Ça ne marche pas, et c’est terriblement délétère sur l’humain, et surtout systématiquement mortifère.
« la dictature du prolétariat », je pouffe :
Le prolétariat cette classe ’A sauver’ qui se métamorphose on ne sait comment en classe « Salvatrice ».
Il est où ton prolétariat, aujourd’hui dans une France désindustrialisée ?
Même les cocos des années 70 en France avaient abandonné cette histoire de dictature du prolétariat.
Errare humanum est, perseverare diabolicum est.
C’est le propre des périodes de crises que d’offrir un terrain propice à la résurgence des toutes les idées folles, on assiste alors à la sortie des petits diables de leur boite.
Je t’accorde une chose pour le folklore c’est quand même sympa.
« Une telle crise financière, qui viendrait s’ajouter au chaos de la crise sanitaire, serait la pire de toute l’histoire du capitalisme. Elle pourrait bouleverser l’ensemble de la planète d’un point de vue économique et financier, mais aussi géopolitique. »
Il me semble au contraire que l’actuelle « crise sanitaire » qui n’en n’est pas une, offre une opportunité extraordinaire pour un consensus ouvrant la voie à l’évitement du krach qui semblait, il y a seulement quelques semaines inévitable.
La surmédiatisation, la surestimation du danger du Covid, et la surévaluation des victimes, permettent un état d’urgence sanitaire, donnant les coudées franches aux gouvernements pour régler, par des mesures impossibles à prendre en d’autres circonstances, tout l’héritage de 2008. Car enfin, c’est de ce dont il s’agit. Alors certes le schéma que vous présentez pour sa résolution est tout à fait cohérent, mais la question de la note de l’Italie est accessoire. La monstruosité économique que représente les taux négatifs met en lumière l’impuissance de la BCE et en dit bien plus long sur l’imminence d’un crack que des questions de notations. Cette pandémie arrive à point nommée, elle peut-être une solution et non le problème.
On pourrait même imaginer qu’elle était attendue.
Mais s’ils ratent leur coup la catastrophe sera encore bien pire, je vous l’accorde.
Bien à vous.
Dire que krach était imminent n’a rien de partisan.
La crise de 2008 n’a toujours pas été réglée. Nous ne sommes toujours pas sortis de 2008.
Les interventions de la BCE, les QE, et les aberrations économiques comme les taux négatifs et autres inversions de la courbe des taux, sont des preuves flagrantes.
Nous ne sommes pas sortis de 2008. Beaucoup de banques systémiques et autres institutions devraient normalement être liquidées depuis belle lurette.
Il n’y a pas eu de consensus entre Etats pour sortir de la crise de 2008, chacun a fait comme bon lui semble. En conséquence, c’est la BCE qui se charge de pomper la barque à coup de milliards, ce qui ne permet que de maintenir artificiellement les Titanics hors d’eau.
Les milliards envoyés pour enrayer la bulle restent dans la bulle. Et pouvez-vous imaginer des taux négatifs qui deviennent encore plus élevés en valeur absolue ? A l’évidence non, ni vous, ni moi, ni personne, donc ça devrait péter.
La pandémie offre une occasion (effet d’aubaine) de tenter de régler la crise. Cette fois-ci de manière coordonnée. Mais cela demande que tout le monde tombe d’accord, ce qui est loin d’être le cas, et aussi beaucoup de sacrifices, ce que les peuples sont loin de vouloir accepter, d’où la tournure extraordinairement autoritaire des gouvernements, en particulier chez nous en France, accompagnée d’une surmédiatisation et une surévaluation de l’épidémie. D’autant que la crise des gilets jaunes, qui est elle-même une conséquence de la crise de 2008, (je ne parle pas ici de sa genèse sociale et des motifs particuliers qui ont conduit à la révolte, mais des conditions économiques, budgétaires et financières de son avènement), a montré que le système est arrivé au bout. Une seule réponse : la répression, et la promesse que si tout le monde reste gentil alors le gouvernement va raser gratis.
Il s’agit de profiter des conditions particulières qu’offre cette « pandémie » pour avoir enfin les mains libres et régler une fois pour toute les conséquences de la crise de 2008, sans qu’aucune opposition ni manifestations populaires, ne viennent troubler les travaux, car ils sont complexes et immenses.
1- Il faut d’une part, sauver et recapitaliser tous les canards boiteux, la liste est assez longue, consolider ceux qui vont souffrir pendant ce temps de médication ( nationalisation ou aides massives et garanties,), éviter que l’économie ne s’effondre (soutien aux Pme, et à tout le tissus économique en général).
2- Effacement de la dette, par sa transformation en rentes longues, très longues, très très longues, tout en garantissant aux créanciers leurs actifs. ( Les nationalisations suivies de privatisations, ou des échanges de titres, les outils existent, et on peut en créer). Cela suppose que l’Économie soit sauvée et saine.
