Oui les incroyants aux études scientifiques internationales. Ceci dit sur certains thèmes comme le programme Apollo ou les chemtrails, il est fait mention de ces illuminés conspirationnistes
Depuis 2001, plusieurs académies nationales
ont fait des déclarations (parfois conjointes) affirmant la réalité du
réchauffement global anthropique et demandant aux nations de réduire
leurs émissions de gaz à effet de serre2,3. Parmi les signataires de ces déclarations, on retrouve les académies scientifiques nationales :
Fin 2012, des climatologues208 ont compilé et comparé des simulations issues de vingt modèles et des satellites209, concluant que les changements de température de la troposphère et de la stratosphère sont bien réels et qu’ils sont clairement liés aux activités humaines210.
Le 5e rapport du GIEC (publié en 2014)207 estime (page 5) « qu’il
est extrêmement probable que plus de la moitié de l’augmentation
observée de la température moyenne à la surface du globe entre 1951 et
2010 est due à l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre
d’origine anthropique et à d’autres forçages anthropiques conjugués », et avec un degré de confiance élevé
qu’en l’absence de mesures additionnelles prises, les scénarios de base
conduisent à une augmentation de la température moyenne globale en 2100
située entre 3,7 et 4,8 °C comparée aux valeurs pré-industrielles (intervalle basé sur une réponse moyenne du climat ; l’intervalle est de 2,5 à 7,8 °C si l’on inclut les incertitudes relatives à la réponse du climat). Le rôle du méthane (CH4) (produit par les ruminants, les rizières, les fuites d’exploitation du gaz naturel et le dégel du pergélisol) est réévalué à la hausse dans ce cinquième rapport : le méthane est estimé avoir un potentiel de réchauffement global
par unité de masse à 100 ans égal à 28 fois celui du dioxyde de
carbone. Sa contribution cumulée, compte tenu de sa concentration,
demeure cependant plus faible207.