sont bel et bien effectifs, et me gênent également, mais pas pour les mêmes raisons. Les conditions dans lesquelles bosse votre cousin sont tout bonnement anormales, et me choquent. Sauf que dans le cas présent j’ai plus l’impression qu’il y a un déplacement du débat, bref je ne voit en fait pas comment peut être fait le parallèle entre l’usine et porter son enfant (et encore moins, par extension, l’enfant d’un/e autre).

    Quant au fait de se prostituer, je le conçois dans un cadre théorique légal qui n’existe actuellement pas, donc bon...
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