Quand les enfants sont mineurs, donc dépendants des parents, on verse des allocations qui ne dépendent pas du revenu.
Et quand ils deviennent majeurs, donc censés indépendants, on définit leurs bourses d’études en fonction du revenu des parents.
C’est le monde à l’envers, c’est complètement pourri. C’est exactement l’inverse qu’il faut faire : des allocations pour les enfants mineurs en fonction des revenus, des bourses identiques pour tous les étudiants.
Ce genre de détail sordide résume toute la pauvre mentalité bureaucrassique franchouillarde. Il est à parier que si on proposait une telle évolution, on aurait des milliers de connards à manifester contre.
Moi, je suis pour qu’ils crèvent, les créanciers. Et que l’on fasse avec les dettes souveraines comme Lénine avec l’emprunt russe.
Et en prime, on foutra le pseudo « spartacus » au goulag, sous régime sévère, dans le même camp que les voyous de banlieue... Sauf que eux seront dans les miradors, la fonction de garde leur permettant de se racheter.
Ce n’est pas vrai, c’est mobile et accessible : tu peux toujours passer un concours... Ah oui, tu les a ratés, même dans la catégorie C, d’où tes éructations.
Ce lien pourri, accessible à n’importe quel crétin qui utilise gogol, n’est même pas en français. Et il n’y a rien sur le Venezuela.
Sinon, arrêtez de répétez vos âneries trois fois en deux messages. Votre idéologie, c’est de la misère intellectuelle. Tous les libéraux côtoyés dans mes études étaient les plus incultes et les plus formatés, les plus conformistes, bref le déchet de la promo. Ils compensent avec une doctrine simpliste, une sorte d’opium des pseudo-intellectuels, qui leur donne l’impression de répondre aux problèmes et la complexité de ce monde avec une ou deux idées primaires.