Encore un article qui fait mouche. Je partage totalement votre analyse. Et comme le souligne, à juste titre, ouam2, tout semble fait pour maintenir des prix élevés, seule garantie pour un Etat corrompu tel que le nôtre de recettes fiscales à bon prix et de docilité car, oui, un peuple occupé à trouver de quoi rembourser son crédit ou payer son loyer ne revendique pas. Je me demande quelle sera la prochaine rustine pour maintenir les prix aussi élevés, baisser encore les taux ? Je pense que le chant du cygne est proche et franchement tant mieux, on reviendra à des valeurs plus saines que la spéculation et la mise en esclavage d’autrui. Les banques ? Ma foi, qu’elles crèvent, même si j’ai bien saisi votre mise en garde, un sorte de jeu de dominos en fait. Encore merci pour vos analyses. Quel dommage que les journalistes de la « grande » presse ne nous gratifient pas de vrais articles de fond comme ceux qu’on trouve ici, mais c’est un autre sujet.
8.000 euros par mois... Et vous gobez ça ? Venez bosser à Genève ou dans le canton de Vaud et on en reparle. N’importe quoi. C’est pour ça que la dictature made in France a de beaux jours devant elle, les gens avalent toutes les fadaises. Un ami bosse à Genève comme chef de produit pour une multinationale connue. Il émarge à environ 6’500.- mensuels. On est loin des 8’800.- (8.000 euros x 1,1). Et lui fait partie des bien payés.
Bien sûr que la démocratie suisse est enviable sur le papier, mais dans la réalité ils ont font quoi les Suisses ? Pas grand chose. Ce pays est vieux et vit sur ses acquis. La pauvreté y a explosé et n’en déplaise à l’autre imbécile de Ar Zen, y trouver un emploi correct et y survivre est de plus en plus sportif. Ma femme rame depuis 10 mois dans sa recherche d’emploi. La voisine, une quinqua genevoise, pareil. La fille d’un pote sur Lausanne, âgée de 23 ans, se fait traiter de parasite par le chômage parce qu’elle a l’heur de ne pas trouver de travail et c’est comme ça un peu partout. Et après il faut lire qu’on y retrouve du boulot du jour au lendemain, putain... Seuls les frontaliers tirent parfois leur épingle du jeu, mais c’est de plus en plus dur.
Votre entêtement frise le ridicule. C’est vous qui faites la leçon. Pour ma part, je vous donne des informations réelles, empiriques par sorties de mon cul comme vous le faites. Non seulement vous racontez n’importe quoi, mais vous enfoncez le clou. Vous donnez deux chiffres et vous appelez ça un tableau... Je vais arrêter cette discussion ici car c’est vous qui parlez de choses que vous ne connaissez pas et ne comprenez pas. Je ne vois pas l’intérêt de débattre avec un âne autosuffisant qui voudrait m’apprendre comment je m’appelle... Et comme on dit « je ne parle pas aux cons, ça les instruit ».
Les spéculateurs... pardon, les altruistes de l’immobilier sont indispensables à la survie de l’espèce humaine, je pense. C’est presque de la poésie votre plaidoirie. J’en est la larme à l’oeil...
Votre condescendance ne m’impressionne pas, c’est vous qui devriez vous renseigner. Je vis au milieu des Suisses et mes renseignements, mon vécu sont à des années lumière des théories théoriciennes que vous proposez.. Je suis marié à une Suissesse.
En Suisse :
- Un loyer à 1’500.-, dans vos rêves, mettez 500.- de plus pour être plus proche de la réalité
- La bouffe x 2 par rapport à la France
- Assurance santé à laquelle il faut ajouter la franchise que vous oubliez vous pourtant si bien rencardé
- Vous comparez un salaire net à un salaire brut. A Genève, 3’800.- x 80% = 3’040.- nets avant impôts
- Assurance auto x 2,5 par rapport à la France majoré des frais de plaque, des révisions et réparations qui sont énormes par rapport à ce qu’on peut trouver en France,
- etc. etc.
Sur 3’800.- -> Rien avant la fin du mois, un paquet de Suisses fonctionnant avec des découverts et autres conneries du même genre
Allocation pour le premier enfant, selon le canton, le max étant Genève dont ma femme et moi relevons : 300.- et non pas 400.-
Vignette à 40.- avec des coûts auto (assurance, garage, service de la navigation...) que nous n’avons pas ici.
3% c’est sans les chômeurs LD, les gens en formation, les indépendants qui rament, etc. qui sont sortis des chiffres du chômage, ça fait plus présentable comme chiffre.
C’est vous et vos démonstrations partisanes et bancales qui êtes ballot. Suivez votre conseil et allez vous former sur le terrain au lieu de jouer les professeurs de sciences économiques... Et profitez-en pour vous familiariser avec les mathématiques quand vous faites des comparatifs chiffrés, ça peut vous servir.