D’où la hantise des politiques car le temps est compté, Il faut faire vite avant que ça ne pète.
3- Il faut un certain consensus entre États pour jouer cette partition, car tous les États n’ont pas donné la même réponse à la crise ne sont pas impactés selon les mêmes modalités. Donc ça doit discuter et se mettre d’accord, d’où l’intérêt de bloquer tout ce qui pourrait permettre de sortir de cette crise sanitaire, hors des clous du gouvernement.
Enfin et c’est déjà en cours, des pans entiers du droit du travail et des libertés publiques sont sacrifiés, des décrets pris en toute discrétion modifient en toute opacité de nombreuses règles prudentielles en matière de commerce, même des inspecteurs du travail sont virés et muselés. Tout se met en place pour la société de demain.
Le but n’étant pas uniquement de faire face à une maladie, mais surtout de profiter de la fenêtre offerte.
La gestion calamiteuse de la crise, n’est pas si calamiteuse qu’elle paraît être si on en juge à la docilité obtenue.
Car la docilité du peuple et les mains libres, sont les buts de cette gestion.
Le tour de force consiste à faire amerrir un gros porteur sur l’océan afin de réparer et de le faire décoller, avec un minimum de casse. On peut rêver.
Nous vivons une période fantastique.
Vous citez Melenchon :
« On entend dire régulièrement qu’au-delà de 100% de dette par rapport à la richesse produite pendant un an (PIB) par le pays c’est la catastrophe. Cela n’a jamais été prouvé. ...".
C’est pas faux.
A ce sujet je vous recommande vivement ceci :
https://youtu.be/yeX_Zs7zztY
Par ailleurs faire du système électoral le moteur essentiel de la dette, c’est vraiment court, mais alors très très court.
C’est quoi le but de ce papier ?
C’est très certainement vous qui ne comprenez rien à rien. Les porteurs AS ne sont pas des individus malades. Ils ne présentent généralement pas de pathologies particulières. Ils sont generalement sains ! Votre méconnaissance certaine de la drepanocytose, et à coup sûr votre suffisance, conduisent à la médiocrité de vos interventions. Il n’est donc pas étonnant que pour vous la question n’ait pas de sens... Mais pas tout à fait car vous dites :
« mis à part si vous avec les connaissances requises pour le réaliser ou, au moins, comprendre comment la réaliser »,
passons sur la syntaxe et la grammaire, nous croyons tout de même comprendre ceci :
Une question n’a de sens que si l’on est capable de monter soi-même une étude pour y répondre !
Je crois que la communauté scientifique gagnerait à coup sur de vous compter parmi ses membres les plus éminents, et qu’avec vous l’épistémologie franchira un pas décisif. J’ai le sentiment d’assister à la révélation d’un nouveau Popper doublé d’un Bachelard.
Bon blagues à part je crois que vous faites une utilisation abusive de l’adage marxiste suivant « l’humanité ne se pose jamais que les questions qu’elle peut résoudre ». Mais ça c’est de l’idéologie, de la philo, tout au plus de la science molle, mais alors vraiment molle molle... Sinon je n’ai rien trouvé qui fasse sens en soutien de ce que vous écrivez, alors je pense que ... hum...médoc.
Si vous en avez d’autres comme celle-ci je suis preneur. En ces temps de confinement, je ne ferai pas la fine bouche, même quand la dissonance cognitive affleure. Bien rire c’est déjà un début de liberté.
Et puis vous assenez « Actuellement, on sait que le virus tue surtout ceux en moins bonne santé (quel scoop) ».
Très bien... mais alors pourquoi une telle létalité chez des Afro-américains pas pauvres, ni non plus porteurs de co-morbidité ? Vous ignorez cette donnée ?
Pourquoi mettez vous le bec là ou il ne faut pas Alcyon ?
Par ailleurs, vous avez certainement raison, concernant les « experts en tout et en rien » sur « gogolvox ». Mais qu’y faites-vous ? Que faites-vous là ? Vous êtes un expert en quoi ? Et qu’est-ce donc qui commence à vous gonfler ?
Sitôt arrivé pour pister l’infâme, et pourfendre l’idiot, partout où il se rend et vous voilà déjà hors de vous. Pourquoi donc vous soucier de simplet de mon acabit ? Vous ai-je sollicité ? Que nenni !
Et s’il me plaît de questionner des experts en tout et rien, qu’est-ce que ça peut te foutre ? Surveille et tais-toi, et je ne te volerai pas dans les plumes.
Quand à ta tentative de retourné acrobatique en guise de conclusion, elle met en lumière le pathétique de ta position, un geste désespéré, qui fait flop. Et pan sur le bec, petit Alcyon...
Allez je retourne causer avec les autres experts...