Le vote blanc souligne le coté démocratique
de l’expression électorale et assainirait les élections que nous connaissons.
A condition donc que le vote blanc ne soit pas
confondu avec les nuls, mais considéré comme vote exprimé, car il l’est de
facto, par le fait que le votant se déplace pour dire avec un vote valide qu’il
n’est pas d’accord avec les propositions de la liste de candidats, c’est une
démarche tout aussi citoyenne, sinon plus, que de voter par dépits FN, parce
qu’il n’y a pas d’autre moyen de marquer sa désapprobation .
A noter que ce parti dégonflerait d’autant
ses résultats.
D’où vient cette idée saugrenue que le
vote blanc serait un vote d’extrême droite, puisque les FN sont sur le même plan que les autres au
moment du vote.
On comprend pourquoi les politiques de
partis n’en veulent pas : cela va contre leur hégémonie dans le système
électoral qu’ils ont rendu non démocratique en confisquant, à leur profit, les élections et
leurs filières de recrutement des candidats .
Oui l’OTAN nous « protège » façon mafia ! gare à « l’addition » ! Que l’on nous présentera, évidemment, quand on aura plus le rond ;o) - Poutine en fin stratège et tacticien roule pour lui, tout comme les cyniques étasuniens et l’Europe un des pions que Boris et Sam poussent devant eux. Parce qu’en ordre dispersé , nous ne faisons pas le poids. - Ici, la seule vérité dite : est qu’il fait chaud, ça ramolli les cervelles, hi,hi
Orwell n’a rien prédit d’un brexit, Churchill ne l’avait-il pas fait avant lui. -
Tout de même, ces anglais sont si peu
européens et si peu dans l’Europe, ni l’Euro, ni Schengen,mais les seuls avantages, que leur « coup d’éclat » dû en
grande partie à une bien mauvaise stratégie de Cameron, ne va pas changer
grand-chose à cette Vielle Europe au fond nécessaire mais pas avec autant de
partenaires et surtout avec une autre constitution beaucoup moins axée sur
l’argent et plus sur les hommes . Car qui y trouvait le plus d’avantages : la City, louée par Thatcher.
Et l’Allemagne, d’accord, qui elle y trouve son pré carré de consommateurs. Quant à la France, elle s’y fait trainer ou pousser, c’est selon.
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Et puis en 2005 ce ne sont pas les anglais qui ont voté « non »
contre cette constitution européenne inique, souvenez- vous ...
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Alors messieurs les anglais n’ont pas tiré les premiers et à
part avoir réussi un joli coup médiatique, d’ailleurs, en jetant le bébé avec
l’eau du bain, serait plutôt profitable à cette Europe sans eux, Brittons plutôt
boulets profiteurs et perfides qu’équipiers solides et efficaces, à la hauteur
de leur position de grande puissance, pour le moins affichée, car
enfin, comme la France elle a perdu beaucoup de son lustre et de son pelage.
Ce n’est pas parce que l’UE est mal faite et son TCE inique, qu’il faut
rejeter en bloc l’idée, sans avoir fait le minimum pour l’améliorer, voire la
refondre et bêtement jeter le bébé avec l’eau du bain.
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Les anglais ne quittent pas l’UE, ils n’y ont jamais participé qu’en cotisant
le moins possible pour en tirer les bénéfices, et en refuser les contraintes,
voire même, à leur habitude, se faire tailler des avantages déloyaux.
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Fasse que ce « brexit » secoue et réveille les autres partenaires
pour qu’ils refondent le TCE, notamment le statut scandaleux de la BCE et les
prorogatives despotiques extorquées des technocrates pléthoriques et non élus
de Bruxelles by a large ass kicking.